Tumgik
#avoir 20 ans
cosmicreine · 2 years
Text
J'ai vu mon médecin, et elle n'a pas eu de bonne nouvelles. Nous connaissons pas les détails, mais je dois consulter un spécialiste. Je suis plus nerveuse maintenant.
Rien à faire mais attendre une réponse.
0 notes
coolvieilledentelle · 7 months
Text
Tumblr media
Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance --*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans,  On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne  nous  quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi 
88 notes · View notes
sabinerondissime · 3 months
Text
Tumblr media
Fière de voir mon pays inscrire le droit à l'avortement dans sa constitution. Avorter n'est jamais un plaisir. C'est un choix douloureux qui laisse une trace indélébile dans nos cœurs. Le choix se fait en notre âme et conscience et chaque histoire est différente, chaque raison d'avorter aussi. J'ai eu 4 enfants mais un jour, j'ai décidé d'avorter. J'y pense encore 20 ans après. Mais je suis heureuse d'avoir pu le faire dans de bonnes conditions et de ne pas avoir été vu comme une criminelle à cause de cela.
Alors pour une fois, bravo au parlement pour cette belle entrée dans la constitution française
31 notes · View notes
voluxpa · 1 year
Text
tw; manipulation, mensonges, menaces, harcèlement. (et autres sûrement)
bonjour à tous,
je n’ai jamais fait de post discussion sur mon tumblr, que je réserve uniquement au graphisme mais il me semble que c’est du devoir de tous de prévenir d’un potentiel danger pour protéger la communauté; c’est vraiment une première pour moi, et pour conserver l’anonymat des victimes, leurs prénoms seront remplacés. 
en revanche, je n’ai aucun mal divulguer la véritable identité de cet homme, qui s’appelle benjamin (de pseudo sano/benji quand nous l’avons connu; individu dans la trentaine). il est fort probable qu’il se fasse appeler autrement maintenant, mais il a un mode opératoire repérable puisqu’il reproduit le même schéma. si vous remarquez des similitudes avec une personne de votre entourage, je laisse à votre discernement le soin de l’identifier.
pervers sans aucun doute, cet homme approche des femmes de tout âge, la plus jeune étant âgée de 20 ans. de même, il n’hésite pas à viser des femmes mariées, ou en relation depuis longtemps. mais il semblerait qu’il jette principalement son dévolu sur celles qui traversent des passes difficiles. celles qu’il imagine, à tort ou à raison, « vulnérables » (mais nous le sommes tous après tout, dans une mesure différente j’imagine)
ça commence avec une drague inoffensive, un jeu de séduction léger qui rapidement évolue vers des exigences plus malsaines. l’une de ses victimes, qu’on nommera mélissa, a subit une pression rapidement pour quitter son compagnon et venir emménager avec lui. ne répondant pas positivement à ses avances, il menace dès lors de contacter ses proches pour prétendre qu’elle est en relation avec lui depuis plusieurs mois, qu’elle lui a envoyé des sextos/nudes. à savoir qu’elle n’avait donné aucune information personnelle mais qu’il aura été capable de trouver sur internet son lieu de travail, des informations sur ses proches et son conjoint. de même, les nudes n’étaient pas les siens mais il semblerait que ce malade a compris que ce n'est pas nécessaire d’être dans le vrai pour faire du mal. et avant tout pour effrayer. 
cette mélissa avait un très bon contact avec une joueuse que l’on nommera ici estelle. estelle fût elle aussi une victime de benjamin, qui prétendit à cette dernière que mélissa était très insistante avec lui mais qu’il refusait ses avances. entre temps mélissa a été effrayée par les menaces du joueur et a quitté le forum sans donner d’explications, puisqu’il lui faisait croire qu’elle serait très mal reçue et qu’elle était déjà détestée de ma communauté (faux, évidemment). après avoir gâché cette amitié, il a rapidement profité de l’état dépressif d’estelle qui se confiait sur son mal être. une vulnérabilité qui ressemble à une porte ouverte pour un malade comme lui j’imagine.
lui envoyant cadeaux par la poste et mots d’amours; prétextant qu’il voulait faire sa vie avec elle, qu’il voulait l’épouser. mais refusant toujours d’officialiser leur relation, fermement, au point où il se disputera avec elle quand elle me mettra dans la confidence de leur union. finalement la relation se termine après plusieurs semaines d’un commun accord à cause de la distance.
estelle, très bien entourée irl, finira par apprendre par ses amis qui ont fouillés facebook (que benjamin prétendait ne pas avoir), qu’il était en réalité en couple depuis dix ans avec une femme, et qu’ils avaient même une maison. elle le confronte, il nie, prétend qu’ils sont séparés mais que rien n’a été officialisé auprès de leurs parents respectifs et qu’il n’en parlait pas pour ne pas la faire fuir. si elle ne le croit pas, elle finira cependant par lui envoyer une lettre dans laquelle elle se confie sur ses sentiments et émotions suite à cette altercation.
la conjointe de benjamin tombera sur la lettre avant lui et contactera estelle pour avoir des explications; suite à une conversation téléphonique entre les deux femmes, benjamin se retrouvera célibataire, et évidemment il le prendra mal et réagira avec violence.
en parallèle, cet homme discutait avec une joueuse que l’on appellera julie. cette julie a été elle aussi, hélas, manipulée par ce pervers. qui lui aura prétendu qu’estelle se faisait des films sur eux, qu’elle voulait forcer une relation et que s’il ne lui donnait pas gain de cause, elle menaçait de se suicider. évidemment, pas besoin de préciser que ce mythomane a tout inventé. mais julie un matin me contacte en me disant qu’elle est très inquiète pour estelle parce qu’après cette lettre envoyée à sa compagne, il l’a perdu et qu’en représailles, il souhaite divulguer des photos compromettantes d’estelle sur la toile. 
de là j’ai contacté des proches gendarmes pour savoir quelles mesures pouvaient être prises pour calmer ce grand malade. ils m’ont demandé de pousser estelle à porter plainte parce que je ne pouvais, hélas, à mon échelle, rien faire de plus. elle semblait déterminée à le faire, mais à ce jour je n’ai plus de nouvelles d’elle donc je ne sais pas ce qu’il en est. 
j’apprends aujourd’hui par mélissa, que ce fou furieux prétend à mon sujet (malgré la situation j’ai pas mal gloussé) qu’il aurait refusé d’interpréter mes scénarios parce que je lui faisais des avances. alors que plusieurs pourront l’attester, je lui ai refusé les rôles moi-même. pour diverses raisons dont son instabilité sur le forum, donc vraiment aucun rapport. je précise que je n’ai jamais causé à ce type autrement que pour discuter de liens possibles. pas d’ambiguïté, encore moins de drague.  
il faut savoir aussi, comme je l’ai dit plus tôt, qu’il s’est montré très insistant auprès d’une joueuse qui lui avait fait part de son jeune âge. il faut croire que rien ne l’arrête.
inutile d’ailleurs de préciser que des mesures ont été prises et qu’une sanction immédiate est tombée. bannissement définitif, évidemment. 
