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#passeron
eva248 · 4 months
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Lecturas de enero. Cuarta semana
Los perros que nadie quiere / Juan González Mesa. Editorial Edaf, 2023 Francis Claro es el líder hereditario del principal clan mafioso del sur de España, y tiene la sospecha de que está siendo traicionado. Para averiguar qué sucede contrata los servicios de Ada Negre, militar de élite reconvertida en mercenaria tras ser desahuciada por el ejército.Las consecuencias de la investigación convergen…
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queerographies · 11 months
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[I ragazzi addormentati][Anthony Passeron]
La storia di una famiglia e di una generazione: il ritratto vivido di un’epoca sospesa tra un’irresistibile ricerca di libertà e il potere tragico dei pregiudizi.
Anthony non sa quasi nulla di suo zio Désiré, ormai morto da tempo. Ma la curiosità lo spinge a cercare le tracce di quella vita misteriosa tra le fotografie e i documenti, nelle pieghe dei silenzi, in mezzo alle parole sconnesse del nonno affetto da Alzheimer. E la verità lentamente viene a galla. Dall’ascesa sociale dei nonni, che gestiscono la macelleria del paese, ricostruisce la vicenda del…
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les-toupies-h · 1 year
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Anthony Passeron
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bibliocroze · 1 year
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Une page au hasard (extrait 121)
“Deux hommes se présentent ce jour-là. Ils se tiennent par la main. L’un d’eux, un jeune steward amaigri, se plaint d’une fièvre et d’une toux qui durent depuis plusieurs semaines. Comme aucun des médecins de villes qu’il a consultés n’a réussi à le soigner, il est venu au service des maladies infectieuses et tropicales de Claude-Bernard. Willy Rozenbaum, perplexe, consulte le dossier que le steward lui tend. Il examine le jeune homme, lui prescrit une radiographie et d’autres examens pulmonaires.”
page 16
Les Enfants endormis / Anthony Passeron. Globe, 2022.
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rafik-kermache · 2 years
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ccnountche · 2 years
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Le nom du lauréat figure également dans la liste dévoilée ce mercredi des cinq auteurs sélectionnés pour le Prix du roman Fnac 2022. Quant au Prix Première Plume, ce dernier souhaite mettre en lumière chaque année des auteurs de la Rentrée Littéraire dans la catégorie « Premier Roman », pour la force de leurs récits et les émotions qu’ils nous ont insufflés.
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coolvieilledentelle · 5 months
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Dans quelques heures nous passerons en 2024... Je vous remercie pour votre présence en 2023, et vous adresse mes voeux les plus chaleureux pour cette nouvelle année. Que vos rêves, même les plus fous se réalisent et que 2024 soit une année magique , pétillante, remplie d'amitiés sincères, de découvertes passionnantes, de succès, d'amour, de santé... qu'elle soit sous signe du bonheur et de la paix. .. Pour vous et ceux qui vous sont chers
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 83
Jeudi soir Je propose que l'on fasse appel à des traiteurs avec une demande de participation aux frais pour ceux qui travaillent et gratuit pour les étudiants. Pour les boissons, le caviste de la zone commerciale va nous bénir. Entre les vins et le champagne nous devrions en laisser aussi pour une bonne somme.
Pour passer de la maison au donjon, je vais emprunter à ma boite des passages surélevés en bois qui nous servent lors de chantier. Si il fait pas très beau ou qu'il y a de la neige (on peut rêver) nous passerons d'un bâtiment à l'autre au sec.
Quand j'ai proposé à Xavier de participer à notre touze du nouvel an, il s'est récrié que malheureusement il ne pourrait pas car le 31, ils fêtaient la nouvelle année avec des amis. Je lui qu'il pourrait nous rejoindre le 1er ou le 2. Il a sauté sur l'occasion et m'a dit qu'il ferait tout pour venir le 2. C'était un de ses phantasmes, une touze homo.
