Tumgik
#rampe d’escalier
Text
Articuler nettoyage et désinfection 👉 consensus actuel
✔️ De ce que j’ai pu lire des autorités sanitaires et des organismes publics de référence, en France, voici les éléments qui me semblent faire raisonnablement consensus aujourd’hui :
🎯 la maison n’a pas besoin d’être désinfectée en routine. 🏠 Sauf cas particulier, le nettoyage régulier, avec un produit détergent, 🧽suffit pour les situations classiques de la vie quotidienne ;
🎯 dans un contexte d’épidémie, ou si une personne malade 🤒est présente à la maison, désinfecter certaines surfaces permet de diminuer les risques de transmission.
Selon la SFSE par exemple, il s’agit des « surfaces [qui] sont fréquemment touchées et fraîchement contaminées par les gouttelettes oropharyngées ou par des mains souillées. »  Par exemple : poignées de porte, interrupteurs, téléphones portables, rampes d’escaliers, télécommandes, claviers et souris d’ordinateur. En complément, les surfaces des toilettes 🚽 et de la salle de bain 🛁pourront également être régulièrement désinfectées.
[…]
#desinfectants
#desinfection
#detergent
#SobriétéChimique
#petiteenfance #preventionsante
2 notes · View notes
trescalinisur · 1 month
Text
Conceptions de garde-corps en verre pour donner à votre maison un lifting moderne
Vous envisagez de moderniser votre maison. Le remplacement des garde-corps et rampes obsolètes par d’élégantes rampes en verre vient sans cesse à l’esprit. Les garde-corps en verre peuvent rendre les pièces plus grandes et plus lumineuses et changer complètement leur apparence. L'article examinera certains des modèles de garde-corps en verre les plus cool pour inspirer le relooking de votre maison. Vous pouvez choisir parmi des garde-corps de balcon en verre et des modèles d’escaliers adaptés à votre espace et à votre style. Il explorera également les prix approximatifs et les prix du sol en verre praticable pour vous aider à budgétiser votre rénovation. Les garde-corps en verre peuvent moderniser votre maison avec le bon design. Examinons quelques utilisations frappantes de ce matériau moderne.
Comment choisir
Garde-corps en verre pour balcon
L'ouverture et la vue imprenable du Garde-corps en verre de balcon les rendent attrayants pour les balcons. Les garde-corps en verre sont généralement sans cadre ou légèrement encadrés. Des panneaux de verre trempé épais sont reliés au sol et au plafond du balcon par des balustrades en verre sans cadre. Ils créent un panorama ininterrompu. Les garde-corps partiellement encadrés permettent de vastes vues avec une charpente métallique minimale.
Tumblr media Tumblr media
Conception de rampe d'escalier en verre
Faire d’un escalier un point central dans votre maison avec des rampes d’escalier en verre est génial. Conception de garde-corps en verre pour les escaliers peut être sans cadre, quelque peu encadré ou inclure des balustres métalliques retenant des panneaux de remplissage en verre. Les modèles sans cadre et partiellement encadrés conviennent aux maisons modernes, tandis que les balustres en métal sont traditionnels. Tenez compte de la quantité de lumière reçue par votre cage d’escalier et de la quantité de verre que vous souhaitez bloquer. Plus de métal réduit le verre et les vues.
Prix pour un escalier en verre
Selon la conception et le type de verre, les sections d'escalier et les garde-corps en verre peuvent être coûteux. En raison du verre personnalisé nécessaire, les garde-corps en verre sans cadre sont coûteux. Les systèmes à ossature partielle ou à garde-corps avec balustres métalliques retenant des panneaux de remplissage en verre sont moins chers.
Conclusion
Votre maison pourrait être complètement différente avec prix d'un escalier en verre. Vous découvrirez quelque chose qui convient à votre style et à votre budget avec de nombreux tissus, couleurs et styles. Pensez également à la sécurité et à l’entretien. L'installation du verre est laborieuse, mais l'élégance moderne et l'ouverture en valent la peine. Les murs de verre, les escaliers ou les balustrades rendent une propriété plus lumineuse, plus aérée et plus élégante.
0 notes
problematicseries · 2 months
Text
Tumblr media
NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 3
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
FR FANFIC
——-
EPISODE 12 : In Between
Alors que tu joues avec le ruban du noeud ornant ta poitrine, Intak secoue la tête en venant dans ta direction.
Tu te tiens là, dans l'encadrement de la porte, ton regard fixé sur Intak qui s'approche lentement de toi.
Tu sens l'excitation monter en toi alors que tu joues avec le ruban du nœud ornant ta poitrine, une note de nervosité mêlée à l'anticipation de ce qui va suivre.
Les yeux d'Intak brillent d'une lueur espiègle et pleine de désir alors qu'il se rapproche de toi, son regard captivant le tien, créant une connexion chargée d'une électricité palpable.
Dans cet instant suspendu, le jeu et le désir se mêlent, créant une tension entre vous qui ne demande qu'à être libérée.
Tu pénètres dans la résidence sensuellement, lançant un regard taquin à Intak pour l'inviter à te suivre.
Une aura de mystère et de jeu flotte autour de toi alors que tu t'avances dans le salon, anticipant avec excitation ce qui va se passer ensuite.
Tes gestes sont remplis de grâce et de sensualité, tandis que tu guides Intak vers un endroit plus intime où vous pourrez vous retrouver en toute intimité.
Intak regarde l’îlot de cuisine avant de dire « Tiens tiens, ce meuble me rappelle un bon souvenir, tu veux pas me rafraîchir la mémoire ? » en souriant en coin.
« Tu veux pas te créer de nouveaux souvenirs plutôt ? » tu lui réponds en souriant légèrement, en t’asseyant sur les premières marches des escaliers menant à la mezzanine.
Tu continues « Ça va être difficile de monter les marches avec ces talons » en faisant une petite moue.
Intak sourit fièrement, il s'agenouille devant toi avec un regard empreint de désir, tandis que tu es assise sur les marches de l'escalier.
Le bout de ses doigts effleurent délicatement ta peau nue, glissant de ta cuisse jusqu'à ta cheville, te procurant des frissons agréables. Avec précaution, il défait lentement les lanières de tes escarpins, embrassant tes jambes avec de doux baisers, dévoilant tes pieds délicats.
La tension monte alors que vous partagez cet instant d'intimité et de complicité.
Tu laisses échapper un léger gémissement alors que sa langue parcourt l’intérieur de ta cuisse, remontant vers tes sous-vêtements.
Tu attrapes les cheveux d’Intak et lui tire en arrière.
La langue tirée, il te regarde en souriant alors que tu lui tires les cheveux en arrière.
« Mademoiselle veut être dominante ? » dit-il, toujours en souriant, les yeux ivres d’excitation.
« Nan… attends encore quelques minutes Intak » tu lui réponds en fronçant les sourcils et faisant la moue.
« J’espère que l’attente en vaut la chandelle » dit-il en se reculant et défaisant sa cravate.
Tu montes les escaliers lentement, ta main glissant le long de la rampe d’escaliers.
Tu t’adosses contre le rebord de la rambarde de la mezzanine.
« Cette robe ne va pas s’enlever toute seule Intak » tu lui dis en battant des cils.
Intak se rapproche, te bloque contre la rambarde et te réponds « besoin de mon aide ? » en souriant avant de t’embrasser le cou.
Tes cheveux forment une cascade au dessus du vide, alors qu’Intak lèche ta nuque tout en caressant tes hanches.
Tu gémis et tires à nouveau les cheveux d’Intak.
Il sourit, lève un sourcil et te réponds « ah ouais ? »
Il saisit tes hanches et te retourne contre la rambarde, tu es désormais face au vide alors qu’Intak s’agenouille et lèche l’arrière de tes cuisses en remontant doucement.
Un frisson de plaisir parcourt tout ton corps, se laissant ressentir sur la langue d’Intak.
Tu l’entends rire discrètement, conscient de l’effet qu’il te fait.
Il se relève, mets tes cheveux sur le côté et te dit « Tu crois que tu peux être dominante avec moi ? » dit-il en faisant glisser la fermeture de ta robe doucement.
