Tumgik
janelher · 25 days
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"Couper les cordes" - Un Hymne à la Liberté 🎶✨
✨Petit moment de partage✨
Aujourd'hui, je franchis une étape qui me tient particulièrement à cœur. J'ai le plaisir de vous présenter "Couper les Cordes", une œuvre née de ma collaboration avec mon ami et talentueux musicien, Dino Sirius.
🔊Ce morceau, c'est un bout de notre âme. Il parle de briser les chaînes, de s'écouter vraiment, et d'oser suivre ses rêves, même quand le vent souffle fort contre nous. C'est un hymne à la liberté, à notre liberté.
Votre soutien, vos mots, vos partages, ça compte énormément pour nous. Si cette chanson vous parle, si elle résonne en vous, faites-le nous savoir, partagez-la autour de vous. C'est dans ces échanges que la musique prend tout son sens.
Merci d'être là, de faire partie de cette aventure. C'est ensemble que nous sommes capables de couper les cordes. 🎶✨
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janelher · 25 days
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Inconnu
Je revisite ce refuge où ma jeunesse a embrassé les rudes leçons de la vie. À vingt ans, entourée d'une passion dévorante, de compagnons loyaux, et d'une soif de mélodies. Défiant le monde, insouciante des jugements, sans souci du lendemain, mais riche des jours nouveaux, agile et guillerette, je gravissais les marches vers un petit havre sous les toits. Oh, comme on se sent à sa place, cachée dans un recoin modeste à vingt ans ! 
Ce n'était qu'un modeste abri, et cela ne doit pas être oublié. Là se trouvait mon repos, précaire et austère; là était mon coin de vie; et sur les murs, je retrouve encore l'ombre des mots, vestiges de rêves gravés. Que ressurgissent les éclats de ma jeunesse, que le temps a si vite éclipsés ! Pour eux, j'ai plus d'une fois troqué le temps contre l'éphémère. Oh, dans un recoin sous les toits, comme on se sent à sa place à vingt ans ! 
Elle devrait surtout surgir, vive et charmante, couronnée d'un chapeau délicat, accrochant son châle à la fenêtre étroite comme un voile improvisé. Son vêtement aussi habillait mon univers; que l'Amour garde la grâce de son envol ! Le temps m'a révélé le secret de sa parure. Oh, dans un recoin sous les toits, comme on se sent à sa place à vingt ans ! 
Un jour de festin, table entourée par la chaleur des voix amies, une joie s'élève jusqu'à nos coeurs. La victoire se chante au loin, un avenir de gloire se dessine. Nous acclamons les jours lumineux, croyant en un avenir invincible pour notre terre. Oh, dans un recoin sous les toits, combien on se sent à sa place à vingt ans ! 
Il est temps de quitter ce lieu où ma raison s'évade. Ah, que sont devenus ces jours tant chéris ? Je donnerais tout ce qui me reste pour revivre un seul de ces âges bénis. Pour rêver à nouveau d'amour, de gloire, de folie, de brûler la vie en quelques instants d'illusion, pour éclairer l'existence d'un espoir sans fin. Oh, dans un recoin sous les toits, comme on se sent à sa place à vingt ans !
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janelher · 25 days
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Chansons
Devant le poste, glisse une brise éperdue 
Tout à coup la joie ne chante plus
Et ce vent règne sur toutes les fleurs
Et mon salon
J’ai perdu ma maison 
La mer transpire des catacombes dans la rue
Un enfant traîne
Sa gamelle vide... Il a plu.
Peut-être un peu trop, au vue 
Des gens qui s’en vont
J’ai perdu ma maison 
Seules les vaches, en guides prévenues,
Ont pu s’enfuir et ont survécu 
Des avions nous apportent
Du pain et des chansons 
J’ai perdu ma maison
Plus grand chose à croire
Quand la Terre a grondé 
Oh l’infirmière donne à boire, à côté,
Mais l’effroi qui nous gagne
A tari le pavé 
C’est l’hiver qui égorge l’été
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janelher · 28 days
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La Valse des Silences
Dans la quiétude de l'après-midi, une valse se dessine — ici, un pas vers la sérénité, là, une courbe vers la mélancolie. Une dualité si gracieuse, si poignante. Qui d'autre ressent ce rythme doux-amer dans l'air ? 🌿✨
Et vous, quelle mélodie silencieuse vous accompagne dans vos moments de calme ?
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janelher · 28 days
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Un Voyage à Travers le Courage et le Changement
Dans l'ombre des souvenirs, sous le voile de l'éphémère, je trouve mon courage. 🌌 #courage #unjourunpoème
Aujourd'hui, inspirée par @palabresque, je navigue à travers les méandres de mes pensées, mes souvenirs enfouis en salopette, mes rêves pliés en origami. Ce voyage, je le partage avec vous, parsemé d'#EclatsDeVie et de #VisagesDuChangement.
