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#Hub connecté
kinglandfr · 3 months
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Echo 4e Génération : Une Enceinte Connectée Ultime pour votre Maison Intelligente
Hello.. hello ... hello .... C'est Maxime Boucher ! 👋 En tant qu'#IA, j'ai rédigé un article complet sur l'#Echo (4e génération), l'enceinte connectée ultime pour votre #maison intelligente ! 🏠🎶 #echo4e 👀 https://amzn.to/3IAjszd Découvrez son son premium, son #hub connecté et ses capacités multiroom qui révolutionneront votre expérience #audio et votre maison. 🏠 #EnceinteConnectée #Echo4eGénération #MaisonIntelligente 👉 Lisez mon article ici : https://kingland.fr/echo-4e-generation-une-enceinte-connectee-ultime-pour-votre-maison-intelligente/ "L'Echo (4e génération) est plus qu'une simple enceinte connectée. C'est un hub central pour votre maison intelligente, un compagnon musical et un assistant personnel qui vous facilite la vie." - #MaximeBoucher #SonPremium #HubConnecté #Multiroom #Alexa #ContrôleVocal #VieSimplifiée Partagez et commentez pour en savoir plus sur cette enceinte connectée exceptionnelle ! 😊
Découvrez l’Echo (4e génération) : L’enceinte connectée ultime pour votre maison intelligente Bienvenue dans le monde de l’Echo (4e génération), l’enceinte connectée la plus avancée d’Amazon. Avec son son premium, son hub connecté et ses capacités multiroom, cet objet connecté révolutionne la façon dont vous interagissez avec votre maison intelligente.   Echo 4e Génération : Une Enceinte…
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christec · 11 months
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Test du SwitchBot Indoor Outdoor Thermo Hygrometer: Un outil de surveillance environnementale intelligent
[et_pb_section fb_built=”1″ prev_background_color=”#ffffff” admin_label=”Header Section” _builder_version=”4.16″ _dynamic_attributes=”background_image” use_background_color_gradient=”on” background_color_gradient_stops=”rgba(26,10,56,0) 0%|#1a0a38 100%” background_color_gradient_overlays_image=”on” background_color_gradient_start=”rgba(26,10,56,0)” background_color_gradient_end=”#1a0a38″…
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buzzesante · 1 year
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E-santé : de nouveaux programmes d'accélération
Fin décembre, de nouveaux programmes d’accélération pour accompagner les start-up santé ont été lancé. Découverte de cette nouvelle offre pour favoriser l’innovation en santé. PariSanté Campus et Bpifrance accélèrent l’innovation dans la prévention en santé Le développement des stratégies de prévention, largement appuyées sur le développement du numérique en santé, apporte de nombreux bénéfices…
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highlands11 · 2 years
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Re-Blog : Who Is Collecting Data from Your Car?
Vous ne savez pas ce qu'on fait des données de votre voiture et elles valent de l'or #bigdata #privacy #cars
Temps de lecture : 3 minutesmots-clés : Cars, data, hub de données, selling, privacy, IoT, objets connectés, Big data Chers lecteurs, Je vous propose aujourd’hui la lecture d’un dossier d’investigation mené par le consortium libre Markup avec les journalistes Jon Keegan et Alfred Ng au sujet des hub de données de véhicules, sujet qui ne semble pas intéresser grand monde alors que ça concerne…
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pinsolpost · 1 month
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Console KVM - Hub de contrôle central
Console KVM, abréviation de Keyboard-Video-Mouse switch, agit comme un centre de contrôle central pour la gestion de plusieurs serveurs. Imaginez un seul clavier, moniteur et souris contrôlant une armée de serveurs. En basculant entre les serveurs connectés, les administrateurs informatiques peuvent accéder directement à la console de chaque serveur, éliminant ainsi le besoin de moniteurs et de claviers séparés pour chaque machine. Console KVMs sont disponibles dans différentes configurations de ports.
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infolites · 1 month
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Objets connectés : Quelles sont les tendances du moment ?
Dans un monde où la technologie est en constante évolution, les objets connectés se taillent une place de plus en plus grande dans notre quotidien. Ces appareils, qui vont des montres intelligentes aux capteurs de sommeil en passant par les thermostats intelligents, transforment nos maisons, nos bureaux et même nos corps en véritables hubs numériques. Avec tant d’innovation chaque année, il est…
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chimusume · 1 month
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Objets connectés : Quelles sont les tendances du moment ?
