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#Fillette au bateau
pazzesco · 6 months
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🎹Pablo's Daughter
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Pablo Picasso (Spanish, 1881-1973): Fillette au bateau (Maya), 1938.
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Pablo Picasso (Spanish, 1881-1973): Femme au béret rouge-orange, 1938.
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Pablo Picasso, Maternity, 1938 © Succession Picasso 2022. Photo Picasso Museum
Pablo's daughter Maya (María de la Concepción Widmaier-Picasso), and her mother Marie-ThérÚse Walter
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Picasso, Maya at Three Months, 1935 - Picasso Museum
Between January 1938 and November 1939 Picasso painted fourteen portraits of Maya – the most important series Picasso devoted to one of his children, in which his joy as a father finds poignant expression in his joy as an artist.
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MarĂ­a de la ConcepciĂłn aka: Maya Ruiz-Picasso 5 September 1935 - 20 December 2022 (aged 87)
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Maya Picasso with her father. (YouTube)
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Marie-ThérÚse Walter with Maya - April 1936
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Photograph of Pablo Picasso and Maya at the Nounou restaurant, 1953-1954 © Succession Picasso 2022. Photo Picasso Museum
She looks like both of them...
“In his portraits of Maya, Picasso reached for his most joyful, brightly coloured palette, and employed a combination of styles to elevate his daughter to the same level as his paintings of her mother, Marie-ThĂ©rĂšse – the artist’s greatest love, with whom we associate his most romantic pictures. There is a continued strong demand for paintings from the 1930s, and a work of this calibre is made even more remarkable for not having appeared on the market in almost a quarter of a century.”
SAMUEL VALETTE, SENIOR SPECIALIST, IMPRESSIONIST & MODERN ART DEPARTMENT, SOTHEBY'S LONDON
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Maya Picasso, Maya on a boat 1938 - Picasso Museum
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blueiskewl · 1 year
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Pablo Picasso Fillette au bateau, Maya
Dated 4.2.38. (lower right) Oil on canvas. 73.3 by 60 cm. 28⅞ by 23⅝ in. Executed on 4 February 1938.
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psikonauti · 1 year
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Pablo Picasso (Spanish, 1881-1973)
Fillette au bateau (Maya), 1938
Oil on canvas
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newloverofbeauty · 1 year
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Pablo Picasso:   Fillette au bateau, Maya, (1938)
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oldsardens · 1 year
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Pablo Picasso - Fillette au bateau, Maya. 1938
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pwlanier · 1 year
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Pablo Picasso
1881 – 1973
Fillette au bateau, Maya
dated 4.2.38. (lower right)
oil on canvas
73.3 by 60 cm., 28⅞ by 23⅝ in.
Executed on 4 February 1938.
Sotheby’s
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mysadecstasy · 2 years
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Un baiser sur tes yeux clos
L’immense chagrin descendu de la montagne Comme une brume Ă©paisse sur tous les saints Odeur du matin entre tes seins Quelque chose oĂč rien ne s’épargne Petite chose d’entre les clochers gris d’ardoise Comme une brume Ă©paisse sur toutes les mains Des jambes qu’on croise des hommes qu’on toise Une chose lourde et pleine d’un golfe clair Descendu des montagnes Une brume Ă©paisse sur un cheval mort La riviĂšre le pont le saut Le grenier la paille l’échelle Petite Ă©chelle de bois vers la sous pente Le cheval mort seul au milieu du champ Chant des oiseaux par dessus les tombes Et le cheval mort rempli de mouches Des choses qu’on touche des choses qu’on boit Entre toi et mes mains chaudes L’odeur du matin sur tes lĂšvres Se lĂšve comme une armĂ©e sur tes bras nus Tes bras crus
 Chagrin entre tes mains malhabiles ÉcrasĂ© comme une vermine sur les toits de tuiles La riviĂšre le pont le saut Maillot de bain et herbes folles Entre les clochers gris L’ardoise saillante et mille dansantes Dansantes du matin nu entre les tombes du petit cimetiĂšre jaune Mousses et lichens jaunes et rouges Sur les tombes sans nom Anonymes effacĂ©es Immense chagrin descendu de la montagne Comme une brume Ă©paisse pour tous les saints Odeur du matin entre tes seins Prends ma main laisse ton coeur partir Oublie
 Prends ma main et son odeur de poudre Prends le risque contre ta peau Embrasse les morts trop souvent seuls Fais toi l’amante des dĂ©sirs fous Travestis et menteurs DĂ©vastateurs et dĂ©chaĂźnĂ©s Sur un bateau en pleine tempĂȘte Bois la mer sois la mer Enivre toi de la houle sauvage Et des naufrages Ă©cartelĂ©s Chagrin remontĂ© des profondeurs invisibles Embrasse le bois le bien Le chagrin remontĂ© Comme un corps perdu en mer Qu’on ne cherchait plus qui surgit Ă  la proue belle La proue belle des proues PersĂ©phone Épouse et mĂšre Perdue pour toujours dans un golfe clair Pardon et oubli enorgueilli entre les tombes en mer Les cimetiĂšres de mer A Ă©tages Alors
