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#Camp de Pithiviers
carbone14 · 1 year
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Enregistrement de juifs de la rafle du billet vert du 14 mai 1941 auprès de la police française – Camp d'internement de Pithiviers – Pithiviers – Loiret – France – 16 mai 1941
©Bundesarchiv - Bild 183-S69238
La rafle du billet vert est la première vague d'arrestations massives de juifs sous le régime de Vichy (la rafle du Vel d'Hiv aura lieu mi-juillet 1942). Le billet vert fait référence à la convocation adressée à 6 694 juifs étrangers résidant en région parisienne pour «examen de situation». 3 747 juifs répondent à l'appel et seront envoyés dans les camps d'internement de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande dans le département du Loiret. La grande majorité de ces juifs sera déportée vers Auschwitz-Birkenau lors des premiers convois de juin et juillet 1942.
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plaque-memoire · 1 year
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Plaque en hommage à : Yvonne Netter
Type : Lieu de résidence
Adresse : 3 quai aux Fleurs, 75004 Paris, France
Date de pose :
Texte : Yvonne Netter, avocate, militante féministe, journaliste, résistante, internée, évadée, habita et aima cette maison du 4 octobre 1911 au 30 août 1985
Quelques précisions : Yvonne Netter (1889-1985) est une résistante et militante féministe française. Diplômée de droit après une thèse sur le travail de la femme mariée, elle est l'une des rares avocates françaises de son époque et publie en 1927 le Code de la femme. Très engagée, elle manifeste de profondes convictions féministes et sionistes (elle présidera par exemple la Société pour l'amélioration du sort de la femme et la revendication de ses droits et l'Union des femmes juives pour la Palestine). Persécutée en raison de ses origines pendant la Seconde Guerre mondiale, elle rejoint la Résistance, mais est arrêtée et internée dans les camps de Drancy et de Pithiviers, dont elle parvient à s'échapper. Survivant à la guerre, elle reprend sa profession d'avocate. Elle est reconnue comme Juste parmi les Nations en 2018.
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netlex · 3 years
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France 1941 - Camp de Pithiviers
French policemen registering people arriving at the transit camp of Pithiviers near Orleans. Identification Code   Bild 183-S69238 source : the German Federal Archive (Bundesarchiv)
Pithiviers, France, a detention camp for Jews of foreign nationality, 1941
source : 14 August 1942  Pithiviers
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yadrephotographie · 4 years
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Premier projet photographique motivé par une envie et un besoin de retour aux sources : retrouver ma Beauce presque natale, arpenter ses paysages et retrouver des lieux emblématiques de mon enfance. Si vous me connaissez déjà un peu, vous devez savoir que j’ai entrepris des recherches généalogiques pendant le premier confinement, et que je m’intéresse donc de près à mes racines. C’est aussi un travail sur moi-même, à la fois de repli, d’introspection, mais aussi un travail de mémoire, et une tentative de compréhension du monde qui m’entoure, qui a fait que je suis qui je suis aujourd’hui. Retourner sur ces terres tant aimées et tant détestées à la fois, ces terres qui m’ont vue grandir et faire des choix, et qui ont vu avant moi mes grands-parents, ma mère, s’installer, et refaire leurs vies après des épreuves douloureuses. Cette Beauce-là, elle a beau être dans mes souvenirs moche, aride, vide, sans perspectives d’avenir, elle conserve finalement l’essence même de ce que signifie “renaître”. C’est elle, la terre promise, symbole du renouveau, de stabilité, de joies, d’amours, d’envies, de projets. Voici pour commencer quelques photos prises au mois d’octobre. Période symbolique également par sa noirceur, son aridité, qui fait ressortir son caractère à cette terre faite de glaise et de ciel, de béton et de champs, d’usines et de tas de betteraves...je débute par ces clichés pris avec mon nouvel appareil numérique que je ne maîtrise pas encore. j’ai plusieurs pellicules sur le même thème, mais pas encore développées, que je posterai plus tard. 
