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#messianisme de la lumière
uncountry · 3 months
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jakez19 · 7 months
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pierregoudron · 2 years
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Comment le messianisme juif est-il devenu athée ?
Vocabulaire :
Tikkun : concept de la kabbale lurianique qui signifie rectification, transformation des âmes par la pratique des mitzvoth.
Mitzva, pluriel mitzvoth : commandement(s) de Dieu.
Kelipa, pluriel kelipoth : écorce ou prison de l’âme à son niveau le plus bas, celui de la Nefesh.
Nefesh : âme ; dans la kabbale lurianique c’est le plus bas niveau de l’âme.
Selon le grand historien et penseur juif israélien d'origine allemande Gershom Scholem, une partie du judaïsme messianiste est devenu athée après la déception et la frustration ressentie quand en 1666 Sabbataï Tsevi, qui s’était proclamé messie et avait entraîné derrière lui la majorité des juifs européens, africains ou asiatiques, s’est converti à l’islam. C’est ce passage du messianisme juif teinté de kabbale lurianique à l’athéisme que je vais tenter de résumer en m’appuyant sur le livre où Gershom Scholem décrit cette surprenante « conversion » : Aux origines religieuses du judaïsme laïque, sous-titré De la mystique aux Lumières.
Selon Gershom Scholem le passage du judaïsme à l'athéisme aurait été initié par l’un des deux théologiens de Sabbataï Tsevi, Abraham Miguel Cardoso, l’autre étant le très fameux Nathan de Gaza.
Comment ce passage s’est-il effectué ?
En dépit de tous ses débordements gnostiques et de sa profusion parfois délirante la mystique juive ne s'était jamais attaqué à Dieu lui-même, ni à la pratique du judaïsme. La cabale d'Isaac Luria faisait reposer le tikkun – il s'agit de la rectification qui permet la remontée vers l'Un des étincelles divines prisonnières des kelipoth (la kelipa joue dans la kabbale lurianique le même rôle que la matière mauvaise qui retient prisonnières les âmes ou parcelles de la divinité dans le mythe manichéen) – sur la pratique des mitzvoth (une mitzva c’est un commandement de Dieu). Un kabbaliste lurianique conséquent se devait donc d'être un juif exemplaire.
Que s’est-il passé avec Cardoso ? Une chose véritablement inouïe. Vous connaissez sans doute la doctrine de l’hérésiarque Marcion du Pont qui affirmait que le Dieu révélé en Israël, le Dieu de l’ancienne alliance, n’est pas le Dieu de Jésus. Le Dieu de Jésus est le vrai Dieu, le Dieu bon qui n’est pas responsable de la création matérielle mais qui envoie un sauveur pour racheter les âmes censées être issues de manière indirecte de la substance divine. Le Dieu de l’ancien testament est, selon les marcionistes, le démiurge mauvais responsable de la création matérielle et du mal. Cette doctrine a été vigoureusement combattue par les Pères de l’Église au deuxième siècle de notre ère. Et bien de manière très surprenante Abraham Miguel Cardoso a repris à son compte cette doctrine. Dans la kabbale l’Ensof (peut-être dérivé du grec En Sophia, l’Un-sagesse) désigne le Dieu transcendant de la bible hébraïque, celui dont le nom est YHWH et que les juifs prononcent par respect Adonaï. Et bien Cardoso a eu le culot phénoménal de dire et d’écrire que l’Ensof n’est pas le Dieu des Hébreux puis des juifs mais la source qui n’est pas responsable de la création du monde. Le vrai Dieu d’Israël, celui que la bible nomme YHWH, serait le démiurge ! Cardoso a, sans doute par défi, dépit et ressentiment, repris à son compte la doctrine de Marcion, l’un des pires ennemis des juifs ! Selon lui le Dieu de Jésus serait l’Ensof donc en aucun cas le Dieu d’Israël.
Cardoso, qui en tant que marrane avait été catholique avant de retourner à la religion juive, ne pouvait pas ignorer que Marcion considérait le Dieu des juifs comme Satan !
De manière tout aussi surprenante Cardoso affirmait que l’homme peut connaître le Messie et son Dieu, le démiurge, par la raison seule ! La connaissance humaine, dérivée de la raison seule, permet, selon Cardoso, de connaître l’Absolu, sa volonté et ses moyens !
On tient ici les cinq fils qui tissent la modernité :
1. Dieu est rejeté hors du monde de manière radicale. Le christianisme, le judaïsme et l’islam affirment à la fois la transcendance ontologique de Dieu et son immanence, sa présence active dans le monde par sa volonté, sa connaissance, sa toute-puissance, ses commandements et sa grâce. Mais Cardoso rejetait Dieu totalement hors du monde. Ce qui revient à dire qu’il n’agit pas dans le monde donc n’existe pas. Le pas suivant sera franchi par certains athées qui diront que Dieu n’est pas, ni hors, ni dans le monde.