 S’abimer sur les rĂ©cifs L’abĂźme la peur les vagues La mer la mer la mer Naufrage et chagrin Le cheval mort dans le champs derriĂšre un ballot de paille L’odeur atroce les mouches Le cheval mort de soif entre les blĂ©s fauchĂ©s Au coeur de son corps la mort en habit noir revient d’entre les entrailles Dans les allĂ©es du cimetiĂšre elle erre nostalgique Aujourd’hui c’est dimanche Du repos pour les braves C’est l’étĂ© le cimetiĂšre ferme Ă  dix-neuf heure Le gravier blanc crisse sous le pieds L’immense chagrin descendu de la montagne Vient caresser les cyprĂšs Dans le jardin du presbytĂšre les buis sont taillĂ©s Et les roses en fleur Quel beau jour pour en finir Pour dire adieu Adieu au chagrin des golfes clairs Adieu Ă  la brume Ă©paisse sur les toits innocents Innocent comme le cheval mort Comme cette fillette qui court autour de la fontaine Cette fontaine oĂč tu me donnas mon premier baiser Aujourd’hui il court toujours sur mes lĂšvres Sur mon coeur fut-il Ă  demi mort Sur mes yeux fussent-ils clos Comme les tiens que j’embrasse Ă  mon tour Mes lĂšvres sur tes yeux clos Pour notre Ă©ternitĂ© et sa douceur d’opale
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a2imediagroupe · 5 months
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Une fillette de deux ans meurt dans un naufrage au large de Lampedusa
Une fillette de deux ans est morte lundi sur le bateau des sauveteurs italiens, qui l’accompagnaient sur l’üle de Lampedusa. L’embarcation dans laquelle elle se trouvait, avec une cinquantaine de personnes Ă  son bord, a chavirĂ© prĂšs de la cĂŽte italienne. Quarante-trois migrants ont Ă©tĂ© secourus mais huit sont portĂ©s disparus. En dĂ©but d’aprĂšs-midi lundi 20 novembre, un bateau a chavirĂ© à

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pdj-france · 9 months
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Une fillette de 13 mois s'est noyĂ©e aprĂšs ĂȘtre tombĂ©e du yacht de ses parents Ă  Musket Cove, aux Fidji.On pense que Māhina Toki, originaire de Great Barrier Island, Ă©tait attachĂ©e Ă  un harnais sur le pont et regardait un film, tandis que ses parents, Mark et Kiri, prĂ©paraient le dĂźner vendredi, a dĂ©clarĂ© un porte-parole de la police fidjienne Ă  Stuff.Lorsque les parents sont revenus sur le pont, ils n'ont pas pu trouver leur fille et ont dĂ©sespĂ©rĂ©ment commencĂ© Ă  la chercher, a dĂ©clarĂ© le porte-parole.Le tout-petit s'est noyĂ© Ă  Musket Cove, aux Fidji. (Fourni)Inscrivez-vous ici pour recevoir nos newsletters quotidiennes et nos alertes d'actualitĂ©s, envoyĂ©es directement dans votre boĂźte de rĂ©ception.L'enfant de 13 mois a Ă©tĂ© retrouvĂ© flottant dans la mer et les tentatives de rĂ©animation de la jeune fille ont Ă©tĂ© infructueuses.La police a dĂ©clarĂ© que la famille Ă©tait amarrĂ©e Ă  Musket Cove depuis fin juillet.Une page Givealittle pour la famille a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par le "compagnon de croisiĂšre" de Grace Palos, la famille Toki semblant faire partie d'un groupe appelĂ© Island Cruising New Zealand."Hier, la tragĂ©die a frappĂ© et nous avons perdu la belle Māhina, une fillette de 13 mois qui est dĂ©cĂ©dĂ©e dans un accident mortel Ă  Musket Cove", a Ă©crit Palos sur le Givealittle."Māhina Ă©tait attachĂ©e Ă  son bateau, Kalamari, hier aprĂšs-midi lorsqu'elle a travaillĂ© librement et a trouvĂ© l'eau. Au moment oĂč nous avons pu la trouver, il Ă©tait trop tard.""Un ambulancier, un mĂ©decin, deux infirmiĂšres et une sage-femme ainsi que tout l'Ă©quipement, les mĂ©dicaments et l'oxygĂšne que vous auriez Ă  l'hĂŽpital", indique le message."Malheureusement, malgrĂ© tous leurs efforts, elle n'a pas rĂ©ussi. Veuillez cĂąliner vos petits (et grands) marins ce soir et aidez-nous Ă  ramener la petite Māhina Ă  la maison avec tout l'amour de la communautĂ© mondiale des croisiĂ©ristes."Palos a dĂ©clarĂ© que Māhina Ă©tait une "belle enfant heureuse et souriante qui aimait l'eau et la vie sur le bateau"."Elle avait des yeux qui regardaient dans votre Ăąme depuis le jour de sa naissance", a dĂ©clarĂ© Palos.Palos a dĂ©clarĂ© que les parents de Māhina Ă©taient en train de "reprendre leur vie" et de rentrer chez eux sur l'Ăźle de la Grande BarriĂšre."Les croiseurs de Musket Cove demandent humblement votre aide pour collecter des fonds pour la famille afin de couvrir le coĂ»t des vols de retour, les frais funĂ©raires et tout ce dont Mark et Kiri ont besoin Ă  mesure qu'ils avancent", a Ă©crit Palos."A la bien-aimĂ©e Mahina, puisses-tu vivre Ă  jamais en paix, Ă©claboussant de joie quelque part dans la mer."Dimanche aprĂšs-midi, les dons au Givealittle avaient atteint 14 546 $ avec un total de 138 personnes faisant des dons.La police fidjienne a dĂ©clarĂ© que son enquĂȘte sur l'incident Ă©tait en cours.Cet article a Ă©tĂ© initialement publiĂ© sur Stuff et est republiĂ© ici avec autorisation.ï»ż
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jhamazamnews-blog · 1 year
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Pablo Picasso's 'joyful' portrait of daughter sells for ÂŁ18m at Sotheby's | UK News
A portrait Pablo Picasso made of his eldest daughter, Maya, in the late 1930s has sold for more than £18 million at auction. The painting, Fillette au bateau, which translates to “girl on the boat,” was originally estimated to sell for between £12m to £18m, but was bought for almost £18.1m at Sotheby’s auction house in London on Wednesday. Maya was born on 5 September 1935 in secrecy to Picasso’s

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Fillette au bateau, Maya
1938 - 1939
Picasso, Pablo
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sabrinaloscar · 1 year
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Fillette au bateau, Maya
1938 - 1939
Picasso, Pablo
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at-what-is-my-name · 1 year
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 Aujourd'hui, 13 février c'est la Journée mondiale de la radio.