Vendredi soir,
Samir et Ammed sont venu faire le ménage. Comme les deux semaines précédentes ont été calmes, c'est assez vite fait, il n'y a que du dépoussiérage à faire au donjon. Ils nous demandent la permission d'utiliser notre salle de muscu et si ils peuvent rester dormir sur place ce soir même si il n'y a pas de service prévu pour le WE. Marc est Ok. Quand nous en discutons ensemble, je lui dis que ces deux là se sont trouvés et qu'ils vont pouvoir baiser entre eux toute la nuit.
Quand Marc et moi allons nous coucher, je vois que les fenêtres de " mon appart " sont encore allumées.
Samedi matin
Avant de partir je passe voir nos deux beurs. Samir est dans la cuisine à préparer le petit dèj. Il me remercie encore de les laisser coucher là le vendredi soir quand on entend Ammed le réclamer de sous la douche. Il a beau savoir que je sais qu'ils baisent ensemble, il rougit quand même quand on entend Ammed réclamer " aller, vient mettre ta grosse bite dans mon cul de salope ".
Je ne peux m'empêcher de les taquiner, je passe la tête dans la douche et lui dit juste de patienter un peu que Samir arrive. Il était les mains en appui sur le carrelage, présentant ses fesses. Quand il m'a entendu, il s'est tourné brusquement, j'ai pu admirer sa queue bandée et j'ai du le rattrapé sinon il allait tomber. En souriant je leur ai souhaité une bonne matinée et suis parti donner mon dernier cours de l'année, le père de Jean ferme sa boite 2 semaines à Noël.
Quand j'arrive, c'est un nouveau gardien. Il ne me connaît pas et je suis obligé de sortir mes papiers et d'attendre qu'il téléphone au secrétariat pour qu'il me laisse enfin entrer. Il est pas mal (35 ans environ) mais pointilleux !
La secrétaire m'accueille bras grand ouvert et me claque deux bises sur chaque joues (j'ai toujours eu beaucoup de succès auprès des femmes de 50ans !!).
On papote 10mn en sirotant un café car notre boss n'est pas prêt. Elle me confie qu'elle part les 15 jours au Sénégal pour se réchauffer. Dans l'oreille je lui demande si elle n'a pas oublié d'emporter des kpotes car il parait que les serveurs peuvent être très chauds au besoin.
Elle rougit et me répond que c'est seulement pour se reposer au soleil. Je lui rétorque que l'un n'empêche pas l'autre. Quand le boss sort de son bureau en jogging, et qu'il apprend que sa secrétaire part au Sénégal, il a la même réflexion que moi en ajoutant que cela participe au dépaysement !
Nous allons à la salle de sport. Je me change rapidement, nous sommes seuls. Comme il fait froid, je remplace les 5Km d'échauffement habituels en extérieur par du cardio en salle. Vélo et rameur, 1/2 heure nous fait tremper le maillot. Une fois chauds, passage aux poids, travail des pecs, épaules et bras (biceps et triceps). Les deux samedis sautés, ont laissé des marques et il peine un peu en fin d'exercice.
Je me douche avant de le rejoindre à son bureau. Sachant où sont implantées les caméras de surveillance, je prend un malin plaisir à me sécher sous des angles faisant bien voir toute mon anatomie juste au cas ou ! La secrétaire me tend une enveloppe en me disant que c'est la prime de noël et qu'elle doit se sauver. J'entre dans le bureau. A part le gardien nous ne sommes plus que tous les deux dans l'entreprise. Il sort juste de la douche, une serviette sur les reins. Je dé zippe mon cuir en m'approchant. Je sors ma queue et le poussant à genoux lui dis de sucer. Il prend ma bite à demi bandée et tète bien. Je ne tarde pas à bander totalement. Comme il m'a l'air en manque de ça aussi, j'en profite. Plus directif que d'habitude, je lui prend la tête entre mes mains et impulse la cadence. J'ajoute des réflexions crues (cette fois personne ne va nous entendre ou même risquer de venir !). Comme je vois qu'il réagit bien, j'en rajoute.
