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#ortlieb gravel pack
blaueturnschuhe · 5 months
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Nahverkehr...
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briantravels60 · 10 months
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TCT Equipment Update
I'm back from my trip and I've updated my packing list. My list was good, but I've learned a few things.
My local bike shop recommended a gravel bike but I was quite pleased my hybrid Trek. The bike was stiff enough and I was thankful for the front shocks on rough trails. The Panaracer GravelKing tires performed well, even though I got 2 punctures (I believe that any other tire would have punctured as well). The Aero Tech shorts with a 12 mm chamois and the Serfas RX-921V saddle made the ride much easier.
It rained during the ride, and I wish that I had shoe covers to keep my feet dry. I also found that the dry bag that I used for some clothing was not rugged enough, it wore through and leaked. I replaced the dry bag with a 12 L Ortlieb Trunk-Bag RC (more weight but waterproof and easy to take on/off the bike).
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biketrip2019 · 5 years
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THE BIKE
19 September. Chadron NE.
This is one of those posts I originally planned much earlier. But all this bike riding has sort of gotten in the way of doing anything else.
My pack horse is a Surly Disc Trucker, the disc brake version of Surly’s Long Haul Trucker. It’s your classic steel touring bike. I bought it in June 2017 and since then it’s ridden all over Washington, in scattered places like Taos, Madison, Portland, Glacier NP, and Saltspring Island, and maybe a thousand miles in Watopia (which is a whole story in itself - Google it).
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Photo: Brunswick, Maine, almost exactly a month ago, showing bike without gear.
It has a 62cm frame, which discourages short bike thieves from trying to ride off with it. But probably also contributes to a lot of flex in the frame - which I notice when the rear of the bike is heavily loaded and I try to get out of the saddle when climbing. It also can lead to some wobble when going downhill (it goes away as I go faster :-)).
There are three rings in front (48-36-26). And ten in back (11-36). You’d think the 26-36 combo would get me up anything, but I’m always wanting one or two more gears. I suppose by then I’d be going so slowly I’d just fall off. The bike has bar-end shifters, which I have mixed feelings about.
The bike rolls on 700x38 tires. I began the trip with a brand new Schwalbe Marathon Plus tire on the front and a fairly fresh one on back. I’m using Continental Touring tubes. I seriously fear jinxing things, but in more than 2200 miles of asphalt and gravel, I have had no flats. I have added air to each tire once or twice the entire trip!
Mounted on the bike, I have Planet Bike fenders, a Tubus rear rack, three bottle cages, and two additional L-shaped King ManyThing cages on the front fork. I have a small Lezyne pump mounted behind the seat tube and a light mount on the fork crown. I also have a mount for my Ortlieb handlebar bag and a small Knog bell on the bars.
I’m using a Brooks B-17 leather saddle. Which has worked well for me, though with this much riding, nothing is likely perfect.
The bike - without water, luggage, or me - weighs about 35lbs.
I’ll describe the bike luggage in a separate post(s).
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J5 Morvan (187km 3500d+)
Jeudi 15
On quitte le gite en souplesse, mais de toute façon dans la chambre Bruno se réveille avant nous. Après, c’est Bruno encore (moustache) qui vient faire la causette. Bon, tout le monde est debout! Tout le monde s’appelle Bruno !!!! Je réveille Eamonn qui dort dans la cave où les vélos sont entreposés. Après avoir fait le pack, la pluie s’invite à cette matinée. Sur la place de Quarré, c’est la journée brocante et la boulangerie est ouverte tôt. Une aubaine, on gère le refueling et on attend que cela se calme. Café, caca, coca … faut pas se tromper dans l’ordre des 3C, bon ça bruine, mais on décolle. 7h AM environ, on est à la bourre. 
Maximilien, qui nous a déposé la veille dans la dernière montée avant Quarré, roule avec nous. Il est super cool (comme tous les riders French Divide d’ailleurs) et nous faisons le chemin ensemble. Il était parti avec un pote qui a fendu son cadre en deux et donc avance seul dans l’aventure. Il apprécie cette compagnie. Cette sortie de Quarré est technique, c’est glissant, mais rafraichissant: vraiment sympa. Bon on fait juste un gros croché vers Bousson alors qu’on pourrait aller tout droit, mais c’est le jeu ma pauvre Lucette. Sacré Sam. 