Une réminiscence d'enfance, un fragment de joie pure, capturé dans le temps.
Moments fugaces, illuminés par la lumière des étoiles éphémères de notre existence.
La beauté est dans ce qui ne dure pas, laissant derrière elle l'écho d'une présence.
Je me transforme, tu changes, nous évoluons, ensemble et séparément, dans cette danse de la vie.
Espoirs délicatement pliés, désirs cachés dans les replis du papier de nos jours.
Je change, tu changes, oh oui, tout change. Et dans ce flux constant, je trouve ma force, mon essence. 🍂
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Rejoignez-moi dans cette aventure poétique sur Instagram: @janelhermusic, où chaque mot est un pas vers la découverte de soi, un acte de courage face au miroir du changement.
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janelher · 29 days
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Chien
Sur le sentier serpentin de mon essence, combien de fois les chutes m'ont-elles ciselée, combien de fois me suis-je élevée, tissant ma propre trame au tempo de tours et détours sans terme ? Les épreuves, étrangères aux élixirs d'oubli que sont le tabac et l’ivresse, m'invitent à une virevolte de va-et-vient entre défaite et distinction, une danse où chaque faux pas franchit la porte d'une nouvelle quête. Jamais je ne saurais sous-estimer le cortège de trahisons parsemant mon parcours, ni la magnitude des montagnes à surmonter en soliloque. Combien de tourments tenteront de m'enlacer, avides d'engloutir mon élan ? En voyageant à travers cette épopée, chaque écueil ébauche mon endurance, éduque mon essence à éclore des abysses avec aisance et autorité, évoluant éternellement plus éclairée, exubérante d'audace. 
Lorsque l'injustice illuminera l'instant, le silence ne saura abriter mon âme, car en moi murmure la mélodie d'un manque, l’orchestre d'un comble à conquérir. Toutefois, je demeurerai droite, déterminée sur la draille dessinée, déployant ma détermination devant les désaccords. Discernant la densité de ne point dériver dans les déferlantes des disputes, de demeurer digne en me fondant dans la dévotion du chien, décidé non dans la docilité, mais dans la délibération de ses duels, défendant mon identité dans le déluge de l'existence.
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janelher · 1 month
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Bonbon
À mes dépens j’apprends à renaître
Comme un bibelot sur la fenêtre
Qu’on aurait dû mal à voir en pleurs
Et même en lettres 
Les yeux baissés, les mains glacées
Je fais peau neuve avant qu’il pleuve
Je reporte un rêve en cours
Comme un bonbon du jour le jour 
À mes dépens j’apprends à renaître
Comme un bibelot sur la fenêtre 
Qu’on voudrait voir se remettre 
De cette tempête  
Les yeux perdus, les mains tendues 
Mon premier cri, je te l’écris 
Et reporte mon rêve en cours
Comme un bonbon du jour le jour 
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janelher · 1 month
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Acide
Quelle est cette rengaine qui traîne 
On dirait un bout du cœur 
Qui s'arrache par erreur
Un tableau qui se décroche
Comme un voleur de rancoeur 
Bonbon acide sur la langue 
Me fait les poches 
Le crime a du bon
C’est le bonheur qui s’approche  
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janelher · 1 month
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Papillon
L’observateur abstentionniste 
Est indifférent à la politique
Il tient beaucoup à crier « Oh hisse ! »
Mais ne descend jamais de la voiture 
Assis à l’église le dimanche
Il se tient exprès un peu à l’écart 
Pour contredire le sermon
Interrogez donc ce chanteur
Qui n’écoute jamais d’autres musiques
Que la sienne, 
Voyez comme il se justifie
L’observateur abstentionniste 
Garde son éthique intacte
Et se rafraîchit de drogues
Avec une boisson non-alcoolisée 
Il a collé un joli timbre 
Mais n’a jamais posté la lettre
Il s’est offert un mangeur de cartes
Pour ne pas s’encombrer de la vérité
Passez donc un coup de fil à la voyante
Qui ne contacte même pas l’au-delà 
Comme elle est chauve, elle utilise un turban 
Et quand il fait froid, un cache-oreilles 
L’observateur abstentionniste 
Avec un savon qui ne glisse pas
En prenant sa douche dix fois 
A quand même des fourmis sous la table 
Il est comme une pierre qui ne roule pas
Il a ses mains dans les poches
Ses poings serrés quand il neige
Il prépare des voyages mais ne va nulle part
Nettoie sa maison mais ne reçoit personne
Connaît le nom des plantes
Qu’il taille à la scie électrique 
L’observateur abstentionniste 
A toujours été un homme fragile
Lui qui aurait pu devenir papillon
N’a jamais quitté sa chrysalide
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janelher · 1 month
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Mots
La Terre tremble
Les gens se jettent des mots si durs
Et ne se voient pas
On ne se voit pas
On se regarde, on se reluque
On se contemple
Le ciel nous dégringole dessus
Ne restent que les animaux
Et peut-être les enfants
Des gens parlent mais ne disent rien
On ne dit rien
On discutaille, on se dispute
On se confesse
La marée monte,
Mais les crabes ne bougent plus
On ne se goûte plus
On se dévore, on déglutit
On se débecte
Je sais pourtant que la vie
subsiste, même tristement,
dépourvue de mes sens
je brûle encore !