Sinon.  -5 personnes originaires d'Afrique de l'Est se noient en MĂ©diterranĂ©e centrale alors qu'elles se rendaient en Italie depuis la ville de Sfax en Tunisie -23 Africains non identifiĂ©s se noient dans la  MĂ©diterranĂ©e, lors du naufrage de leur bateau au large de l'Ăźle italienne de Lampedusa -Une fillette afghane de 9 ans non identifiĂ©e est portĂ©e disparue aprĂšs qu'un bateau se soit brisĂ© sur les rochers au large de la cĂŽte de Tsonia, Ăźle de GrĂšce -Une personne non identifiĂ©e se noie, son corps est retrouvĂ© sur la plage de Sidi Mejdoub, Ă  l'ouest de Mostaganem, AlgĂ©rie -Ayse Abdulrezzak, 37 ans, enseignante fuyant la rĂ©pression en Turquie, ainsi que ses fils Enes, 11 ans et Halil Munir,3 ans se sont noyĂ©s lorsque leur bateau a coulĂ© dans le fleuve Evros, Ă  la frontiĂšre turco-grecque, Ugur Abdulrezzak, homme de 39 ans, Fahrettin Dogan, homme de 29 ans, Asli Dogan, femme de 27 ans et Ibrahim Selim Dogan 3 ans sont morts avec eux - un pakistanais de 28 ans, Muhammad Nadim s'est suicidĂ© dans le centre de dĂ©tention d’Amygdaleza en grĂšce. - Marcelo GĂłmez CortĂ©s, chilien de 29 ans est abattu par la police Ă  Milan, Italie alors qu’il fuyait de peur d'ĂȘtre arrĂȘtĂ© ou expulsĂ© - Une personne non identifiĂ©e meurt sous le choc aprĂšs que son cousin ait Ă©tĂ© battu par des gardes-frontiĂšres Ă  Patras, GrĂšce - Sadik Genc, turc, disparu,  serait mort aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ© de BrĂȘme, Allemagne. -Bat Bold Mongolia meurt Ă  l'hĂŽpital de Löwenströmska en Serbie, faute de soins mĂ©dicaux appropriĂ©s aprĂšs ĂȘtre tombĂ© malade dans un centre de dĂ©tention.  IL Y A DES CADAVRES. Paix Ă  leur Ăąme.
liste des 48.647 dĂ©cĂšs documentĂ©s depuis 1993, des personnes sur les routes de l’exil dus aux politiques restrictives de la " Forteresse Europe " Documentation par UNITED -https://unitedagainstrefugeedeaths.eu/about-the-campaign/about-the-united-list-of-deaths/
à partir du travail fait par l'association  UNITED for Intercultural Action, European network against nationalism, racism, fascism and in support of migrants and refugees  - https://unitedagainstrefugeedeaths.eu/
‹et NOMBRANDOLES -espacio de mĂ©moria- https://www.instagram.com/nombrandoles
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vincentlafon · 1 year
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Voile au Pays basque : les plus belles photos de la régate hommage à la naissance du 420 à Socoa
"Voile au Pays basque : les plus belles photos de la régate hommage à la naissance du 420 à Socoa
 Lecture 1 min
Accueil Pyrénées-Atlantiques Bayonne
Publié le 01/11/2022 à 14h41
Mis Ă  jour le 01/11/2022 Ă  14h51
Le Yacht Club Basque a fait fort avec sa rĂ©gate hommage aux inventeurs du dĂ©riveur 420, organisĂ©e du 27 au 31 octobre Ă  Socoa. Pas moins de 56 Ă©quipages venus de France, d’Espagne et d’Angleterre y ont pris part. Au-delĂ  de la dimension sportive, l’évĂ©nement a su unir les gĂ©nĂ©rations autour de l’histoire de ce petit bateau imaginĂ© en 1959 par les deux anciens moniteurs, Aristide LehoĂ«rff et Pierre Latxague
56 équipages ont pris part à la régate nationale de 420 organisée du 27 au 31 octobre par le Yacht Club Basque, au large de Saint-Jean-de-Luz et Ciboure. © Crédit photo : Vincent Lafon
Au plus prÚs des 420, sur la ligne de départ.
Vincent Lafon
Une jolie bataille entre les meilleurs Ă©quipages de France, d’Espagne et d’Angleterre.
Marie-Laure Hastoy
Du vent dans les spis, au large de Saint-Jean-de-Luz et Ciboure.
Vincent Lafon
Les 420 de compĂ©tition sous le regard Ă©mu du patron de la SNSM CĂ©dric LehoĂ«rff, petit-fils de l’inventeur du dĂ©riveur, avec Pierre Latxague.
Vincent Dewitte
Les 420 alignĂ©s sur la plage des dĂ©riveurs, prĂȘts pour le raid anniversaire des 60 ans.
Marie-Laure Hastoy
Le départ du raid anniversaire, face au fort de Socoa.
Vincent Lafon
Retour aux sources, avec ces 420 nouvelles génération, au pied du fort de Socoa.
Marie-Laure Hastoy
Les 420 historiques Ă©taient Ă  l’honneur sur le raid des 60 ans. Ici, celui barrĂ© par la jeune adhĂ©rente du Yacht Club Basque, Luna Belledent.
Marie-Laure Hastoy
L’Union nationale des pratiquants de 420 (Uniqua), reprĂ©sentĂ©e Ă  Socoa par HervĂ© Lohier, coorganisait l’évĂ©nement avec le Yacht Club Basque.
Vincent Lafon
Belle lumiÚre pour le dernier jour de course, ce lundi 31 octobre.
Vincent Dewitte
Le trophĂ©e national d’automne, dit Coupe du fort, a Ă©tĂ© remportĂ© par l’un des neuf Ă©quipages venus d’Espagne, la meilleure nation sur le circuit international du 420.
Vincent Dewitte
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Bayonne Saint-Jean-de-Luz Ciboure Voile Pyrénées-Atlantiques Sport Pays basque
D’autres photos sont à retrouver sur la page Facebook du Yacht Club Basque.
Marie-Laure Hastoy
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JO 2022 : la France va-t-elle atteindre son objectif de 15 médailles ?
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Ray Ric
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Tant que le sport français sera basé sur du bénévolat ou l'entraineur amateur sera toujours un ancien sportif mauvais qui ne pouvait continuer en tant ...Lire plus
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https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/bayonne/voile-au-pays-basque-les-plus-belles-photos-de-la-regate-hommage-a-la-naissance-du-420-a-socoa-12819217.php#:~:text=Voile%20au%20Pays,toute%20la%20journ%C3%A9e
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das-coven · 5 years
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Le Crime de l'Orient-Express (film, 1974)
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Synopsis
Hiver 1935, à Istanbul. Le célÚbre détective belge Hercule Poirot en visite en Turquie doit rentrer prématurément en France et ce retour imprévu lui pose un problÚme car rentrer de la Turquie en France nécessite au début du xxe siÚcle une réservation quelques jours à l'avance pour une traversée de la Méditerranée par bateau, l'avion n'étant pas encore un moyen de transport international trÚs courant.
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À la recherche d'une solution il se rend dans l'hĂŽtel de luxe de la gare d'Istanbul oĂč il espĂšre que la chance pourra lui donner un petit coup de pouce. 
Et en effet, rencontrant dans le grand salon de l'hĂŽtel son ami monsieur Bianchi (monsieur Blanchet dans la version française et monsieur Bouc dans le roman) qui est le directeur de la luxueuse ligne de l'Orient-Express, il obtient par son intermĂ©diaire une place dans une voiture du prochain train en partance pour Calais. Lui-mĂȘme, le directeur de la ligne, sera du voyage. Le train prend son dĂ©part et commence la traversĂ©e des premiers pays de l'Est europĂ©en sur l'itinĂ©raire. 
