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#Jean-François de Le Motte
dogzcats · 8 months
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trompe l'oeil (details)
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claudehenrion · 3 years
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Le français tel qu'on le parle... ou pas !
 Les ''billets'' de ces derniers jours, tant sur SS le Pape François que sur le ''non-candidat'' Eric Zemmour ont peut-être été, pour certains, des sujets d'énervement (en tout cas est-ce ce que je suppose, ce que je redoute... et ce dont je suis sincèrement désolé, le cas échéant). C'est pourquoi j'ai voulu détendre un peu l'atmosphère en partageant avec vous, amis lecteurs, un petit ''mot doux'' que je me suis autorisé, tout seul comme un grand, à envoyer à TF1, à l'attention de la présentatrice-vedette de la chaîne présidée par mon --''notre'', sans doute, pour certains d'entre vous-- ami Gilles Pélisson, que j'ai averti en riant de cette initiative dont nous mesurerons l'impact. J'espère que cet ''avertissement probatoire'' (pour jargonner à la Dupont-Moretti) et la manière de le traiter vous feront sourire, dans le tourbillon actuel, qui hésite en permanence entre ''barbant'' et ''effroyable'' !).
Madame, (et chère Marie-Sophie, si j'ose !)
Vous êtes charmante, souriante, jeune, jolie, et vous pouvez être fière d'un parcours professionnel qui ne mérite que des éloges, puisque vous avez été choisie pour succéder au cher Jean-Pierre Pernaud, à la diction irréprochable. Permettez, s'il vous plaît, à un très vieux monsieur de regretter que certaines petites habitudes empêchent certains de vos auditeurs (disons : un bon nombre des ''plus de 70 ans'', mais pas que...) de vous aimer et de vous apprécier autant que vous le méritez.
En effet, vous semblez éprouver quelques difficultés avec la prononciation de mots où figurent les lettres ''o'' et ''e'' et les digrammes ''au'' et ''eu'', et ce petit défaut mineur entraîne souvent, sachez-le, des remarques ironiques que vous ne méritez pas. C'est pour lutter contre cela que je me permets de vous écrire, après de très longues hésitations dues au risque que je prends à vouloir jouer à la mouche du coche. Je vous supplie par avance d'excuser ma démarche et mon audace.
Bon nombre de vos auditeurs supportent difficilement d'entendre, parmi d'autres exemples, le Rhône, la Saône, la Drôme ou le Puy-de-Dôme, un symptôme, Guillaume, et tant d'autres... être ramenés au sort peu enviable de Ronne, de Sonne, de Dromm et de Puy-de-domm, à coz du symptom de Guillom... pour ne pas parler de tous les otres --si nombreux et qui méritent d'être dans une zône et pas dans une zonn.  Et je ne suis pas convaincu qu'une femme heureuse le soit davantage si on dit d'elle qu'elle est heurese. Elle risque d’en être malheurese !
Je me permets donc de vous remettre en mémoire ce que vous savez déjà, depuis longtemps : les digrammes ''au'' et ''eu'' se prononcent toujours ''fermés'', comme ''eau'' pour le premier et ''euh !'' pour le second (et s'il existe de rares exceptions --on est en France !-- oublions-les : on ne va pas en faire... une histoire d'eau --ou d'euh !). Quant aux lettres ''o'' et ''e'', elles se prononcent ''ouvertes'' chaque fois qu'elles sont suivies de deux consonnes (motte, botte, sotte... ou serre, terre, dette...). Deux exemples : l'automne --de saison-- qui enchaîne un ''au'' fermé et un ''o'' ouvert (2 consonnes qui sont, ici, ''m'' et ''n''), et le verbe ''jeter'' (prononcé jeuter) qui devient ''je jètte'' là où il y a 2 ''t'' (l'accent grave ajouté est purement de circonstance, bien entendu !). A noter : le son ''o'' est et reste fermé  (= eau) dans tous les cas où il est surmonté d'un accent circonflexe. Je sais que vous savez tout ça, même si vous l'oubliez parfois, dans le feu de l'action... Pardon, une fois encore, de ma lourdeur à vous remettre en mémoire ces inutilités relatives.
Je vous supplie d'excuser mon outrecuidance, qui n'est due qu'à un désir de vider de toute raison d'être le petit jeu de gens de mon âge qui s'amusent à ''relever'' (fut-ce en souriant) vos quelques prononciations légèrement erronées. Et je sais que vous êtes consciente du fait que vous avez, au poste prestigieux qui est le vôtre, un authentique ''devoir'' vis-à-vis de notre belle langue et, par conséquent, de la francophonie. (Je vous ai entendu le dire, et j'en ai été tout ému : c'est si beau et si rare, une personne qui dit avoir une responsabilité et qui l'assume. Merci, Madame)
Pour que vous ne pensiez pas que je suis motivé par un parisianisme excessif, je précise que, après des études dans une grande Ecole parisienne qui m'ont mené à la Direction générale de l'un des plus beaux fleurons du CAC 40, j'ai ''fait'' une licence d'anglais, une d'espagnol, et que je parle aussi l'italien, le grec moderne, le chinois mandarin et l'arabe maghrebi (le tout pratiquement sans accent, me dit-on). En outre, pour des raisons familiales, je suis capable de tenir une conversation en ''ch'ti mi'' et, amoureux de très longue date des Félibres, je m'exprime aussi, pas trop mal, en provençal (le ''prouvençaou'', cette forme d’occitan mistralien).
En espérant que vous pardonnerez mon audace... je la pousse jusqu'à vous suggérer de demander à l'une des personnes qui vous aident à préparer vos ''fiches'' de surligner quelques mots ''à problèmes'', pendant quelques jours. C'est une vieille ficelle de conférencier, qui fait gagner du temps, le cas échéant !
Je vous assure de mon admiration respectueuse... pour tout le reste --et c'est un champ immense !
Claude Henrion                                                                                                        (Blog quotidien : ''Comprendre demain.tumblr.com'')
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Trompe l'oeil with Palettes and Miniature, Jean François de Le Motte, European Paintings
Bequest of Harry G. Sperling, 1971 Size: 46 7/8 x 36 1/8 in. (119.1 x 91.8 cm) Medium: Oil on canvas
https://www.metmuseum.org/art/collection/search/436347
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tynatunis · 2 years
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#Repost @fondationmerimee —— Le château de Bournazel en Aveyron (Occitanie) 💙 .📸 Eric Sander @ericsanderphoto 🏰 Les premières traces de la seigneurie de Bournazel remontent au IXe siècle. A l’origine, il s’agissait d’une simple motte féodale dont rien ne subsiste aujourd’hui. Plutôt qu’un château, Bournazel était davantage une possession partagée entre membres d’une même famille, à l’image des coseigneuries dans le Rouergue médiéval. En 1540, Jean de Buisson, riche financier proche du roi François Ier, et son épouse Charlotte de Mancip (héritière de Bournazel) entreprennent de construire un château dans le goût Renaissance sur l’ancien logis médiéval. Il est aujourd’hui un édifice majeur de la France du sud par son architecture innovante et son décor finement sculpté. . 🛠️ Depuis 2007, les actuels propriétaires réalisent un immense travail de restauration, animés par la volonté de sauvegarder ce monument phare du patrimoine français. Ainsi, les volumes et décors du XVIe siècle ont pu être restitués et les parties détruites sont reconstruites à l’identique selon les techniques traditionnelles. . 🏆 En 2021, la Fondation Mérimée et le groupe Dassault récompensent leur audace par le prix du Grand Trophée Monument. . . #patrimoine #visite #MagnifiqueFrance #Histoire #chateau #followme #french_paradise #tourisme #TopEuropePhoto #MonumentHistorique #MerveillesDeFrance #Hello_france #castles_oftheworld #architecture #monument #archilovers #France_focus_on #Super_france #hello_France #InstaTravel #traveling #photooftheday #trip #instagood #tourism #ericsanderphoto #bournazel @tourisme_aveyron @terresdaveyron.tourisme https://www.instagram.com/p/CbG2JvjoFvh/?utm_medium=tumblr
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steliosagapitos · 6 years
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            Madame de Pompadour
   Jeanne Antoinette Poisson, Marquise de Pompadour (French: [pɔ̃.pa.duːʁ]; 29 December 1721 – 15 April 1764), commonly known as Madame de Pompadour, was a member of the French court and was the official chief mistress of Louis XV from 1745 to 1751, and remained influential as court favourite until her death. She took charge of the king’s schedule and was a valued aide and advisor, despite her frail health and many political enemies. She secured titles of nobility for herself and her relatives, and built a network of clients and supporters. She was particularly careful not to alienate the Queen, Marie Leszczyńska. On February 8, 1756, the Marquise de Pompadour was named as the thirteenth lady in waiting to the queen, a position considered the most prestigious at the court, which accorded her with honors. She was a major patron of architecture and decorative arts, especially porcelain. She was a patron of the philosophes of the Enlightenment, including Voltaire. Hostile critics at the time generally tarred her as a malevolent political influence, but historians are more favorable, emphasizing her successes as a patron of the arts and a champion of French pride.
  Jeanne Antoinette Poisson was born on 29 December 1721 in Paris to François Poisson (1684–1754) and his wife Madeleine de La Motte (1699–1745). It is suspected that her biological father was either the rich financier Pâris de Montmartel or the tax collector (fermier général) Le Normant de Tournehem. Le Normant de Tournehem became her legal guardian when François Poisson was forced to leave the country in 1725 after a scandal over a series of unpaid debts, a crime at that time punishable by death. (He was cleared eight years later and allowed to return to France.)
At age 5 Jeanne Antoinette was sent to receive the finest quality education of the day in an Ursuline convent in Poissy, where she gained admiration for her wit and charm. Due to poor health, thought to be whooping cough, Jeanne Antoinette returned home in January 1730 at age 9. During this time her mother took her to a fortuneteller, Madame de Lebon, who predicted that the girl would one day reign over the heart of a King. Henceforth she became known as “Reinette”, meaning "little queen", and was groomed to become the mistress of Louis XV. Tournehem arranged for Jeanne Antoinette to receive a private education at home with the best teachers of the day who taught her dancing, drawing, painting, and engraving, theatre, the arts, and the ability to memorize entire plays. It may have been this sponsoring of Jeanne Antoinette's education in particular that sparked rumors of his paternity to Poisson.
At the age of nineteen, Jeanne Antoinette was married to Charles Guillaume Le Normant d'Étiolles, nephew of her guardian, Charles Lenormand de Tournehem, who initiated the match and the large financial incentives that came with it. On 15 December 1740, Tournehem made his nephew his sole heir, disinheriting all his other nephews and nieces, the children of his brother and sister. These included the estate at Étiolles (28 km south of Paris), a wedding gift from her guardian, which was situated on the edge of the royal hunting ground of the forest of Sénart. Once married, Le Normant d'Étiolles fell passionately in love with his wife, whilst she maintained that she would never leave him – except for the King. The couple had a son who died in infancy and a daughter, Alexandrine Le Normant d'Étiolles, born in 1744, who died at the age of nine.
Jeanne Antoinette’s marital status allowed her to frequent celebrated salons in Paris, such as those hosted by Mesdames de Tencin, Geoffin, du Deffand, and others. Within these salons she crossed paths with principal figures of the Enlightenment, including Voltaire, Charles Pinot Duclos, Montesquieu, Helvétius, and Bernard de Fontenelle. Additionally, Jeanne Antoinette created her own salon at Étiolles, which was attended by many of the cultural elite, among them, Crébillon fils, Montesquieu, the Cardinal de Bernis, and Voltaire. Within these circles she learned the fine art of conversation and developed the sharp wit for which she would later become known at Versailles.
Due to her involvement in Paris salons as well as her grace and beauty, Louis XV had heard the name of Jeanne Antoinette mentioned at court as early as 1742. In 1744 Jeanne Antoinette sought to catch the eye of the King whilst he led the hunt in the forest of Sénart. Because she occupied an estate near this location she was permitted to follow the royal party at a distance. However, wanting to attract the King’s notice, Jeanne Antoinette drove directly in front of the King’s path, once in a pink phaeton, wearing a blue dress, and once in a blue phaeton, wearing a pink dress. The King sent a gift of venison to her. Though the King’s current mistress, Madame de Châteauroux, had warned off Jeanne Antoinette, the position became vacant on 8 December 1744 when Châteauroux died. On February 24, 1745, Jeanne Antoinette received a formal invitation to attend the masked ball held on February 25 at the Palace of Versailles to celebrate the marriage of the Dauphin Louis de France to Infanta Maria Teresa of Spain (1726–46). It was at this ball that the King, disguised along with seven courtiers as a yew tree, publicly declared his affection for Jeanne Antoinette. Before all of court and the royal family, Louis unmasked himself before Jeanne Antoinette, who was dressed as Diana the Huntress, in reference to their encounter in the forest of Sénart.