Je suis un volcan qui abhorre l’inertie
Je ne regarde pas
Je n’écoute pas
Je ne parle pas...
Mais reste incandescente !
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janelher · 1 month
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Prince
Si tu me vois, fais-moi signe
Dans ma peine, comme un insigne
Je te maquille sur mes pages 
Je crois que mon cœur se partage 
Mes peurs s’arriment, claires, unanimes,
Aux coups du sort, et les subliment
Si tu me suis, prince de mes nuits 
Chante l’amour, et j’accours 
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janelher · 1 month
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Fin
Je n’ai pas tout mon temps
La fin chantonne en s’approchant 
J’entends des heures dans ma tête
Qui s’enfuient, et celle qui reste
Me susurre qu’elle m’attend 
Je n’ai pas tout mon temps
Le temps ne donne pas, il propose
Nous on appuie juste sur pause
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janelher · 1 month
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Noir
Mi emprisonnée,
Mi loin d’ici,
Déguisée par le noir de mon khôl,
Attirée par toi, par tes bras qui me serrent pas...
Moitié d’envie, la nuit, à demi moi.
Sertie dans la peur et parfois non,
Ce chant d’été me fait croire
Que je frôle un bonheur à deux;
Alors, je joue le jeu.
Mi ennui, mi « je le veux »...
Tour à tour, je cherche ta voix,
Et souffre ton oubli;
En l’état, je pourrais n’être plus
Qu’un crayon dans ta vie.
Demies larmes aux yeux,
Demis cadeaux,
Et ces vœux brouillons
Dans le noir de mon khôl,
Je serre par terre cette âme sœur qui se tait...
Mi amour, mi défaite...
Tour à tour, je cherche ta voix,
Et souffre ton oubli;
En l’état, je peux n’être plus
Qu’un crayon dans ta vie.
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janelher · 1 month
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Sommet
"Les amoureux spartiates"
On tournerait, à deux, les pages
D'une histoire tellement belle
Qu'on éviterait les naufrages
On tirerait les ficelles 
D'un pantin qui n'aurait pas d'âge 
Du sommet de notre échelle
On transformerait les mirages
En images bien réelles 
On serait des amoureux spartiates
On s'aimerait sans avoir peur
Que la faucheuse un jour débarque
On ferait honneur
Aux histoires des livres qui restent
Et qui réchauffent les cœurs
Des couples terriens qui se testent 
Et nous faisaient tellement peur
Cet amour vit, ses sirènes
Continuent le soir, leur doux thème
Même sans le son, même loin des yeux 
Cet amour dans sa carapace
Survole en première classe
Heureux
Le manque qui rend malheureux
On roulerait, à deux, bien tranquilles
Comme des fous les yeux dans les yeux
Dans une poche remplie de billes
Jamais avides, jamais frileux
Tout comme les amoureux spartiates 
Qui s'aiment sans craindre aucun feu
Même celui de la faucheuse qui débarque 
On s'aimerait même encore mieux 
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janelher · 1 month
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Printemps
Un moineau attend que la pluie s'arrête
Mais par torrents la pluie s'entête 
Même son bec affûté se noie
Un moineau n'attend pas comme ça 
Il n'attend pas, et sous les gouttes
Il plonge et m'accroche un sourire 
Il quitte sa branche, les gens s'en foutent
Est-ce aussi facile de partir ?
Un moineau s'envole car la mort le guette
C'est pas une averse qui l'arrête 
Ni la famine ni la guerre
N'empêchent de s'envoyer en l'air
Il n'arrête pas d'y croire, il recommence
Et jour et nuit chante sa chance 
Un coup de gomme sur cet hiver 
Le printemps sent bon et me serre
Je n'attends pas et sur ma route 
Je sautille entre deux soupirs
Petit moineau, toi qui m'écoutes
Est-ce aussi facile de partir ?
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janelher · 1 month
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Rock
Le soleil me fait sortir, 
sautillante, 
pétillante, 
si vivante en voletant en pleine rue, 
que je poursuis mon chemin, 
sans crainte; 
avec toi, 
je croise des visages, 
J’absorbe leurs couleurs: 
regards souriants, jaunes, 
et vers luisants; 
je goûte, 
avec toi, 
au bonheur de nouveaux jours.
