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#yeux bandés
petitmonsieur1 · 4 months
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Tactile Tour à La Rochelle
Le “Tactile Tour” de l’Association Valentin Haüy s’invite à La Rochelle du 3 février au 1er mars 2023 à la Médiathèque Michel Crépeau. Tactile Tour Valentin Haüy © Tous droits réservés “Tactile Tour“, une exposition à toucher. L’accès à la culture et à l’art pour les personnes aveugles ou malvoyantes est au cœur des actions de l’association Valentin Haüy depuis sa création il y a 130 ans. De…
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borgien · 2 months
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debout, attaché, bras levés, yeux bandés, demeurer ainsi un long moment, suffisamment pour que la notion du temps s’efface, pour que toutes sortes d’idées me traversent l’esprit me laissant dans un sentiment étrange où se mêlent craintes et désirs exacerbés, exaltés...
puis, la sentir se coller à moi, sentir dans mon dos nu ses seins au travers d’une fine étoffe caressante, sentir ses doigts effleurer ma peau, attiser mon désir, sentir ses ongles griffer légèrement ma chair, sentir son souffle éveiller mon derme...
puis, sa main se glisse dans mon boxer, chemine sous mes couilles, les soupèse, les serre légèrement, remonte sur mon sexe à demi bandé, découvre le gland, doigts le caressant, sa main remontant vers mes narines, se glisse entre mes lèvres, elle chuchotant : « goûte, goûte à ton sexe... »
puis, sa main se glisse à nouveau dans mon boxer, chemine entre mes fesses, caresse mon anneau culier, un doigts s’y faufilant, sa main remonte vers mes narines, se glisse entre mes lèvres, elle chuchotant : « goûte, goûte à ton cul... »
puis, se détachant de moi, moi attentif au moindre de ses gestes, voulant connaître ce qui m’attend...
des lanières de cuir dans lesquelles je reconnais un martinet, glissent sur ma peau, caressent mon dos, mes seins, elle se rapprochant et chuchotant : « je vais laisser des marques partout sur ta peau pour que tu saches à qui tu appartiens, je ne m'arrêterai pas jusqu'à ce que tu sanglotes ou que tu me supplies d’arrêter, ce n'est qu'à ce moment-là que je passerai doucement mes lèvres et mes doigts sur ces marques. . .
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jloisse · 3 months
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DES IMAGES HORRIBLES.
🔴L'armée génocidaire 🇮🇱 a bandé les yeux d'un Palestinien en Cisjordanie et l'a laissé partir puis ils l’abattent d’une balle en pleine tête.
Des meurtres gratuits.
Ces gens ont-ils une quelconque morale ? Des monstres.
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voluxpa · 2 months
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-- ORCUS -- dieu du néant;  figure nébuleuse, il est le gardien du néant, là où les âmes englouties par Challys errent, oubliées. représenté les cheveux très long, les yeux bandés, visage impassible, vêtu d'une toge blanche. animal totem : la méduse.
crédit icons : LUX, crédit idée : GAZAL. nb; ce dieu est une invention sortie d'une imagination fertile et incroyable. je ne peux que vous encourager à zieuter ses pl sur le serment de l'encre que je vous joins en commentaires.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 107
Mes clients ont été ravis de l'augmentation des possibilités. Quand je leur ai annoncé que je disposais de deux nouveaux poulains dont un très disponible, ce qui me permettait de tripler les passages chez eux, ils m'ont tous assuré qu'ils étaient preneurs (je savais que l'argent ne leur manquait pas mais ça va finir par leur faire un sacré budget !).
Xavier est le premier à les tester. D'abord c'est devenu un ami, et puis je sais qu'il sera doux et ses 26 x 6,5 feront un bon essai.
Il arrive à se dégager un créneau en début d'après midi du lundi. Je lui amène Jimmy. Il nous reçoit en flottant Adidas. Sa musculature fait forte impression sur Jimmy et la barre qui tend le tissu synthétique lui fait rouler les yeux. Je n'ai pas besoin de lui dire quoi faire, il est déjà à genoux en train de sucer le gland détrempant le short. Je fais la bise à Xavier et lui présente son téteur. Je le déshabille. Quand il est obligé de se décoller du gland pour que je fasse passer son t-shirt, Xavier en profite pour se mettre nu. C'est un sacré beau mec ! Sa queue bien bandée retrouve le chemin de la bouche de mon vorace poulain. Xavier me félicite d'avoir trouvé ce ptit beur et me demande comment est le deuxième. Alors que Jimmy continue sa pipe, je décris Ed. Xavier m'interrompt, il n'a pas beaucoup de temps. Il nous entraine vers la table de salle à manger et place Jimmy en travers sur le dos.
Là, il est dans la bonne position pour tester les capacités de la gorge de Jimmy. Il pousse, pousse et je vois le cou de Jimmy gonfler sous la pression interne. Quand il ressort, Xavier est surpris de la sensation de facilité avec laquelle il s'est enfoncé jusqu'aux couilles. Je lui dis que ce ptit mec est d'une souplesse insoupçonnée. Il me répond qu'il va tester cela.
Nous allons à sa mini salle de muscu. Sur le banc de développé couché, il le place sur le dos et ramène ses jambes par-dessus sa tête (j'ai déjà fait, on peut presque le plier en deux) et les bloques avec une barre chargée à 90 Kg. Ça a relevé le cul de Jimmy. Xavier enjambe le banc et kpoté, graissé, pousse sur l'anus ainsi présenté. Plusieurs fois il fait entrer et sortir son gland. Il me dit que son anus est un vrai délice et qu'il se referme bien sous la couronne à chaque fois. Puis il se rappelle que son temps est compté et la fois d'après il le pénètre complètement, lentement mais totalement. Je regarde fixement l'anneau de Jimmy. Il s'ouvre bien sous la poussée de Xavier. Ce dernier demande à Jimmy si ça va. Après la réponse positive, il pousse dedans ses derniers cm les plus épais.
Je lui demande ses impressions. Il me dit que ce ptit beur est vraiment exceptionnel, que son cul est encore meilleur que celui de Jean. Il le bourre quelques minutes avant de changer de position. Il le dégage en soulevant la barre sur ses taquets du haut et sans déculer, il le soulève dans ses bras et se couche sur le tapis. Là il demande à Jimmy de faire son boulot. Je vois alors mon ptit beur placer ses mains en appui sur les pecs volumineux de Xavier et un genou de chaque coté de ses hanches, il a entamé une " promenade " planté sur sa queue. Fort des leçons d'Ed, il a commencé doucement, au pas. Puis rapidement il a adopté le rythme du trot et pour achever sa monture, il est passé au galop. Ce qui est bien avec les mecs ttbm c'est qu'avec le petit gabarit de Jimmy, même les cuisses droites, le gland ne quittait pas la douce chaleur de son boyau.
Il a mené la cavalcade jusqu'à ce que Xavier le bloque en position plein le cul de sa grosse bite. De lui-même Jimmy s'est écarté les fesses pour prendre les quelques mm de bite restant. Sous lui, Xavier déchargeait en arquant son corps, soulevant notre poids plume. Quand Jimmy s'est relevé, il a laisse apparaitre la bite de Xavier noyée dans un volume de sperme impressionnant. Xavier c'est relevé et m'a remercié de lui avoir fait la primeur de Jimmy. Quand je lui ai dit qu'il aurait aussi celle d'Ed, il m'a dit que j'étais vraiment un super pote.
Pendant que Jimmy était sous la douche, il m'a donné mon enveloppe et me disant qu'il avait un plus pour avoir été le premier des clients. Rapidement je jetais un oeil, +50% c'est princier !
Nous sommes partis le laissant dans l'attente de mon deuxième poulain.
Arrivés à la maison, alors qu'il descendait de la moto, je le bloquais plié contre la selle. D'une main je lui ai dégrafé le pantalon et de l'autre j'ai glissé sur ses fesses et testé son anus. C'est vraiment un phénomène, son anneau était déjà bien refermé et je devais pousser fort pour y faire passer mon doigt.
Avec de telles dispositions physiques, il était destiné à la baise !