By March, she was the king's mistress, installed at Versailles in an apartment directly above his. On 7 May, the official separation between her and her husband was pronounced. To be presented at court, she required a title. The king purchased the marquisate of Pompadour on 24 June and gave the estate, with title and coat-of-arms, to Jeanne Antoinette, making her a Marquise. On September 14 1745, Madame de Pompadour made her formal entry before the King, presented by the king's cousin, the Princess de Conti. Determined to make her place at court secure, Pompadour immediately attempted to forge a good relationship with the royal family. After the Queen engaged Pompadour in conversation by enquiring after a mutual acquaintance, Madame de Saissac, Pompadour responded in delight, swearing her respect and loyalty to Marie Leszczyńska. Pompadour quickly mastered the highly mannered court etiquette. However, her mother died on Christmas Day of the same year, and did not live to see her daughter's achievement of becoming the undisputed royal mistress.
Through her position as Court Favorite the Marquise, Madame de Pompadour wielded considerable power and influence. Throughout her time as court favorite she was elevated on October 12, 1752 to Duchess, and in 1756 to lady-in-waiting to the queen, the most noble rank possible for a woman at court. Pompadour effectively played the role of prime minister, becoming responsible for appointing advancements, favors, and dismissals, and contributed in domestic and foreign politics.
Her importance was such that she was approached in 1755 by Wenzel Anton Graf Kaunitz, a prominent Austrian diplomat, asking her to intervene in the negotiations which led to the Treaty of Versailles. This was the beginning of the Diplomatic Revolution, which saw France allied to her former enemy Austria.
Under these changed alliances, the European powers entered the Seven Years' War, which saw France, Austria, and Russia pitted against Britain and Prussia. France suffered a defeat at the hands of the Prussians in the Battle of Rossbach in 1757, and eventually lost her American colonies to the British. After Rossbach, Madame de Pompadour is alleged to have comforted the king with the now-famous byword: "au reste, après nous, le Déluge" ("Besides, after us, the Deluge"). France emerged from the war diminished and virtually bankrupt.
Madame de Pompadour persisted in her support of these policies, and when Cardinal de Bernis failed her, she brought Choiseul into office and supported and guided him in all his great plans: the Pacte de Famille, the suppression of the Jesuits and the Treaty of Paris (1763). Britain's victories in the war had allowed it to surpass France as the leading colonial power — something which was commonly blamed on Pompadour. But Madame de Pompadour supported great ministers like Bertin and Machaut who introduced important fiscal and economic reforms (trade, infrastructure, income taxes) which made France the richest nation in the world.
Pompadour protected the Physiocrates school (its leader was Quesnay, her own doctor) which paved the way for Adam Smith's theories. She also defended the Encyclopédie edited by Denis Diderot and Jean le Rond d'Alembert against those, among them the Archbishop of Paris Christophe de Beaumont, who sought to have it suppressed.
The marquise had many enemies among the royal courtiers who felt it a disgrace that the king would thus compromise himself with a commoner. She was very sensitive to the unending libels called poissonnades, analogous to mazarinade against Cardinal Mazarin and a pun on her family name, Poisson, which means "fish" in French. Only with great reluctance did Louis take punitive action against her known enemies, such as Louis François Armand du Plessis, duc de Richelieu.
  Madame de Pompadour was able to wield such influence at court due to the invaluable role she played as a friend and confidant of the King. In opposition to previous mistresses of Louis XV, Pompadour made herself invaluable to the King by becoming the only person whom Louis trusted and who could be counted on to tell him the truth. Pompadour was an indispensable comfort to Louis who was prone to melancholy and boredom. She alone was able to captivate and amuse him, and would entertain Louis with elegant parties, afternoons of hunting, and journeying between their various real estate holdings.[
Around 1750 Madame de Pompadour’s role as friend of the King became her solitary role, as she ceased her sexual relationship with the King. The end of this sexual relationship was in part attributed to Pompadour’s poor health, as she suffered the after effects of whooping cough, recurring colds and bronchitis, spitting blood, headaches, three miscarriages to the King, as well as an unconfirmed case of leucorrhoea. In addition Pompadour admitted to having “the misfortune to be of a very cold temperament” and attempts to increase her libido with a diet of truffles, celery and vanilla were unsuccessful. Furthermore, in 1750 the Jubilee year placed pressure upon the King to repent of his sins and renounce his mistress. In order to cement her continuing importance as favourite in the face of these impediments, Pompadour took on the role of "friend of the King" which she announced through artistic patronage. Pompadour’s announcement was most prominently declared through her commission from Jean Baptiste Pigalle, of a sculpture representing herself as Amitié [friendship], offering herself to a now lost pendant sculpture of Louis XV.
   Despite misconceptions perpetuated by her contemporaries and much of historical discourse, Pompadour did not supplant her role as mistress by employing replacement lovers for the king. Following the cessation of Pompadour’s sexual relationship with Louis, a private harem was created to satisfy his sexual needs; however, Pompadour was not involved, other than to accept it as a necessity.
When Pompadour was no longer able to perform her duties as mistress, she had become an invaluable friend and as such Louis did not want to find an official replacement. Accordingly his staff were instructed to create a private harem known as Le Parc aux Cerf or ‘Deer Park’, which would house low born, uneducated virginal girls to pleasure the King. Pompadour’s only contribution to the Deer Park was to accept it as a favorable alternative to a rival at court, as she stated: "It is his heart I want! All these little girls with no education will not take it from me. I would not be so calm if I saw some pretty woman of the court or the capital trying to conquer it.
   Madame de Pompadour was an influential patron of the arts, who played a central role in making Paris the perceived capital of taste and culture in Europe. She attained this influence through her appointment of her guardian Charles Le Normant de Tournehem, and later her brother, Abel Poisson in the post of Directeur Général des Bâtiments, which controlled government policy and expenditures for the arts. She championed French pride by constructing and later outright buying a porcelain factory at Sévres in 1759, which became one of the most famous porcelain manufacturers in Europe, and which provided skilled jobs for the region. Numerous sculptors and portrait painters were patronized by Pompadour, among them the court artist Jean-Marc Nattier, in the 1750s François Boucher, Jean-Baptiste Réveillon and François-Hubert Drouais. She patronized Jacques Guay, the gemstone engraver, who taught her to engrave in onyx, jasper and other precious stones. Pompadour greatly influenced the Rococo interior decorative style, through her constant refurnishing of the fifteen residences she held with Louis, and she has been hailed as a major innovator and influence of the Rococo style.
Louis XV remained devoted to Pompadour until her death from tuberculosis in 1764 at the age of forty-two. Louis nursed her through her illness. Even her enemies admired her courage during the final painful weeks. Voltaire wrote: "I am very sad at the death of Madame de Pompadour. I was indebted to her and I mourn her out of gratitude. It seems absurd that while an ancient pen-pusher, hardly able to walk, should still be alive, a beautiful woman, in the midst of a splendid career, should die at the age of forty-two."[36] Many of her enemies were, however, greatly relieved. Looking at the rain during the departure of his mistress' coffin from Versailles, the devastated King reportedly said: "La marquise n'aura pas de beau temps pour son voyage." ("The marquise won't have good weather for her journey.") She was buried at the Couvent des Capucines (fr) in Paris.
Most of her portraits and depictions have been painted by the artist: - François Boucher -.
http://world4.eu/madame-de-pompadour-political-power-general-influence/.
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the-met-art · 7 years
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Trompe l'oeil with Palettes and Miniature by Jean François de Le Motte, European Paintings
Medium: Oil on canvas
Bequest of Harry G. Sperling, 1971 Metropolitan Museum of Art, New York, NY
http://www.metmuseum.org/art/collection/search/436347
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sauvesparlekong · 5 years
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We we welcome are guest performing artist, Mr. Mattieu Motte. He will recite a French Baroque poem by Pierre de Marbeuf and also as the narrator of the programme music of François Couperin's L'Apothéose de Lully. Matthieu Motte : After being a journalist, Matthieu was a singer and an actor in the French musical « 1789 – les Amants de la Bastille » directed by Giuliano Peparini (House of Dancing Waters, the Dream...), produced by Dove Attia & Albert Cohen. 1789 (Lovers of the Bastille) was a musical romance during the French Revolution in which he played Louis XVI’s Ministry of War, the count Lazare de Peyrol (220 shows, 660 000 spectators from Sept 2012 to January 2014). He currently works in Hong-Kong as a singing teacher/vocal coach. Founder of ‘Sauvés par le Kong’ magazine (Saved by the Kong in English), founder of the competition: ‘Saved by Poetry’ and the least but not the last, Matthieu is a dedicated coach for teenagers to prepare them for their Baccalaureate diploma « Saved by the Bac’. 雅樂合奏團 新古鍵琴啟動音樂會-法國巴羅克音樂 The Inaugural Concert of Concerto da Camera’s New Harpsichord: Music of the French Baroque 二〇一九年四月四日(星期四,公眾假期前一天) 香港銅鑼灣中華基督教會公理堂六樓演奏 8:15pm 4th April 2019 (Thursday, the day before public holiday), 8:15pm Recital Theatre, China Congregational Church, Causeway Bay, Hong Kong 雅樂合奏團的新古鍵琴仿製十七世紀製琴大師Ruckers的古鍵琴,原製的古鍵琴現於法國Colmar的博物館展出。雅樂合奏團的新古鍵琴是由加拿大滿地可製琴大師Yves Beaupre製作。他的作品遍佈於北美洲及歐洲的音樂學院及演藝機構。此琴的音板是由滿地可視覺藝術家Pascale Dupré 所繪畫。 雅樂合奏團在此音樂會將聯同著名加拿大籍鍵盤家李敏琪博士呈獻一系列法國十七及十八世紀巴羅克時期俱影響力的作曲家的器樂及聲樂作品,當中包括Marc-Charpentier,Charles Dieupart, Antoine Forqueray, Michael Lambert, and François Couperin. 為慶祝本團15周年的成立和新古鍵琴的啟用,本團委約了香港作曲家邱美琪博士創作一首全新的室樂作品給古樂器及詩歌朗讀。另外,法國籍藝人Matthieu Motte 朗讀法國巴羅克作曲家Français Couperin 的Apothéose de Lully, 歌頌太陽皇路易十四御用的宮廷音樂總監Jean -Baptiste Lully. Lully 是法國巴羅克音樂及藝術的始祖及大師。 As part of its 15th anniversary season celebration, Concerto da Camera announces the inaugural concert of its new harpsichord in an all-French Baroque concert, to take place on the 4th April 2019 at 8:15pm, at the China Congregational Church Recital Theatre. #sauvesparlekong #sauvesparlapoesie @afhongkong @franceinhk @ufehongkong @trait_dunion @lepetitjournal_hongkong (à Hong Kong) https://www.instagram.com/p/Buy4ws2HXyZ/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1pom0damfmc91
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chrislaguna1-blog · 5 years
