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#petite-patrie
la-chau · 10 months
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I LOVE that the ads I'm seeing on Tumblr are the same as the ones on the electrical poles in my neighborhood.
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theautisticfroglord · 9 months
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fun fact: in the episode 92 "clover clips"/"petit clover" segment, patry meowed
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nothingexistsnever · 1 year
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julienrouvel · 1 year
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Il ne fait jamais vraiment nuit quand on se balade dans Montréal la nuit.
✅ Réseaux sociaux : Instagram | Behance | Dribbble
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summerfevers · 2 months
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uncle just said to me that rosemont is not part of any borough it's just montreal... as though there are parts of this city that are just floating, loose, free from the constraints of any borough...
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montrealmagique · 1 year
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Rue Beaubien
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aurevoirmonty · 2 months
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« La patrie ne désignait pas les états de la Maison de Savoie, ni même l'ensemble des vallées. Rien que la terre des pères… Quelque chose de très limité : la commune, le village, la ferme et ses champs alentours… Avec ses émigrés qui reviennent mourir au village, ses paysans pauvres qui ne vendent pas leur terre à l’étranger, son sens de la continuité raciale, sa fidélité a la langue maternelle - le français - le Pays d'Aoste a maintenu une conception de la petite patrie, la seule qui, à l’épreuve des siècles, demeure. »
Saint-Loup, Pays d'Aoste.
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gwennpetrichor · 6 months
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#Writever Novembre 2023
1. Malédiction.
Trois siècles après l'abattement de la malédiction sur notre famille, la pratique de retirer le sang et les vicères des corps des défunts était totalement passée dans les moeurs. Et plus personne ne demandait pourquoi clouer le couvercle des cercueils.
2. Âmes
Combien d'âmes pour racheter une vie ?
Un million.
Alors vous comettez un million de meurtres pour chaque rituel ?
Quels meurtres ? Il n'est pas nécessaire de les tuer auparavant
Ho… ho oui cela explique beaucoup de choses.
3. Guerrier
Profession ?
Soldat !
Les limbes.
Mais je me battais pour ma patrie !
Vraiment ? Vous n'étiez pas contreint et forcé ? Par l'économie, un contrat, une dette ?
Bien sûr que non, je ne faisais que mon devoir !
Dans ce cas, en bas !
4. Justice
(suite)
Il n'y a donc aucune justice dans l'au delà ?
Bien sûr que si, vos victimes n'étaient pas toujours des anges, beaucoup attendent dans les limbes. Et on s'y ennuie mortellement… Donc nous les chargeons d'inventer vos supplices.
5. Napoléon
Napoléon Bonaparte, tueur en série…
Ahem
Hm?
On dit Empereur.
Du pareil au même.
Tout de même… le prestige !
En matière de prestige, on a inventé un supplice juste pour vous ! Un diablotin vous suivra partout en criant "l'intendance suivra". Et bien entendu, vous aurez soif, froid et faim tout le long.
6. Androgyne
Genre ?
Agenre
Je ne peux pas entrer ça…
Mon corps est à 75% robotiquement augmenté, mon métier est psychologue pour IA de l'industrie spatiale, et vous me prenez la tête pour les cases M et F ?
C'est que… c'est l'informatique…
7. Incurable
La polio… le SIDA…
La dyphtérie… la petite vérole… les brûlures au 3ième degré…
Les nuées de sauterelle, les maladies de rats, les chiens enragés…
Tout. On a presque tout guéri, éradiqué, soigné, contré. TOUT.
PUTAIN DE MOUSTIQUE !
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blackcloverdatabase · 2 years
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Thank you Petit Clover Advance for giving me a whole episode featuring the same face trio being silly together and making silly Mabushii puns
For those who don't know, “Mabushii” means "dazzling" or "radiant"!
Here’s the puns from that episode explained: 
William brings out a bowl of Japanese food in this episode. The dish is called “Mabushidon" and it’s basically eel over a bowl of rice
Later, Licht pulls out a snake. It’s called a ”Mamushi", which is the Japanese name for a pit viper
After that, Patri starts dancing a dance called the “Soran bushi”. It’s a traditional Japanese sea shanty. It’s also referenced in another anime, Kaguya-sama - Love is War
So in their episode, we have a Mabushii Mabushidon, a Mabushii Mamushi, and a Mabushii Soran Bushi! 
