Tumgik
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Step2: la passion en entrepreneuriat
Bonjour à tous, 
Continuons à travailler sur le livre de Guillebeau, après le chapitre qui vous aide à savoir ce que vous donnez à votre client (qui pour moi est essentiel) il propose un chapitre sur “Entreprenez sur votre passion” où là je coince.
Entreprendre c’est savoir quand commencer, quand continuer et quand s’arrêter. La passion obscurcie le jugement et il me semble délicat de pouvoir évaluer correctement un projet qui nous passionne. Peut-être est-ce parce que j’ai lu le bouquin en VO et non en VF et qu’en bon français j’entends passion et je pense à quelque chose de brûlant, de compulsif… Bref ceci est certainement le sujet d’un autre blog.
Une formule magique…
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Chris (oui à ce point là, je vais passer au prénom) nous propose cette formule magique pour trouver un business à 100$.
(Passion + skill) → (problem + marketplace) = opportunity
Si je suis d’accord avec l’idée
(Sujet/intérêt+compétence)=> (Problème+marché)= opportunité
l’utilisation du terme passion reste pour moi une mauvaise idée.
Parmi les exemples et arguments qu’il donne, on peut noter un exemple de réorientation du projet d’un podcast sur la science à un podcast sur la grammaire et pas mal d’autres formats d’entreprises à 100$... et c’est là la force de ce chapitre au final, c’est de montrer combien pivoter peut être facile et essentiel comme en témoigne la citation suivante:  
“Despite the differences, the core goal for each of these approaches is finding the right kind of product or service for the right group of people. Without the right fit, none of the projects would be successful. But when you find the formula, there’s no denying that a business built on the right kind of passion can be highly successful. “
“La bonne passion”
Cette expression est assez révélatrice du point de vue de Chris, il cherche en fait à inciter le lecteur à travailler sur quelque chose qui l’intéresse vraiment. Là je suis déjà plus d’accord!!! Bien entendu, comme c’est un livre marketé jusqu’au bout des ongles, on parle de passion.
Ce qui est assez drôle c’est qu’on puisse dire au gens “choisissez la bonne passion” comme s’il s’agissait d’une paire de chaussures. Par contre effectivement, le bon centre d’intérêt  est effectivement crucial pour le choix d’un business.
Dans notre cas nous avons décidé d’opter pour le design thinking pour the DTS parce que nous adorons les méthodes d’émergences collectives et que nous les pratiquons régulièrement (en coaching d’équipe pour moi, en sessions de médiation pour Roseline). Sans cette pratique régulière, nous ne serions ni légitimes, ni assez motivés pour passer du temps à développer un site, un réseau de partenaires, des articles et autres…  Donc oui choisir le bon centre d’intérêt mais également, celui qui est à la bonne distance pour pouvoir évaluer sérieusement et froidement le projet et le terminer si besoin.
Peut-être qu’au final, c’est la passion DE l’entrepreneuriat qui compte?
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Bonne journée
William
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Step 1: une question de poisson
Comme promis, je vais vous expliquer mon application des conseils de Chris Guillebeau. Je ne doute pas que ceux qui ont déjà lu “100€ pour lancer son business” (ou la version US), verront des différences avec ce qui est proposé dans certains endroits du bouquin. Je ne peux envisager d’appliquer bêtement une méthode sans chercher à l’adapter. Bref, dans tous les cas commençons au commencement!
Poisson?
Dans mon boulot de coach, je cherche à apprendre à pêcher au gens, à les rendre indépendants. Dans ce projet, le but est de leur donner un poisson, en gros de résoudre un problème particulier pour un public particulier. Guillebeau nous propose d’être très attentifs à ce que veulent vraiment les gens pour le leur donner, au lieu de leur fournir ce que nous pensons utile pour eux (grosse différence!).
Jusque là, tout va bien, on a bien identifié un besoin: savoir ce que vaut un produit qui est légèrement détourné de son utilisation pour les besoin du Design Thinking, on l’a testé auprès de plusieurs pros du métier, ils ont validé l’idée.
Du coup, on peut formuler notre poisson ou valeur centrale en s’appuyant sur ce tableau du bouquin:
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Dans le cas de “the DTS” nous offrons un gros poisson: plus de temps libre et moins de complications.
Pourquoi s’ennuyer avec ça?
Premièrement parce que c’est le but de l’exercice, j’ai décidé de lancer ce blog pour vous parler de cette démarche et donc il me semble logique de le faire vraiment (sinon je vous raconte mon dernier repas de famille mais tout le monde s’en fout).
