Tumgik
simonbelsposts-blog · 6 years
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Billet 8
Synthèse
À partir des thématiques vues en classe, la plus importante selon moi est les médias numériques et la démocratie. Je crois que la législation par rapport aux campagnes publicitaires en ligne et l’effet que ces dernières ont sur le public ne devrait pas avoir lieu. Ce sont des dossiers beaucoup trop importants pour prendre à la légère. Le message perçu par le public n’est souvent pas le bon et contradictoire avec le vrai message d’un parti politique. La deuxième thématique la plus importante à mes yeux est la vie privée, sociabilité et vie en ligne au temps de Facebook. Je crois que la vie privée est importante pour le gens. Facebook met radicalement un bâton dans le roue du processus de vie privée de l’être humain. De plus il est rendu extrêmement difficile de ne pas avoir de médias sociaux puisque c’est rendu presque une norme. Il est donc vraiment difficile de garder notre vie privée. En plus des options complexes de Facebook afin de rendre notre compte vraiment privé. Ma troisième thématique est angoisse et vertige du numérique. Je crois que la population commence à être anxieuse par rapport à l'importance que le numérique a dans nos vies. Durant le dernier mois, plusieurs émissions comme tout le monde en parle invitent des gens pour parler de ce phénomène. C’est pour vous montrer à quel point les gens deviennent anxieux avec ce phénomène. La 4e thématique est la visibilité et plateformatisation de soi. Je pense que les médias ont une grosse influence sur la population en général et la communication que nous avons entre nous. Les gens développent des addictions et des problèmes de communication puisqu’il se servent des médias sociaux. Je pense que ce sera un fléau mondial d’ici quelques années. En 5e position se situent les promesses et vertus du numérique. Les promesses que font les entreprises et les gouvernements ne sont jamais respectées et l’avancement technologique va trop vite afin de protéger les consommateurs. Finalement, informez à l’ère Google et des médias numériques arrivent en dernière place dans ma hiérarchie. Je pense que le consommateur doit lui-même prendre conscience des médias numériques ainsi que de Google. Comme n’importe quel produit, le consommateur doit s’informer et prendre connaissance du risque.
 Le bilan que je peux faire par rapport aux différents enjeux et problèmes reliés aux différents régimes numériques est d’être au courant des dernières tendances et ce qu’elle peut faire dans notre communauté. Je crois qu’il faut faire attention des sources d’information et que nous devons faire nos devoirs de citoyens afin d’avoir la bonne information. Je pense que les enjeux par rapport aux différents régimes continueront jusqu’à tant que des lois plus importantes arrivent dans notre pays. Le pouvoir d’influence est beaucoup trop grand pour qu’il soit laissé entre les mains de n’importe qui. Le web 2.0 peut être très dévastateur comme les dernières élections aux États-Unis. Mes changements après avoir suivi le cours est d’être beaucoup plus vigilant en ce que consiste le web 2.0. Que ce soit un système de son relié à internet ou les médias numériques plus traditionnels. Il faut faire attention !!
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simonbelsposts-blog · 6 years
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Billet 7
Médias numériques et démocratie
Je pense que les médias numériques sont de bons moyens afin de donner une parole au gens. Un principe des bases en démocratie. Les gens ont droit à leurs opinions et les médias numériques permettent cette participation active de la communauté. C’est ce qu’Internet doit apporter à la démocratie. En revanche, je pense que le pouvoir de ces médias a augmenté de façon vraiment importante et est maintenant utilisé comme moyen de convaincre les gens de la part des gouvernements. Si nous relions un cas d’actualité, la campagne de Donald Trump au États-Unis, ce dernier à utiliser les médias numériques afin d’avoir le plus de visibilité possible et d’influencer les gens avec des croyances absurdes.
La liberté des gens d’utiliser les médias numériques et la démocratie en même temps était une bonne chose pour le peuple. Cependant, comme toutes  ressources, l’importance des médias numériques utilisés de la mauvaise façon peut rentre mauvais ce dernier. Je crois que c’est ce qui est arrivé avec la campagne de Donald Trump. Le pouvoir du web est rendu trop important pour qu’il y aille une participation en ligne des élections.
Dans l’ère 2.0, nous avons déjà des problèmes avec ce qui s’est passé au États-Unis. Imaginer le pouvoir des algorithmes afin d’influencer les gens pour les prochaines élections. Il n’en sera que ça! Un jeu de pouvoir et d’argent afin d’avoir le plus de visibilité en ligne. Mentionnée dans le dernier billet, la e-réputation ne devrait pas faire partie de la démocratie. Cependant il sera très dur de mettre des barrières à ce phénomène déjà présent. Reste à voir si le prochain déguisement de notre cher Justin Trudeau aura de l’influence sur les prochaines élections!
