« Est bolchevik celui qui aspire à obtenir des avantages matériels pour lui et pour les siens, quoi qu'il arrive ; est antibolchevik, celui qui est prêt à se priver de jouissances matérielles pour défendre des valeurs d'ordre spirituel ».

— José Antonio Primo de Rivera, Œuvres complètes (1942)

Why have you been getting so many anons about china recently?

Well I pissed the libertarian/contrarian cockroach nest recently, and they are all raging anti-China/Communist (you know, they'll reblog these cringe "Reblog if you're anti Communist 🇨🇳🚫" post as if they were bold & courageous anti bolchevik/URSS dissidents from the 1950s... imagine thinking claiming being "anti Communist" in 2022 while living in a liberal/capitalist country was a bold move.......)

Plus, since I'm prolife & Christian, many ppl assume I'm conservative/US simp.. which couldn't be further from the truth lol

« Le citadin est bourgeois et dans la mesure où il aime la liberté, l’esprit, le raffinement et se réjouit de sa réussite sociale, il est libéral. Le libéralisme est le produit des villes ; “l’air de la ville rend libre”. Mais son climat ne convient ni à l’honnêteté, ni à l’honneur ou à la fidélité. L’air des villes les ronge de l’intérieur. »

Ernst Niekisch, « L’Est qui se meurt » (1929), dans Écrits Nationaux-Bolcheviks

Pour paraphraser Marx, rappelons-nous que les opprimés sont autorisés, une fois tous les cinq ans, à choisir quels représentants parmi la caste des oppresseurs professionnels va les représenter et les opprimer.

Pour Freud, l'illusion politique et l'illusion religieuse sont de même nature :

«C'est le lien socialiste qui remplace actuellement le lien religieux.»

(Psychologie des foules et analyse du moi, 1921)

«Exactement comme la religion, le Bolchevisme doit dédommager ses croyants des souffrances et des privations de la vie actuelle par la promesse d'un au-delà meilleur, où il n'y aura plus de besoin insatisfait.»

Nouvelles conférences sur la psychanalyse, 1933)

«Pour maintenir la cohésion de leurs partisans, les Bolcheviks utilisent la haine contre tous ceux de l'extérieur.»

(Pourquoi la guerre?, 1933)

NB : entre 1918 et 1933, Freud fait clairement référence à la Révolution russe. Sa critique englobe, sans distinction, le bolchevisme et le stalinisme.

Il ajoute : «Les œuvres de Marx ont pris la place de la Bible et du Coran comme source de révélation (…) Un examen critique est interdit, des doutes quant à son exactitude sont punis de la même manière que l'Église Catholique punissait jadis l'hérésie.»

(Nouvelles conférences…, 1933)

Si Freud refusa la référence au marxisme en tant que dogme, il n'en poursuivit pas moins un examen critique des idées et se présenta comme un lecteur de Marx attentif à repérer dans la théorie marxienne les points de convergence avec la psychanalyse.

Lacan, lecteur attentif de Marx, tira (entre autres) son son «plus-de-jouir» du concept marxien de plus-value…

the french monarchy had given up their power through peaceful means not via force (I am not talking about the french revolution which was an utter failure it led to tons of bloodshed and the revolutionary leader becoming a actual tyrant like stalin and napoleon ended up taking power so the french revolution cant be called a successful moving away from monarch ( american revolution is the only one with the leaders sticking to their principles ) then french monarch came back and then gave up powe

... I assume the impromptu "history lesson" is in response to my recent post about the divine right to rule in Fodlan and its conclusion, which was that no meaningful change could have been achieved without conflict because of the way Fodlan's society is structured.

