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damienpaulgal · 9 years
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(via https://www.youtube.com/watch?v=fok4xXG2AP0)
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damienpaulgal · 10 years
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Under the Wave – Les Artistes ré-investissent la mythique piscine Molitor
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damienpaulgal · 10 years
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Les artistes RÉ-investissent Molitor. Durant tout l’été des artistes de tout bord sont intervenus à Molitor autour des bassins d’hiver et d’été, dans les cabines et sur les murs… Artiste Ouvrier, Balder, Fred Calmets, Cadija Costa, Le Consortium, Damien-Paul Gal, Diadji Diop, FBZ, Indie 184, JBC, Kan, Kashink, Kouka, William Laboury, Mademoiselle Maurice, Carmen Mariscal, Thomas Mainardi, One Teas, Rolecs, Shuck One, Sly 2, Antoine Stevens, Thom Thom, Remy Uno, Wen-Jié Yang. Joyce Attali, Directrice artistique de Molitor, Laurent Jaïs et l’artiste Balder organisateurs de l’expo vous accueilleront à partir du mardi 14 octobre. Ouvert du mardi au jeudi de 9h à 17h Réservation et visite :  [email protected] Tél : 01 56 07 08 56 2 Avenue de la place Molitor, 75016 Paris Metro: Porte d’Auteuil Michel Ange Molitor L’art est dans l’histoire de Molitor… #mltrparis #poolartlife #underthewave
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damienpaulgal · 10 years
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Comme chaque année, RTL organise des enchères au profit du Télévie. L’artiste Damien-Paul Gal a réalisé une œuvre spécialement pour le Télévie 2014. <p>L’artiste, <strong>Damien-Paul Gal</strong>,...
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damienpaulgal · 11 years
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Les poissonnières Mauviel deviennent des oeuvres d'art Mauviel ©
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La marque Mauviel a donné carte blanche à douze artistes pour créer une œuvre d'art à partir d'une poissonnière en cuivre traditionnelle. Les œuvres d'art, poétiques ou excentriques, seront vendues aux enchères au profit de l'association "Toutes à l'école".
  Quand la tradition française rejoint l'art, cela donne M'Cook'Art. La marque d'ustensiles de cuisine Mauviel a proposé à douze artistes contemporains de revisiter sa poissonnière en cuivre, ainsi qu'un couvercle de casserole. Les surprenants résultats ont été exposés au salon Maison & Objet - l'occasion de voir avec un œil nouveau ce plat un peu oublié.
  La maison familiale Mauviel fait perdurer son savoir-faire depuis 1830. Sous l'impulsion de son actuelle dirigente Valérie Leguern Gilbert, la marque passe de l'artisanat à l'art, le temps d'un événement unique, baptisé M'Cook'Art. Douze artistes contemporains ont eu carte blanche pour réaliser une œuvre d'art, avec pour base la poissonnière M'Tradition et un couvercle de casserole. Parmi les noms qui se sont prêtés au jeu : Jérome Mesnager, Fred le Chevalier, Jean-Yves Gosti, Benjamin Spark, Damien-Paul Gal, Andrea Clanetti Santarossa, johanne 8, Vero Cristalli, Pioc Ppc...
  Peinture ou tag, excentrique ou poétique, Mickey Mouse ou Godzilla, chaque artiste s'est approprié les objets en cuivre pour leur donner une nouvelle vie. Plus question, en effet, de se servir des casseroles, mais la démarche n'est pas dénuée de sens : les œuvres seront vendues aux enchères au profit de l'association "Toutes à l'école", qui milite pour la scolarisation des petites filles défavorisées à travers le monde.
  En savoir plus sur Toutes à l'école : www.toutesalecole.org
  Extrait de maison à part 
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damienpaulgal · 11 years
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Reportage réalisé lors de la Volvo Océan Race 2012 à Lorient & Larmor-Plage (Morbihan; 56). DPG réalise une fresque de 30 pieds et customise des QBIQ lors d une association d'idée dans la région Bretagne lors de cet évènement de juin 2012. Merci à QBIQ, BSM productions pour le reportage et les nombreux amis et collectionneurs qui soutiennent cet artiste. F.M. Reportage BSM productions
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damienpaulgal · 11 years
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Dans la Presse...
