#Clément Huot
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L'élite française du Kitesurf est à Port Barcarès
L’élite française du Kitesurf en Big Air affrontera le plus haut niveau mondial au Parc des Dosses de Port Barcarès entre les 1 et 30 avril pour le LORDS OF TRAM GKA BIG AIR WORLD CUP 2023 Qatar Airways GKA Kite World Tour.Les jours de compétition seront à confirmer selon les conditions de vent.
Marqué d’une forte présence française dans toutes les disciplines, le Kitesurf compte une scène…
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#2023#Arthur Guillebert#Big Air#BIG AIR WORLD CUP 2023#Clément Huot#Compétition#Coupe du monde#Edgar Ulrich#france#Johanna Disdier#Journal Catalan#Justine Avril#kitesurf#Le Journal Catalan#Lords of Tram#Nicolas Gambier#Port Barcarès#Pyrénées-Orientales#Qatar Airways GKA Kite World Tour#sport nautique
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Découvrez la Découvrez cette interview exclusive de Kevin Langeree (3x vainqueur du King Of The Air) réalisé par nos soins. Nous revenons en détail sur sa carrière en freestyle, mais aussi en big air. Nous parlons de l'apport que les ailes à bridages ont eu le kitesurf. Nous évoquons son évolution de pro rider à la création de sa marque Reedin. En effet, avant d'être connu pour ses sauts hauts, Kevin a longuement bataillé avec Arron Hadlow sur les podiums du tour freestyle. Puis, il s'est blessé et a changé de style de navigation pour s'orienter vers le big air. Aujourd'hui cette discipline est sur le devant de la scène. Il est une des références de la discipline. Cette orientation, l’a motivé à rider des ailes "classiques" qui facilitent son évolution et ses performances au KOTA. Le tout est visible grâce à ses vidéos YouTube régulières. Après avoir quasiment tout vu dans le monde du kitesurf, il crée sa marque en partenariat avec Damien Girardin en 2020, Reedin Kites ! Vous apprendrez 🈵📃 Sous Titres disponibles en français. Réalisé par AtaoRide en partenariat avec Reedin Kites. Remerciements à Kevin Langeree et Damien Girardin. Images additionnelles : Kevin Langeree, Naish, Red Bull, Reedin Kites, EyeForce, Dream, PKRA World Tour, Jeremie Lecaudey, Clément Huot & AtaoRide Réseaux Sociaux AtaoRide : ➡️ Site : https://bit.ly/2XM5im6 ➡️ Youtube: https://youtube.com/ataoride ➡️ Facebook : https://bit.ly/2OnKTkx ➡️ Instagram : https://bit.ly/2QNlBhf Réseaux Sociaux Keahi De Aboitiz : ➡️ Youtube: https://www.youtube.com/KevinLangeree ➡️ Facebook : https://bit.ly/2PoDH7p ➡️ Instagram : https://bit.ly/2XynKjg
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Pas de cumul des peines contre le tireur de la mosquée de Québec
Perpétuité sans libération conditionnelle avant 40 pour Bissonnette
TRIBUNAL. Estimant trop clémente la peine minimale pour meurtre au premier degré imposant 25 ans fermes avant toute demande de libération et, à l’opposée, trop sévère la possibilité de cumuler les six chefs d’homicide pour imposer une détention continue sur 150 ans, le juge François Huot a opté pour une peine mitoyenne interdisant au tireur de la grande mosquée de Québec de sortir du pénitencier avant 40 ans.
Dans sa réflexion, le magistrat a considéré qu’il serait démesuré et inhumain de cumuler les peines pour les six meurtres commis lors de la fusillade survenue le 29 janvier 2017. Il a plutôt décidé de ne pas recourir aux nouvelles dispositions du Code criminel (article 745,51), qui aurait pu faire en sorte que l’accusé ne puisse avoir droit à une libération conditionnelle de son vivant.
Condamné à la détention à perpétuité, Bissonnette pourra donc espérer un jour recouvrer sa liberté. Pour cela, il faudra toutefois que la Commission des libérations conditionnelles confirme qu’il ne représente plus une menace pour la société. Chose qui ne pourra être évaluée qu’après un minimum de 40 ans de pénitencier, alors que le prévenu âgé de 30 ans aura atteint 70 ans.