Sources : https://www.cairn.info/revue-transversalites-2012-3-page-65.htm
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simonbelsposts-blog · 6 years
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Billet 6
Visibilité et ‘plateformisation’ de soi
La visibilité que j’ai sur les médias sociaux est assez grande. Je travaillais dans un magasin visant les jeunes et nous avons créé une communauté de plus de 10k sur Instagram. J’étais souvent employé sur leur page et mon compte personnel à augmenter rapidement. J’étais déjà dans la communauté avant et je crois que mon compte Instagram et mes vidéos m’ont aidé à travailler dans ce magasin. J’étais donc très présent dans ce temps sur Instagram. J’essayais d’avoir le plus de visibilité possible. Cependant, je me suis trouvé un nouvel emploi et j’ai presque complètement arrêté ma visibilité sur Instagram. Mon nombre d’abonnés à cependant rester assez élevé, 1000 abonnés et en moyenne 150 likes par photos. C’était principalement la seule plateforme que j’utilisais.
En revanche, mon compte Facebook est resté mort durant ce temps, sauf pour la communauté de skateboard. Maintenant que je chercher quelque chose dans mon domaine d’étude, je pense que la visibilité et la e-réputation que je détiens ne me sert à rien et pourrait me nuire. Je pense sincèrement prendre le temps de reconstruire mon Facebook et Instagram afin d’être plus professionnel.
C’est à se demander si notre capital humain est influencé par la plateformisation de soi. Comme le texte nous mentionne, de plus en plus de gens essaie de gagner de la crédibilité et de l’acceptabilité grâce aux médias sociaux. Je pense que c’est vrai cependant je suis totalement en désaccord avec ce nouveau système. Une personne peut être super active et présenter une belle image de soi sur internet, mais elle est totalement le contraire. La même chose peut se produit à l’inverse. Les gens qui ne sont pas présents sur les médias sociaux peuvent avoir un capital humain beaucoup mieux que l’autre personne. Le problème c’est que l’employeur aura tendance à avoir un meilleur feeling et image mentale sur la personne avec une belle prestance sur les médias sociaux, dans le cas où l’employeur utilise les médias sociaux. Bref, je ne crois pas que le capital humain devrait être influencé par la visibilité ou le e-réputation.
Sources :  Antonio Casilli, « Être présent en ligne : culture et structure des réseaux sociaux d'Internet », Idées économiques et sociales 2012/3 (N° 169), p. 16-29. DOI 10.3917/idee.169.0016 --------------------------------------------
L' « AFFICHAGE .DE SOI>> COMME PUISSANCE D'AGIR Contrôle social et enjeux · éthiques à l'heure de l'hyperconnectivité Dominique Carré Université Paris 7 3, LabSic Robert Panico IUT de Valence, LabSic
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simonbelsposts-blog · 6 years
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Billet 5
Vie privée, sociabilité et vie « en ligne » au temps de Facebook
Le réseau social que j’utilise le plus est Instagram. Je trouve qu’il permet aux gens de monter vraiment les choses auxquels ils sont intéressés. Cependant, depuis leur dernière update les publicités sont arrivées ce qui m’a donné moins envie d’être présent sur Instagram. Comme mentionné lors de mon premier billet, mon utilisation à vraiment diminué depuis quelque temps. J’ai finalement pris connaissance du temps passé sur les médias sociaux. Que ce soit sur Instagram, Facebook ou Twitter.
Ma vie privée est cependant présente sur les réseaux sociaux avec toutes les années sur ces plateformes. En écrivant ce texte, j’ai regardé à quand remontait ma dernière publication et elle remonte à octobre 2017. Je ne publie plus vraiment, mais je reste connecté afin de consommer l’information des autres.
Présentement je suis capable de distinguer la différence entre ma vie privée et celle de mes réseaux sociaux. Il y a 3 ans je n’étais pas capable! Je sentais qu’il y avait une importance d’être actif sur les médias sociaux. Évidemment en étant actif dans mes publications je donnais beaucoup d’information privé qui sont maintenant sur les internet. Je continue tout de même à rester dans une communauté sur mes réseaux sociaux. J’adore le skateboard et j’aime regarder tout le contenu sur ce sujet.