So, first off : the French monarchy gave up their power because 7000 citizens and 15000 members of the National Guard marched on Versailles out of anger that the soldiers there had received a banquet while the people had trouble getting even bread ; the next morning, some of those protestors broke into the royal apartments, ransacked the place and killed a number of royal guards before order was brought back. The King had fled to Paris the night before with his family, which is likely the only reason the Queen didn't meet an even earlier demise. After that, for the safety of his family, Louis indeed accepted the Constitutional Monarchy proposed by the Assembly, but I wouldn't call "being afraid he, his wife and their children would be executed by a mob" a peaceful mean. The process before that had been more or less peaceful, though many had died when they attacked La Bastille and many rural nobles had to flee the country to avoid violence from the commoners in the other regions of France, so I don't think we can honestly say that no violence was involved in the King of France giving up part of his power (and not even all of it).

Next : I don't know why you thought that my post was about the French Monarchy. It couldn't have more clearly been about Fodlan's countries and Church. Telling me about how the French Monarchy had the chance to give up their power without violence is just as relevant to the matter at hand as someone else telling me about how the Tsar of Russia and his family were slaughtered by the bolcheviks. Completely different context, culture, social structure and hierarchy. Pointless in the debate about Fodlan.

Qui a créé l'Ukraine ?

Petite Russie (Wikipédia) Lénine (ou plus exactement les bolcheviks) a-t-il créé l’Ukraine ? Oui. Plus précisément,  l’Ukraine a été créée par les bolcheviks. 1. Ils ont artificiellement divisé le peuple russe, composé de Grands Russes, de Petits Russes et de Biélorusses. Ils ont constaté que les Ukrainiens ne sont pas des Russes. Bien que cela contredise directement des milliers d’années…

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Hugo Pratt and Corto Maltese (PART VI) :

On avait également apprécié, en 2020, Hispaniola. Le récit se déroule en 1938. Le capitaine Lacombe, de la Légion étrangère, quitte clandestinement l’Algérie pour rentrer à Marseille. Pendant la traversée de la Méditerranée, le bateau de pêche qui le transporte croise un navire de guerre italien qui se dirige vers l’Espagne pour ravitailler les troupes de Franco. Soupçonné d’espionnage, Lacombe se rend sur le navire italien avant que celui-ci ne coule le bateau de pêche. Incarcéré en Espagne par les troupes franquistes, Lacombe s’évade et intègre une brigade de la FAI (Fédération Anarchiste Ibérique). A Barcelone, il rencontre une belle pilote de chasse roumaine dont il tombe sous le charme. Mais les communistes russes éliminent ses amis anarchistes. Lacombe décide alors de les venger… Lacombe va découvrir que les communistes éliminent, sans le moindre procès, leurs propres alliés anarchistes. Ils éradiquent les combattants du camp républicain soupçonnés d’hostilité envers Staline.

Avec Mongolie, on retrouve une fois de plus ce goût de Vianello pour l’aventure, où survole l’esprit d’Hugo Pratt. Le récit commence en 1920, en Mongolie. Le baron Roman Von Ungern-Sternberg part en automobile enterrer son trésor dans la steppe. Puis il élimine tous les témoins… Dix ans plus tard, au sud-est du Tibet, sur le mont Kailas, le cartographe Gordon aperçoit le yéti lors d’une dangereuse ascension. Mais une avalanche submerge sa troupe. Rescapé grâce au yéti, Gordon est recueilli dans un monastère bouddhiste. Ces moines détiennent une carte indiquant où le baron Roman Von Ungern-Sternberg a caché, avant d’être fusillé, un trésor. Les moines confient à Gordon la mission de retrouver le butin qui s’y trouve. Escorté par trois moines-guerriers, il parcourt la Mongolie sur les traces du baron fou, entre les steppes de Mongolie et les montagnes escarpées du Tibet. Ils parviennent à éliminer le chef de brigands qui leur tendaient une embuscade, et prennent la décision de délivrer leur prisonnière : une mystérieuse comtesse russe…

Vianello redonne ainsi vie à l’un des personnages mythiques d’Hugo Pratt : le général von Ungern-Sternberg, qu’on n’avait plus vu depuis Corto Maltese en Sibérie. Il s’agit en quelque sorte d’une suite à Corto Maltese en Sibérie. Rappelons que Roman Von Ungern-Sternberg surnommé le « Baron fou » libéra la Mongolie des Chinois en s’emparant de la ville d’Ourga en 1920, puis il combattit les Bolcheviks avec des cavaliers cosaques. Trahi par les Mongols, il fut livré à l’Armée Rouge et fusillé après un bref procès.