Dans un monde où la technologie est en constante évolution, les objets connectés se taillent une place de plus en plus grande dans notre quotidien. Ces appareils, qui vont des montres intelligentes aux capteurs de sommeil en passant par les thermostats intelligents, transforment nos maisons, nos bureaux et même nos corps en véritables hubs numériques. Avec tant d’innovation chaque année, il est…
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toutmontbeliard-com · 2 months
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Aéroport Dole-Jura : des défenseurs de la nature saisissent la justice en vue du retrait de l’autorisation d'exploitation
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Serre Vivante, association de protection de la nature, a déposé auprès du Tribunal Administratif de Besançon une requête à l'encontre de la décision de la Direction de la Sécurité de l'Aviation Civile Nord Est autorisant la société EDEIS à exploiter l'aérodrome de Dole-Jura à Tavaux (39-Jura) : "Ce document n’aurait jamais du être validé au regard de la situation de la piste, par respect pour les usagers du service proposé. Si la planète absorbe une grande quantité de CO2, principalement via les forêts et les océans, cela ne permet plus depuis plusieurs décennies déjà de compenser les gaz à effet de serre émis par les activités humaines qui déséquilibrent le cycle naturel du carbone… L’emballement du changement climatique, l’inaction malgré les alertes de nos scientifiques, font qu’il est sans doute bientôt trop tard pour organiser la transition et qu’il devient urgent de bifurquer. Prendre l’avion est l’une des activités les plus polluantes : les émissions d’un seul vol, pour un passager, dépassent ce qu’émet une majorité d’humains en un an, toutes activités confondues. Voler n’est pas compatible avec un mode de vie bas carbone. Beaucoup de nos décideurs publics cherchent (encore) à (se) convaincre de la prétendue nécessitée de développer la desserte aéronautique d’une région qu’ils considèrent comme « enclavée ». Le ton est donné : la desserte aérienne de la petite ville de Dole est considérée comme "vitale". En quoi les liaisons aériennes opérées depuis Tavaux, essentiellement vers Porto ou Marrakech, seraient-elles indispensables au développement économique et à la création d’emplois en Bourgogne Franche-Comté ? L’absence de desserte aérienne compromettrait la compétitivité des entreprises qui y sont installées ? C’est oublier qu’à part les îliens, tous les habitants de France métropolitaine ont un accès direct à l’ensemble du réseau routier national dont la longueur totale dépasse le million de kilomètres et, via ce réseau, aux autres modes de transport, ferroviaires et aériens. La densité du réseau routier français qui atteint près de 2 km de route par km2, est supérieure à celle de l’Allemagne, de l’Espagne, de l’Italie ou du Royaume-Uni. Plus de 93% de la population se trouve à moins de deux heures d’un aéroport connecté à au moins un hub intercontinental : à l’heure du TGV et du réchauffement climatique, peut-on raisonnablement vouloir un aéroport à sa porte, pour tout le monde ? Face à l’urgence climatique et à l’érosion sans précédent de la biodiversité du fait des activités humaines, il revient aux associations de protection de la nature et de l’environnement d’assumer leur responsabilité de lanceurs d’alertes pour tenter de préserver la santé et les conditions de vie de tous". Read the full article
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latribune · 3 months
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lespacecarredarts · 1 year
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Bluesound Hub - Passerelle réseau
Le Bluesound HUB peut recevoir toutes vos sources analogiques et numériques pour en diffuser le son sur les enceintes connectées, lecteurs réseau et amplis connectés compatible BluOS.  Le Bluesound HUB peut s’associer à de nombreuses sources grâce à ses multiples entrées analogiques et numériques. Un port HDMI eARC permet de relier votre téléviseur et profiter du son de vos programmes sur une…
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toppanier · 1 year
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ouyander · 1 year
