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Violences sexuelles en France
Au total, 54 800 personnes ont été victimes de violences sexuelles d’après les données enregistrées par la police et la gendarmerie en 2020 en France, dont plus d’une violence sur quatre dans le cadre intrafamilial.
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C’est entre 10 et 19 ans que les filles sont les plus exposées aux agressions sexuelles : soit environ 3 victimes enregistrées pour 1 000 filles du même âge en moyenne.
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Crimes ou délits sexistes en France
Selon la nomenclature établie pour les besoins du Haut Conseil à l’Égalité (HCE), 209 000 personnes ont été enregistrées en 2019 comme victimes de crime ou délit sexiste dans les procédures saisies par la police et la gendarmerie nationales. Dans 87 % des cas, il s’agit de femmes. 
68 % de ces infractions ont été commise dans le cadre conjugal (143 000 victimes dont 127 000 femmes) et dans une moindre mesure, 31 % des infractions à caractère sexuel hors cadre conjugal (66 000 victimes dont 55 000 femmes). 
Selon les enquêtes de victimation Cadre de vie et sécurité (CVS), une très faible part des personnes qui se déclarent victimes d’actes sexistes portent plainte auprès des services de sécurité (entre 2 % et 16 % selon le type d’actes). En effet, en 2018, parmi les 18-75 ans, 1,6 million de personnes (dont 88 % de femmes) ont déclaré avoir subi des injures à caractère sexiste, 112 000 (dont 91 % de femmes) des menaces à caractère sexiste et 29 000 (dont 79 % de femmes) des violences à caractère sexiste.
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Vendredi 5 février 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
“Libertés Rutigliano” a démarré, l’émission enregistrée au CDI reprend l’ensemble des thématiques abordées par les 3ème C. La parole est aux élèves.
“Même en centre-ville, on se fait regarder, siffler et suivre, qu’importe la tenue !”. Les filles sont catégoriques : les regards “pervers”, les gestes déplacés dans les transports en commun ou les sifflements répétés à leur égard entachent leurs déplacements en centre-ville.  “A Commerce (point névralgique du centre-ville de Nantes), faut pas du tout y aller, on va se faire agresser !”. En conséquence, les solutions d’évitement - ne plus sortir après une heure tardive, contourner certaines rues - ou de dissuasion - faire semblant de connaitre la personne agressée ou appeler quelqu’un au téléphone - se généralisent. 
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“Je trouve triste de mettre tous les hommes dans le même sac, plein d’hommes ne posent aucun problème aux femmes, on est obligé le soir d’avoir peur à cause de certains qui nous suivent.” “et ça salit l’image !”. Autour de la table, les garçons avouent être mal à l’aise en marchant derrière une fille dans la rue, ne souhaitant pas être jugés comme potentiels harceleurs.
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Quid de la tenue vestimentaire ? “Tout le monde devrait respecter tout le monde même avec une tenue jugée indécente, on a tous un corps et c’est naturel !”. On peut s’habiller comme on veut, je ne sais pas ce qu’est une tenue provocante, ce sont les gens qui doivent changer !” même si ... “à un enterrement, tu ne vas pas y aller en mini-jupe !”. 
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L’invitée du jour, Sarah Caquineau, responsable de la politique publique menée en matière d’Égalité femmes - hommes au sein de la Mission égalité à Nantes, explique comment à l’échelle de la ville, la municipalité tente d’accompagner les femmes qui subissent les violences au sein de leur foyer. Les élèves sont sensibilisés à ce qu’est un féminicide, un viol et comment chacun.e peut à son niveau agir. 
Si la société évolue, le terme “féminicide” est aujourd’hui reconnu, les violences conjugales ne sont plus considérées comme des crimes passionnels ou de simples disputes, le confinement a révélé un peu plus encore l’ampleur des violences faites aux femmes dans notre pays. 
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En 2020 et avec un premier confinement, plus de 90 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint et plus de 99 500 appels ont été traités par l’opérateur de la ligne d’écoute 3919 soit une hausse de 22 % des prises en charge par les associations de son réseau en 2020. 
Comment les violences conjugales s’installent dans la durée ? Comment s’opère le rapport de domination entre la victime et son conjoint ou ex-conjoint ? Combien d’années encourt l’agresseur, l'homme violent, alors même que très peu de plaintes aboutissent, pourquoi ?... Autant de questions soulevées au cours de l’interview. 
Les élèves découvrent le projet Citad’elles, un lieu refuge pour les femmes et leurs enfants, victimes de violences conjugales. 
https://www.nantescitadelles.fr/
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Enfin, Sarah Caquineau revient sur le sexisme ordinaire “toutes ces petites choses anodines qui renforcent l’idée que les femmes seraient inférieures aux hommes.” 