je vous demanderai à tous, s’il vous plait, de rester vigilants sur internet. ce n’est pas parce que vous partagez un rp et des échanges discord avec un joueur que vous le connaissez. aussi, divulguez le moins d’informations possibles à votre sujet et surtout, je vous recommande fortement d’éviter d’envoyer des photos exposants votre nudité à de parfaits inconnus via internet. on ne sait jamais sur qui on tombe et ce qu’ils pourraient en faire. (d’une façon générale je ne peux que vous aviser de ne jamais le faire).
j’appelle aussi à votre courage, si vous ressentez une quelconque pression de la part d’un joueur (je parle au masculin mais ça concerne tout le monde hein), si vous trouvez ses requêtes déplacées, si vous trouvez qu’il va trop loin… parlez-en à un administrateur (ou au moins à d’autres joueurs qui pourront eux, remonter l’information). j’ai conscience que parfois c’est difficile, qu’on se dit qu’on sera mal reçus (et on peut l’être, c’est vrai) mais si jamais vous êtes sur un forum et que vous n’avez pas l’impression que vous pourrez être protégé par les fondateurs et modérateurs.. sans vous dire quoi faire, je vous conseille de remettre en question votre présence sur ce rpg. 
je sais qu’en tant qu’admin, et pour l’être d’un très gros forum d’ailleurs depuis un moment, nous n’avons pas à vocation d’être juge ou flic. mais je (à titre personnel, donc, notez bien l’emploi de la première personne du singulier avant de monter sur vos grands chevaux) pars du principe que créer un forum vient avec son lot de responsabilités. je ne cherche pas à ouvrir un débat sur la nature de ces devoirs, j’imagine que chacun gère ça comme il veut. pour certains il s’agira juste de créer un univers et de laisser les joueurs se débrouiller entre eux. je ne dénonce aucun admin. ce n’est pas le but de ce post. et j’ai franchement la flemme d’ouvrir une discussion à ce sujet, vous faites bien comme vous voulez. mais je sais qu’il est important d’être entouré de personnes à qui on peut se confier si une histoire comme celle-ci nous arrive et je vous souhaite sincèrement d’être sur un forum avec une équipe qui saura être à l’écoute mais aussi, qui sera capable d’intervenir. 
malheureusement je vous rappelle aussi qu’à part bannir (ou faire des posts de prévention comme celui-ci) l’individu nous ne pouvons pas faire grand chose de plus. dans des cas comme celui-ci, sachez, qu’il est fortement recommandé d’aller voir les autorités compétentes pour en discuter. pour connaître très bien le milieu de la gendarmerie notamment, je vous assure qu’à moins de tomber sur un abruti fini (et dans ce cas allez juste dans un autre poste) il vous aidera à gérer ce cas. si vous ne trouvez pas le courage en vous de le faire, ou que vous avez tendance à minimiser ce qui vous arrive : parlez-en à votre entourage, et à autant de personnes qu’il le faudra pour qu’elles vous montrent que la situation n’a rien de normal. et qu’elles vous encouragent à faire le nécessaire.
j’ajouterai que si vous avez besoin de me contacter par messagerie privée ou sur discord; je reste à votre disponibilité pour ce cas ou un cas similaire. on fait parti de la même humanité, de la même communauté. et malgré les différences et divergences d’opinions, je serais disponible et ouverte, même si vous ne faites pas partie de mon forum. 
et enfin, je termine pour vous dire que ce post n’a aucun autre but que celui de dénoncer cet individu. j’ai pas la prétention de dire que je sais ce qui est bien/mieux, je suis personne pour vous dire ce qui l’est de ce qui ne l’est pas. j’ai ma morale, vous avez la votre. tout comme vous avez votre histoire et que j’ai la mienne. ici, je vous partage seulement un extrait de mon point de vu personnel (j’ai essayé d’être la plus neutre possible tho).
bonne journée à tous, et restez vigilants.
204 notes · View notes
perduedansmatete · 5 months
Note
Vas y j'ai pitié j'te raconte un peu ma vie. Mon lycée c'était un château. J'veux dire, littéralement. Y avait une grille immense à l'entrée, un château entouré de douves et nous on allait en cours dans des bâtiments qui, en soi, étaient construits sur ce qui devaient être les jardins du truc. Dans le château y'avait toute la partie administrative du lycée + quelques logements de fonction dont celui du proviseur du lycée. On passait sous le château pour passer de l'autre côté par une espèce de grande arche, et pour passer les douves on passait sur un pont qu'on appelait le "pont-bite" parce qu'il avait littéralement une forme de teub c'était hilarant. Le dernier jour de ma terminale, un gars s'est jeté dans les douves parce que c'était le dernier jour et que fallait marquer le coup (visiblement). Je crois qu'il a eu des plaques rouges quelques temps après ça, je sais plus. Y'avait des animaux aussi : des ragondins dans les douves, des renards parfois, un âne à un moment mais surtout des oies qui venaient nous bouffer le cul quand on s'approchait trop. Tous les ans les pions et quelques profs organisaient une fête de la musique c'était trop bien, j'ai participé à l'une d'elle à la batterie dans un groupe de covers rock aussi éphémère qu'éclaté. Y'avait un prof d'histoire il était trop bizarre. Entre nous on le surnommait "sans les mains" parce qu'un jour il est allé pisser aux pissotieres des élèves dans la cour et des élèves l'ont vu pisser les mains derrière la tête en mode détente en remuant le bassin wtf. J'ai eu un prof de physique, je crois qu'il était autiste. Meilleur prof ever. Il était A CHEVAL avec le calme et l'autorité, a commencé l'année en mode militaire en excluant élève sur élève. À la fin il faisait un basket avec nous dans la cours, incroyable. J'y ai rencontré mon ex et mon meilleur pote dans ce lycée. J'y ai aussi rencontré un gars avec qui je suis resté collé une année entière en mode amitié fusionnelle. On avait les mêmes délires, le même humour, je croyais avoir trouvé mon alter ego. Il est parti en S et moi en L et il m'a... Ignoré. On s'est perdus de vue. Encore aujourd'hui j'me dis que c'était un gros connard parce qu'on aurait pu vivre tellement de trucs ensemble. J'ai redoublé ma seconde, à ma demande. C'est une année que j'ai passé à esquiver les cours pour boire des bières sur le parvis du lycée avec mon meilleur pote. Avec mes facilités je devais avoir un genre de 11 ou 12 de moyenne générale donc on m'a dit ok passe en 1ere ça va, et j'ai dit non je veux redoubler sinon je vais rien piger l'an prochain j'ai trop rien foutu je suis juste une arnaque. J'ai aussi eu 0 à l'écrit à mon TPE pour le bac. En fait j'étais en binôme avec un gars qui glandait rien, et nos forces maléfiques se sont unifiées pour faire émerger une idée diabolique : l'épreuve est facultative, si on a 0, on perdra pas de point et on n'aura pas à faire ce truc de merde. Le 0 était pas encore éliminatoire à cette époque pour cette epreuve. J'ai eu mon bac avec mention assez bien en ayant fait ça et sans bosser spécialement pour avoir mon bac alors que mon ex et d'autres potes avaient bossé comme des taré.e.s pour décrocher une mention et l'ont pas eue (je suis une arnaque j'ai dit). Ha oui et je me suis aussi inscrit à l'option musique en facultatif parce qu'une pote suivait le cours. J'y suis jamais allé en me disant "je lirai ses cours et ça ira". Elle m'a filé ses cours, j'ai rien pigé, je suis allé à l'épreuve au culot j'ai eu 9/20 sans jamais rien apprendre. J'pense si je creuse j'ai encore d'autres choses mais j'ai plus le temps mdr, j'espère que ça t'aura divertie un peu (si t'arrives à tout lire). Bon courage pour tes douleurs quand même.
j'ai tout lu comme une nouvelle et j'ai adoré ça avait l'air très cool ces années lycée et tu étais trop fort surtout, merci merci!!! (et merci pour les douleurs mdr <3)
j'aimerais juste savoir quel était le sujet de votre fameux tpe à 0 ça m'intrigue...