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damienpaulgal · 11 years
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Tapis Rouge – Damien-Paul Gal emprisonne ses pensées
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 n°66
  Damien-Paul Gal Breton et Bruxellois d’adoption, développe dans son travail un univers proche du Pop Art. Loin de plagier les grands maîtres, il adapte ces ambiances « Seventies » colorées et graphiques à nos préoccupations du troisième millénaire. La culture « Street Art » l ‘influence dans l’organisation de ses compositions. Ses œuvres, allégories des travers de notre civilisation, sont constituées pour l’essentiel de déchets. Sacs plastiques et cannettes écrasées poursuivent leur vie dans un tableau. Il y a des fins plus atroces !
  Le plasticien utilise un sac plastique, symbole de notre société de consommation, pour créer une image qui, elle, va perdurer, joli retournement de situation et juste plaidoyer pour une écologie responsable. Cet autodidacte construit sa culture artistique en parcourant les musées et les expositions. Ses recherches et ses expériences, il les puise sur  le terrain, dans la rue. Cette proximité avec la vie impose un geste rapide, sans hésitation. La maîtrise du dessin s’acquiert et se peaufine au fil des années. S’ajoutent ici et là, des références politiques, religieuses, cinématographiques ou télévisuelles. Le discours est critique car, pour Damien-Paul Gal, le moment est critique. La foi et la loi perdent, peu à peu, leur place comme garantes d’une autorité de référence. Le libre arbitre se place en leader et l’expression de soi gagne en puissance. Il faut donc unir un geste honnête à une parole vraie.
  Cette société, remise en question quotidiennement, procure à l’artiste, la matière intellectuelle de son travail. Pratiquement, c’est au moyen du thermoformage, procédé secret qu’il a inventé, qu’il emprisonne ses pensées. Couche après couche, le plastique recouvre tout, scellant ainsi son art pour des siècles. Il a choisi d’autres supports comme les cochons en résine, dont chaque décor est unique, pour s’exprimer. Cet animal revêt à ses yeux autant d’aspects positifs que négatifs : bon à manger, omnivore, intelligent et même proscrit par certaines religions.
  A l’occasion de la Nuit Blanche, Gal projette de thermoformer une voiture en live. La vidéo et les performances font partie de son jeu d’acteur engagé. Il défend ses convictions et les souligne en les filmant. Son souhait actuel serait d’emballer la statue de Godefroid de Bouillon qui trône au centre de la Place Royale. Il déborde d’idées mais leur réalisation demande du temps et de la réflexion. En attendant, des galeries belges et françaises lui ont déjà ouvert leurs portes et le public a accueilli favorablement ses réalisations. Les matières sont intéressantes, le propos cohérent avec la démarche artistique, voilà déjà de bons auspices pour Damien-Paul Gal.
  Kunty Moureau
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damienpaulgal · 12 years
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Monaco info 2011 : Damien-Paul Gal « Wanted Dead or Alive » Lancé le 20 octobre 2010 en partenariat entre la Galerie d'art l'Entrepôt et Monaco Télecom, l'Open des Artistes de Monaco a remporté un grand succès : 60 artistes se sont inscrits à ce concours. Un premier vote, via internet (200 000 pages vues et 17000 votants) et via le Jury, a permis de sélectionner 30 artistes qui ont été exposé durant le mois de février 2011 à la Galerie. Suite à la seconde sélection, Damien-Paul Gal gagna le Premier Prix. L'entrepôt a donc le plaisir de présenter l'exposition personnelle du lauréat depuis le 29 novembre et jusqu'au 22 décembre 2011. Vainqueur de la première édition de « l'Open des artistes 2011 ». Jeune artiste au talent incontestable, Damien-Paul Gal fait d'ores et déjà des émules. Le mieux c'est de voir ce que les spécialistes en pensent...
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damienpaulgal · 13 years
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Damien-Paul Gal plasticien, ancien Rennais prisé à Bruxelles
Mardi 11 Janvier 2011
Damien-Paul Gal plasticien, est sensible à la ville, au bitume, et donc surtout au plastique. Il récupère les vieux sacs et les transforme. Son animal préféré le cochon, cet ancien rennais installé à Brussels à répondu à nos questions.