« Je fais ce que je veux de toi Intak » tu réponds, histoire de le taquiner.
Intak sourit en coin « Si c’est ce que tu crois ».
Il fait glisser ta robe le long de tes jambes, te laissant en sous vêtements.
Il se déshabille également, lançant ses vêtements par dessus la rambarde.
« C’est drôle que tu crois que tu puisses me dominer alors que t’es ma petite salope » dit-il avant de s’agenouiller et de mordre l’une de tes fesses et d’y mettre une fessée.
Tu gémis et te mords les lèvres, tu as exactement ce que tu veux.
« Cependant, t’as pas été sage ces derniers jours … je pense qu’il faut que je t’apprenne avec qui il ne faut pas que tu cherches les ennuis » dit-il, la voix beaucoup plus grave que d’habitude.
Il saisit ton string, qu’il déchire en tirant dessus d’un coup sec.
« Eh doucement Inta-» tu commences avant qu’il n’attrape tes cheveux en tirant fortement dessus.
Il s’approche de ton oreille et te murmure « Tu la fermes, tu fais ce que je te dis, ce soir tu va recevoir la punition que tu mérites ».
Il te retourne, te regarde dans les yeux avant d’appuyer sur tes épaules.
Tu te retrouves à genoux devant Intak, sentant une forte pression sur tes épaules alors qu'il te force à t'agenouiller devant lui.
La situation devient de plus en plus oppressante, et tu sens ton pouls s'accélérer.
Il se branle devant ton visage.
“Ouvre la bouche maintenant” dit-il d’un ton autoritaire.
“Non” tu lui réponds en fronçant les sourcils.
Intak te gifle, attrape ton menton, te relève le visage afin que tu le regardes dans les yeux.
Il rapproche son gland de tes lèvres, te tiens les cheveux en arrière et te dit “Obéis, ouvre la bouche salope”.
Tu ouvres la bouche avant qu’Intak ne mette sa queue dedans.
Tu commences à le sucer alors qu’il resserre ses poings en tirant tes cheveux.
Il utilise soudainement tes cheveux comme leviers, tu t’agrippes à ses cuisses alors qu’il te baise la gorge.
“T’aimes ça hein ? fais toi pardonner en encaissant ma queue au fond de ta gorge de petite pute” dit-il avant de relever la tête et gémir à cause de la sensation de sa queue glissant dans ta gorge.
Tu t’étouffes, bave des filets sur sa queue et des larmes glissent sur tes joues, faisant couler ton mascara.
Intak relâche tes cheveux et essuie tes joues pendant que tu continues de le sucer.
“Bonne fille” dit-il en te laissant gérer la vitesse de succion.
“Hmph… arhh” gémis t’il.
Soudainement, il te tire les cheveux en arrière avant de te soulever.
Il t’attrapes, te soulève et te lances sur le lit rond de la mezzanine avant de se mettre au dessus de toi.
Il attrape sauvagement tes seins avant de prendre une grande inspiration et d’arracher ton soutien gorge.
Il pose ses deux mains sur tes seins, les masses brutalement, les embrasse, les lèches et mordille tes tétons, tout en ayant des mouvements brutals.
« Doucement Intak » tu lui dis en fronçant les sourcils.
Il se relève, attrape son caleçon laissé au sol, reviens vers toi et enfonce son caleçon dans ta bouche.
Il attrape ton menton, de manière à ce que ton regard soit dans le sien et il te répond « Maintenant tu va pouvoir crier, et je vais te donner de bonnes raisons de crier ».
Il t’attache les mains dans le dos avec sa cravate et te remet sur le dos.
Il se glisse entre tes jambes et commence à te lécher le clitoris ainsi que ton entrejambe.
Il s’agrippe à tes cuisses et enfonce sa langue profondément en toi.
Tu gémis, tu l’entends grogner alors que sa langue humide s’enfonce encore plus profondément en toi tout en faisant des mouvements.
Alors que tu mouilles sur le visage d’Intak, il relève la tête, s’essuie le menton et te dit « tu prends un peu trop de plaisir à mon goût », le regard noir.
Tu ressens une vague de peur monter en toi alors que le regard d'Intak devient plus intense et menaçant.
Son expression te glace le sang, et tu sens une angoisse grandissante s'emparer de toi. Tes sens sont en alerte, et tu te demandes ce qui pourrait arriver ensuite.
Il attrape tes chevilles, craches sur ta chatte et enfonce le bout de son gland en toi.
Intak est épais, sans préparation avec ses doigts, tu sens tes parois s’élargir avec du mal.
Tu gémis de douleur alors qu’Intak maintient tes chevilles en l’air et continue de s’enfoncer en toi.
« Ça te fait mal ? » dit-il en faisant une moue moqueuse
Tu hoches la tête en indiquant que non, cette douleur est liée au plaisir, tout ce que fait Intak te fait du bien, même si c’est dans la douleur que ça commence.
« Très bien » dit-il en baissant la tête et enfonçant le reste de sa longueur en toi, tapant dans le fond de ton vagin.
Tu laisse échapper un cri étouffé dans le caleçon d’Intak alors qu’il martèle ta chatte de coups de reins.
« Hmph, Ahh » gémis Intak alors qu’il enfonce sa queue de plus en plus profondément à chaque coup de reins, utilisant ta chatte comme si c’était la dernière fois.
Alors que tu sens sa queue devenir de plus en plus raide, il ressort.
« Je pense que la punition n’est pas assez sévère » dit-il avant de te retourner sur le ventre.
Il te mets à genoux sur le lit, puis enfonce à nouveau sa queue en toi tout en prenant appuie sur ta tête alors qu’il donne des coups de reins contre tes fesses.
Le claquement se fait entendre dans toute la résidence, sa main gauche est en appui sur ta tête, sa main droite se situe en bas de ton dos, te faisant cambrer encore plus, de manière à ce que tes fesses soient en l’air, comme Intak les aime.
Alors qu’il continue de te baiser salement, il retire sa main de ta tête et la place sur le bas de ton ventre et effectue une légère pression.
Il peut sentir sa queue faire des vas et viens en toi.
Il détache tes mains, prends ta main gauche et la plaque sur le bas de ton ventre, tout en gardant sa main sur la tienne.
« Tu la sens ? Tu me sens en toi ? Tu sens comme je te remplis bien ? » dit-il dans un ton grave.
Tu gémis pour répondre, ne pouvant aligner une phrase dans ton état.
« Tu peux faire ce que tu veux, dire ce que tu veux, coucher avec qui tu veux, mais à la fin de la journée tu sais que c’est moi qui te baise le mieux, tu sais que je suis le seul qui sais comment te donner du plaisir » te répond t’il difficilement, sa respiration s’accentuant.
Tu sens l’orgasme arriver, une chaleur que tu connais si bien parcourt ton corps, un noeud se serre dans le bas de ton ventre alors que tes gémissements s’accentuent de plus en plus fort.
« Tu encaisses si bien ma queue » dit-il en caressant ton visage alors que ses coups de reins sont toujours plus agressifs.
La sensation d’Intak te baisant brutalement et tellement bonne que tu laisses échapper quelques larmes sur les draps.
« Ohhhh, tu n’encaisses plus si bien ? » dit-il en donnant des coups de reins plus profonds et plus brutalement.
Tes gémissements se transforment en cris alors que le noeud dans ton ventre se resserre de plus en plus.
Intak gémis de plus en plus fort alors que tes parois se resserrent sur sa queue, indiquant ton orgasme.
Ton orgasme se déclenche, tu pleures à chaude larmes tellement le plaisir est intense alors qu’Intak te donne ses derniers coups de reins.
Intak place sa main sur ton bas ventre, appuie dessus pour que sa queue soit au plus profond de toi, que tu puisses le sentir au plus profond ton vagin.
Il colle son torse à ton dos et éjacule en toi en continuant de donner des coups de reins mais cette fois si, plus doucement, tassant son sperme au fond de toi.
Il t’embrasse le dos en continuant ses vas et viens qui sont maintenant beaucoup plus doux.
Il se retire, te retourne sur le dos et te retire le caleçon de ta bouche.
Il se remets entre tes jambes.