L’influence d’Hugo Pratt, qui fut son maître, est criante dans le dessin de Vianello. C’est toujours un grand plaisir de retrouver son trait épuré, en noir et blanc.

La suite et fin paraîtra en septembre 2024.

ok so controversial? question what is your opinion on the anastaisa broadway musical made in like 2017?

Lol not controversial at all, I didn't see it.

That being said I do know that the supernatural element is taken out in favor of a more down-to-earth, communist evil (thank you author's note on that one Zuko is the lost princess fic). Bare in mind that's all I know about it and here it goes

Pros: it makes the story more believable. Like, had Anastasia really survived, somehow, the execution, the people who would have tried to prevent her from claiming her heritage would have been the communists, not some kind of zombie warlock. It's probably also a bit easier to stage in a theater.

Cons: it makes the story more believable. I'm not watching Anastasia because I want a historical drama about real-Anastasia having escaped and being chased after by the bolcheviks. I'm watching Anastasia knowing full well she died, and my suspension of disbelief is made easier by the fact there are fantastic/supernatural elements in there, too.

So really it's all about what you're expecting from the story. Maybe there is something that makes the musical a complete heresy or a marvelous gem, but since I didn't watch it...

Now though the fact that the Grandmother is voiced by Angela Lansbury and Rasputin by Christopher Lloyd make the movie the best version anyway. I don't make the rules.

« Ils m’ont placé dans une automobile et c’est ainsi que j’ai parcouru les rues d’Irkoutsk, serré de près par mes gardes bolcheviks. Il y avait foule pour me voir. Pour voir le « baron sanglant », comme m’appelait la propagande de Lénine et de Trotski. Des ouvriers d’usine au regard buté et portant d’immondes casquettes graisseuses, des employés chétifs, voûtés à force de se pencher sur leurs écritoires, des J...s aussi, venus contempler celui qui les avait tant fait trembler…  Et au milieu de cette tourbe humaine, quelques hommes fiers et dignes : des Mongols, des Bouriates, des Bachkirs. Des hommes comme je les aime. Fiancés pour toujours à la steppe sauvage. Ils me regardaient avec amour. Pour eux, je ne pouvais pas mourir. Ils avaient, ces Asiatiques merveilleux, soif d’un nouveau Gengis Khan. Et je suis venu. La voiture roule dans les rues d’Irkoutsk et je sais ce qui m’attend. J’ai tué et on me tuera. Mais savent-ils seulement, ces chiens qui me gardent, ces chiens qui vont me fusiller, qui ils vont exécuter ? »

Baron Ungern von Sternberg

The way white leftists/communists/marxists love to condemn the wars of independence/anti-imperialist wars taking place in the Global South (in Algeria, Vietnam, Nicaragua, the fighters were too violent, too hateful, they were terrorists, etc) but gladly romanticize the French and Russian revolution as if the French people didn't guillotined countless people (and Louis XVI's young son was abused and pretty much left to die) and the Bolcheviks murdered the entire royal, including the children lmao. I don't blame them at all but to quote Lenin, “during a reactionary war, a revolutionary class cannot but desire the defeat of its government.”

I always say this but we made a mistake when we started looking toward white revolutions and forms of fighting back + white theorists to form our own methods and theory of fighting back, rather than looking at the revolutions and strategies of people of color. You are right. The French revolution is heavily romanticized as a form of fighting back against oppression etc., in the same breath as white theorists and writers being the standard to go to for discussions of anarchism and communism. this has honestly done nothing but push forth academia and also prioritize whiteness as the standard and guideline for fighting back.