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En chemin, lors de la traversée de la Yougoslavie, un homme d'affaires, un certain Samuel Ratchett, estimant sa vie en danger, demande l'aide de Poirot pour le protéger, ce que ce dernier refuse. Mais le matin suivant, Ratchett est retrouvé dans sa couchette poignardé de douze coups de couteau à la poitrine. 
Durant la mĂȘme nuit, une coulĂ©e de neige imprĂ©vue a immobilisĂ© le train dans cette rĂ©gion trĂšs montagneuse. Le soleil s'est levĂ© sur une campagne totalement dĂ©serte aux alentours, il n'est pas tombĂ© de nouvelle neige depuis la veille au soir, et l'Ă©tat immaculĂ© du manteau de neige autour du train montre que personne ne s'est Ă©loignĂ© du convoi. 
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Le coupable est donc probablement encore dans sur place. Par ailleurs l'attente devra durer de trÚs longues heures avant l'arrivée du train chasse-neige de service pour le déblaiement de la voie. Le directeur de la ligne propose alors à son ami Hercule Poirot de tenter de résoudre ce meurtre tant que le train est immobilisé. Sinon, lorsqu'il repartira aprÚs le déblayage de la coulée de neige, il faudra s'en remettre aux autorités yougoslaves et il serait préférable pour tout le monde que le coupable soit déjà démasqué pour éviter une rétention de voyageurs innocents par les Yougoslaves. 
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Commence alors une des plus passionnantes enquĂȘtes de l'histoire du roman policier.
Pour comprendre correctement le contexte dans lequel commence l'histoire, un prĂ©ambule s'impose : cinq ans plus tĂŽt, aux États-Unis, l'unique fillette de trois ans d'un couple richissime (les Armstrong) avait Ă©tĂ© kidnappĂ©e par des ravisseurs puis retrouvĂ©e assassinĂ©e aprĂšs la remise d'une rançon colossale de deux cent mille dollars. 
Le meurtre odieux de cette enfant avait entraßné d'autres décÚs. Le pÚre de la fillette n'avait pas supporté la mort de son enfant et s'était suicidé d'une balle de revolver. La mÚre de la fillette, enceinte lors de l'enlÚvement, était devenue dépressive en perdant à la fois sa fille et son mari et était décédée en accouchant d'un bébé mort-né. 
Par ailleurs le meurtre avait été suivi d'une affaire judiciaire trÚs médiatisée et nébuleuse dans laquelle la jeune bonne accusée à tort s'était suicidée, puis un homme avait été condamné et exécuté sur la chaise électrique en ayant toujours clamé son innocence. Tout ce préambule à l'histoire est directement inspiré par l'enlÚvement de l'enfant de l'aviateur Charles Lindbergh.
La Bande Annonce
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anamazingwriter-blog · 5 years
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Et si l’AmĂ©rique n’avait jamais Ă©tĂ© dĂ©couverte?
Le dilemme mortel
 Prologue
 1492. Colomb voit une terre au loin. L’Inde, enfin! Il prend le contrĂŽle du bateau, mais fonce dans un rocher. Son bateau coule. Tout son Ă©quipage pĂ©rit. Un peu plus loin, une tribu amĂ©rindienne, curieuse, explore les vestiges de la caravelle.
 C’est le dĂ©but de la nouvelle Ăšre de l’AmĂ©rique. Celle-ci parvient Ă  reconstruire la flotte marine et en construit d’autres, devenant ainsi une puissance maritime impressionnante. Les langues europĂ©ennes trouvĂ©es dans les livres se trouvant dans le bateau sont dĂ©chiffrĂ©es aprĂšs des annĂ©es et des annĂ©es de recherche. Entre-temps, les AmĂ©rindiens s’allient pour percer le mystĂšre europĂ©en, crĂ©ant l’Ordre, un ensemble de nations.
 Le continent amĂ©ricain est nommĂ© Opal par ses habitants. « AmĂ©rique » ne veut rien dire pour eux, car ce nom n’aurait existĂ© que si les EuropĂ©ens, ou les Blancs, l’avaient nommĂ© ainsi.
 Les AmĂ©rindiens se rendent compte que l’Europe est trĂšs diffĂ©rente de l’AmĂ©rique. Ils se mĂ©fient de ce continent. Chaque fois qu’un bateau europĂ©en s’approche d’eux, ils tuent tout le monde et pillent le bateau. Plus ils trouvent de livres d’histoire, plus les AmĂ©rindiens trouvent les EuropĂ©ens cruels. La guerre, le meurtre, l’hypocrisie... De plus en plus de nations joignent l’Ordre devant cette menace qu’est un autre continent.
 MalgrĂ© eux, les AmĂ©rindiens perdent leur culture, lentement remplacĂ©e par celle de l’Europe. Ils demeurent majoritairement pareils, mais une acculturation est inĂ©vitable.
 500 ans plus tard, les AmĂ©rindiens se rendent compte que ça ne peut pas continuer ainsi. Les EuropĂ©ens sont horribles et ne mĂ©ritent pas de vivre. Ils mettent donc sur pied une Ă©quipe de vingt personnes pour aller explorer, ou plutĂŽt espionner l’Europe pour savoir quels moyens seraient les plus efficaces pour gagner cette guerre.
 En Europe, le dĂ©veloppement a Ă©tĂ© grandement ralenti. Bien qu’on soit en l’an 2000, les EuropĂ©ens n’ont pas Ă©voluĂ© beaucoup depuis les annĂ©es 1700. Par ailleurs, l’absence du commerce triangulaire a rendu la traite d’esclaves noirs moins exploitĂ©e, ce qui fait que la lutte contre l’esclavage est moins populaire. La possession d’esclaves, bien que controversĂ©e, est lĂ©gale.
 Une Europe sous-développée réussira-t-elle à échapper à la menace amérindienne?
   Chapitre 1 : La proposition
 Mon pÚre me réveille sans me ménager.
 « Sora, réveille-toi. Je dois te parler. »
 À contrecƓur, je me dirige hors de chez moi, une petite maison en bois que mon pĂšre m’a donnĂ©e il y a deux mois, quand j’ai eu dix-sept ans.