24 notes · View notes
Text
Vous allez automatiquement vivre l'une où l'autre situation suivante pour 2025 qui est enfin arrivé !
1. Être au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
2. Meta : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
3. GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
4. Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
5. Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
6. Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.
7. Sudoku : Qui a le nord en face.
8. Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.
9. État : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
10. Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.
11. Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
12. Orteil : Appendice servant à détecter les coins de portes.
13. Égalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.
14. Monter un meuble Ikea : Expression moderne signifiant “passer un week-end de merde”.
15. Suppositoire : Invention qui restera dans les annales.
16. Les ex : C'est comme la prison, si tu y retournes c'est que tu n'as pas compris la leçon.
17. La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
18. Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier.
19. Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
20. Pharmacie : Confiserie pour vieux.
21. Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.
22. Un meurtre de sang froid : Un ice crime
23. Archipel : Outil pour creuser des archi trous.
24. Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes.
25. Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.
26. Femme : C'est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve.
27. Carte de crédit : Viagra féminin.
28. Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer.
29. L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main.
30. Femme facile : Femme ayant les mêmes besoins sexuels qu'un homme.
31. Homme riche : Celui qui gagne plus d'argent que ce que sa femme n'en dépense.
32. Grand amour : Expression datant du 15ème siècle, lorsque l'espérance de vie était de 35 ans.
Tumblr media
De tout coeur avec toi
25 notes · View notes
lesillusionsterrestres · 10 months
Text
Le vendeur de roses
Tumblr media
© Photographie de Steve McCurry
Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.
Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour – fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.
Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.
Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.
La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.
*
Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.
Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.
C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».
Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.
Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.
Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.
Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.
« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »
Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »
Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.
Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.
Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.
Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.
Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.
*
Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.
Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.
// Dédé ANYOH //
41 notes · View notes
icariebzh · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media
 « Deir al-Balah, Gaza, 11 mars 2024, Chère Michelle, Ton nom est la seule chose que je connais de toi pour l’instant. Moi, je m’appelle Tala. Jamais je n’ai imaginé parler un jour à une Israélienne. Encore moins faire ta connaissance alors qu’une guerre est en cours contre mon peuple. Lorsqu’on m’a proposé de t’écrire une lettre, je me suis sentie mal sur le moment, effrayée par l’idée de coopérer inconsciemment avec l’ennemi et de trahir les miens. J’ai peur que cette conversation me mette en danger ainsi que ma famille.  Mais j’ai quand même décidé de t’écrire. D’abord, pour te raconter ce que je vis depuis six mois maintenant. Et surtout pour honorer mon ami Yousif Dawas, tué le 14 octobre par une bombe israélienne. Il n’avait que 20 ans et rêvait de devenir thérapeute. C’était mon camarade d’université. Nous nous retrouvions régulièrement devant l’hôpital Al-Shifa pour aller ensemble à l’université.  
Je suis née à Gaza City il y a vingt ans. Je n’ai jamais quitté l’enclave, qui est une vraie prison à ciel ouvert, tu sais. A l’université, j’étudie le droit. Pendant mon temps libre, j’écris. Les gens disent de moi que je suis un vrai rat de bibliothèque. Avant la guerre, je travaillais du matin jusqu’au soir. Puis, une fois rentréechez moi, j’adorais dévorer un énième livre de ma bibliothèque tout en buvant du thé vert, ma boisson préférée. Je pourrais te parler des heures de mon université. Elle est si belle : on y entend le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, on y respire l’air frais et on y trouve des espaces agréables où se reposer. Maintenant, il faudrait que j’écrive ces mots au passé. Car il n’en reste qu’un tas de ruines. Quant à mon diplôme, que j’étais censée obtenir l’an prochain, je ne sais pas quand je pourrai le décrocher.
Désormais, je suis réfugiée à Deir al-Balah, après avoir fui le nord de Gaza, en passant par Khan Younès, où je suis restée quarante jours sans mes parents et mes petites sœurs, qui étaient restés dans le Nord pour garder notre maison. Ils ont fini par partir eux aussi, et on s’est retrouvés en décembre. Nous avons la chance d’avoir trouvé un abri, un toit, des murs. Même s’il me paraît toujours étrange d’appeler ça un abri, étant donné que nous ne sommes protégés ni des bombes ni d’une famine ou d’une épidémie. 
Ce n’est pas courant de parler avec une Israélienne comme toi, Michelle. Personne n’est ami avec des Israéliens ici. D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose de votre culture, de vos traditions. A Gaza, on est élevés pour vous haïr. Vous n’êtes rien d’autre que des voleurs de maisons, des auteurs de massacres innombrables qui visent à nous expulser de force ou nous exterminer.
Mais, dans ma famille, on pense qu’il est impossible de tout résoudre par la force. Je partage ce point de vue. Je crois qu’apprendre à connaître les personnes qui revendiquent leur droit à cette terre peut servir notre cause. Et toi, qu’en penses-tu ? Pourquoi as-tu accepté d’entamer cette conversation avec moi ?
Malgré notre adversité, je reste ouverte d’esprit et curieuse d’écouter et de comprendre ton opinion. Peut-être que nous ne pensons pas si différemment finalement, et que nous avons même des choses en commun. Où habites-tu ? Etudies-tu ? Connais-tu des Palestiniens ? 
Ecrire cette lettre me demande un effort colossal. Ces derniers jours, j’ai été incapable de m’exprimer correctement. J’aimerais partager ce que je vis. Ça pourrait me soulager, me faire sortir un peu du chagrin. Je n’ai plus de projet, plus de vie depuis le 7 octobre. Je commence même à me désintéresser de mes activités favorites comme la broderie palestinienne. Mes amis sont morts ou ont fui. Tous sont partis sans dire au revoir. Beaucoup de Palestiniens meurent de malnutrition, des femmes, des nourrissons. Imagines-tu que des enfants font la queue pour remplir une gamelle de soupe ? Nous avons du mal à trouver des légumes, tout est cher ou inexistant. Je déteste voir les rues inondées d’ordures et d’eau sale, les écoles et universités bombardées ou fermées. Je suis fatiguée de sentir la fumée de notre four en argile qui s’incruste dans tous nos vêtements. Et de devoir me déplacer en âne ou en charrette. La ville où j’ai grandi a été ravagée. Mes souvenirs ont disparu. Ma bibliothèque aussi. J’ai vu une photo de ma rue à Gaza City, elle est méconnaissable. C’est devenue une ville fantôme. Michelle, que fais-tu pendant que mon peuple meurt sous les bombes ? Est-ce que ça te fait de la peine ?