Par rapport au texte sur Facebook, je pense qu’il y a une fausse représentation entre ce que Facebook veut et ce qu’il dit à son client. Il nous incite à mettre le plus d’information afin de trouver ce que l’utilisateur veut voir. Est-ce la fin de la vie privée ? Cependant, la réalité de la chose c’est que Facebook ne veut que l’information sur nous et veut que l’on partage cette information au plus grand nombre possible. C’est cet aspect de la vie privée que je ne trouve pas éthique de la part de Facebook. J’ai déjà ma mère qui me surveille, je n’ai pas besoin de quelqu’un d’autre!  Big brother is watching you)
Sources :  : http://rfsic.revues.org/630
Film : Big brother is watching you)
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simonbelsposts-blog · 6 years
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Billet 4
(S’) Informer à l’ère de Google et des médias sociaux
De plus en plus, les gens s’informent sur les plateformes en ligne plutôt que les médias traditionnels. Cependant, les nouveaux formats nous informent sur ce qu’il pense intéressant pour nous.  Je suis le premier à regarder mes informations en ligne, mais les algorithmes me montrent ce que je veux voir. L’ère Google nous présente cette nouvelle technologie. Il me force à consommer et le but de tout ça, c’est de de rester dans la pratique capitalisme que nous sommes.  
L’hybridation pour moi est un processus auquel je suis d’accord. Avoir accès à un journal en ligne comme la presse plus me permet de m’ouvrir sur ce que je ne connais pas. Évidemment, j’utilise Google lorsque je fais des recherches spécifiques. Google me permet de trouver l’information dont j’ai besoin et j’ai appris à m’en servir. Lorsque je cherche des informations récentes, les onglets peuvent nous sortir les liens récents. Il faut seulement savoir comment utiliser l’ère Google afin de pouvoir maximiser nos recherches.
Mon portrait numérique face à ce phénomène se résume à une consommation de contenu sur Instagram, Facebook ainsi que Google. Je ne partage pas beaucoup de contenu personnel, mais en utilisant ces médias je participe au partage d’information. Comme mentionné dans le texte, je n’ai pas eu recours à des médias sociaux lors d’un problème comme la grève des étudiants. Cependant, je me suis informé sur ce média afin de prendre des nouvelles sur la grève. J’ai consommé de l’information, et du même coup, je diffuse beaucoup d’information à Facebook et Google. Donc, ces derniers s’en servent pour me créer un contenu qui est fait pour moi. Comme la majorité des jeunes de mon âge, nous avons besoin de cette consommation et je crois qu’il faut tenir compte de la réalité de tout ce que cette ère Google peut avoir sur nous.
Sources :  http://espace.inrs.ca/2706/1/CirculationInformation.pdf
Henry JENKINS, La Culture de la convergence. Des médias au transmédia
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simonbelsposts-blog · 6 years
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Billet 3
Angoisse et vertige du numérique
Depuis maintenant plusieurs années, les lois sur la surveillance web n’a jamais changé. Je crois que le gouvernement doit agir. La diffusion de nos renseignements personnels doit être règlementée. L’Europe vient tout juste d’instaurer un nouveau système qui ne permet pas à tout le monde d’avoir accès à certaines de nos données personnelles. Je suis très anxieux avec tout ce que les gens peuvent savoir sur moi. Par exemple, le fait que Google sait que j’habite à une certaine place et me mentionne : il vous reste 15 minutes avant le travail. Je trouve ça très bizarre. Puis, le jeudi, il me dit : je suis à 5 minutes de la brasserie. L’endroit où je vais chaque jeudi pour prendre une bière. C’est à savoir ce que les vrais hackers sont capables de faire.
Cependant, je participe tout de même à ce phénomène, car il est trop important et pratique dans la vie de tous les jours. Que ce soit pour l’école, le travail ou ma vie personnelle. Les avancées numériques nous facilitent la vie. Je suis donc un activisme du web. De plus je m’identifie avec ma vraie identité sur les réseaux sociaux sans vraiment l’avoir fait volontairement. Lors de ma création de Facebook, les gens ne savaient pas trop ou ce média allait nous amener. Les gens n’étaient pas formés pour nous informer sur ces sujets qui sont maintenant rendus d’actualité. Bref, j’ai mis beaucoup d’information personnelle et maintenant je me sens insécure de ce que j’ai pu mettre.  Malheureusement, je ne me souviens pas de tout ce que j’ai mis sur internet.
La cybercriminalité me rend anxieux puisque toutes ces archives numériques accumulées au cours des années ne me donnent plus le contrôle de mon information personnel. Rendu à un certain niveau, on se pose des questions sur ce que peuvent ou ce que pourront faire les gens avec notre adresse ip, notre smartphone, ou même nos futurs électroménagers. Bref, comme mentionné dans le texte obligatoire le numérique est en train de dicté notre société et fait ce qu’elle veut avec nous.
