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#tanguy le clerc
fashionobsessed3 · 3 months
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guilt-and-rod · 1 year
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Tanguy.
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Tanguy Le Clerc by Sasha Olsen
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uulemnts · 1 year
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Tanguy Le Clerc
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akkar2 · 4 months
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Tanguy le Clerc by Sasha Olssen.
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blueskywalkerworld · 8 months
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Tanguy Le Clerc
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reseau-actu · 5 years
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Alors que les jeunes urbains boudent désormais l'examen et se déplacent à vélo ou à trottinette, leurs camarades des champs n'ont toujours pas d'autre choix que le mode de transport de leurs parents: la voiture. Décrocher le papier rose reste pour eux une absolue nécessité.
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Envoyée spéciale à Sézanne
Gilet jaune, papier rose: même constat. À travers l'un ou l'autre, on parle de fracture territoriale. Alors que le mouvement inédit de contestation, qui dure depuis maintenant trois mois, dénonce les inégalités entre les Français obligés de conduire pour aller travailler et les urbains qui peuvent s'en passer, une autre fracture se dessine, autour du permis de conduire. Une France là aussi à deux vitesses, entre les jeunes ruraux qui ont nécessairement besoin de leur sésame pour se déplacer et leurs camarades des villes, qui n'ont pas ce souci.
» LIRE AUSSI - Des pistes pour réformer le permis de conduire
Dans les traces de leurs parents, qui ont chacun une automobile, les premiers veulent ainsi dès 18 ans obtenir le papier rose. Ce passeport pour la liberté leur est nécessaire pour quitter le village reculé dépourvu de bus et de gare, rejoindre par la route l'université ou pour se mettre sur le marché du travail. À côté de ce monde où le permis reste le marqueur d'une vie et le premier signe fort d'émancipation, il y a les autres qui, nichés dans les villes, n'apprennent plus à conduire. Disposant d'une offre de déplacements alternatifs sans précédent et pouvant ainsi facilement se prévaloir d'une démarche «écolo», ils tournent le dos à l'automobile.
«C'est aujourd'hui un luxe de ne pas avoir de voiture, quand hier c'était un luxe d'en posséder une»
Nicolas Louvet, directeur du bureau de recherche 6T
Les DS, les R5, les Golf 1, ou encore les Ford Fiesta, qui ont traversé nos récentes époques, sont aujourd'hui ringardisées et incarnent pour eux «l'ancien monde». Le vélo, la trottinette en «free floating», couplés au métro et au bus, sont le credo de ces hyperurbains qui vivent, travaillent ou étudient sur un même territoire. Pour Nicolas Louvet, directeur du bureau de recherche 6T, qui étudie la mobilité, les valeurs se sont brusquement inversées. «C'est aujourd'hui un luxe de ne pas avoir de voiture, quand hier c'était un luxe d'en posséder une.»
C'est avec intérêt que les chercheurs ont ainsi relevé ce désamour naissant entre jeunes et voiture, apparu dans les années 2000. «Après une hausse permanente des permis, on a constaté à partir de cette période une rupture de cette tendance», indique Sylvie Landriève, directrice de Forum Vies Mobiles, un institut de recherche sur la mobilité, fondé par la SNCF. À Lyon, Grenoble, Paris, où les études ont été menées, la même évolution a été constatée. «Plus on vit dans le centre-ville, moins il y a d'attachement à la voiture», ajoute la responsable. «Dans les hypercentres, elle est même indésirable car il s'agit de la voiture des autres», signale le chercheur Yoann Demoli *. Les banlieusards et leurs cylindrées sont de plus en plus persona non grata…
«Plus on vit dans le centre-ville, moins il y a d'attachement à la voiture»
Sylvie Landriève, directrice de Forum Vies Mobiles
Ainsi, pour Hugo, Parisien de 27 ans, qui, dès sa prime jeunesse, a roulé sa bosse dans le métro et les bus, la voiture est un autre monde. Elle ne lui inspire rien. Ni le bruit du moteur, ni les courbes de la carrosserie, ni même le plaisir d'être derrière un volant ne le font vibrer. «Tout cela m'est totalement égal», dit-il en ne voyant aucun intérêt à passer les épreuves de la conduite. Sous la pression familiale, il s'était toutefois inscrit à 18 ans dans une auto-école. Mais, faute de motivation, il n'a fait qu'une séance de code. Avec 600 euros versés et perdus, ce fut peut-être l'heure de cours la plus chère de France… Aujourd'hui, clerc de commissaire-priseur dans la capitale, Hugo navigue très bien dans cette vie sans papier rose.