Les métiers genrés féminins, masculins sont ensuite passés au crible par les 3ème C. “Est-ce que vous vous voyez chauffeuse routière ou maïeuticien ? Comment faire évoluer les mentalités également dans le sport ? Est-ce que vous parlez des menstruations avec vos sœurs, vos copines ?”...
Pour conclure, les élèves soulignent avoir pris conscience de la gravité des faits et remercient d’avoir pu être mieux informés sur ces sujets. 
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Vendredi 5 février 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Séance de travail studieuse pour les 3ème C du Collège Libertaire Rutigliano. En équipe, les élèves se partagent les rôles : animation radio, interview, chronique ou réalisation sont autant de possibilités offertes avec un conducteur déterminé à l’avance. 
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Au CDI, les élèves vont enregistrer l’émission finale durant deux heures afin de rendre compte de tout ce qu’ils ont appris, retenu, digéré sur la question du sexisme à travers plusieurs séquences : 
- leurs retours d’expériences en lien avec les micros-trottoirs et les interviews réalisés sur l'ensemble des sujets : le sexisme ordinaire, le harcèlement de rue, la culture du viol, les menstruations, les métiers et les sports genrés. 
- leurs positionnement au regard des comportements jugés sexistes au sein de notre société, au collège, dans leur cercle proche. 
- les éléments chiffrés pour situer ce qui se joue. 
- l’éclairage apporté par Sarah Caquineau, responsable de la politique publique menée en matière d’Égalité femmes - hommes au sein de la Mission égalité à Nantes afin de sensibiliser les élèves sur les violences faites aux femmes et les réponses apportées pour les protéger. 
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Vendredi 29 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Au micro des élèves de 4ème A, Céline partage son quotidien en tant que femme, brigadière, cheffe principale au sein de la police municipale de Nantes. Son mari gendarme, Céline a eu envie de changer de voie professionnelle il y a onze ans et a vu évoluer ses missions : “nous sommes au cœur de l’actualité depuis les attentats de 2015. La police municipale, c’est la police de proximité, on essaye de créer ce lien, c’est avant tout de l’échange”. Et beaucoup d'interventions. 
Avez-vous eu du mal à vous adapter au milieu masculin ? “C’est selon sa personnalité, il faut savoir s’affirmer, c’est aussi une histoire de dialogue, il faut parler, dire les choses !” insiste la femme policière. 
La profession s’est largement féminisée. Des remarques sexistes ? “Non, dans l’équipe, nous faisons des blagues entre hommes et femmes sur fond d’humour. En revanche, en interventions, oui ! Quand on intervient sur un binôme mixte, certaines personnes ne s’adressent qu’aux collègues masculins. Elles nous disant sans honte : « tu es une femme, on ne veut pas te parler ! ». Que faire demandent les élèves ? Désamorcer le conflit : “en assistance, ce n’est pas le moment de faire du discours, une intervention doit être rapide.”.
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Vendredi 29 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Le plateau radio installé au CDI du Collège Libertaire Rutigliano, les échanges peuvent démarrer au micro avec les élèves de 4ème A. Tour de table de ce qui a marqué leur attention au cours du projet radio sur la question du sexisme. Puis l’invitée du jour prend place. Il s’agit de Céline, femme brigadière et cheffe principale au sein de la police municipale de Nantes. Elle raconte son métier et ce qui change en étant femme dans un milieu où la force physique peut sembler déterminante. Et pourtant... 
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Mercredi 20 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Les 4ème A s’invitent dans les commerces pour questionner les différences entre les femmes et les hommes au travail. Pour cette jeune femme, les à priori n’ont pas lieu d’être. Pour autant, dans cette boulangerie proche de la Tortière à Nantes, les femmes sont à la vente et les hommes, au fournil ! Pour la jeune vendeuse, les femmes n’osent pas forcément demander à travailler à la fabrication du pain.
Elle espère également qu’avec le temps, hommes et femmes seront payés au même salaire. “Une femme a le doit de travailler même si elle peut être enceinte !” et de souhaiter des congés parentaux de même durée pour tous. Avant de conclure : “les mentalités prennent du temps à changer”. 
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Mercredi 20 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Jacques a 82 ans. Ancien chef de secteur dans une entreprise et directeur de bureau d’études pendant dix ans, Jacques note l’insatisfaction de nombreux salariés dans leur emploi aujourd’hui. 