Alternant ses pochoirs, ses dessins et ses icônes, l’artiste joue avec les matériaux, les trous et certaines transparences, qui lui permettent de profiter des imprimés des couches précédentes. Quoi de plus industriel que les déchets d’emballages ?  Voir son site : Damien-Paul Gal
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damienpaulgal · 14 years
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Damien Paul Gal appartient à cette catégorie particulière des artistes engagés dans leur art jusqu’à l’ultime fibre de leur sensibilité. A partir de sacs poubelles dont il reçoit des échantillons venant du monde entier, il crée un support nouveau, inattendu, solide comme la toile de lin, donnant l’illusion d’un support rigide. Il faut approcher de la toile pour deviner derrière les constructions plastiques qui s’y déploient, ce matériau composite dont on devine, en transparence, l’usage ancien. Il travaille à la façon des anciens, fabriquant de toutes pièces le support de son art. Il s’inscrit en pleine modernité en détournant le polyethylène pour lui donner une forme d’éternité, celle de l’art. En allant sur son site web, vous découvrirez les reproductions de quelques unes des œuvres de cet artiste original, engagé rêveur, promeneur anxieux dans ce siècle qu’il interroge en l’arpentant de son pas pressé. Dans le cadre de la« Nuit blanche 2010 », si vous passez par la Rue Marché aux Porcs entre le samedi 2 octobre à 19hOO et le dimanche matin à 02h00, vous pourrez entrer dans cet univers postindustriel que Damien Paul Gal ré-invente. Si vous n’êtes pas à Bruxelles cette nuit-là, guettez les expositions où sont accrochées les œuvres du plasticien qui prépare une « performance » au Mont des Arts. Celle-ci, aux couleurs rouge noire et jaune racontera peut-être une Belgique inattendue ? En attendant sur son site, voyez les exemples de ces techniques si particulières que sont les alliages de thermoformage de matériaux polymère, pochoir et peinture aérosols ; laissez-vous surprendre par des phosphorescences nées de la lumière du soir ; abandonnez-vous à ces assemblages de canettes écrasées qui disent mieux que bien des mots, la nécessité de l’art dans un univers autodestructeur. Edmond Morrel
Interviews réalisées par Edmond Morrel
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damienpaulgal · 14 years
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« Pochoir et pochoiristes de Bruxelles » par Serge-Louis et Vanessa Sutour
NOM ?
Damien-Paul Gal
NAISSANCE ?
1976
ORIGINE ?
France
DECLENCHEUR ?
J’ai beaucoup dessiné étant petit. J’ai été attiré par le pochoir par rapport à des formes que je voulais dupliquer. En même temps, le côté embrigadement, révolté sans être négatif à la base du pochoir, pouvoir montrer des formes, des signatures, pouvoir émettre des messages sur des supports amovibles grâce aux pochoirs, ça me motivait très fort. Pouvoir ainsi peindre sur des supports qui ne sont pas forcément négatifs pour les bâtiments, comme des carrelages ou des céramiques, m’intéressait.
PREMIER ?
Mon premier pochoir, c’est mon visage. Je l’utilisais pour signer des sortes de peintures en dripping avec des dates et des chiffres au pochoir. Je voulais trouver une signature intéressante pour mes tableaux et mes affiches. J’ai commencé en rue en 2000 quand j’étais à Rennes. Placarder mon image dans les rues, c’était un peu égocentrique de ma part ! 
TECHNIQUE ?
Du simple papier au format A4. C’était très simple pour moi, avec les moyens du bord. Je travaillais sur logiciel, je tirais à l’imprimante et puis je découpais au cutter. C’était vraiment très grossier au début. J’aime combiner mes pochoirs avec le carrelage comme support. J’aime sa forme carrée, anguleuse et en même temps son côté intrusif sur les façades, comme une pièce de puzzle. 
EVOLUTION ?
J’ai évolué dans les outils que j’utilise, comme les cutters. Je découpe maintenant de façon beaucoup plus fine mais je garde toujours le format A4 en papier avec parfois du gabarit A3. Je cherche à vraiment retravailler l’image à travers un procédé précis. La technologie nous permet de montrer différents axes, différentes perspectives, et d’arriver plus vite au bon résultat. Ceci dit, après, il y a aussi la sensibilité, le fait de découper, de ressentir la matière ... Et puis, je reste sur des pochoirs très simples, pas avec une multitude de couches. 