Le titre scolaire du pauvre
Quant à Sonia, jeune étudiante qui partage son temps entre Paris et Londres, passer le permis est tout simplement anachronique. «Les voitures vont bientôt conduire pour nous», assène-t-elle, en prononçant un réquisitoire en règle contre ce mode de déplacement: «C'est cher, c'est encombrant et ça pollue.» Avec cette génération, les constructeurs automobiles ont du souci à se faire…
«Bénéficiant de toutes les autres offres pour se déplacer, ces jeunes-là n'ont évidemment pas besoin de voiture dans leur quotidien. Ils s'en passent très bien, quitte à être de véritables boulets durant les vacances!» raconte Nicolas Louvet. Loin de leurs bases urbaines durant ces séjours, ces hyperurbains traquent alors dans leur entourage la personne véhiculée qui deviendra le taxi de service… Hugo, quant à lui, se tourne vers d'autres solutions. Durant les vacances, il fait parfois du stop - «un moment sympa et de partage» - mais préfère marcher, sac au dos: «On change de temporalité et on a ainsi une vision différente du monde.» «Il fait des périples partout en France, dans les endroits les plus reculés et je me dis souvent, cette fois, il va avoir besoin d'une voiture. Eh bien non!» raconte sa mère, épatée.
«La vie d'étudiant coûte de plus en plus cher. Alors on renonce à dépenser pour le permis»
Yoann Demoli
Assumé par les uns, ce choix de vie peut aussi être lié à des contraintes financières pour d'autres. «La vie d'étudiant coûte de plus en plus cher. Alors on renonce à dépenser pour le permis», analyse Yoann Demoli, qui constate cette autre tendance. Au lieu de faire une croix définitive sur le précieux sésame, nombre de jeunes remettent à plus tard l'obtention de l'examen. Ainsi, Hélène, 19 ans, qui a quitté la Picardie pour poursuivre ses études dans la capitale, a bien l'intention d'apprendre à conduire. «Mais c'est un coût supplémentaire et il faut déjà payer l'école de commerce, le logement et se verser de l'argent de poche», dit-elle. Si certains passent aussi plus tard les épreuves, c'est parce qu'ils quittent tardivement le nid familial. Les Tanguy de tout poil en milieu urbain voient encore moins que les autres l'utilité de se servir d'un volant.
Ces jeunes qui rechignent à cet apprentissage sont parfois brusquement obligés de reconsidérer leur position. C'est le cas de Camille qui, pour aller à ses cours de médecine hors de Paris, voit soudain tout l'intérêt d'avoir une voiture. C'est aussi Élodie qui, changeant radicalement de vie, s'est hâtée d'obtenir le papier rose. Habitant la capitale jusqu'alors, elle utilisait les transports en commun même jusqu'à Orly, son lieu de travail. Mais, décidant de rejoindre le monde rural dans la Marne, elle a compris son malheur… Sans voiture, pas de travail et pas d'indépendance. «Mon mari faisait le taxi», raconte-t-elle. Elle a alors poussé la porte d'une auto-école à Sézanne, une commune de 5000 habitants, pour obtenir son permis.
«Mes élèves sont ici très jeunes car ils veulent avoir leur permis dès 17 ans et demi, comme cela est autorisé sous certaines conditions»
Évelyne, responsable d'auto-école
En ce mercredi après-midi, devant les portes de cet établissement, il y a foule. Durant les vacances scolaires, qui ont démarré plus tôt qu'en région parisienne, une grappe de jeunes, pour la plupart des lycéens, attend sagement le démarrage du cours de code. Ici, l'enseignement est traditionnel. À 16 heures, dans une salle aux rideaux tirés et baignant dans une pénombre bleutée, le projecteur est allumé. Les images défilent au rythme des questions ponctuées par le traditionnel «réponse A, réponse B». Une fois la série achevée, Évelyne, la responsable de l'auto-école, fait son entrée pour une séance de débriefing. «Mes élèves sont ici très jeunes car ils veulent avoir leur permis dès 17 ans et demi, comme cela est autorisé sous certaines conditions», dit-elle.