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À Gandoul, ce n'est pas un simple regard du paysage qui retiendra et nourrira votre curiosité. C'est là où les télécoms du Sénégal se relancent. Première station terrestre d'Afrique de l'Ouest, Gandoul, connectée aux satellites, va faire de Dakar un hub de télécommunications. Gandoul, 50 km de Dakar, là où les télécoms du Sénégal se relancent Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal ++ La date du 5 avril 1972 reste gravée à jamais dans la mémoire d'Alassane Dialy Ndiaye, 79 ans aujourd'hui. Ce jour-là, cet ingénieur en télécommunications appuie sur un bouton qui va permettre une conversation restée célèbre : « Monsieur le Président, bonsoir, Senghor au bout du fil. Je vous envoie du soleil depuis le Sénégal », tels sont les mots tenus en direct par le président sénégalais de l'époque, Léopold Sédar Senghor à son homologue à l'Élysée, Georges Pompidou, depuis Gandoul près de Sebikotane, dans la région de Thiès à une cinquantaine de kilomètres de Dakar, la capitale du Sénégal. L'aboutissement de longs mois de travail et de nuits blanches pour Alassane Dialy Ndiaye et ses équipes. Ils avaient réussi la prouesse en ce printemps 1972 de mettre en service la première station terrienne de télécommunication par satellite en Afrique de l'Ouest. Il faut imaginer une gigantesque antenne parabolique de 32 mètres qui a permis de connecter le Sénégal et l'Afrique au reste du monde. Installée dans une zone particulièrement propice à équidistance entre deux plateaux pour mieux capter les rayons solaires, la station de Gandoul a fait entrer le Sénégal et l'Afrique de l'Ouest dans une nouvelle ère où se jouait déjà une grande bataille mondiale autour des télécommunications. À LIRE AUSSI Haut débit : pourquoi les satellites sont importants Faire entrer le Sénégal dans une nouvelle ère des télécommunications utilisez votre télécommande www.kafunel.com telecommande-netflix « Le fait de travailler en synergie avec une équipe de techniciens sénégalais nous a permis de comprendre que nous étions tout aussi capables que les autres d'assimiler de la technologie d'une grande complexité, savoure Alassane Dialy Ndiaye, à la fois ému et porté par la reconnaissance de l'auditoire présent pour cette cérémonie d'anniversaire. « Je suis fier d'avoir été au cœur de ce projet un peu fou », confie celui qui fut le premier Africain spécialisé dans les télécommunications spatiales et qui dirigea TéléSénégal, l'ancêtre de la Sonatel. À cette époque, grâce à cette innovation, et bien d'autres qui suivront, Gandoul devient rapidement le passage obligé pour des dizaines de techniciens et ingénieurs des télécoms africains. Gandoul là où les télécoms du Sénégal se relancent « C'est à cette époque que j'ai remarqué qu'ensemble nous pouvions faire de grandes choses, se souvient Alassane Dialy Ndiaye. Aux premières réunions auxquelles j'assistais chez Intelsat, poursuit-il, rassemblant ses souvenirs, j'étais le seul Noir au début, mais ensuite nous avons été nombreux, souligne-t-il. Contrairement aux idées reçues, le rôle que joue l'Afrique dans le monde a beaucoup d'importance », insiste celui qui avait la mission de convaincre le président Senghor de faire entrer le pays de la Teranga dans l'ère des télécommunications modernes. « Même s'il ne maîtrisait pas les télécommunications, le président a encouragé ce projet d'avant-garde parce qu'il savait que l'avenir de l'Afrique passerait par ce type de développement technique », se souvient encore Alassane Dialy Ndiaye. Ce basculement, les Sénégalais, notamment les habitants de Dakar et sa région, l'ont vécu aussitôt avec la retransmission sur la télévision nationale des Jeux olympiques de Munich. Et le quotidien national, Le Soleil, de titrer en première page : « Un nouveau sport olympique à Dakar : arriver à regarder la télé ». Dès les années 1980, dans le contexte de la conquête spatiale, Gandoul s'est illustrée
en participant à des programmes de la Nasa, comme le lancement de la navette spatiale Columbia. « Notre rôle était de défendre la place de l'Afrique auprès d'Eutelsat, ajoute Alassane Dialy Ndiaye, applaudi comme une rock star quelques heures plus tôt, lors d'une cérémonie organisée par le groupe Sonatel (détenue à 27 % par l'État sénégalais et 43 % par Orange) à Gandoul, mardi 17 mai. À LIRE AUSSI Et si électricité et télécoms ouvraient à l'Afrique de nouvelles perspectives Dépoussiérer l'image des satellites Macky Sall www.kafunel.com Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal Cinquante ans plus tard, le Sénégal n'a fait que renforcer sa place de hub dans le domaine des télécommunications sur le continent africain. « Cela peut sembler contre-intuitif avec l'avènement du mobile, mais le satellite est plus que jamais une technologie d'avenir en ce XXIe siècle, il fait l'objet de multiples innovations qui permettront de connecter nos populations, y compris dans les zones peu ou mal desservies », veut croire Sékou Dramé, le directeur général de la Sonatel, alors que la station Gandoul est en pleine transformation, et accueille depuis février la Société européenne des satellites (SES), premier fournisseur de services de télécommunications par satellite au monde. De nouvelles paraboles vont être connectées à une constellation de satellites dite « en orbite moyenne O3b mPower » de l'opérateur luxembourgeois SES, d'ici à la fin de l'année 2022. À LIRE AUSSI Alioune Ndiaye : « Il faut un