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duxvonzazer · 4 years
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Joseph Darnand
« Au moment de la déclaration de guerre, en septembre 1939, […] il s’engage aussitôt comme combattant volontaire. Il constitue un corps franc et s’illustre encore aux combats. » Il est affecté, comme lieutenant, dans un corps franc de 150 hommes du 24e bataillon de chasseurs de la 29e division, chargé d’actions de commando et de renseignement derrière les lignes ennemies. À la suite d'une mission de renseignement, les 7 et 8 février 1940, à Forbach, il est nommé « premier soldat de France » et fait officier de la Légion d’honneur, par le général Georges, pour être retourné chercher aux mains de l'ennemi le corps de son chef et ami, le capitaine Agnely. La couverture de Matchdu 21 mars 1940 lui est consacrée. Après de nombreux combats lors de la bataille de France, de la Somme à la Loire, il est fait prisonnier le 19 juin 1940, il parvient à s’évader du camp de Pithiviers en août 1940 et à rejoindre Nice. Après la Libération, Georges Bernanos dira : « s’il y avait eu plus de Darnand en 1940, il n’y aurait pas eu de miliciens en 1944 »
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tournevole · 7 years
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Monsieur le maire, Monsieur le président, Monsieur l’ambassadeur, Monsieur le Grand Rabbin, Mesdames, Messieurs, Il est, dans la vie d’une nation, des moments qui blessent la mémoire, et l’idée que l’on se fait de son pays. Ces moments, il est difficile de les évoquer, parce que l’on ne sait pas toujours trouver les mots justes pour rappeler l’horreur, pour dire le chagrin de celles et ceux qui ont vécu la tragédie. Celles et ceux qui sont marqués à jamais dans leur âme et dans leur chair par le souvenir de ces journées de larmes et de honte. Il est difficile de les évoquer, aussi, parce que ces heures noires souillent à jamais notre histoire, et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l’occupant a été secondée par des Français, par l’Etat français. Il y a cinquante-trois ans, le 16 juillet 1942, 450 policiers et gendarmes français, sous l’autorité de leurs chefs, répondaient aux exigences des nazis. Ce jour-là, dans la Capitale et en région parisienne, près de dix mille hommes, femmes et enfants juifs, furent arrêtés à leur domicile, au petit matin, et rassemblés dans les commissariats de police. On verra des scènes atroces: les familles déchirées, les mères séparées de leurs enfants, les vieillards – dont certains, anciens combattants de la Grande Guerre, avaient versé leur sang pour la France – jetés sans ménagement dans les bus parisiens et les fourgons de la Préfecture de Police. On verra, aussi, des policiers fermer les yeux, permettant ainsi quelques évasions. Pour toutes ces personnes arrêtées, commence alors le long et douloureux voyage vers l’enfer. Combien d’entre elles reverront jamais leur foyer? Et combien, à cet instant, se sont senties trahies? Quelle a été leur détresse? La France, patrie des Lumières et des Droits de l’Homme, terre d’accueil et d’asile, la France, ce jour-là, accomplissait l’irréparable. Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux. Conduites au Vélodrome d’hiver, les victimes devaient attendre plusieurs jours, dans les conditions terribles que l’on sait, d’être dirigées sur l’un des camps de transit – Pithiviers ou Beaune-la-Rolande – ouverts par les autorités de Vichy. L’horreur, pourtant, ne faisait que commencer. Suivront d’autres rafles, d’autres arrestations. A Paris et en province. Soixante-quatorze trains partiront vers Auschwitz. Soixante-seize mille déportés juifs de France n’en reviendront pas. Nous conservons à leur égard une dette imprescriptible. La Thora fait à chaque Juif devoir de se souvenir. Une phrase revient toujours qui dit: « N’oublie jamais que tu as été un étranger et un esclave en terre de Pharaon ». Cinquante ans après, fidèle à sa loi, mais sans esprit de la haine ou de vengeance, la Communauté juive se souvient, et toute la France avec elle. Pour que vivent les six millions de martyrs de la Shoah. Pour que de telles atrocités ne se reproduisent jamais plus. Pour que le sang de l’Holocauste devienne, selon le mot de Samuel Pisar, le « Sang de l’espoir ». Quand souffle l’esprit de haine, avivé ici par les intégrismes, alimenté là par la peur et l’exclusion. Quand à nos portes, ici même, certains groupuscules, certaines publications, certains enseignements, certains partis politiques se révèlent porteurs, de manière plus ou moins ouverte, d’une idéologie raciste et antisémite, alors cet esprit de vigilance qui vous anime, qui nous anime, doit se manifester avec plus de force que jamais. En la matière, rien n’est insignifiant, rien n’est banal, rien n’est dissociable. Les crimes racistes, la défense de thèses révisionnistes, les provocations en tous genres – les petites phrases, les bons mots – puisent aux mêmes sources. Transmettre la Mémoire du Peuple juif, des souffrances et des Camps. Témoigner encore et encore. Reconnaître les fautes du passé, et les fautes commises par l’Etat. Ne rien occulter des heures sombres de notre Histoire, c’est tout simplement défendre une idée de l’Homme, de sa liberté et de sa dignité. C’est lutter contre les forces obscures, sans cesse à l’œuvre. Cet incessant combat est le mien autant qu’il est le vôtre. Les plus jeunes d’entre nous, j’en suis heureux, sont sensibles à tout ce qui se rapporte à la Shoah. Ils veulent savoir. Et avec eux, désormais, de plus en plus de Français décidés à regarder bien en face leur passé. La France, nous le savons tous, n’est nullement un pays antisémite. En