Apprentissage anticipé
La campagne se prête d'ailleurs à merveille à cet apprentissage anticipé. Elle est même le royaume de la conduite accompagnée. Loin du trafic stressant des grandes villes, les parents mettent à profit le temps qu'ils passent sur la route pour former leurs enfants. Dès 15 ans, ces derniers occupent le siège conducteur. Des moments de temps libre au cours desquels le bruit du clignotant berce les heures.
Personne, ici, ne tergiverse pour passer au plus vite les épreuves de la conduite. Car, après le lycée, situé sur la commune, tout se gâte. Les facultés, les écoles sont installées dans les autres villes. Dans cette région où le temps de trajet se compte en minutes passées dans la voiture, la plus proche, Romilly-sur-Seine dans l'Aube, est à 25 minutes de Sézanne. Provins, Épernay sont à 45 minutes et Reims à plus d'une heure. Pour ceux qui veulent se lancer dans la vie active, le permis est tout aussi incontournable. Sur les CV adressés à un employeur ou déposés dans les agences d'intérim, il est parfois le seul examen mentionné. «C'est le titre scolaire du pauvre, mais c'est un vrai argument d'employabilité», note Yoann Demoli.
Pour ceux qui veulent se lancer dans la vie active, le permis est tout aussi incontournable
Comme en ville, ce sont les parents qui le plus souvent offrent ce sésame. «Je l'ai fait pour ma fille aînée et je le fais maintenant pour la cadette, Bérénice», raconte Stéphanie, aide-soignante de 43 ans qui habite Anglure, un village de 900 âmes proche de Sézanne. Tout est déjà programmé pour lancer la jeune Bérénice dans sa future vie d'automobiliste. Dans cette famille, équipée de trois voitures, elle héritera de la Clio qui sert pour la chasse. Elle délaissera alors sa 50 cm3 qu'elle utilise pour faire du baby-sitting ou pour rejoindre les soirées organisées dans les salles des fêtes. D'autres jeunes ne doivent compter que sur eux-mêmes pour faire face à ces frais. Enola, élève au lycée, a travaillé durant un mois, cet été, à la piscine découverte de la ville pour se payer le code. Son amie, Laura, a fait les vendanges. «On est encore dans un pays où la voiture est nécessaire. À ce jour, 81% des ménages en ont besoin», indique Yoann Demoli. Passeport pour la liberté pour cette jeune catégorie de la population en milieu rural, le permis, que le gouvernement voudrait réformer pour le rendre plus accessible, est aussi une libération pour les parents. Ces derniers sont aussi soulagés de ne plus devoir faire le taxi le samedi soir pour récupérer leurs enfants après la fête.
* Auteur, avec Pierre Lannoy, du livre «Sociologie de l'automobile» aux Éditions La Découverte.
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henrycapetthings · 6 years
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Saison 2, épisode 5, VOULEZ VOUS DU FEUE TANTE SIMONE,
Ça commence à bien faire il n’y en a que pour Henry dans ces chroniques. Dieu merci un événement de la vie vient d’arriver. Simone Capet est décédée quelques jours avant noël. Cadeau du ciel. Ça lui remettra peut-être les idées en place. Il l’aimait bien sa tante sans en être vraiment proche, il en garde de bons souvenirs.
Attention! Cette histoire est immorale: Gauloise caporal dans une main, Chimay bleue dans l’autre. Petite, tassée, un peu… pot à tabac, tante Simone avait le rire chaleureux et les yeux pétillants. Henry l’a revu presque par hasard, il y a un an. Dans le fumoir panoramique de sa maison de repos à part les ravages du temps elle n’avait pas beaucoup changé. Le regard amusé : ‘’vous prendrez bien une petite trappiste’’.
