Aime-moi, me dit-elle
enfonce ton mal en moi profond
tout au fond de mes entrailles
ahuries,
ma rectale fêlure te boit,
mon amour,
gémit-elle…
ouvre mon étroitesse bien profond,
viens tout au fond de mes boyaux, me dit-elle.
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Sweet Mary
dans ta rectale étroitesse
ta douce anale
étroitesse
je jouis…
Le ciel s'ouvre.
Extatique immensité.
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suce-moi maintenant
l'horreur est dans le pouls
suce-moi maintenant
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Younisos
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La nuit des vertèbres
L'angoisse matinale revient me prendre telle une amante, elle me suce, et branle mes boyaux torturés.
Je m’éjacule tout entier et mes viscères ahuris ruissellent effarés sur mon lit déglingué, puis rampent en cuinant sur les murs de ma chambre délabrée.
L'horreur est rien. L'horreur est une fenêtre — le jour qui éclate sur une façade chaulée.
… … …
Et quand l’horreur du matin azuré s’est estompée, il reste l’horreur de respirer — inspirer — atroce — expirer — atroce — ma rate remonte je la crache au bout de la — phrase.
J’écris dératé.
Un flot de viande féminine fait crouler le rythme derrière mes cervicales tordues.
Devant moi l’étendue de plasma et de lymphe calcinés — j’ai brûlé toute ma moelle — je m’apprête à sodomiser post-mortem le corps astral de mes rêves d’ex-humain.
...
Extrait de Poésie trash de Younisos.
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Younisos
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Extrait de Carnage sensitif
#poésie dionysiaque
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Esthétique de la chair
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Extrait de La Lumière d'un sein
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Des bestioles transgéniques crépitent en crachotements déments le long du mur blanc dégorgeant un suc noir mêlé de fiel fluorescent où agonise la grosse truie mutante aux yeux clairs et ronds. Une bouche, une pine, un pilon de poulet, — doux cul rebondi — Une hache ! le bleu du ciel déferlant défèque sur la verbale vacuité pourrissante d'être — cri fendu pâle cuisse douceur qui crisse — la peau satinée hurle sa lueur d'opale aphone —
le chant égorge
le lait diaphane
de la
cuisse.
Extrait de Poésie trash
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Le gros melon jaune aux canines d'acier déchiquette les fesses cryptées d'une star d'Instacrap.
Les méta-godes dernier cri empalent du fion à la bouche en propageant des ondes de jouissance binaire ultra-froide et aphone.
Une énorme betterave digitale aux allures de queer psychopathe chante d'une voix tranchante qui transperce la peau diaphane du ciel carmin.
Empalée à cheval sur son méta-gode X119, Julie a les gros seins qui irradient. Elle jouit en silence et une lumière bleu givré gicle de sa bouche bée.
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