« Qu’est ce que tu fais ? » tu lui demandes, confuse.
Il appuie légèrement sur ton bas ventre, faisant couler son sperme sur le long de ta chatte.
« J’adore voir ça » te répond t’il.
Il revient à ta hauteur, t’embrasse et descends à la salle de bains.
Tu prends quelques instants pour te remettre de ce qu’il vient de se passer.
Tu cherches ton téléphone portable, il a du rester dans ton sac à mains, au rez de chaussée.
Tu t’essuies, attrapes un plaid dans lequel tu t’enveloppe comme une serviette et descends les escaliers difficilement, les jambes encore sensibles.
Tu arrives devant ton sac et le fouille dans l’espoir de trouver ton téléphone.
Tu attrapes ton téléphone, regarde tes messages et va enfiler une petite robe en satin noir dans ta chambre.
Tu entends l’eau de la douche couler, ce qui signifie qu’Intak est bien dans la salle de bain.
Tu retournes dans le salon et prends un thé glacé.
*TOC TOC TOC*
Tu te diriges vers la porte d’entrée.
Mingi se tient là, devant la porte, avec un léger sourire sur les lèvres.
Son regard est doux, mais tu remarques une lueur d'inquiétude dans ses yeux. Il semble un peu surpris de te voir, mais en même temps, il semble content.
Son attitude est détendue, bien qu'un peu nerveuse.
“Je pensais voir Iroha” dit-il levant un sourcil en te voyant derrière la porte.
“Iroha ? pourquoi faire au juste ?” tu lui réponds.
“On devait discuter, mais toi t’es déjà rentrée de la soirée ?” dit-il en analysant ta tenue légère.
“Discuter de quoi au juste ?” tu réponds les sourcils froncés.
Il se rapproche de toi avec un sourire séduisant, ses yeux pétillants d'une lueur malicieuse.
“Fais pas ta jalouse” dit-il.
D'un geste doux mais ferme, il remonte légèrement ta robe en satin noir au-dessus de ta cuisse, révélant un peu plus de peau.
Sa caresse est délicate, mais tu sens un frisson de désir parcourir ton corps alors que ses doigts effleurent ta peau.
“Arrête Mingi” tu lui réponds en remettant ta robe et en reculant.
“Bon laisse moi rentrer non ?” dit-il avec son sourire habituel.
“Je peux pas” tu lui réponds en sachant qu’Intak est sous la douche.
Mingi lève un sourcil, il est dubitatif.
“Je dois aller me coucher” tu lui réponds avant de le pousser hors de la résidence.
“Ah carrément tu me repousses ? t’étais beaucoup plus drôle tout à l’heure” dit-il en te regardant avec un air taquin.
“Tout à l’heure ? C’est à dire ?” dit Intak en arrivant derrière toi.
Intak se glisse silencieusement derrière toi, sa présence soudaine te surprend.
Torse nu, une serviette nouée autour de la taille, il dégage une aura intense et protectrice. Son regard brûlant fixe Mingi avec détermination, prêt à affronter la situation.
Tu ravales ta salive.
“T’as pas de douche dans ta résidence ?” dit Mingi en se moquant d’Intak.
“Si mais la sienne est plus étroite” réponds Intak avec un regard joueur.
Mingi comprend.
Il sourit, regarde le sol et réponds “Oh ça je sais qu’elle est étroite”
Intak resserre les poings en fronçant les sourcils.
“Bonne soirée vous deux” dit Mingi en ricanant et tournant le dos.
Mingi tourne les talons et s'éloigne dans la direction de la résidence Shinsoo, laissant derrière lui une atmosphère chargée de tension.
Intak referme la porte et te fixe avec un regard sombre.
“Il s’est passé quoi tout à l’heure ?” demande-t-il, la main toujours sur la porte.
“J’ai absolument pas à me justifier Intak” tu lui réponds en levant les sourcils.
“La punition n’a pas été assez sévère ?” dit-il en souriant en coin.
Tu lèves les yeux au ciel et lui répond “Je pense qu’il est temps que tu partes Intak”.
“T’as raison, faut que je commence à devoir me préparer pour rencontrer tes parents lors du dîner de noël” dit-il en ricanant et enfilant rapidement les vêtements qu’ils a laissé dans le salon.
“Quoi ?” tu lui réponds interloquée.
“Tu crois quand même pas que t’allais pas présenter ton petit ami à tes parents au repas de noël ?” te répond t’il sur de lui, reboutonnant sa chemise.
“Intak….” tu réponds en soupirant.
Il t’embrasse le front avant de sortir et te dire.
“Dors bien, une fille sage a besoin de beaucoup de repos !” en souriant et filant vers sa résidence.
Il est pas possible.
Tu souris.
Tu va prendre une douche à ton tour.
Une fois sous la douche, l'eau chaude ruisselle sur ta peau, apportant une sensation réconfortante et apaisante.
Le bruit de l'eau qui tombe crée une ambiance relaxante, te permettant de laisser derrière toi les tensions de la journée.
Chaque goutte qui tombe semble emporter un peu du stress et de l'anxiété, te laissant dans un état de calme et de tranquillité.
Tu ressors et aperçoit un petit mot sur ton lit.
“désolé, j’ai jeté le papier que je voulais te donner ce soir, laisse moi te le dire de vive voix le soir du nouvel an.
Intak. ”
Tu souris et te glisse dans tes draps.
Tu regardes sur ton téléphone les storys de la soirée, les tweets …
*TOC TOC TOC*
“Je peux entrer ?” demande Iroha.
“Oh oui, tu tombes à pic” tu lui réponds, prête à savoir pourquoi elle devait “discuter” avec Mingi.
Iroha s'assoit avec grâce, croisant légèrement les jambes, ses cheveux encadrant doucement son visage.
Sa présence apaisante semble envelopper la pièce d'une atmosphère réconfortante, cependant, Mingi vient tâcher le tableau.
“J’ai un truc à te dire mais stp t’énerves pas” te dit elle en te regardant avec un air de chien battu.
Tu soupires.
“PROMETS LE” dit-elle.
“Je le promets” tu réponds en levant les yeux au ciel.
Iroha jette ses cheveux en arrière et s’apprête à te parler quand soudain.
“OH PUTAIN CACHE TOI” hurle Jang en se tenant à ton encadrement de porte.
“hein ? qu’est ce qui se passe encore ?” tu réponds dans l’incompréhension.
Iroha aussi est perdue.
Jang essoufflée, venant probablement de courir en talons aiguilles depuis la résidence ShinSoo, reprends difficilement son souffle avant de te répondre “NING ET KAZUHA ONT VU TES PHOTOS DE FUCKSGIVING CACHE TOI ELLES ARRI-”
“JANG ?! JE T’AI VU COURIR COMME UNE CINGLÉE DANS LE CAMPUS JE SAIS QUE T’ES LÀ” hurle Kazuha.
“Bordel” dit Jang en vous enfermant toutes les trois dans ta chambre.
“Tranquille non ? Les photos étaient hot mais soft non ?” demande Iroha.
Vous regardez toutes les deux Iroha d’un air révélateur.
“Oh…” dit-elle en regardant le sol.
Jang mets son doigt sur les lèvres d’Iroha en faisant les gros yeux, lui faisant comprendre de se taire.
Elle se déplace lentement et éteins ta lumière.
“JANG ? POURQUOI T’ES VENUE ICI EN COURANT ?” demande Ning.
“oh seigneur” réponds Jang.
La tension est palpable alors que les bruits de pas se rapprochent de ta porte, vous vous efforcez de retenir votre respiration, redoutant d'être découvertes.
Chaque bruit semble amplifié dans le silence pesant de la pièce, faisant battre votre cœur plus fort. Vous échangez des regards inquiets, sachant que la moindre erreur pourrait compromettre votre position délicate.
(i suck big dicks like everynight♪)
“MERDE MERDE MERDE” chuchote Jang en essayant de trouver son téléphone dans son sac à main, en train de sonner.
(i suck big dicks like everynight♪)
*BIP*
Jang vient de couper son téléphone.
Vous n’entendez plus les bruits de pas.
Vous n’osez plus respirer
Soudainement, Kazuha commence à frapper violemment la porte, faisant sursauter tout le monde dans la pièce.
