Tumgik
#besticare
tacitus2313 · 6 months
Text
Tumblr media
Day 27, Beast.
Honestly, i’m arriving to a point where the challenge becomes a bit “boring” (to say the truth). But we’re really close to the end : so, got to hang on!
For “Beast” prompt : a Besticarius from my “Chronicles Inked with Blood”! Besticarii are the mindless henchmen of their sleeping master (Incubo) : they would roam the land of that waking dream in search of any lost humans (or hunting ones). But some of them have a different purpose. Like this one : “the passer on the Rubicon river” (leading to a single Tower which importance is significant to the plot of my webcomic) : he also plays a more important part than it seems at first when he’ll appear in the tales of the Dream Wanderer (in a chapter yet to come)…
He shares a peculiar look (half man, half owl), and is very greedy! He wouldn’t necessarily attack humans tho : he’s kinda too weak for that (not harmless, just less suited for combat than his peers). Instead, he could even lead you gently to the other bank of the Rubicon (if you have anything of value, of course). If not, his distorted scream is loud enough to alert any guard on each banks from miles away!
It’s still possible to swim your way through somewhere else, but you’d have to leave behind any armor (if you don’t want to sink straight to the bottom of the river) : because there’s no other safe pass on foot anywhere near! That’s why Besticarii pay him so well in food to take them safely to one side from another.
But he’s no fool (and you are if you’d think he’s good hearted) : what he’ll make sure to keep for himself is even if he let you cross the river, you’d quickly get in trouble with any guards from the tower (down the same road). So what you’d pay him for safe passage is just bonus!
But the besticarii from that Dungeon are less seen around these parts lately. Some of them would occasionally brag that they’re having special guests “to dinner”…
1 note · View note
tacitus2313 · 7 years
Text
Pavé en vue, le pavé de trop.
C’est une boutade, je m’comprends. Ce soir, je n’ai fait que carrelé les murs. Je viens poser quelques dalles ici, y a pas de raisons. Si vous n’aimez pas la lecture inutile et les déblatérations d’un auteur moisi, passez votre chemin (vous gagnerez du temps et le temps est une denrée précieuse il paraît).
En parlant avec un.e ami.e. J'ai réalisé au combien les messages que j’essaye de distiller via mes différentes bd se sont dissous avec le temps au lieu d’être  précisément distillé à juste dose. Il y a plusieurs raisons à ça. Je n’ai pas terminé mes études en arts (et donc à fortiori aussi en scénario). Ca se voit, JE le vois, de plus en plus au fur et à mesure que le temps passe.
Il y a un tas de choses que j’aurais voulu aborder. J’avais choisis un contexte très précis pour ce qui est d’une préquelle aux deux univers que j’aborde le plus abondamment pour le moment. Avec suffisamment de symboles liés aux contextes qui auraient pu se passer d’explications (à condition d’être biens traités). 
Mis à part blood ink chronicles et bloody bastard, il y avait un prologue que j’ai toujours rêvé de traiter. Mais je dois me documenter encore un max sur un tas de sujets, chose que j’ai énormément de mal à faire. Ceux qui me connaissent le savent peut être mais je ne prends strictement jamais de références ou en tout cas, j’ai jamais recopié bêtement un plan, même pour le modifier. Et c’est complètement con comme approche => Les références sont essentielles pour apprendre. Juste pour apprendre, après tu fais ce que tu veux. Petite digression au passage (je suis plus à ça près), ça, ça me vient de la petite enfance où un jour mon père en me voyant dessiner le contour d’un de mes jouets m’a bêtement dis : “tu triches”. Je m’en suis toujours souvenu, de même que les croquis à la va vite qu’il avait fait de ses collègues un jour. Je ne me souviendrai jamais du jour. Mais j’ai encore l’idée des croquis en tête. C’était ça que je voulais faire. Voilà, ça c’était la minute révélation pour cette passion qu’est le dessin (même si je fais ça à la truelle et je m’en cogne à ce niveau là, j’aime bien quand ça bave moi).
Ca date de là.  Tout date de là. Le reste, c’est une articulation hasardeuse de zest d’anciens savoir souvent mal fact checké et même improvisé pour ce qui est de certaines notions qui pourraient paraître évidentes à d’aucuns ayant fini ses études de dessins.
[...]
Voilà, le texte chiant commence à partir d’ici, comme ça on peut prétendre que ce qu’il y avait avant l’était pas trop. Ca fait quand même  la moitié. C’est beaucoup. Tantpis.