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Portrait de Madame de Pompadour peint en 1756 par François Boucher Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, duchesse de Menars, née le 29 décembre 1721 à Paris et morte le 15 avril 1764 à Versailles, est une dame de la bourgeoisie française devenue favorite du roi de France et de Navarre Louis XV. Biographie Jeunesse La future marquise de Pompadour voit le jour à Paris : « Du mercredi 30 décembre 1721, fut baptisée Jeanne-Antoinette Poisson, née d'hier, fille de François Poisson, écuyer de Son Altesse royale Monseigneur le duc d'Orléans, et de Louise-Madeleine de La Motte, son épouse, demeurant rue de Cléry… ». Le baptême est célébré à l'église Saint-Eustache. Jeanne-Antoinette doit ses prénoms à son parrain, Jean Pâris de Monmartel, et à la nièce de ce dernier, Antoinette Justine Pâris, sa marraine. François Poisson, fils de paysan, s'est marié trois ans plus tôt, le 11 octobre 1718 à Saint-Louis des Invalides, avec Madeleine de la Motte qui appartenait à une famille plus élevée, son père étant entrepreneur des provisions dans cet hôtel, d'où son vocable de « boucher des Invalides » employé par ses ennemis pour rappeler que c'était la première fois qu'un roi de France prenait pour favorite une femme du peuple. De cette union sont nés deux autres enfants : Françoise Louise Poisson, rue de Thévenot le 15 mai 1724 et baptisée à Saint-Sauveur, ainsi qu'Abel-François, le 18 février 1727 en la paroisse de Saint-Jean-en-Grève à Paris. Son père, François Poisson, a débuté comme conducteur dans le service des vivres. Remarqué par les frères Pâris, des financiers liés à la famille de la Motte, il a rendu de grands services en Provence, au moment de la peste. Mais, chargé comme commissaire aux vivres du ravitaillement de Paris pendant la disette de 1725, il est accusé de trafics et ventes frauduleuses. François Poisson est contraint de quitter le pays, et s'exile en Allemagne. Le 23 avril 1727, une commission du Conseil le déclare débiteur pour la somme de 232 430 livres. Le 12 août de la même année, une sentence du Châtelet de Paris décide la séparation de biens avec son épouse, mais leur maison rue de Saint-Marc est saisie. Avant son départ, François Poisso https://www.instagram.com/p/Bs9aNmMBSGw/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=xpi1d7zrdcs8
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paulrenaud · 7 years
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KIRBY & ME
"Kirby&Me sera un ouvrage de plus de 300 pages, réunissant plus de 150 professionnels, spécialistes et passionnés venus du monde entier. Des hommages variés prenant la forme d’illustrations originales, de comics inédits créés pour l’occasion, de témoignages, d’interviews ainsi que de nombreuses surprises, le tout dans un album à l’édition soignée, au format artbook, bilingue français – anglais. Le prix public de l'ouvrage est de 45€ Nous avons déjà réceptionné la ou les contributions des participants suivants : 2D, Pierre Alary, Alexis Bacci Leveillé, Derf Backderf, Steve Baker, Beuh, Franck Biancarelli, Bicargo, Señorita Bicho, Josselin Billard, Jon Bogdanove, Roland Boschi, Russ Braun, Jerome Bretzner, Dan Brereton, Philippe Briones, Luc Brunschwig, Stéphane De Caneva, Hugo Canuto, Roberto Cardinale, Marco Caro, Caza, Cécil, Darick Chamberlin, Marco Checchetto, Vicente Cifuentes, Patricio Clarey, Tomm Coker, Giorgio Comolo, Philippe Cordier, Czek, Sergio Davila, Jean Depelley, Mike Deodato Jr, Tony Dennison, Jean-Pierre Dionnet, Kyko Duarte, Patrick Dumas, François Duprat, Davidé Fabbri, Ivan Fernandez Silva, Frank Fosco, Mathias Fourrier, Mr Garcin, Rafa Garres, Barry Ira Geller, Gess, Romain Gondy, John Gonzales, Griffon, Fred Grivaud, RM Guéra, Guile, Guillomcool, Boris Guilloteau, Alan Heller, Chris Hénin, Eric Hérenguel, Dylan Horrocks, Mike Huddleston, Julien Hugonnard-Bert, Juapi, Nicolas Kéramidas, Antonio Lapone, Jonathan Lau, Paolo Leandri, Laurent Lefeuvre, Jeff Lemire, Etienne Le Roux, Greg Lofé, Lorenzzo, LRNZ, Flavio Luiz, Tom Lyle, Chris Malgrain, Reed Man, Patrick Marcel, Enrico Marini, Marti, Freddy Martin, Alvaro Martinez, Pat Masioni, Rodolphe Massé, Mauricet, Brendan McCarthy, John McCrea, Adam McGovern, David Messina, Paskal Millet, Boris Mirroir, Thierry Mornet, Motte, Cyrille Munaro, Frédéric Mur, Alex Nikolavitch, Art No, Julien Noirel, Nagy Norbert, Rafael Ortiz, Stéphane Perger, Alberto Ponticelli, Juanan Ramirez, Mike Ratera, Reed Man, Paul Renaud, Juan Jose Ryp, Radja Sauperamaniane, Valerio Schiti, Diana Schutz, Laurent Sieurac, Emanuel Simeoni, Crystal Skillman, Joe Skull, Robert Solanovic, Scorpio Steele, Matej Stic, Fran Strukan, Goran Sudzuka, Dalibor Talajic, Ciro Tota, Ronan Toulhoat, Emilio Van Der Zuiden, Fred Van Lente, Olivier Weinberg, Nikola Witko, Laurent Zimny... et plein d'autres arrivent !" aidez ce projet à voir le jour en commandant votre exemplaire ici.  https://fr.ulule.com/kirby-me/
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unarbreenflandres · 7 years
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Vieux-Berquin
Le village de Vieux-Berquin tient son nom de la famille de Berkin dont la dernière du nom fut Adrienne DE BERQUIN, dame de la seigneurie de Broucke, encore appelée la Bleue-Tour. Adrienne est décédée le 18 mars 1570 et a établi, à perpétuité, une fondation pour vêtir tous les ans treize pauvres de la paroisse de Vieux-Berquin, à choisir alternativement parmi les hommes et parmi les femmes, accordant à chacun deux aunes (1) de drap ainsi qu’une chemise façonnée et une paire de souliers. Elle a aussi fondé à perpétuité trois bourses pour l’entretien de trois pauvres écoliers de famille honnête à établir à Douai ou à Louvain.
En avril 1874, l’abbé LEMIRE, un enfant du village, relatait dans une note que les paysans montraient avec un frisson de crainte le fameux champ de la poterne où avaient lieu les exécutions ordonnées par le seigneur de la Bleue-Tour qui possédait le droit de haute justice (2). Dans ce champ s’élevait un tilleul gigantesque auquel on suspendait les malfaiteurs. Il ajoute que dans la ferme de la Bleue-Tour se trouvait un carcan double qui permettait d’enserrer le cou et la poitrine du coupable condamné au dernier supplice.
Un autre vieux-berquinois célèbre est Louis DE BERQUIN qui fut brûlé vif, en avril 1529, sur la place de Grève à Paris, à cause de ses sympathies envers la religion réformée. Il a longtemps bénéficié de la protection du roi de France, François I° mais un dernier procès ordonna sa mort immédiate afin de ne pas laisser au roi, qui était à Blois, le temps d’intervenir. Louis DE BERQUIN était le neveu d’Adrienne DE BERQUIN. Il possédait à Vieux-Berquin les fiefs de Jumelles et de Berquin qui seront confisqués par Charles QUINT puis rachetés par Louis DE GRIBOVAL, époux d’Adrienne DE BERQUIN.
 Parmi mes ancêtres, trois branches ont vécu à Vieux-Berquin, village situé sur la voie romaine qui relie Cassel à Bavay, d’une superficie de 2596 hectares soit davantage que la ville de Lille.
La plus ancienne branche est la famille DEGROOTE qui est apparentée à ma grand-mère paternelle Irma DENAES. Trois générations de DEGROOTE ont vécu à Vieux-Berquin durant une petite centaine d’années, de 1630 à 1725.
La branche BURET est peut-être aussi ancienne si ce n’est plus que la branche DEGROOTE mais l’absence d’actes de baptêmes, mariages et sépultures avant l’année 1736 ne me permet pas de savoir depuis quand la famille BURET vivait à Vieux-Berquin. Cette absence d’actes s’explique par le fait que la commune de Vieux-Berquin a été entièrement détruite durant la Première Guerre Mondiale. La branche BURET qui a vécu à Vieux-Berquin de 1679 et sans doute bien avant, jusqu’à 1810, fait également partie des ancêtres de ma grand-mère Irma DENAES.
Enfin, ma branche DEGRAVE a très peu côtoyé ma branche BURET puisqu’elle n’est arrivée à Vieux-Berquin  que dans les années 1804-1806 et jusqu’en 1846. Il s’agit d’ancêtres de mon grand-père Cyr DEQUIDT.
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  tableau réalisé par Paul-Antoine Salvetti
Mon plus jeune ancêtre de la famille DEGROOTE ayant vécu à Vieux-Berquin est Jacques DEGROOTE qui quittera son village natal après son mariage, célébré le 10 février 1725, pour s’installer à Morbecque, le village de son épouse Marie Jeanne DEBUYSER. Dans l’acte de mariage, il est à noter que Jacques ne savait pas écrire tandis que Marie Jeanne  a pu signer. L’âge des époux n’est pas mentionné mais leur filiation est indiquée. On sait ainsi que Jacques DEGROOTE est le fils de Charles DEGROOTE et de Marie Anne MAES.
Les registres paroissiaux de Vieux-Berquin ne commençant qu’en 1736, il est impossible d’en connaître davantage sur Jacques DEGROOTE et sur ses parents. Grâce à Ludovic DEGROOTE, nous pouvons savoir que Charles DEGROOTE est le fils d’un autre Jacques DEGROOTE et de Jeanne DELAETER.
Ce couple Jacques DEGROOTE- Jeanne DELAETER a vécu à Vieux-Berquin entre les années 1630 et les années 1694. Ce n’est donc pas grâce aux actes paroissiaux que j’ai pu avoir quelques renseignements sur eux mais parce qu’ils étaient bourgeois forains d’Ypres, ville qui se trouve à 26 kms de Vieux-Berquin. Ils étaient qualifiés de forains parce qu’ils ne résidaient pas dans la ville d’Ypres.
Plus exactement, lors de l’enregistrement de leur mariage, le 26 février 1655, sur les registres de la bourgeoisie d’Ypres, c’est Jeanne DELAETER qui est qualifiée de bourgeoise alors que son mari Jacques DEGROOTE était étranger à la bourgeoisie. Le couple a réglé le droit de bourgeoisie jusqu’en 1682. Jacques DEGROOTE a été échevin des Cinq Tenances à La Motte au Bois.
Le 6 juillet 1673, Jossine DU TERACHE, veuve de Nicolas ACQUART, une cabaretière de Vieux-Berquin, demeurant en la tenance du château de la Motte au Bois, a obtenu l’autorisation de conserver, durant douze années supplémentaires, la taverne qu’elle exploitait depuis vingt-huit ou trente ans, moyennant une redevance annuelle de trois florins. Cela a été fait au mépris de l’interdiction d’ériger des cabarets en lisière de la forêt de Nieppe qui est située pour partie sur le territoire de Vieux-Berquin.
Jeanne BUENS, la mère de Jeanne DELAETER était également bourgeoise d’Ypres. alors que son époux, Adrien DELAETER était lui aussi étranger à cette bourgeoisie. Il était fermier de l’abbaye de Marquette et collecteur de la tenance de Vieux-Berquin.
Une centaine d’années auparavant, l’abbaye de Marquette a eu bien du souci avec ses fermiers de Vieux-Berquin. Elle avait été contrainte de leur intenter un procès parce qu’ils refusaient de payer leur fermage du fait que leur bail n’avait pas été renouvelé. Plusieurs fermiers ont été emprisonnés à Lille. Après une procédure qui a duré dix ans, un accord à l’amiable a été trouvé entre les protagonistes, en 1547.
Le mariage d’Adrien DELAETER et de Jeanne BUENS a été enregistré sur les registres de la bourgeoisie d’Ypres le 28 avril 1635 et le couple a payé le droit de bourgeoisie jusqu’en 1652.
Hector BUENS, le père de Jeanne était également bourgeois forain d’Ypres résidant à Vieux-Berquin car il a réglé les droits de bourgeoisie de 1632 à 1640.
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A cette époque, Vieux-Berquin qui s’appelait encore Noort-Berkin, n’était qu’une imbrication de seigneuries, de fiefs, d’arrière-fiefs, de tenances, de hameaux. Les chemins étaient bien souvent difficilement praticables à cause de la boue. Peu de voies étaient pourvues de pierres de pas (3), aussi le roi d’Espagne, Philippe IV, par un acte daté du 4 février 1643, autorisa le bailli et les échevins de Vieux-Berquin à lever dix patards (4) sur chaque rondelle de bière (5) qui sera vendue par les taverniers de la paroisse et ce, pendant trois ans, afin de financer la pose de pierres de pas.