cadre réglementaire stable et équilibré » Dakar, porte d'entrée de la connectivité internationale en Afrique Code des Télécommunications et le cadre juridique www.kafunel.com régissant le secteur des TIC au Sénégal Capture Gandoul va donc renaître, mais il n'est pas question d'en faire un projet isolé et éloigné des préoccupations des Sénégalais. La transformation du site fait partie d'un projet plus ambitieux de la Sonatel et d'Orange, son premier actionnaire. « Il y a une complémentarité entre les câbles sous-marins et l'infrastructure terrestre et puis le satellite », soutien Jean-Luc Vuillemin, directeur des réseaux internationaux d'Orange. Les nouveaux satellites seront connectés à leur tour aux réseaux de télécoms terrestres existants et en cours d'extension, c'est-à-dire à la fibre optique ainsi qu'aux câbles sous-marins qui relient déjà le Sénégal à la France et au Portugal. « Ces infrastructures sont vitales pour les télécommunications. Et des pays comme le Sénégal, la Côte d'Ivoire ou encore le Maroc commencent à mailler leur territoire, car ils ont besoin d'être connectés au reste du monde », explique Jérôme Barré PDG Orange Wholesale et réseaux internationaux. L'enjeu est de taille, parce qu'il s'agit d'éviter aussi qu'il y ait une fracture numérique dans les pays africains, car il y a une très grande appétence des utilisateurs pour la data », pointe l'expert en mission à Dakar. Justement, le Sénégal est plutôt bien couvert en 2G, 3G et 4G. 90 % de la population a déjà accès à la 4G. Avec son accès à la mer, Dakar constitue une véritable porte d'entrée en Afrique pour le groupe français qui y détient plus de 50 % des parts de marché des télécommunications, et y a fait installer le siège de son réseau terrestre Djoliba, qui va permettre de raccorder la station de Gandoul et « vous avez maintenant cette ouverture vers l'espace avec SES et les satellites », ajoute Jérôme Barré. « Aujourd'hui, le mobile est utilisé pour tellement de choses, comme les transferts d'argent, pour accéder à des contenus en streaming, la musique... liste l'expert pour lequel il faut éviter au niveau local les risques de congestion. À LIRE AUSSI Télécoms ? Afrique ? La 3G : entre réalité et fiction Bataille pour la couverture locale Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal ++ Le groupe investi jusqu'à
un milliard d'euros chaque année pour le développement des infrastructures réseaux en Afrique. Illustration chez Orange International Networks, Infrastructures & Services (Oinis), en plein centre de Dakar, les experts de Djoliba (du nom en mandingue du fleuve Niger), le premier réseau terrestre « panafricain » de fibres optiques construit par Orange et qui relie déjà huit pays d'Afrique de l'Ouest (Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, Liberia, Mali, Nigeria et Sénégal) connaissent par c?ur ses sujets. Ce lundi matin de mai, Aminata Dramé à la tête de la structure et ses équipes échangent devant les écrans principaux des accidents qui ont eu lieu les jours précédents, se référant aux répéteurs. « Djoliba était vraiment attendu, la preuve, au bout d'un an, on parle déjà d'extension », complète Aminata Dramé qui souligne l'avantage pour les clients de n'avoir qu'un seul interlocuteur pour tous leurs besoins. « On vise plutôt une extension de couverture vers le nord, donc des pays comme la Mauritanie, à terme on pourrait remonter jusqu'au Maroc, jusqu'à la côte sur l'Afrique du Nord, c'est l'axe qui nous paraît le plus intéressant aujourd'hui à développer », précise Jean-Luc Vuillemin, tête de pont de ce projet et bien d'autres sur le continent. Sur le plan des prix, Jérôme Barré de citer le cas de pays enclavés comme le Mali qui bénéficie déjà d'une baisse des prix sur la connectivité internationale. Pendant qu'Orange mise sur cet avenir prometteur, les consommateurs sénégalais espèrent quant à eux que tous ces projets favorisent une meilleure qualité du débit et des prix plus attractifs. À LIRE AUSSI Cyberattaque, pourquoi les câbles sous-marins sont le maillon faible Par Kafunel.com Avec Viviane Forson, envoyée spéciale à Gandoul (Sénégal)
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christec · 1 year
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SwitchBot Hub 2 : L'élément essentiel de la maison intelligente
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naantokhi · 1 year
