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#Judith Godrèche
auxpetitsoignons · 2 months
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The Art of Love
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The Art of Love    [trailer]
Romantic comedic drama composed of several chapters that follows a number of Parisian couples navigating their relationships and sex life.
Some interesting, amusing story set-ups. Not based on real situations, more theatrical, playful what-if's if we talked and acted more freely when it comes to sex and relationships.
That it's just short episodes leaves more room to think about it and makes it more enjoyable.
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lasaraconor · 3 months
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Le Monde – Cinéma français : la fin de l’impunité
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hopefulkidshark · 5 months
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Au Festival de Deauville, Judith Godrèche était entourée de ses enfants, Noé Boon et Tess Barthélémy, pour présenter la mini-série « Icon of French Cinema ». Le trio a fièrement affiché sa complicité.
Tess Barthélemy
Actrice ‧ Fille de Judith Godrèche
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Tess Barthélémy est connue pour être la fille de l'actrice Judith Godrèche et de l'acteur Maurice Barthélémy. Elle voit le jour le 19 avril 2005, un an après la rencontre de ses parents. Ceux-ci se séparent en 2012.
Date de naissance: 19 avril 2005
Parents: Judith Godrèche, Maurice Barthélemy
Grands-parents: Mimi Barthélémy, Marie Deslis, Alain Godrèche, Gérard Barthélémy
Films
2023 UN PÈRE IDÉAL - Hélène Fillières
2015 PAS TRÈS NORMALES ACTIVITÉS - Maurice Barthélemy
2015 NUIT BLANCHE ENTRE AMIS - Patrick Brice
2018 UNDER THE EIFFEL TOWER - Archie Borders
Séries
2022 ICON OF FRENCH CINEMA - Judith Godrèche
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alain-keler · 2 months
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Paris, vendredi 8 mars 2024.
De la place Gambetta à la place de le la bastille, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé pour la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Journée importante qui vient quelques jours après l'inscription de l'IGV dans la constitution française.
Beaucoup de militantisme dans les cortèges, mais aussi beaucoup de drapeaux palestiniens, et la présence de Judith Godrèche (heureusement qu'une jeune femme à côté de moi me l'a fait remarquer, je n'ai jamais été trop physionomiste avec les célébrités, un comble pour un photographe !)
Mais aussi des scènes où des femmes juives du collectif Nous vivrons, venues pour rappeler qu'il y avait encore des israéliennes otages du Hamas, et que le viol avait été utilisé massivement avec mutilations par le Hamas lors de l'attaque du 7 octobre, ont été prises à partie par des hommes menaçants et violents qui leur ont lancé des bouteilles en verre, des œufs. Elles n’ont dû leur salut que grâce à la présence à leurs côtés de gardes du corps et de l'arrivée rapide des forces de l'ordre pour écarter la menace. Des hommes attaquent des femmes dans une manifestation de femmes parce qu’elles sont juives et demandent des comptes sur les otages du Hamas! Et ils réussissent. Elles abandonnent la manifestation parce que c’est trop dangereux pour leur groupe. 
La situation à Gaza est absolument dramatique, le gouvernement d'extrême droite israélien est une catastrophe pour tout le monde, mais venir ternir une manifestation pacifique pour toutes les femmes ne sert la cause de personne.
Le conflit israélo-palestinien ne doit en aucun cas être importé sur le sol français, nous avons déjà assez de problèmes à résoudre.
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a-room-of-my-own · 2 months
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Toutes les réactions des vieux cons et des idiotes utiles de gauche comme de droite aux prises de paroles de Judith Godrèche me DÉSESPÈRE.
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mmepastel · 3 months
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Dans la foulée (enfin presque) de ma lecture de La petite communiste qui ne souriait jamais, je continue ma découverte de l’œuvre de Lola Lafon.