This is why, as you've said, non white revolutions and anarchy are always looked down upon, because we've set a white standard.

POUTINE C'EST LE MONDE PERDU

Attention Tanger

Mélenchon s'appuyant

Sur le Parti du Progrès

Et du Socialisme Marocain

1974 héritier du révisionnisme

Français et soviétique

Heureusement Roubaix

Le Maroc c'est Barka

Le maffieux elle voit

Arme utilisée Bolchevik Rachida

Samedi 9 mars 2024

Les gauchistes toujours dans la lignée des bolcheviks....

L'héritage de la gauche:

Éliminations, assassinats, purges...

Alexandra Kolllontaï : Née dans une famille bourgeoise, elle découvre le mouvement ouvrier russe en 1893, devient marxiste en 1896 puis une bolcheviks en 1915. En 1917 elle vote pour l'insurrection russe. Elle nommée commissaire du peuple à l'Assistance publique (santé) dirigea le mouvement des femmes, et et l’opposition ouvrière qu'elle participera à fonder en 1918. On dirait d'elle qu'elle “ elle était souvent un sujet de contrariété, à la fois personnel et politique, pour les dirigeants du Parti.” A partir de 1923-24, elle occupe divers postes dans la diplomatie de l’URSS et sera l'une des rares bolcheviques à ne pas avoir été liquide par Staline. Elle passera toute sa vie à se battre pour la libération des femmes.

"Une nation ne peut être révolutionnaire qu’à condition que sa nature la prédestine mystérieusement aux bouleversements pour lesquels les temps sont mûrs. Le fait qu’il sache accomplir ce que le moment exige lui confère une grandeur historique."

Ernst Niekisch, Écrits Nationaux-Bolcheviks (1929)

Karl Marx nous rappelle dans Le Capital que les opprimés sont autorisés, une fois tous les cinq ans, à choisir quels représentants parmi la caste des oppresseurs professionnels va les représenter et les opprimer.

Pour Freud, l'illusion politique et l'illusion religieuse sont de même nature:

«C'est le lien socialiste qui remplace actuellement le lien religieux.»

(Psychologie des foules et analyse du moi, 1921)

«Exactement comme la religion, le Bolchevisme doit dédommager ses croyants des souffrances et des privations de la vie actuelle par la promesse d'un au-delà meilleur, où il n'y aura plus de besoin insatisfait.»

(Nouvelles conférences sur la psychanalyse, 1933)

«Pour maintenir la cohésion de leurs partisans, les Bolcheviks utilisent la haine contre tous ceux de l'extérieur.»

(Pourquoi la guerre?, 1933)

NB : entre 1918 et 1933, Freud fait clairement référence à la Révolution russe. Sa critique englobe, sans distinction, le bolchevisme et le stalinisme.

Il ajoute : «Les œuvres de Marx ont pris la place de la Bible et du Coran comme source de révélation (…) Un examen critique est interdit, des doutes quant à son exactitude sont punis de la même manière que l'Église Catholique punissait jadis l'hérésie.»

(Nouvelles conférences…, 1933)

Si Freud refusa la référence au marxisme en tant que dogme, il n'en poursuivit pas moins un examen critique des idées et se présenta comme un lecteur de Marx attentif à repérer dans la théorie marxienne les points de convergence avec la psychanalyse…

Lacan, quant à lui, en fera un usage très fertile, notamment en tirant son son «plus-de-jouir» du concept marxien de plus-value…

Télécharger Last Train Home gratuitement

Last Train Home est un jeu de stratégie en temps réel (STR) basé sur des événements réels, qui met l'accent sur l'élément de survie. Il a été développé par le studio tchèque Ashborne Games - co-créateur du jeu de tir Comanche (2021) - et publié par THQ Nordic. Télécharger Last Train Home gratuitement.