Je me penche et croche un doigt dans son cul. J'entre très facilement mon majeur. J'y ajoute l'index et je le tire vers le haut qu'il se relève. Plié à 90° il continu à me sucer pendant que je lui prépare le trou. Il gémis sans retenue sous l'action de mes doigts. J'ajoute l'index et le majeur de l'autre main et commence à écarter sa rondelle. Prêt, je me kpote et le retourne sur son bureau. Les dossiers volent quand je plaque son torse sur le plateau. Une mains sur chaque fesses, de mes pouces je les écarte dévoilant une rondelle rose vif, palpitante. Je pose mon gland dessus et attend. C'est lui même qui vient s'empaler sur ma bite. une fois, deux fois. Je prend les choses en mains. Accroché à ses hanches, je me recule jusqu'à déculer avant de le sodomiser brutalement en lui demandant si c'est cela qu'il veut. Un " ouiiiiiiiiii, encore" vient ponctuer mon mouvement.
A partir de là je ne me retiens plus, je l'encule sauvagement. Chaque pénétration lui soulève les pieds du sol (c'est vrai qu'il n'est pas grand !). Je le retourne sur le dos, lève ses jambes à la verticale et accroché à ses cuisses, je continu de lui ruiner le cul. Je dois lui en mettre pour les deux semaines passées et pour les deux à venir ! Il me demande en hoquetant de ne pas jouir dans ma kpote mais sur son visage. C'est noël je ne peux pas lui refuser !
Prêt à juter, je décule et me dékpote. Il glisse rapidement à genoux devant moi et je lui arrose le visage de mon sperme. Il ferme les yeux pour ne pas en prendre dedans mais du front au menton, je lui plaque une bonne couche de " crème " .lui finissant de se branler, se rempli les mains.
Cote à cote dans la salle d'eau attenante à son bureau, nous nous lavons et comme je le remercie pour la prime de noël, il me dit que c'est la même chose pour tous ses employés (voilà qui me remet à ma place ! mais d'un autre coté, j'émarge vraiment en tant que coach sportif). Par contre il me dit avoir eu des remarques quand à mon " embauche " de la part de son CE (Comité d'Entreprise) et il me dit que si je veux continuer il va falloir ouvrir les cours du samedi matin à tout son personnel. Je suis pas très chaud. J'ai pas de diplôme sportif. Il me dit que si j'acceptais, j'aurais une augmentation substantielle et qu'il fallait pas que je m'inquiète mais le samedi matin, je n'aurais jamais beaucoup de monde. Je peux difficilement refuser vu les conditions financières proposées pour 2 heures de cours, 3h de mon temps avec le trajet et 4 h quand je baise le patron.
Quand je le quitte, j'ouvre mon enveloppe et en plus de l'avis de virement de la prime, un petit mot accompagne du liquide. Je peux y lire que le petit plus (qui double la prime) est pour l'excellence du travail réalisé auprès et sur mon patron !
Je rentre à la maison tout content. J'explique à Marc les derniers développements. Il me félicite et je lui propose alors de prendre à ma charge Samir et Ammed. Il me dit que tout ce qui a attrait à la maison c'est pour lui. Je lui demande alors en quoi je peux participer, il me dit que ma présence est suffisante.
Je sais je me rabattrais sur l'équipement sportif et sexuel.
JARDINIER
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satinea · 6 months
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JOIE*
Comme tendrement rit la terre quand la neige s'éveille sur elle!
Jour sur jour, gisante embrassée, elle pleure et rit.
Le feu qui la fuyait l'épouse, à peine a disparu la neige.
S'il te faut repartir, prends appui contre une maison sèche.
N'aie point souci de l'arbre grâce auquel, de très loin, tu la reconnaîtras.
Ses propres fruits le désaltéreront.
Levé avant son sens, un mot nous éveille, nous prodigue la clarté du jour, un mot qui n'a pas rivé.
Espace couleur de pomme.
Espace, brûlant compo-
tier.
Aujourd'hui est un
Jouve.
Demain verra son bond.
Mets-toi à la place des dieux et regarde-toi.
Une seule fois en naissant échangé, corps sarclé où l'usure échoue, tu es plus invisible qu'eux.
Et tu te répètes moins.
La terre a des mains, la lune n'en a pas.
