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#paysagiste bordeaux
scrapxrat · 4 months
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Decking Bordeaux a picture of a sizable, full-sun backyard with retaining walls and decking in the spring.
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whattheshift · 7 months
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Transitional Landscape Bordeaux Inspiration for a sizable, full-sun backyard with retaining walls and decking in the spring.
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tjabez · 7 months
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Transitional Landscape - Landscape This picture shows a large, transitional backyard with decking and full sun retaining walls.
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fyeahimanengineer · 8 months
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Bordeaux Landscape Photo of a sizable, transitional, full-sun backyard landscape with retaining walls and decking in the spring.
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zeraiya · 9 months
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Landscape Decking in Bordeaux Inspiration for a sizable, full-sun backyard with retaining walls and decking in the spring.
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justalittledisneygirl · 9 months
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Landscape in Bordeaux a picture of a sizable, full-sun, retaining wall-and-deck-equipped backyard in the spring.
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metenee · 9 months
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Front Yard - Decking This is an illustration of a sizable farmhouse front yard with decking.
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sicksoftperfection · 11 months
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Transitional Landscape in Bordeaux Photo of a sizable, transitional, full-sun backyard landscape with retaining walls and decking in the spring.
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youngkaezy · 1 year
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Retaining Walls - Transitional Landscape Inspiration for a large transitional full sun backyard retaining wall landscape with decking in spring.
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mollat-bordeaux · 1 year
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♥️♥️♥️ Catalogue d’exposition Isamu Noguchi @museelam éd. @beauxartsflammarion disponible au rayon Beaux-arts de la @librairie_mollat . Pour fêter ses 40 ans le LaM (Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut) consacre au sculpteur, peintre, désigner, scénographe, architecte paysagiste, architecte… Isamu Noguchi sa première grande rétrospective en France ! Un événement ! #isamunoguchi #noguchi #art #beauxarts #librairie #mollat #bordeaux (à librairie mollat) https://www.instagram.com/p/Cpz3O18Dr4T/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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kojemohe · 14 days
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PaysaConcept
PaysaConcept, situé à Bordeaux, est le partenaire idéal pour transformer vos espaces extérieurs en véritables œuvres d'art. Notre équipe, composée de jardiniers et architectes paysagistes dévoués, se spécialise dans la conception sur mesure de jardins qui reflètent vos désirs les plus profonds. En tant que paysagistes reconnus à Bordeaux, nous combinons expertise technique et sensibilité artistique pour créer des espaces verts uniques et harmonieux. Que vous rêviez d'un havre de paix ou d'un espace de vie extérieur fonctionnel, PaysaConcept apporte son savoir-faire pour réaliser le jardin de vos rêves, en alliant esthétique, praticité et respect de l'environnement.
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iahald · 4 months
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paysagistes bordeaux
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Bonjour tout le monde !
Je m’appelle Alicia et aujourd’hui je vais vous parler de mon expérience professionnelle en tant que paysagistes bordeaux.
Ayant toujours aimé les beaux paysages, les belles fleurs et la nature, je voulais faire un métier qui se rapprochait de cela. Après avoir fait une formation de fleuriste, j'ai voulu aller plus loin et c'est là que j'ai découvert le métier de paysagistes bordeaux.
Grâce à ce métier, j’ai pu travailler pour des particuliers ou des professionnels et mettre à profit ma créativité pour faire de leur extérieur quelque chose de magnifique, à leur image et selon leurs envies.  
Afin de devenir paysagistes bordeaux, j’ai tout d’abord commencé par faire un BTS AP (Aménagements Paysagers) et à Bac+2 j’ai intégré l’École nationale supérieure d'architecture et de paysage de Bordeaux pour une formation de trois ans.
En tant que paysagistes bordeaux, nous avons beaucoup de tâches à accomplir : comme la création ou rénovation d’espaces verts publics ou privés, la création d’esquisses et de plans d’aménagement, l'organisation des travaux, l’entretien de jardins...