Sur semaine, comme il est tout seul dans l'appart, Marc a décidé qu'il prendrait ses repas avec nous. Sinon le WE, il restera avec Samir et Ammed. Au diner, Jimmy est tout fier de raconter sa première passe avec Xavier. Marc le félicite en lui disant que tous les mecs ne sont pas capables de satisfaire de telles bites. Il me demande qui est prévu le lendemain. Je lui dis que c'est repos jusqu'à vendredi. Il faut y aller doucement quand même. Mac me dit alors que Jimmy sera pour nous entre temps, ça me va bien.
Le mardi, quand Jimmy rentre du taf, il est 14h. Je dois partir à la banque faire le point avec le père de Ric et prendre mes ;cours de mise à niveau " escort-boy ".
Je lui donne un peu de travail pour améliorer son style (quand il aura quelques années de plus et que je ne pourrais plus l'utiliser, il faudra bien qu'il se reconvertisse et comme homme de confiance / services / chauffeur et divers activités sexuelles,je devrai sans difficultés trouver un mec pour l'employer / utiliser / baiser.
Avec le père de Ric, je fais mes comptes. Je fais aussi un prévisionnel pour l'année à venir (obligation pour ma nouvelle structure de travail). Entre celui-ci et mes revenus annexes, je vais développer un joli chiffre d'affaire qui, avec les frais réduits que j'ai (même en payant Samir et Ammed sur mon compte) devrait me laisser un revenu plus que correct. Je lui explique mon besoin en connaissances financières. Il me garde trois heures à m'expliquer les rouages de la finance internationale. J'en ressors la tête farcie, mais si j'arrive à en ressortir le tiers, je n'aurais pas l'air trop nul ! Il me demande qui il y aura à la soirée. Quand je lui dis, il siffle que je vais côtoyer du très beau monde ! je lui dis que c'est pour cela qu'il me faut un minimum de connaissances en finance. Il me dit surtout que ce qu'il me faut ce sont des infos sur les participants. Je lui demande s'il en a sur l'associé d'Emma. Il me confie quelques renseignements sur les modalités de son ascension que seul une dizaine de personnes savent mais dont personne ne sait que lui les connait. Il me dit que cela pourra me servir s'il me prend de trop haut !
Mercredi : C'est au tour d'Ed de faire son entrée dans le monde du sexe. Je passe le chercher dès 14h, il est seul son frère est au sport. Je lui demande s'il est prêt, lavage du cul etc. il me dit que oui, je l'emmène donc directement chez Xavier.
Coup de sonnette, il nous ouvre la porte dans la même tenue que lundi, mais il ne bande pas encore. Il nous fait entrer dans le salon, se place dans le canapé et me demande de faire déshabiller Ed. Je transmets l'ordre. Ed se livre à un strip-tease très correct vu que je ne l'ai pas encore entrainé là-dessus. Quand il est à poil, Xavier bande comme un taureau. Il lui demande de tourner et me félicite pour ma deuxième recrue. Je lui dis qu'Ed est à lui. Il se lève. Son sexe dépasse par la cuisse droite. Il pose ses mains sur les épaules d'Ed et appui dessus. Ed a compris et se met à genoux, le gland gonflé de sang est à la hauteur de sa bouche. Il avance la tête lentement et pose ses lèvres dessus. Je vois sa langue sortir et venir lécher la peau tendue. Sa timidité s'envole aussitôt et il ouvre la buche pour téter le gland et le bout de la verge qui dépasse du tissu.
Xavier se recule pour baisser son short. Sa queue majestueuse se redresse et je vois les yeux d'Ed s'ouvrir grands comme des soucoupes. Il se jette dessus et reprend sa pipe. A genoux devant Xavier, il ne peut en prendre plus de la moitié en bouche. Ce dernier apprécie malgré tout. Pour pouvoir en rentrer plus, il le couche sur la table basse, aligne sa gorge avec sa bouche en poussant sa tête en arrière et lui remet sa queue en bouche. Il s'enfonce bien plus loin, même si il n'arrive pas à tout entrer. Ed tousse un peu sous la pression du gland de Xavier qui lui envahi la gorge. Mais comme un bon petit soldat, il avale et essaye de nouveau. Je précise à Xavier qu'Ed est moins " naturel " que Jimmy et qu'il va falloir lui préparer le cul. Il me dit de le faire pendant qu'il approfondit sa pipe.
Je me place de l'autre coté de la table basse et mes doigts plein de graisse, je commence à travailler l'anus d'Ed. Très vite j'arrive à placer trois doigts que je fais tourner. Je prends le tube de graisse et après lui avoir entrer le bout dans le cul, appui dessus pour projeter plus profondément le lubrifiant.
Xavier me propose d'enculer Ed. Je refuse, pour cette après midi, Ed est son jouet et à lui seul. Xavier insiste en me disant que ça lui fera le passage. Devant tant d'insistance, je me plie au désir du client ! je me mets nu. Xavier qui ne m'a pas vu nu depuis le nouvel an, me trouve plus musclé. Je le remercie, un tel compliment venant de lui (qui est super bien foutu) c'est agréable. En attendant j'enfile Ed qui prend mes 20x5 sans sourciller. Xavier s'étonne que je le monte à cru. Je lui explique alors qu'ayant organisé son dépucelage il n'y a pas longtemps, je nous réservais à moi et Marc son utilisation en nokpote.
Il me dit que nous étions veinards qu'il aimerait bien ça un jour. Je lui dis que ce serait difficile avec une pute !, trop de risques pour lui et sa femme ! En attendant je lime bien le cul d'Ed. Ce dernier gémit. Je me retire et déclare la place faite. Comme Xavier tourne pour me remplacer, j'ouvre le flacon de poppers sous le nez d'Ed. C'est amusant l'effet que ça a sur lui. Il chauffe et son cul s'ouvre, ça s'est comme tout le monde, mais il devient surtout une vraie petite salope. Il réclame de la bite, de se faire enculer grave. Il bouge son cul affamé en attente de la queue qui va le calmer. Xavier pose son gland sur l'oignon d'Ed et c'est ce dernier qui se l'enfonce tout seul en reculant. A son rythme, son cul avale la méga bite de Xavier. Sans arrêt, il pousse et recule jusqu'à l'avoir entière dans son cul. Il relève un peu la tête et je vois quelques larmes de travail couler sur ses joues. Je lui demande si ça va. Il me dit que ça le dilate méchant mais que c'est bon ! Xavier y va cool quand même mais il apprécie ce nouveau jeune cul. Je me branle devant le spectacle et quand je les entend monter en pression, je jute sur le torse d'Ed. ce dernier ajoute son sperme au mien et Xavier à juste le temps de déculer et d'ôter sa kpote qu'il déverse sa contribution. J'utilise le short de Xavier pour éponger et éviter la flaque au sol. Je prends ma douche en premier et cède la place à Ed. Pendant ce temps là, Xavier me donne mon enveloppe spéciale nouveauté. Il me demande si il pourra encore faire appel à Jean pour des parties à 4 avec moi et sa meuf. Je n'y avais pas pensé quand j'ai discuté le nouveau " contrat " de Jean. Je lui dis que cela risque d'être difficile. Il me dit alors que je dois assumer. Assumer ? Qu'est ce à dire ?? Il me dit que si nous ne sommes plus que trois, ça veut dire encore plus dans mon petit trou de sa grosse bite ! J'aime ça mais quand même !! Il me dit alors que ce sera sans réduction de tarif, ça motive !
Je reconduis Ed chez lui. Avant de le quitter, je lui demande comment il a trouvé l'après midi. Il me dit très instructive puis, après un petit temps de réflexion, très bonne, il a pris un plaisir intense. Ouf !! Par contre je n'y coupe pas et dois faire un tour de moto pour le ptit frère, Ed me le demande pour avoir la paix. Il s'équipe du casque de son frère et ce dernier lui explique le comportement qu'il doit avoir sur la selle. J'enfourche ma Ducat et il monte derrière moi. Je le sens se coller à mon dos et ses bras serrer ma taille. Je démarre doucement. Quelques virages cools pour vérifier qu'il se penche bien dans le même sens que moi et je pousse un peu les tours. Sur une droite déserte je calle la poignée quelques secondes. Il se serre plus contre moi et glisse ses mains sur mon paquet. Je bande illico ! je freine dur en vue du virage et il reste accroché à mon entrejambe pesant de son poids plus la décélération sur mon dos. Je m'arrête un peu plus loin et me tourne vers lui. Je lui crie (faut passer les deux intégraux) que quand je freine il doit poser ses mains sur le réservoir et pousser pour ne pas m'écraser les couilles. Il rigole et me dit que de ce coté là je n'ai pas eu de problème, il faisait coquille et que je bande toujours. Je le traite de ptit vicieux et nous rentrons. Il me demande de rien dire à Ed avant que ce dernier nous rejoigne. Il lui saute au cou en le remerciant de m'avoir prêté ! Prêté, quel ptit con !