 Dans la salle du Conseil, oĂč se dĂ©roulent les rĂ©unions de l’Ordre, dont mon pĂšre est le chef, tout le monde est dĂ©jĂ  assis. Je prends ma place.
 « Nous avons pensĂ© longuement, me dit Amarok, le conseiller de mon pĂšre. Nous te voulons dans la mission d’espionnage. »
 Je reste interdite un moment. Est-ce qu’il parle vraiment de la mission d’espionnage en Europe dont on parle depuis des annĂ©es, qu’on planifie depuis des dĂ©cennies et qu’on attend depuis des siĂšcles?
 « Comment ça? Pourquoi moi? demandé-je, confuse.
-    Tu es ma fille, rĂ©pond le chef. Je te fais confiance plus qu’à n’importe qui. J’ai besoin que le chef de l’expĂ©dition me soit loyal et qui de mieux que toi pour ça? »
 Ah. Il m’envoie parce qu’il sait que je ne le trahirai pas...
 « En plus, ajoute Amarok, tu connais le français et l’anglais, deux langues trĂšs utiles en Europe. – Le veux-tu? »
 Je n’hĂ©site que quelques secondes. C’est enfin l’occasion pour moi de faire mes preuves! MĂȘme si je suis un peu rĂ©ticente Ă  l’idĂ©e de quitter mes terres pour presque deux ans, une telle occasion est unique. Mon pĂšre ne me verra plus jamais comme une enfant qu’il doit protĂ©ger, mais comme une femme indĂ©pendante.
 J’accepte donc.
 Chapitre 2 : Le départ
 Debout Ă  l’arriĂšre du bateau, je regarde mon continent d’origine, l’Opal, devenir un petit point au loin puis disparaĂźtre. Je serre mon carrĂ© mobile dans ma main. Cette petite boĂźte est mon seul moyen de communication Ă  distance.
Je ne pourrai pas Ă©crire Ă  mon pĂšre, car on est trop loin, mais j’échangerai des messages avec les dix-neuf autres participants de cette mission. Ainsi, nous partagerons nos dĂ©couvertes et nous fixerons un point de rendez-vous dans environ un an.
 Nous accostons trois mois plus tard. Nous nous séparons avec chacun la mission de ramasser des informations sur les faiblesses des Européens pour nous en servir contre eux dans une guerre prochaine.
 Mon rĂŽle, c’est de prendre des notes sur la vie de tous les jours de l’ennemi. C’est mon pĂšre qui m’a attribuĂ© ce rĂŽle, dont je doute de l’utilitĂ©. Je crois qu’il ne veut pas que je me mette en danger. Il a toujours Ă©tĂ© protecteur et, si je venais Ă  mourir, il serait dĂ©vastĂ©.
 Comme mon pĂšre me l’a indiquĂ©, je cherche un travail en tant que domestique. En effet, quoi de mieux pour Ă©valuer la vie quotidienne des Blancs que de vivre chez eux?
 C’est pour cette raison que j’accepte de travailler chez les Keller, une famille prospùre origine de la Belgique.
 Chapitre 3 : Le dégoût
 Les EuropĂ©ens sont cruels, dĂ©goĂ»tants et manipulateurs. Ça ne m’a pris que deux mois en Belgique pour m’en rendre compte.
 Commençons par les Keller : ils sont une famille dysfonctionnelle dont le pĂšre est toujours absent. Quand ce dernier arrive Ă  la maison, il y a deux options. Soit il crie sur ses enfants, car, contents de voir leur pĂšre revenir aprĂšs une si longue journĂ©e, ils ont eu le malheur de lui dĂ©montrer de l’affection, soit il frappe sa femme, car elle n’a pas eu le temps de faire le souper.
 Je ne crois pas que toutes les familles soient ainsi, mais chez nous, ça n’existe pas. Je n’ai jamais vu d’Opalais frapper sa femme, son mari ou ses enfants. La violence est sĂ©vĂšrement punie.
 Une autre raison pour laquelle j’exĂšcre les EuropĂ©ens, c’est le meurtre et la guerre. Quel est le but de tuer quelqu’un pour le pouvoir? À Opal, personne n’a jamais tentĂ© d’assassiner notre chef, car ses dĂ©cisions sont justes et il est impartial. Quant Ă  la guerre, on en avait aussi, avant, mais c’est une autre histoire.
 La semaine passĂ©e, j’ai vu les voisins, les riches Fidji, fouetter le nouvel esclave noir qu’ils avaient achetĂ© aprĂšs que l’ancien se soit enfui. Le pauvre avait le dos tout en sang, mais monsieur Fidji a continuĂ© de lui faire du mal jusqu’à ce que sa femme ait pitiĂ© et lui donne un peu de soupe et une heure de pause.
 Les EuropĂ©ens mĂ©ritent qu’on ait l’intention de leur dĂ©clarer la guerre. Ils mourront tous, jusqu’au dernier.
 Chapitre 4 : Les enfants
 Monsieur Keller part pour le travail. Je me fais réveiller par les jumeaux, Ashley et Jason, qui courent partout. Je vais voir si madame Keller dort et lui demande si elle va leur préparer à manger. Je la trouve en pleurs dans son lit, sûrement à cause de son mari.
 Je ne sais pas ce qu’elle a fait pour hĂ©riter d’un homme aussi... mauvais.
 Je dĂ©cide donc de m’occuper des enfants pour lui donner un peu de repos. Je leur ferai Ă  manger mĂȘme si habituellement madame Keller insiste que ce n’est pas sur mon contrat et que je ne suis pas payĂ©e pour ça. Ça me fait de la peine de les voir tristes Ă  cause du manque d’amour de leur pĂšre.
 Je fais donc des crĂȘpes, leur dĂ©jeuner prĂ©fĂ©rĂ©. Ils sont vite attirĂ©s par l’odeur et viennent bouger autour de moi. DĂšs que je dĂ©pose une crĂȘpe sur la table, elle se fait engloutir. Quand ils se battent pour la derniĂšre, je la coupe en deux.
 « Vous aviez vraiment faim, constaté-je.
-    Hier soir, maman a oublié de faire à manger, avoue la fillette. Elle se battait avec papa. »
 J’ai pitiĂ© d’eux maintenant. Ces malheureux ne veulent qu’ĂȘtre aimĂ©s par leurs parents, mais le pĂšre est violent et la mĂšre trop occupĂ©e Ă  le pleurer. Je ressens le devoir de leur remonter le moral.