Le métier est vraiment proche de la nature, vous pouvez travailler avec beaucoup d'autres professionnels ainsi que avec vos clients qui débordent parfois d'idées incroyables. Les paysagistes bordeaux sont de plus en plus demandés ces derniers temps, surtout en grande ville car les gens ont de plus en plus envie d'avoir un espace vert, un côté naturel dans leur extérieur ou même sur les places publiques. Mais également dans les campagnes ou de plus en plus de gens déménagent afin d'avoir un espace tranquille et reposant, et quoi de mieux pour cela d'avoir un magnifique jardin ?
Alors si ce métier vous intéresse, si vous aimez la nature, n'hésitez plus et devenez paysagistes bordeaux !
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menportraitsseries · 3 years
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Pierre-Albert Bégaud (1901-1956) El Pelotari Jean Argain Huile sur toile, 73 x60 cm   Collection privée.
Pierre-Albert Bégaud est un peintre portraitiste et paysagiste français de l'Ecole de Bordeaux. Il peignit des paysages de la Côte d’Argent (Pays basque et en particulier Bidarray), des portraits, des natures mortes et des nus. Son œuvre décorative reste encore aujourd'hui très importante. En 1937,  pour la Bourse du travail de Bordeaux, il réalisa les panneaux La forêt landaise et Le pin landais. Il décora  aussi la salle du conseil de la mairie d'Orthez ainsi que des maisons particulières dans un style néo-Louis XVI très apprécié par ses commanditaires de la bourgeoisie locale. Optant pour un style plutôt néo-classique dans ses nus et ses portraits, il oscille entre le classicisme, et les influences conjuguées de Gauguin, Puvis de Chavannes et de l'art déco ! Très attaché à a composition et au dessin rigoureux, il se tailla la réputation d'être un excellent portraits mais il fait partie de la génération d'artistes oubliés de l'entre-deux-guerres comme Marius de Buzon par exemple. Peintre-décorateur de théâtre, il réalisa le rideau de scène de Pelleas et Mélissande  de Debussy ainsi que quelques décors de L'Or du Rhin de Wagner. pour l'opéra de Bordeaux. Il eut aussi une certaine notoriété comme affichiste et travailla pour de grandes marques commerciales  comme ...
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memoire2cite · 3 years
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la cité YVES FARGES à terres neuves une constr de decembre 1961 ! Dans les années 60 la Ville est confrontée à une grave crise du logement, dans la cité ouvrière, les logements sont saturés. Bègles compte plus de 27 000 habitants en 1968. Pour y remédier les élus, dont Simone Rossignol, 1ère adjointe déléguée au logement et à l'aide sociale, lancent des chantiers de grands ensembles : la cité Monmousseau puis Yves Farges à Terres Neuves. Puis le 25 oct. 2010  Les habitants d'Yves-Farge pensaient déjà à l'avenir. A 10 h elles ont fait boOom..ses tours symbolisant la cité ouvrière des années 60 ... https://dailymotion.com/video/x1un8a la tour F de la cité Yves-Farge à Bègles (Gironde) a été foudroyée. C'est la troisième tour ainsi effacée du paysage depuis 2007. Cette démolition marque « une nouvelle étape dans l'aménagement du quartier Terres-Neuves, qui comptera 1 000 logements, 15 000 m 2 de locaux d'activités créatives, des équipements et des locaux professionnels (120 000 m 2 Shon au total) », estime André Lassansaa, directeur général de la Saemcib, bailleur social et maître d'ouvrage du renouvellement urbain du nord-est de la commune. Les constructions destinées au relogement sont situées dans un périmètre de 500 m des anciennes tours, conformément au souhait de Noël Mamère, maire et président de la Saemcib. « C’était alors une population mixte à Yves Farge : ouvriers d’usine, ceux de la Cenpa notamment, instituteurs… » Je suis né en 1929 à Saint-Pey-de-Castets, en Entre-deux-Mers, où j’ai vécu jusqu’à mon installation sur Bordeaux en 1957. Communiste militant, j’ai déménagé à Bègles quelques années avant d’être élu premier adjoint au maire de Bègles en 1971, Cité Yves Farge, bâtiment A. C’était alors une population mixte à Yves Farge : ouvriers d’usine, ceux de la Cenpa notamment, instituteurs… Plus tard, un plafond d’attribution a été fixé, ce qui a mis progressivement fin à la mixité. Comme ceux dont les revenus dépassaient un certain seuil devaient payer un surloyer, il