Je rentre à la maison tout songeur.
JARDINIER
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Legio Victoris
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jacquesdor-poesie · 9 months
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La peau est le plus beau territoire du vivant... Les yeux fermés, le bout des doigts en éveil, nul besoin de la trouver tendance ou conforme à des modèles. Retrouvée de nuit, de jour, ou avec les yeux bandés,  la peau de l'être aimé, est de l'ordre du miraculeux advenu ;  miraculeuse et touchante consolation...
jacques dor
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lisaalmeida · 9 months
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Nous traversons le présent les yeux bandés. Tout au plus pouvons-nous pressentir et deviner ce que nous sommes en train de vivre. Plus tard seulement, quand est dénoué le bandeau et que nous examinons le passé, nous nous rendons compte de ce que nous avons vécu et nous en comprenons le sens.
Risibles amours,
Milan Kundera.
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waloli22 · 11 months
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@titus6312 un après-midi où, moi Maîtresse Waly, avait rendez vous avec mon soumis...
Quand j'ai penetré dans son appartement je l'ai trouvé là où je lui avais demandé et dans la tenue exigée.
Assis sur une chaise, en face de son lit dans la tenue d'adam...
Après un baiser langoureux marquant mon arrivée je me suis dirigée vers la salle de bain pour faire un petit brin de toilette et enfiler la tenue qu'il m'avait préparée. Bas, porte jarretelle, string bien fendu là où il fallait, haut en dentelle et escarpins noirs brillant. Très excitant...
Je l'ai rejoins, lui ai bandé les yeux et je l'ai chevauché afin de sentir son sexe par l'ouverture que le string laissait à ma chatte déjà humide...
Quand j'ai jugé que sa bite avait atteint un degré de bandage correct, très correct même, je lui ai ordonné d'enfiler sa cage de chasteté. Il n'a eu qu'une parole avant de s'exécuter non sans mal mais s'exécuter " la salope". Je n'ai pas trop compris pourquoi de cette réflexion 🤭.
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domiaddict-pa · 11 months
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Plan cul bareback les yeux bandés
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marie-swriting · 6 months
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Et Si - Jake "Hangman" Seresin
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Masterlist
Résumé : Après avoir eu un accident, Jake veut vivre encore plus dans le moment présent et passer à l'étape au-dessus dans votre relation, mais le veux-tu ?
Warnings : Bradhsaw!Reader (la Reader a deux ans de moins que Rooster), mention d'accident d'avion, mention de morts (parents et meilleure amie), peur de perdre des proches, demande en mariage, angst, fin triste, sous-entendu d'avoir du mal avec sa santé mentale, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 4.9k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Champagne Problems par Taylor Swift
Tu cours dans les couloirs de l’hôpital à la recherche de la chambre 322. Ton anxiété augmente à chacun de tes pas. Ta destination te semble être inatteignable. Tes yeux sont remplis de larmes que tu retiens de toutes tes forces. Toutefois, la seconde où tu passes enfin la porte de la chambre 322, elles coulent sur tes joues. Voir le corps de Jake allongé sur le lit, blessé, ne calme en rien ton stress. En t’entendant rentrer dans la chambre, Jake te fait un grand sourire comme s’il n’avait pas failli mourir la veille. Tu te rapproches de son lit en l’examinant un peu plus en essuyant tes joues. Son bras gauche est mis dans une écharpe, sa tête est bandée et il a plusieurs coupures sur son visage.
-J’ai entendu dire que tu aimais les bad boys, commence Jake avec un sourire prétentieux. C’est assez pour toi ?
-Jake, c’est pas le moment de faire des blagues. Tu aurais pu mourir ! rétorques-tu en t’asseyant sur la chaise à côté de son lit. 
-Et ce n’est pas le cas. Je suis là et bien vivant.
-Et totalement blessé. 
-Le fait est que je suis en vie. Grâce à ton frère, précise-t-il en montrant Bradley du menton.
-Au moins, ça nous prouve qui est le meilleur pilote, blague ton frère.
-Dans tes rêves, Rooster. Je voulais juste tester tes capacités à réagir vite.
-Vous ferez votre concours de coqs après, dis-moi comment tu te sens, quémandes-tu, toujours paniquée.
-Je vais bien. Je ne ressens presque aucune douleur grâce aux médicaments. Y/N, je vais bien, vraiment, t’assure Jake en prenant ta main avec sa main droite. 
-Je vais vous laisser seuls, informe Bradley en serrant ton épaule. Repose-toi, Hangman.
-Je suis désolé de t’avoir inquiété, dit Jake une fois que vous êtes seuls. 
-Crois-moi, à ce stade, ce n’est même plus de l’inquiétude. J’ai vraiment cru… Pendant une seconde, je pensais que…, bégayes-tu, une larme coulant à nouveau sur ta joue.
-Je sais, je suis désolé. Viens là, t’invite-t-il en te faisant une place sur son lit.
-Non, je risque de te faire mal.
-Ce n’est pas grave. 
Avec réticence, tu te rapproches du lit. Tu réfléchis à la façon dont tu peux t’allonger à côté de lui sans le blesser. Jake lève les yeux au ciel avant de tirer vers lui avec son bras valide. Tu te retrouves à ses côtés et tu cales ta tête dans le creux de son cou, inspirant son odeur naturelle et celle de l’hôpital. 
-Ne me refais plus jamais ça. Je ne peux pas te perdre, murmures-tu.
-Tu ne me perdras pas. Je te le promets, affirme Jake en te forçant à le regarder. Je t’aime, Y/N.
-Je t’aime, Jake.
Tu fais un petit sourire puis tu poses délicatement tes lèvres sur celles de Jake. Votre baiser est simple, mais il partage tout l’amour que vous ressentez. 
Le soir venu, tu refuses de quitter Jake. Tu supplies littéralement les infirmières de te laisser rester. Au début, elles insistent pour que tu partes, mais quand tu expliques à quel point tu as eu peur pour ton petit ami et que tu ne peux rester qu’à San Francisco seulement pour deux jours à cause de ton boulot, elles finissent par accepter. Par conséquent, tu es actuellement sur le fauteuil dans le coin de la pièce avec une couverture fine. Jake a insisté pour que tu restes avec lui dans son lit, mais tu n’as pas voulu, clamant que tu risquerais de lui faire mal en dormant. Votre dispute futile a duré une trentaine de minutes et tu as campé sur tes positions jusqu’à la fin. 
Fatigué à cause des médicaments, Jake s’est assoupi en quelques minutes. De ton côté, tu restes éveillée, regardant sa poitrine se soulever au rythme de ses respirations. Tu n’oses pas regarder ailleurs, craignant qu’en détachant tes yeux de lui, il cesse de respirer. Cependant, avec les heures en plus des émotions qui t’ont traversé, Morphée finit par t’envelopper dans ses bras. Au début, ton sommeil est reposant, mais quand tu commences à rêver, ton souffle s'accélère. Tu vois Jake inconscient au sol, tu entends ton propre cri déchirant alors que Bradley te parle d’un accident, tu humes l’odeur de la pluie alors que le cercueil s’enfonce dans le sol, tu touches les larmes sur tes doigts alors que tu essuies tes joues et enfin, tu sens ton cœur qui ne semble plus battre dans ta poitrine. 
Tu te réveilles en sursaut à cette dernière sensation. Tu calmes tes respirations  pendant que tu observes Jake, voulant t’assurer qu’il est toujours en vie dans son lit d’hôpital. N’arrivant pas à voir sa poitrine bouger, tu paniques puis, tu te lèves du fauteuil et accours vers lui. Jake ouvre légèrement la bouche avant de la refermer plusieurs fois et de se repositionner dans le lit. En le voyant bouger, tu pousses un soupir de soulagement. 