Au terme d’une longue lecture de sa décision étoffée sur plus de 200 pages, le magistrat a conclu au bout de six heures qu’une peine juste et proportionnée à l’ampleur du crime ne pouvait être supérieure à l’espérance de vie du contrevenant. Il ne pouvait donc avaliser la suggestion de la Couronne d’opter pour des peines de meurtre consécutives plutôt que concurrentes, comme le veut la norme dans la justice canadienne.
Pas de réhabilitation sans espoir
«La justice extrême est extrême injustice», a souligné le juge Huot en soupesant longuement la jurisprudence et l’expérience des cours de plusieurs États de droit à travers le monde. «Le Canada possède son propre système de valeurs et il est du devoir de l’appareil judiciaire de le préserver», a-t-il ajouté.
À ses yeux, imposer 150 ans avant toute possibilité de libération conditionnelle aurait équivalu à condamner le prévenu à une peine de mort par détention. «Dans les circonstances, note le magistrat, la réhabilitation devient impossible en l’absence de tout espoir. Ce qui est contraire aux principes utilitaristes et annihile toute réinsertion sociale éventuelle. Mieux vaut une peine qui ajoute une pierre au rempart contre la haine et le racisme.»
Devant un crime aussi horrible et planifié, bien que le jugement écarte la thèse du terrorisme, le juge Huot a évalué que la période acceptable d’inadmissibilité à la liberté conditionnelle devait se situer entre 35 et 42 ans. Il s’est permis d’interpréter de façon large l’article 145,51 pour proposer un terme de 40 ans avant que Bissonnette puisse espérer quitter sa cellule.
L’accusé a écouté nerveusement la longue lecture du juge Huot en se tournant régulièrement vers la salle pour regarder ses avocats et ses parents. Autant la Défense que la Couronne ont accepté la décision du Tribunal, en précisant devoir prendre le temps d’analyser les possibilités de faire appel.
Facteurs aggravants considérés par le juge
Prémiditation et planification du crime
Nombreuses victimes (6 morts, 6 blessés graves et 40 survivants)
Endroit de l’infraction, soit dans un lieu de culte où on doit se sentir en sécurité
Vulnérabilité des victimes (dont deux achevées d’une balle à la tête)
Jeune âge de quatre victimes (enfants) visées
Degré de violence et de gratuité du crime
Motivations du crime basées sur des préjugés (race, religion, origines)
Séquelles physiques et psychologiques des victimes survivantes
Séquelles subies par les proches et la société en général
Facteurs atténuants considérés par le juge
Absence d’antécédents judiciaires du prévenu
Collaboration avec la police dès sa fuite des lieux du crime
Plaidoyer de culpabilité aux 12 chefs d’accusation évitant un long procès
Remords exprimés
Vulnérabilité de l’accusé qui a subi de l’intimidation et du rejet à l’école
Troubles mentaux lors des événements démontrés par des experts en preuve
Soutien familial indéfectible
Perspectives de réhabilitation et risque modéré de récidive
Métro Média
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Pas de cumul des peines contre le tireur de la mosquée de Québec
Perpétuité sans libération conditionnelle avant 40 pour Bissonnette
TRIBUNAL. Estimant trop clémente la peine minimale pour meurtre au premier degré imposant 25 ans fermes avant toute demande de libération et, à l’opposée, trop sévère la possibilité de cumuler les six chefs d’homicide pour imposer une détention continue sur 150 ans, le juge François Huot a opté pour une peine mitoyenne interdisant au tireur de la grande mosquée de Québec de sortir du pénitencier avant 40 ans.
Dans sa réflexion, le magistrat a considéré qu’il serait démesuré et inhumain de cumuler les peines pour les six meurtres commis lors de la fusillade survenue le 29 janvier 2017. Il a plutôt décidé de ne pas recourir aux nouvelles dispositions du Code criminel (article 745,51), qui aurait pu faire en sorte que l’accusé ne puisse avoir droit à une libération conditionnelle de son vivant.
Condamné à la détention à perpétuité, Bissonnette pourra donc espérer un jour recouvrer sa liberté. Pour cela, il faudra toutefois que la Commission des libérations conditionnelles confirme qu’il ne représente plus une menace pour la société. Chose qui ne pourra être évaluée qu’après un minimum de 40 ans de pénitencier, alors que le prévenu âgé de 30 ans aura atteint 70 ans.
