À celle que jʼaime
Sois-tu mon île perdue
où je déferle, je m'abîme.
Sois-tu comme un sillage de l'oubli,
de plus en plus vagues,
à travers l'horizon bleu pâle,
à travers la peau endommagée ;
sois-tu comme une parole morte.
Alors la vie s'étiole et s'éteint ;
viens vers ta mort gonflé de suffisance !
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