Notre situation est indescriptible. Nous avons perdu toute forme de vie sensée. Nous installons des tentes sur les ruines de maisons détruites. Très peu de centres de santé peuvent aider les femmes enceintes. Le taux de fausses couches a augmenté, tout comme les accouchements précoces en raison des bombardements violents. Je hais de voir comment la vie est en train de quitter nos corps. Soutiens-tu cette agression ? Pourquoi rien ne marche dès qu’il s’agit du sort de la Palestine ? Quelle offense avons-nous commise, nous Gazaouis, pour vivre de telles horreurs ? 
Michelle, je me demande si tu as déjà questionné la légitimité de ton Etat, ses lois ou ses actions. Personne ne se soucie de la discrimination que nous subissons depuis cent ans. Et le monde est aveugle face à l’apartheid que nous vivons. Comment l’Etat d’Israël peut-il se qualifier d’Etat démocratique ? Crois-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
Je suis sûre que tu es, comme tous les êtres humains, dotée de sentiments. Tu ressens l’amour, la haine, la colère, la compassion. S’il te plaît, prends pitié de nous. Dis à ton peuple de cesser de nous priver de notre humanité. Notre destin, c’est nous qui devons le choisir.
Respectueusement, Tala » 
Tumblr media
 « Zoran, centre d’Israël, 25 mars 2024, Chère Tala, Je te remercie pour ta lettre. Bien que je n’habite qu’à quelques kilomètres de Gaza, je n’ai jamais parlé à quelqu’un de là-bas. Premièrement, je souhaiterais te dire que je suis désolée de ce que tu vis et t’exprimer mes plus sincères condoléances pour la perte de ton ami Yousif Dawas. Que sa mémoire soit honorée.
 Permets-moi tout d’abord de me présenter. J’ai 24 ans et, comme toi, je suis étudiante en droit. Je m’intéresse au droit pénal et au droit international. J’aime également faire du bénévolat. Avant la guerre, j’aidais les habitants de ma ville qui avaient besoin d’une assistance pour trouver un logement ou obtenir une aide financière de la part de l’Etat. Désormais, ma ville, Sdérot, comme toute la région limitrophe de Gaza, s’est vidée de ses habitants. 
 J’ai quitté ma maison depuis l’attaque du 7 octobre. Depuis, je suis hébergée par la famille de mon petit ami à Zoran, dans le centre d’Israël. C’est plus calme ici, contrairement à ce qui se passe dans le nord ou le sud du pays. Ma maison me manque beaucoup. Je crains que les missiles lancés quotidiennement de Gaza sur le sud d’Israël détruisent tout ce que j’ai. Mon université est fermée, mais nous pouvons suivre nos cours à distance, en visio. 
Je suis née et j’ai grandi à Jérusalem. J’étais scolarisée à l’école “Hand in Hand” [“main dans la main”], où la moitié des élèves sont des Israéliens juifs et l’autre moitié des Palestiniens citoyens d’Israël ou résidents de Jérusalem-Est. Oui, je connais donc des Palestiniens. J’ai fréquenté cet établissement jusqu’à la fin des études secondaires. C’est le seul lycée mixte en Israël où enfants juifs et palestiniens étudient ensemble.
Mon éducation était donc très différente des autres enfants de Jérusalem. Je parlais quotidiennement à des Palestiniens, des Arabes. Les mêmes que la société nous apprend à haïr. Je me souviens que des enfants de mon quartier ne voulaient pas me fréquenter, m’affirmaient que j’étais devenue amie avec des Arabes qui, une fois adultes, viendraient me tuer. Lorsque j’avais 14 ans, des suprémacistes israéliens ont même mis le feu à mon école. Ces années ont fait évoluer ma vision de la société israélienne.
Le 7 octobre au matin, j’ai appris que des terroristes palestiniens s’étaient infiltrés en Israël. Avec mon petit ami, nous nous sommes précipités dans notre abri antimissiles. Nous y sommes restés enfermés pendant près de deux jours, sans électricité ni réseau téléphonique. Nous entendions des coups de feu et des roquettes à l’extérieur, sans pouvoir ni voir ni comprendre ce qui se passait. Le père et la sœur de mon petit ami sont finalement venus nous chercher et nous ont mis en sécurité, dans le centre d’Israël. Quand je suis sortie de chez moi, j’ai vu des corps sur le sol. J’étais horrifiée. As-tu entendu parler de ce qui s’est passé en Israël ce jour-là ? Qu’as-tu ressenti ? 
Des Israéliens ont terriblement souffert ce jour-là. Nous n’en sommes toujours pas remis. Des familles ont été brutalement tuées, kidnappées. Et il y a encore des otages israéliens à Gaza dont on ne connaît pas l’état. Je connais personnellement l’un d’entre eux et je prie tous les jours pour qu’il revienne sain et sauf [130 personnes – dont 34 seraient mortes – sont encore détenues à Gaza, selon les autorités israéliennes]. Dans mon quartier, les premières victimes des massacres du 7 octobre sont un groupe de personnes âgées d’une maison de retraite. Près de chez moi [au kibboutz Be’eri], Vivian Silver, qui était pourtant une militante pacifiste de longue date, a été tuée. Peux-tu me dire ce que les habitants de Gaza pensent de ces victimes innocentes, prises dans une guerre qu’elles n’ont jamais voulue ? Je ne comprends pas que des personnes utilisent les actions et les décisions du gouvernement israélien pour justifier la violence à l’égard des civils. Ce mode d’action ne peut être une réponse à l’occupation. Si je comprends la nécessité de la résistance palestinienne, j’estime qu’elle ne doit pas viser des innocents.
Il est aussi vrai que de nombreuses personnes en Israël sont, depuis le 7 octobre, incapables de voir au-delà de leur propre douleur et de comprendre ce qui se passe à Gaza. Il leur est difficile d’éprouver de la compassion pour les habitants de Gaza, surtout après avoir vu des vidéos dans lesquelles des Palestiniens célébraient l’attaque du 7 octobre. 
Moi, je ne crois pas que nous soyons ennemis. Je m’opposerai toujours à la violence et à la cruauté, quels qu’en soient les auteurs. Les innombrables atrocités commises par Israël contre les Palestiniens au fil des années, de même que la violence subie par les Israéliens, sont également condamnables. La violence ne fait qu’engendrer plus de violence. La guerre menée actuellement par l’armée israélienne nous le prouve. Serais-tu d’accord pour dire qu’il existe de meilleurs moyens pour obtenir justice ? Y a-t-il encore des personnes à Gaza qui croient en une solution pacifique ?
Tala, tu m’as demandé si j’avais déjà remis en question la légitimité de mon pays. Tu sais, mon peuple, le peuple juif, a une longue histoire de persécution à travers le monde. Que ce soit les ancêtres de mon petit ami en Pologne ou les parents de ma mère au Maroc, ils ont été persécutés parce qu’ils étaient juifs. Cette histoire ne justifie en rien les souffrances des Palestiniens ou la Nakba [“catastrophe” en arabe, désignant l’exode en 1948, à la création de l’Etat d’Israël, de 700 000 Palestiniens, contraints de fuir des massacres ou expulsés par les nouvelles autorités]. Mais il est important pour moi de te rappeler le désir profond et l’urgence qu’il y a eu pour nous, Juifs, d’obtenir un Etat en Terre sainte. 