Jake va bien. Jake est vivant. Jake n’est pas mort. Jake ne va pas mourir. 
Tu as beau te répéter ces phrases tel un mantra, ton anxiété ne quitte pas ton corps. Les larmes menaçant de couler réellement, tu pars de la chambre discrètement. Heureusement, le couloir est vide de toute présence, t’autorisant à pleurer à chaudes larmes. Tu retiens tes sanglots autant que tu peux. Si tu sanglotais, tu réveillerais sûrement Jake.
Tu as besoin d’un moment pour calmer tes pleurs. Voir Jake blessé à cause de son boulot dans la Navy t’a à ce point bouleversé pour de nombreuses raisons. La première étant que tu aimes Jake et que tu ne veux pas le perdre. La deuxième est des souvenirs enfouis en toi. Ton père est décédé alors que tu n’étais encore qu’un bébé et que Bradley n’avait que deux ans. Tu n’as pas de souvenirs de lui, mais tu sais que sa mort a affecté votre mère à un point inimaginable. La mort de ton père n’est pas le seul décès qui te hante. Tu as aussi perdu ta meilleure amie Lucy. Tu étais amie avec elle depuis tes quatre ans. Vous étiez inséparables jusqu’à ce qu’elle s’engage dans l’armée et décède à vingt ans. 
Recevoir le coup de fil de Bradley concernant Jake t’a donné un aperçu sur ce que ta mère et celle de Lucy ont pu vivre, épreuve que tu as toujours été effrayée d’affronter. 
Quand tu es sûre que tu ne vas pas t'effondrer, tu retournes dans la chambre. Par miracle, Jake ne t’a pas entendu sortir ni rentrer, sûrement à cause des médicaments - en temps normal, il a le sommeil léger. Tu retournes dans le fauteuil et restes éveillée le reste de la nuit, tu ne veux pas être spectatrice d’un autre scénario tragique de ton cerveau. 
Le lendemain, tu restes avec Jake jusqu’à la fin de journée. Tu ne veux pas l’abandonner à l’hôpital mais tes obligations de travail ne te laissent d’autres choix. Bradley te promet de rester aux côtés de Jake jusqu’à ce que sa famille arrive durant le week-end, en plus de t’informer de son état. Tu fais seulement confiance à Bradley, tu sais que Jake risque d’embellir la vérité pour ne pas t’inquiéter. 
En rentrant chez toi, ton appartement te semble terne. Ce qui est censé être ton cocon n’arrive pas à te réconforter alors que dans ta tête, tu te perds dans tes peurs les plus sombres. Le fait que tu sois en plein déménagement n’aide pas. 
Jake et toi avez décidé de vous prendre une petite maison ensemble. Vous devez avoir les clés dans deux semaines, son déploiement devait être normalement fini à ce moment-là. Il y a encore quelques jours en arrière, tu n’avais qu’une hâte, quitter ton appartement et vivre avec l’homme que tu aimes et maintenant, tu ne sais plus. 
Ta relation a toujours été exceptionnelle, pas seulement parce qu’il est un homme bien, mais en plus, car, avant lui, tu ne t’étais jamais autorisée à sortir avec un homme dans l’armée. Tu as toujours connu ta mère comme une coquille à moitié vide à cause de la mort de ton père, tu as toujours voulu te protéger de ce destin funeste et la perte de Lucy n’a rien arrangé. Tu es assez inquiète de perdre ton frère et Maverick, que tu considères comme ton oncle, tu ne voulais pas aussi risquer de perdre ton partenaire. Par conséquent, tu as toujours refusé de tomber amoureuse de ce genre d’homme. Avant, tu y arrivais jusqu’à ce que Jake apparaisse dans ta vie. Comme sa personnalité, son entrée dans ta vie n’a pas été silencieuse. Tu as essayé de résister, mais ton cœur ne t’a pas laissé de choix, alors pour la première fois, tu as enfreint ta propre règle. Ta relation avec Jake est la plus belle que tu aies vécu à ce jour alors tu n’as aucun regret. Tu n’avais aucun regret. Son accident a été une belle piqûre de rappel sur la dangerosité de son métier. 
Jusqu’à ton arrivée chez toi, tu as tenté de faire taire tes angoisses et tes doutes, mais, maintenant, dans ton appartement à moitié vide, tu ne peux plus les garder en bruit de fond. Ce soir-là, tu n’arrives pas à dormir, ton esprit trop occupé à te torturer. 
Malheureusement pour toi, ton esprit ne te laisse pas tranquille une seule seconde. Les jours suivants tu remets en doute toute ta relation avec Jake en imaginant les pires scénarios où il décèderait lors de différents évènements majeurs de votre relation : première maison ensemble, mariage, grossesses, anniversaires en tout genre. La liste n’a pas de fin. Tu n’arrives pas à avoir une pensée optimiste pour te rassurer. Tu te perds complètement dans tes inquiétudes au point où tu finis par vivre tel un robot. Tu te rends malade à imaginer le pire. 
Ta descente aux enfers est interrompue une semaine plus tard par un coup sur ta porte en début de mâtinée. Au début, tu ignores le bruit, restant confortablement dans ton mal être. Toutefois, quand la personne se fait plus insistante, tu finis par te lever de ton lit et à ouvrir à la personne, non sans soupirer d’agacement. Tu t’apprêtes à dire à la personne de partir, mais la présence de Jake te coupe dans ton élan. Il n’était pas censé revenir à San Diego  tout de suite et pourtant, le voilà, en face de toi avec un grand sourire au visage et son bras gauche toujours dans son écharpe et ses blessures commencant à s’effacer. 
-Jake ? Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu dois encore te reposer !
-Je sais, mais je voulais te voir et je ne pouvais pas attendre alors j’ai pris le train de nuit à la dernière minute. Je peux entrer ? demande Jake et tu le laisses entrer, toujours sous le choc.
-Pourquoi tu ne m’as pas appelé ? J’aurais pu m’arranger pour venir un week-end. 
-Je voulais te faire une surprise. Tu vas bien ? Tu m’as l’air patraque, observe-t-il en caressant ta joue. 
-Je devrais te demander ça, tu es celui qui a failli mourir il y a un peu plus d’une semaine, réponds-tu en prenant sa main dans la tienne.
-Je vais mieux, Y/N. Même Bradley te l’a dit. La convalescence va être longue, mais je vais m’en remettre. 
-Je le croirai quand je le verrai. 
-J’adore quand tu fais la maman poule. C’est adorable, dit-il en t’embrassant la joue et te faisant lâcher un petit rire.
-T’es con. Allons au salon, invites-tu en commençant à marcher. Tu veux quelque chose à boire ?
-Non. Je veux surtout te parler, t’informe Jake alors que tu t'assoies sur ton canapé et il reste debout.
-De quoi ? 
Tu fronces les sourcils quand Jake t’empêche de t'asseoir sur le canapé. Il caresse doucement ta main avant de prendre une profonde inspiration. 
-Ecoute, tu sais que j’essaye toujours d’apprécier le présent, mais cet accident m’a vraiment fait prendre conscience d’à quel point que ce qu’on a, là actuellement, est précieux. Je ne veux pas perdre de secondes, je veux profiter de chaque instant avec toi. Il y a quelque chose que je voulais te dire depuis un moment, mais je n’arrêtais pas de me dire que c’était peut-être tôt donc je l’ai toujours repoussé puis, j’en ai parlé à ma mère à l’hôpital et elle m’a convaincu de me jeter à l’eau.
-Jake, de quoi tu veux parler ? questionnes-tu, le stress montant dans ton ventre. 
-Y/N, reprend Jake en te regardant dans les yeux, dès l’instant où je t’ai vue, j’ai su que tu étais la femme faite pour moi. Je savais que ça valait le coup de me battre, même si au début, tu ne faisais pas attention à moi. Tu es la femme la plus intelligente, drôle, attentionnée et belle que je connais. On va bientôt avoir notre maison ensemble et j’ai hâte qu’on passe à cette étape, mais j’adorerais qu’on en passe une autre, confesse-t-il en posant un genou à terre et tu ouvres les yeux en grand.
-Jake.
