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lovemouradmahiouz · 11 months
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Béjaïa Décès d'un jeune de Timezrit par noyade (famille Fergani)
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aniselectronic-blog · 6 years
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time lapse sky: une prise de vue magnifique pour le village #ELHED #TI...
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mohandyou · 4 years
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Mort mystérieuse de poissons dans l'Oued Soummam : Alerte à la pollution à Béjaïa
Mort mystérieuse de poissons dans l’Oued Soummam : Alerte à la pollution à Béjaïa
Un désastre similaire s’est produit en septembre 2014 dans le même cours d’eau, dans la région de Sidi Aïch.
Une quantité de poissons morts et rejetés par l’oued Soummam, sur une portion de cette rivière, située à la hauteur de la commune de Timezrit (wilaya de Béjaïa), a été constatée ce week-end par des citoyens de la région qui alertent, à travers les réseaux sociaux, sur une catastrophe…
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mercedesbenzalgeria · 5 years
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صفحتنا تجمع 48 ولاية: عشاق #mercedes_bejaia 😎 في #بجاية 🇩🇿 أين أنتم 🤔 Follow me: @mercedesbenzalgeria . طاgي أعز صديق يستاهل وحدة كيما هاذي متبخلوش #cls63amg 💯✌ #مرسيدس_بجاية . . . . . #adekar #akbou #amizour #aokas #barbacha #bejaia #béjaia #benimaouche #chemini #darguina #elkseur #ighilali #kherrata #ouzellaguen #seddouk #sidiaich #soukeltenine #tazmalt #tichy #timezrit #voiture_bejaia #benz_bejaia (à Bejaïa) https://www.instagram.com/p/B37i-UyHY5n/?igshid=1s8nbm409rwdl
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algeriefocus-blog · 7 years
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Législatives/ Le candidat FFS Ali Laskri chassé par la population à Boumerdès
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Législatives/ Le candidat FFS Ali Laskri chassé par la population à Boumerdès
Ali Laskri, tête de liste FFS à Boumerdès, a du discourir dans une salle vide avant d’être chassé par la population de la commune de Timezrit qui lui a reproché de n’avoir rien fait pour leur région lors de son précédent mandat.    L’ex-premier secrétaire du FFS Ali Laskri a raté sa...
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cieaskell-blog · 8 years
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Jeudi 3 novembre 2016 
Ce matin, j'ai rendez vous avec ma famille. Il est environ onze heures quand mon cousin Tayeb, notre guide et plus encore, m'appelle pour me signaler sa présence. Il m'a proposé d'inviter Emmanuelle et Céline à se joindre à notre excursion. Elles vident les photos des jours précédents. Je les pressent car nous avons un bout de chemin à faire. Elles descendent et me retrouvent en bonne compagnie, à savoir avec notre cher Bilal qui fait partie de la “brigade” et de ma cousine Souad. Nous montons dans le véhicule, en route pour Timezrit, la terre de mes ancêtres. 
Les paysages défilent alors que nous quittons la grande ville de Bejaia. La Wilaya (ville) s'étend sur de nombreux kilomètres. Nous traversons les hautes montagnes de la Kabylie. Les espaces verdoyants contrastent avec la terre rouge et ce ciel bleu. La route que nous empruntons date de l'époque coloniale, et les platanes qui la bordent rappellent nos routes françaises. Daft Punk dans les oreilles j'ai le sentiment grand que nous sommes heureux, ensembles. 
Je vais revoir ma famille rencontrée il y a quatre ans quasiment jour pour jour après un événement funeste. Une forte secousse. Mais la vie n'est pas un long fleuve tranquille, et il faut savoir surfer sur les vagues mon capitaine. A croire qu'il n'y a pas de hasard, mais que des rendez-vous. 
Nous arrivons enfin au village, allons chercher des boissons pour ma famille qui nous attend depuis plusieurs heures. La mine en bas de la maison de mon oncle n'a pas changé. Nous nous approchons de celle-ci et ressentons le souffle glacial qui émane de l'antre de la mine à charbon, fermée il y a de nombreuses années. Construite et exploitée par les Français depuis environ 1835, elle nous fait voyager dans le temps. C'est en suivant les cordages d'acier rouillés qui mènent vers la maison de ma famille que nous découvrons mon oncle qui nous attend. Tayeb et Souad veulent tout de même me montrer le jardin sur la colline où ils jouaient à cache-cache lorsqu'ils étaient enfants.  Tayeb me montre aussi avec fierté et tristesse les restes des meubles en bois construits par son grand-père ébéniste. Ces morceaux de bois polis et travaillés avec soin ont plus de soixante ans. 