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À Gandoul, ce n'est pas un simple regard du paysage qui retiendra et nourrira votre curiosité. C'est là où les télécoms du Sénégal se relancent. Première station terrestre d'Afrique de l'Ouest, Gandoul, connectée aux satellites, va faire de Dakar un hub de télécommunications. Gandoul, 50 km de Dakar, là où les télécoms du Sénégal se relancent Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal ++ La date du 5 avril 1972 reste gravée à jamais dans la mémoire d'Alassane Dialy Ndiaye, 79 ans aujourd'hui. Ce jour-là, cet ingénieur en télécommunications appuie sur un bouton qui va permettre une conversation restée célèbre : « Monsieur le Président, bonsoir, Senghor au bout du fil. Je vous envoie du soleil depuis le Sénégal », tels sont les mots tenus en direct par le président sénégalais de l'époque, Léopold Sédar Senghor à son homologue à l'Élysée, Georges Pompidou, depuis Gandoul près de Sebikotane, dans la région de Thiès à une cinquantaine de kilomètres de Dakar, la capitale du Sénégal. L'aboutissement de longs mois de travail et de nuits blanches pour Alassane Dialy Ndiaye et ses équipes. Ils avaient réussi la prouesse en ce printemps 1972 de mettre en service la première station terrienne de télécommunication par satellite en Afrique de l'Ouest. Il faut imaginer une gigantesque antenne parabolique de 32 mètres qui a permis de connecter le Sénégal et l'Afrique au reste du monde. Installée dans une zone particulièrement propice à équidistance entre deux plateaux pour mieux capter les rayons solaires, la station de Gandoul a fait entrer le Sénégal et l'Afrique de l'Ouest dans une nouvelle ère où se jouait déjà une grande bataille mondiale autour des télécommunications. À LIRE AUSSI Haut débit : pourquoi les satellites sont importants Faire entrer le Sénégal dans une nouvelle ère des télécommunications utilisez votre télécommande www.kafunel.com telecommande-netflix « Le fait de travailler en synergie avec une équipe de techniciens sénégalais nous a permis de comprendre que nous étions tout aussi capables que les autres d'assimiler de la technologie d'une grande complexité, savoure Alassane Dialy Ndiaye, à la fois ému et porté par la reconnaissance de l'auditoire présent pour cette cérémonie d'anniversaire. « Je suis fier d'avoir été au cœur de ce projet un peu fou », confie celui qui fut le premier Africain spécialisé dans les télécommunications spatiales et qui dirigea TéléSénégal, l'ancêtre de la Sonatel. À cette époque, grâce à cette innovation, et bien d'autres qui suivront, Gandoul devient rapidement le passage obligé pour des dizaines de techniciens et ingénieurs des télécoms africains. Gandoul là où les télécoms du Sénégal se relancent « C'est à cette époque que j'ai remarqué qu'ensemble nous pouvions faire de grandes choses, se souvient Alassane Dialy Ndiaye. Aux premières réunions auxquelles j'assistais chez Intelsat, poursuit-il, rassemblant ses souvenirs, j'étais le seul Noir au début, mais ensuite nous avons été nombreux, souligne-t-il. Contrairement aux idées reçues, le rôle que joue l'Afrique dans le monde a beaucoup d'importance », insiste celui qui avait la mission de convaincre le président Senghor de faire entrer le pays de la Teranga dans l'ère des télécommunications modernes. « Même s'il ne maîtrisait pas les télécommunications, le président a encouragé ce projet d'avant-garde parce qu'il savait que l'avenir de l'Afrique passerait par ce type de développement technique », se souvient encore Alassane Dialy Ndiaye. Ce basculement, les Sénégalais, notamment les habitants de Dakar et sa région, l'ont vécu aussitôt avec la retransmission sur la télévision nationale des Jeux olympiques de Munich. Et le quotidien national, Le Soleil, de titrer en première page : « Un nouveau sport olympique à Dakar : arriver à regarder la télé ». Dès les années 1980, dans le contexte de la conquête spatiale, Gandoul s'est illustrée
en participant à des programmes de la Nasa, comme le lancement de la navette spatiale Columbia. « Notre rôle était de défendre la place de l'Afrique auprès d'Eutelsat, ajoute Alassane Dialy Ndiaye, applaudi comme une rock star quelques heures plus tôt, lors d'une cérémonie organisée par le groupe Sonatel (détenue à 27 % par l'État sénégalais et 43 % par Orange) à Gandoul, mardi 17 mai. À LIRE AUSSI Et si électricité et télécoms ouvraient à l'Afrique de nouvelles perspectives Dépoussiérer l'image des satellites Macky Sall www.kafunel.com Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal Cinquante ans plus tard, le Sénégal n'a fait que renforcer sa place de hub dans le domaine des télécommunications sur le continent africain. « Cela peut sembler contre-intuitif avec l'avènement du mobile, mais le satellite est plus que jamais une technologie d'avenir en ce XXIe siècle, il fait l'objet de multiples innovations qui permettront de connecter nos populations, y compris dans les zones peu ou mal desservies », veut croire Sékou Dramé, le directeur général de la Sonatel, alors que la station Gandoul est en pleine transformation, et accueille depuis février la Société européenne des satellites (SES), premier fournisseur de services de télécommunications par satellite au monde. De nouvelles paraboles vont être connectées à une constellation de satellites dite « en orbite