Toutefois, il m’est arrivé de remettre en question la politique et les lois de mon pays. Quand j’avais 14 ans, j’ai rencontré un groupe d’hommes druzes qui refusaient de servir dans les forces de défense israéliennes, alors qu’ils ont l’obligation de le faire. Ces druzes se sentaient Palestiniens et avaient le sentiment qu’Israël tentait de les assimiler pour les affaiblir et les séparer des autres Arabes israéliens. Ça m’a fait réfléchir. Personnellement, j’ai eu la chance d’être exemptée de service militaire pour raison médicale, mais mon petit ami, qui a refusé de servir, a passé six mois dans une prison militaire israélienne.
Nous sommes une minorité en Israël à questionner la guerre actuelle. Les gens ont peur de s’exprimer. Beaucoup ont été arrêtés pour avoir manifesté ces derniers mois. Parfois, j’ai l’impression que la meilleure chose à faire serait de partir, d’aller quelque part où des horreurs ne sont pas commises en mon nom. Mais partir, ce serait égoïste. Je ne peux pas abandonner mon peuple qui souffre. Je m’inquiète de ce qu’Israël deviendra si toutes les personnes qui se battent pour la paix partent. Parfois, j’ai l’impression que nous sommes si peu nombreux que personne ne remarquerait notre absence.
Et puis, j’aime cette terre. Ma famille a vécu en Palestine parmi des musulmans et d’autres juifs pendant de nombreuses générations avant la création de l’Etat d’Israël. J’espère que nous pourrons un jour être tous égaux et libres. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à étudier le droit international : ne plus être impuissante face à l’injustice. 
Tu m’as dit que tu lisais beaucoup, j’aime aussi lire. J’aime la littérature russe classique, comme Dostoïevski ou Tolstoï. Mon livre préféré est “Anna Karénine”. Quel genre de livres aimes-tu ? Je suis curieuse de savoir ce qui t’a poussée à étudier le droit.
J’aimerais aussi en savoir plus sur l’histoire de ta famille. Comment était ta vie avant la guerre ? Où vivait ta famille avant 1948 ?
Je suis heureuse de pouvoir t’écrire. J’imagine à quel point cela doit être difficile pour toi. Je me réjouis d’avoir de tes nouvelles et te souhaite un bon ramadan.
Sincèrement, Michelle »
Lettres et Photos- source: Le Nouvel Obs
youtube
11 notes · View notes
aisakalegacy · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (12/20)
Pour que vous compreniez ce qu’il s’est passé, il faut que je vous parle d'abord un peu de la politique actuelle du gouvernement canadien. En décembre dernier ont eu lieu les premières élections fédérales où les femmes ont eu le droit de vote. L’enjeu majeur de ces élections était la question de la conscription obligatoire, très populaire chez les Anglophones, très attaquée par les Francophones. Je n’ai pas voté lors de ces élections, mais peut-être que j'aurais dû. Le candidat unioniste qui a été élu à la mi-décembre, Sir Robert Borden, est un partisan de la conscription. Au cours du mois de janvier, la Loi sur le Service militaire a été mise en application : tous les hommes de vingt à quarante-cinq ans peuvent donc être conscrits de force dans l’armée.
[Transcription] Napoléon Bernard : Mais où est-il, enfin ? Nous avons presque une heure de retard ! Je vais finir par annuler la cérémonie. Jules Le Bris : Vu ce qu’elle m’a coûté, essaye donc, Bernard ! Peter Simmon : Je réponds de mon neveu, et quand il arrivera, il aura intérêt d’avoir une bonne excuse. Il humilie la famille Simmon ! Louise Le Bris : Je suis certaine qu’il va arriver, Révérend. Louise Le Bris : Il a dû avoir un retardement... Ou peut-être qu’il s’est blessé sur la route… Napoléon Bernard : Quelle route ? Il habite sur la jetée en bas de la colline, c’est à moins d’un kilomètre d’ici ! Louise Le Bris : Dans tous les cas, il doit avoir une bonne raison. Lucrèce Le Bris : Faut-il que j’aille le chercher ? Françoise Simmon : Inutile, ma fille est déjà partie. Elle sera de retour bientôt avec une explication. En attendant, il est inutile de nous exciter.
8 notes · View notes
shakeskp · 12 hours
Text
Des nouvelles de l'écriture
J'allais dire que j'avais retrouvé un rythme d'écriture raisonnable (pour moi, càd entre 15 000 et 20 000 mots par mois), mais je suis quand même à plus de 37 000 mots, la magie continue 🌟🌟
De fait, cette année, comme l'année dernière, je m'étais inscrite à @gywo, Get Your Words Out, le défi où on se donne un objectif d'écriture sur un an. Comme l'année dernière, je visais 150 000 mots... que j'ai officiellement dépassé le 31 mai, tout est possible, il faut croire en soi, tout ça... Du coup, prochain objectif, atteindre 250 000 mots ! 💪
Ce mois-ci, j'ai fini la première partie des Voies, et bien attaqué la deuxième. J'ai fait quelques petites pauses aussi travaillant sur De l'espoir. Et fin mai-début juin étant toujours une période un peu difficile pour le moral pour moi, j'ai commencé un autre one-shot obikin court (moins de 10 000 mots !!! je l'ai quasi fini !!!) et bête pour me faire rire toute seule :D
Si vous êtes encore là, un petit bout de Les Voies convergentes, la deuxième partie des Voies, la scène se passe deux ans et demi après la première partie :
Trois mois s'étaient écoulés depuis leur dernier séjour au temple et l'appartement d'Obi-Wan sentait un peu le renfermé malgré le recycleur d'air. Il posa la boîte sur la table de la petite cuisine avec soin, puis alla ouvrir la fenêtre qui donnait sur le jardin de la Clarté d'Esprit. Il avait eu de la chance que cet appartement-là soit disponible, les places étaient chères quand il s'agissait de vraies fenêtres.
Ceci fait, il alla tout de suite voir si le chardon à duvet de Qui-Gon était toujours intact. La plante était sensible à la Force, comme toutes celles que son maître avait ramenées. Il avait eu la théorie que, une fois suffisamment imbibés de Force, ces végétaux, ou tout autre élément naturel tels que la pierre qu'il avait offerte à Obi-Wan quand il venait d'être padawan, finiraient lentement par prendre conscience. Obi-Wan avait été sceptique. Néanmoins, lorsqu'il avait été temps de vider l'appartement de son maître, il avait gardé celle-ci, la plus ancienne. Pour continuer l'expérience, s'était-il dit, sachant pertinemment que c'était une excuse.
Il avait très bien visualisé l'expression de tendre reproche de Qui-Gon à ce geste ; il avait rétorqué mentalement qu'il gérait très bien son deuil, merci bien. Et si son maître craignait qu'une plante lui crée un nouveau problème d'attachement sous prétexte qu'elle lui avait appartenu, et ceci après lui avoir confié l'humanoïde qu'il avait choisi ? Ce n'était pas Obi-Wan qui avait un problème.
Et s'il s'était contenté du chardon, ça aurait évité d'autres problèmes encore à tout le monde.