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klimt7 · 5 days
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HK - Toi et moi, ma liberté (Officiel)
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Testo :
"Citoyens du monde"
HK & Les saltimbanks
Testo della canzone Citoyen du Monde (HK & Les saltimbanks), tratta dall'album CITOYEN DU MONDE
Je n'ai pas d'hymne guerrier pas de patrie pas de président
Je n'ai pas d'autre armée que celle de ceux qui veulent combattre pour l'amour en dépit des lois de l'argent
Je n'ai pas d'hommes à exploiter pas de richesses à créer pour mon compte
Je n'ai pas de territoires à défendre contre ces pauvres gens qui viennent des quatre coins du monde
Et si il nous fallait crever de faim ici tous ensemble, soyez les bienvenus
Plutôt mourir que de vivre dans l'abondance, couvert de vêtements quand tellement d'autres sont nus
Wo Yo
Wo Yo Yo Yo
Citoyens du Monde, partisan d'un Monde sans Frontières
Wo Yo
Wo Yo Yo Yo
Citoyens du Monde, partisan d'un Monde sans Frontières
Il y a le bon étranger, celui que tu accueilles les bras grands ouverts
Et il y a le mauvais, celui que tu pourchasses dès qu'il a franchi ta frontière
Il y a le bon, celui qui te sera utile
Et il y a le truand, celui que tu ne veux surtout pas voir arriver dans ta ville
Si tu cherchais la brute, va là où on parle dollar cash et pétrole brut
Mais ne cherche surtout pas le sherif je l'ai shooter quand il m'a dit qu'il ne défendait que les riches
Wo Yo
Wo Yo Yo Yo
Citoyens du Monde, partisan d'un Monde sans Frontières
Wo Yo
Wo Yo Yo Yo
Citoyens du Monde, partisan d'un Monde sans Frontières
Et si ta pars ne suffit pas, tu en prendra d'autre sans avoir à te battre
Il y a tellement de petits sur cette Terre, tellement facile à abattres
Vois toutes ces frontières ce ne sont que de sombres cicatrices
Plaies ouvertes d'anciennes conquêtes, vestiges de vains sacrifices
Tant de pauvres soldats envoyés au charbon sont morts
Quand bien au chaud la victoire était fêter au champagne, par leurs colonels
Il y a qu'un seul rêve que je poursuive qu'une seule phrase qui en moi résonne
Par-delà les frontières la Terre doit appartenir à tous ou à personne
Wo Yo... Wo Yo Yo Yo
Citoyens du Monde, Partisans d'un Monde Sans Frontières
Wo Yo... Wo Yo Yo Yo
Citoyens du Monde, Partisans d'un Monde Sans Frontières
Wo Yo... Wo Yo Yo Yo
Citoyens du Monde.
Partisans d'un Monde Sans Frontières
Citoyens du Monde
Wo Yo... Wo Yo Yo Yo
Partisans d'un Monde Sans Frontières
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claudehenrion · 27 days
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''Sansal… tionnel !''
Il est des personnes que l'on regrette vraiment de ne pas connaître : en ce qui me concerne, il m'arrive parfois d'être jaloux (NB : Je sais : je devrais ajouter “ce qui n'est pas beau”… mais je me moque des convenances !) de ceux qui ont un libre accès à la pensée de tel ou telle de ces contemporains que j'admire si fort. Oh ! Rassurez-vous : ils sont si peu nombreux que je n'ai pas besoin d'une “cellule d'assistance psychologique” pour m'aider à survivre dans ce monde qui devient si antipathique : c'est l' existence de quelques belles âmes qui le rend fréquentable !
Vous l'avez compris en lisant le titre de cet éditorial : Monsieur (j'insiste !) Bouallem Sansal fait partie de mon petit “Panthéon personnel” –qui a très très peu de points communs avec celui qui trône en haut de la Montagne Sainte Geneviève : à ceux qui y sont entreposés, “la Patrie reconnaissante” déverse ses honneurs glacés… Aux miens, l'admiration émue d'un clampin inconnu dont l'opinion compte pour du beurre… Je ne leur offre que ce que je peux leur donner, mais au moins, sans aucune intention politique, ce qui les protège des modes….
La raison de mon admiration pour ce grand écrivain, immense penseur et sage entre les sages remonte un peu dans le temps. Par une chance insolente, j'ai lu son premier livre, en 1999, Le Serment des Barbares, où ce berbère du Rif devenu algérien (ce qui, si vous me permettez cette insolence mesurée, fait de lui un des fils de la grande tribu des Zemmour… ce qui peut être lu de plusieurs manières !) osait des jugements que personne d'autre n'aurait l'audace de porter : “L'Université [algérienne] enseigne en arabe-algérien, qui est un sabir fait de t'amazight (NB : la langue berbère), d'un arabe venu d'ailleurs, de turc médiéval, de français du XIX ème siècle et d'un soupçon d'anglais new-age”. Tant de vérités “insupportables” en une seule phrase… il faut oser ! Musulman, il a le droit de dire ce qu'il pense !