 « Est-ce que vous voulez jouer à un jeu avec moi? »
 Leurs yeux s’illuminent. Je leur montre donc plusieurs jeux qui viennent d’Opal, mon continent d’origine. Je leur explique que lĂ  d’oĂč je viens, les jeux sont trĂšs populaires. On adore jouer. Ils veulent en savoir plus, donc je leur dis le plus que je peux sans mettre en pĂ©ril la mission.
 Le soir, je vais les border. Attendrie, je les regarde tomber dans les bras de MorphĂ©e alors qu’une pensĂ©e sournoise monte dans ma tĂȘte. Je tente de la repousser, mais plus je l’ignore, plus elle s’impose.
 Si tous les Blancs meurent, alors Ashley et Jason mourront aussi. Ashley et Jason et tous les autres enfants européens innocents périront.
 Chapitre 5 : La rencontre
 « Je dois partir, annoncé-je. »
 Madame Keller me regarde avec horreur. Elle me supplie de rester. Depuis mon arrivĂ©e, presque un an plus tĂŽt, je m’occupe beaucoup d’Ashley et de Jason. Je la soutiens moralement quand monsieur Keller se montre abusif.
 « Ce n’est que temporaire, lui assurĂ©-je. Un mois tout au plus. »
 Quand elle accepte finalement de me laisser partir, je sors, mon carrĂ© mobile bien cachĂ© sous mes vĂȘtements. Ça fait une semaine qu’on planifie, avec les autres participants de la mission, une rencontre. Je reverrai enfin Bly, mon ami d’enfance.
 « Je vous jure que je n’ai rien volĂ© ! s’exclame une voix que j’ai du mal Ă  reconnaĂźtre. »
 C’est l’esclave des voisins dont je ne connais toujours pas le nom, car on l’appelle...
 « L’esclave ! Tu prĂ©tends ne pas avoir touchĂ© ma montre ? Menteur ! »
 Je m’en vais le plus rapidement possible pour ne pas le voir se faire frapper. En plus, j’ai vu monsieur Fidji Ă©chapper sa prĂ©cieuse montre dans de la bouse de vache, mais ĂȘtre trop dĂ©goĂ»tĂ© pour la ramasser. Il veut mettre ça sur le dos de quelqu’un que personne ne dĂ©fendra.
 * * *
 Je voyage jour et nuit pour arriver au lieu du rendez-vous, un terrain vague oĂč personne ne nous surprendra.
 « Bly ! m’exclamĂ©-je. »
 Je saute dans les bras de mon ami. Il me salue.
 « Commençons, dit Chayton. »
 Il est le fils d’Amarok, le conseiller d’Anoki, mon pùre. Ça lui donne donc un certain pouvoir.
 J’écoute attentivement les Ă©changes concernant leurs forces militaires. Ils ne m’adressent pas la parole, car ils savent autant que moi que mon travail est complĂštement inutile. Je suis lĂ  pour m’assurer qu’ils ne profiteront pas du fait que le chef est loin pour faire n’importe quoi.
 La discussion terminĂ©e, nous nous installons pour la nuit dans le but de repartir demain matin. Je m’installe prĂšs de Bly, car il a Ă©tĂ© trĂšs silencieux pendant que les autres racontaient leur expĂ©rience. Ce n’est pas dans ses habitudes.
 « Tout va bien ? m’inquiĂ©tĂ©-je.
-    Oui. Pourquoi tu me demandes ça?
-    Tu n’as presque rien dit tantît. Ça ne te ressemble pas.
-    Oui, je... je ne disais rien parce que j’avais peur qu’on voie que, justement, je vais trop bien. J’ai rencontrĂ© une femme. Elle s’appelle Taylor. On s’aime et on voudrait fonder une famille. Le seul problĂšme, c’est que quand je lui ai dit la vĂ©ritĂ© sur nous et sur Opal, elle Ă©tait rĂ©ticente Ă  quitter sa famille. »
 Je dĂ©sapprouve le fait qu’il lui ait dit d’oĂč on vient, mais je suis heureuse pour lui. À cause des rumeurs qui courent Ă  son sujet, Bly est assez solitaire. On raconte qu’il est dĂ©rangĂ© mentalement et impulsif. Je sais que ce n’est pas vrai. Heureusement, je ne suis pas la seule Ă  m’en ĂȘtre rendu compte.
 Taylor est une riche bourgeoise qui a refusĂ© de se marier. Sa mĂšre l’a reniĂ©e, mais son pĂšre lui est restĂ© fidĂšle. Il leur donne sa bĂ©nĂ©diction s’ils dĂ©sirent s’unir. Pour l’instant, ils n’ont aucun projet d’avenir. Bly ne lui a pas dit que les Opalais planifient exterminer la race blanche, donc elle ne comprend pas pourquoi il tient tant Ă  ce qu’ils dĂ©mĂ©nagent sur son continent d’origine.
 Taylor a promis de garder le secret. Elle ne connaßt pas toute la vérité, seulement que nous venons de trÚs loin et que nous explorons. Pour Bly, cette mission est comme une occasion de se racheter pour ses erreurs. Il se repend, il a beaucoup changé.
 Il croit qu’aprĂšs tout, une guerre contre l’Europe au complet n’est pas une si bonne idĂ©e. Non seulement ils sont plus grands et plus puissants qu’on le pensait, mais Taylor ne le laisserait jamais tuer ses amis et sa famille.
 En plus, ce serait un gĂ©nocide important, donc les consĂ©quences sociales, Ă©conomiques et mĂȘme gĂ©ographiques seraient immenses... sans compter les pertes que nous subirions.
 Je ne sais pas s’il est aveuglĂ© par l’amour ou par la vĂ©ritĂ©.
 Chapitre 6 : Alfredo
 L’esclave s’appelle Alfredo. Je le sais parce que hier, je suis allĂ©e lui parler. Il Ă©tait surpris que je m’adresse Ă  lui normalement. Les Fidji lui crient toujours dessus. Je m’en fiche, moi, qu’il soit noir ou blanc ou esclave ou libre ou riche ou pauvre. Il est un humain, donc un Ă©lĂ©ment de la nature, au mĂȘme titre que moi.
 J’avais du mal Ă  supporter le voir repeindre la clĂŽture tout seul pendant la nuit alors qu’il dormait Ă  moitiĂ©, donc je suis venue l’aider.
 « J’avais une soeur et un frĂšre, avant, au Congo. Ils se sont fait capturer en mĂȘme temps que moi. Mon pĂšre a donnĂ© sa vie pour tenter de nous protĂ©ger, me raconte-t-il. »
 C’est tellement horrible que je me sens mal d’avoir eu une vie aussi facile.