Deuxièmement , parce qu’il est essentiel d’être capable de résumer son projet entrepreneurial à son apport pour le client. De prime abord, les gens tendent à se foutre de ce que nous faisons mais sont intéressé par ce que nous apportons. Cette étape, même si longuement décrite dans le bouquin est essentielle, peu importe le projet. Qu’apportez-vous à votre clientèle? Ensuite, votre manière d’apporter le poisson peut être différenciante et c’est à vous de capitaliser là dessus.
A bientôt!
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Prise de décision(s)
Bonjour à tous,
Comme vous l’avez sans doute remarqué, nos questionnements sont nombreux à propos de The DTS. Que ce soit à propos du login ou de la langue, on a de quoi faire.
Voici donc quelques décisions que nous avons prises ce weekend:
-Nous allons passer le site en bilingue (mise en route dès que possible)
-Nous n’allons pas nous faire **** avec cette histoire de login. (fait! ;-) )
-Nous allons développer la navigation autour du blog et non autour du shop (conditionné au passage en anglais.
-Nous allons lancer un petit programme d’adwords pour flécher certaines requêtes (dès que le site sera mondial)
-Nous allons continuer à développer nos partenariats, avis aux amateurs et testeurs! (notre premier article invité est paru cette semaine!!!)
-Nous allons enfin écrire nos articles sur les sites où nous sommes invités à présenter la boutique!!!
D’autre part, comme il ne faut pas non plus oublier nos autres activités, nous allons commencer à planifier plus en amont les articles que nous allons écrire. Si vous souhaitez voir des outils testés, ou nous proposer des références de livre et d’articles divers, nous sommes preneurs!
Pour l’ensemble de ce projet nous avons investis, 60€, gagné 4€ sur le premier moi et surtout avons su créer une certaines curiosité auprès de vous!
Nous allons donc continuer. Pour revenir au bouquin à l’origine de ce blog et de son nom. Dans le livre l’auteur nous conseille de faire un levier maximal sur chacune de nos actions. J’aime l’idée, on la retrouve dans l’effectuation d’ailleurs, reste qu’il semble délicat de créer une traction avec seulement une communauté naissante. Surtout que même si vous êtes relativement nombreux à venir nous voir, et que vous “trainez” sur le site assez longtemps, les achats ne sont pas si nombreux… a suivre sur ce point là.
Pour ce qui est de la facilité de mise en place d’un tel business, c’est effectivement assez remarquable de voir qu’avec quelques euros bien dépensés, on peut créer une boutique qui potentiellement peut rapporter gros!
Comme je vous sais curieux et qu’en plus, cela nous aidera à développer encore plus loin le rojet, les prochains articles de ce blog seront consacrés à l’examen du projet selon le déroulé de “The 100 $ startup”
Bonne journée.
William
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States?
Bonjour à tous,
depuis maintenant un peu plus de 3 semaines, nous avons mis en place The DTS. Ce site permet aux facilitateurs des compétences et du temps de shopping. Nous sommes vraiment contents de voir que le concept plait à ceux à qui nous le présentons mais une question revient assez régulièrement…
Pourquoi vous ne le passez pas en anglais?
Cette question, on nous la pose, presque à chaque fois. Nous n’avons pas tranché en fait, nous avons surtout voulu shipper la plateforme le plus vite possible et donc la faire dans notre langue maternelle.
Est-il obligatoire qu’un site comme le notre soit en langue anglaise?
Après avoir réfléchi, au final, on a décidé de le passer en anglais dans les jours qui viennent pour être visible là où nous avons le plus de clients potentiels: les US.
J’avoue être assez dubitatif quand à cette notion mais bon, le Design thinking nous vient de Palo Alto, les grands workshop sont là bas… Il nous appartient d’être disponible pour ce marché comme pour le marché français.
Pour un développement que je pensais devoir faire dans les 6 mois, une fois le POC atteint, ça chamboule 2 ou 3 trucs.
La facilitation a quand même de beaux jours devant elle en France et nous allons donc certainement finir avec un site bilingue.
Défis?
Le premier sera de passer l’ensemble du site en anglais de manière harmonieuse.
Le second sera de paramétrer l’ensemble du shop avec des liens amazon US et Fr pour que cela reste profitable pour tous le monde.
Enfin, le plus gros: garder une navigation cool pour l’utilisateur malgré la double plateforme…
Qu’en pensez-vous?
A bientôt
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Cadenasser notre plateforme ?