Nous entrons dans la maison dont le toit ouvert laisse entrer la lumière chaude. Mes tantes nous embrassent et accueillent chaleureusement Emmanuelle et Céline. Je me dirige vers la chambre au carrelage jaune et vert. Celui-là même qui a vu naitre mon père, il y a 63 ans. 
Nous allons déjeuner. Ce repas est délicieux, préparé avec amour et nous nous régalons. Puis vient un autre temps. Celui d'avant, celui que nous allons prendre pour nous remémorer, pour nous souvenir. 
Mon oncle Mohandidir me montre sur l'ordinateur les photos de mon premier voyage en Algérie. Il me montre aussi l'enterrement de mon grand père qui repose maintenant à quelques kilomètres de leur belle maison, dans un cimetière au sommet d'une montagne. Je découvre des images de mon père qui était venu aux obsèques, quelques mois avant qu'il ne nous quitte lui aussi. 
C'est pleine d'émotions que je rejoins l'équipe sur la terrasse qui domine ces collines sans fin pour prendre le café. Il y a ma famille et une jolie ligne algérienne qui se met soudain à reproduire le passage de la pièce, vu sur scène la veille, des petites cuillères. J'ai le souffle coupé et l'oeil humide mais souriant. Mon oncle revient avec une boite à souvenirs et nous lit des articles publiés il y a près de quarante ans qui racontent la résistance dans les montagnes pendant la guerre. De nombreuses photos nous sont présentées. Bilal me regarde, "elles racontent l'Histoire". 
Nous allons ensuite faire une visite de la maison, découvrons des meubles et un fauteuil en bois dessiné par les mains du grand père de Souad et Tayeb. Avant, on savait faire et prendre soin des choses. Bilal me tend une photo. Il s'agit de mon grand père sur un balcon, le même balcon qui se présente sous mes yeux. Il revenait souvent voir la famille et à finit ces jours là, au pays. 
Ma famille arrive avec des objets et vêtements traditionnels avec lesquels ils m’habillent. Vient le tour d'Emmanuelle qui devient une vraie kabyle, le temps d'un instant. Il y a des sourires et des rires et ça fait du bien. 
Il  y a aussi la trouvaille de cette valise bleue, un peu comme celle de Giovanni, mais avec le nom de mon grand-père Lala Aounit, domicilié rue André Karman à Aubervilliers. Elle est lourde mais se soulève pourtant grâce à une petite corde usée. Nous nous dirigeons ensuite vers la fontaine. Souad a dans les mains des outils pour fabriquer la laine. Nous nous arrêtons un moment après nous être aspergés le visage de l'eau glacée. Nous retournons dans la maison. Les enfants, maintenant de jeunes adolescents sont rentrés de l'école. Mon petit cousin aussi, celui que j'avais connu bébé et qui désormais va tout seul à l'école. Lala à bien grandit. Je leur offre des livres. 
Il est l'heure des les quitter. Je ne sais pas quand je reviendrai, mais je sais que cela viendra et c'est le plus important. 
En bas du chemin qui menait à la maison, nous entrons dans les anciennes douches des français qui se lavaient à l'eau chaude après avoir travaillé dans la mine. 
Nous reprenons la route. C'est d'abord Emmanuelle puis Céline qui nous ramènent à la ville. Les bouchons ne m'avaient pas manqué, mais les Giovannis un peu plus. Nous en croisons certains, sur la route, qui retournent à l'hôtel. 
Nous nous retrouvons autour d'un repas et d'une partie de time up animée. Tayeb me rappelle quelques minutes plus tard et me signale qu'il nous attends à la maison de la culture avec ses platines pour une fête qu'il nous a organisé. Plusieurs Giovannis viennent m'exprimer leur fatigue. Je leur dit qu'ils sont libres et maîtres de leurs choix, mais qu'ils risquent de passer à côté d'un moment de détente, que je pense salvateur. Ils sont à peu près convaincus et après que la “brigade” nous ait escorté, nous arrivons dans une petite salle tamisée ou les DJ nous attendent. Avant de quitter l'hôtel, j'avais invité des membres d'une troupe Algérienne qui logeait deux étages en-dessous à nous rejoindre. Nous dansons, ensemble, et ça fait du bien. Je m'arrête un instant, regarde ces corps animés, aux sourires francs, les mains levées, énergiques. Je suis heureuse de cette belle histoire à raconter. 
Manon Aounit
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lovemouradmahiouz · 11 months
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Béjaïa Décès d'un jeune de Timezrit par noyade (famille Fergani)
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