En rigolant ils s’étaient remémoré leurs sympathiques disputes passées : alors que dans les années vintage il était, pour la énième fois, question de séparer la Belgique. Henry avait affirmé en regardant Simone droit dans les yeux : ‘’Si c’est comme ça j’irai en Flandre. Je n’ai pas envie de mourir de faim.’’ Soutenant le regard du provocateur elle lui avait répondu : ‘’Eh bien moi je préfère mourir de faim qu’allez en Flandre’’. Clara aussi avait eu du fil à retordre avec cette gauchiste effrontée qui  se vantait, sous les lambris du palet Capet, d’avoir participé à une manifestation contre la fermeture d’une entreprise du genre Cockerill Sambre avec les communistes... ‘’Bravo’’ avait laissé échapper Clara en sourcillant amèrement. Alfred Capet, fan du général de gaulle n’a, sans aucun doute, rien entendu il aimait bien sa cousine par alliance.
Dans les années vintage elle habitait à Bruxelles avec son mari Jules. Après avoir vécu leur aventure dans l’ombre; quand Simone a rencontré ce Jules, il était encore marié à une déséquilibrée psychiatrique et alcoolique. C’est du moins ce qu’il disait. Si les vieux Capet avaient eu vent de cette histoire ça aurait fait un tollé. Le secret avait été bien gardé. Il faut savoir que dans sa petite ville natale, Simone était épiée par des médisants. Elle avait, une fois, eu le malheur de traverser la bourgade accompagnée par un clerc de notaire pour qui elle travaillait… L’affaire n’était pas passée inaperçue, sa voisine, cette ‘’punaise’’ avait fait jaser cette observation dans tout le bled. La mère de Simone lui avait ensuite reproché  de répandre la honte et le déshonneur sur leur famille au combien noble. Était-ce pour cette raison qu’elle avait quitté la petite ville ? Bref la folle colloquée, elle s’était donc mariée avec son Jules. Heureux ensemble… Ils fumaient.
Ils habitaientt à Bruxelles pas très loin de nos Capet qu’ils visitaient régulièrement; ’’en Renault 16 Simone’’ disait Jules avant de partir.  Leur bonheur tabagique avait été interrompu abruptement par une douleur au bras gauche de Jules: infarctus. Il devait arrêter de fumer. Simone s’est arrêtée avec lui par solidarité. Désœuvrés, ils augmentaient leur consommation de Chimay. Un peu plus tard Simone entend un boum qui vient de la cuisine. Elle va voir… Jules gît sur le sol: infarctus massif. Simone se sentait un peu coupable pendant l’enterrement de ne penser qu’à la Gauloise Caporal qu’elle allait enfin pouvoir se griller. Après le drame elle a repris leur projet commun : une maison à la campagne. Elle a fait construire une petite maison préfabriquée ‘’Phenix’’ dans un Béwé lointain presque à côté de chez l’un de ses frères et pas très loin d’un autre. Charmant quand même le bungalow avec ses persiennes ! Elle avait trouvé un boulot administratif à mi-temps dans un garage des environs et avec sa pension de veuve elle se débrouillait. Elle se reconstruisait une nouvelle vie un peu plus près de deux de ses frères. Parfois quand elle ouvrait ses persiennes, elle s’assombrissait. Jules lui manquait mais la Gauloise était là et il fallait aller chercher des Chimay.  Parfois en soif  d’exaltation, elle prenait le train pour Bruxelles pour aller manifester. Mais il y avait un hic dans ce gentil tableau: la femme de son frère. Elle était du genre ‘’qui est sensé vous aimer mais qui vous étouffe et vous arnaque’’. Elle se mêlait de tout et ramenait d’horribles bibelots pour la maison de Simone qu’elle trouvait  vide. Bien que possédant quelqu’ immobiliers construits par ses laborieux aïeux, la belle-sœur était d’une radinerie extrême qui la conduisait à des pratiques douteuses. Exemple : alors qu’elle faisait les courses de Simone avec sa carte de banque elle en profitait pour faire le plein d’essence. Un grand froid allait s’installer entre ces deux dernières pour le plus grand désarroi de l’époux mou, le frère de Simone.