Bonjour à tous,
Comme je vous le disais dernièrement, nous sommes vraiment partagés sur la question du login de nos utilisateurs sur The DTS (nom de code du projet). Pourtant, il semble essentiel de s’en préoccuper.
Les limites de notre dispositif
La première vente nous a apporté 3€ de revenus et aussi un premier constat : nous n’avons aucune visibilité sur ce qui est commandé via notre plateforme. En effet, le temps que la vente soit visible sur l’interface du programme d’affiliation, nous sommes dans le flou pendant au moins 48h et ça, c’est nul !
Nous avons détecté plusieurs endroits où notre dispositif va nous créer des préoccupations. Nous utilisons le plugin Woozone pour gérer notre shop. C’est une bonne manière de profiter de l’API d’Amazon et de conserver notre design. Par contre, il y a des limites :
L’API d’Amazon ne nous dit pas ce que l’utilisateur commande,
L’API d’Amazon ne nous dit pas qui est l’utilisateur et n’est pas prêt de le faire si l’on en croit les dev du plugin que nous avons questionné.
Les conséquences
Les conséquences de ces limites sont assez ennuyeuses, la plus horrible étant le dialogue suivant (vécu) «X : J’ai commandé sur ta boutique ! » moi « Ha oui ? » X :  « … »
En dehors du fait que ça fait mauvais genre, en plus,on ne peut agir pour développer un semblant de Service Client: un mail ou un tweet de remerciement par exemple…
Outre ce premier problème, nous sommes en plus confrontés à une seconde conséquence de notre structuration : nous n’avons pas accès aux infos de l’utilisateur lorsqu’il passe commande. Non seulement nous ne voyons pas les paniers mais en plus nous ne voyons pas qui commande et Amazon semble motivé à ce que ça reste ainsi ! Nous empêchant de créer notre propre vivier de mails et donc d’améliorer notre service.
Solutions?
Nous étions présents à un meetup sur le growth hacking organisé par Pfactory, un accélérateur d’entreprises basé à Marseille et avec Oussama Ammar en orateur. Ce dernier semble très tranché sur la question: il est essentiel de savoir qui est sur ton site, donc autant les logger direct en mode “Capitaine Train”. Cela permettra au moins de savoir qui vient sur le site. 
En contrepoint, on pensait avoir une partie assez ouverte et une autre plus fermée, changer à ce niveau de développement du projet est simple, c’est juste sur la vision que nous avions qu’il faut s’accorder…
Autre possibilité, créer une étape de login avant de pouvoir consulter certaines parties du blog et le panier par exemple… 
Au final, nous allons surtout nous concentrer sur la construction d'un produit et d'une communauté qui suivra notre blog et autre et nous verrons cela plus tard, surtout que nous avons un autre détail de taille à examiner, vous en saurez plus dans le prochaine article. 
Bonne journée.
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Il y a une première fois à tout!
Bonjour à tous, 
Mardi et mercredi furent de bonnes journées pour le projet. 
Notre premier tuto/test est prêt à être mis en ligne dans les jours qui viennent, mais encore plus important, l'un d'entre vous a été suffisamment séduit par le projet pour devenir notre premier client sur The Design Thinking Shop! 
Première vente
Nous sommes heureux d'annoncer cela, car même si le montant reste inférieur à notre investissement, cette première vente est appréciable ! Il nous appartient dorénavant de pérenniser l'élan, de maintenir l'effort, bref de faire en sorte que la plateforme tienne sur ses pattes, soit agréable et utile pour nos utilisateurs et tout et tout ... 
Nous avons encore des réglages à faire mais la plus grosse feature à installer ou non sur notre site est cette histoire de login. On aimerait vraiment savoir qui achète, pouvoir les contacter et tout mais ça flinguerait la fluidité de la navigation qui est déjà discutable à cause de la homepage provisoire. Bref, on va devoir bosser ce weekend ! 
Bien entendu, c'est aussi parce que vous allez rapidement devenir impliqué que la plateforme survivra. Pour ce faire nous allons, dans les semaines qui viennent, lancer un appel à contribution selon les modalités exposées dans cet article. 
Puisque que nous parlons des partenaires... 
Notre premier partenaire
Parmi les coups de fils passés pour présenter le projet, l'un des interrogés nous a encouragé à continuer l'effort, surtout qu'ils avaient eu une idée similaire mais n'avaient pu la porter plus loin faute de temps. En méga bon partenaire, il a donc décidé de s'associer au projet et de nous proposer un premier article pour le blog ! Il arrivera dans quelques jours, ce sera aussi l'occasion de découvrir cette entreprise qui possède une éthique et une qualité de travail que j'estime beaucoup en tant que coach! 