Sources :  CACCAMO, Emmanuelle, « L’emprise numérique. Comment Internet et les nouvelles technologies ont colonisé nos vies de Cédric Biagini », Cygne noir, recension, juillet 2014.
http://cygnenoir.nt2.ca/sites/cygnenoir.nt2.ca/files/cn_caccamo-biagini2012_0.pdf
http://www.chambet.com/
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simonbelsposts-blog · 6 years
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Billet 2
Promesses et vertu du numérique
Durant les dernières années, les technologies numériques ont continué d’augmenter. Pour moi, la technologie a influencé mes rapports sociaux avec les jeux vidéo. J’étais quelque peu dans une communauté virtuelle et mes rapports sociaux se faisaient en ligne. C’était durant mon secondaire et j’ai eu de la difficulté à sortir de ce monde puisque j’avais de la misère à communiquer avec le gens. J’étais gêné et mal à l’aise lorsque quelqu’un me parlait. Par la suite, j’ai été capable sortir de ce cercle grâce au sport que je pratiquais.
Je pense que maintenant je suis capable de contrôler mon utilisation de mes pratiques numériques grâce à ce passé. J’ai remarqué que mon comportement avait changé et je ne veux plus jamais rentrer dans ce réseau. J’ai été capable de remarquer ce changement et d’évaluer mon comportement. Maintenant, mes pratiques numériques se résument à quelques minutes par jour afin de me divertir et sans plus.
J’ai quelquefois fait partie de la culture participative lorsque j’avais une page pour un magasin de vêtement avec mes amis. Nous participions à un contenu web intéressant pour les gens qui pratiquait le même sport que nous. Et nous exposions les vêtements que nous avions créés.
Au niveau du partage et de la gratuité sur internet, je crois que c’est le but d’internet. J’ai toujours utilisé des logiciels open sources afin d’encourager ce principe. Par exemple j’utilise libre office pour ma suite de logiciel de rédaction. Des logiciels qui permettent beaucoup plus d’extension et de liberté pour les usagés. Ces 2 principes sont entre autres ma motivation à utiliser les freewares.
sources :  Serge Proulx, Anne Goldenberg« Internet et la culture de la gratuité », Revue du MAUSS 2010/1 (n° 35), p. 503-517. DOI 10.3917/rdm.035.0503 --------------------------------------------
Proulx, S., et Goldenberg, A. (2010). Internet et la culture de la gratuité. Revue du MAUSS, (1), 503-517.
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simonbelsposts-blog · 6 years
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Mon utilisation des médias numériques
         Mon utilisation des médias numériques se résume à plusieurs heures par jour. Je ne crois par être quelqu’un qui passe énormément de temps sur les médias numériques, mais pourtant, je sais que je passe trop de temps. Il s’agit seulement de quelques petites minutes, quelques fois par heures pour finalement passer beaucoup de temps en une journée sur nos médias favoris. Bref, il s’agit de plusieurs heures durant une année que nous passons sur les  réseaux sociaux.
         La plupart du temps je passe mon temps sur des médias comme Instagram, Facebook et Twitter afin d’aller chercher de l’information sur ce que j’apprécie dans la vie. Par contre, il est tellement facile de se perdre et de tomber dans le feed et ainsi perdre encore plus de temps devant ta machine. J’utilise tout de même encore les journaux comme média traditionnel. Je trouve que le matin, le fait de lire mon journal est beaucoup plus relaxant que d’ouvrir mon IPad ou mon téléphone. De plus les médias traditionnels nous obligent à voir de l’information que je ne connais pas. Par exemple les nouvelles en finance dans le droit.
         Dans mon entourage, ma copine utilise les mêmes médias numériques  que moi. Par contre, le type d’abonnement est totalement différent et l’utilisation est souvent plus longue. Elle utilise en autre Pinterest de plus que moi pour des idées dans notre maison. Probablement la raison pourquoi elle passe plus de temps que moi sur son téléphone... :P
         Plus jeune, j’utilisais un peu plus Instagram pour publier et vraiment faire partie de la communauté de planche à roulette de la région de l’Outaouais. Par contre, depuis 2 ans j’ai arrêté de publier et je regarde la relève du skate* publié leur exploit. Lorsque je regarde Instagram, beaucoup de comptes sont reliés à la communauté de skate* international. Donc la plupart du temps Instagram me sert de divertissement. 
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