Depuis les années 60, il a vu évoluer la situation. “Les femmes étaient à des postes subalternes, c’est bien cette évolution ! Maintenant, il y a l’égalité entre l’homme et la femme” et de rappeler la devise de la France : liberté, égalité, fraternité. “Beaucoup de femmes sont rentrées dans la bagarre, Simone Veil s’est bagarrée avec les députés qui n’étaient pas d’accord sur la loi pour l’IVG. Les femmes ne voulaient plus suivre les maris”. Et de conseiller aux jeunes de “se bagarrer”, à l’image des femmes par le passé, pour trouver un emploi.
A l'ouverture des débats à l'Assemblée nationale, le 26 novembre 1974, Simone Veil présente sa loi en faveur de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) dans un climat très tendu. La loi est votée en première lecture, le 29 novembre, par 284 voix "pour" et 189 voix "contre".
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Mercredi 20 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Les élèves de 4ème A ont pris lieu et place dans la file d'attente pour échanger avec un crêpier près du Pont de la Tortière à Nantes. L’homme ne note pas de différence majeure entre hommes et femmes au travail. Sinon que sur les marchés, les femmes ont du caractère, “cela aide !”. Et des différences dans les études ? “Tout dépend des filières”. 
Les patrons qui craignent l’arrêt maternité ? “Les femmes portent les enfants donc... et les hommes peuvent prendre les congés parentaux”. “Seriez-vous prêt à en prendre un ?” annoncent les élèves. “J’ai pris mon congé parental : quinze jours, c’était court mais un mois, je ne le ferai pas !” conclue le crêpier. Les jeunes vont-ils faire changer les choses ? “Je l’espère !” déclare le crêpier.  
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Mercredi 20 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Dans un magasin de cigarettes électroniques nantais, les élèves de 4ème A échangent avec l’un des vendeurs sur la question des inégalités entre hommes et femmes au travail. L’homme interviewé note une proportion plus importante d’hommes salariés dans le domaine de l’industrie, inversement dans le milieu médical avec une majorité de femmes. Est-ce que cela va évoluer ? “Ce serait bien et puis, à travail égal, salaire égal”. Et dans les études ? De son passage à l’université, il retient une “belle mixité”. 
Prêt à prendre un congé parental ? Le jeune papa a pu avoir onze jours au côté de sa femme et leur nouveau né. Il espère toutefois un temps plus long pour les futurs pères. Selon ce vendeur, si la durée du congé parental était équivalente pour les femmes et les hommes, cela permettrait de mettre tout le monde au même niveau et ainsi faire évoluer les mentalités en entreprise.
À partir du 1er juillet 2021, la durée du congé de paternité est portée de 11 à 25 jours.
Selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), 63 % des 18-24 ans souhaitent que la durée du congé paternité, aujour­d’hui fixée à onze jours consécutifs, augmente. 
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Mercredi 20 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Les élèves de 4ème A du Collège Libertaire Rutigliano réalisent un micro-trottoir près du Pont de la Tortière à Nantes. Les commerçants leur ouvrent les portes, à commencer par ce boucher-charcutier-traiteur nantais. 
A ses yeux, les femmes comme les hommes doivent être sur un pied d’égalité. Il connait des femmes qui conduisent des camions, d’autres qui exercent le métier de bouchères et “elles sont tout aussi capables qu’un homme. Elles le font aussi bien, même parfois mieux !” avant d’ajouter : ”j’en ai rencontrées qui étaient plus capables que beaucoup d’hommes”. 
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Mercredi 20 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Donate est femme de ménage. Croisée à l’arrêt de bus par les élèves de 4ème A, elle raconte la nécessité qu’elle a eue de trouver rapidement un emploi. En tant que femme, étrangère, ne sachant pas bien lire et écrire le français, ce métier s’est imposé à elle. En réponse aux questions de élèves, Donate insiste sur l’égalité entre les femmes et les hommes au travail et l'importance de partager les tâches avec ses collègues masculins. 
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Mercredi 20 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Sur la question des métiers genrés, les élèves de 4ème A échangent non loin du Collège Libertaire Rutigliano avec Vincent, restaurateur, en attente de réouverture en cette période de crise sanitaire. 
Y’a t-il des métiers genrés ? Selon le restaurateur, il reste quelques “niches” car les femmes ont investi depuis longtemps des métiers jusqu’alors réservés aux hommes. Et d’ajouter que la tenue vestimentaire des femmes doit être adaptée aux impératifs métiers comme sur un chantier par exemple. Et en aucun cas dictée par des logiques sexistes. 
Dans la restauration, Vincent ne constate aucune différence dans les tâches qui sont confiées aussi bien aux hommes qu’aux femmes. Mais note en revanche des différences dans les filières, à l’école. Puis plus tard, avec le congé maternité. Les parcours professionnels varient et la maternité peut aussi faciliter l’implication dans son travail, souligne Vincent qui a lui-même fait une pause pendant six mois pour s’occuper de son premier enfant alors que sa femme, elle, avait repris son poste. Il a adoré ! 