Mes ancêtres ont connu une période très agitée en 1638 due aux affrontements entre l’Espagne de laquelle ils dépendaient et la France qui convoitait la Flandre. Vieux-Berquin a souffert du passage des troupes du général autrichien PICCOLOMINI qui était allié à l’Espagne durant la guerre de Trente Ans. Vieux-Berquin tombera dans le giron de la France en 1678, par la paix de Nimègue.
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   tableau réalisé par Paul-Antoine Salvetti
La Révolution Française venait de commencer lorsqu’est née Marie Catherine BURET, le 15 novembre 1789, à Vieux-Berquin dans la ferme de ses parents Pierre Jacques BURET et Marie Jeanne BURET. Eh oui, ses deux parents ont le même nom de famille et sont probablement apparentés mais l’absence d’actes d’état-civil ne m’a pas permis de le démontrer. Marie Catherine est la première fille et le quatrième enfant du couple BURET-BURET qui demeurait canton de Swaertenbrouck.
Elle a été baptisée le jour même de sa naissance par le vicaire Nicolas Jean DE COSTER. Avec le curé de la paroisse, Pierre CAILLIAU et le second vicaire, Jean Baptiste NOEL, ils refuseront tous trois de prêter serment à la Constitution. Ils s’en expliqueront dans une déclaration faite à la municipalité le 19 février 1791 : « Nous déclarons positivement que notre conscience ne nous permet pas de prêter le serment qu’on exige, vu que le spirituel y est fortement compromis ».
Il faut préciser qu’un peu plus de deux mois après la naissance de Marie Catherine, les citoyens de Vieux-Berquin se sont réunis dans l’église, le 1° février 1790, pour élire leur maire. Mathieu Ignace HULLEBERT, ancien bailli qui avait rédigé, en 1789, le cahier de doléances du Tiers-Etat pour Vieux-Berquin a été élu à une très large majorité, par soixante voix sur soixante-dix-neuf.
Suite au refus du curé et de ses deux vicaires de prêter serment, la commune de Vieux-Berquin a accueilli un curé constitutionnel, le citoyen Ambroise PLAETEVOET qui était assisté par le vicaire MAS.
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Il ne restait plus rien du village de Vieux-Berquin à la fin de la guerre 1914-1918
Les prêtres réfractaires ont continué d’officier alternativement avec les prêtres constitutionnels selon un calendrier fixé par la municipalité jusqu’à ce qu’une émeute éclate à l’automne 1791. Elle faisait suite à des menaces reçues par l’abbé CAILLIAU lui annonçant que sa maison et l’église seraient incendiées s’il ne quittait pas la paroisse.
Dans les registres paroissiaux de Vieux-Berquin, on peut voir que les prêtres réfractaires ont célébré tous les actes de baptêmes, mariages et sépultures jusqu’au 2 août 1791, date à laquelle le curé constitutionnel PLAETEVOET et son vicaire MAS se sont imposés pour prendre en charge tous les sacrements de l’Eglise. Ainsi, je constate que Jeanne Victoire Thérèse BURET, la petite sœur de Marie Catherine, née le 23 janvier 1792 a été baptisée par le curé constitutionnel PLAETEVOET.
L’abbé CAILLIAU et ses deux vicaires finissent par quitter Vieux-Berquin durant l’été 1792 pour se réfugier à Dranoutre dans les Pays-Bas espagnols.
A partir du 1° décembre 1792, le registre des baptêmes, mariages et sépultures commencé le 31 décembre 1786 a été remis au maire de Vieux-Berquin, Louis Alexandre BRUNEEL. Ce registre comprend des actes de prêtres réfractaires et de prêtres constitutionnels ainsi que des actes d’état-civil.
Le maire sera inquiété plus d’une fois par les autorités. Ainsi, le 1 février 1794, le directoire du district ordonne l’envoi de la force armée et l’arrestation du maire jusqu’à ce que la commune de Vieux-Berquin ait participé à l’approvisionnement en grain et fourrage de la poste aux chevaux de Bailleul, comme il le lui avait été demandé.
Le 1° mars suivant, un citoyen dénonce aux autorités la conduite de la municipalité de Vieux-Berquin. Selon lui, elle protégerait sept hommes qui auraient dû  partir sous les drapeaux et qui, au lieu de cela, mènent « une vie oisive et exempte de tout péril ».
A l’instabilité politique de cette période, s’est ajoutée une rigueur climatique entraînant une baisse notable des récoltes. Près d’un habitant sur trois a besoin d’être secouru. Il faudra attendre l’été 1796 pour renouer avec une certaine prospérité agricole.
Je ne pense pas que la famille BURET ait émigré durant la Révolution même temporairement ou partiellement car c’étaient surtout les hommes qui trouvaient refuge dans d’autres villages ou au-delà de la frontière. Certains craignaient d’être arrêtés à cause de leur refus de participer aux offices des prêtres constitutionnels, d’autres voulaient échapper à la première réquisition de l’été 1793. Ainsi, au 18 janvier 1794, soixante et onze villageois sur trois mille quatre cents ont quitté Vieux-Berquin et début juin de la même année, ils étaient quatre-vingts quinze.
Marie Catherine passera un peu plus de vingt ans à Vieux-Berquin jusqu’à son mariage, le 3 octobre 1810, avec Philippe BOUDEELE, cultivateur avec ses parents à Wallon-Cappel, avec lequel elle ira vivre tout d’abord à Staple puis à Cassel.
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Sur la place de Vieux-Berquin, on aperçoit l’auberge de la Maison Commune dont la grande salle a servi de mairie jusqu’en 1884.
Avant de passer devant Monsieur le curé, leur union a été enregistrée par le maire de la commune, Pierre Louis DEROO, dans la salle de la « Taverne du Damier »qui a fait office de mairie pendant une petite centaine d’années à tel point qu’elle est ensuite devenue « L’Auberge de la Maison Commune ».
Le père de Marie Catherine, Pierre Jacques BURET, était témoin à son mariage. Il avait alors soixante-huit ans, il était né le 24 novembre 1742 à Vieux-Berquin. Sur l’acte de mariage, on peut lire que Marie Catherine BURET et sa mère Marie Jeanne BURET ne savaient pas écrire. Pierre Jacques BURET était plus âgé que son épouse Marie Jeanne. Lorsqu’il l’a épousée, le 22 août 1782, à Vieux-Berquin, il avait trente-neuf ans alors qu’elle avait vingt-quatre ans. Ils avaient tous les deux un frère prénommé Cornil Joseph et portant le même nom de famille BURET, l’un né en 1744, l’autre en 1759, à Vieux-Berquin, qui étaient tous les deux témoins au mariage de Pierre Jacques et de Marie Jeanne.
Mathieu Joseph BURET, le fils de Cornil Joseph, frère de Marie Jeanne, a eu le malheur d’être bon pour le service lorsqu’il a passé son conseil de révision à Bailleul. C’était une désolation pour les familles de voir leurs enfants partir à la guerre. Il a été incorporé au 108° régiment de ligne le 19 avril 1811 avec le numéro de matricule 8069. Il a participé à la campagne de Russie et il a été présumé prisonnier de guerre le 15 décembre 1812. Il est très vraisemblablement mort loin de chez lui alors qu’il n’avait même pas vingt-trois ans.
Pierre Jacques et Marie Jeanne ont eu huit enfants dont le dernier, Joseph, est né en 1801 alors que son père avait 59 ans. Il ne l’aura pas connu très longtemps car Pierre Jacques BURET devait décéder le 26 avril 1812 à Vieux-Berquin à l’âge de soixante-neuf ans, soit un an et demi après le mariage de Marie Catherine.
En 1805, Pierre Jacques BURET a eu la pénible tâche de devoir déclarer le décès de son fils aîné Pierre Jean alors que celui-ci n’avait que vingt-deux ans. A cette occasion, on peut relever que Louis, un autre frère de Marie Catherine ne sait pas signer non plus, alors que leur père signe les registres.
Cornil Joseph BURET, le père de Pierre Jacques était également laboureur comme son fils. Il avait vu le jour à Vieux-Berquin dans les années 1712 et avait épousé, le 6 février 1742 en l’église Saint Barthélémy, une église à trois nefs qui venait d’être partiellement reconstruite en 1720, une jeune-fille originaire de Steenbecque, Marie Pétronille DEBEYER. Pierre Jacques était leur premier enfant. Il est né exactement neuf mois et dix-huit jours après l’union de ses parents. Ils ont eu encore sept autres enfants ensemble. La dernière n’avait pas encore huit ans lorsque son père est décédé, le 28 février 1762 à Vieux-Berquin à l’âge de cinquante ans.
A cette époque, le problème des voies boueuses n’était toujours pas résolu. En 1771, des habitants de Vieux-Berquin ont adressé une requête à l’Intendant de Flandre et d’Artois, Monsieur DE CAUMARTIN, afin que le réseau de pierres de pas soit développé dans la paroisse. Mais ils n’ont sans doute pas obtenu satisfaction car, cinq ans plus tard, ils finançaient eux-mêmes, à hauteur de cent florins, la mise en place de pierres.
Marie Pétronille DEBEYER a survécu un peu plus de vingt-huit ans à son époux, elle est décédée le 17 septembre 1790 à Vieux-Berquin. Sur l’acte de décès, elle est dite âgée de soixante-dix-huit ans alors qu’en réalité elle avait seulement soixante-quatorze ans.
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L’église saint Barthélémy de Vieux-Berquin en 1914
Dans l’acte de mariage de Cornil Joseph BURET, il est précisé qu’il est le fils de Joos BURET et de Marie Anne HULLEBERT sans aucune autre précision quant à leur âge, leur lieu de résidence ou leur profession. Mais grâce aux mariages des bourgeois forains d’Ypres, je retrouve que Marie Anne HULLEBERT a été bourgeoise d’Ypres. Elle était la fille d’Antoine HULLEBERT et de Marguerite CABOETSE, tous deux également bourgeois d’Ypres.
Marie Jeanne BURET a vu le jour à Vieux-Berquin le 9 octobre 1757. Elle était le quatrième enfant de Jean François BURET et de Marie Jeanne ROYE qui auront dix enfants en tout. Jean François BURET avait déjà eu quatre enfants de sa première épouse Marie Anne STECULORUM qui est morte des suites de couches, le 18 janvier 1749 à Vieux-Berquin, après avoir mis au monde un petit Nicolas Joseph mort quatre jours après sa naissance. Jean François BURET était fermier à Vieux-Berquin.
Dans l’acte de mariage de Jean François avec Marie Jeanne ROYE, célébré le 4 février 1750 à Vieux-Berquin on apprend que Jean François est le fils de Joseph BURET et de Marie Françoise FOORS et Marie Jeanne ROYE est dite fille d’Antoine ROYE et de Marie Catherine DESMIDT. Marie Jeanne ROYE est âgée de vingt-cinq ans à son mariage, elle est donc née vers 1725. Par contre, l’âge de Jean François a été surchargé dans l’acte et il est difficilement lisible. Il faut retrouver l’acte de son premier mariage, célébré le 6 décembre 1742 à Bailleul pour découvrir qu’il n’avait que dix-neuf ans et était encore mineur. Il est donc né vers 1723.
Il faut également ruser pour trouver l’acte de décès de Jean François BURET car le registre des sépultures de Vieux-Berquin de l’année 1791 n’a pas été mis en ligne ou a disparu mais la date du décès est mentionnée dans l’acte de mariage de son fils Jacques Ignace avec sa troisième épouse Marie Jeanne DELVALLÉ, célébré le 30 août 1826 à Vieux-Berquin. Le décès de Jean François BURET remonte au 19 mars 1791. Marie Jeanne ROYE, quant à elle, est décédée un peu plus de deux ans après son époux, le 29 juillet 1793 à Vieux-Berquin. Elle avait septante un ans comme il est indiqué dans son acte de décès.