Les coups résonnent dans la chambre, créant une atmosphère encore plus tendue.
Vous échangez des regards alarmés, réalisant que la situation pourrait devenir incontrôlable à tout moment.
“JANG JE TE JURE QUE SI TU OUVRES PAS CETTE PORTE JE TE FAIS BOUFFER TON MANTEAU EN CHINCHILLA” hurle Kazuha derrière la porte.
*clic clic*
“Euh…. qu’est ce que tu fais Jang ?” demande Iroha d’une petite voix.
“Je prépare de quoi me défendre” dit Jang en chargeant son pistolet de poing.
“Je pense pas que ce soit nécessaire d’en arriver jusque là Jang” tu lui dis en la regardant avec de gros yeux.
Dans un bruit assourdissant, Kazuha continue de frapper la porte avec force, ignorant les cris d'Iroha qui deviennent de plus en plus désespérés.
La tension dans la pièce devient palpable alors que chacun réalise l'urgence de la situation.
La porte cède finalement sous les coups incessants de Kazuha, s'abattant avec un bruit sourd.
Une tension électrique parcourt la pièce alors que Kazuha se tient dans l'encadrement de la porte, figée face à Jang qui la vise avec son pistolet.
Le silence est si pesant qu'on pourrait presque entendre les battements de cœur de chacun, tandis que les regards se croisent dans une atmosphère chargée d'incertitude et de peur.
Un silence lourd et angoissant envahit la pièce alors que tous retiennent leur souffle, réalisant l'ampleur de ce qui vient de se passer.
Ning débarque en courant à côté de Kazuha et s’arrête net immédiatement.
“Lâche ça” dit Kazuha dans un regard noir.
“Recule” répond Jang en s’avançant vers elle, toujours en la pointant avec le gun.
En un court instant, Mingi désarma Jang d'un geste précis et rapide, interrompant ainsi le face-à-face tendu entre Kazuha et elle.
Le fusil tomba lourdement au sol, produisant un bruit sourd dans le silence qui s'était installé, tandis que Jang se met à hurler.
“SALE ENCULÉ T’AS DU ME PETER DEUX ONGLES EN VOULANT FAIRE LE POWER RANGERS DE MERDEEEEEE” continue de crier Jang en se tenant la main et constatant son ongle au sol.
“Tu tombes à pic” dit Ning à Mingi en croisant les bras.
Alors que Jang est à genoux en train de pleurer, Kazuha se jeta sur toi avec une violence inouïe, te projetant hors du lit et t'assénant des coups brutaux, sans pitié ni retenue.
“SALE PUTE, T’ES LA PIRE SALOPE QUE J’AI PU CONNAÎTRE” hurle Kazuha en te griffant les bras avec lesquels tu essaies désespérément de cacher ton visage.
Iroha, dans un élan de courage, bondit sur le dos de Kazuha et lui attrape les cheveux, tentant désespérément de la tirer en arrière pour te libérer de son emprise brutale.
“LÂCHE LA” hurle Iroha en tirant les cheveux de Kazuha.
Mingi, agissant avec force, attrape violemment Iroha et la projette sur le lit, interrompant ainsi son intervention pour te libérer de Kazuha.
Jang se précipite sur Iroha pour la retenir de tomber du lit.
Mingi saisit également les mains de Kazuha pour la retenir contre lui, mettant fin à sa tentative d'agression.
“Calmez vous, vous êtes complètements folles les filles” hurle t’il, les sourcils froncés, retenant difficilement Kazuha.
“TOUT ÇA POUR UN FILET DE BAVE EN PLUS” crie Iroha sur le lit.
Ning, Jang, Mingi, Kazuha et toi regardez tous Iroha.
“Elle a pas tort” répond Jang.
*ptui* Kazuha crache sur Jang.
Jang se rue sur son pistolet, colle le gun sur son front et lui dit d’une voix calme “T’es allée trop loin cette fois”.
“Il est même pas chargé” réponds Kazuha en levant les sourcils.
“Pose ca Jan-“ commence Mingi avant de se faire interrompre par le bruit du coup de feu.
Jang a tiré en l’air pour prouver que le gun était chargé.
“ET LÀ TU CROIS QU’IL EST VIDE SALE PUTE ?” réponds Jang.
“Jang stop” tu lui dis.
“CETTE PUTE VIENT DE ME CRACHER DESSUS, ELLE MÉRITE QUE JE LUI PETE LES GENOUX” hurle Jang, le pistolet toujours sur le front de Kazuha.
San débarque en courant dans la chambre.
“MAIS ÇA VA PAS” hurle t’il.
San s'approcha de Jang avec une assurance qui trahissait son expérience.
“Jang calme toi”
Ses gestes étaient fluides, précis, et exécutés avec une grâce déconcertante. Il désarma Jang d'un mouvement rapide et calculé, révélant ainsi sa maîtrise des techniques de combat.
Le pistolet tombe au sol encore une fois.
Son regard impassible et déterminé reflétait une confiance absolue en ses capacités, renforçant l'impression qu'il était un homme dont il ne fallait pas sous-estimer la dangerosité due à son passé.
“San, n’interviens pas quand je te le demande pas” réponds Jang en fronçant les sourcils.
“Ferme ta gueule Jang arrête de faire la gamine pourrie gâtée pendant 5 minutes” réponds San d’un ton autoritaire.
Vous regardez tous San.
Jang est bouche bée.
Jang se met à pointer du doigt le torse de san en tapant dessus “Tu crois que tu peux me dire quoi faire ? Le gentil petit toutou se rebelle ?” dit-elle avec un air hautain, les sourcils froncés.
San attrape fermement le poignet de Jang, exerçant une pression qui exprimait sa frustration et son autorité.
Jang gémit de douleur.
Le regard de San est dur et perçant, transmettant un avertissement clair à Jang.
"Dernière fois que tu te fous de ma gueule, Jang," déclare-t-il d'une voix grave, laissant entendre les conséquences sérieuses qui pourraient découler de toute récidive de son comportement.
“Tu maltraites une fille, t’as pas de couilles, je comprends pourquoi tes parents ont préférés un homme plus puissant pour te remplacer” répond Jang en challengeant San du regard.
“oh non” murmures Mingi, sachant qu’elle a dépassé les limites.
San, soudainement pris d'une rage incontrôlable, projeta Jang violemment contre la porte de la salle de bain.
Son geste était empreint de colère et de force brute, exprimant son autorité de manière brutale et impitoyable.
Jang, désarmée et désorientée, se retrouva étourdie contre la porte, réalisant la puissance et la menace que représentait réellement San.
Iroha se lève du lit pour aller voir si Jang va bien avant que San ne l’attrape et la renvoie sur le lit.
“Quelqu’un d’autre se sent d’ouvrir sa gueule ?” demande San en regardant chacun d’entre vous avec un regard noir.
Personne ne répond.
“Cette pute à couché avec Mingi” répond Kazuha en te regardant avec un regard agressif.
San serre la mâchoire.
“On a pas couché ensemble elle m’a juste sucé” répond Mingi sous la pression.
Iroha porte la main sur sa bouche afin d’attester de son choc.
Ning s’assoit.
Kazuha se retourne sur Mingi en hurlant “QUOI ?!”
“C’EST PAS VRAI” tu hurles à ton tour.
“Bien sûr que c’est vrai” dit Mingi en fronçant les sourcils.
“T’AVAIS UN MASQUE ÇA COMPTE PAS JE SAVAIS PAS QUE C’ÉTAIT TOI” tu réponds.
“seigneur” répond Jang en se tenant le front suite à son choc contre la porte.
San attrape le pistolet au sol et le range dans sa ceinture.
“SALE PUTE JE TE JURE QUE JE VAIS T’ETRIPER” hurle Kazuha en se débattant des bras de Mingi.
“Tu va étriper personne” répond San calmement.
Il continue “Si ton frère arrive pas à te tenir, je vais m’occuper de ton cas et je te promets que tu pourras plus bouger” répond t’il calmement en la fixant.
“San tu me fais peur” dit Iroha alors qu’elle est en train de pleurer.