PLACE DANS TA VIE ?
Je continue mon travail de pochoiriste. Dernièrement, j’ai fait le pochoir de Jimmy Hendricks. Je reprends beaucoup d’icônes comme Staline ou Mao. Cependant, à partir d’un certain niveau de maturité, on arrive à travailler de façon segmentée. J’aime avoir une certaine hiérarchie par rapport à mes autres formes d’expression et consacrer du temps à bien ranger mes pochoirs.
MESSAGE ?
Mon idée en mettant mon visage en rue, c’était d’induire un effet un peu inconscient dans la tête des gens. Qu’ils se disent : « Je vous connais ». Le travail des pochoiristes, c’est de reprendre une image, provoquer une sur-consommation, une sur-impression, et de saturer l’environnement en images et en informations. Tout ça m’intéresse parce que j’ai fait des études sur la psychologie. Me montrer sur les murs était pour moi une façon d’essayer de voir comment tout ça fonctionne en vrai.
REACTION ?
Les graffitis, et donc les pochoirs, ont un effet positif car ils permettent aux gens de s’intéresser à une autre forme d’art, une autre forme graphique, qu’ils ne connaissent pas. Ils peuvent ainsi, petit à petit, s’ouvrir à un autre univers avec d’autres artistes. Par rapport à mon travail, les réactions sont parfois très surprenantes. Les gens qui ne sont pas habitués peuvent carrément ne pas comprendre mon message, même à travers un simple pochoir.
POCHOIR FAVORI ?
Mon pochoir préféré, c’est ma signature. Je mets ma fragmentation de visage comme une marque, une griffe, comme un regard avec un petit côté intrusif mais en étant discret. Je la pose quand je signe un élément photographique ou une performance. Nous sommes dans la publicité, dans le logo. Mon pochoir favori, c’est Astroboy. Chez les autres, j’aime le smiley policier de Banksy et le « Je suis une femme et j’assume » de Miss Tic. Ou encore l’auto-portrait aux oreilles de Mickey de Jef Aérosol.
POCHOIRISTE FAVORI ?
J’aime bien Banksy, notamment parce qu’il parvient à placer ses pochoirs dans des endroits difficiles d’accès. Miss Tic que j’ai rencontrée avec son frère. Et puis Jef Aérosol qui est très sympathique et parle avec tout le monde. Chacun a sa technique, chacun a ses méthodes, ses messages. 
GRAFFS & TAGS ?
Tagger sur un mur, non merci, ça jamais ! Le tag n’est qu’une signature, c’est une action vandale et gratuit. Pour moi, le vrai graffeur a vraiment une idée. Il a une image et il organise son travail par rapport à la calligraphie, par rapport au côté graphique et donc il ne le fait pas n’importe où. Moi-même, parfois, quand j’applique une céramique, je me dis que je viole le propriétaire ... Donc, quand je le fais, j’essaie d’obtenir quelque chose de très graphique, d’harmonieux. Et même si je me l’approprie, j’essaie de ne pas déborder et de rester dans une certaine cohérence. Il y a un respect, pour moi, qui est primordial.  
POLICE ?
Aucun souci parce que je m’y connais en sécurité. Je connais les horaires et les habitudes de la brigade anti-tags ... Ce sont des anciens graffeurs ou des anciens graffeurs qui sont recrutés par la police pour pouvoir analyser les signatures. Et puis j’ai un bon réseau de contacts, y compris dans le monde politique, que j’invite à mes expositions.  
ENDROIT ?
Je me balade beaucoup dans les rues. Je vais repérer des lignes, l’architecture ... Je vais me faire une sorte de plan dans ma tête, avec une stratégie.
NETTOYAGE ?
C’est à la fois une perte pour certaines choses et un renouveau pour d’autres choses. Le nettoyage fait partie intégrante du jeu.
BRUXELLES ?