 « On nous a ligotĂ©s dans un bateau. On devait s’empiler parce qu’il n’y avait pas assez de place. Tellement de sang souillait le sol qu’on ne savait jamais Ă  qui il appartenait. Ma soeur a tentĂ© de sauter Ă  l’eau pour s’échapper, mais elle s’est noyĂ©e. Mon frĂšre a virĂ© fou. On l’a tuĂ©, car personne n’aurait voulu d’un esclave qui ne cesse pas de pleurer ou de crier.
-    C’est la faute de l’Europe, tout ça, non? Si tu pouvais tous les tuer, un par un, tu le ferais ? »
 Si quelqu’un a une raison de dĂ©tester ce continent, c’est bien lui. C’est pourquoi sa rĂ©ponse me surprend.
 « Non. En France et au Portugal, l’esclavage est illĂ©gal. En Angleterre, ça le deviendra bientĂŽt. Ici, en Belgique, il y a beaucoup de rĂ©voltes. Ce n’est pas toute l’Europe qui a un mauvais cƓur. Et mĂȘme si je dĂ©teste monsieur Fidji, je ne suis pas un meurtrier. »
 Un meurtrier. Si on tue toute l’Europe, est-ce que ça fait de nous des meurtriers? Est-ce que ça ne nous rend pas meilleurs qu’eux?
 Chapitre 7 : Doutes
 Au fur et Ă  mesure que la fin de ma mission approche, j’ai de plus en plus de doutes par rapport Ă  la guerre. Certes, certains EuropĂ©ens mĂ©ritent de mourir dans d’atroces souffrances (par exemple monsieur Keller), mais...
 Mais la plupart ne le mĂ©ritent pas. Je pense Ă  Ashley, Ă  Jason et Ă  tous ces enfants qui n’ont rien Ă  voir avec tout ça. Je pense aux madames Keller qui sont des victimes et qui ne feraient pas de mal Ă  une mouche. Je pense au pĂšre de Taylor qui supporterait sa fille quoi qu’il arrive. Je pense Ă  madame Fidji qui prend en pitiĂ© son esclave et lui donne Ă  manger en cachette en espĂ©rant secrĂštement que l’esclavage devienne illĂ©gal.
 Je pense à ceux qui ne méritent pas de mourir.
 La veille de mon départ, ma décision est prise : je ne laisserai pas une telle guerre se déclencher.
 Chapitre 8 : La fin
 Ça y est. La fin de ma mission. J’ai dĂ» briser le cƓur d’Ashley et de Jason en leur disant qu’ils ne me reverront plus jamais. Madame Keller m’affirme qu’elle ne pourra jamais me remplacer. Monsieur Keller a levĂ© les yeux au ciel en disant qu’on me payait trop de toute maniĂšre. Alfredo a dit au revoir Ă  sa seule amie.
 L’Opal me manque. J’ai hĂąte d’y retourner, mĂȘme si beaucoup me manqueront. La gorge nouĂ©e, je prends un train en direction du point de rendez-vous.
 La premiĂšre chose que je fais quand je rencontre les autres Opalais, c’est leur dĂ©blatĂ©rer mon opinion. Je leur parle de ma rĂ©cente prise de conscience. Je ne reprends mĂȘme pas mon souffle, car j’ai peur qu’on m’interrompe.
 Quand finalement je termine, le silence persiste. Je me tourne vers Bly pour avoir du support, mais il est trop surpris pour m’appuyer. Je regarde ensuite Chayton ; c’est lui le chef officiel de la mission, c’est lui que je dois convaincre. Il lance :
 « Pourquoi ? La derniĂšre fois qu’on s’est vus, tu croyais qu’on devait les tuer.
-    J’avais dĂ©jĂ  quelques doutes. Je sais que plusieurs devraient ĂȘtre supprimĂ©s de la surface de la Terre, mais « plusieurs », ce n’est pas la totalitĂ©. En plus, qui sommes-nous, pour dĂ©cider que quelqu’un mĂ©rite la mort ? »
 J’évoque madame Fidji, Jason et Ashley, Alfredo, tous ceux qui ont contribuĂ© Ă  changer ma vision du monde europĂ©en.
 « On a fait tout ça pour rien, ça veut dire ? déplore une femme.
-    Pas pour rien, s’oppose quelqu’un d’autre. J’ai passĂ© deux ans sur le front, et certains Anglais ne voulaient pas tuer leurs ennemis. Je me suis fait des amis et ils ont un bon fond.
-    J’ai rencontrĂ© des Italiens vraiment gentils, renchĂ©rit Cholena. Je me sentirais mal de les Ă©liminer... »
 De plus en plus d’Opalais m’approuvent, mais beaucoup s’opposent toujours Ă  l’idĂ©e d’épargner l’Europe. Ça signifierait que nous avons passĂ© deux ans ici pour rien, selon eux.
 Quant Ă  Bly, il ne dit toujours rien. J’imagine qu’il pense Ă  Taylor, comme la derniĂšre fois. Au moins, je sais qu’il sera de mon bord. L’avantage, c’est que mon pĂšre est le chef et qu’il a le pouvoir de changer d’idĂ©e. Je sais que je le convaincrai. Je sais que cette guerre n’aura pas lieu.
 Quand j’étais petite, mon pĂšre me surprotĂ©geait. J’ai appris comment prĂ©senter mes arguments pour le convaincre d’ĂȘtre de mon avis. Si j’utilise cette technique, il abandonnera la guerre. C’est certain.
 « On retourne Ă  Opal, tranche Chayton. On verra ça avec le chef Anoki. Il jugera de ça lui-mĂȘme. »
 Tout le monde approuve. Ceux qui sont d’accord savent que je rĂ©ussirai Ă  convaincre mon pĂšre, ceux qui ne sont pas d’accord ont conscience que c’est Ă  Anoki de choisir et les indĂ©cis se fient Ă  la dĂ©cision du chef de l’Ordre.
 Nous prĂ©parons le bateau. Je m’approche de Bly pendant les prĂ©paratifs. Je me demande comment il fera, pour Taylor. Il n’en a pas parlĂ© devant les autres, donc j’ai gardĂ© le secret. A-t-elle acceptĂ© de le marier ? Va-t-elle dĂ©mĂ©nager Ă  Opal ?