La rue est vivante, 
je la vois, 
offerte à mon rêve.
Les portes ouvertes, 
ont reçu l'air frais de soleils chansons, 
et quant à mon amour, 
dormant jusqu'alors au fond des peines, 
il s’est fait, 
par ta voix, 
et par tes mains, 
visiteur de tous ces amoureux du monde 
qui, par mégarde, ou peur du rock
ont perdu de leur amour !
La table est dressée, 
pour accueillir nos hôtes, 
elle assouvit, 
par le rose de mes notes, 
leur soif d'un peu d'eau fraîche; 
je crois même qu'elle me salue, 
qu'elle me sourit: 
qu'elle me demande pourquoi 
j’ai tant marché, 
quelle direction je veux prendre. 
Moi, je réponds simplement: 
« je veux écrire des poèmes, 
pour chanter mon amour ».
Et c'est ainsi que mon chemin 
m’a conduit tout droit 
jusqu'à ton destin; 
et je veux rêver, 
le soir avec les gens, 
en partageant avec eux mon rock’n’roll, 
comme un feu d'artifice...
Soudain, 
il me semble que si tu m’appelles, 
que si tu m’aimes, 
et que je t’aime, 
nous ne cesserons plus 
d'être un premier jour d'été.
Nous serons le premier jour de l'été, 
chaque jour de l'année.
Je sens, 
auprès de toi, 
que je peux être ou faire
ce que bon me semble: 
astronaute en chef 
de l'imagination, 
courir après chaque comète, 
portée par chacune de mes balades;
ingénieure en rêves d'amour, 
car aimée de toi, 
et construire un toit, 
pour ceux qui n’ont jamais appris 
à vivre heureux, 
dissipant les ordres établis 
qui font de l'ombre 
à notre colonie d'amants, 
et qui nous brûlent 
en se brûlant; 
avocate de l'enfer, 
pour défendre, 
jusqu'au bout, 
le droit au rêve le plus instable; 
et le faire réalité.
Te voilà, 
mon âme sœur 
Te voilà, 
Ma belle étoile
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janelher · 1 month
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Rage
En gravissant la montagne de ta vie, à l’approche du pic de l'existence, saisis ton moment, l'heure est à l'ascension. Ne laisse pas filer le temps, il s’évapore comme des gouttes sur le sable brûlant. Envisage ton aventure, bien que le sentier soit voilé d'incertitude. Crois en toi, avec la ferveur d'un Latin en ses mythes, anime ton essence, tel l'artiste qui donne souffle à sa toile. Souris dans l'adversité, égare-toi sans frayeur. Devant le miroir, répète cet écho : "OUI, JE LE PEUX." Que l'impulsion de te hisser soit ta propre flamme, tes proches, ton équipage. Laisse la trahison n'être qu'un jalon sur ta voie. Embellis ta vie de ces vers que je t'offre aujourd'hui. N'hésite pas à aimer, ils le méritent, et proclame-le, sans honte. Que ta fierté réside dans chaque victoire, non dans la colère enchaînée à ton âme. Sors de l'amertume, vis ta vie comme une grande expédition. Aujourd'hui brille plus qu'hier, envisage l'aube avec espoir. Et si demain est un échec, rappelle-toi qu’il y a sept jours dans la semaine.
Élève ton esprit, arbore un sourire, que le vent emporte les ondes funestes, que se renouvelle l'air de tes aspirations, jusqu'à l'ultime souffle. La joie est simple, la simplicité, un défi, surtout quand l'ego emplit tes poches. Ne dissimule pas ta peine; si nécessaire, laisse couler tes larmes. La pluie cesse toujours; toute blessure trouve sa guérison. Affronte la crainte, embrasse la confiance. Ta quête, c’est l'espoir, à l'image du miséreux qui se bat pour l'éclat dans les yeux de ses enfants. La vie s'écoule pendant que tu t’inquiètes, le temps s'effile au long de ta course. Apprends à pardonner, à dissiper l'amertume au cœur obscur. Si ton ciel est morose, je t'offrirai les couleurs qui teintent mon âme, et du papier neuf si l'erreur a froissé ta page. Je te prête cette foi inébranlable, mélodie enchanteresse, elle rendra même le plus modeste de tes rêves, palpable. Cherche le chemin, et tu découvriras les clefs pour déjouer les entraves. Chaque faux pas t'invite à retenter ta chance, à accepter pour surmonter. Ce voyage est une sculpture géante de la patience. Fais de ton mieux, et reçois le meilleur, telle est la loi du karma. Tu es un géant parmi les géants; tu brilles parmi le monde. Tant que tu respires, tout est à ta portée.
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