Au terme d’une longue lecture de sa décision étoffée sur plus de 200 pages, le magistrat a conclu au bout de six heures qu’une peine juste et proportionnée à l’ampleur du crime ne pouvait être supérieure à l’espérance de vie du contrevenant. Il ne pouvait donc avaliser la suggestion de la Couronne d’opter pour des peines de meurtre consécutives plutôt que concurrentes, comme le veut la norme dans la justice canadienne.
Pas de réhabilitation sans espoir
«La justice extrême est extrême injustice», a souligné le juge Huot en soupesant longuement la jurisprudence et l’expérience des cours de plusieurs États de droit à travers le monde. «Le Canada possède son propre système de valeurs et il est du devoir de l’appareil judiciaire de le préserver», a-t-il ajouté.
À ses yeux, imposer 150 ans avant toute possibilité de libération conditionnelle aurait équivalu à condamner le prévenu à une peine de mort par détention. «Dans les circonstances, note le magistrat, la réhabilitation devient impossible en l’absence de tout espoir. Ce qui est contraire aux principes utilitaristes et annihile toute réinsertion sociale éventuelle. Mieux vaut une peine qui ajoute une pierre au rempart contre la haine et le racisme.»
Devant un crime aussi horrible et planifié, bien que le jugement écarte la thèse du terrorisme, le juge Huot a évalué que la période acceptable d’inadmissibilité à la liberté conditionnelle devait se situer entre 35 et 42 ans. Il s’est permis d’interpréter de façon large l’article 145,51 pour proposer un terme de 40 ans avant que Bissonnette puisse espérer quitter sa cellule.
L’accusé a écouté nerveusement la longue lecture du juge Huot en se tournant régulièrement vers la salle pour regarder ses avocats et ses parents. Autant la Défense que la Couronne ont accepté la décision du Tribunal, en précisant devoir prendre le temps d’analyser les possibilités de faire appel.
Facteurs aggravants considérés par le juge
Prémiditation et planification du crime
Nombreuses victimes (6 morts, 6 blessés graves et 40 survivants)
Endroit de l’infraction, soit dans un lieu de culte où on doit se sentir en sécurité
Vulnérabilité des victimes (dont deux achevées d’une balle à la tête)
Jeune âge de quatre victimes (enfants) visées
Degré de violence et de gratuité du crime
Motivations du crime basées sur des préjugés (race, religion, origines)
Séquelles physiques et psychologiques des victimes survivantes
Séquelles subies par les proches et la société en général
Facteurs atténuants considérés par le juge
Absence d’antécédents judiciaires du prévenu
Collaboration avec la police dès sa fuite des lieux du crime
Plaidoyer de culpabilité aux 12 chefs d’accusation évitant long procès
Remords exprimés
Vulnérabilité de l’accusé qui a subi de l’intimidation et du rejet à l’école
Troubles mentaux lors des événements démontrés par des experts en preuve
Soutien familial indéfectible
Perspectives de réhabilitation et risque modéré de récidive
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Découvrez la Interview de Clément Huot (Naish Big Air Rider)
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Découvrez la Découvrez l’interview en vidéo de Jordan Heurtaux, spécialiste du megaloops et du big air. Nous revenons en détails sur l’évolution du kitesurf depuis plus de 15 ans. On aborde l’apport de l’aile à bridages dans le big air après des années de navigation en C-shape. L’interview est rythmé avec de nombreuses images d’archives exclusives sur les différents sujets abordés. Jordan évoque notamment la migration des riders pros vers les ailes à bridages ainsi que l’évolution de la la discipline big air. Montage et Réalisation : AtaoRide Images additionnelles : Airush, Red Bull, Jeremie Lecaudey, Stance, Naish, Clément Huot, Kevin Langeree...
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Clément Huot est allé dans le sud pour le Mondial du Vent. Heureusement qu’il a pu rider avant l’événement pour sortir des images sur un spot atypique en couleurs... Naish Kiteboarding - Naish France - Prolimit - Prolimit France
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Clement Huot semble bien s’habituer à ses nouvelles ailes ! On le voit envoyer des megaloops bien engagés avec sa Naish Kiteboarding Pivot 2018 ! Naish France
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Clement Huot et ses potes du 35 sont venus se faire une session au Dossen, l'occasion de sortir une petite vidéo ou ça saute de partout ! Cabrinha Kiteboarding - Cabrinha
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