Je me suis rué ensuite sur Le Train d'Erlingen ou La Métamorphose de Dieu, une réflexion sur les crises migratoires et la montée en puissance de l'islamisme en Europe, et je n'ai pas été déçu tant y abondent les “pépites” magnifiques : “L'Europe a peur de l'islamisme, elle est prête à tout lui céder. […] La réalité en boucle n'a pas d'effet sur les gens (…) : en Algérie, durant la décennie noire, les gens qui, au début, s'émouvaient pour une victime du terrorisme ont fini après quelques mois de carnage par ne ressentir d'émotion que lorsque le nombre des victimes par jour dépassait la centaine, et encore devaient-elles avoir été tuées d'une manière particulièrement horrible. Terrible résultat : plus les islamistes gagnaient de terrain et redoublaient de cruauté, moins les gens réagissaient. L'info tue l'info, l'habitude est un sédatif puissant, et la terreur, un paralysant violent”. Ce n'est pas encourageant pour notre avenir prévisible ! Mais nous, nous le savions...
Bouallem Sansal est connu pour ses propos critiques envers l'islam, sur lequel il écrit : “La religion me paraît très dangereuse par son côté brutal, totalitaire. L'islam est devenu une loi terrifiante, qui n'édicte que des interdits, bannit le doute, et dont les zélateurs sont de plus en plus violents. Il faudrait qu'il retrouve sa spiritualité, sa force première. Il faut libérer, décoloniser, socialiser l'islam”. Non seulement il ose, lui qui sait de quoi il parle, ce que nul autre n'oserait, mais il est très critique envers la France, à très juste titre : “La France ne sait toujours pas se déterminer par rapport à l’islamisme : est-ce du lard, est-ce du mouton, est-ce de la religion, est-ce de l’hérésie ? Et pendant ce temps, le boa constrictor islamiste a le temps de bien s’enrouler, il va bientôt l’étouffer pour de bon”. (NB : c'est encore moins rassurant !)
Ce géant de la pensée (à mes yeux), a publié en janvier dernier un nouveau roman-fiction, “Vivre, le compte à rebours” (Ed. Gallimard), dont la lecture m'a plongé dans des extases devant une telle intelligence et un tel langage : cet homme me semble être l'archétype de ce que la meilleure partie de la France rêvait de faire naître dans les pays de Empire, et la preuve que cette “émancipation” n'était pas un rêve fou, mais un objectif atteignable.J'ai des souvenirs émus de camarades de lycée dont “l'intégration” frôlait la perfection, mais qui savaient rester “arabes”. Chapeau !
Sansal, après un bref survol de l'histoire proche des années ‘60-'80 et leur consumérisme triomphant, suivi de l'effondrement de tous les narratifs sur lesquels reposent encore, à contre-temps total, les systèmes de référence en usage, raconte comment la vie (avec laquelle certains continuent à faire joujou, comme on en rêvait il y a un demi-siècle) est… mortelle, et que “écrire sur tout autre sujet reviendrait donc à sacrifier encore à l'insouciance, jusqu'à l'indécence”.
Suit un descriptif cruellement exact de notre actualité : “Notre époque pense petit, bête, et même ne pense même plus, nous enfermant dans sa nullité. Regardez et écoutez les politiciens : vous comprendrez tout” ! (NDLR : A l'élégance et au style près, c'est ce que je répète, dans ce Blog, depuis une douzaine d'années… d'où mon enthousiasme en le lisant !). Il va même plus loin : “Notre monde ultra mécanisé est devenu trop triste, et trop pauvre : il ne propose rien d'autre que du normatif, et de l'abrutissement pour mourir sans douleur” (cf. les projets contre-nature et totalement déshumanisants, du “credo” assassin de toute humanité digne de ce nom , dont rêve Macron…). L'école était une planche de salut … Elle a failli à sa mission : “Elle est sinistrée, et rien ne semble pouvoir la sauver : elle a perdu jusqu'au sens de l'histoire et l'intrication de l'homme avec la nature…”.