Détail important : la belle-sœur envahissante avait une drôle de manière de regarder les hommes entres quatorze et quarante-cinq ans. Son œil balayait la cible de haut en bas, s’arrêtant ici et là, à croire que c’est elle qui a inventé le scanning. Simone était convaincue qu’elle n’avait même pas inventé l’eau tiède. Lors d’une réunion de famille Tanguy lui avait crié :’’Nymphomane’’. ‘’Tanguy’’ avait chuchoté Elsa ; ‘’Elle ne sait pas ce que ça veut dire’’ avait réagi Simone en haussant les épaules comme Elsa pouvait le faire. C’est à cette réunion aussi que,  allumées par les Chimay, Elsa et sa cousine passaient du rire aux larmes. Elles étaient avant tout amies. Elles en ont partagé des choses… Drôles et beaucoup moins drôles.
Marre de sa belle-sœur marre de ces libéraux du Béwé ; marre des frais et des soucis que sa maison lui cause. Simone déménage, elle loue une maison dans sa petite ville natale. Elle se révèle être une instable immobilière. Elle rachètera une maison un peu plus tard pour la revendre ensuite. Puis elle en a encore jauni quelques autres avant d’arriver dans  cette maison de repos qu’elle avait choisi pour son fumoir panoramique.
Le 21 décembre le téléphone sonne au Palais Capet. Elsa apprend la triste nouvelle. La fumeuse est morte dans son sommeil à l’âge de 88 ans. Elle téléphone à son tour à Henry : ‘’ Elle est morte de sa belle mort, on croit qu’elle n’a pas souffert ça nous soulage’’.  Henry bienveillant, tiens… Féru de psychologie, montre de l’empathie pour sa mère. Il veut l’accompagner dans les premiers pas de son deuil : ‘’Et toi ça doit te faire drôle, comment te sens tu?’’. ‘’Elle n’a pas souffert’’ lui répète Elsa ‘’c’ est un soulagement’’. Après avoir réitéré sa question et reçu la même réponse, Henry se dit: ‘’laisse tomber’’. Parle-t-il chinois? C’est comme si ses mots partaient en fumée.
La tabagique a été crématoriée (elle l’a bien mérité) ce 23 décembre. Paix à ses cendres de Gauloise.
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axellemarseille · 7 years
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Ils sont là … Ce Dimanche 👉🏿 Chloé Schuiten Antoine Boute Tanguy Clerc Clément Thyri !
16h vernissage expositions x 2 • Tanguy Clerc 🤾🏿‍♂️ • Antoine Boute & Chloé Schuiten 🤸🏿‍♀️
18h performances x 2 • Antoine Boute 🏌🏿‍♀️ • Chloé Schuiten & Clément Thyri 🏋🏿‍♀️
🏌🏿‍♀️🤾🏿‍♂️🤽🏿‍♂️🤺🤸🏿‍♀️⛹🏿‍♀️🏊🏾‍♀️🏋🏿‍♀️🏌🏿⛹🏿🤽🏿‍♀️
Dimanche 01.10 dès h.16:00 on vous attend en nombre au vernissage explosif et performances renversantes chez OÙ Galerie Longchamp !!!
Tanguy CLERC, Chloé SCHUITEN, Clément THIRY & Antoine BOUTE
http://www.marseilleexpos.com/blog/2017/01/21/ou-lieu-dexposition-pour-lart-actuel-51/
Expositions • 01 > 14 octobre 2017 OÙ Résidence Méditerranée avec Tanguy Clerc • Présentation des oeuvres sur rdv tous les jours même le dimanche 🖕🏿 Contacts :: Tanguy Clerc - [email protected] Partenariat avec ActOral et avec Didier Larnac Directeur Site le Mans Directeur Adjoint EPCC École supérieure des beaux-arts Tours Angers Le Mans
OÙ Galerie Longchamp & Annexe Rdch & 2e etg 58 rue Jean de Bernardy 13001 Marseille Ouvert du jeudi au samedi de 16h à 19h & sur rdv tous les jours même le dimanche. T : 06 98 89 03 26
✊🏿 !!!
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fashionobsessed3 · 3 months
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