La terre est meurtrière, la lune désolée.
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespérément recenser.
Après, chers emmurés éminentis-simes, c'est la forte odeur de votre dénouement.
Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au caur sec, au sang convulsif!
Avenir déjà raturé!
Monde plaintif!
Quand le masque de l'homme s'applique au visage de terre, elle a les yeux crevés.
Sommes-nous hors de nos gonds pour toujours?
Repeints d'une beauté sauve?
J'aurais pu prendre la nature comme partenaire et danser avec elle à tous les bals.
Je l'aimais.
Mais deux ne s'épousent pas aux vendanges.
Mon amour préférait le fruit à son fantôme.
J'unissais l'un à l'autre, insoumis et courbé.
Trois cent soixante-cinq nuits sans les jours, bien massives, c'est ce que je souhaite aux kaîsseurs de la nuit.
Ils vont nous faire souffrir, mais nous les ferons souffrir.
Il faudrait dire à l'or qui roule : «
Venge-toi. »
Au temps qui désunit : «
Serai-je avec qui j'aime?
O, ne pas qu'entrevoir! »
Sont venus des tranche-montagnes qui n'ont que ce que leurs yeux saisissent pour eux.
Individus prompts à terroriser.
N'émonde pas la flamme, n'écourte pas la braise en son printemps.
Les migrations, par les nuits froides, ne s'arrêteraient pas à ta vue.
Nous éprouvons les insomnies du
Niagara et cherchons des terres émues, des terres propres à émouvoir une nature à nouveau enragée.
Le peintre de
Lascaux,
Giotto,
Van
Eyck,
Uccello,
Fouquet,
Mantegna,
Cranach,
Carpaccio,
Georges de
La
Tour,
Poussin,
Rembrandt, laines de mon nid rocheux.
Nos orages nous sont essentiels.
Dans l'ordre des douleurs la société n'est pas fatalement fautive, malgré ses étroites places, ses murs, leur écroulement et leur restauration alternés.
On ne peut se mesurer avec l'image qu'autrui se fait de nous, l'analogie bientôt se perdrait.
Nous passerons de la mort imaginée aux roseaux de la mort vécue nûment.
La vie, par abrasion, se distrait à travers nous.
La mort ne se trouve ni en deçà, ni au-delà.
Elle est à côté, industrieuse, infime.
Je suis né et j'ai grandi parmi des contraires tangibles à tout moment, malgré leurs exactions spacieuses et les coups qu'ils se portaient.
Je courus les gares.
Cœur luisant n'éclaire pas que sa propre nuit.
Il redresse le peu agile épi.
Il en est qui laissent des poisons, d'autres des remèdes.
Difficiles à déchiffrer.
Il faut goûter.
Le oui, le non immédiats, c'est salubre en dépit des corrections qui vont suivre.
Au séjour supérieur, nul invité, nul partage : l'urne fondamentale.
L'éclair trace le présent, en balafre le jardin, poursuit, sans assaillir, son extension, ne cessera de paraître comme d'avoir été.
Les favorisés de l'instant n'ont pas vécu comme nous avons osé vivre, sans crainte du voilement de notre imagi' nation, par tendresse d'imagination.
Nous ne sommes tués que par la vie.
La mort est l'hôte.
Elle délivre la maison de son enclos et la pousse à l'orée du bois.
Soleil jouvenceau, je te vois ; mais là où tu n'es plus.
Qui croit renouvelable l'énigme, la devient.
Escaladant librement l'érosion béante, tantôt lumineux, tantôt obscur, savoir sans fonder sera sa loi.
Loi qu'il observera mais qui aura raison de lui; fondation dont il ne voudra pas mais qu'il mettra en œuvre.
On doit sans cesse en revenir à l'érosion.
La douleur contre la perfection *.
René CHAR
"Le Nu perdu et autres poèmes"
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luc3 · 8 days
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Dear psychiatric suitcase, (je voudrais bien écrire mais j'ai trop de cons dans la tête.)
Donc :
À l'Ouest, rien de nouveau.(?)