cet instant de recueillement et de souvenir, je veux faire le choix de l’espoir. Je veux me souvenir que cet été 1942, qui révèle le vrai visage de la « collaboration », dont le caractère raciste, après les lois anti-juives de 1940, ne fait plus de doute, sera, pour beaucoup de nos compatriotes, celui du sursaut, le point de départ d’un vaste mouvement de résistance. Je veux me souvenir de toutes les familles juives traquées, soustraites aux recherches impitoyables de l’occupant et de la Milice, par l’action héroïque et fraternelle de nombreuses familles françaises. J’aime à penser qu’un mois plus tôt, à Bir Hakeim, les Français libres de Koenig avaient héroïquement tenu, deux semaines durant, face aux divisions allemandes et italiennes. Certes, il y a les erreurs commises, il y a les fautes, il y a une faute collective. Mais il y a aussi la France, une certaine idée de la France, droite, généreuse, fidèle à ses traditions, à son génie. Cette France n’a jamais été à Vichy. Elle n’est plus, et depuis longtemps, à Paris. Elle est dans les sables libyens et partout où se battent des Français libres. Elle est à Londres, incarnée par le Général de Gaulle. Elle est présente, une et indivisible, dans le cœur de ces Français, ces « Justes parmi les nations » qui, au plus noir de la tourmente, en sauvant au péril de leur vie, comme l’écrit Serge Klarsfeld, les trois-quarts de la communauté juive résidant en France, ont donné vie à ce qu’elle a de meilleur. Les valeurs humanistes, les valeurs de liberté, de justice, de tolérance, qui fondent l’identité française et nous obligent pour l’avenir. Ces valeurs, celles qui fondent nos démocraties, sont aujourd’hui bafouées en Europe même, sous nos yeux, par les adeptes de la « purification ethnique ». Sachons tirer les leçons de l’Histoire. N’acceptons pas d’être les témoins passifs, ou les complices, de l’inacceptable. C’est le sens de l’appel que j’ai lancé à nos principaux partenaires, à Londres, à Washington, à Bonn. Si nous le voulons, ensemble nous pouvons donner un coup d’arrêt à une entreprise qui détruit nos valeurs et qui, de proche en proche risque de menacer l’Europe tout entière.
Discours de Jacques Chirac (16 juillet 1995)
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78682homes · 5 years
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Bientôt un lieu de mémoire de la Shoah à Pithiviers 78682 homes
http://www.78682homes.com/bientot-un-lieu-de-memoire-de-la-shoah-a-pithiviers
Bientôt un lieu de mémoire de la Shoah à Pithiviers
Le mémorial de la Shoah et la SNCF vont créer un lieu de mémoire dans l’ancienne gare de Pithiviers (Loiret). Il sera dédié aux milliers de juifs internés dans les camps du Loiret et déportés vers les camps de la mort durant la Seconde Guerre mondiale. D’ici à 2020, la gare, désaffectée depuis la fin des années 1960, retrouvera l’aspect qu’elle avait durant la guerre. À l’intérieur, elle accueillera un lieu d’exposition centré sur l’internement des juifs et leur…
homms2013
#Informationsanté
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plaque-memoire · 2 years
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Plaque en hommage à : Victimes du nazisme
Type : Commémoration
Adresse : 1 place de la République, 45000 Orléans, France
Date de pose :
Texte : La République française en hommage aux victimes des persécutions racistes et antisémites et des crimes contre l'humanité commis sous l'autorité de fait dite "Gouvernement de l'Etat français" (1940-1944). Pithiviers, Beaune la Rolande, Jargeau. N'oublions jamais
Quelques précisions : Pendant la Seconde Guerre mondiale, le département du Loiret vit sous l'Occupation fasciste. Les communes de Pithiviers, Beaune-la-Rolande et Jargeau, situées non loin d'Orléans, sont ainsi tristement célèbres pour leurs camps d'internement des Juifs (à l'origine, ces camps étaient destinés à accueillir des réfugiés de guerre en provenance de Paris et/ou des prisonniers de guerre allemands). Les conditions de vie y étaient particulièrement insalubres et éprouvantes. Des milliers de Juifs (et, en particulier pour le camp de Jargeau, des centaines de Tsiganes) y transiteront, notamment après les rafles du Billet vert et du Vélodrome d'Hiver, pour être déportés vers les camps d'extermination, notamment celui d'Auschwitz-Birkenau.
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plaque-memoire · 2 years
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Plaque en hommage à : Déportés de la Seconde Guerre mondiale
Type : Commémoration
Adresse : Gare d'Austerlitz, 75013 Paris, France
Date de pose :
Texte : De la gare de Paris-Austerlitz furent dirigés sur les camps de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande, avant d'être déportés et assassinés à Auschwitz : 3 700 Juifs, tous des hommes, le 14 mai 1941 et, du 19 au 22 juillet 1942, 7 800 Juifs, dont les 4 000 enfants de la rafle du Vélodrome d'hiver, arrêtés dans l'agglomération parisienne à la demande de l'occupant allemand par la police de l'autorité de fait dite "Gouvernement de l'Etat français". N'oublions jamais ! Les fils et Filles des Déportés Juifs de France.
Quelques précisions : La gare d'Austerlitz servit en effet de gare de départ pour des milliers de déportés juifs au cours de la Seconde Guerre mondiale. L'arrestation des 3 700 hommes mentionnés sur cette plaque est surnommée la "rafle du billet vert". D'autres plaques commémoratives de cet évènement existent dans Paris, en particulier aux lieux d'arrestation des futurs déportés. La plaque de la gare d'Austerlitz est restée en place malgré les importants travaux réalisés dans les années 2020.
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