San regarde Iroha, son regard est sombre, il n’exprime rien.
“Maintenant vous allez tous vous coucher, je reste dans le salon, si j’entends qui que ce soit se battre, je m’en occuperai personnellement” dit San d’un ton autoritaire.
Ning quitte la chambre et va s’enfermer dans la sienne.
Mingi lâche Kazuha.
Kazuha soupire et va dans sa chambre à son tour.
Mingi passe à la hauteur de San alors que San l’arrête en lui faisant signe “Apprends toi à te contrôler toi aussi”
“Je fais ce que je veux, tu peux dire ce que tu veux à Jang mais pas à moi San” rétorque Mingi en fronçant les sourcils.
San ne répond pas, Mingi sort de la pièce.
“T’as pas de chambre toi ?” dit San en regardant Iroha sur ton lit.
“Je veux pas dormir toute seule ce soir” réponds Iroha en pleurant.
San s’approche d’Iroha, encore tremblante.
“Je te ferais pas de mal Iroha, excuse moi de t’avoir brutalisé mais il fallait que je calme la situation” répond San.
Iroha ne le regarde pas et évite tout regard ou contact avec lui.
San te regarde mais ne dit rien.
Il s’approche de Jang, la porte dans ses bras et sort de la pièce.
“Hésite pas si t’as besoin” te dit San avant de sortir de ta chambre.
Tu lui réponds “merci san”
San ferme la porte.
Iroha retire sa robe et se glisse sous tes draps.
Tu te relèves et va désinfecter les griffures de Kazuha.
Tu sors de ta chambre et va chercher une bouteille d’eau dans la cuisine.
Tu aperçois San debout dans le salon, regardant par la baie vitrée.
Jang est endormie sur le sofa, avec coussins, plaids, un thé sur la table basse et une bouillotte.
Tu t’approches doucement de Jang.
“Elle va bien t’en fais pas” te dit San alors qu’il se retourne.
Tu te rapproches de San et lui dit “Je cautionne absolument pas ce que Jang t’as dit, cependant t’étais pas obligé de lui faire autant de mal”.
San lève les sourcils et croise les bras avant de te répondre “Si je n’étais pas intervenu, on aurait potentiellement un mort ce soir, ou au moins des blessés”
“T’as raison” tu lui réponds en regardant Jang dormir paisiblement sur le canapé.
“Passes une bonne nuit” te dit San.
Tu attrapes la bouteille d’eau et réponds “Toi aussi San”.
En retournant à ta chambre, tu repensa à la manière donc San a agit ce soir.
Le regard déterminé de San a révélé une facette de sa personnalité que vous n'aviez jamais vraiment vue auparavant.
Son comportement impitoyable et autoritaire laissait transparaître une menace latente, renforçant l'image du sang mafieux qui coulait en lui. C'était une révélation perturbante, révélant une dimension sombre et dangereuse de son caractère jusque-là dissimulée.
Tu entres dans ta chambre et aperçoit Iroha dormir paisiblement dans ton lit également.
Tu te glisses sous tes draps, laissant la douce chaleur de ton lit t'envahir peu à peu.
Les événements tumultueux de la soirée s'estompent lentement dans ton esprit alors que le sommeil t'envahit paisiblement, t'offrant un répit bienvenu après cette nuit agitée.
Tes paupières se font lourdes et tu te laisses emporter par le doux bercement de l'oubli, laissant derrière toi les tourments de la journée pour te préparer aux festivités de noël qui arrivent.
FIN DE L’ÉPISODE 12.
1 note · View note
lhamiz · 9 months
Link
Groupe bettiche inox GB Inox de rampe d’escalier et de Garde-corps sont à la fois résistantes et esthétiques. Pour l   Société industrielle   cite residence de la paix villa 02 reghaia, Algiers, Algeria   0550 10 49 19 0550104919 [email protected] gbinox.dz gbinox.dz fb:https://www.facebook.com/GroupeBetticheinox Groupe bettiche inox  dosptrenSomlc62:l1mtej0i2m a0t9i15110a68tttuu02230tl4c c3i9,  · Alger  ·  Nous vous proposons une solution intelligente pour […]
0 notes
2022ecosse · 2 years
Text
Tumblr media
Rampe d’escalier du parc
0 notes
sports-and-leisure · 2 years
Text
Guirlande de Noël avec lumières LED 5 m Argenté
Guirlande de Noël avec lumières LED 5 m Argenté
Cette guirlande de Noël sera spectaculaire où que vous l’accrochiez. Elle sera la décoration de Noël parfaite pour votre espace de vie. Cette guirlande de Noël peut être facilement façonnée autour d’une rampe d’escalier ou de fenêtres, mais elle aura aussi bonne allure accrochée au mur, à la porte ou au plafond. Dotée de lumières LED, elle s’allume magnifiquement et crée une ambiance de vacances…
View On WordPress
0 notes
philoursmars · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Bon mon but est d’essayer de présenter l’ENSEMBLE de mes 50.000 photos (ce n’est pas une exagération, hélas! 52845 à ce jour !!). Evidemment, pas toutes…
1990. Mon plus beau voyage peut-être : un mois en Turquie avec Nours…
Retour à Istanbul :dernière visite avant le retour en France, le Palais de Domabhçe (4 heures d’attente, quand même), avec sa grille le long du Bosphore, son hammam d’albâtre, son lustre en cristal de baccarat et sa rampe d’escalier en cristal (hélas en réfection à l’époque)
Et le long du Bosphore, avec le palais au loin, un montreur d’ours solitaire (non, ce n’est pas un gros choen !)
5 notes · View notes
erminox · 3 years
Video
youtube
#Erminox_Info_Pratique
✍️ Garde-corps en inox: tout ce que vous devez savoir !✌️
🤩Vous avez la chance de disposer d'une terrasse ou d'un balcon? Afin que vous et votre famille puissiez en bénéficier en toute sécurité, il est indispensable de l'équiper d'un garde-corps.
🚧 Avec les rambardes en inox, vous pouvez allier sécurité et design.
Entre les poteaux en tube inox, vous avez le choix entre
✔️ des plaques de verre retenues par des pinces à verre,
✔️ des lisses (fins tubes en inox),
✔️ des câbles ou encore
✔️ des tôles perforées.
🏠 Les rambardes en inox ont également toute leur place à l'intérieur de la maison! Leur solidité et leur design en font le choix idéal pour sécuriser une mezzanine ou remplacer une rampe d’escalier.
🏭 Un garde-corps en inox s'intègre parfaitement dans une décoration de style moderne ou industriel. Grâce à leur design élégant et discret, ces rambardes se marient également très bien avec une ambiance plus classique, et viennent créer un bel effet de contraste avec un intérieur de style ancien.
Pour lire cet article, rendez-vous sur le BLOG de Erminox en suivant le lien 👉
Garde-corps en inox : tout ce que vous devez savoir ! 
_________________
1 note · View note
romainmeynier · 4 years
Text
27 - Dimanche 12 avril 2020
C’est Pâques ! À l’aide d’une longue ficelle, je fais descendre chez le voisin d’en dessous un petit nid rempli d’œufs frais recouverts d’une fine couche de chocolat. Ce nigaud tombe dans le piège, croque à pleines dents et se met à beugler. Je crois que la coquille lui a déchiré la langue. Il m’entend ricaner, lève soudain la tête et me découvre. Il est furieux. Voilà qu’il veut me proposer un duel dans la cage d’escalier. Mais avec tout le sang qui sort de sa bouche, on comprend mal. Comment, dis-je, Patrick Bruel ? Guel, gan gui minuques ! crie-t-il. Je m’y rends, bien sûr, armé d’une boîte de douze œufs. Il est déjà en bas de l’escalier, dans les mains un paquet de graines de boulgour dures comme la pierre. Je suis prudent, c’est une bonne arme. Mais, tel Sun Tzu, j’ai l’avantage de la hauteur. Je jette mon premier œuf au moment où une rafale de boulgour m’entaille la joue droite. Coup dur. Le voisin monte d’une marche, pioche à nouveau dans son paquet. Je serre contre moi mes petits œufs fragiles. J’aurais dû prendre le quinoa. Le voisin se rapproche. Je pense à Elise et à ma famille proche. Mais un plus gros poisson que moi le surprend : la concierge infectée, attirée par le bruit et l’odeur du sang, grimpe les marches quatre à quatre en grognant et raclant son lave-vitres contre la rampe. Je recule de trois pas. Le voisin a l’air inquiet, lui aussi. Il redescend d’une marche. Quand elle arrive à niveau et découvre tout le sang et la nourriture sur le bois récemment ciré, elle craque. Je cours m’enfermer dans l’appartement. Les cris d’horreur du voisin retentissent dans l’immeuble pendant de longues minutes.