Peu de renseignements nous sont parvenus concernant les parents de Jean François et de Marie Jeanne. Tout au plus, pouvons-nous trouver leurs actes de décès et encore seulement pour les parents de Jean François. Sa mère, Marie Françoise FOORS est décédée à Vieux-Berquin le 11 mars 1739. Dans son acte de décès, on peut lire qu’elle était âgée de cinquante-cinq ans, donc née vers 1684. Elle est dite fille de Pierre. Son mari est appelé Cornil BURET et non Joseph, peut-être avait-il les deux prénoms ? J’ai trouvé un acte de décès d’un Joseph BURET, fermier, décédé à l’âge de soixante-neuf ans, le 29 septembre 1748 à Vieux-Berquin, donc né vers 1679. Mais j’ai envie de pencher pour une autre date de décès. En effet, dans un acte de décès du 22 avril 1751, on trouve comme témoin Mathieu DEVOS qui avait épousé deux ans auparavant Marie Françoise BURET, fille de Marie Françoise FOORS et de Joseph BURET et sa signature est assez ressemblante à celle qu’il a apposée sur le registre le jour de son mariage, le 7 janvier 1749. L’autre témoin est Joos BURET, j’ignore de qui il s’agit. Je n’arrive pas non plus à lire le prénom du décédé. Celui-ci avait 79 ans à son décès, il était donc né vers 1672.
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acte de décès probable de Joseph Buret (capture d’écran faite sur le site des AD du Nord)
Les grands-parents de Jean François et de Marie Jeanne ont pensé que leur vieux curé Charles Adrien VAN HOUCKE qui avait la charge de la paroisse depuis 1654, avait raison de s’opposer aux décimateurs (6) de la Collégiale Saint Pierre de Cassel mais leur avis importait peu. Le prévôt (7), le doyen et les chanoines de cette Collégiale qui percevaient la dîme sur des terres situées à Vieux-Berquin estimaient que les biens de la cure de cette paroisse étaient plus que suffisants pour que le curé puisse pourvoir non seulement à son entretien mais aussi à celui du vicaire et du coutre (8). Et pourtant le curé avait bien précisé que la paroisse de Vieux-Berquin était l’une des plus difficiles de toute la Flandre. Il estimait les revenus de sa cure à pas plus de cinq cent florins par an ce qui était insuffisant pour rémunérer en plus de lui-même le vicaire et le coutre. Le 11 avril 1690, le bailli et les échevins de Vieux-Berquin avaient condamné les décimateurs de la Collégiale Saint Pierre de Cassel à verser cent cinquante florins par an au vicaire et trente-six florins au coutre. Cette affaire a ensuite été jugée en appel au Parlement de Tournai le 14 novembre 1698, et elle a confirmé que les gros décimateurs des paroisses devaient fournir l’entretien des vicaires et clercs sans recours contre les curés. Charles Adrien VAN HOUCKE décédera un an après ce jugement, le 13 novembre 1699 à Vieux-Berquin. Il avait tout de même quatre-vingt six ans.
Comme partout en Flandre, les décimateurs attendaient d’être condamnés par la justice avant de délier leur bourse qui était on ne peut plus conséquente. Pourtant, en 1692, peut-être refroidis par le jugement ci-dessus, ils ont signé une convention avec la paroisse dégageant neuf cents florins afin de financer les travaux du clocher de l’église. En échange, ils ont tout de même obtenu la garantie de ne plus être sollicités pendant cent ans pour le même type de travaux.
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  tableau réalisé par Paul-Antoine Salvetti
Peu avant que Marie Catherine BURET ne quitte Vieux-Berquin, un jeune ménage de cultivateurs venant de Saint-Venant est venu s’installer rue Verte, dans la partie sud du village, dans les années 1804-1806. Nicolas DEGRAVE et Amélie CANTRAINE amenaient avec eux également trois jeunes enfants ainsi qu’Anne Claire BOUSSEMART, la mère de Nicolas. Cette famille n’était absolument pas flamingante car Nicolas est originaire de Calonne sur la Lys et Amélie a vu le jour à Robecq, deux paroisses du Pas de Calais situées au sud de la Lys. En effet, la Lys a longtemps constitué une frontière entre le français et le flamand. Anne Claire BOUSSEMART était quant à elle originaire de Hem, dans la région lilloise.
Ils auront encore cinq enfants nés à Vieux-Berquin dont mon ancêtre Mélanie DEGRAVE, née le 25 février 1813. Sa grand-mère paternelle, Anne Claire BOUSSEMART n’aura pas eu le plaisir de la tenir dans ses bras car elle est morte le 28 août 1811 à Vieux-Berquin à l’âge de soixante-quatorze ans après un long veuvage de trente-deux ans.
Mélanie DEGRAVE a vécu l’angoisse d’une jeune-fille de Vieux-Berquin, de deux ans plus jeune qu’elle, également prénommée Mélanie, qui s’était fait mordre à la main par l’un de ses chiens réputé enragé, le 3 mai 1842. Ses plaies ont saigné mais elles se sont bien cicatrisées et elle n’a pas jugé bon de les cautériser. Pour prévenir tout risque d’attraper la rage, Mélanie Fortunée Adèle LABIS est allée faire un pèlerinage à Saint Hubert, dans les Ardennes belges, puis elle a repris ses occupations à la ferme qu’elle exploitait avec ses frères et sœurs à la Grande Jumelle, ses parents étant décédés. Mais le 28 juillet suivant, elle ne s’est pas sentie bien, elle fut prise de tremblements convulsifs, elle passa par d’impressionnantes crises de colère. Les médecins n’ont pu stopper l’avancée de la maladie et vingt-quatre heures plus tard, Mélanie LABIS décédait.
Un jeune enfant de six ans, Julien DOUDOUX, est mort du même mal le 7 février 1878, à Vieux-Berquin. Louis PASTEUR n’avait pas encore découvert le vaccin contre la rage.
Mélanie DEGRAVE a vécu trente ans dans sa commune de naissance, jusqu’à son mariage célébré le 10 mai 1843 à Vieux-Berquin avec Louis VITTU avec lequel elle est allée s’installer tout d’abord à Lestrem puis plus tard à Winnezeele.
C’est à cette époque que le maire de Vieux-Berquin, François CAPPON, s’est résolu à demander le remplacement du curé du village, l’abbé Jean Antoine RUYSSEN, un flamandophone natif d’Herzeele que la plupart des paroissiens ne comprenaient pas car seule la partie nord du village parlait encore le flamand. L’abbé RUYSSEN restera dix-huit ans à Vieux-Berquin jusqu’à son décès, le 2 mai 1845, à l’âge de cinquante-huit ans.
Nicolas DEGRAVE, le père de Mélanie DEGRAVE, est décédé peu de temps après qu’elle se soit mariée. A sa mort, à quatre-vingts ans, le 8 novembre 1846, il demeurait toujours rue Verte. Son épouse, Amélie CANTRAINE est ensuite allée vivre à Saint-Venant.
  Une autre de mes ancêtres a vécu très brièvement à Vieux-Berquin car Cornélie DERAM n’était autre que la mère du vicaire de la paroisse, Charles Joseph WATERLOOT. Il avait vingt-cinq ans lorsqu’il a déclaré le décès de celle-ci, le 7 septembre 1739. Il était accompagné de son jeune frère de dix-huit ans, mon ancêtre Pierre François WATERLOOT. Elle a été inhumée dans l’église de Vieux-Berquin. Cornélie DERAM était originaire de Lynde et avait perdu son époux le jour de Noël 1727. En 1737, sa fille Marie Adrienne a épousé en deuxièmes noces le bailli de Vieux-Berquin, Louis François BURIE.
Lors de son premier mariage, en 1732 avec Pierre DE PECKEL, Marie Adrienne est dite originaire de Vieux-Berquin. On peut donc supposer que Cornélie DERAM est venue vivre à Vieux-Berquin entre 1727 et 1732, avec les enfants qui restaient à sa charge.
  (1)     aune : ancienne unité de mesure qui variait selon les villes de Flandre entre 0,62 m '(Cassel) et 0,719 m (Dunkerque).
(2)     haute justice : plénitude de juridiction au civil comme au pénal (le seigneur peut juger toutes les affaires et prononcer toutes les peines dont la peine capitale)
(3)     pierres de pas : stapsteenen en flamand ; il s’agit de blocs de grès de 30 cm de largeur par 70 cm de longueur, espacés entre eux de 30 à 40 cm permettant d’éviter de marcher dans la boue
(4)     patard : monnaie des Pays-Bas
(5)     rondelle de bière : tonneau d’une contenance de 593,6 litres de bière
(6)     décimateur : qui perçoit la dîme
(7)     prévôt : dans le cas d’une communauté religieuse, il s’agit du supérieur de la communauté
(8)     coutre : sacristain et souvent maître d’école
  Sources :
Ludovic DEGROOTE : Généalogie de la famille Degroote
Ludovic DEGROOTE : Mariages des bourgeois forains d’Ypres (1610-1795)
Jean-Pascal VANHOVE : De Noord-Berkin à Vieux-Berquin, 850 ans d’histoire
Jacques MESSIANT : Chemins et chapelles autour des monts de Flandre, un patrimoine à découvrir et protéger
Emile COORNAERT : La Flandre française de langue flamande
 Mathieu PINAULT : Recueil d’arrêts notables du Parlement de Tournay, tome second : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9609864r/f166.item.r=noort-berkin.zoom
 Généanet : matricules napoléoniens :
http://www.geneanet.org/archives/releves/search_etat_civil.php?search=buret+vieux-berquin&clef=dep_91&ref=fraalsf67und5&place=UND&sens=liste
 Retronews : La Presse du 11 août 1842 :
http://www.retronews.fr/journal/la-presse/11-aout-1842/126/522469/2
 Gallica : Bulletin de la Société d’Etudes de la Province de Cambrai : tome XVI, année 1911
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6308286m/f98.item.r=jules%20lemire%20vieux-berquin%201874.zoom
Gallica : Mémoires de la Société d’Etudes de la Province de Cambrai : Tome XXI, année 1914 :
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6308286m/f98.item.r=jules%20lemire%20vieux-berquin%201874.zoom
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mugofink · 7 years
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Trompe l'oeil with Palettes and Miniature, Jean François de Le Motte, European Paintings
Bequest of Harry G. Sperling, 1971 Size: 46 7/8 x 36 1/8 in. (119.1 x 91.8 cm) Medium: Oil on canvas
https://www.metmuseum.org/art/collection/search/436347
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eglise22 · 5 years
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Le léopard, l'hermine et le lys
Sous la direction de Monsieur Luc Guéraud, Professeur à l'Université Rennes 2. Suffragant : Monsieur Jérôme Beaumon, Rennes 2 (Docteur en Histoire)
Ce mémoire de Master 2 Recherche, mention Histoire du droit et des institutions a été soutenu le 20 juin 2019 à Rennes.
Dans l'introduction l'auteur évoque la violence, la justice et la résolution des conflits au Moyen-âge central en décrivant l'exemple de François Villon. Il est rappelé l'intérêt récent des médiévistes pour la justice et la résolution des conflits, déjà étudiés en Anjou, en Gascogne, mais aussi en Italie, en Irlande et en Hongrie. L'étude va alors porter sur la situation de la Bretagne du XIe au XIIIe siècle.
Le matériau servant à l'étude est le cartulaire recueil de copie des titres relatifs aux biens d'une personne, à ses droits et les documents concernant son histoire ou son administration… (p. 12).
I. L'affermissement progressif de l'autorité ducale : des contreforts en construction.
L'auteur, comme on le voit dans son titre, recourt à l'héraldique pour montrer les liens entre la Normandie et la Bretagne. Cet exemple n'empêche pas le Duc de la Bretagne d'être un juste justicier et de nombreux exemples de ses interventions judiciaires sont citées. Ils montrent que la Bretagne a une administration apte à rendre la justice et que les juridictions du duc ne sont pas inexistantes.
L'auteur décrit alors de façon vivante la procédure employée devant les juridictions. Des mots qui paraissent ésotériques au XXIè Siècle font alors leur apparition : la calumpinae, la clamor, le plaid, l'ensaisinement (p. 57).
Le dernier rituel consiste à déposer sur l'autel, en présence de nombreux témoins, un objet qui constitue un symbole d'investiture : motte de terre, rameau ou branche d'arbres, gants, un couteau recourbé et le pallium. La description de la procédure montre qu'il s'agit d'une justice rendue en public.
A côté de cette justice cohabitent d'autres modes de règlement des conflits, particulièrement appréciables lorsqu'il n'y a pas de tribunaux ayant une juridiction reconnue (p. 62). Il existe des actes, on les appellerait aujourd'hui des clauses compromissoires ou des compris d'arbitrage, aptes à régler des conflits à naître ou déjà nés.
L'auteur ne voit en effet que trois façons de régler un conflit : la vengeance, le jugement ou le compromis.