5 notes · View notes
swedesinstockholm · 3 months
Text
20 février
en revenant du dentiste je suis passée au workshop d'afterwork du casino, j'étais en retard et je me suis trompée d'endroit et je suis arrivée toute échevelée. y avait deux médiatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gâché avec mon autosabotage j'aurai peut être fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme à l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux médiatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthé moog, il parlait anglais et d'après ce que j'ai entendu il était étudiant. il est parti avant la fin parce qu'il était invité à une fête qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'était une blague ou pas. la médiatrice non plus elle savait pas. il leur a demandé ce qu'elles faisaient après le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton très lassé de la vie. la brune devait déménager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimé leur demander ce qu'elles faisaient à côté de leur job de médiatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y étaient arrivées et pas moi, mais j'ai pas levé la tête de mon moog. de son moog. c'était le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musées mais on était pas rentrées parce que c'était trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a racheté le moog à un ami à moitié prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthé moi aussi. j'aurais bien aimé lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacités sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais même pas à parler clairement, sans bafouiller. c'était plus simple de rester plongée dans mes expérimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'être une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligée de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coûte 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas réussi à contrôler mes pulsions morbides, elles m'ont échappé et elles se sont déversées sur l'autoroute de la frontière belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand même et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas à lui expliquer que si c'était compliqué, que ça faisait partie du problème, que j'arrivais pas à faire ces choses-là parce que quelque chose cloche très profondément dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose à l'intérieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'être complètement à l'ouest chez le dentiste en plus. j'étais pas à l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrétaire avait pitié de moi. sinon j'ai bien aimé sentir les doigts du dentiste me tenir la mâchoire, quand la machine dans ma bouche commençait à devenir trop désagréable je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'à trois heures du matin puis toute la matinée pour le finir. l'écriture était pas terrible terrible et j'y ai trouvé plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrêter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mère et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte à son travail elle prend des initiatives et elle décide de quitter sa coloc avec sa grand-mère et elle arrive enfin à jouer la scène de théâtre qu'elle arrivait pas à jouer parce que la prof lui disait qu'elle était pas assez sensuelle. elle s'est inscrite à des cours de théâtre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais à la fin c'est le sexe qui lui a donné un corps.
tout d'un coup j'ai été prise d'un énorme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmé que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser à une interview de vincent dedienne où il disait que son premier spectacle était pas terrible parce qu'à l'époque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble être un passage obligé pour monter sur scène. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considérer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothérapie. et avant de pouvoir faire une psychothérapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas près d'arriver.
dans le livre sa vulve se met à chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence à être une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser à pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a écrit dans le cadre de son master de création littéraire à paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencé drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours où elle travaillait pas à l'université, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapé et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidéos d'actrices interviewées dans des talk shows et même des séries, ce que je m'interdis pendant la journée, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'écriture.
7 notes · View notes
aljeitfael · 1 year
Text
✨Tarot de Gwendalavir✨
Je suis pas morte, les gens! 🥳
Depuis longtemps je suis fascinée par le Tarot, et depuis encore plus longtemps je suis passionnée par La Quête d'Ewilan. Donc logiquement, il fallait bien que ces deux intérêts se rencontrent. Après une première tentative de liste de cartes, et deux ans à ne plus penser à ce projet, je viens de m'y remettre!
Attention, je ne garantie absolument pas que ce projet aboutira... mais j'espère vraiment vraiment que je le mènerais à bien ^^
Voici la liste des cartes prévues:
0- Le Fou: le premier Grand Pas d'Ewilan
1- Le Magicien: Ewilan et le cercle noir
2- La Grande Prêtresse: Ellana
3- L'impératrice: Elicia
4- L'Empereur: Bjorn
5- Le Hiérophante: Duom
6- Les Amoureux: Ewilan et Salim
7- Le Chariot: Edwin
8- La Force: Salim et le loup
9- L'Ermite: Merwyn
10- La Roue de Fortune: les trois piliers de l'Imagination
11- La Justice: Eejil
12- Le Pendu: la chute de Salim dans les Dentelles Vives (choix de la Voie du Marchombre)
13- La Mort: Ewilan à l'Oeil d'Otolep
14- La Tempérance: la Dame et le Dragon
15- Le Diable: Nillem
16- La Tour: Al-Poll
17- L'Etoile: le premier dessin d'Ewilan à Ombre Blanche
18- La Lune: Ellana chevauchant la brume
19- Le Soleil: Salim et sa greffe
20- Le Jugement: le Rentaï
21- Le Monde: Avalon
Cette liste est ouverte aux suggestions si vous en avez!
Explication de mes choix sous le cut~
0- Le Fou/Grand Pas: début du voyage, découverte de nouveaux horizons, changement, opportunité à saisir
1- Le Magicien/Ewilan-cercle noir: apprentissage, grand potentiel, exploiter son potentiel, maitrise des quatre éléments
2- La Grande Prêtresse/Ellana: connaissances arcanes et mystiques, clairvoyance, intuition, compréhension des lois intimes de l'univers
3- L'Impératrice/Elicia: figure maternelle, création, nature - c'est surtout parce que aucun autre personnage ne correspond
4- L'Empereur/Bjorn: figure paternelle, confiance en soi, autorité - Edwin marcherait mieux mais je voulais avoir Bjorn quelque part et c'est là qu'il allait le moins mal
5- Le Hiérophante/Duom: expérience, sagesse, mentor de la communauté, conseils éclairés et soutien par la sagesse
6- Les Amoureux/Ewilan&Salim: union, soutien mutuel, aller de l'avant ensemble, relation fusionnelle, un choix
7- Le Chariot/Edwin: volonté, courage, détermination, victoire, guider les autres
8- La Force/Salim&le Loup: force intérieur, endurance, domination des instincts, souvent représenté par une personne domptant une bête sauvage
9- L'Ermite/Merwyn: retrait du monde, repli sur soi-même, reflexion, prise de conscience, sagesse, entreprise à long terme
10- La Roue de Fortune/3 Piliers: je savais pas quoi mettre d'autre et ça collait à peu près
11- La Justice/Eejil: équilibre, impartialité, instinct, vérité, présente les faits sans biais
12- Le Pendu/Salim&les Dentelles Vives: abandon/lâché prise, pause, temps suspendu, période de transition, confiance
13- La Mort/Oeil d'Otolep: mort et renaissance, grand bouleversement, changement inévitable
14- La Tempérance/Dame&Dragon: équilibre, harmonie, révélation, échange équitable, inspiration créatrice, une nouvelle
15- Le Diable/Nillem: désir, tentation, soif de pouvoir; représente souvent la part d'ombre ou le reflet négatif de la personne qui lit
16- La Tour/Al-Poll: grande catastrophe, vanité, échec; fait référence à la Tour de Babel (vanité des hommes qui ont voulu aller trop haut)
17- L'Etoile/Ombre Blanche: retour de l'espoir, régénération, plénitude (j'hésite encore à faire une deuxième version de cette carte avec la greffe de Salim sauvant les marchombres lors de la bataille du Chaos)
18- La Lune/Ellana-chevaucher la brume: intuition, prémonitions, sensibilité, secrets, choses cachées
19- Le Soleil/Salim: joie, bonheur, enthousiasme, générosité
20- Le Jugement/Rentaï: jugement divin, révélation, renouveau, consécration, récompense obtenue pour ses mérites, reconnaissance finale
21- Le Monde/Avalon: accomplissement, triomphe, très grand bonheur, idéalisme; aussi Avalon est littéralement un monde et j'ai pas cherché plus loin
35 notes · View notes
phinae-simblr · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Après les apprentissages bambins (marcher, parler...) vient le temps des jeux, des partages avec fratrie/parents et rencontres avec les grands-parents, si intéressants à observer, parce que moi, dans ce jeu, c'est la vie de famille qui me plaît.