25 notes · View notes
trescalinisur · 7 months
Text
Conceptions uniques de rampe d'escalier en verre
Les rampes d'escalier en verre sont devenues un choix populaire dans le design d'intérieur moderne et il n'est pas difficile de comprendre pourquoi. Ces ajouts élégants et contemporains offrent une multitude d’avantages qui rehaussent à la fois l’esthétique et la fonctionnalité de n’importe quel espace. Ces gammes de rampe d'escalier en verre de haute qualité et avancées procurent une sensation d'ouverture et d'espace. En permettant à la lumière de circuler librement et sans obstruction à travers les panneaux transparents, ils créent une illusion de plus d'espace, donnant l'impression que même les petites zones sont plus grandes et plus aérées. Ceci est particulièrement avantageux dans les maisons ou les entreprises dont la superficie est limitée.
Tumblr media Tumblr media
Les rampes d'escalier en verre sont incroyablement polyvalentes et se fondent sans effort dans différents styles de design. Que votre décor soit minimaliste, industriel ou traditionnel, les rampes d’escalier en verre peuvent le compléter parfaitement. Ils sont également disponibles en différentes finitions, du transparent au givré, vous permettant de choisir le niveau d'intimité et de transparence qui correspond à vos préférences.
L’entretien est un jeu d’enfant avec les garde-corps en verre, car ils sont faciles à nettoyer et résistent à la rouille et à la corrosion. De plus, leur durabilité garantit qu’ils résisteront à l’épreuve du temps, ce qui en fera un choix rentable à long terme. Les rampes d'escalier en verre ne sont pas seulement un choix de design élégant ; ils constituent également un ajout pratique et fonctionnel à n’importe quel espace, améliorant à la fois son esthétique et sa valeur. Que vous rénoviez votre maison ou en conceviez une nouvelle, pensez à l'élégance intemporelle et à la praticité des rampes d'escalier en verre.
Vous pouvez également choisir une variété d'autres choses comme Escalier design Paris, garde-corps en câble d'acier inoxydable, prix du plancher de verre qui amélioreront sûrement votre expérience. Vérifiez tous les détails et obtenez la livraison à temps.
0 notes
decoworksofficiel · 3 years
Link
• Installation de garde-corps et rampes d’escaliers en aluminium anodisé• Signalétique. Aluminuim. Revêtement des façades• Travaux d’usinage numérique sur divers supports• Installation de garde-corps et rampes d’escaliers en aluminium anodisé• Signalétique
2 notes · View notes
eric-sauvat · 3 years
Text
Kiné
Lavoûte-Chilhac, Mardi 14 septembre 2021
Kiné
Familier. Kinésithérapeute - Auxiliaire médical titulaire d'un diplôme d'État qui exerce la kinésithérapie. Discipline paramédicale utilisant des techniques passives et actives ou des agents physiques dans un dessein préventif ou thérapeutique (rééducation). Une équipe médicale composée de médecins et d'infirmières et, éventuellement, de masseurs kinésithérapeutes pour la rééducation précoce Organ. Hospitalisation en France, 1957
Je vais aujourd’hui rencontrer mon kinésithérapeute, il est chargé de me faire conserver ma mobilité pour pouvoir demeurer à la maison ; sinon c’est la maison de retraite de plain pied, elle.
Il m’est à moi indispensable de pouvoir monter et descendre les escaliers tant intérieurs qu’extérieurs.
Pour celui de l’intérieur, j’ai depuis un an au cellier sa rampe et accessoires pour son montage ; je m’en suis passé jusqu’alors.
Une rampe d’escalier est sécurisante, d’ailleurs sans elle je ne saurai pas monter l’escalier extérieur et ses dix-sept marches.
Il ne suffit pas de les gravir, il faut garder assez de souplesse pour les escalader avec l’appoint de ma canne, je peux encore aujourd’hui rentrer chez moi, mais demain ?
Cet exercice vital doit perdurer.
On est si bien chez soi.
0 notes
sandrinedecembre · 3 years
Text
🔴 📰 Philippe Herbel a témoigné de son vécu du Covid dans le Figaro qui sort ce vendredi matin.
👉 Voici le texte complet de l'article (suivi du texte complet de son témoignage qui a servi de base à cet article).
Si un éditeur passe par là, il se contentera pour son futur roman "d'un à-valoir représentant un millième du salaire annuel de Lionel Messi".
👉 « Je suis vivant. Un tube énorme emplit ma bouche, écorche la commissure de mes lèvres du côté droit. Mes poignets sont solidement attachés aux barrières du lit par des sangles. Je vois mal, et n'entends pas mieux. Mais je suis vivant. » C’est par ces mots que démarrera le roman en construction de Philippe Herbel. A 45 ans, aucun facteur de comorbidité et tôt respectueux des gestes barrière, Philippe est l’un des survivants du Covid-19. L’un des plus de 90.000 patients accueillis en soins critiques en France depuis le début de l’épidémie. Trois mois d’hôpital avant de pouvoir rentrer enfin chez lui, un voyage halluciné et hallucinant qu’il raconte au Figaro. Sa lutte est loin d’être terminée : la réanimation, ce sont des soins lourds, qui sauvent mais qui abîment. Et le chemin de la rééducation est encore long…
Début avril, donc. La rencontre de Philippe avec le Covid démarre « par des symptômes de "gripette" ». Un test réalisé en pharmacie (« bien rouge », lui dit-on) confirme son soupçon, il s’isole et s’arrange pour qu’un proche lui amène chaque jour de quoi manger. Mais « au bout d'une semaine, je lui ai dit à travers la porte et d'une voix blanche "appelle les pompiers, s'il te plaît". » Un mystérieux virage dans la maladie qui peut survenir 7 à 12 jours après les premiers symptômes: sans que l’on sache l’anticiper ni prédire qui en sera victime, l’état de certains patients se dégrade brutalement, en quelques heures. « Je n’ai aucun souvenir d’avoir été pris en charge par les pompiers, ni d’être arrivé à l’hôpital. Il paraît pourtant que j’étais encore conscient, que j’ai pu répondre aux questions qu’on me posait. »
Plongé dans un coma artificiel, il se réveille neuf jours plus tard, « intubé, les poignets
attachés pour m'empêcher d'arracher ce tube. J'avais perdu la sensation des limites de mon
corps. Je me souvenais de mon identité mais c'est à peu près tout. » Câble et tuyaux s’entremêlent, une sonde urinaire, trois cathéters pour lui délivrer médicaments et nourriture et faciliter les prises de sang quotidiennes, des capteurs pour surveiller son rythme cardiaque ou sa saturation en oxygène… Et une angoisse « d'une violence inouïe », liée à la gravité de son état de santé mais aussi aux hallucinations qui l’assaillent. C’est l’un des cadeaux empoisonnés de la réanimation, terrible voyage physique et psychologique entre deux rives de la vie : anciennement appelé « psychose de réanimation », le délirium en soins intensifs est dû à une conjonction de facteurs (éventuelle hypoxie cérébrale, hypnotiques utilisés pour endormir le patient, univers hospitalier particulièrement bruyant et inquiétant…)
et survient en particulier chez les patients sédatés et placés sous ventilation mécanique. Dans l’ensemble, plus de la moitié des malades admis en soins intensifs seraient à risque de
delirium, indiquent les auteurs d’une étude canadienne parue en 2021 dans BMJ Open
(https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34285003/).