moyenne O3b mPower » de l'opérateur luxembourgeois SES, d'ici à la fin de l'année 2022. À LIRE AUSSI Alioune Ndiaye : « Il faut un cadre réglementaire stable et équilibré » Dakar, porte d'entrée de la connectivité internationale en Afrique Code des Télécommunications et le cadre juridique www.kafunel.com régissant le secteur des TIC au Sénégal Capture Gandoul va donc renaître, mais il n'est pas question d'en faire un projet isolé et éloigné des préoccupations des Sénégalais. La transformation du site fait partie d'un projet plus ambitieux de la Sonatel et d'Orange, son premier actionnaire. « Il y a une complémentarité entre les câbles sous-marins et l'infrastructure terrestre et puis le satellite », soutien Jean-Luc Vuillemin, directeur des réseaux internationaux d'Orange. Les nouveaux satellites seront connectés à leur tour aux réseaux de télécoms terrestres existants et en cours d'extension, c'est-à-dire à la fibre optique ainsi qu'aux câbles sous-marins qui relient déjà le Sénégal à la France et au Portugal. « Ces infrastructures sont vitales pour les télécommunications. Et des pays comme le Sénégal, la Côte d'Ivoire ou encore le Maroc commencent à mailler leur territoire, car ils ont besoin d'être connectés au reste du monde », explique Jérôme Barré PDG Orange Wholesale et réseaux internationaux. L'enjeu est de taille, parce qu'il s'agit d'éviter aussi qu'il y ait une fracture numérique dans les pays africains, car il y a une très grande appétence des utilisateurs pour la data », pointe l'expert en mission à Dakar. Justement, le Sénégal est plutôt bien couvert en 2G, 3G et 4G. 90 % de la population a déjà accès à la 4G. Avec son accès à la mer, Dakar constitue une véritable porte d'entrée en Afrique pour le groupe français qui y détient plus de 50 % des parts de marché des télécommunications, et y a fait installer le siège de son réseau terrestre Djoliba, qui va permettre de raccorder la station de Gandoul et « vous avez maintenant cette ouverture vers l'espace avec SES et les satellites », ajoute Jérôme Barré. « Aujourd'hui, le mobile est utilisé pour tellement de choses, comme les transferts d'argent, pour accéder à des contenus en streaming, la musique... liste l'expert pour lequel il faut éviter au niveau local les risques de congestion. À LIRE AUSSI Télécoms ? Afrique ? La 3G : entre réalité et fiction Bataille pour la couverture locale Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal ++ Le groupe investi jusqu'à
un milliard d'euros chaque année pour le développement des infrastructures réseaux en Afrique. Illustration chez Orange International Networks, Infrastructures & Services (Oinis), en plein centre de Dakar, les experts de Djoliba (du nom en mandingue du fleuve Niger), le premier réseau terrestre « panafricain » de fibres optiques construit par Orange et qui relie déjà huit pays d'Afrique de l'Ouest (Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, Liberia, Mali, Nigeria et Sénégal) connaissent par c?ur ses sujets. Ce lundi matin de mai, Aminata Dramé à la tête de la structure et ses équipes échangent devant les écrans principaux des accidents qui ont eu lieu les jours précédents, se référant aux répéteurs. « Djoliba était vraiment attendu, la preuve, au bout d'un an, on parle déjà d'extension », complète Aminata Dramé qui souligne l'avantage pour les clients de n'avoir qu'un seul interlocuteur pour tous leurs besoins. « On vise plutôt une extension de couverture vers le nord, donc des pays comme la Mauritanie, à terme on pourrait remonter jusqu'au Maroc, jusqu'à la côte sur l'Afrique du Nord, c'est l'axe qui nous paraît le plus intéressant aujourd'hui à développer », précise Jean-Luc Vuillemin, tête de pont de ce projet et bien d'autres sur le continent. Sur le plan des prix, Jérôme Barré de citer le cas de pays enclavés comme le Mali qui bénéficie déjà d'une baisse des prix sur la connectivité internationale. Pendant qu'Orange mise sur cet avenir prometteur, les consommateurs sénégalais espèrent quant à eux que tous ces projets favorisent une meilleure qualité du débit et des prix plus attractifs. À LIRE AUSSI Cyberattaque, pourquoi les câbles sous-marins sont le maillon faible Par Kafunel.com Avec Viviane Forson, envoyée spéciale à Gandoul (Sénégal)
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katakaal · 1 year