Et je me dis que ça fait bientôt 20 ans que je fais ça et que je ne suis toujours pas lassée.
Je dois avoir un truc qui cloche, moi...
7 notes · View notes
homomenhommes · 6 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 39
Le dimanche matin, réveil aux aurores, une douche et juste vêtus de notre équipement de sport nous sommes partis courir. Circuit variante " ruine " comme il le fait maintenant systématiquement. Marc aime se faire pomper en pleine nature ! Un petit échauffement et nous commençons notre parcours. Alors que nous approchons de la ruine, nous entendons distinctement une voix de mec tenir des propos suggestifs ! " vas y plus fort ", " mets la moi bien au fond ", " encore, encore, encore ", " putain, tu m'éclates bien " etc.
Marc me fait signe de m'arrêter et de me taire. Nous nous approchons discrètement pour mater le spectacle. En vue des ruines, nous voyons deux mecs se faire du bien. Un est penché en avant les bras tendus prenant appui sur un muret, les jambes écartées. Le deuxième est derrière lui, le bassin collé à son cul (on devine que sa bite se trouve au fond du cul du premier), les mains accrochées aux épaules du premier. Ils sont tous les deux en tenues de sport, les Tshirt relevés par dessus leurs têtes et les shorts sur les chevilles. Nous tournons autour d'eux afin de voir leurs têtes. Ce sont des inconnus ! Marc me glisse que nous allons les rejoindre et que je devrais prendre la même position que l'enculé.
Je passe mon Tshirt par dessus ma tête et prend place à 1m à gauche du mec, me plaçant dans la même position. Marc, sur mes talons, baisse son short, laisse juste le temps à l'enculeur de mater sa bite pendant qu'il crache dessus et me l'envoie directe au fond. Heureusement que j'étais bien excité par la situation ! Le mec qui s'était arrêté de limer, surpris de notre intrusion, reprend ses va et vient. De plus près, l'enculeur semble avoir dans les 30ans quand à l'enculé, il paraît plus jeune que moi. J'utilise le même langage que celui que nous avons surpris plus tôt et cela fait rire l'enculeur qui s'en aperçoit. Entre enculés, nous nous comprenons et je vois un grand sourire barrer le visage de mon alter-ego. Je l'examine un peu, il est plus jeune que moi ça c'est sûr, physiquement plus fin aussi, avec de long cheveux ondulés qui n'enlèvent rien à sa masculinité. Son mec lui me ressemble plus niveau corpulence.
Je pivote un peu, tend mon bras pour lui attraper la tête et la rapprochant de la mienne, lui roule une pelle vorace, langue impérieuse et tout et tout. Les deux " mâles " échange quelques propos quand aux qualités de leurs montures, passant de " salopes ", à " bouffeur de bites ;par tous les trous " et autres " avaleurs de jus "... Le couple semble sur le point de conclure. J'augmente l'excitation de Marc par de fréquentes pulsations de mon anus et il me jute dans le cul quelques secondes après que notre voisin ai envoyer la purée. Une fois libérés, avec l'autre enculé, nous nous sommes redressés branlés respectivement jusqu'à gicler sur le sol. Un coup d'oeil sur le service trois pièces du " vieux " me fait remarquer qu'alors qu'il débande, la taille semble respectable 20/23 probablement. Une fois les que les shorts ont retrouvé leurs places sur nos fessiers, Marc a fait les présentation. Nous avons appris alors qu'ils venaient d'emménager dans le coin (en fait dans une maison dont le grand jardin jouxte avec le fond de notre parc) et que le plus jeune était le neveu du plus vieux. Quand aux ages je ne m'étais pas trompés de beaucoup car il avait 31 ans et son neveu 2 ans de moins que moi.
Marc leur proposa de venir à la maison prendre un rafraîchissement. Ils ont acceptés et nous sommes rentrés en courant. A l'entrée dans la cour, ils se sont arrêtés, amusés par la ressemblance avec leur propre demeure.
Marc fait les honneurs de la maison Bruno (l'oncle) alors que je descend chercher des serviettes avec le neveu (Arnaud) à la salle de gym. Il me suit et ouvre de grand yeux devant les aménagements du sous-sol. Alors que j'attrape 4 serviettes, je le questionne quand à savoir depuis quand il est avec son " oncle ". Il m'assure que c'est vraiment son oncle, le frère de son père. Qu'il a atterri chez lui au décès de ses parents il y a 3 ans déjà et que ça va faire 2 ans maintenant qu'il a réussi à le persuader de lui faire l'amour. Depuis plus une meuf n'est entrée dans son lit. Je le félicite et lui dit les rapports qui nous lient, moi et Marc. Il me dit être super content d'avoir des voisins comme nous, il avait peur que dans la campagne ce soit intolérance et xénophobie ! Je lui assure le contraire et lui dit que si nous étions isolés, ça n'empêchait pas de recevoir les amis (clin d'oeil à l'appui).
Quand nous rejoignons nos aînés, ils sont devant la cheminée à se sécher en attendant les serviettes. Je vais à la cuisine et en revient avec un plateau, jus de fruit, café et petits gâteaux. Nous n'avions pas petit déjeuner et eux non plus. Alors que Bruno nous félicite quand à la restauration de la maison, Arnaud s'empresse de lui dévoiler notre sous sol. Marc doit lui promettre de le lui montrer plus tard. Après avoir repris des forces, nous descendons à la salle de gym. Là c'est au tour de Bruno de s'extasier. C'est vrai que l'installation n'a rien à envier à une vrai salle de muscu et lorsqu'il demande le pourquoi des anneaux au sol ou au plafond, Marc lui explique ce qu'est le bondage et le sling. Il rougit un peu et nous avoue que jusque là avec Arnaud ils étaient restés assez soft, le plus original étant la situation dans laquelle nous les avions surpris. Il a kiffé aussi la salle d'eau avec les douches sans séparations.
Par jeu, je bouscule Arnaud sous les douches et les déclenche toutes, histoire de pas le louper. Nous chahutons et nous retrouvons trempés. Marc devant notre enfantillage, propose à Bruno de prendre aussi une douche et repousse l'argument de vêtement sales en lui proposant de lui prêter un change. De toute manière ce sera déjà le cas pour Arnaud. Il accepte et ils nous rejoignent nus alors que nous quittons nos vêtement trempés. Je m'occupe de savonner Marc et mes attentions le font vite bander. A me voir faire, Arnaud fait de même sur Bruno et l'effet est garanti, une belle verge de 21cm se déploie en haut de ses cuisses.