Ces délires nés des produits utilisés pour endormir Philippe n’ont rien de plaisant. « C’est indescriptible. Toutes ces pensées sont vraies, c’est cela qui est très choquant, on a été fou
pendant une semaine ! Maintenant, cela me fait rire d’y repenser. Mais certaines personnes ont beaucoup de mal à s’en remettre. » Dans son délire, il croit que « ces gens en uniformes blancs qui me tournent autour sont là pour me tuer ». Un jovial aide-soignant lui veut du mal,
cela ne fait aucun doute. « Deux jours après mon réveil, quand j'ai compris que ce serait lui
qui allait s'occuper de moi la nuit à venir, j'ai fait comprendre avec mes mains qu'on avait
détachées pour un moment que je voulais écrire. On me donna une tablette et un feutre.
Évidemment, j'étais incapable avec mes mains qui tremblaient et mon cerveau en pagaille de tracer une seule lettre. Le message que j'avais tenté d'écrire avec l'énergie du désespoir était
le suivant : "Ne me laissez pas seul avec le boucher, il va me tuer ce soir". » Des délires d’une précision qui l’étonnent encore, alimentés et renforcés par des hallucinations visuelles et auditives : les flacons de médicaments se transforment en « rois mages et en peluches », les travaux qu’il distingue par la fenêtre deviennent un aéroport. « Je voyais réellement les grosses lettres lumineuses de son nom au-dessus d'un bâtiment », se souvient-il, décrivant des militaires en défendant l'entrée contre des voitures-bélier venues s'encastrer dans d'énormes blocs de béton. Un « camp retranché », depuis lequel « on va m’expédier en Corée du Nord pour m'y faire subir des expériences atroces et sordides ». Un soir, alors qu’on l’a désintubé, Philippe décide de s’enfuir. « J'arrivai par reptation du bassin et au prix d'efforts terribles à m'approcher du bord du lit, au fond, là où on n'avait pas jugé utile de relever la barrière. Je
m'y assis et fermais les yeux. Une heure et quelque plus tard, un aide-soignant passant dans le couloir me trouva dans cette position, toujours assis au bord du lit, épuisé, hébété,
pataugeant dans des excréments liquides malgré les couches que je portais, câbles et tuyaux me reliant à la vie tendus à se rompre, et ne trouvant à dire que "pardon, j'ai fait un
cauchemar". »
Une semaine après son réveil, Philippe retrouve sa lucidité et va un tout petit peu mieux. Assez pour être transféré, « le corps explosé et le mental en miettes », dans un service d’infectiologie. Objectif : le « débarrasser des cadeaux que la réa et le Covid m'avaient
laissé: du diabète, de l'hypertension et des reins à l'arrêt qui devaient redémarrer après trois semaines de séances de dialyse, dont j'eu peur qu'elles ne deviennent mon menu bi-
hebdomadaire pour la vie. J’ai eu de la chance, ça ne redémarre pas chez tous les
patients… »
Un autre présent lui a aussi été fait, une « neuropathie de réanimation ». Complication
fréquente des soins intensifs. Chez Philippe, des nerfs ont souffert, situés en haut de ses fesses comprimées par l’immobilité de ses neuf jours de coma. « A mon réveil, mes deux pieds étaient inertes et se baladaient au gré de la gravité. Le droit a retrouvé un peu de mobilité et de tenue mais le gauche, non. À ce jour il ne m'obéit toujours pas.» La neuropathie est aussi la cause de « douleurs inimaginables, inhumaines, comme un feu d'artifice dans chaque pied 24 heures sur 24. On a envie de s’arracher les pieds, on ne dort pas la nuit puis on finit par s’écrouler d’épuisement en journée. » Une souffrance qui n’a pu être mise en sourdine qu’après plusieurs semaines
lorsque, ses reins recommençant enfin à fonctionner normalement, Philippe a enfin pu
recevoir les bons médicaments aux doses adaptées.
Durant ces mois passés à l’hôpital, un kinésithérapeute « m'a petit à petit remis sur pieds, au sens propre ». Mi-juin il montait « 6 marches d’escalier, agrippé d’un côté à la rampe, de l’autre au kiné ». Faute d’avoir obtenu une place dans un service de rééducation débordé par l’afflux de patients Covid, il aura droit à partir de fin août (« pendant l’été, c’est fermé… ») à 3 journées par semaine en hôpital de jour. « Cette rééducation ne va pas changer mon pronostic, les nerfs reprendront leur office ou ne le reprendront pas. Il s’agit davantage d’apprendre à me débrouiller avec ce handicap. »
Avant de quitter l’hôpital, Philippe s’est fait vacciner. « Une fois, ça suffit… Faites-vous
vacciner, pour vous, pour vos proches, pour les autres et pour votre pays, je vous en prie, ne
tentez pas le diable, faites-vous vacciner aussi vite que possible ». Désormais, Philippe est
rentré chez lui, mais la vie qui a suspendu son vol un jour d’avril n’a pas encore repris son
cours normal : le voilà affublé d’attelles fixées à ses chevilles pour bloquer ses pieds inertes.
« Je marche désormais avec mes jambes, mais pas avec mes pieds ». Il est aussi accompagné d’un « fidèle destrier que j'ai appelé Range Rover, et qu'on trouve dans le dictionnaire à cette dénomination qui m'est insupportable, "déambulateur" ». Avec ses problèmes d’équilibre, l’engin est indispensable à l’extérieur où « rien n’est plat. J’ai des problèmes d’équilibre, parce que les informations normalement véhiculées par les nerfs ne « remontent » plus depuis mes pieds. C’est terrible, à 45 ans, de marcher en déambulateur. » Les douleurs sont
maîtrisées grâce aux médicaments, mais là encore nul ne sait si elles disparaîtront. Sa
rééducation durera « des mois, un an peut-être. « Sans garantie aucune de recouvrer toutes mes capacités. »
_________________________________________
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
_________________________________________
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
.
👉 Le témoignage complet que j'ai écrit et qui a servi de base à cet article :
« Je suis vivant. Un tube énorme remplit ma bouche, écorche la commissure de mes lèvres du côté droit. Mes poignets sont solidement attachés aux barrières du lit par des sangles. Je vois mal, et n'entends pas mieux. Mais je suis vivant. Assez pour comprendre que je me trouve dans un lit d'hôpital, entouré de machines dont la surface est constellée de lumières clignotantes. Ces machines émettent des sons étranges qui me donnent l'impression d'être sous la mer.
Est-ce que cela existe des hôpitaux sous la mer ? Est-ce pour cela que j'ai dans la bouche un tube par lequel il semble que je respire ? Mon corps, dont je peine à percevoir les limites et l'orientation, est-il entouré d'air ou bien d'eau ? Ces voix sourdes qui me parviennent, proviennent-elles d'animaux de mon espèce ou bien de mammifères marins ? Mon esprit est confus, je sens bien que je suis vivant mais j'en doute en même temps, tant rien de ce que je ressens ou perçois ne me paraît normal, à sa place. »
Ainsi commencera le roman que j'ai commencé à écrire sur ma rencontre avec le Covid et surtout mon hospitalisation qui a débuté mi avril par neuf jours de comas artificiel, suivis d'une "petite" semaine, toujours en service de réanimation, et qui fut un véritable cauchemar éveillé, avant qu'on me transfère le corps explosé et le mental en miettes dans un service d'infectiologie pour plusieurs mois.
Ce funeste moi d'avril avait commencé par des symptômes de "gripette". J'étais allé faire un test à la pharmacie, il s'était révélé "bien rouge" selon les mots de l'opératrice. Je m'étais bien entendu placé en isolement et quelqu'un m'apportait à manger chaque jour à midi. Au bout d'une semaine, je lui ai dit à travers la porte et d'une voix blanche "appelle les pompiers, s'il te plaît". Mon état s'était dégradé en quelques heures.
Ensuite, je ne me souviens plus de rien jusqu'à mon réveil dans un service de réanimation comme je le décris plus haut. Intubé, les poignets attachés pour m'empêcher d'arracher ce tube - ce qui aurait été catastrophique - j'étais totalement perdu. J'avais perdu la sensation des limites de mon corps, ce qu'on appelle la proprioception. Je me souvenais de mon identité mais c'est à peu près tout.