Bref, on a de quoi se satisfaire, à nous de transformer l'essai maintenant !
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Parcours utilisateur
Bonjour à tous, 
dans le cadre de notre projet "The Design Thinking Shop", nous avons un vrai questionnement autour du parcours utilisateur. Nous avons 2 scénarios qui semblent tous deux intéressants et pourtant incompatibles. 
Un blog en avant: 
Le cas premier est de mettre en avant le blog et les contenus, la boutique serait donc un support du discours tenu dans le blog. C'est le pitch de base et notre envie première, proposer à nos visiteurs des articles exposants les qualités des différents produits que nous proposons avec éventuellement des idées ou exemples d'utilisation. Cependant, si le blog prend trop le pas sur la boutique, notre taux de transformation sera ridicule, ce qui n'est pas vraiment l'objectif de tout çà ! 
Une boutique en avant: 
Le second cas est l'exact opposé de mettre la boutique en avant et le blog en support. On deviendrait donc un simple marchand du web avec un blog, youpi ! On va éviter cela, ça tuerait toute l'originalité du projet...
 La voie du milieu est de faire ce que nous avons mis en place, une page de présentation de la plateforme et la boutique et le blog à égalités. Sauf que là, c'est carrément l'ergo du site qui prend un coup : on atterri sur une page qui ventile sur d'autres mais qui ne contient pas d'information essentielles (une méthode ou un produit par exemple). Donc l'utilisateur doit naviguer dans le site avant d'arriver là où il veut... Sauf que plus un utilisateur navigue, plus il a de possibilités de sortir du site... 
Voici ce que nous allons faire
On va garder le site dans cette disposition pendant encore quelques temps avant de passer le blog en front, quand on aura quelques articles en ligne. La page qui est pour le moment la page d'accueil deviendra la page de présentation du projet. Nous devrons donc trouver une manière de bien intégrer la boutique au sein des articles pour favoriser l'achat. Encore un item de plus dans la to-do list! 
A suivre! 
A bientôt. 
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All access pass
Bonjour à tous, 
Avec la présentation du projet, nous avions aussi envie de vous présenter ce qui fera tourner la boutique. Comme ni l'un ni l'autre sommes des gens du web, nous avons opté pour un wordpress avec comme modification principale, un plugin woocommerce spécialement pensé pour l'affiliation. C'est d'ailleurs ce dernier qui fait grossir notre budget de 32$ ! L'avantage c'est que nous pouvons importer des produits et que chacun aura sa fiche individuelle avec toujours la même forme. 
La plateforme est visible ici : www.thedesignthinkingshop.com et nous vous encourageons à la visiter régulièrement pour y acheter vos objets dédiés à la créativité mais également pour apprendre à comment vous en servir! 
Quelques questions restent. 
Nous avons fait un choix basé sur nos moyens, aussi bien techniques que financiers pour créer ce site. Reste que, même si nous ne sommes que des intermédiaires, nous aimerions savoir qui sont nos utilisateurs et pour le moment, nous n'avons pas encore trouvé de solution acceptable. Si nous demandons un login pour passer commande, c'est contreproductif puisqu'Amazon en demande un en fin de parcours utilisateur. Si nous n'en demandons pas, comment faire pour bien connaitre nos utilisateurs et le solliciter pour faire évoluer la plateforme selon leurs besoins, voire pour les faire évoluer d'utilisateurs à ambassadeurs et partenaires ? 
Ensuite, vient la question des contenus que nous voulons créer. Est-ce que nous partons d’emblée sur un site bilingue ou est-ce qu'on démarre en français puis on fera du bilingue dans quelques temps ? 
Enfin, vient la question de la navigation. Pour le moment, l'accès au site fait atterrir sur une landing page qui va vous permettre de découvrir le projet et le site et naviguer grâce au menu du haut.  Est-ce bien désirable ? Vaudrait-il mieux un beau blog roll en page d'accueil ou alors carrément la boutique et le blog en annexe ? 
Bref, nous allons continuer à bosser là-dessus. 
En attendant vous pouvez suivre le projet sur Twitter: @designthinkshop et sur facebook 
Bonne journée, 
A bientôt.
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Partenaires particuliers
Bonjour à tous, 
Hier nous avons évoqué certains aspects des partenariats que nous souhaitions créer. Je vais entrer un peu dans le détail dans cet article. 