devenait plus intéressant pour eux d’aller se loger dans les cités de cadres comme la Cité Maurice Thorez. Ce que l’on appelait à l’époque les ILN, les Immeubles à Loyers Normaux. Beaucoup de gens qui sont partis de Bègles faute de logement après la guerre sont revenus au début des années soixante. C’est Duhourquet qui a lancé les grandes constructions : La Cité Yves Farge, la Cité Maurice Thorez. C’est aussi l’époque où les HLM Midi ont lancé la construction de la Cité du Dorat. La société HLM gérait tout, le terrain était à eux, mais vingt pour cent des logements revenaient à la ville de façon réglementaire. Auparavant, il y avait de gros problèmes de logement sur Bègles. Car l’objectif de telles opérations est certes de modifier le paysage urbain, mais dans le but d’améliorer les conditions de vie des habitants qui vivent et des personnes qui travaillent sur ce territoire. L’objet est bien de favoriser une meilleure appropriation des espaces publics et privés dans la perspective de permettre le «  vivre ensemble », et ce dans les meilleures conditions possibles et pour chacun d’entre nous : c’est-à-dire « faire société ». Ainsi, la prise en compte de la dimension humaine et sociale du projet est essentielle et prioritaire. Un projet de renouvellement urbain doit, dès le départ, s’attacher aux besoins et aux problématiques des habitants et des résidents du territoire concerné. Aux côtés des financeurs public et privés, des bailleurs, des collectivités, des architectes et urbanistes, le travail social a dès lors une place à part entière au sein du pilotage du projet : de l’élaboration en passant par la mise en œuvre et jusqu’à l’évaluation. L’accompagnement social, et plus particulièrement l’accompagnement au relogement, nécessite une attention particulière. Il s’appuie sur une méthodologie élaborée en partenariat : bailleurs et acteurs locaux de l’action sociale. Son objectif est de permettre, d’évaluer, de faire émerger les besoins et attentes des habitants et des résidents du territoire, de favoriser la proximité avec les habitants et de mettre en œuvre la concertation et la participation des habitants.  Ce travail s’appuie sur un principe, une idée : « Le temps de l’habitant n’est pas celui de l’opérateur, de l’architecte ou de l’élu ». J’ai travaillé dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain de Bègles, commune de 25 000 habitants de l’agglomération bordelaise. Cette opération consistait dans le renouvellement quasi complet du quartier Nord-Est de la Ville, marquée par l’arrivée du tramway au cœur d’une cité de 448 logements, dont près de 300 allaient être démolis. Une des premières réunions publiques, à laquelle j’ai participé, a eu lieu dans une école du quartier en 2001 ou 2002. J’ai gardé, tout au long de ma mission, le souvenir de cette habitante qui, en sortant de cette réunion publique de présentation du « schéma directeur » par l’architecte et les élus de la ville, me disait : « Ce projet c’est l’Arlésienne ! On en entend parler depuis des mois et ça ne se fera jamais ! » Les habitants ont attendu encore trois ou quatre ans avant de voir la première pelleteuse dans le quartier. Les enfants des familles accompagnées à l’époque dans le cadre du relogement, sont devenus de jeunes parents pour qui les préoccupations ont évolué avec les années : la question de la fonctionnalité, du coût du logement, ainsi que des services de proximité, de l’accès à l’emploi ou aux transports en commun a supplanté pour eux celle des balançoires dans le parc ou du city stade au pied des appartements, même si l’intérêt demeure au vu de la génération suivante.  Près de 14 ans après le démarrage du projet, l’opération n’est pas entièrement achevée et le quartier est encore en chantier. Même si de nombreux logements ont été construits et livrés et que le tramway fonctionne et dessert depuis plusieurs années les nouvelles résidences et entreprises installées sur le territoire, des travaux de construction, de prolongement du tramway, de voirie et autres entreprises d’aménagement des espaces publics sont encore en cours. L’habitant a nécessairement besoin d’être entendu et accompagné durant cette période qui, à l’échelle d’une vie personnelle et familiale, peut sembler une « éternité ». Dans ce contexte, la proximité n’est pas qu’une notion. Elle doit se traduire par des moyens et des