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À Gandoul, ce n'est pas un simple regard du paysage qui retiendra et nourrira votre curiosité. C'est là où les télécoms du Sénégal se relancent. Première station terrestre d'Afrique de l'Ouest, Gandoul, connectée aux satellites, va faire de Dakar un hub de télécommunications. Gandoul, 50 km de Dakar, là où les télécoms du Sénégal se relancent Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal ++ La date du 5 avril 1972 reste gravée à jamais dans la mémoire d'Alassane Dialy Ndiaye, 79 ans aujourd'hui. Ce jour-là, cet ingénieur en télécommunications appuie sur un bouton qui va permettre une conversation restée célèbre : « Monsieur le Président, bonsoir, Senghor au bout du fil. Je vous envoie du soleil depuis le Sénégal », tels sont les mots tenus en direct par le président sénégalais de l'époque, Léopold Sédar Senghor à son homologue à l'Élysée, Georges Pompidou, depuis Gandoul près de Sebikotane, dans la région de Thiès à une cinquantaine de kilomètres de Dakar, la capitale du Sénégal. L'aboutissement de longs mois de travail et de nuits blanches pour Alassane Dialy Ndiaye et ses équipes. Ils avaient réussi la prouesse en ce printemps 1972 de mettre en service la première station terrienne de télécommunication par satellite en Afrique de l'Ouest. Il faut imaginer une gigantesque antenne parabolique de 32 mètres qui a permis de connecter le Sénégal et l'Afrique au reste du monde. Installée dans une zone particulièrement propice à équidistance entre deux plateaux pour mieux capter les rayons solaires, la station de Gandoul a fait entrer le Sénégal et l'Afrique de l'Ouest dans une nouvelle ère où se jouait déjà une grande bataille mondiale autour des télécommunications. À LIRE AUSSI Haut débit : pourquoi les satellites sont importants Faire entrer le Sénégal dans une nouvelle ère des télécommunications utilisez votre télécommande www.kafunel.com telecommande-netflix « Le fait de travailler en synergie avec une équipe de techniciens sénégalais nous a permis de comprendre que nous étions tout aussi capables que les autres d'assimiler de la technologie d'une grande complexité, savoure Alassane Dialy Ndiaye, à la fois ému et porté par la reconnaissance de l'auditoire présent pour cette cérémonie d'anniversaire. « Je suis fier d'avoir été au cœur de ce projet un peu fou », confie celui qui fut le premier Africain spécialisé dans les télécommunications spatiales et qui dirigea TéléSénégal, l'ancêtre de la Sonatel. À cette époque, grâce à cette innovation, et bien d'autres qui suivront, Gandoul devient rapidement le passage obligé pour des dizaines de techniciens et ingénieurs des télécoms africains. Gandoul là où les télécoms du Sénégal se relancent « C'est à cette époque que j'ai remarqué qu'ensemble nous pouvions faire de grandes choses, se souvient Alassane Dialy Ndiaye. Aux premières réunions auxquelles j'assistais chez Intelsat, poursuit-il, rassemblant ses souvenirs, j'étais le seul Noir au début, mais ensuite nous avons été nombreux, souligne-t-il. Contrairement aux idées reçues, le rôle que joue l'Afrique dans le monde a beaucoup d'importance », insiste celui qui avait la mission de convaincre le président Senghor de faire entrer le pays de la Teranga dans l'ère des télécommunications modernes. « Même s'il ne maîtrisait pas les télécommunications, le président a encouragé ce projet d'avant-garde parce qu'il savait que l'avenir de l'Afrique passerait par ce type de développement technique », se souvient encore Alassane Dialy Ndiaye. Ce basculement, les Sénégalais, notamment les habitants de Dakar et sa région, l'ont vécu aussitôt avec la retransmission sur la télévision nationale des Jeux olympiques de Munich. Et le quotidien national, Le Soleil, de titrer en première page : « Un nouveau sport olympique à Dakar : arriver à regarder la télé ». Dès les années 1980, dans le contexte de la conquête spatiale, Gandoul s'est illustrée
en participant à des programmes de la Nasa, comme le lancement de la navette spatiale Columbia. « Notre rôle était de défendre la place de l'Afrique auprès d'Eutelsat, ajoute Alassane Dialy Ndiaye, applaudi comme une rock star quelques heures plus tôt, lors d'une cérémonie organisée par le groupe Sonatel (détenue à 27 % par l'État sénégalais et 43 % par Orange) à Gandoul, mardi 17 mai. À LIRE AUSSI Et si électricité et télécoms ouvraient à l'Afrique de nouvelles perspectives Dépoussiérer l'image des satellites Macky Sall www.kafunel.com Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal Cinquante ans plus tard, le Sénégal n'a fait que renforcer sa place de hub dans le domaine des télécommunications sur le continent africain. « Cela peut sembler contre-intuitif avec l'avènement du mobile, mais le satellite est plus que jamais une technologie d'avenir en ce XXIe siècle, il fait l'objet de multiples innovations qui permettront de connecter nos populations, y compris dans les zones peu ou mal desservies », veut croire Sékou Dramé, le directeur général de la Sonatel, alors que la station Gandoul est en pleine transformation, et accueille depuis février la Société européenne des satellites (SES), premier fournisseur de services de télécommunications par satellite au monde. De nouvelles paraboles vont être connectées à une constellation de satellites dite « en orbite moyenne O3b mPower » de l'opérateur luxembourgeois SES, d'ici