De manière étrange, ce musulman, assez tiède mais qui préfère tout de même “vivre à Bou Merdès”, ose des rapprochements tout-à-fait inhabituels (un peu comme le fait Zemmour) et inattendus : “La Trinité a été un merveilleux ’'Credo” (NDLR : ce n'est pas moi qui vais dire le contraire !) qui a permis au catholicisme de bâtir la brillante civilisation apostolique et romaine qui a rayonné sur le monde pendant deux millénaires. Mais elle se retrouve en faillite totale : le Pape lui-même n'y croit plus et ne fait plus que de la politique et de la géo politique, au nom d'un pacifisme pour enfants’’... Et c'est un musulman ex-colonisé qui écrit ces beautés !
Il précise même : ’'La magie catholique s'est éteinte, et on s'est alors tourné vers d'autres ’'trinités” pour faire tourner la terre, en combinant les termes : patrie, famille, peuple, partis, unité, révolution, progrès… Toutes ont échoué, y compris la dernière tentative à ce jour, le “wokisme”. En fait, ce vocable ne recouvre que le “énième” contrecoup de la sortie, dans le désordre complet, du “religieux dans sa version chrétienne, qui mettait en avant la charité, l'amour du prochain, la culpabilité, et la repentance… en un mot : la Sainteté”. Or le “wokiste”, est un homme forcément blanc (les autres sont décolonialistes, des racistes-se-disant-anti-racistes, des inter-ceci ou des phobes-cela, etc. Mais seul le Blanc doit payer pour “un juste retour des choses”. Pour Sansal, “le ’'wokisme”, c'est fumisterie et coquetterie sado-maso’’. Il parle d'or… “Bouallem Chrysostome”, si j'ose !
Le dernier péché capital en date du siècle touche à l'écologie punitive… C'est un moyen apparemment simple pour punir tous les autres sauf soi de fautes inventées “après l'obstacle”. A cause de cette forme de soi-disant ’'écologie’’, ce laboratoire du développement de la folie destructrice, du châtiment et d'un “bon droit” redéfini. Tout est devenu punitif, dans tous les domaines : justice, économie, gouvernance, culture, science, prospective… Cette non-écologie est en réalité une formidable machine à répandre un droit tordu et à punir qui on a envie de punir... en lui disant que c'est lui qui a tort, sans lui dire pourquoi… puisque c'est faux !
La conclusion est superbe : en décrétant que le Coran est la parole vivante d'Allah, et que Allah est musulman et ne parle que l'arabe, l'islam a cru se doter d'un pouvoir absolu sur tout l'univers. Résultat : le monde musulman se retrouve dans un état de folie infinie, sans le moindre espoir de rémission : il “existe” dans la violence et la haine, mais il ne “vit” plus’’. Aujourd'hui, la plupart d'entre nous “existons” encore, mais est-ce que nous “vivons’' ? ’'Vivre,” c'est justement échapper aux pesanteurs de l'existence, pour se fondre dans un univers “à un étage supérieur”. Aurions-nous perdu toute possibilité de retrouver un jour ce que Sartre appelait (en se trompant sur les mots, comme sur tout, toujours) “les chemins de la Liberté’' qui n'étaient que ceux de son enfermement… ?
H-Cl.
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graceandfamily · 6 months
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2023 : Le Prince chez lui. Rainier III en images
À l’occasion de la commémoration du centenaire de la naissance du prince Rainier III (1923-2005), les Archives du Palais et l’Institut audiovisuel de Monaco présentent, dans le cadre du parcours des Grands Appartements, une centaine d’images, fixes et animées, souvent inédites. Représentatives de la personnalité et de l’œuvre du souverain, prises au palais et dans ses autres lieux de résidence, ces images sont mises en relation avec des objets et des documents d’archives.
Le Prince Rainier était véritablement chez lui au Palais de Monaco. Premier souverain à y être né depuis Honoré IV en 1758, Rainier III s’est attaché tout au long de son règne à restaurer et défendre l’identité de son pays, fidèle au message qu’il adressait aux Monégasques, dans la cour d’Honneur du Palais, le 19 novembre 1949, jour de son intronisation : « L’avenir de notre petite patrie, c’est en nous-mêmes qu’il réside, en vous tous assemblés autour de notre drapeau, dans la volonté commune de lutter pour la sauvegarde de notre indépendance et la défense de notre souveraineté. Si nous restons unis, cet avenir nous appartient : c’est la garantie de notre existence même. Plus que jamais, il ne peut être question que de Monaco : n’oublions pas qu’au-dessus des partis il y a la Patrie, au-dessus des intérêts particuliers, l’intérêt du pays. »
Cette exposition présente la vie et le règne du prince Rainier sous trois angles.