La préquelle disais-je. Dans Les chroniques à l’encre de sang, on peut voir le personnage principal en templier l’espace d’un reflet. J’avais choisis à l’époque l’ordre du temple parmi les trois grands ordres de chevaliers moines (à savoir templiers, teutons et hospitaliers de saints jeans qui techniquement existe toujours) dont les deux autres lui survécurent bien après parce que l’ordre du Temple en lui-même a bêtement fini excommunié. La légende veut que le grand mestre du temple sur le bûcher aie maudit le roi de France responsable de la disgrâce et que l’absence de sa descendance aurait entraîné la guerre de cent ans (voir la série télé des Rois Maudits). templiers condamnés à la va vite sur base de témoignages douteux entre autre pour sorcellerie, sodomie et j’en passe dans le seul but avoué de s’attribuer le trésor du temple que d’aucuns cherchent encore. Considérés souvent comme “une banque” (pour entrer dans l’ordre, il fallait souvent céder tout ses biens à celui-ci) il attira vite la convoitise. L’obole que chaque humain de l’Incubo reçoit en y entrant vient aussi de là (et du mythe grec du passage du styx ou de l’acheron je sais plus avec Charon) mais y aura quelque chose dans le genre de la collecte. Les besticares comme je les appelles ne peuvent simplement pas toucher l’argent. (mythe du loup garou) et un autre truc à ce propos que je ne révélerai pas tout de suite (on va pas tout spoil d’un coup, ce serait dommage).
La préquelle se déroulait aussi durant la quatrième croisade ou plus précisément avant d’embarquer à Venise, avant même que le pape ne désavoue le prime rassemblement, une croisade qui se terminera par le sac de Constantinople (encore sous l’empire romain d’orient) et donc n’ayant rien à voir avec une quelque sainte campagne. Mais l’histoire en elle-même ne devait jmais atteindre constantinople, se passant la plupart du temps le long de l’Adige ou tout près, en Vénétie, avant le rassemblement à Venise puis le supposé embarquement. Dans l’état de Vénétie donc ou ce qui s’en rapprochait à l’époque, Venise, qui récoltera la main mise sur la méditérranée pendant les 500 ans à venir passé le sac de constantinople (seule voie connue vers l’orient) ou alors fallait faire le tour jusqu’à ce que Colomb se plante de continent, qu’Amerigo Vespucci rectifie le tire et que Magellan crève pour trouver le vrai bon moyen de rallier “l’ouest” à “l’est” en ne passant que par l’ouest.
Cette période de l’histoire est relativement obscure aussi en terme de langage et me laissait une marge de manoeuvre en terme de manipulation et d”extrapolation linguistique disons. On ne sait à peu près ce que le français est depuis les auteurs de la pléiade (XVI ème siècle). Avant ça, tout ressemblait à un patois issu du latin, point que ce soit du côté langue d’oil ou du côté langue d’oc (deux façon de dire bêtement oui en France à l’époque toutes deux issues du latin hoc). Je voulais aussi montré une histoire de France morcelée entre les Plantagenêts (Richard coeur de lion mort à Chalus en 1199) par opposition aux capetiens qui préfigure déjà de ce que sera la guerre de cent ans. C’était une période à la fois riche et relativement obscure qui préfigure la fin des croisades (ou en tout cas la fin de l’illusion de leur utilité), le début de la guerre de cent ans et de la renaissance pas très loin derrière qui est marquée par l’arrivée de Colomb aux Amérique, la même raison pour laquelle le sac de constantinople a profité aux vénitien et égémonie à laquelle Colomb contribue à mettre un terme simplement  en explorant d’autres voies juste en mettant de côté l’obscurantisme régnant en Europe. 
Bref, y a de quoi faire en théorie. Le seul hic, c’est de savoir par où commencer. Je me suis précipité trop tôt dans l’édition en aveugle. Bloody Bastard était sensé être un passe-temps. Un truc pas prise de tête avant d’aborder le corps du sujet, libre de toute contrainte (un futur post apo, ça laisse de la marge en théorie) mais rattaché malgré tout aux deux univers de bases qui étaient cette préquelle et les chroniques à l’encre de sang que j’effleure à peine pour le moment et que je sens voir foiré pour les mêmes raisons.
Voilà. Si je couche ici, ce texte, c’est en partie pour me rappeler où je dois aller, les lignes directrices : je le mets surtout pour moi-même donc comme mémo. Mais aussi pour voir par la suite, comment, avec qui et quoi je (ou on) pourrait étoffer le brouillon de ceci. Le scénar est plus ou moins clair dans ma tête. C’est le contexte, les costumes, l’architecture, les us, etc. qu’il faudra que je travaille à fond ou alors j’en fais comme pour les chroniques de sang quelque chose d’allégorique mais je veux prendre mon temps précisément pour faire un truc suffisamment documenté. J’ai encore les deux autres univers à pousser avant de toute manière.
Note : Alors l’héraldique récurrente du lion que j’utilise un peu partout dans mes bds, c’est simple, tout ce qui finissait plus ou moins chevalier et qui savait pas trop quoi taper sur son écu au début et à partir du moment où il a fallu s’arranger pour reconnaître chaque combattant sur le terrain, ne serait-ce que pour savoir à qui adresser la rançon en cas de capture : en gros, qui  n’a pas d’arme, porte un lion. C’est presque l’équivalent du pseudonymat du noble adoubé à la va vite dans mon esprit même si c’est pas vraiment ça non plus : plutôt quelque chose de générique et c’est raccord avec les persos liant mes trois univers en gestation.
0 notes