J’ai énormément aimé ce roman là, Chavirer. J’ai cru que c’était une histoire vraie, et même que l’autrice elle-même avait eu affaire à ce genre de problème, adolescente, tant cela respire le vrai. Cléo, l’héroïne du livre, est incroyablement incarnée, terriblement attachante. Mon attachement a sans doute été facilité, en plus du talent de l’écrivaine, par une quasi parfaite adéquation générationnelle : Lola Lafon est née en janvier 1974, moi en décembre de la même année. Sa Cléo suit ce même timing, avec des références que je connais : les blousons Chevignon que les bourges se devaient d’avoir au collège, les samedis soirs devant Champs-Elysées (je forçais mes parents), Jean-Jacques Goldman dans la radio (chez moi, il était méprisé), l’avènement contesté de Vanessa Paradis, l’avènement acclamé de Mylène Farmer…
Bref. Je me suis vite passionnée pour cette très jeune adolescente de treize ans, passionnée de danse, qui mord à l’hameçon de cette énigmatique Cathy qui distribue promesses, billets, cadeaux ; cette dame chic fait miroiter un avenir brillant qui fait rêver les jeunes filles (enfin, les enfants, à 13 ans, on n’est pas une jeune fille) ; elle prétend travailler pour une fondation destinée à aider les talents prometteurs, déceler celles qui pourront bénéficier d’une bourse. Elle les attire à des déjeuners étranges, où des hommes jouent à être séduits, réclament de la maturité, pour finalement réclamer des faveurs sexuelles. Traumatisée et éconduite pour sa demande d’aide financière, mais dans l’incompréhension totale de ce qu’elle a vécu, toujours désireuse de parvenir à obtenir une bourse pour une école de danse, Cléo devient à son tour une émissaire pour dénicher, dans son collège, des filles qui pourraient bénéficier de l’aide de la fameuse fondation.
C’est en raison de cette mutation de victime en complice que Cléo intègre une double culpabilité qui empêche la parole. Elle n’arrive pas à se pardonner. On suit son parcours de 13 à 48 ans, directement ou à travers des gens qu’elle a rencontrés. Ces personnes, ami, amoureuse, rencontre d’un soir, collègue, victime collatérale, apportent un éclairage à la personnalité de Cléo, une jeune fille sensible qui semble éternellement enfant, bloquée à ses treize ans, une jeune femme bosseuse, courageuse, qui réussit à faire de la danse son moyen de vivre mais reste verrouillée de l’intérieur. Très souvent renvoyée à ses origines modestes, à son milieu social. Qui peine à voir le mal pour la condition féminine dans le fait de danser dénudée à la télé ou dans des cabarets, c’est sa propre fille, majeure, qui lui fera entrevoir cette dimension. Mais qui apprend. Progressivement, elle apprend même à se battre pour ses droits. Mais du temps, il lui en faut encore beaucoup pour troquer l’oubli impossible contre le pardon.
En effet, elle a appris à se construire avec cette blessure, sans l’avoir soignée. On devine que la solution, partielle, si solution il y a, si guérison il peut y avoir, encore une fois, passe par le collectif, l’entourage, la bienveillance autour, même si des rencontres sont ratées, ou seulement à moitié réussies. Petit à petit, l’idée fait son chemin. En apprenant les manquements des autres aussi, leur probité vacillante. En comprenant la difficulté d’être intègre de A à Z. Accepter de ne pas être parfait, de ne pas avoir toujours eu la bonne clairvoyance, en comprenant qu’en n’étant pas la victime parfaite, elle était malgré tout une enfant, bel et bien victime.
Encore une fois, un beau livre sur le corps des filles que l’on sexualise bien trop tôt. Le corps que l’on désire, que l’on scrute, que l’on juge, que l’on travaille, que l’on malmène, qu’on évalue.
Ce livre a pas mal résonné avec l’actualité (oui je pense à Judith Godrèche), quand on pense que dans les années 80, il était bien vu de jouer à la grande, que les hommes étaient glorifiés pour leurs liens troubles avec de très très jeunes filles, et que beaucoup de familles s’enorgueillissaient de voir leur progéniture distinguée par ces hommes vus comme cérébraux, chics, alors qu’ils n’étaient que des prédateurs adoubés par une société malade. On ne connaissait pas encore le préjudice d’emprise… quelle naïveté, quelle candeur quand on y pense…
Un livre remarquable, puissant, touchant, implacable.
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detournementsmineurs · 7 months
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“Ridicule” de Patrice Leconte (1996) avec Charles Berling, Jean Rochefort, Fanny Ardant, Judith Godrèche, Bernard Giraudeau, Carlo Brandt, Bernard Dhéran, Jacques Mathou, Albert Delpy, Urbain Cancelier et Mirabelle Kirkland, septembre 2023.