Nous croyons en nos partenaires
A l'heure actuelle, nous avons déjà 3 partenaires qui se révéleront dans les semaines qui viennent. Ces 3 partenaires font partie de nos réseaux professionnels et nous avons eu juste à les appeler pour leur faire rejoindre l'aventure. Nous avons préféré contacter 3 partenaires et les recruter que d'envoyer des mails en masse et d'avoir des partenaires que nous regretterons par la suite. 
Nos partenaires vont devenir des prescripteurs de notre plateforme. Ils nous diront ce qu'il manque selon eux, écrirons certains articles et peut-être auront leur propre label sur notre site, vous comprenez donc que nous soyons assez sélectifs sur ce point. (envoyez-nous un mail quand même si vous êtes intéressés, on se fera un skype pour voir si ça colle). 
Un "label" pour nos partenaires
Nous souhaitons pousser l'idée de curation et de recommandation très loin et c'est pour ça que nous avons décidé de lancer en même temps que la boutique une série de logos qui seront à l'image de nos partenaires avec la mention "recommandé par...". 
Ces pastilles seront visibles sur les fiches des articles, ce seront aussi des tags sur ces derniers permettant de voir l'ensemble des recommandations d'un partenaire. 
Ce label possède deux atouts : 
il permet à nos partenaires une visibilité et pour ceux qui seraient indépendants, un branding personnel. 
il responsabilise nos partenaires car en accolant leur nom à un article, c'est aussi leur professionnalisme qui s'y accole. Cela nous évitera donc les tests à moitié faits et les tutos mal ficelés (ou du moins, on espère). 
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Source: latamponneuse.fr
Une communauté en création
Enfin, en associant nos partenaires et les membres actifs de notre communauté, nous espérons créer un site ressource (à plusieurs titres) qui sera aussi le hub de la communauté du Design Thinking en France et, pourquoi pas, dans le monde d'ici quelques temps. 
Voilà pour notre projet en lui même! 
La semaine prochaine nous allons vous présenter le site et ses composants.
Bonne journée. 
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Do you know GAFA?
Hier, je vous parlais de notre BMC. Que vous soyez fans ou non de ce dernier, il s'agit d'un cadre de réflexion, rien d'autre. Comme tout cadre de réflexion, il va évoluer dans les jours, semaines et mois qui viennent. 
L'une des choses qui risque de moins évoluer, c'est le contexte de l'exercice. Arès tout, nous allons nous développer sur le net, un écosystème où les acteurs majeurs sont bien connus Google Apple Facebook et Amazon: GAFA. 
Le poisson pilote
Drôle de bestiole que le poisson pilote! Il profite de la vague créée par les gros poissons pour se mouvoir. Nous ne sommes pas si différents. Les nouveaux usages définis par le GAFA sont clairement une vague qui nous fait nous mouvoir à un rythme que nous ne contrôlons pas toujours. Il suffit de voir commet Google joue avec les nerfs des spécialistes du SEO en changeant d’algorithme ou comment Facebook fait pleurer des dizaines de Community Managers chaque jour en manipulant les règles de visibilité des pages.  
Bref, nous comptons bien profiter du choix et de la sécurité offerts par Amazon tout en profitant un max de Facebook et Google pour notre développement (pour Apple, on verra quand on peu...) 
Comment? 
Tout d'abord, notre projet même est fondé sur le service d'affiliation Amazon, cependant, contrairement à d'autres, nous recherchons un juste milieu entre recommandation pointue et grande diversité de choix pour nos visiteurs. Nous comptons profiter des choix, de la sécurité et de la logistique d'Amazon tout en faisant de la curation de qualité. 
C'est d'ailleurs cette curation de qualité et l'ensemble de notre politique rédactionnelle qui va nous permettre d'utiliser au mieux Google et Facebook. Dans un premier nous allons publier de manière régulière des articles sur le blog, ces articles qui seront de notre plume ou non seront l'occasion de partager des savoir-faire et des tests d'outils, méthodo ou physiques. Ça ne fait jamais de mal au référencement de créer du contenu qui soit qualifié pour notre besoin...
Ce qui sera encore plus cool, ce sera pendant la phase 2 du blog, ce seront nos partenaires et clients qui auront l'occasion d'y écrire et de tester certains objets (envoyés par la boutique bien entendu). En mettant à l'honneur nos partenaires et clients, nous comptons leur offrir une visibilité nouvelle et nous appuyer sur leurs réseaux. 