-Y/N, me ferais-tu l’honneur d’être ma femme ? 
-Qu-Quoi ? bégayes-tu et Jake rigole nerveusement. 
-Veux-tu m’épouser ?
-Tu es sérieux ? questionnes-tu en lâchant sa main.
-Euh, oui, j’ai même la bague, précise-t-il en sortant le-dit bijou, mais j’hésite à dire que c’est une blague, là, tu me rends nerveux. 
-Je suis juste surprise. Je ne sais pas quoi dire, te défends-tu.
Tes yeux sont fixés sur la bague de Jake. Tu l’as déjà vu. Il te l’avait montré quand tu avais rencontré ses parents il y a un an plus tôt. C’est la bague de son arrière-grand-mère. Elle est simple, mais ça n’empêche que tu la trouve magnifique. 
-C’est simple, dis oui ou non, réplique Jake avec un sourire nerveux. 
-Jake, ça fait à peine deux ans qu’on est en couple, argumentes-tu et Jake se relève.
-On n’a pas besoin de se marier l’année prochaine. Nos fiançailles peuvent être longues. On peut attendre avant de s’appeler mari et femme, mais je dois admettre que j’adorerais au moins t’appeler ma fiancée.
-Jake, je ne peux pas, finis-tu par lâcher.
-Quoi, t’as un premier mari dans le grenier ? rigole Jake et tu vois la panique dans ses yeux.
-Non, je ne peux juste pas t’épouser. 
Ta phrase sonne comme une sentence dans les oreilles de Jake. Il reste silencieux, te regardant sans comprendre ce qu’il se passe. Il reprend ses esprits quand son téléphone sonne dans sa poche. Jake sait que c’est sa mère. Elle savait qu’il allait te demander en mariage aujourd’hui et elle est impatiente à l’idée de t’appeler sa belle-fille. Mais, on dirait que ça ne sera pas le cas. Jake ouvre plusieurs fois la bouche avant de réussir à articuler : 
-Quoi ? Pourquoi ?
-Je… je ne peux pas.
-Mais je t’aime, on s’aime. Tu m’aimes, n’est-ce pas ? demande-t-il, incertain.
-Bien sûr que je t’aime, Jake, plus que je n’ai jamais aimé avant, assures-tu, le faisant froncer les sourcils.
-Alors, quel est le problème ?
-Je ne veux pas t’épouser. 
Si ton premier refus lui semblait déjà horrible, la phrase que tu viens de prononcer est le coup de grâce. Le fait que tu ne veuilles pas l’épouser lui brise le cœur. Il est perdu. C’était censé être un moment heureux et pourtant, le sol s’effondre sous ses pieds. 
-Quoi ? Il s’est passé quelque chose ? J’ai fait quelque chose ? Je… Je croyais que tout allait bien entre nous.
-C’est le cas.
-Y/N, tu dois arrêter d’être floue, je comprends rien, rétorque-t-il d’un ton fort. Qu’est-ce qui se passe ? 
-Tu devrais partir.
-Non, on doit en parler. Tu peux pas me dire que tu m’aimes puis me dire que tu ne veux pas m’épouser. Parle-moi, Y/N, tu dois me parler. Donne-moi au moins une raison.
-Tu ne comprendrais pas, réponds-tu, simplement en évitant son regard.
-Si tu m’expliquais, peut-être que je pourrais comprendre. Est-ce… est-ce que tu veux rompre ? C’est pour ça que tu ne m’as presque pas appelé ces derniers temps ? questionne-t-il, cherchant désespérément une explication à ton comportement.
-J’ai juste beaucoup réfléchi et je pense que c’est mieux si on s’arrête là. Je suis désolée, Jake, mais je ne peux pas continuer à être avec toi. Tu trouveras quelqu’un avec qui tu pourras vraiment faire ta vie et qui voudra t’épouser.
-Je veux que ça soit toi, dit-il d’un ton faible, les larmes aux yeux.
-Jake, s’il te plait. 
-Très bien, finit par accepter Jake en te lançant un regard blessé.
Jake fait demi-tour et, au rythme de ses pas, ton cœur se brise en le regardant se diriger vers la porte. Tu l’as supplié de partir et pourtant, tu as envie de lui crier de revenir vers toi et de le prendre dans tes bras en te confondant en excuses. Toutefois, tu restes silencieuse. Jake ne jette même pas un coup d'œil en arrière en refermant la porte. 
Une fois seule, tu t’effondres sur ton canapé. Dans ta tête, tu te convaincs que c’est la meilleure décision. Après tout, tu devrais te sentir soulagée, maintenant, tu n’as plus à t’inquiéter de perdre Jake à cause de son travail. Néanmoins, ton esprit n’est pas plus calme. Tu ne sais toujours plus où donner de la tête, mais pour des raisons différentes. Tu aimerais que ça soit différent, que ça soit plus simple, qu’il fasse un autre métier, que tu n’aies pas peur. Tu passes ta nuit à pleurer tout en enlevant toute trace de Jake dans ton appartement et en défaisant quelques cartons. Tu dois tourner la page tout de suite avant de te perdre encore plus.
Tu n’as pas reparlé à Jake depuis trois semaines. Il a essayé de te contacter par téléphone, mais tu as ignoré chacun de ses appels. Il voulait d’abord essayer de réparer votre relation avant de comprendre que c’était trop tard, cependant, il veut des explications, explications que tu gardes pour toi. Tu ne veux rien lui dire car tu sais que c’est ridicule. Pourquoi terminer une relation sur un potentiel “et si” alors que tout va bien ? Toutefois, tu sais également que si tu étais allée plus loin avec Jake, tu aurais fini par saboter votre couple. Techniquement, c’est ce que tu viens de faire, mais au moins, vous n’avez pas eu à faire à des avocats pour partir de sa vie. 
Bradley a également essayé de te téléphoner et tout comme Jake, tu l’as ignoré. Jake lui a sûrement parlé de votre rupture et Bradley, l’homme honorable qu’il est, va vouloir régler la situation. Sauf que la situation ne peut pas être réglée. Tu ne veux pas régler la situation.
En rentrant du travail ce jour-là, tu es surprise de découvrir ton frère au pas de ta porte. Sans réfléchir, tu cours dans ses bras. Certes, tu l’as ignoré ces derniers temps, mais il t’a manqué. La dernière fois que vous vous êtes vus, tu étais trop concentrée sur Jake pour faire attention à lui. Il te serre dans ses bras et caresse ton dos. Quand vous vous séparez, tu fais rentrer Bradley chez toi. Vous vous rendez dans ta cuisine tout en parlant de banalités. En marchant, Bradley fait attention à ton appartement et remarque qu’il n’y a plus aucune photo avec Jake. Une fois installés à ta table, vous restez silencieux, attendant qui évoquera le fameux sujet en premier. 
-On devrait parler du sujet tabou, tu ne crois pas ? finit par dire Bradley après quelques minutes.
-Il n’y a rien à dire, rétorques-tu, tendue.
-Y/N, tu as balancé une relation de deux ans par la fenêtre sans aucune raison.
-J’ai mes raisons.
-Lesquels ? Jake est sûrement curieux de les connaître.
-Si tu es venu pour arranger les choses, tu perds ton temps, Brad’. 
-Tu ne peux pas agir comme ça sans rendre des comptes. Tu étais heureuse avec Jake, tu l’aimes et tu as rompu sans prévenir. Je t’avoue quand il m’a dit que tu avais refusé sa demande en mariage, j’ai été surpris. Je pensais que tu allais dire oui sans hésiter.
-Tu savais ?
-Il m’a demandé avant de venir. Je t’avoue que je lui ai ri au nez, je m’attendais pas à ce qu’il demande ta main ou qu’il me prévienne, comme il m’a dit, informe Bradley avec un sourire en repensant au souvenir. Tout se passait bien entre vous, non ? Alors, pourquoi ? 
-C’est mieux comme ça. Il aura une femme qui saura rester avec lui et je ne souffrirai pas.
-Attends, ne me dis pas que c’est à cause des parents et de Lucy, tout ça ? questionne-t-il en comprenant la raison. Tu es encore avec cette stupide règle sur les hommes de l’armée ? Je croyais qu’on en avait fini avec ça ! Y/N, tu ne peux pas ruiner ta vie parce que tu as peur.