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businesspr · 26 days
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#MeToo Stalled in France. Judith Godrèche Might Be Changing That.
Judith Godrèche says the abuse of children and women is stitched into the fabric of the French movie industry. This time, the country seems to be listening more closely. source https://www.nytimes.com/2024/04/03/movies/judith-godreche-metoo-abuse-france.html
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memitodu29 · 1 month
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Ludivine Sagnier réagit au discours de Judith Godrèche : "J'ai été très ...
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deadlinecom · 2 months
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hopefulkidshark · 5 months
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Judith Godrèche de sortie avec son fils Noé Boon et sa fille Tess Barthélémy
Sortie de famille pour Judith Godrèche. La comédienne française de 51 ans a assisté ce vendredi soir à l'avant-première de sa nouvelle série « Icon of French Cinema » avec ses deux enfants, Noé Boon (24 ans) et Tess Berthélemy (18 ans). Le trio a été photographié au Silencio des Prés, dans le VIe arrondissement de Paris.
MeToo dans le cinéma : Judith Godrèche revient pour la première fois sur sa relation à 14 ans avec un réalisateur de 40
Après une longue éclipse, elle revient avec une série réjouissante aux accents autobiographiques sur Arte. L’occasion de se confier pour la première fois sur sa relation, à 14ans, avec le réalisateur Benoît Jacquot et sur les dérives du cinéma français.
#MeToo dans le cinéma : Judith Godrèche revient pour la première fois sur sa relation à 14 ans avec un réalisateur de 40 - Elle
Judith Godrèche
Actrice et scénariste
Judith Godrèche, née le 23 mars 1972 à Paris 17ᵉ, est une actrice, scénariste, réalisatrice et écrivaine française. Elle est révélée par le drame La Désenchantée de Benoît Jacquot, qui lui vaut une nomination au César du meilleur espoir féminin, puis par la comédie d'époque Ridicule réalisée par Patrice Leconte. 
Date/Lieu de naissance: 23 mars 1972, 17e Arrondissement, Paris
Époux: Dany Boon (m. 1998–2002)
Enfants: Tess Barthélemy, Noé Boon
Parents: Alain Godrèche, Marie Deslis
Taille: 1,75 m
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SAMEDI 2 MARS 2024 (Billet 2/2)
Judith est née à Paris, dans le XVIIe, le 23 mars 1972.
Elle a vécu de l’âge de 14 ans jusqu’à 20 ans avec le metteur en scène Benoît-Jacquot.
L’émission « Thé ou Café » que lui avait consacrée Catherine Ceylac, voir l’extrait ci-dessus, a été diffusée le 27 mars 2010. Judith avait alors 38 ans, soit 18 ans après sa rupture !
Nous savions ce que signifie le « syndrome de Stockholm » (« un phénomène observé chez des otages qui ont développé une sorte d’empathie vis-à-vis de leurs geôliers »), mais nous avouons être un peu perplexes après avoir regardé ce document (et les nombreux extraits de diverses interviews accordées par Judith, auxquels vous pourrez avoir accès grâce au lien à la fin de ce Billet). Regardez-la, écoutez-là… c’est assez troublant.
Le « syndrome de Godrèche » ? Il y a en effet BEAUCOUP de différences entre ce qu’elle dit aujourd’hui et ce qu’elle a dit, adulte, autrefois. Et pas que dans les mots qu’elle a prononcés, mais aussi dans les expressions de son visage, ses regards… Mais en vrai, tout est possible, nous n’avons, en toute franchise, aucun avis définitif sur la question.
Cliquez sur la dernière phrase ci-dessous pour accéder au Site de l’INA (un Site on ne peut plus sérieux, à ne pas confondre avec les « tribunaux médiatiques » qui se sont installés ici ou là !) et voir les autres interviews de Judith :
Comment Judith Godrèche a parlé de sa relation avec Benoit Jacquot | INA
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galerieartnomade · 2 months
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zehub · 2 months
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Silence, on détruit
Les luttes pour l’égalité des droits humains et les luttes écologiques sont comme les petites filles du discours de Judith Godrèche, qui a
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