Bien entendu, nos partenaires seront des gens géniaux qui partageront les articles de notre plateforme, sur Facebook par exemple... Offrant ainsi une possibilité d'attraction supplémentaire vers notre boutique, notre blog, le tout via des canaux de navigation qualifiés pour les mots clés qui nous intéressent, favorisant ainsi le référencement du site. 
Bref, nous ne comptons pas sur une viralité qui tomberait des nues comme je peux souvent l'entendre lors de pitch. Nous créons une communauté qui récompense ses membres les plus actifs et qui se pérennise grâce à cela. 
Demain nous verrons la  politique d'approche que nous avons envers nos partenaires. 
Bonne journée! 
(Si tu aimes ce blog, partage-le) 
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Un petit BMC pour la route?
Bonjour à tous, 
Comme promis, voici un article qui va passer en revue les détails du Business Model de notre projet. Pour faciliter les choses, je l'ai mis sous forme de jpeg pour que chacun puisse l'agrandir s'il le souhaite. 
Quels problèmes nous souhaitons attaquer   
·         La difficulté qu'ont les professionnels du domaine à trouver des outils adaptés à leurs pratiques.
·         L'absence de communauté autour de ces pratiques 
·         Pérenniser le dispositif
Pour l'instant, niveau alternatives, on a la méthode essai/erreur, coûteuse en temps et en efficacité, Amazon, qui offre trop de choix et le fait d'aller en papeterie qui sera peut-être plus efficace mais aussi plus coûteux et moins spécialisé.
 Solution envisagée
Face à ces données, nous proposons une solution à 3 axes : 
·         Faire recommander tous les outils de travail (fournitures mais aussi livres, box dédiées, jeux...) par des professionnels.
·         Valoriser la communauté qui fera cette recommandation
·         Etre commissionné aux ventes de la plateforme et développer au plus vite le dropshipping de certains objets.  
 Key metrics
Là il est question de ce qui permet de mesurer notre action et son efficacité. Nous partons sur les basiques : 
·         Fréquentation du site
·         Taux de transformation 
·         Panier moyen
Notre but est de voir avec les analytics quels sont nos canaux les plus rentables, les moins rentables (notamment, allons-nous vraiment claquer du budget dans le l'adword tout le temps?). Cela permettra aussi de mettre en place la valorisation de notre communauté sur d'autres critères que leur envie ou leur temps disponible. 
Notre Proposition 
J’ai horreur de cette case, elle est censée nous permettre de décrire notre projet en une phrase mais elle est vraiment complexe, tout comme le high concept pitch dont je suis très modérément fan sur ce coup! 
Comme vous avez eu le pitch lundi, je vous fais grâce de ce passage. 
Notre avantage
Roseline comme moi nous connaissons plusieurs acteurs du milieu du design thinking, de la facilitation et du team building. Avec notre réseau, notre connaissance des outils et notre capacité à sortir le site et à le maintenir en vie, nous faisons partie de ceux qui peuvent porter ce projet (mais nous ne sommes certainement pas les seuls). 
Nos canaux d'acquisition client
Les réseaux sociaux, le référencement naturel, les adwords (à voir comme on le dit depuis le début)  et surtout la recommandation de pair à pair, je vous expliquerai dans un prochain article comment on compte s'occuper de ça en particulier. 
Nos clients
En premier lieu les facilitateurs puis les animateurs de sessions de design thinking, les prestataires en Team Building et les étudiants en design. Si on devait faire un vœu, on demanderait un facilitateur super branché web pour participer à la communauté et recommander la plateforme et qui ferait un panier moyen de 150€/visite. 
On veut aussi bien un autoradio, la voiture qui va autour et suffisamment de billets d'avions pour visiter le monde entier... (Pardon j'ai cru que c'était le moment « liste au père noël »). Je crois difficilement que nous allons taper là nous comptons taper niveau clientèle. Du coup décider d'un profil idéal m'ennuie, par contre effectivement, nous aimerions un panier moyen de 150€-200€.
Coûts et revenus
On a déjà bien parlé des coûts et revenus, j'ai sorti 2 versions des coûts selon que nous décidons de garde la boutique en side project (on profite de ce que ça génère mais on n'est pas focalisés sur les résultats) ou en Muse business (qui est censé nous permettre de vivre en mode "semaine de 4 heures"). Comme l'a souligné Romuald, que je salue ici (j'espère qu'il continue à lire ces articles malgré le côté racoleur et putassier du blog...), ces coûts ne tiennent en aucun cas des investissements initiaux du type ordi, logiciels de création graphique, vêtements... Par contre les deux calculs tiennent compte des rétributions possibles. 