-Je ne veux pas finir comme maman ! Tu ne peux pas m’en vouloir ! On était jeunes, mais tu ne peux pas nier qu’il y avait un avant et un après avec maman. Elle ne riait plus de la même façon, ne souriait plus de la même façon. Elle était l’ombre d’elle-même. Je ne veux pas vivre la même situation si Jake devait y rester, confesses-tu.
-C’est à cause de son accident, c’est ça ? 
-Ça m’a rappelé qu’il pouvait mourir à n’importe quel moment. 
-Tout comme il peut mourir quand il est en repos. Il peut avoir un accident de voiture, faire un arrêt cardiaque, s’étouffer en mangeant. Tu ne sais pas de quoi l’avenir sera fait. Tu ne peux pas te condamner car tu as peur qu’il puisse mourir en vol. C’est ridicule, affirme Bradley, fermement.
-J’ai déjà peur de te perdre, toi et Mav’ et j’ai déjà perdu Lucy et on a perdu papa, je ne veux pas que Jake rejoigne cette liste. Tu peux vraiment m’en vouloir ? Je préfère me protéger en n’étant pas effrayée à chaque fois que mon petit ami part au boulot.
-Imaginons que le pire devait arriver, tu ne voudrais pas te dire que tu as profité un maximum de lui ? Tu préfères vivre avec regrets ? Tu préfères briser ton propre cœur ?
-Au moins, je sais pourquoi j’ai mal.
-Y/N, tu dois y réfléchir à nouveau, soupire-t-il. Tu dois te sortir de ta tête que le pire va se produire. Tu ne peux pas t’empêcher d’être heureuse à cause de ce qui pourrait se passer. Tu mérites d’avoir une belle vie et d’être avec Jake. Je ne t’avais jamais vu aussi heureuse avant et ça me tue de voir que tu jettes tout par la fenêtre parce que tu te fais peur à toi-même.
-Le problème c’est que c’est plus fort que moi, commences-tu, les lèvres tremblantes. J’arrêtais pas d’y penser au début de ma relation puis, j’ai réussi à me calmer, mais depuis son accident, c’est pire. Depuis ton coup de fil, je ne fais que d’imaginer ce qui aurait pu se passer et ce qui pourrait se passer et j’en suis fatiguée Bradley. Je n’arriverai jamais à m’en débarrasser et je déteste ça, mais c’est comme ça. Crois-moi, si je pouvais changer, je le ferais tout de suite, mais je peux pas. 
Bradley te prend rapidement dans ses bras en te voyant pleurer. Il te tient contre lui jusqu’à ce que tes pleurs cessent plusieurs heures plus tard. Il a mal au cœur en te voyant souffrir à ce point. Il sait que tu as toujours été la plus affectée par la mort de votre père. Étant la plus jeune, le vide que tu ressens le concernant est plus fort. Et tout s’est empiré avec le décès de ta meilleure amie Lucy. Ce jour-là, Bradley t’avait vraiment vu brisée. Il avait détesté chaque seconde de ce moment de ta vie. Il déteste te voir souffrir comme tu souffres actuellement. À de nombreuses reprises, Bradley a essayé de t’aider, il t’a conseillé d’aller parler à un professionnel, mais tu as toujours refusé. Jusqu’à présent, il espérait que tes angoisses s’atténueraient avec le temps, toutefois, ta relation avec Jake vient de lui prouver que ça s’est empiré et il ne sait pas quoi faire. Il est complètement désemparé alors il continue à te serrer contre lui, espérant t’apporter un minimum de réconfort. 
Deux mois se sont écoulés depuis votre séparation. Tu prends chaque jour comme il vient pour guérir de ta peine de cœur. Bradley essaye de rester avec toi autant qu’il peut tandis que Jake ne s’est entouré de personne. Il a préféré mettre un masque et prétendre que ta réponse négative ne le fait pas souffrir. Toutefois, à la seconde où il est seul chez lui, son masque tombe et il s’autorise à ressentir toute sa douleur. Jake, habitué depuis toujours, arrive à berner tout le monde avec son faux sourire prétentieux. Presque tout le monde. Coyote voit sous ses apparences. 
Ce soir-là ne fait pas exception. Assis au comptoir du Hard Deck, Jake boit son troisième verre d’alcool. Jake a fini par s’isoler du reste du Dagger Squad en disant qu’il était fatigué et préférait être seul. Cependant, Javy ne le laisse pas broyer du noir. Il s’installe sur le tabouret à côté de Jake et commande une bière à Penny. Coyote laisse encore quelques minutes de répit à son ami avant de prendre la parole : 
-Tu veux en parler ?
Coyote n’a même pas besoin de préciser pour que Jake comprenne. Votre relation est un sujet tabou depuis deux mois. 
-Pas vraiment, répond Jake en prenant une gorgée. 
-Tu devrais, réplique-t-il alors que Penny lui donne sa bière. Tu sais au moins pourquoi elle a pris cette décision ?
Jake n’a avoué à personne les raisons de votre rupture. Il se sent assez humilié par ton refus violent à sa demande en mariage. Il veut enterrer cette fin de relation et ne jamais en parler. Cependant, Javy a raison, Jake sait qu’il doit s’ouvrir aux autres.
-Rooster lui a parlé. Il s’avère qu’elle ne veut pas m’épouser car elle a peur que je meurs en travaillant. 
-Ton accident lui a fait une si grande frayeur ? questionne Javy, étonné.
-Ça a été la goutte de trop, mais elle en a toujours eu peur apparemment. Enfin, je m’en doutais, vu notre travail, c’est logique. Et puis, elle a déjà perdu son père et sa meilleure amie dans des circonstances similaires. Le problème c’est que j’ignorais à quel point ces décès l’avaient affectée. Bref, il n’y a rien à dire de plus.
Coyote ne dit rien pendant un moment, assimilant les informations et la façon dont Jake a dû se sentir en les apprenant. 
-Eh bien, elle aurait été une jolie mariée. C’est dommage qu’elle soit foutue mentalement, dit-il, ignorant quoi dire d’autre.
-Elle a déjà souffert et elle ne veut plus revivre cette douleur, on ne peut pas la blâmer. Je ne dis pas qu’elle devrait rester dans ses angoisses, ce n’est pas sain, mais je comprends pourquoi c’est le cas, déclare Jake avant de prendre une profonde inspiration et de finir son verre cul sec. J’aurais juste aimé qu’elle ait plus confiance en notre histoire plutôt qu’en ses peurs.
En rentrant chez lui, Jake s’installe sur son canapé en soupirant fortement. Il passe sa main sur son visage, fatigué émotionnellement. Quand sa main tombe sur sa cuisse, ses yeux se posent sur une photo accrochée à côté de la télé qu’il n’a pas eu le courage d’enlever. C’est une image que vous avez prise au début de votre relation, plus précisément le jour où vous vous êtes dit “je t’aime” pour la première fois. 
Vous aviez passé la journée à la plage un jour d’été. Le soleil était en train de se coucher alors que vous rigoliez à une phrase stupide que Jake avait dit. Il avait arrêté de rigoler avant toi, t’admirant pendant que tu essayais de calmer tes rires. Ensuite, Jake avait plongé ses yeux dans les tiens puis, il avait dit ces trois mots simples et pourtant, si puissants. Tu lui avais répondu à la seconde suivante avec un grand sourire. Avant de quitter la plage, Jake avait demandé à immortaliser ce moment. En y repensant, c’était cliché et niais, mais Jake s’en fichait. Pour toi, il aurait fait les gestes les plus clichés si ça pouvait te faire sourire.
Jake continue de détailler la photo des yeux, votre relation repassant comme un film dans sa tête. Sans s’en rendre compte, des larmes lui montent aux yeux avant de couler sur ses joues. C’est la troisième fois qu’il pleure depuis votre séparation. La première fois était le soir de la demande en mariage après être rentré chez lui et la deuxième, quand Bradley lui a expliqué la raison de ton “non”. 