Celui du souverain d’abord, dans l’exercice de ses fonctions, qui « paperasse au bureau » selon son expression, entouré de ses collaborateurs, fêté chaque 19 novembre selon un cérémonial bien précis. C’est là, dans la Maison des princes que sont reçus les chefs d’État et les hôtes de marque, que se déroulent les actes majeurs de la vie politique, que la tradition de mécénat artistique des princes de Monaco se perpétue. Là encore que se construit patiemment l’image publique du prince, à travers les médias.
Celui de l’homme ensuite, dont les différentes maisons correspondent aux différents âges de sa vie : le Palais de Monaco où il nait et grandit jusqu’à ses études et le tumulte de la guerre, la villa Ibéria à Saint Jean Cap Ferrat où le prince célibataire séjourne jusqu’à son mariage avec l’actrice Grace Kelly, la maison de Rocagel, qu’il destine à la vie de famille, enfin le château de Marchais, demeure historique des Grimaldi depuis 1854, refuge de toute une vie.
Dans ce parcours, ne sont pas oubliés les passions personnelles du prince, qui permettent de comprendre sa personnalité et ses engagements. Lorsqu’il quitte l’uniforme de souverain ou les habits du père de famille, Rainier enfile sa blouse de travail pour se retirer dans son atelier où il modèle des sculptures en fer forgé.
Le quatrième et dernier temps de l’exposition est consacré aux grandes heures du prince au Palais. Sept séquences ont été retenues dans le plus long règne personnel de l’histoire monégasque : Devenir prince (1944-1949) ; le « couronnement » (1949-1950) ; l’arrivée de la princesse (1955-1956) ; une nouvelle constitution (1962) ; la république au Palais (1951-2005) ; « le Palais de la mer » (1976) ; commémorer l’histoire (1966-1999).
Thomas Fouilleron et Vincent Vatrican
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sieclesetcieux · 1 year
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Translation:
Marc-Antoine Jullien son was certainly the youngest figure to play a political role in the Revolution. Born in 1775, he was 16 years old when he was accepted as a member of the Club des Jacobins, where not anyone was allowed, and spoke at the rostrum to everyone’s astonishment - his voice had barely changed, and he was rather short. He was 18 years old when the Committee of Public Safety sent him, in August 1793, in the Western départements on a surveillance mission of the highest importance, for which he had to write frequently; he was by far the most active of those Michelet called Robespierre’s missi a determining role maybe, which we will talk about later.
Saint-Just, whom he knew closely in Year II, and was 7 years older than him [Jullien], wrote in 1791: “Because I was young, it seemed to me that I was closer to nature.” Jullien later took the same idea: “still young, but thus [...] farther from corruption”, and clearly felt like he was vested by his very youth, by the purity it gave him, to a revolutionary legitimacy in his mission. Elsewhere, he demanded equality of age with his elders. In 1794, in Bordeaux, [he wrote]: “I am old in the career of liberty: I am the same age as all the French.” Already in early 1792, he wrote to Jacobin leaders: “The true patriots, the firm friends of the Revolution are those who wished it before it happened, who got ahead of it by their desires […] in a time when the word of patrie was barely a French word. However, I can flatter myself to be among those pure patriots […] because
[cont. next page] I was the friend of the Constitution before there was even a Constitution” - that is, at the age of 14! “The Child and the Revolution” [title of the book this is published in] - here we see the child as actor of the Revolution.
From: Pierre De Vargas, "L’éducation du « Petit Jullien », agent du Comité de salut public", in Marie-Françoise Levy, L'enfant, la famille et la Révolution française, 1989, p. 219-248. (Here are p. 219-220.)
(Please note that the rest of the article is extremely biased against Year II, rambles nonsense about "pre-totalitarianism" and borders on reactionary trash.)
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murderballadeer · 10 months
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in yet another step of my plan to be as annoying about mtl as some new yorkers are about nyc i'm going to start talking about mtl neighbourhoods as if everyone knows where they are. park ex. cote-st-luc. rosemont-la-petite-patrie. st.-michel. villeray. little burgundy. cote-des-neiges. notre-dame-de-grace
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Qu’est-ce que l’armée depuis l’Antiquité ? C’est une institution quasi religieuse, avec son histoire propre, ses héros, ses règles et ses rites. Une institution très ancienne, plus ancienne même que l’Église, née d’une nécessité aussi vieille que l’humanité, et qui n’est pas près de cesser. Chez les Européens, elle est née d’un esprit qui leur est spécifique et qui, à la différence par exemple de la tradition chinoise, fait de la guerre une valeur en soi. Autrement dit, elle est née d’une religion civique surgie de la guerre, dont l’essence tient en un mot, l’admiration pour le courage devant la mort.