L'histoire du jeu

Last Train Home nous plonge dans les réalités de la guerre civile russe, un conflit armé qui s'est déroulé entre 1917 et 1922 et au cours duquel les armées des Rouges (communistes ou bolcheviks) et des Blancs (toutes les organisations luttant pour la restauration du tsarisme) se sont affrontées pour prendre le pouvoir dans le pays. Le joueur dirige les actions des soldats de la Légion tchécoslovaque, une formation militaire réelle formée pendant la Première Guerre mondiale à partir de prisonniers et de déserteurs de nationalité tchèque et slovaque ayant appartenu à l'armée austro-hongroise. Cette unité a été piégée du mauvais côté du conflit. Notre tâche consiste à les aider à retourner dans leur pays d'origine à bord du dernier train du titre. Le dépôt blindé sert aux soldats à la fois de moyen de transport à travers le terrain sauvage, morne et hostile de la Sibérie - tout en ne leur offrant qu'une faible protection contre le froid omniprésent - et d'arme pour lutter contre les deux armées qui déchirent le pays.

Mécanismes du jeu

Cependant, l'évacuation de la Russie nécessite de nombreux arrêts : il arrive que vous manquiez de nourriture ou de médicaments, ou que le train tombe en panne et que vous deviez trouver un moyen de le réparer. C'est à ce moment-là que Last Train Home "devient" un STR. Le jeu propose plus d'une douzaine de missions difficiles dans lesquelles, en choisissant nos propres tactiques, nous devons remplir une série d'objectifs prédéterminés. La facilité ou la difficulté à les atteindre dépend de plusieurs facteurs. L'un d'entre eux est le potentiel de combat de nos soldats : si nous les envoyons au combat le ventre vide, il sera plus faible que s'ils partent l'estomac plein. Les tactiques que nous choisissons sont également importantes. Certaines tâches peuvent être effectuées "silencieusement", ce qui réduit la probabilité que des membres de la Légion soient tués au combat. Cependant, tout le monde n'est pas fait pour cela, et vous devez donc faire attention aux prédispositions de vos protégés. La mort de compagnons d'infortune ou d'autres décisions moralement ambiguës que nous prenons se manifestent par différents statuts qui affectent le jeu. Par exemple, nous pouvons décider du sort de plusieurs civils innocents en les emmenant ou non avec nous. Dans le premier cas, nous avons plus de "bouches à nourrir". Dans le second cas, nos protégés auront des remords, ce qui aura un impact négatif sur leur moral.

Le train est le plus important

Le train-titre est une sorte de camp de base. Entre les missions, nous pouvons le réparer et le modifier, en affectant les soldats à des tâches spécifiques - comme les soins aux blessés - dont l'exécution vise à leur assurer les meilleures conditions de vie possibles. C'est également là que nous améliorons notre troupe - les guerriers peuvent être décorés, et en participant à des entraînements, ils acquièrent de nouvelles compétences (comme l'herboristerie ou la chasse) - et que nous la dotons d'un meilleur équipement, acquis au cours des missions. À chaque étape de cette odyssée singulière, nous apprenons les histoires des soldats sous notre commandement. Leurs expériences influencent également le gameplay - par exemple, leur tendance à la dépression ou la façon dont ils évaluent nos décisions. Ashborne Games a toutefois veillé à ce que ces "effets" soient réduits au minimum, afin que les joueurs qui souhaitent jouer à Last Train Home uniquement pour l'histoire ne soient pas découragés par un niveau de difficulté trop élevé.

Trivia

Le jeu étant basé sur des événements réels, les développeurs ont veillé à ce qu'il soit conforme aux faits historiques. Par exemple, il y a des femmes parmi nos soldats, car elles ont réellement pris part aux batailles, même si officiellement la Légion tchécoslovaque ne l'autorisait pas.

Problèmes techniques

Hormis les moments où nous gérons une troupe à bord d'un train, l'action du jeu est représentée en vue isométrique. Last Train Home ne propose qu'une campagne historique, ce qui signifie qu'il s'agit d'un jeu solo, sans mode en ligne. Télécharger Last Train Home gratuit. Read the full article