Les passages sont superbes dans les bois ce matin, je suis réveillé et en forme et je fais la navigation pour mes camarades dans ce dédale d’arbres tous plus glauques les uns que les autres et toujours cette humidité typique du Morvan.  De la mousse, des cailloux, des racines, des petits passages en eau. Ici une salamandre, là une grenouille. Le mec qui tôle ici n’a rien compris ou veut-il peut-être se transformer lui aussi en batracien. Et rétrospectivement j’ai adoré ce passage. 
Nous arrivons au Lac de St Agnan et un petit pincement au coeur: on a dormi là durant la 1er French Divide !!!!! On s’était perdu sur KO de pile et de dynamo en 2016 et à minuit la dame du camping nous avait sorti une soupe de poisson et une Duvel (oui, une Duvel) … réchauffant les bonshommes et les organismes: la chance nous avait souri encore, car elle avait douches chaudes et lits dans une chambre de pèlerin. On s’était refait la cerise et le lendemain comme à notre habitude durant cette French Divide de la première fois: on était parti à 9h du matin ahahaha … 
Ces moments agréables évoqués, on s’arrête au relais de France devant ledit camping sur la place du patelin pour tomber sur une charmante et sympathique patronne qui nous explique que le couple de Belges (du camping, vous suivez encore?) avait disparu et que l’affaire était fermée. 
La déception. La tristesse aussi. Bon, on ne va pas mener l’enquête. Double café et le sourire de la dame suffiront. On se casse. On poursuit tous les deux, notre pote préfère alors rouler avec Olivier et Johan qui étaient au relais aussi ce matin. Nous ne les reverrons plus. Je leurs dois une bière ! Quand vous voulez les mecs !..
On passe au large du lac des Settons (où j’apprends qu’un certain Gargouillou réside pour ses vacances sans me faire la bise …… !!!!! … ), On continue dans des bosses. On retrouve la rivière un peu basse, l’arrêt de bus RATP où nous discutons avec le propriétaire qui est un retraité de …. La RATP !! Carl utilise son compresseur pour un coup de jus dans le pneu. 
Puis La Selle en Morvan où une charmante auberge de hollandais profite de la French Divide pour proposer outils, nettoyage, etc … et un ravito pas donné, mais bon … le sandwich à ce moment-là fait du bien. 
Nous voilà à Autun. On quitte Autun par la bosse, on ne s’arrête pas (ou peu: un café peut-être)… Toujours peur de perdre trop de temps dans la ville. La bosse à la sortir d’Autun est conséquente, nous croisons des vététistes avec qui nous causons. On traverse le chemin forestier super-flippant avec les loups et le château de Dracula où des meutes de chiens hurlent à la mort. La grande descente qui marque dans ma tête la fin du Morvan et la bosse de Toulon sur Arroux reboost. Je suis cramé j’ai attaqué fort ce matin et en mode zombie nous attaquons l’ascension du signal d’Uchon. Pause à l’auberge et mini-sieste. C’est à ce moment que nous faisons la connaissance d’une personnalité forte de cette Divide, un garçon qui va nous suivre jusqu’à l’arrivée: Julius. Campé sur un gravel, avec l’attirail classique des magasines de vélo (la tasse en acier sur la sacoche ortlieb, un débardeur …), chaussé de Schwalbe Marathon: Julius n’est pas très locasse mais alors dans les montées il nous colle mine sur mine. On ne le voit plus, juste pour le retrouver dans les descentes. Ils se méfient surement de nous. Ahahaha. 
Toulon ! Sur Aroux bien sûr ! Pause resto et nous sommes déterminés ce soir à finir à Bourbon. Une fois le diner négocié, nous passons en mode nuit pour affronter deux bosses par les chemins: le Mont Dardon et le signal de Mont. C’est du chemin chiant, autant le début est fluide autant après on pousse. Minuit, victoire nous sommes aux portes de l’Auvergne. Camping à Bourbon enfin. Dodo. KO. La nuit ne sera pas à la hauteur de nos Km. 
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