outils devant favoriser réellement sa mise en œuvre, et ce à deux niveaux : en ce qui concerne l’accompagnement individuel des familles mais aussi l’accompagnement des habitants sur un plan collectif. L’accompagnement social au relogement des familles s’est appuyé dans ce projet sur la mise à disposition auprès du bailleur d’une conseillère en économie sociale et familiale du centre communal d’action sociale, ainsi que sur le suivi individuel de chacune des familles tout au long de l’opération, des rencontres au domicile des personnes, des permanences hebdomadaires sur le quartier en pied d’immeuble. La disponibilité d’un travailleur social « dédié » à l’opération, disponible et présent physiquement sur le quartier a favorisé cette proximité nécessaire avec les habitants.L’enquête sociale de relogement a permis dans un premier temps de repréciser les besoins et attentes des habitants du quartier et de pouvoir faire le lien avec les propositions du projet, qui furent ainsi adaptées autant que possible. Les suivis individuels ont permis de repérer les éventuelles difficultés socio-économiques des personnes, de rechercher des logements adaptés aux différentes situations (logements pour personnes à mobilité réduite, composition familiale…), de favoriser l’autonomie et l’intégration dans le nouveau logement (gestion des nouvelles charges liées à l’individualisation des compteurs ou du fonctionnement des appareils de chauffage par exemple…).Les familles restant dans les logements des bâtiments réhabilités ont également été accompagnées en suivi individuel. Plus d’une cinquantaine d’entre elles ont pu bénéficier de l’aide à « l’auto-réhabilitation accompagnée ». Ce projet social fut mis en œuvre en cours d’O.R.U. (Opération de Renouvellement Urbain) en 2005, grâce à un partenariat entre le centre communal d’action sociale de la ville, le bailleur, la collectivité, la Maison Départementale de la Solidarité et de l’Insertion (service social déconcentré du département) et en s’appuyant sur les compétences de l’opérateur technique, l’Association des Compagnons Bâtisseurs. Basée sur le principe de l’entraide et de la solidarité, cette action a permis à ces familles, qui n’avaient les moyens ni économiques, ni matériels et/ou de compétences, de rénover leurs logements par le biais de travaux d’aménagement, de réparations, de confort et/ou de décoration L’accompagnement collectif des habitants concerne plusieurs domaines d’intervention. Prendre en compte la dimension sociale du projet, c’est aussi s’attacher aux problématiques de vie collective au sein des immeubles et du quartier (gestion des dégradations, de la vacance des logements une fois les relogements engagés, des nuisances, des déchets…). Ainsi fut mis en place un groupe de gestion urbaine de proximité constitué d’habitants, du bailleur, de techniciens et d’élus. Des rencontres mensuelles ont permis de faire face aux différentes difficultés rencontrées par les habitants et les opérateurs tout au long de l’opération. Démolition, reconstruction, rénovation urbaine… Ces termes évoquent tout de suite des projets architecturaux et urbanistiques d’envergure, s’étalant sur le long terme (parfois à l’échelle de plusieurs décennies), et dont les principaux protagonistes sont les architectes, les urbanistes, les paysagistes et autres techniciens, ainsi que les élus et les opérateurs publics. Si la réussite d’une opération de renouvellement urbain tient sans conteste à la qualité du projet technique, elle est indéniablement liée à la prise en compte du principal « objet » du projet : l’Habitant.Donner une place à l’habitant dans un projet de renouvellement urbain, c’est faire place aux vies bousculées par l’évolution urbanistique et économique. Accompagner les habitants dans un quartier en mutation, c’est faire un travail de mémoire pour leur permettre de s’approprier ce changement de cadre de vie. Pour des familles qui ont vécu depuis plusieurs générations au sein de ce quartier. C’est un travail de deuil dont il s’agit parfois. Ainsi, l’animation sociale, par le biais des maisons de quartier et des associations locales, permet d’accompagner les familles, dans la proximité, au plus près des préoccupations des habitants.Au cœur du chantier il y a l’Habitant ; celui pour qui on remue ciel et terre, celui pour qui on rénove, on démolit, on reconstruit.