Très rapidement, mon esprit s'est rempli d'une angoisse d'une violence inouïe : ces gens en uniformes blancs qui me tournaient autour étaient là pour me tuer. L'un d'eux, un aide-soignant à l'allure pourtant joviale, était une sorte de Dexter. Deux jours après mon réveil, quand j'ai compris que ce serait lui qui allait s'occuper de moi la nuit à venir, j'ai fait comprendre avec mes mains qu'on avait détachées pour un moment que je voulais écrire. On me donna une tablette et un feutre. Évidemment, j'étais incapable avec mes mains qui tremblaient et mon cerveau en pagaille de tracer une seule lettre. Le message que j'avais tenté d'écrire avec l'énergie du désespoir était le suivant : "Ne me laissez pas seul avec le boucher, il va me tuer ce soir".
Imaginez-vous attaché, dans l'incapacité de parler, incapable de toute façon de vous lever et persuadé que vous allez mourir le soir-même. Je ne parle pas de cauchemars mais de pensées précises et tout à fait rationnelles à ce moment-là pour moi. Elles étaient alimentées et renforcées par des hallucinations visuelles et auditives.
À la place de flacons, je voyais des rois mages et des peluches, ce dont j'avais déduis que je me trouvais dans un service d'oncologie pédiatrique reconverti en service pour patients Covid d'un genre un peu spécial.
Par la fenêtre de ma chambre, j'avais vue sur des travaux. Sauf que pour moi, il s'agissait de tout autre chose. J'étais dans un aéroport - je voyais réellement les grosses lettres lumineuses de son nom au-dessus d'un bâtiment - et des militaires en défendaient l'entrée contre des voitures-bêlier qui venaient s'encastrer dans d'énormes blocs de béton. De ce camp retranché, on allait m'expédier en Corée du Nord pour m'y faire subir des expériences atroces et sordides, c'était certain.
Ces symptômes dûs au Covid et aux psychotropes utilisés pendant la sédation profonde allant en diminuant, mes théories ont rapidement évoluées. Devant le manque de crédibilité des premières, je suis arrivé à la conclusion que la moitié des soignants - dont la cheffe de service - voulait ma mort, et que l'autre moitié s'y opposait. Ainsi trouvaient leur explication les engueulades sonores qui me parvenaient à toute heure malgré la parfaite isolation des locaux.
Ces délires, je les cachaient aux soignants par peur qu'ils accélèrent ma fin s'ils apprenaient que j'avais percé leur jeu.
Le soir-même du jour où l'on m'a extubé, le lendemain du jour où l'on a accepté de me détacher définitivement les mains après qu'une infirmière m'eût parlé pendant un long moment en me tenant la main pour s'assurer que j'avais bien compris les enjeux et ne toucherais pas à ce tube qui m'apportait de l'oxygène et donc la vie, alors que comme les nuits précédentes je n'arrivais pas à dormir, regardant chaque dix minutes l'horloge murale aux marquages luminescents placée en face de mon lit, à côté d'une belle télévision Samsung avec la TNT et Canal+, alors que je venais de regarder sur cette chaîne le dernier film de Quentin Tarantino dont on sait que ses œuvres sont à déconseiller aux esprits fragiles, voyant sur les coups de quatre heures du matin passer dans le couloir un chariot de nettoyage du sol équipé d'un gyrophare orange, je "compris" que l'heure de mon départ avait sonné et que, dès que ce type aurait fini de préparer la piste, on allait me charger dans un avion, peut-être avec d'autres malheureux cobayes, et m'expédier au pays des Kim où ma vie s'achèverait bientôt dans d'atroces souffrances.
Je décidai donc de m'échapper. J'arrivai par reptation du bassin et au prix d'efforts terribles à m'approcher du bord du lit, au fond, là où on n'avait pas jugé utile de relever la barrière. Je m'y assis et fermai les yeux, convaincu je ne sais pourquoi que si je restais ainsi pendant deux minutes, je pourrais rouvrir mes yeux et marcher.
Une heure et quelque plus tard, un aide-soignant passant dans le couloir me trouva dans cette position, toujours assis au bord du lit, épuisé, hébété, pataugeant dans des excréments liquides malgré les couches que je portais, câbles et tuyaux me reliant à la vie tendus à se rompre, et ne trouvant à dire que "pardon, j'ai fait un cauchemar", certain qu'on allait me punir de cette tentative d'évasion.
Je retrouvai ma lucidité complète quelques jours plus tard et j'étais transféré dans un service d'infectiologie ultra moderne où on allait me débarrasser des cadeaux que la réa et le Covid m'avaient laissé : du diabète, de l'hypertension et des reins à l'arrêt qui devaient redémarrer après des séances de dialyse dont j'avais peur qu'elles ne deviennent mon menu bi-hebdomadaire pour la vie.
J'avais malheureusement aussi reçu en cadeau ce qu'on appelle une neuropathie de réa, c'est-à-dire une perte de fonction de certains nerfs situés en haut des fesses qui avaient été comprimés pendant ces neuf jours d'immobilité malgré toutes les précautions prises par l'équipe médicale. La conséquence était qu'à mon réveil mes deux pieds étaient inertes et se baladaient au gré de la gravité n'étant plus tenus par les muscles situés entre le genou et la cheville et dont c'est le rôle. Le droit devait retrouvé un peu de mobilité et de tenue mais le gauche, non. À ce jour il ne m'obéit toujours pas. On saura dans un délai de six mois à un an si c'est définitif ou pas. En attendant, je marche tant bien que mal grâce à des attelles fixées aux chevilles et aux lacets de mes baskets. À l'extérieur, je ne me déplace jamais sans mon fidèle destrier que j'ai appelé Range Rover et qu'on trouve dans le dictionnaire à cette dénomination qui m'est insupportable, "déambulateur". Je dois d'ailleurs rendre hommage au kiné du service d'infectiologie où j'ai passé plus de deux mois qui, avec une grande patience, m'a petit à petit remis sur pieds au sens propre. Je suis maintenant parti pour une rééducation qui durera des mois, un an peut-être, sans garantie aucune de recouvrer toutes mes capacités.
Cette neuropathie provoque aussi dans les pieds des douleurs inimaginables, inhumaines, avant qu'on réussisse à les mettre en sourdine par des traitements médicamenteux. La seule image approchante que j'ai trouvée est celle d'un feu d'artifice de la Tour Eiffel dans chaque pied. J'ai souffert le martyr pendant des semaines, avant que mes reins ayant repris leur fonctionnement normal on puisse enfin me donner les posologies nécessaires.
Ce que j'ai traversé, cet effroi au réveil, ces délires, ces douleurs, je ne les souhaite pas à mon pire ennemi. Quand j'entends des seconds couteaux de la politique française, des scientifiques dévoyés ou des médecins qui s'asseyent sur leur serment pour prendre un peu de lumière raconter n'importe quoi sur le Covid et les vaccins, je n'arrive même pas à leur souhaiter d'en passer par là. Mais je leur en veux terriblement parce qu'à cause de leurs égos boursouflés, d'autres que moi, comme moi après d'autres, vivront ce cauchemar éveillé et verront leur corps et leur vie mis sans dessus dessous. Il aura suffi que ces marchands de malheur les aient convaincus de ne pas se faire vacciner, ce qu'en ces premiers jours d'avril j'espérais pouvoir faire, impatient au point de m'être inscrit sur un site recensant les doses "perdues", sans avoir eu la chance qu'une me soit proposée avant ma rencontre avec ce virus maudit.
Pour vous, pour vos proches, pour les autres et pour votre pays, si vous l'aimez, je vous en prie, ne tentez pas le diable, faîtes-vous vacciner aussi vite que possible.
0 notes
soul-and-blues · 4 years
Text
j’ignorais alors que je naîtrais d’une main sur ma cuisse d’un souffle sur ma nuque que je m’accoutumerais à renaître à coups de caresses à flancs de falaise comme un chien défiant la mort ma voix dans le soulier de Galilée mes yeux égarés entre nuit et aube j’ignorais que la langue pouvait rompre le poème entre les éclats du matin et la rampe d’escalier j’ignorais qu’il me faudrait apprendre à tomber Sylvie Nicolas
8 notes · View notes