Jake n’a jamais été doué avec ses émotions. Entre son éducation et son travail dans l’armée, il n’a jamais appris à mettre des mots sur ses maux et à accepter d’être vulnérable. Avec toi, il avait réussi à se comprendre et à s’ouvrir aux autres. C’était encore compliqué malgré vos deux ans de relation, mais il s’était amélioré. Maintenant, il est retourné à la case départ. Il est retourné dans sa coquille, à fuir ses émotions. Cependant, ça ne veut pas dire que son esprit n’est pas hanté par des “et si”. Et s’il n’avait jamais eu cet accident ? Et s’il avait su voir clair dans tes peurs plus tôt ? Et s’il avait réussi à te rassurer ? Et s’il avait réussi à te convaincre d’accepter l’aide dont tu as besoin ? Et si tout avait été différent ?
De ton côté, les questions sont similaires. Chaque soir, tu te tortures l’esprit avant de t’endormir en pleurant et en regardant l’endroit où, autrefois, la photo de votre premier “je t’aime” était accrochée sur le mur de ta chambre avant que tu l’arraches comme tu as arraché vos deux cœurs.
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wittylittle · 6 months
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« Don’t forget to wear the special panties »
Je suis arrivée chez la Licorne américaine un peu après 19h30. Il m’avait demandé d’opter pour un style « short skirt, tee shirt, beautifully slutty kind of innocent look. » J’ai ajouté des bas au genoux, retenus par des porte-jarretelles apparents sous ma jupe d’écolière. Et j’avais apporté un sac avec tous mes jouets préférés.
Il m’a expliqué comment la soirée allait se dérouler. J’allais manger avant que ce ne soit trop froid. Et il allait contrôler la vibration dans ma culotte pendant que je goûtais ce qu’il m’avait préparé.
Mais j’avais mal compris, j’avais oublié que je devais porter la culotte vibrante. Il m’a expliqué que j’allais être punie pour cette omission. Il m’a aussi dit que je serais punie pour mon retard.
Nous allions donc manger, puis je me ferais corriger et ensuite il allait s’assurer que je serais immobile et qu’il pourrait me faire les choses que j’avais trouvé excitantes dans le BDSM checklist.
J’étais donc consentante…
Après le souper il m’a traîné au sous sol et ma demandé de m’installer sur ses genoux. Il a décidé que je méritais 15 bonnes claque sur les fesses.
J’adore me faire spanker. Surtout dans cette position. J’étais déjà très mouillée. Il le fait tellement bien, en me caressant entre chaque coups. Et mes fesses deviennent chaudes et rouges.
Il m’a ensuite bandé les yeux au lit. Je devais me masturber avec mon jouet préféré devant lui pendant qu’il me filmait avec son téléphone.
Puis il a enchaîné. Je ne devais pas bouger pendant qu’il testait des choses sur moi. Des glaçons. Qui finissaient dans ma chatte. De la cire chaude qui sentait le sapin de noël qui coulait sur moi. Des jouets dans ma chatte, sur mon clit. Il filmait ce qu’il voulait pour me le montrer plus tard.
Je ne pouvais toujours pas bouger quand il a décidé de me baiser.
Sérieux c’était très facile. J’adore me laisser faire. Il prenait soin de moi. Je me sentais comme une princesse.
Il me mordait les cuisses, j’ai plein de bleus.
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On a pris une pause. Il m’a dit que si j’étais une bonne fille j’aurais droit à un massage après la 2e séance.
Cette fois je devais me déshabiller devant lui. J’ai retiré ma culotte et je lui ai lancée. « Come here » il me regardait. « What made you think you can throw things at me? »
Ma punition ? 25 coups. Et je devais les compter. Les fesses encore brûlantes, je devais le remercier en m’agenouillant devant lui. J’étais redevenue une good girl.
De retour au lit, il a recommencé son manège. Encore, pas le droit de bouger, des glaçons sur mon corps. Des jouets vigoureux dans ma chatte et ma bouche ouverte pour qu’il puisse se faire plaisir. J’avais la permission de bouger mon cou pour le satisfaire. Je ne pouvais venir que si sa queue était dans ma bouche. C’était le règlement.
Après la séance on a mangé des craquelins, un délicieux cheddar vieilli et des fraises en écoutant un album de Bowie. On s’est embrassés et teasé sur le canapé en se collant. J’ai dormi chez lui.
Brunch, balade, café et hop, la Licorne américaine me demandait si je pouvais le revoir mercredi prochain.
I AM A GOOD GIRL.
Thank you very much indeed.
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borgien · 1 month
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je me tenait devant elle, les yeux bandés, nu, droit, les poignets menottés. Je sentis sa main soupeser mes couilles, tirer sur mes tétons et me claquer les fesses : « Écartes les jambes et penches-toi. ». Elle m’écarta les fesses, une claque douloureuse à l'intérieur de ma cuisse me fit grimacer et je compris instinctivement que je devais écarter davantage mes jambes. Un doigt fouilla mon anus. Puis je sentis un plug l'écarter largement. Je me mordis la lèvre et je gémis. Puis, elle me dit de m’allonger sur le sling, les jambes écartées, sur le dos. Je sentis le bout de ses doigts parcourir ma poitrine et mon ventre. Puis la flagellation a commencé sur mes cuisses et ma poitrine, sur mon sexe, je sentis ma queue malmenée, mes couilles fendues et de l'acier froid se serrer autour de mon sexe. Un dispositif de chasteté, empêchant toute bandaison. Elle s'est assise sur mon visage et m’a demandé de la faire jouir, chevauchant mon visage et écrasant sa chatte sur ma bouche. Quand ma langue ralentissait, elle me fouettait. Le plug fu retiré. J’ai sentis le bout d'un gode posé sur ma chatte, se préparant à le prendre. Elle me lécha l'oreille, les joues et les lèvres. Elle se glissa lentement en moi. Elle fit une pause quand elle fut entièrement en moi : « je vais faire de toi ma salope, ma belle petite salope, si tu savais comme je bande pour toi... ». Puis elle m'a baisé. Je pouvais entendre ses gémissements et ses râles, combien elle aimait faire de moi sa chienne....
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ochoislas · 6 months
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DÍAS PETRIFICADOS
Ciego, con manos temblonas, me burla el son de mis pasos que pasea mi silencio pierdo el rastro de mis días si me espero o me rebaso y siempre me encuentro allí como piedra bajo el cielo.
De noche y con luz del día reo sin prueba ni culpa emparedado en mi espacio en mi sueño me revuelvo como esperanza, abatido, como pesar, inocente.
Finge el hombre sumar años, prisionero de su infancia, luce inmóvil el futuro, lo recordamos de nuevo, tiembla el suelo en mismo punto,
como el mar remonta el tiempo.
*
JOURS PÉTRIFIÉS
Les yeux bandés les mains tremblantes trompé par le bruit de mes pas qui porte partout mon silence perdant la trace de mes jours si j’attends ou me dépasse toujours je me retrouve là comme la pierre sous le ciel.
Par la nuit et par le soleil condamné sans preuve et sans tort aux murs de mon étroit espace je tourne au fond de mon sommeil désolé comme l’espérance innocent comme le remords.
Un homme qui feint de vieillir emprisonné dans son enfance, l’avenir brille au même point, nous nous en souvenons encore, le sol tremble à la même place,
le temps monte comme la mer.
Jean Tardieu
di-versión©ochoislas
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 28
La veille au soir, nous avions tardé à nous coucher discutant de choses et d'autres, affranchissant Seb des pratiques en vigueurs dans notre " groupe " si bien qu'il nous avait fallu porter Ric au lit. La fatigue avait eu raison de sa résistance et comme souvent quand ils restent tous à la maison, il s'est retrouvé dans le lit d'Eric.
Je me suis réveillé il faisait grand jour, Marc allongé contre moi bandait ferme. Je me suis glissé vers le pied du lit et entama la journée par une bonne fellation. Il ne mit pas de temps à se réveiller et j'ai soudain senti ses mains sur ma tête appuyer pour approfondir le propos.
Rapidement je me prenais ma dose de sperme faisant bien attention de ne rien perdre. Alors que je reprenais position à ses cotés, Marc m'excita en me pinçant les tétons, me tirant les couilles et alors qu'il me mettait deux doigts dans l'oignon et que j'allais juter, il me bascula en arrière jusqu'à ce que ma bite se retrouve au dessus de ma bouche. Quelques coups de poignet et je me gavais de mon propre jus. Trop bon !!