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ofhouses · 4 years
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Dear friends, for the next three weeks OfHouses will be guest curated by Nicolas Dorval-Bory and Sébastien Martinez-Barat. Nicolas Dorval-Bory and Sebastien Martinez-Barat both founded their own practices (Nicolas Dorval-Bory Architectes, MBL architectes) a few years ago. They both share a common interest in domestic experimentation and alternatives histories. They also belong to the same territory, the rural south of France.   Sébastien Martinez Barat (1983) is an architect and co-founder, together with Benjamin Lafore, of MBL architectes. Located in Paris, MBL develops a practice of prospective architecture that finds new and specific ways of operating for each project. Their eclectic approach combine various fields of architecture: construction, publications, object design, curatorial work and academic research. Doubt and enthusiasm inherent to research are balanced by empirical method rooted as well as theories beyond architecture field.   In 2014, they created "Interiors. Notes and Figures", the Belgian pavilion 14th Venice Biennale. In 2016, during their residency at Villa Kujoyama in Kyoto, they began a research and construction project entitled "Miscellaneous Folies", which led to an exhibition at Kanal - Centre Pompidou in Brussels in early 2019. In 2016, they were awarded the Albums des Jeunes Architectes et Paysagistes by the French Ministry of Culture, a prize to support outstanding work from emerging architects. Two of their built projects were nominated for the Mies Van Der Rohe Award in 2014 and 2016.   Nicolas Dorval-Bory (1980) graduated from the ENSA Paris Val de Seine in 2007. He trained with Andrée Putman and Laurent Deroo before founding his office in Paris in 2008. After collaborations in Chile and Argentina (2009-2010), the office Nicolas Dorval-Bory Architectes operates today in a wide range of scales in France and abroad. More than any dogmatic perspective, its work attempts to address the real with a direct and frontal way, in a rational yet experimental approach considering each project as a climate where the visible and invisible matters generate strong chemicals and physical interactions.   In 2016, he has been awarded with the national AJAP prize, from the french Ministère de la Culture, an important biennial recognition for young architects. Nicolas Dorval-Bory has been teaching at the the ENSA Versailles since 2014 and previously at the ENSA Normandy (2011-2014). In 2019, he was invited as a workshop leader at the Porto Acadamy summer school, in Portugal. Nicolas and Sébastien prepared for OfHouses a very consistent selection of houses, published in now in its second part, for which they wrote this short introduction:
Experiments in southern regionalism. Anecdotes from the south.
It seems that the official history of French architecture in the second half of the twentieth century was mostly written in Paris, around major buildings, often from the public commission, and published in national magazines, broadcasted internationally, sometimes defining schools of thought. This history of architecture, the fruit of a political and aesthetic consensus, has come at the expense of another one, made of projects scattered far from Paris, at the edge of cities, in the countryside. A tale of uncertain hypotheses and experiments. A history without heroes. This parallel history is both more daring but also more modest. This narrative simply replaces a saga articulated and unified around canonical figures by a sum of anecdotes. Facts here and there that occur, without any importance or link a priori, but which nevertheless seem to anticipate the doubts and enthusiasms of what architecture today seeks in France. This new tale is necessary for us, because this history might be ours. In retrospect, beyond certain assumed and known filiations (the school of Bordeaux to Jacques Hondelatte, Jacques Hondelatte to Lacaton Vassal), we could trace this history, made of discrete influences, weak and still persistent links of descent, in a certain architecture of the southern half of France, in a localized or diffuse way. Contrary to Parisian history, it is in the domestic way of life, in rural or suburban areas that these experiments will develop. Simple conventional and operational commissions, they nonetheless remain the terrain of attempts to formulate new paradigms on the ways of living, use of materials, energy, economy of means, design processes or more directly on the definition of forms. More than the distinguished architecture, it is these strange houses that marked, in all discretion, our careers and our eyes, but also in a deep and unexpected way, all the recent history of French architecture.
(Cover: Martinez Barat Lafore Architectes & Nicolas Dorval-Bory Architectes /// The Cornell Box /// Villa Noailles, Hyères, France /// 2016-2017. Cover photo: © Lothaire Hucki.)
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