Voilà notre projet plus en détail, je pense vous présenter la plateforme web en elle-même très bientôt, genre la semaine prochaine. Demain, nous allons parler GAFA ! 
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Et le business model là-dedans?
Bonjour à tous, 
Quand on pitch une idée de startup comme ce fut mon cas hier, la question qui suit en général c’est “comment tu gagnes de l’argent ?”. Du coup j’y réponds direct et on passe à autre chose :-).
En un mot AFFILIATION, on touche une commission sur des ventes. Notre boutique sera une boutique Amazon. Cela signifie que nous aurons la possibilité de choisir nos articles parmi le catalogue Amazon, cela veut aussi dire que nous avons la sécurité de paiement et les moyens logistiques d’Amazon. Pas mal pour une boite à 100€ non ?
Rien n’est gratuit…
Bien entendu, la contrepartie d’un tel dispositif est qu’il va nous falloir beaucoup de trafic et de vente pour rentrer dans la partie de l’affiliation qui est intéressante. En effet, au-dessus d’un certain seuil de vente Amazon passe votre commission de 5 à 10 voire 15% du prix de l’article, à nous de rentrer dans cette catégorie là le plus vite possible. 
Si on était en Startup Weekend, là je vous parlerais Business model canevas, mais bon, on va garder ça pour demain, histoire de le voir en détail.
  …mais rien n’est désespéré
Même s’il nous faut du trafic, nous pouvons compter sur certains points forts que je développerai demain, en attendant, voyons les coûts de ce business model. Comme nous vivons de nos professions respectives avec ma compagne, nous n’envisageons pas de nous payer, sauf CA de malade (mais on va rester dans le monde réel et laisser les bisounours où ils sont).
28€ / an d’hébergement du site internet de coût fixe. 
S’ajoutent certainement des adwords, mais nous ne savons pas encore combien ils vont nous coûter (on a des idées de mots clés mais même avec leurs prix, il nous faudra voir combien de clics nous allons avoir sur ces mots… difficile de le prévoir).
Bref pour le moment, il nous faut vendre pour environ 3000€ de marchandise pour rembourser nos 60€ déjà dépensés. Sans Adwords, pour survivre et ne pas nous coûter autre chose que du temps, nous devrions générer pour environ 1000€ de ventes par an. Sachant qu’un paquet de notes adhésives de marque post-it coûte environ 5 ou 6 euros, il nous faut en vendre 200/an, sachant qu’un facilitateur en utilise 0,5 par session minimum… Comme dirait l’autre, ça peut le faire ! 
Pour que ça devienne intéressant et qu’on couvre les adwords, en supposant qu’on en fasse tous les mois pour environ 100€, cela nous demande donc de générer 1228€/an de commission soit un peu moins 20000€ de ventes, là déjà c’est plus pareil ! (et pour ceux qui se posent la question, ça fait 2819 paquets de post-it, oui j’ai fait ce calcul rien que pour vous ! ).
Reste qu'il faut éventuellement compter sur un point particulier qui est "et si je faisais cette entreprise pour en vivre ? " Là, clairement, ça en fait des post-it ! On vise immédiatement plus dans les 20000€/mois de vente pendant quelques mois, le temps de dépasser le palier qui nous feras être commissionnés à 9%. Ensuite, avec le même CA, nous pourrions avoir environ 1200€ de "salaire" avec derrière un financement des adwords et de l'hébergement. 
Bien entendu, nous n’avons aucune certitudes autour de ces fameux adwords, notamment car nous avons quelques avantages qui pourrons certainement nous aider, nous verrons cela demain avec le BMC (Business Model Canevas, suivez un peu…).
Nous verrons dans les jours qui viennent que notre stratégie de développement risque de nous demander encore plus de ventes que ce qui est prévu, mais avec un bon potentiel de retour sur investissement. 
Bonne journée. 
William
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Le pitch!
Bonjour à tous, 
Vous avez été plusieurs à me reprocher un certain flou dans mes 2 articles précédents. C'est tout simplement que je souhaitais consacrer un billet, même court, à la présentation de l'entreprise. 
Notre startup est une boutique en ligne qui se propose de faire gagner du temps aux professionnels du design thinking, de la facilitation graphique et du team building en sélectionnant pour eux les produits adaptés à leur usage. 