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Mardi 2 février 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Au tour des élèves de 3ème C de se pencher sur la question des métiers genrés. En visio pour cause de Covid, Thomas Savary, maïeuticien, raconte son quotidien d’homme sage-femme, échographiste en libéral. “Les sages-femmes sont dans le soin, l’accompagnement”. Thomas aime son métier et donc accompagner les femmes dans un moment de vie parfois stressant. La maladie fait partie du métier mais Thomas Savary aime l’idée que tout se passe bien.  
Ses motivations ? “C’est difficile de garder sa santé mentale jusqu’à la fin de ses études de médecine” (la spécialité nécessite moins de temps d’étude). Et puis en tant que sage-femme, les modes de services varient, les lieux d’exercice aussi. Thomas Savary ne fait plus d’accouchements aujourd’hui au profit des échographies et du suivi des grossesses.
On dit sage-femme pour un homme ? “On s’en fiche un peu en vrai !”. 
Qu’est-ce que ça fait d’exercer un métier principalement féminin ? “C’est une grande responsabilité sinon pas grand chose ! C’est plus dans la relation humaine. Ma priorité, ce sont les patientes. Dans ma promo de 43, on était seulement 4 garçons, dans mon autre promo de 25, j’étais tout seul !”. 
Et avez-vous le même salaire que les femmes ? “A travail égal, oui mais beaucoup de collègues femmes travaillent à temps partiel pour s’occuper de leurs enfants. C’est lié à l’organisation de la famille”. Et cela fait une différence.
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Mercredi 27 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Ursula, Lenny, Alexis, Elouan, Louyse, Younes, Sidya, Gweltaz, Nicolas, Chafin et Shun, élèves de 4ème A au Collège Libertaire Rutigliano de Nantes ont interviewé dans leur classe Christian Sevin, un infirmier, directeur de crèche à Nantes. Une approche métier qui aide à se représenter un milieu très féminin et les apports d’un homme, infirmier, dans le domaine de la petite enfance. 
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Mercredi 27 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
En classe de 4ème A, un directeur de crèche est annoncé en interview. Les élèves vont échanger avec Christian Sevin, ancien infirmier à l’hôpital, devenu responsable d’une crèche à Nantes. Après avoir occupé des postes dans différents services auprès d’adultes et d’enfants en milieu hospitalier, Christian Sevin conforte son choix de travailler avec les enfants dans un service pour prématurés, ces enfants qui naissent avant le terme de la grossesse. 
Aujourd’hui, en tant que directeur de crèche, il reconnait que ce n’est pas toujours simple de s’atteler aux nombreuses tâches liées à l’organisation des plannings, des équipes. Christian Sevin aime être auprès des gens même s'il reconnait évoluer dans un milieu très féminin. 28 femmes et deux hommes l’accompagnent au quotidien sur son lieu de travail. 
Et cela ne vous dérange pas ?” s’interrogent les 4ème A. “Ce serait bien que ce soit d’avantage équilibré ! Mais il y a des crèches où il n’y a aucun homme.” rappelle Christian Sevin avant d’ajouter : “ce qui est important, c’est les compétences et que le travail soit fait correctement”. A l’hôpital également, Christian Sevin a noté une forte proportion de femmes dans ces métiers. Pour lui, les hommes ont forcément à apporter dans les équipes. “C’est parfois plus facile pour les papas de s’adresser à un homme qu'elle que soit la problématique” reconnait-il. 
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Mardi 19 janvier 2021 - Séance d’Education aux Médias et à l’Information
Retours dans les rues du Port-Boyer à Nantes. Les élèves de 3ème C, par petits groupes d’intervieweurs, tentent d’interpeller les passants sur la question du sport genré. Y’a t-il en 2021 des sports réservés aux femmes ou aux hommes ? La boxe, le basket, le football ont plus de licenciés hommes. L’athlétisme, la natation, la gym sont des sports exercés en nombre par les femmes. 
Un ancien entraineur de handball revient sur son expérience auprès d’une équipe de femmes. Il note la différence physiologique qui peut influer sur les résultats sportifs. Mais pour lui et les dames croisées dans les rues, la technicité, la rapidité d’exécution et la persévérance seraient les ingrédients de la réussite pour des femmes sportives exerçant un sport jugé plus masculin. 
Les femmes aiment regarder le sport féminin. Et l’inverse existe t-il ? A quand la mixité des équipes ? Adultes, cela semble plus compliqué “à cause de la différence de puissance physique” mais “espérons” ajoutent les dames ! 
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