Cette religion peut se définir comme celle de la cité au sens grec ou romain du mot. En langage plus moderne, une religion de la patrie, grande ou petite. Hector le disait déjà à sa façon voici trente siècle au XIIème chant de l’Iliade, pour écarter un présage funeste : « Il n’est qu’un bon présage, c’est de combattre pour sa patrie » (XII, 243). Courage et patrie sont liés. Lors du combat final de la guerre de Troie, se sentant acculé et condamné, le même Hector s’arrache au désespoir par un cri : « Eh bien ! non, je n’entends pas mourir sans lutte ni sans gloire, ni sans quelque haut fait dont le récit parvienne aux hommes à venir » (XXII, 304-305). Ce cri de fierté tragique, on le trouve à toutes les époques d’une histoire qui magnifie le héros malheureux, grandi par une défaite épique, les Thermopyles, la Chanson de Roland, Camerone ou Dien Bien Phu.
Dominique Venner
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mmepastel · 6 months
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Petite merveille limpide et fantaisiste.
Avec Gaëlle Obiégly, je retrouve la famille des autrices comme Jakuta Alikavazovic, Sigrid Nunez, Dubravka Ugresič… des autrices qui inventent une forme, qui ont des idées, profondes et saugrenues à la fois.
Ici c’est un monologue qui ressemble très fortement à une parole autobiographique. Là aussi, le propos avance par association d’idées, par ricochet ou coq-à-l’âne. C’est décousu et déstabilisant. On sent un humour assez piquant qui accompagne l’ensemble des assertions ou des démonstrations plus ou moins convaincantes. Ce qui m’a plu, c’est le ton, et l’honnêteté.
A travers ce que la narratrice présente comme une conférence (!), dans laquelle elle veut vraiment être écoutée même si elle s’attend à être incomprise, il est question d’une foule de choses ; au cœur, le soldat inconnu ; précisément parce qu’il est inconnu, totalement inconnu, et que l’article défini le présente faussement comme un individu, alors que précisément, à travers lui, on honore la mémoire des soldats, dans leur ensemble, dans leur totalité, pour leur abnégation, qui les a fait renoncer à être autre chose que des outils de la patrie. Justement, ce qui intéresse l’auteur c’est cette frontière entre l’individuel et l’universel. Qu’est-ce qui fait qu’on est soi ? Une somme de connaissances ? Elle semble avoir beaucoup occupé son existence à se remplir de savoirs divers, pour les posséder, et en être ainsi augmentée.
Elle relate d’ailleurs sa curiosité insatiable, son désir d’apprendre. Notamment concernant la mort. Elle voudrait savoir des choses qu’elle ne peut pas savoir comme : qu’est-ce que ça fait qu’être mort ? En même temps elle constate sa connaissance de choses qu’elle ne peut logiquement pas connaître : elle connaît la Finlande sans y avoir mis les pieds. Elle est pleine de paradoxe et s’en amuse.
Elle joue à comparer la connaissance livresque et la réelle, empirique. Qui ne coïncident évidemment pas mais présentent des avantages spécifiques indéniables. Peut-on rêver sa vie ? Peut-on inventer la réalité ?
Ces questions posées, à elle-même et au lecteur, ses tentatives de réponses, sont passionnantes. Mais son livre est loin d’être uniquement abstrait et intellectuel. Elle raconte des expériences, et certaines m’ont vraiment interpelée. On voit dans ces passages un œil attentif au réel, à la société, à ses classes. Le personnage de sa grand-mère, Yvette, est éblouissant. A travers l’individualité d’Yvette, être d’exception, aimée, elle réussit à transmettre un destin limité par la pauvreté, mais illuminé par un tempérament miraculeusement heureux, en même temps qu’un portrait de la vieillesse dans les Ehpad, où elle a l’œil acéré et juste pour les locataires mais aussi pour les employés.
Je recommande cette lecture pour ceux et celles qui cherchent de la nourriture pour leur esprit, pour qui n’a pas peur de se perdre en circonvolutions fantaisistes et d’attraper deci-delà des fulgurances savoureuses. C’est un livre stimulant et réjouissant. Unique en son genre. Une perle.
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