J’aime bien Bruxelles mais l’activité graffiti et pochoir y est moyenne par rapport à des villes comme Rennes, Toulouse, Prague, Londres ou encore Berlin. C’est probablement dû à un manque d’émulation et d’interaction entre les gens. Donc je sens que Bruxelles n’est pas la ville où je vais encore beaucoup évoluer. J’aimerais plus voyager et aller voir des villes-phares dans le domaine du graffiti.  
Interview par Serge-Louis pour le livre « pochoir et pochoiristes de Bruxelles » 
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damienpaulgal · 14 years
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Damien-Paul Gal XXI Siècle par Nelson Castellano-Hernandez
Plasticien et "performer", il est le pur produit de la société actuelle, avec ses crises et ses contradictions. l'artiste essaie de communiquer avec le spectateur, avec la vitesse qui nous est donné par les moyens actuelles comme l'internet et la réalité d'un monde globalisé dans lequel il est immergé. On  ne peut pas s'attendre à ce qu'il s'inspire comme les artistes du XIX et  début du XX siècle de la nature, des émotions ou des sentiments, même si par sa condition d'être humain, au fond de lui, il ne peut échapper à tous ses influences. L'artiste est plutôt sensible à la ville, au macadam, au plastique et surtout à une société de consommation, qui prend la place de la loi, de la religion ou de la philosophie. Il s'est donné comme tâche d'apprivoiser le consumérisme avec sa technique de thermoformage, et de se servir d'elle pour dénoncer cette même société qui nous opprime. Quoi de plus industriel que les déchets d'emballage?, Quoi de plus contaminant que le sac plastique?, et bien ça c'est le défi auquel réponds le créateur, pour y arriver à produire un œuvre pleine de couleurs, et de force. Damien-Paul Gal évolue entre la fin du XX et du XXI siècle, il a besoin de s'exprimer vite, dans sa tête bouillonnent des multiples idées, toute une série de messages qu'il souhaite communiquer, certains ont un fond politique: son opposition à la violence, son refus au régimes totalitaires.  D'autres, plus sensibles, font appel a son attraction pour le genre féminin, au cliché de la jeunesse et aux bandes-dessinées. Heureusement l'homme de ce siècle n'a pas perdu sa capacité de rêver et d'être sensible à la nostalgie. Mais on ne peut pas échapper aux conséquences, et le prix est à payer, dans le surmenage dans lequel on vit, on n'a plus le temps pour s'arrêter. La manque de réflexion, lui permet de mélanger les icônes, ainsi à côte des oppresseurs comme Chavez ou Staline il est capable de placer un DJ d'actualité, tous comme n'importe quel autre facteur d'influence de la société, produit par le biais de la communication. Une communication qui au fond est à l'origine de cette société de consommation qu'il veut dénoncer. Mais c'est peut-être cela qui donne le fraicheur a son travail et qui lui permet de nous interroger devant chacune de ses pièces. Quelque part voudrait-il nous montrer où se trouve la sortie?
Nelson Castellano-Hernandez
Critique d'art
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damienpaulgal · 14 years
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provided by g-skills.com 
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damienpaulgal · 14 years
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damienpaulgal · 14 years
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Installation Vidéo et Dispositif sonore. 2010 Co-auteurs : JML & Damien-Paul Gal Une superposition d'écrans forme un Monolithe, un coffrage sculpturale vidéo pouvant accueillir un corps échelle 1/1. Trois Personnages cosmopolites filmés sous tous les angles questionnent le spectateur sur le conditionnement des emballages et leur usage domestique.  La création sonore superpose différentes séquences, le plissement de la matière, le souffle...  Les performers interprètent différents personnages (un malade, une consumer addict, un bourreau ...). Cette œuvre réalisée en collaboration avec l'artiste plasticien Damien-Paul Gal interroge le public sur le conditionnement culturel et nos modes de consommation. Présentation du 12 février au 27 février 2010. Exposition "American Dream", Espace Tour & Taxi. Bruxelles. Belgique Présentation du 01 juillet au 05 Septembre 2010. Exposition "Summer exhibition", Espace art 22. Bruxelles. Belgique Réalisation : JML Performers : Clémentine Balair, Damien-Paul Gal... Musique : Jérémy Villecourt Dimension : 200 - 70 - 50 cm
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damienpaulgal · 14 years
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