Ces trois activités parmi d'autre ont l'habitude de détourner des objets de leur usage premier, malheureusement, parfois l'objet ne correspond pas au besoin et c'est là qu'on se retrouve avec un post-it qui ne colle pas, avec un feutre qui perce la feuille du paperboard en plein mind mapping... Bref qu'on est ennuyé par le mauvais outil au mauvais moment ! 
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Traduction: "Less Shopping Time More creativity"
C'est la baseline (non définitive) de notre site pour le moment. Vous l'aurez compris, ce sera une boutique en ligne. Cependant, à la différence de nombreuses boutiques, le choix d'article sera basé sur un critère essentiel: la viabilité du produit pour l'activité demandée. 
Une note adhésive qui colle 15 minutes conviendra parfaitement pour laisser un message à un collègue de bureau, par contre hors de question de l'utiliser en design thinking (voire en SCRUM, mais c'est pour plus tard ;-) )
Ce modèle d'entreprise n'est possible qu'à certaines conditions et nous verrons ces dernières demain. 
Bonne journée. 
William
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Quelques précisions
Comme il est assez commun de lancer une entreprise avec des fonds limités voici quelques précisions sur l’exercice et sur le type de business que nous cherchons à lancer.
 Des fonds alloués avec précision !
Sur le budget de 100€ nous avons décidé de répartir les sommes comme suit:  
28€ pour l’hébergement du site pour un an chez Ovh. 
32€ pour un module wordpress dont je parlerais plus tard. 
A cette date, nous comptons investir les 40€ restants en Adwords.En effet, même si l’argent n’est pas une préoccupation majeure, nous comptons lancer cette entreprise avec le moins de fonds possible pour financer ce qui compte vraiment pour nous: des restos, des vacances, des concerts… 
Une marge assez limitée 
C’est en cela que nous sommes vraiment proches de philosophies comme celle de Tim Ferris dans la Semaine de 4 heures et de Chris Guillebeau dans son livre 100€ pour lancer son business. Notre but premier avec ce projet est de financer la survie du projet, de valider son utilité et surtout de ne pas y passer plus de 3 heures/semaine après le lancement. Bien entendu, s’il y a bénéfice, on va pas se priver :-D 
Un premier facteur inconnu 
 Que ce soit l’approche de Tim Ferris ou celle de Chris Guillebeau, il y a une inconnue assez importante autour du potentiel du projet. En effet, là où ils écrivent et vivent dans un contexte étasunien, nous allons évoluer dans un premier temps (on va rien s’interdire hein ? ) dans un contexte français. Je ne vais pas dire que le consommateur français est moins généreux que son cousin des Etats-Unis mais j’ai l’impression qu’il va y avoir une différence très perceptible… Bref, nous verrons bien!  La prochaine fois, je vous pitche l’idée de départ !  
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Bonjour à tous
Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis William, coach en développement personnel qui travaille avec les startups, entreprises et les entrepreneurs. Vous pouvez découvrir mon univers ici. Si je fais un blog séparé de celui hébergé sur mon site, c'est parce que j'ai décidé de me lancer dans une expérimentation assez particulière : je vais monter une startup avec 100€ de budget initial.  En lisant "The 100$ startup" de Chris Guillebau (disponible ici) et en vivant une situation assez irritante en facilitation de réunion produit, j'ai eu une idée : fournir aux spécialistes du design thinking, de la facilitation de réunion et du team building des outils adaptés pour exercer leur métier sans avoir à se baisser toutes les 5 minutes pour ramasser les notes adhésives qui ne cessent de tomber. 
Un risque limité pour une expérience de longue portée
Je suis d'un naturel curieux, genre vraiment curieux et j'ai décidé de lancer cette entreprise en plus de mon activité de coach et de mon bénévolat au sein du Startup Weekend. Pour faire cela, j'ai embarqué avec moi ma compagne, une pro du design thinking et de la création d'ateliers et nous avons décidé de lancer un business à 100€. 
Lors d'un Startup Weekend, avec mon équipe nous avions démontré comment la méthode enseignée lors de cet événement peut être appliquée pour une idée d'entreprise. Le but de cette expérience est de voir jusqu’où nous pouvons aller avec 100€ en poche, un bouquin et la puissance de nos réseau et du web !  Pour suivre cette aventure, plusieurs solutions: me suivre sur Twitter ou s'abonner à ce blog (ou les 2, vous faites comme vous voulez!)  Bonne fin de journée et à très bientôt!  William
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