Une petite douche plus tard, un jock sur ma bite et ;Marc en short , en descendant à la cuisine, nous sommes passés réveiller Seb. Nous l'avons attendus alors qu'il procédait aux même ablutions que nous précédemment, puis sommes allés lever les deux derniers.
A la porte nous nous sommes rendu compte qu'ils étaient bien réveillé. Les bruits passant au travers ne laissaient aucun doute quand à l'activité se déroulant dans la chambre. Marc a alors poussé la porte et nous avons pu admirer Ric se défoncer le cul en chevauchant les cuisses d'Eric. L'angle de vision du pas de la porte nous découvrait les pieds et jambes d'Eric couché sur le lit et au dessus le cul de Ric faire des montés et descentes sur la batte de base ball noire puis le dos arrondi, les muscles bandés par l'effort.
Les grandes mains d'Eric contrastaient sur les hanches blanches et aidaient aux va et vient. Occupés à atteindre la jouissance, ils n'ont pas remarqué notre présence et comme ils s'éclataient, Eric maintenant Ric enfoncé à fond sur son pieu, nous les avons surpris par nos applaudissements.
5 mn plus tard nous étions tous à la cuisine pour un petit déjeuner/ déjeuner reconstituant. Seb un peu jaloux d'être le seul à n'avoir pas encore baisé, n'arrivait pas à débander. Marc envoya Ric sous la table pour le soulager ce qui fut fait 10 mn plus tard.
Après un café dans le salon et pour certains une mini sieste, Marc a décidé de faire découvrir le " donjon " au nouveau membre du groupe. Sans nous habiller plus, nous avons mis sur nos épaules les grands manteaux de fourrure et l'avons conduit jusqu'à la porte de la grange. Je demandais à Seb de fermer les yeux puis de les rouvrir une fois la porte passée. Dans le noir complet, rien n'est perceptible hormis une odeur puissante de cuir. J'allume les spots groupe par groupe, découvrant petit à petit le domaine de jeux. L'apothéose vient avec l'illumination de la selle spéciale équipé du gode le plus gros que nous ayons.
Durant toute la séance j'ai pu voir les yeux de Seb s'ouvrir comme des soucoupes. Je suivais Marc qui par le bras lui fit faire le tour des " agrès " et arrivant au fond de la salle éclaira la partie sanitaire carrelée de noire.
Seb ne revenait pas de l'installation que nous avions montée. Alors que nous revenions vers les selles, nous avons vu Ric s'installer lentement sur le modèle modifié et vu son anus bien graissé s'ouvrir pour avaler le gland. La couronne de 6cm lui demanda un petit effort et par un fléchissement appuyé sur les étriers, il s'est pris d'un coup un bon tiers du gode.
Eric prenait soin de la rondelle en plein effort en assurant un graissage du pieu synthétique. Seb s'est rapproché afin de mieux voir, il croyait qu'un engin de cette taille servait juste pour la déco et n'imaginait pas un mec s'asseoir dessus.
Ric progressait doucement, son anus s'écartant progressivement, avalant cm par cm la colonne de plastique. Je tendais les bras et lui après lui avoir attrapé les tétons commença à les tordre. Aussitôt nous avons vu sur son visage monter l'excitation d'un degré supplémentaire et alors que ses tétons s'étaient gonflés, une dernière torsion le fit s'asseoir sur la selle avalant les deniers 5 cm les plus large en une fois lui tirant un couinement de salope. J'allais chercher un flacon de poppers dans le frigo, le présenta sous le nez de Ric qui me remercia de la détente que cela lui procurait au cul.
Il se releva jusqu'à déculer et Eric en profita pour ajouter une nouvelle couche de graisse sur le gode. Une nouvelle dose de poppers et il se ré enfila le gode plus rapidement. Marc lui demanda un trot. Prenant appui sur les étrier Ric simula les soubresauts du cheval, glissant sur le gode sur environ 10cm. Quand Marc lui demanda d'aller au galop, le mouvement s'est amplifié et c'est sur plus de 20cm en faisant attention à ce que le gland ne sorte pas que Ric s'est limé le cul.
Tous les 4 autour, nous admirions la prestation. Ce corps imberbe à l'aspect juvénile et à la musculature harmonieuse se défoncer le cul sur un monstre en plastique, c'était presque de l'art ! Seb tout à l ;"excitation de ce qu'il découvrait comme pratique sexuelle, me laissa lui enfoncer 2 puis 3 doigts dans le cul. Je le poussais en travers de la selle d'à coté afin qu'il continu à profiter du spectacle et commença à le pénétrer de mes 20cm graissés. Doucement je sentais ses chaires s'écarter sous l'avancée de mon gland. Bien serré, après avoir fait une petite pause au fond de son cul, lentement, j'ai entamé un va et vient, déculant complètement de temps en temps avant de le réinvestir.
Je me suis retiré quand Eric et Marc ont fait descendre Ric de l'engin de plaisir. Seb, du coup à cru que nous allions lui dire de monter à sa place et pris peur. Je le rassurait en lui disant que même moi je ne m'asseyais pas sur celui là !
Marc m'a appelé pour la double sodomie. Nous nous sommes allongés sur une table basse te étroite mais assez longue pour supporter totalement nos corps allongés tête bèche, collés par nos périnées (table faite sur mesure pour cette position). Eric ordonna alors à Ric de nous enjamber et de s'asseoir sur nos deux bites accolées. Sous les yeux ébahis de Seb, Ric s'est vaillamment pris, avec l'aide de quelques passage de poppers sous le nez, l'ensemble. Eric pris alors la place que j'avais laissé vacante et son dard bien graissé, il se mit à enculer Seb, le plaquant de nouveau en travers de la selle.
Il fallu quand même une bonne dose de poppers pour que son anus accepte la déformation nécessaire à l'intrusion complète du mandrin d'Eric. ; De la où j'étais, je pouvais voir que cela ne l'avait pas fait débander et que sa bite passée sous la selle n'avait jamais été aussi grosse.
Ric commençant à fatiguer des jambes, Marc l'avait attiré sur ses abdos, je me redressais et à partir de ce moment là, c'est moi qui m'activa, massant la bite de Marc calée bien à fond, par mes aller et retour. A coté de nous, Eric se régalait de cul presque neuf de Seb. Ce dernier bien parti, acceptait de mieux en mieux la saillie. Et comme Eric jutait dans sa Kpote en le maintenant enfoncé sur sa bite jusqu'à la garde, je le vis éjaculer sur le sol sans même s'être touché, vaincu par l'excitation procuré par son cul.
De notre coté, quelques instants plus tard, nous unissions nos spermes au fond de Ric quand il se répandait à son tour, sur les abds de Marc. Couchés les uns sur les autres, nous avons repris notre souffle doucement, nos queues débandantes libérant progressivement Ric de notre possession.
Ce n'est qu'un bon 1/4 heure plus tard que nous avons gagné les douches collectives. L'eau bouillante et les savonnages/massages mutuels à défaut d'un jacuzzi, nous ont bien délassé.
De retour à la maison devant un thé bien chaud, après qu'Eric nous ait quitté, Seb demanda l'autorisation à Marc de pouvoir baiser des meufs à l'occasion afin de voir si ce qu'il préférait c'était les mecs seulement ou bien les deux, mecs et meufs !
Marc lui dit que c'était Ok mais qu'il devait impérativement se Kpoter pour que de notre coté nous puissions continuer sans en toute confiance. Comme il nous en faisait la promesse, je lui dis que je le comprenais car c'était même la première chose que j'avais faite après m'être fait dépuceler par Marc. Mais avec le temps, le meufs ne m'intéressent plus sauf la mère de Jean mais là c'est purement intellectuel. Soumettre toute la famille à ma bite, me donne un sentiment de puissance qui flatte mon égo !!
Rompu de fatigue tant musculaire que nerveuse Seb est rentré chez lui alors que je remmenais Ric à son paternel.
JARDINIER
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jloisse · 5 months
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Un terroriste sioniste s'est filmé en train de gifler à plusieurs reprises un Palestinien 🇵🇸 kidnappé, attaché et aux yeux bandés en Cisjordanie, le forçant à chanter en hébreu pour une publication sur TikTok.
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