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2. On cherche toujours les étoiles aurores boréales à pas d'heures du matin (et on ne les trouve pas.) Mais la vision intérieure ça va bien, merci, aiguisée et cinglante. (je n'arrive même plus à ouvrir l'œil ce soir.)
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3. Pendant ce temps là : visibles mais invisibles, joueurs mais colères, amis mais menaces, éclats de verre brisé, de rires pilés, The Secret Commonwealth, se Commonwealth bien.
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4. " Nous passerons d'autres lignes. Jamais, jamais, jamais d'autres que Toi !"
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West Gate
Perception
Secret Commonwealth
Underworld
Tirage tronqué des 2/3 de ses cartes, mais on n'est pas libre ici monsieur, on a signé la clause de confidentialité du "Voisinage".
[Mystagogus] deck, de J. Mc Carthy + extrait de Desnos. (à relire en entier dessous pour les afficionado)
Jamais d'autre que toi en dépit des étoiles et des solitudes En dépit des mutilations d'arbre à la tombée de la nuit Jamais d'autre que toi ne poursuivra son chemin qui est le mien
Plus tu t'éloignes et plus ton ombre s'agrandit Jamais d'autre que toi ne saluera la mer à l'aube quand fatigué d'errer moi sorti des forêts ténébreuses et des buissons d'orties je marcherai vers l'écume Jamais d'autre que toi ne posera sa main sur mon front et mes yeux
Jamais d'autre que toi et je nie le mensonge et l'infidélité
Ce navire à l'ancre tu peux couper sa corde
Jamais d'autre que toi
L'aigle prisonnier dans une cage ronge lentement les barreaux de cuivre vert-de-grisés Quelle évasion!
C'est le dimanche marqué par le chant des rossignols dans les bois d'un vert tendre l'ennui des petites filles en présence d'une cage où s'agite un serin tandis que dans la rue solitaire le soleil lentement déplace sa ligne mince sur le trottoir chaud
Nous passerons d'autres lignes
Jamais jamais d'autre que toi
Et moi seul seul seul comme le lierre fané des jardins de banlieue seul comme le verre Et toi jamais d'autre que toi
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steff-02 · 9 months
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Nous allons prendre notre petit déjeuner à 7h00 ce matin. Le buffet est énorme, il y a tellement de choix que je ne sais plus que choisir 😂
Malgré le fait qu’il est recommandé de commencé le safari a l’ouverture (soit 6h00), nous décidons de nous mettre en route vers 8h30. Après nos 36h de voyage nous avions vraiment besoin de nous reposer 😴. Le temps de remplir quelques paperasses et de payer nos “taxes de conservation”, nous voilà sur les routes de la plus grande réserve naturelle d’Afrique du Sud. Nous sommes tous deux très très excités à l’idée de parcourir la savane, mais Dan reste sur la réserve, il a peur que nous soyons déçu de n’avoir pas vu tous les animaux que nous voulions :/
Nous avons 165km à faire aujourd’hui pour rejoindre notre campement. Très vite nous remarquons qu’il nous faudra beaucoup de temps pour le rejoindre. Après 5 minutes de route, nous nous arrêtons 10 minutes admirer notre premier troupeau d’animaux, des impalas. A partir de ce moment, nous nous sommes arrêter toute les 5 minutes. Il y avait des animaux partout ! A midi, lorsque nous nous arrêtons à une aire de pic-nic, nous n’avons parcourut que 55km 🚗. Il nous aura fallu au total 8h pour rejoindre “Olifants Rest Camp” où nous passerons 2 nuits. Le camps est très sympa, nous logeons dans une petite case pleine de charme. Le temps de s’installer et de faire un tour dans le shop du village car nos adaptateurs pour les prises électrique ne fonctionne pas pour l’Afrique du Sud, il en fait des spéciaux 😅. Puis viens l’heure du souper, un thé, une douche et au lit !