La vengeance n'est pas une violence épaisse. Elle est canalisée et règlementée sous le nom de faida ou vindicta.
II. L'arsenal juridique au « chœur » de la résolution des conflits (p. 68).
Sous la rubrique « le matériel probatoire », le mémoire commence par aborder les cartulaires en prenant l'exemple de celui de Sainte Croix de Quimperlé. Il souligne la prévalence de l'écrit.
Sous la rubrique, preuves et épreuves, sont évoqués, d'un terme général, « les leges, les ordalies, les duels et les serments judiciaires ».
Puis est abordé le compromis dont l'auteur souligne toute la faveur qu'il rencontre auprès de nos contemporains sous l'appellation de mode alternatif de règlement des conflits (MARC). L'arbitrage est une possibilité bien décrite dont on montre un exemple en 1257, à la Chambre des Comptes de Paris, mais pour un litige où Jean Ier, Duc de Bretagne est arbitre avec Guy de Lusignan. Par une transaction on peut également régler un litige et l'exemple en est montré en 1235 comme le fait savoir Pierre Ier, Duc de Bretagne. Ici est soulignée une particularité : la transaction est destinée à être connue sur la place publique. L'étude montre que, en étudiant plusieurs exemples, les modes alternatifs de règlement des conflits se développent au 13è siècle.
Puis sont abordées les formalités des compromis (p. 102). Ici pas de jugements normatifs pour fonder la décision. Pas de « gagnant » ni de « perdant » à peine de relancer la vengeance. Il faut tenir compte « des sentiments subjectifs des personnes impliquées, de leur fierté, leur honneur ou leur honte ».
Il faut souligner que « le raisonnement en équité répond aux impératifs de la société médiévale » (p. 108). On voit avec intérêt que « la justice médiévale apparaît surtout comme une justice restauratrice et corrective du tissu social ».
Plus étonnante, par rapport au sujet du mémoire, paraissent des développements (p. 109 et s.) consacrés au don, c'est-à-dire aux donations. Des exemples sont fournis à propos des donations faites aux églises et aux abbayes. Il y a un véritable rituel car le plus souvent le donateur dépose sur l'autel un parchemin contenant l'acte. Est cité un exemple de 1133 fait à Rennes à l'Abbaye Saint-Mélaine. Le rapport avec le conflit parait éloigné, mais les donations sont souvent l'objet de conflits ou, exceptionnellement, peuvent venir éteindre un contentieux comme le montre l'exemple de Sainte Croix de Quimperlé en 1085.
III. L'influence des Plantagenêts en Bretagne : véritable tympan ou simple festion ? (p. 117).
Pendant trente-six ans, de 1166 à 1202, la Bretagne est incorporée au gouvernement de « l'empire » angevin. Pendant une même période (1154-1189) cet « empire » comprenait l'Angleterre et la moitié de la France. A sa tête se trouvait un véritable homme d'Etat, Henri Plantagenêt. Cette situation a-t-elle entraîné pour la Bretagne des conséquences durables ?
Il faut d'abord se pencher sur le modèle d'administration anglo-normand : le Sénéchal de Bretagne. Les sénéchaux apparaissent au XIe siècle pour la Normandie, l'Anjou et le Maine. Le premier sénéchal de Bretagne apparaît avant 1040. Il est conduit à juger une cause en 1089 entre l'évêque de Vannes et Rennes et l'Abbaye Saint-Mélaine. Les fonctions de sénéchal s'étendent avec le temps, mais tout bien pesé, ne paraissent pas avoir été militaires. Elles se limitent à un rôle administratif et judiciaire (p. 128).
L'auteur se penche ensuite sur une singularité, l'enquête de pays : testimonium patriae (p. 130). Le mode de procédure, avant de s'appliquer en Bretagne, s'appliquait en Normandie et peut-être en Anjou. Un exemple est cité en Bretagne par une enquête à Combourg et un autre à Saint-Gildas de Rhuys en 1187. Cette enquête rassemble un grand nombre de témoins, normalement douze, qui, avec le juge, disent le droit, par exemple face à une revendication de propriété.
Dans la conclusion générale le mémoire explique que son étude contribue à montrer que la justice féodale n'est pas en régression quand prévaut déjà l'idée que « la justice est la condition de la paix… Dieu a établi les rois pour que règne la justice » (p. 139).
Dans le Trégor, à la même époque, Yves Hélory de Kermartin intervenait comme official ou comme défenseur dans des conditions que rapporte avec fidélité l'enquête canonique de canonisation, disponible aux Éditions de l'Harmattan dans sa traduction par Jean-Paul Le Guillou.
Ce travail rend hommage à ceux qui ont faim et soif de justice. Il montre que le service public de la justice, dès les temps plus anciens, sous-tend une valeur qui porte le même nom et mérite d'être considéré comme une valeur évangélique. Dès lors on comprend que le Fonds Saint Yves ait envisagé de distinguer ce travail.
Écrit d'une plume alerte, ce mémoire ne comporte quasiment aucune coquille ou faute de syntaxe sur le plan formel, trait suffisamment rare de nos jours pour être souligné. On sait que l'étudiante a entrepris désormais une thèse dont ce mémoire parait constituer un avant-propos fécond.
Yves Avril
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tripstations · 5 years
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France’s Chicest Hotel Family Has Come to Languedoc. Is That a Good Thing?
When the French painter Gustave Courbet depicted the flat pale gray beach of the Languedoc Coast in “The Seaside at Palavas,” in 1854, it was wild and empty, which is what makes the tiny man in a suit doffing his top hat at the low dark green waves rolling in off the Golfe de Lion so poignant.
Successive building booms tamed that wildness, first during the 1920s, and then again during the three decades from 1945 to 1975 that the French call “Les Trente Glorieuses” (the 30 glorious ones), when the country’s economy was thriving after World War II. In the early 1970s, the government of French President Georges Pompidou, frustrated to see so many Gauls heading south to Spain for their holidays, drew up plans for new resorts on the Languedoc coast, notably La Grande Motte and Cap d’Agde. These huge blocks of blunt-looking white-painted concrete holiday flats and hotels with affordable rates gave the Languedoc coastline its less-than-glamorous reputation.
So the Languedoc was an unlikely spot for the trendsetting brothers Jean-Louis and Guy Costes to have opened the family’s first hotel outside Paris, the 72-room Plage Palace, in the low-key beach resort of Palavas-Les-Flots, five miles south of the year-old TGV Montpellier Sud de France train station.
When Jean-Louis Costes and another brother, Gilbert, opened the family’s first hotel in 1995, its louche Napoleon III decor jolted the sedate world of Paris luxury hotels. If the French capital’s grande-dame palace hotels spun on the fantasy of spending a night in an aristocrat’s chateau, the Hotel Costes, with its low lighting, plush fabrics and carefully cast staff, seemed to suggest that it might be more fun to bed down in a bordello instead. The international fashion world promptly made it one of its favorite Paris addresses.
Like many people from the Aveyron region of central France, the Costes spent their childhood summer holidays in Languedoc, but nostalgia alone can’t entirely explain the daring of this newly built property, which cost between 25 and 30 million euros, or about $40 million according to the French press (the Costes have declined to comment on the hotel or its cost). The Plage Palace is a bold bet that there’s a market for something new, in this case, a style-driven luxury hotel on a stretch of the French Mediterranean coast that’s never had the glamour of the Côte d’Azur.
Palavas-les-Flots, a 20-minute drive from the TGV station, is over a bridge from the mainland on a long narrow barrier island with a series of lagoons on its northern shore and the Mediterranean on its southern one. It’s a motley mix of low-rise 50s and 60s apartment buildings, small bungalows covered with ivory, umber or pink stucco, and cafes and souvenir shops brightened during the summer by huge banks of oleander.
First step, find the hotel
Since it’s hidden by thick plantings and a wall of weathered planks and has no signage, the Plage Palace was not easy to find. Three times I went through a gate I guessed was the entrance looking for a place to park, only to quickly find myself in front of the sign that said Sortie (Exit) and back on the road by which I’d arrived. On a fourth try, the road was blocked by a car with Swiss license plates, and a smiling bellhop-cum-valet parking attendant dressed in white suddenly emerged from the greenery.
“Hey, welcome! Leave your car here, and I’ll take care of it,” he said, and escorted me up a curving boardwalk to the hotel. When I mentioned I’d had a tough time reaching the hotel, he nodded.
“Eh, oui,” he said. “The Costes are very discreet people, and they want the hotel to be a surprise.”
The hotel, a new-built, all-white, Cubist-style, two-story building, is pure Costes. The staff have been carefully cast from the young and beautiful, the property has a major design pedigree: the Paris-based interior architects Buttazzoni, Imaad Rahmouni and François-Joseph Graf collaborated on it. Lounge music thumps from speakers in the restaurant, and the wooden deck overlooking a heated saltwater pool and a neatly groomed stretch of beach is furnished with sun loungers, white umbrellas and a bar-restaurant. Checking in, I noticed one big difference in the Costes’ Languedoc hospitality style: Unlike the hauteur that characterizes the service in many of their Paris establishments, the staff were welcoming and friendly.
Rooms, most of which have sea-views and private terraces or balconies, come with appealingly minimalist beach-shack décor (they start at 300 euros a night, or about $336). The restaurant has almost exactly the same basic — and expensive, menu as the brothers’ several dozen restaurants and brasseries in Paris — dishes like steamed shrimp dim sum or tuna and avocado tartare, and in a rare feint at local gastronomy, a stew of bull’s meat eaten in the adjacent Camargue and grilled cuttlefish from the neighboring port of Grau-le-Roi.
In the bar before dinner, the crowd was chatting about their winter vacations in Saint Barth’s and Thailand. I couldn’t help but wonder what the pampered clientele would find to do if they decided to step outside this carefully created bubble of luxury.
Outside the bubble
So after an excellent buffet breakfast at the Plage Palace, I set out to discover the appeal of the Languedoc coastline as a destination, whatever your travel budget might be. Driving 12 miles east, I passed through La Grande Motte, and arrived at Aigues Mortes, a walled medieval town surrounded by marshes and salt pans. In 1240, King Louis IX ordained the construction of a port in what was then a village of fishermen and salt harvesters that would serve as the embarkation point for French troops heading off to the Crusades in the Holy Land. His son Philip III ordered the construction of stone ramparts to completely encircle the town, and today these formidable fortifications are a French national historic monument.
I enjoyed the briny breezes and sweeping views over the town, the surrounding marshes and the vivid pink salt pans during a leisurely hourlong ramble around the ramparts with just the occasional noisy sea gull overhead to keep me company.
From Aigues Mortes. I backtracked a few miles to the pretty little seaside town of Le Grau-du-Roi, the second largest French fishing port on the Mediterranean. At Le Vivier, a restaurant in the old town, I tucked into a 24-euro, prix fixe lunch of locally caught shrimp cooked in a crust of salt and rouille Gaulenne, a succulent casserole of stewed octopus and potatoes served with lashings of garlic mayonnaise, a local specialty. I enjoyed this very good value meal with a glass of white Picpoul de Pinet, a Languedoc white.
After lunch, tipped off by a friend in Paris, I spent a lazy afternoon at the magnificent Plage de L’Espiguette, a six-mile long strand of dunes and white sand just outside Le-Grau-le-Roi. As a New Englander who habitually went to the beach with nothing more than a towel and a good book, I preferred this vast empty wild shoreline to the carefully groomed beach at the Plage Palace.
I arrived at the recently renovated and very popular 10-room Hotel Les Coquilles in Palavas-les-Flots at the end of the day, where the owners were exceptionally welcoming and friendly (they also own La Cave d’Aristide, a very good wine store on the premises). They also volunteered a very good recommendation for dinner, Le Saint Georges, where I had an excellent meal of shrimp tartare with fava beans and rhubarb vinaigrette and grilled sea bream, squid, zucchini and artichokes.
With spacious rooms priced at about 90 euros a night, Les Coquilles highlighted the appeal of being in a place mostly overlooked by foreigners.
Forty minutes west of Palavas-les-Flots, the brawny old port town of Sète was built in 1666 to encourage commerce on the Canal des Deux Mers, which is today better known as the Canal du Midi. The port boomed after the French conquest of Algeria in 1830.