 « Quand j’aurai convaincu mon pĂšre, tu pourras Ă©pouser Taylor sans problĂšme. Vous en ĂȘtes rendus oĂč? J’espĂšre que tu m’inviteras au mariage... »
 Il acquiesce, silencieux. Je sens que quelque chose ne va pas. Et si elle l’a quittĂ© et que j’ai touchĂ© une corde sensible ?
 « Je peux te parler deux minutes? En privé, précise-t-il.
-    D’accord. Peut-ĂȘtre que tu me diras c’est quoi ton excuse cette fois pour ne pas avoir parlĂ© de la journĂ©e... »
 Nous quittons le quai bondĂ© pour nous promener dans les rues et ruelles Ă©troites de la ville. Les lampadaires s’allument au fur et Ă  mesure que l’obscuritĂ© grandit.
 « Alors, qu’est-ce qu’il y a ? Tu vas bien au moins ? »
 Son absence de rĂ©ponse m’indique que non. J’insiste :
 « C’est Taylor ? Elle va bien ? »
 C’est Ă  ce moment que tout dĂ©rape. Bly, mon ami d’enfance que je connais depuis toujours et Ă  qui je confierais ma vie, se mĂ©tamorphose en un inconnu. Cet inconnu pousse un cri de rage et empoigne mon cou pour me plaquer contre un mur.
 « Taylor est morte. AssassinĂ©e. Et Ă  cause de toi, le meurtrier va peut-ĂȘtre ne jamais payer pour ses actes. »
 Je n’ai pas le temps d’analyser la situation. Sa main droite bloque mes voies respiratoires, sa main gauche sort une lame tranchante. C’est un couteau Ă  viande typiquement europĂ©en.
 Je tente de projeter mon incomprĂ©hension dans mon regard pour qu’il m’explique ce qui s’est passĂ©. Je veux savoir qui est cet homme et ce qu’il a fait de mon ami. Il doit comprendre parce qu’il m’explique :
 « La semaine passĂ©e, j’ai visitĂ© Taylor. Je l’ai trouvĂ©e morte, un trou dans le crĂąne. On lui a tirĂ© dessus. C’est l’Ɠuvre d’un Blanc. Qui d’autre sait se servir d’une arme Ă  feu? »
 Si je pouvais parler, je lui dirais que je suis dĂ©solĂ©e et je lui demanderais en quoi m’asphyxier lui donnerait meilleure conscience. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas parce que ses doigts continuent de se refermer autour de mon cou.
 Je croyais que son passĂ© violent Ă©tait derriĂšre lui. Je croyais que les rumeurs disant qu’il avait des troubles comportementaux Ă©taient inventĂ©es. Je croyais qu’il ne me ferait jamais de mal. Je croyais que ses thĂ©rapies avaient fait effet.
 J’avais tort.
 « La seule chose qui m’empĂȘchait de cĂ©der Ă  la folie, c’était la certitude que le coupable paierait de sa mort, qui qu’il soit, car nous allions tuer tous les EuropĂ©ens jusqu’au dernier. Quand tu es arrivĂ©e, ce matin, je ne pouvais pas te laisser convaincre ton pĂšre de tout annuler. Ça aurait signifiĂ© laisser son meurtrier s’échapper. »
 Je comprends deux choses. PremiĂšrement, si je retourne Ă  Opal, la guerre n’a pas lieu, car je convaincs mon pĂšre. Le meurtrier de Taylor reste en vie et ne reçoit aucune sentence, car personne ne sait de qui il s’agit. Bly sait que le seul moyen de punir l’assassin est de dĂ©clarer la guerre.
 DeuxiĂšmement, je comprends que mon ami n’est plus. On l’a remplacĂ© par un monstre dont les actions sont dictĂ©es par un cƓur brisĂ© et un dĂ©sir de vengeance qu’on ne peut assouvir.
 Quand Bly relÚve le couteau devant mes yeux, celui-ci est taché de sang.
 Mon sang.
 Chapitre 9 : Bly
 Je lĂąche Sora. Son corps sans vie s’écroule par terre. Ses yeux vides me fixent d’un air absent, comme s’ils m’accusaient. Ils ont raison, ce que j’ai fait est mal, mais ce qui serait encore plus mal, ce serait laisser l’assassin de Taylor en libertĂ©.
 L’Opal tuera tous les EuropĂ©ens jusqu’au dernier. Tous. C’est le seul moyen de s’assurer que le meurtrier de ma fiancĂ©e ait ce qu’il mĂ©rite : la mort.
 Je m’agenouille devant le cadavre de Sora et me mets Ă  crier Ă  pleins poumons. ImmĂ©diatement, dix-huit Opalais accourent, prĂȘts Ă  nous porter secours. Trop tard.
 « Je... je ne comprends pas, balbutiĂ©-je. Un homme, un Blanc... il est sorti de nulle part et l’a poignardĂ©e, comme ça... pour aucune raison! »
 J’éclate en sanglots, suivis par les plus proches amis de la victime. Une fois les priĂšres rĂ©citĂ©es, on la charge dans le bateau pour qu’à Opal ait lieu une cĂ©rĂ©monie digne d’elle. Elle mĂ©rite quelque chose de bien. MĂȘme si elle a eu tort de vouloir annuler la mission, c’était ma meilleure amie et je l’aimais.
 Heureusement, personne ne s’est posĂ© de question sur les hĂ©matomes autour de son cou. Ça ne concorderait pas avec ma version des faits. Les gens sont tellement stupides, parfois...
 Chapitre 10 : Un an plus tard
 En apprenant que sa fille adorĂ©e s’est fait tuer cruellement par un EuropĂ©en, le chef de l’Ordre est entrĂ© dans une rage folle. Je n’ai presque pas eu Ă  le manipuler pour qu’il dĂ©cide de leur dĂ©clarer la guerre.
 Sora n’est pas morte en vain. GrĂące Ă  elle, j’ai l’assurance que le chef Anoki Ă©liminera tous nos ennemis jusqu’au dernier.
 En janvier 2004, le premier bateau Opalais accoste en France et tue des milliers de civils.
 Ainsi commence une longue guerre opposant l’Europe et l’Opal, une guerre que Sora voulait Ă  tout prix Ă©viter mais qui, ironiquement, a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e par sa faute.
 Une nuit de dĂ©cembre, sur le champ de bataille, une lance me transperce la poitrine, droit dans le cƓur. Je ne peux m’empĂȘcher de me rappeler que c’est Ă  cet endroit prĂ©cis que j’ai poignardĂ© Sora. Le karma fait bien les choses. GrĂące Ă  lui, je retrouverai l’amour de ma vie, au paradis.
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