Mais vous devez quand même vous demander quels animaux ont bien pu attirer notre attention pendant 8h ! Et bien…on est plutôt content de notre premier jour, on se croit dans le film du Roi Lion 🥰 . Nous avons vu, des impalas, des gnous, des girafes, des zèbres, des éléphants, des grands koudou, des cobe a croissant, des dik dik, des autruches, des chiens sauvages, des buffles, des phacochères (aka pumba), des hippopotames, des lionnes, un écureuil, des singes, des vautours et autre multiples espèces d’oiseaux (et mammifères) magnifiques dont je ne saurais le nom ! On est époustouflé! Et Dan est rassuré pour les prochains jours!
Sur ces belles images, on vous souhaite une bonne nuit ;) 😘
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thank you @mstepenwolf, for tagging me!!! also you have very good taste:-)
last song i listened to: Self Control by Frank Ocean ; I'm currently obsessed with the album Blond and make my way through it by obsessing over each song for a few weeks.
currently watching: Neon Genesis Evangelion is really really really good but I'm afraid of what the end will be made of. I also recommend reading it because the animated version cut off some scenes.
currently reading: my summer read is Leaves of Grass by Walt Whitman (so so so good) but I'm also reading some novels on the side, the current one is Les enfants endormis by Anthony Passeron (a novel that deals with HIV, family, the stigma around it and how it was discovered in the 80s) which I'm enjoying so far.
current obsession: for the last few months I've been obsessing over Akira and reading a lot of articles and analysis online :-)
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argentinechili2024 · 3 months
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Première escale à Montevideo
Belle journée ensoleillée avec 20 degrés ce matin. Nous avons vu le bateau s’approcher doucement du port et découvert la ville depuis notre balcon.
Après le déjeuner, nous avons quitté le bateau pour découvrir la vieille ville. Montevideo était encore endormie. C’est dimanche, et ici, tout est fermé le dimanche. Absolument rien d’ouvert.
Nous avons visité les principaux lieux historiques et en avons fait le tour en deux heures. Il était midi quand nous sommes revenus à notre point de départ. Nous aurions pu dîner au marché, où il y avait quelques restaurants ouverts. Mais bof, comme on voyait notre bateau d’où on se trouvait, on a décidé d’y retourner et de manger léger après notre souper gargantuesque d’hier soir.
Nous passerons l’après-midi sur le navire à en découvrir ses différents attraits et à nous reposer.
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Dans les rues du vieux Montevideo. Certains endroits, comme à droite, ressemblent drôlement à l’Espagne.
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Restaurant du marché public.
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Certains endroits, comme ici, ressemblent vraiment à ce qu’on voit en Espagne.
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Très belle porte dans un quartier résidentiel.
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Teatro del Solis, construit en 1841. Fermé, bien entendu…
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tesia-a-138 · 2 years
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Mais nous, allons-nous évoluer jusqu'à voler? De temps en temps on voudra et puis nous passerons du temps à oublier.
Mary Grace Callander
Ph de Marta Orlowska
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jeanchrisosme · 8 months
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Si j’ai appris quelque chose de la vie, c’est que parfois, les moments les plus sombres peuvent nous mener aux endroits les plus lumineux ! J'ai appris que les personnes les plus toxiques peuvent nous apprendre les leçons les plus importantes... Que nos luttes les plus douloureuses peuvent nous donner le plus grand des apprentissages et que les pertes d'amour et d'amitié les plus déchirantes peuvent faire place aux plus merveilleuses des rencontres. J’ai appris que ce qui semble être une malédiction dans l’instant peut être en réalité une bénédiction et que ce qui semble être la fin du chemin est en réalité la découverte que nous sommes censés emprunter un autre chemin. J’ai appris que même si les choses semblent difficiles, il y a toujours de l’espoir. Et j’ai appris que même si nous nous sentons impuissants et que les choses semblent horribles, nous ne pouvons pas abandonner ! Oui nous devons continuer. Même lorsque cela fait peur, même lorsque toutes nos forces semblent épuisées, nous devons continuer à nous relever et à aller de l'avant, car quoi que nous combattions dans l'instant, ça passera, nous passerons au travers et nous réussirons ! Nous avons réussi jusque-là, c'est notre plus grande victoire...
Daniell Koepke
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stil-yr-sand · 8 months
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i should reread passerone
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