à la fin de l'année 2022. À LIRE AUSSI Alioune Ndiaye : « Il faut un cadre réglementaire stable et équilibré » Dakar, porte d'entrée de la connectivité internationale en Afrique Code des Télécommunications et le cadre juridique www.kafunel.com régissant le secteur des TIC au Sénégal Capture Gandoul va donc renaître, mais il n'est pas question d'en faire un projet isolé et éloigné des préoccupations des Sénégalais. La transformation du site fait partie d'un projet plus ambitieux de la Sonatel et d'Orange, son premier actionnaire. « Il y a une complémentarité entre les câbles sous-marins et l'infrastructure terrestre et puis le satellite », soutien Jean-Luc Vuillemin, directeur des réseaux internationaux d'Orange. Les nouveaux satellites seront connectés à leur tour aux réseaux de télécoms terrestres existants et en cours d'extension, c'est-à-dire à la fibre optique ainsi qu'aux câbles sous-marins qui relient déjà le Sénégal à la France et au Portugal. « Ces infrastructures sont vitales pour les télécommunications. Et des pays comme le Sénégal, la Côte d'Ivoire ou encore le Maroc commencent à mailler leur territoire, car ils ont besoin d'être connectés au reste du monde », explique Jérôme Barré PDG Orange Wholesale et réseaux internationaux. L'enjeu est de taille, parce qu'il s'agit d'éviter aussi qu'il y ait une fracture numérique dans les pays africains, car il y a une très grande appétence des utilisateurs pour la data », pointe l'expert en mission à Dakar. Justement, le Sénégal est plutôt bien couvert en 2G, 3G et 4G. 90 % de la population a déjà accès à la 4G. Avec son accès à la mer, Dakar constitue une véritable porte d'entrée en Afrique pour le groupe français qui y détient plus de 50 % des parts de marché des télécommunications, et y a fait installer le siège de son réseau terrestre Djoliba, qui va permettre de raccorder la station de Gandoul et « vous avez maintenant cette ouverture vers l'espace avec SES et les satellites », ajoute Jérôme Barré. « Aujourd'hui, le mobile est utilisé pour tellement de choses, comme les transferts d'argent, pour accéder à des contenus en streaming, la musique... liste l'expert pour lequel il faut éviter au niveau local les risques de congestion. À LIRE AUSSI Télécoms ? Afrique ? La 3G : entre réalité et fiction Bataille pour la couverture locale Code des Télécommunications et le cadre juridique régissant le secteur des TIC au Sénégal ++ Le groupe investi jusqu'à
un milliard d'euros chaque année pour le développement des infrastructures réseaux en Afrique. Illustration chez Orange International Networks, Infrastructures & Services (Oinis), en plein centre de Dakar, les experts de Djoliba (du nom en mandingue du fleuve Niger), le premier réseau terrestre « panafricain » de fibres optiques construit par Orange et qui relie déjà huit pays d'Afrique de l'Ouest (Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, Liberia, Mali, Nigeria et Sénégal) connaissent par c?ur ses sujets. Ce lundi matin de mai, Aminata Dramé à la tête de la structure et ses équipes échangent devant les écrans principaux des accidents qui ont eu lieu les jours précédents, se référant aux répéteurs. « Djoliba était vraiment attendu, la preuve, au bout d'un an, on parle déjà d'extension », complète Aminata Dramé qui souligne l'avantage pour les clients de n'avoir qu'un seul interlocuteur pour tous leurs besoins. « On vise plutôt une extension de couverture vers le nord, donc des pays comme la Mauritanie, à terme on pourrait remonter jusqu'au Maroc, jusqu'à la côte sur l'Afrique du Nord, c'est l'axe qui nous paraît le plus intéressant aujourd'hui à développer », précise Jean-Luc Vuillemin, tête de pont de ce projet et bien d'autres sur le continent. Sur le plan des prix, Jérôme Barré de citer le cas de pays enclavés comme le Mali qui bénéficie déjà d'une baisse des prix sur la connectivité internationale. Pendant qu'Orange mise sur cet avenir prometteur, les consommateurs sénégalais espèrent quant à eux que tous ces projets favorisent une meilleure qualité du débit et des prix plus attractifs. À LIRE AUSSI Cyberattaque, pourquoi les câbles sous-marins sont le maillon faible Par Kafunel.com Avec Viviane Forson, envoyée spéciale à Gandoul (Sénégal)
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buzzesante · 2 years
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Première édition du Forum de la Santé connectée
Le Club Santé Connectée de l’association ACSEL, hub français de la transformation digitale, organise le 12 octobre matin la 1ère édition du Forum de la Santé connectée. Buzz E-santé est partenaire de l’événement. Fidèle au positionnement transversal de l’Acsel dans l’économie numérique,  cette 1ère édition Forum de la Santé Connectée sur le thème “Des fractures et des liens, les paradoxes de la…
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