The outskirts of Sète are gritty and industrial, but the heart of the city, which is built on a series of canals, has a sepia-toned, 19th-century charm exemplified by Le Grand Hotel, a delightful three-star property with great canal views and an atmospheric interior atrium with wrought-iron balconies. Sète, long well-known for its tieilles — pastry tarts stuffed with a ragout of octopus in a spicy tomato sauce — has recently become a great food town, too. I had a quick but delicious lunch of deep-fried merlan (whiting) and panisses (fried chickpea-flour beignets) at Fritto, a French style fish-and-chips shop, and rushed off to the Quai de la Resistance to catch the jousting on the canal.
The first jousting tournament in Sète took place on July 29, 1666 to celebrate construction of the port. Originally, tournaments opposed young bachelors in a blue boat to married men in a red one. Before the tournament starts the jousters parade with an oboist and a drummer playing the traditional jousting tune. Then the battle begins, with the jousters using their spears to try and make their opponents fall into the canal. In Sète, jousting takes place from June to early September, and the tournament schedule is available from the tourist office.
A friendly Dutch couple with whom I fell into conversation during the spectacle told me they come to see the jousting every year at the beginning of their annual beach holiday, and then invited me to join them for dinner at the Michelin one-star The Marcel, where the talented young chef Fabien Fages took over the kitchen last year. Over an excellent meal of marinated Mediterranean tuna with crunchy vegetables in a tonnato sauce and red mullet in an anise-spiked court bouillon with chorizo oil, conversation flowed as easily as the white wine.
Oysters, wine caves and the option to bare it all
The following day, the drive from Sete to Marseillan along the Etang de Thau on a road shaded by plane trees was blissfully bucolic. I was on a mission to scarf down a dozen oysters at Le Saint Barth just outside of Marseillan. This simple water’s edge seafood shack is run by the Tarbouriech family, who farm the meaty, iodine-rich oysters that many consider the best in France at the foot of the wooden deck adjoining the restaurant.
After lunch, I took a guided tour of the Noilly Prat caves in Marseillan, where the Vermouth maker has been based since 1855. Noilly Prat is made from white grapes — Picpoul de Pinet and Clairette, grown in the vineyards that surround the town — and aside from the secret mixture of herbs and spices that season the dry full-bodied amber-colored wine, its character, I learned, comes from a two-step aging process. This interesting visit concluded with a tasting of the four vermouths they produce: Original French Dry Vermouth, Red Noilly Prat, Ambre Noilly Prat, and Extra Dry Noilly Prat, which is primarily produced for the cocktail-loving North American market.
Slightly pickled, I walked into the old town of Marseillan to the five-room B & B Rue Galilee, where I discovered one of the most delightful small hotels I’ve ever found in France. This old stone house with blue wooden shutters and boxes of red geraniums was meticulously renovated by the Swedish owner Janne Larsson. The generous Scandinavian style breakfast, including herring and house-smoked salmon, that was served the next morning was excellent, too.
Nine miles south of Marseillan, Le Cap d’Agde is the last major beach resort on this stretch of shore and was developed in the 1960s by architect Jean Le Couteur in one of France’s largest state-run development schemes. It also has one of the country’s largest nudist colonies.
Deciding to spare the bared my rather portly presence, I regretfully ended my trip and hopped a TGV train home to Paris in nearby Beziers.
As the train pulled out of the station, I thought of my new Dutch friends. During our dinner, I’d asked them why they’re so loyal to the Languedoc.
“It’s cheap, pretty and unpretentious,” said Esmee, a doctor in Rotterdam. “Good beaches, but lots of history, too.”
“The food and wine are excellent, too” added her architect husband Carel.
I agreed with them both.
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LUNDI 10 DECEMBRE 2018 (Billet 3 / 6)
Préambule un peu long mais obligatoire avant de répondre aux 2 questions posées dans les 1er et 2ème Billets.
Samedi soir (quatrième samedi de manifestation des Gilets Jaunes et leurs cortèges d’extrémistes et de casseurs de tout poil) nous avons failli ne pas aller à l’anniversaire de notre quasi-cousine, Catherine (W.B.). En effet, au moment de prendre le Métro à Boucicaut, par précaution, nous avons demandé à un agent de la RATP si on pouvait accéder et changer à la station Opéra.
Bien nous en a pris. Il avait devant lui un grand plan et nous a tout de suite dit que nous serions obligés de descendre à la Motte-Piquet... que la rame s’arrêtait là et que toutes les Lignes qui passaient dans ce périmètre (il nous dessine alors un gros cercle sur toute la moitié Ouest du réseau parisien) étaient arrêtées. Puis, après un rapide calcul, il nous a informés qu’il allait nous falloir environ 1h30 pour nous rendre Porte de Champerret (où là, en plus, nous devions prendre un Bus...).
Nous avons hésité 2 secondes : retourner à la maison ou... ? Finalement, on a commandé un Uber... et sommes même arrivés les premiers chez les W.B.
Les soirées chez Catherine et Jean-François sont toujours sympathiques, anniversaire ou pas. On s’y retrouve nombreux, presque toujours les mêmes, avec grand plaisir. Nos hôtes sont charmants et le Champagne, généreusement servi, délie les langues, on aborde mille et un sujets avec les uns et les autres… Bref on passe toujours une excellente soirée.
Nous étions assis entre Bruno et Sophie (R.), d’autres quasi-cousins et nous leur avons demandé des nouvelles de leurs amis qui venaient de passer une dizaine de jours à Zanzibar (Bernard pour un séminaire, Corinne en accompagnante).
Le croiriez-vous, au même moment JM reçoit dans son iPhone, de son ami Nicolas (K.) qu’on ne vous présente plus, toutes les photos que vous avez vues ci-dessus (Billets 1, 2 et 3), prises au Pérou (voir plus loin).
Du coup, nous avons parlé un bon moment avec Sophie de Zanzibar et avec Bruno, du Machu Picchu où il était allé il y a très longtemps. Il nous a d’ailleurs transmis hier matin des photos qu’il a numérisées à partir de ses diapos originales (voir le Billet suivant).
Bravo aux 2 photographes et un grand merci à Nicolas d’avoir partagé ses souvenirs de son « Inca Trail ».
Son selfie (voir la 5ème photo du 1er Billet) va encore augmenter le nombre de ses admiratrices parmi les lectrices/abonnées du Blog.
Samedi soir en tout cas, malgré les Gilets Jaunes et grâce à ces photos, nous avons communiqué avec lui : entre Courbevoie, Zanzibar, le Machu Picchu... et même Bruno (à l’époque pas encore trentenaire). Vive le Net !!! Ci-dessous le WhatsApp de Nicolas qui accompagnait l’envoi de ses photos. —————— « Salut les amis. Je rentre de 3 semaines de voyage au Pérou et en Argentine avec le propriétaire de mon hôtel. Que du bonheur ! On a fait le « Inca Trail »... une belle rando de 4 jours pour atteindre le Machu Picchu Je viens de reprendre contact avec la civilisation... et de voir sur le Blog que des amis à vous étaient à Zanzibar. » ————- Puis, après avoir échangé quelques WhatsApp vocaux avec Zanzibar, JM a retrouvé Courbevoie, Marina... et les invités de Catherine et Jean-François.
Nous embrassons bien affectueusement la maîtresse de maison et lui souhaitons encore une fois UN TRES JOYEUX ANNIVERSAIRE.
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agencemetijori · 7 years
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Nouvelles de nos artistes/ News!
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ARTISTES DE L’AGENCE METI JORI 2017 / ROSTER OF METI JORI AGENCY!
Il nous fait plaisir de vous donner les récentes nouvelles de nos talentueux artistes de l’Agence Meti Jori!
We are glad to give you recent news of our wonderful artists of Meti Jori Agency!
Nous sommes heureux de représenter les merveilleux chanteurs: Geneviève Lenoir, soprano, Carlos Natale, ténor et Benoit Pitre baryton-basse qui se joignent à notre agence Meti Jori!
We are glad to represent wonderful singers Soprano Geneviève Lenoir, tenor Carlos Natale and bass-baritone Benoit Pitre that are joingning our agency! 
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La soprano Geneviève Lenoir séduit le public avec son timbre éclatant et son vif tempérament scénique. page web de Geneviève:
cliquer ici
The bright and dazzling soprano voice of Geneviève Lenoir and her lively stage acting seduces publics wherever she goes. click here
Le renommé ténor Carlos Natale a donné de nombreux concerts dans des lieux prestigieux en Argentine, aux Etats-Unis, en France, en Allemagne, en Autriche et en Italie. Ses futurs engagements incluent: Orlando Paladino ( Opéra de Lausanne Février 2017), La princesse légère (Opéra Comique de Paris, Mars 2017), La belle Hélène (theâtre de Poitiers, Avril 2017), Misa Criolla au Chili, Mai 2017, Le grand macabre (Teatro Argentino de La Plata, Buenos Aires) Juin-Juillet 2017. page web de Carlos: cliquer ici
Renowned tenor Carlos Natale has performed concerts in many important theaters of Argentina, USA, France, Germany, Austria and Italy. Upcoming engagements in 2017 include Orlando Paladino (Haydn) at Opera de Fribourg and Opera de Lausanne and "La Princesse légère (Violeta Cruz) at Opera Comique de Paris. Carlo’s webpage: click here
Benoit Pitre, baryton-basse se distingue par son charisme, son timbre riche et chaleureux ainsi que ses talents d'acteur. Ses prochains engagements incluent un concert Verdi à Berlin, Phantom der Oper dans le Brandenburg, récitals franco-quebeco-belge en mars et avril et  Nozze di Figaro à Berlin.
page web de Benoit: cliquer ici
Benoit Pitre stands out through his warm bass-baritone timbre, his charisma and his engaging acting skills. His next engagements include a Verdi concert in Berlin, Phantom der Oper in the Brandenburg, recitals franco-quebeco-belge in March and April and Nozze di Figaro in Berlin.
Benoit’s webpage: click here
On verra au cours des prochains mois, nos artistes performer à l’échelle nationale et internationale. Our artists will be busy performing on the National and international scene in the next few months.
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Hugo Laporte vient de briller récemment en Europe, aux Opéras de Regensburg, Théâtre Comunale de Bologne et au SWR Junge Opernstars et sera maintenant Escamillo dans Carmen de Bizet, à la Sociéte d’Art Lyrique du Royaume puis sera soliste en mars dans  La petite messe solennelle de Rossini avec Le Choeur Les Rhapsodes et présentera un récital de mélodies françaises avec le pianiste Jean-François Mailloux.à Northern Arts & Cultural Center, Yellowknife. www.hugolaporte.ca
Hugo Laporte has just recently shone in Europe, at the Operas Regensburg, Comunale Theater of Bologna and SWR Junge Opernstars and will now be Escamillo in Bizet’s Carmen, at La Société d’Art Lyrique du Royaume and then soloist in March in La petite messe Solennelle from Rossini with The Rhapsodes Choir and will present a recital of French melodies with the pianist Jean-François Mailloux at Northern Arts & Cultural Center, Yellowknife. Www.hugolaporte.ca
Voici Hugo dans l’air de FIGARO CLIQUER ICI
avec SWR Junge Opernstars Emmerich Smola Förderpreis 2017 Deutsche Radio Philarmonie Dir. Lorenzo Coladonato Jugendstil-Festhalle, Landau, Germany
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Hugo Laporte, baryton
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Marie-Andrée Mathieu, mezzo
"Grande lauréate des Jeunes Ambassadeurs Lyriques 2016 (huit fois boursière et nommée « Jeune espoir lyrique québécois »), Marie-Andrée Mathieu sera invitée à chanter en Allemagne, en Autriche et en Chine en 2017-2018. Elle est présentement au Theater Erfurt (Allemagne) pour un stage et une audition. Elle chantera également lors des prochaines représentations d'Armide de Gluck les 24 et 30 janvier (après avoir chanté lors de la première le 14), au Staatstheater Mainz, dans le rôle de "Un plaisir". Le mois prochain, après un séjour au Mainfranken Theater Würzburg, elle sera au Staatstheater Nürnberg, où elle se produira notamment lors de deux concerts."
cliquer ici
Marie-Andrée Mathieu will be invited to sing in Germany, Austria and China in 2017-2018, and is currently at the Erfurt Theater (France). She is the winner of the Young Ambassadors Lyriques 2016 (eight times a scholarship and named "Jeune espoir lyrique québécois" Germany) for an internship and an audition, and will also sing at the forthcoming performances of Armide de Gluck on 24 and 30 January (after singing at the premiere on 14th) at the Staatstheater Mainz in the role of "Un plaisir" And will be staying at the Mainfranken Theater Würzburg next month at the Staatstheater Nürnberg, where she performs at two concerts.