Je glisse à genoux et pompe direct mon Marc. Arnaud fait de même et je peux voir que malgré sa bonne volonté, il ne lui en bouffe que la moitié. Il ouvre de grand yeux à me voir avaler la tige entière de Marc. Je me décale vers lui et d'un signe lui demande de libérer son oncle. Aussitôt ma bouche remplace la sienne et le tonton qui avait le regard perdu au plafond, baisse la tête et ne peut m'empêcher de l'engloutir totalement. A partir de là, plus de velléité de me repousser. Son gland dans ma gorge le soude à moi. Les nouvelles sensations l'excite tellement que je dois serrer sous le périnée pour être sûr de ne pas me faire juter dans ma gorge. Marc, de son coté, passant la main dans les cheveux long d'Arnaud, l'attire vers lui et après un petit temps d'hésitation, ce dernier commence timidement à lui sucer la bite. Marc le laisse faire, même si il doit se contenter de sa bouche seule. Je jette un coup d'oeil à Bruno, ce dernier est tout à l'écoute de son sexe et ne voit plus rien d'autre. Marc, lui, n'a pas l'air trop déçu par la pipe d'Arnaud. Ce dernier sait se servir de sa langue comme un pro.
Nous les amenons jusqu'à ce qu'ils jutent sur le carrelage. Alors que Bruno reprend ses esprits, je pousse Arnaud sur le sol et me place en 69. il comprend vite et il ne nous faut que 5mn de plus pour nous juter dessus sous les yeux de nos deux aînés. Nous finissons par une vraie douche et Bruno demande alors à Marc si Arnaud pourrait apprendre à sucer comme moi.
Marc lui assure que oui. De mon coté, je confirme à Arnaud d'un hochement de tête. Nous prêtons à chacun un jogging car ils doivent nous quitter. Les grand parents d'Arnaud viennent chez eux pour le déjeuner et il ne sont pas en avance. Marc leur propose de revenir en fin d'après midi, quand ils seront partis. Bruno accepte, ravi de nous avoir comme voisins.
Après leur départ, nous discutons ensemble de nos voisins. Marc a des vues sur le neveu, le contraire m'aurait étonné. De mon coté les 21cm épais implantés sur Bruno ne me laissent pas insensible non plus !
Le premier cours de pipe de cet après midi va nous permettre quelques mélanges.
JARDINIER
Tumblr media Tumblr media
+
Tumblr media
9 notes · View notes
Text
Nicoletta à signé son premier contrat en 1966
Tumblr media
Des refrains toujours aussi présents
Tumblr media
Elle fêtera ses 80 ans le 11 avril 2024
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Elle a été élevée par sa grand-mère maternelle et a rendu hommage en chanson avec Mamy Blues. A 20 ans, Nicoletta a perdu sa maman, fauchée à seulement 40 ans par un cancer, "après avoir été moquée toute sa vie". Celle qui publie son autobiographie, raconte la terrible histoire que sa mère a vécue. "Ma maman, Jeanne, souffrait d'un retard mental, qui à été abusée lors d'un bal du 14 juillet, Nicoletta, qui a découvert à l'âge de huit ans que son père était le voisin de Jeanne. (...) Ma mère était comme une enfant, toujours heureuse. Heureux les simples d'esprit..." Bouleversée par la disparition de sa maman, la chanteuse a tenté de mettre fin à ses jours puis a rendu un hommage bouleversant avec sa chanson, Mamy blues, à celle qui "n'est plus là pour [lui] sourire [la] réchauffer, [la] recueillir". Cette terrible histoire familiale, Nicoletta l'avait déjà évoquée dans les colonnes de Paris Match, avec beaucoup de pudeur. "Je n'en ai longtemps rien su, mais j'ai vite pris conscience qu'elle n'était pas une mère comme les autres, avec l'esprit d'une enfant dans le corps d'une jeune fille. Mon père ne m'a pas reconnue, révélait-elle. A l'école, j'ai subi des humiliations qui ont forgé mon caractère. (...) J'ai du apprivoiser mes douleurs et apprendre à éclore." Auprès de La Montagne, elle explique que dans son "village de Haute-Savoie, tout le monde se connaissait" : "Mon géniteur résidait à dix mètres de chez moi, un jardin nous séparait. Il connaissait ma mère, elle a dit 'oui', il ne l'a pas forcé. Ma mère n'a jamais rien nié, confiait la chanteuse à nos confrères. Et la mère de mon géniteur est restée la meilleure amie de ma grand-mère". Sa grand-mère d'ailleurs a joué un rôle clef dans son éducation. "A la fête des mères, je faisais toujours deux cadeaux à l'école du village", se souvenait l'interprète d'Il est mort le soleil
5 notes · View notes
sabinerondissime · 10 months
Note
Bjr Dame Sabine, je fait suite à ton post concernant les BBW...
Je suis entièrement d'accord avec toi, je ne comprend pas ce culte de la minceur à tout pris.
Il manque cruellement de diversité, que ce soit sur Tumblr, à la télé, dans bon nombre de publicités, magazines ...
Et pourquoi toujours ces différences entre femmes, hommes ..
Par exemple, pourquoi des défilé uniquement "gande taille" ?!
A quand des défilés toutes tailles, grande, petite, mince...
Un beau "melting pot" comme on dit ici à Bruxelles.
Comme tu écrit, la beauté ce n'est pas d'être uniquement mince, c'est d'être bien dans sa peau, j'ajoute que c'est d'être bien dans sa tête aussi.... mais pour ça, le regard des autres doit changer.
En fait, il faut que beaucoup de choses changent, les publicités à la télé, dans les magazines ....et dans les films....à quand une "James Bond girl" plus ronde ?
Même ce terme "ronde" est à proscrire...!
Pourquoi ne pas dire "une dame" tout simplement.
Pourquoi toujours vouloir catégoriser à tout va ...?!
Je pense que tout ça est à apprendre dès le plus jeune âge, il faut même aller plus loins, apprenons à nos enfants les différences, il y a des gens petit, grand, mince, rond, handicapé, de couleurs .....
Voila, désolé, je ne suis pas écrivain, souvent maladroit, je ne suis qu'un petit employé mais je pense que tu a compris le fond de ma pensée.
Très belle journée Dame Sabine.
Et merci pour tes posts, certain me fond bien rire ....
Patrick.
Oui, j'ai parfaitement compris et merci pour long et beau message. La société change, doucement, mais elle change. Sur les réseaux, de plus en plus de femme osent montrer leurs ventres, leurs cellulites, leurs bourrelets mais elles ne sont suivit que par 2 catégories de gens, ceux qui aiment les grosses et ceux qui les détestent !
Dans la publicité, ont voit désormais des femmes vraiment rondes, grosses, s'afficher pour des crèmes pour le corps, des yaourts, des vêtements. Bien entendu, cela reste assez rare et ont le remarque immédiatement. Mais il y a 15 ans de cela, jamais une femme avec 20 kg en trop n'aurait fait une pub télévisée, à moins d'y avoir un rôle bien peu avantageux.
Concernant l'éducation, j'ai appris à mon plus jeune fils qui s'est battu un jour avec un enfant qui m'avait "traité" de grosse qu'être grosse n'est pas une insulte, que c'est un fait, comme être jeune, vieille, mince, petite etc. Depuis, toutes les réflexions au sujet de mon poids glisse sur lui sans l'atteindre.
Mais ce monde est ce qu'il est, et je doute qu'un jour les mentalités changent profondément. Il y aura toujours des j'aime et des j'aime pas pour tout et n'importe quoi. Mais si chacun trouve enfin sa place et un espace pour s'exprimer, sans avoir honte ni peur, alors qui sait...
Belle journée à toi aussi Patrick
14 notes · View notes