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#molysabata
pointcontemporain · 7 years
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Schnauzer, grès chamotté émaillé (2017) Une œuvre de #carolineAchaintre présentée en ce moment à Moly-Sabata à l'occasion de l'exposition En crue ! #90ans #exposition #anniversaire #ceramique #artiste #artcontemporain #residencedartistes @joelriff #molysabata (à Moly-Sabata)
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annemarchal · 11 years
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Novembre 2014. Moly Sabata, maison de la Fondation Albert Gleize à Sablons, les “terres froides” du département de l’Isère - ses brumes ! Exactement au milieu des trois villes : Saint Étienne, Lyon, Grenoble, d’où les étudiants du groupe étaient issus.
Une vidéo retraçant les événements dans le jardin est en cours.
Elle a été captée par un téléphone portable - un opéra, un spectacle, avec les chaises de jardin, un son de cloche à minuit, une notice pour apprendre à récupérer de petites météorites, de lentes marches rares. Anthony.
C’était une semaine en Workshop avec l’artiste et écrivain Onuma Nemon.
Une édition a été produite de nos productions depuis ce lieu isolé, rassemblées par Camille Pradon.
Lors des promenades où nous errions aux environs de la b��tisse, où nous étions ensemble durant une semaine de travail, posée au bord de l’eau, dans son village petit, ni campagnard ni citadin, sans fards - je prenais des photographies. J’étais très précise, dans ma recherche des photographies que je voulais trouver, pourtant, je n’arrivais pas à en expliquer le projet à mes amis avec une précision à l’image de ce fantôme. J’écrivis les entre-deux, les distances qui me séparaient de mon but. Je resserai :
Ce n’est pas le grand trou qu’il y a dans le noir au bas de l’image, par lui qu’il passe. Elle surgit tout à coup ce trou sous elle, forme de gouffre dont on ne perçoit pas les bords petit trou circonscrit que l’on dominerait par une position penchée Qui nous anéantit une fraction de seconde Celle-ci est déjà trop trop évaporée Dans celle-ci j’ai voulu prendre cette situation d’une fenêtre qui agit derrière. Dans un noir. Un noir particulier, un noir de cet instant, cette action-là, qui crée un corps, qui crée le corps de ce noir-là, à ce moment-là, ce noir est une personne, ce noir. Il dit ceci. Il a ces yeux. La grille le circonscrit. Il entre la fenêtre et la grille. Qui se passerait entre la barrière, et sa naissance a à voir avec l’éclairage, bleu, auquel elle est soumise, et la fenêtre réceptacle à situation qui ne nous concerne pas, peut-être d’évènements, familiale L’arbre au dessus va encore l’ « en dessous du gazon vert » il filme l’arbre, la nuit, au moment où ils passent en dessous sur le trottoir L’arbre est en train de dire quelque chose à propos Les personnages n’y font pas attention, ils passent. Contre la caméra, elle, (elle doit avoir à faire avec l’arbre, une sorte de magouille préméditée) le regarde, Mais arbre-forcé. : je le sais. Celle-ci désigne trop suffisante. Une fenêtre... Les fenêtres prises à ce moment là ce qui était le cadrage. Une certaine valeur de récit. On s’éloigne donc trop. Idem cette image en même temps qui me plait, qui m’a plu, qui m’a poussée à produire ce cadre 4:3 La nuit. C’est la dernière je dis la nuit parce qu’il y a ce bleu dit fonctionne pas. ai travaillé dans le creux entre les arbres à droite et à gauche, qui resserrent beaucoup au milieu espace Il y avait une voiture garée, au milieu du jardin, mine d’être sous une sorte de tonnelle en bois, mine d’être prévue à cet effet. Peut-être un tuyau d’arrosage, quelque chose de bâché, des choses... Il y avait quelque chose, avec cette photographie ... Revenant ... pourrait être le départ de mon envie de mon envie. Ce ciel lumineux, à peine jaune. Un jaune forcé le ponton aussi et l’herbe, il faut que j’en fasse quelque chose-le regardeur, il faut qu’il en fasse quelque chose, Le ponton rejoint la chose chez la fenêtre - le triangle de jaune lumineux dans l’eau au bas à droite gênerait, si l’on ne l’avait pas, Il y aurait dans la photo un peu plus quelque chose de ce que l’on recherche... ce qu’elles me font dire, « Voilà un plan un peu trop typique ». À, encore, si l’on supprimait le reflet indésirable morceau de reflet de ciel, nous fermerions, et cette tristesse. je veux essayer Les objets. Les objets ces yeux à les objets ceci. Celle-ci, c’est la maison qui a des yeux. Nous avons discuté dessus, elle a beaucoup à dire sur ce que je cherche de discutable : je ne vois pas. Peut-être qu’on voit trop il faut [la] supprimer.
je cherche Encore, entre le banc, la maison et le portail, pourtant
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6th of March, visit to Mark Schreiber, guest artist of the Ecole at Moly Sabata, international residency programme - Fondation Albert Gleizes
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