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Kevin Myers ténor
Notre magnifique ténor Kevin Myers sera Monostatos dans la Flûte enchantée de Mozart  au Pacific Opera Victoria!
Our wonderful tenor Kevin Myers will be Monostatos in Mozart’s Magic flute at Pacific Opera Victoria! 
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Marcel Beaulieu, basse
Notre riche voix de basse Marcel Beaulieu interprétera les rôles du juge et du médecin dans la création mondiale de l’opéra Another brick in the wall à l’Opéra de Montréal! cliquer ici
Critically acclaimed for his rich, deep voice Marcel Beaulieu will perform the judge and the doctor in the new production of Pink Floyd's composer Roger Waters ''Another Brick in the Wall ''.
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Louis Lavigueur, chef d’orchestre
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Maestro Louis Lavigueur dirigera plus d'une vingtaine de concerts d'ici juillet 2017 avec l'Orchestre Symphonique des Jeunes de Montréal, Sinfonia de Montréal, les Choeurs Classique et Polyphonique de Montréal et Polymnie de Longueuil. Gounod, Duruflé, Rossini et Bruckner à la Maison symphonique, Mozart et des oeuvres de la Renaissance à nos jours à Longueuil, Beethoven, Dubois et Schubert à la Cathédrale de Montréal, Mendelssohn, Spohr, Rachmaninov, Top, Fauré et Schumann à la Salle Claude-Champagne"
Nos chanteurs Audrey Larose-Zicat soprano, Marie-Andrée Mathieu, mezzo et Marcel Beaulieu basse seront solistes du Requiem de Mozart avec l’Ensemble Vocal Polymnie en avril ainsi que Natalya Gennadi soprano, Kristine Dandavino mezzo et Robert Huard basse seront solistes de La Messe en Do majeur, op 86 avec le Choeur polyphonique sous la direction de Maestro Lavigueur.
Maestro Louis Lavigueur will conduct more than twenty concerts by July 2017 with the Montreal Symphony Youth Orchestra, Sinfonia de Montréal, the Montreal Classical and Choeur Polyphonique and the Longueuil’s Polymnie in  Gounod, Duruflé, Rossini and Bruckner at the Maison symphonique, Mozart and works from the Renaissance to the present day in Longueuil, Beethoven, Dubois and Schubert at the Cathedral of Montreal, Mendelssohn, Spohr, Rachmaninov, Top, Fauré and Schumann at Claude Champagne Hall.
Our singers Audrey Larose-Zicat soprano, Marie-Andrée Mathieu, mezzo and Marcel Beaulieu bass soloists will be soloists of  the Mozart Requiem with Vocal Ensemble Polymnie in April and Natalya Gennadi soprano Kristine Dandavino mezzo and Robert Huard bass will be soloists in Mass in C major, op 86 with the choeur Polyphonique under the direction of Maestro Lavigueur.
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Kristine Dandavino, mezzo
Kristine Dandavino, merveilleuse mezzo sera Ortrud dans Lohengrin de Wagner (en concert) avec Opera by Request le 4 février 2017 et le 7 mai 2017 avec Oshawa Opera (en concert)!
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Natalya Gennadi, soprano
Natalya Gennadi interprétera le rôle titre de Suor Angelica avec Cathedral Bluffs Symphony Orchestre cliquer ici
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Julie Nesrallah, mezzo
Wonderful mezzo Julie Nesrallah will perform with the McGill Chamber Symphony on Valentine's Day Gala and have a recital with harpist Caroline Leonardelli in New Brunswick www.julienesrallah.com
Ravissante mezzo Julie Nesrallah chantera pour le grand gala de la St-Valentin avec le Mc Gill Chamber Orchestra et sera en récital avec la harpiste Caroline Leonardelli.
www.julienesrallah.com
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Sergio Cabrera, ténor
Notre ténor Sergio Cabrera spécialisé en musique baroque, interprétera le rôle titre d’Aci dans Aci et Galatea en Italie, au Teatro Garibaldi Modica et par la suite au Théâtre Bellini de Catania et au International Baroque Festival of Noto .
Sergio's webpage: click here
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Chantal Dionne, soprano
Chantal Dionne sera en récital le 16 mars dans la série LesMélodînes avec la  Société ProMusica -récital d’airs de duos avec le baryton Christoher Dunham et la pianiste Louise-Andrée Baril
Après une saison bien occupée aux Opéras de Regensburg et San Carlo de Naple, notre ténor Enrico Iviglia chantera dans les opéras La Betly (G. Donizetti) Appenzel (Swiss), La Cenerentola, Theater Regensburg, Stabat Mater (G. Rossini) à Milan et Il viaggio a Reims au Teatro dell'Opera di Roma.
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Enrico Iviglia, ténor
VOICI LE CANAL YOUTUBE DE ENRICO IVIGLIA: CLIQUER ICI
Notre renommée mezzo Elena Sommer sera au Théâtre de Mariinsky pour interpréter les rôles de Fatamorgana dans L’amour des trois oranges de Prokofiev et Mme de le Haltiere dans Cendrillon de Massenet.
cliquer ici
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Elena Sommer. mezzo
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Chantal Parent , soprano
Merveilleuse Chantal  Parent sera Fiordiligi dans Cosi fan Tutte de Mozart, le 18 février prochain avec Opera by Request à Toronto. cliquer ici
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Gabriel Mattei, chef d’orchestre - crédit photo : Adrien Berthet
Les prochains mois seront très occupés pour notre chef Gabriel Mattei!
Voici quelques uns de ses engagements jusqu’à mars prochain: Représentation de la pièce « Dieu, les caravanes et les voitures » Texte de Claire Audhuy ; musique de Gabriel Mattei, Performance musicale avec l’artiste Grégoire Motte. Musique de Jaufroy Rebel, arrangement de Gabriel Mattei-Concert avec l’Orchestre symphonique de Bahia Blanca Programme : Beethoven, Bruch et Borodine-Concert avec le Kammerensemble Kehl –Strasbourg Programme : Weber, Beethoven et Schubert  et le 25 mars 2017, 20h00 au, Stadthalle, Freistett ( Allemagne) Concert avec le Kammerensemble Kehl ���Strasbourg Programme : Weber, Beethoven et Schubert
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Isabele Ange interprétera le rôle de Missia Palmieri dans LA VEUVE JOYEUSE de Franz Lehar  sous la direction de notre chef Bruce Grant à la Salle POIREL de NANCY et au théâtre de Carcassonne.  Ils viennent tout juste de présenter avec succès cette opérette au théâtre des Feuillants à Dijon!
Par la suite, Maestro Grant dirigera Phi-phi de Henri Christiné le 19 mars à Dijon.et  à Nancy et Carcassonne à l’automne.
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Arminè Kassabian, mezzo
Notre superbe mezzo Arminè Kassabian chantera  en février au National Art center:  click here
Not to be missed Armine Kassabian with the National art Center! click here
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Simon Fournier, chef d’orchestre
Notre  chef d’orchestre Simon Fournier dirigera en mai; le Spectacle En Marge! avec le Choeur de chambre  Tactus, au Bain Mathieu à Montréal, Concert Totem moteT avec le Choeur Radio- Ville-Marie et l'Ensemble vocal Katimavik, à l'église St-Édouard à Montréal, en juin: Gala lyrique de Laval, à la Maison des Arts de  Laval et Tournée de concerts à Prague et les environs avec le  Choeur Radio Ville-Marie et l'Ensemble vocal Katimavik.
Our conductor Simon Fournier will conduct in May; The Spectacle En Marge! With the Tactus Chamber Choir, at Bain Mathieu in Montréal, Totem moteT concert with the Chœur Radio-Ville-Marie and the Katimavik Vocal Ensemble, at the St-Édouard church in Montréal, in June: Gala lyrique de Laval at La Maison des Arts in Laval and Concert Tour in Prague and surroundings with the Ville-Marie Choir Radio and the Katimavik Vocal Ensemble.
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Notre ténor dramatique Guy Lessard interprétera les  Sept paroles du Christ de Dubois à la cathédrale, avec le chœur polyphonique de Montréal sous la direction de Louis Lavigueur et le  25 février  notamment  avec nos magnifiques sopranos Audrey Larose-Zicat et Jessica Latouche dans Viennoiseries musicales présenté par Tempêtes et Passions.
Our dramatic tenor Guy Lessard will perform the Seven Words of Christ by Dubois at the Cathedral, with the polyphonic choir of Montreal under the direction of Louis Lavigueur and on February 25,  with our magnificent sopranos Audrey Larose-Zicat and Jessica Latouche in Viennoiseries musicales presented by Tempêtes et Passions.
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Jean-Marc Salzmann, baryton
Notre renommé baryton Jean-Marc Salzmann interprète à nouveau avec succès le rôle du Sacristain à l’Opéra de Nice. cliquer ici
Renowned baritone Jean-Marc Salzmann sings with success the Sacristain in Tosca at Nice’s Opera.  click here
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Bonnie Cutsforth-Huber, contralto
 Notre impressionnant contralto Bonnie Cutsforth-Huber interprétera le rôle titre de Thérèse de Massenet avec Amici Opera et Beppe dans L’Amico Fritz de Mascagni avec le Centre Stage Opera.
Our wonderful contralto Bonnie Cutsforth-Huber will be Therese in Massenet’s Therese with Amici Opera and  also be playing Beppe in Mascagni’s L’amico Fritz with Centre Stage Opera.
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Lenard Whiting, tenor
Ténor accompli, Lenard Whiting sera soliste du Requiem de Mozart avec le Cathedral Bluffs Symphony Orchestra et Voices Chamber Choir et aussi la Passion selon Saint-Jean de Bach et sera la sorcière dans Hansel et Gretel de Humperdinck avec le Cathedral Symphony Orchestra.
Accomplished tenor Lenard Whiting will sing  Mozart Requiem with Cathedral Bluffs Symphony Orchestra and  Voices Chamber Choir, and also Bach Johannes Passion  and will be the witch in Humperdink's Hansel & Gretel with  Cathedral Bluffs Symphony Orchestra.
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Chantale Nurse soprano et Janelle Fung pianiste
À ne pas manquer le récital de notre magnifique soprano Chantale Nurse!  Not to be missed on Feb 5, the recital of our wonderful soprano Chantale Nurse, soprano accompagnée de Janelle Fung! click here
À venir prochainement suite à leurs récentes sessions d’enregistrement, notre soprano au timbre lumineux Brigitte O’Halloran accompagnée de notre prodigieux pianiste Jérémie Pelletier dans des extraits d’opéras de  Mozart, Massenet et bien d’autres!
Not to be missed, the upcoming recording of ravishing soprano Brigitte O’Halloran and prodigious pianist Jeremie Pelletier!
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Brigitte O’Halloran soprano et Jérémie Pelletier, pianiste
Et aussi un vidéo de notre talentueux ténor Jean-Sébastien Turgeon dans des extraits du rôle de Des Grieux dans Manon de Massenet, qui lui va à merveille.
And also the upcoming video of talented tenor Jean-Sébastien Turgeon in excerpts of the role of Des Grieux from Massenet’s Manon that suits him perfectly!
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Jean-Sébastien Turgeon, ténor
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Julie Nesrallah mezzo, Fady Jeanbart baryton, Louise-Andrée Baril pianiste
Après le grand succès de Opéra à la libanaise au FestivalOpéra de Saint-Eustache, on verra nos artistes reprendrent ce concert bientôt, cliquer ici
After the big success of Opera à la libanaise at Opera St-Eustache, we will see our artists sing again that concert, stay tuned to have the details click here
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Leila Chalfoun soprano et Jérémie Pelletier pianiste:  cliquer ici
Notre diva Valeria Florencio sera en concert le 11 fevrier avec les musiciennes de l’Ensemble Hera au Théâtre Artephile AVIGNON!
Our diva Valeria Florencio will perform on February 11 with Hera Ensemble in Avignon.
cliquer ici
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Valeria Florencio, soprano et l’Ensemble HERA
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Visitez notre site web pour toutes les nouvelles de nos merveilleux artistes!
Visit our website for the news of our wonderful artists!
www.meti-jori-agency.com
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