2. La raison seule suffit à connaître le Dieu qui agit dans le monde, son Messie et ses moyens.
3. Ceux qui ont la connaissance fondée sur la raison seule, les Sachant, les Initiés, jouent un rôle particulier parce qu’ils ont en eux la puissance du démiurge, celui que les marcionistes appelaient le Dieu mauvais, le Satan ! Ce sont en fait, collectivement ou individuellement, des messies !
4. Sans être dualiste sur le plan ontologique, la structure de la métaphysique de Cardoso est très proche de la métaphysique du mythe manichéen ou du dualisme marcioniste. Il n’y a qu’un pas, franchi par certains Initiés, pour faire du Dieu des chrétiens, des juifs traditionalistes et des musulmans le Dieu mauvais aussi bien sur le plan ontologique que moral.
5. Il semble que Cardoso n’ait pas été lui-même antinomiste. Par contre l’antinomisme s’est manifesté chez ses épigones et continuateurs par le rejet violent des cultures et civilisations traditionnelles, juives, chrétiennes et musulmanes qui affirmaient à la fois la transcendance et l’immanence de Dieu. C’est cet antinomisme qui se manifeste aujourd’hui dans la volonté prométhéenne de ces mondialistes qui cherchent à construire une société totalitaire dont toute transcendance sera bannie, une société de la raison humaine divinisée.
Cardoso s’est donc attaché à détruire le judaïsme de l’intérieur, de manière raisonnée, systématique et acharnée. Ses successeurs lointains se sont attaqués aux autres religions monothéistes, le christianisme et l’islam ainsi qu’aux sociétés chrétiennes et musulmanes.
Bien entendu ni Cardoso, ni les juifs ne sont à l’origine de l’athéisme qui existait déjà dans l’antiquité grecque ou romaine.
Un article de encyclopedia.com sur Abraham Miguel Cardoso :
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claudehenrion · 5 years
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La psychologie des foules (réédition)
 En parlant des comportements des “Gilets jaunes” et des meutes de salopards qui les pourrissent, nous avons cité à plusieurs reprises le nom de Gustave Lebon. Nous avions déjà expliqué la pensée de cet auteur au génie irremplaçable (avec Fourastier, Aron, Burke et Chesterton, -dans le désordre- il fait partie de mon petit panthéon personnel. Et le fait qu'ils aient tous toujours eu raison dans tout ce qu'ils annonçaient les a fait classer “conservateurs” par ceux pour qui “il vaut mieux avoir tort avec Sartre que raison avec Aron’‘ !). Je vous propose un ’'digest” de deux “billets” de juin 2017, pour voir à quel point nos dirigeants actuels ont “tout faux’' !
 Gustave le Bon, devrait être à la culture universelle ce que l'oxygène est à la vie : indispensable !. Il reste encore, à l'âge que j'ai atteint, l'un de mes maîtres à penser les plus omniprésents (et l'un des plus infaillibles). C'est en 1895 qu'il avait écrit un essai de 130 pages d'une densité rare, “Psychologie des foules” que nous allons survoler ensemble, si vous le voulez bien. Partant du constat que des individus réunis n’ont pas les mêmes agissements que les mêmes individus pris un par un, le docteur le Bon a étudié les comportements en apparence irraisonnés des foules.
 Première découverte : contrairement à ce que l'on croit généralement, les foules ont une âme, une unité mentale, des passions, une moralité et une imagination qui leurs sont propres, mais elles ont également une forme de conservatisme ou de messianisme qui dépendent des intentions du “meneur”. (NDLR : en relisant ces pages, une chose me frappe : si le Bon a bien anticipé le phénomène “macron-meneur”, ses conclusions peuvent aussi s'appliquer à la manipulation actuelle des ’'Gilets jaunes”, comme à celle des masses musulmanes et à toutes les dérives fondamentalistes qui sont le fonds de commerce des idéologues de fin du monde !)
 Seconde découverte : un élan qui met en mouvement de nombreux individus est une entité psychologique particulière, irréductible aux individus qui la composent.        La personnalité consciente de chacun de ses membres se fond dans les idées momentanément partagées par tous. Les foules ont donc une “âme”, des passions et un fonctionnement organique comparable à celui de l'esprit humain, mais d'un esprit qui serait tout à la fois unique et multiple, comme on le prétend des insectes dits sociaux, qui seraient dotés d'une intelligence collective ou soumis à elle.               De la même manière, des milliers d’individus séparés pouvant acquérir, dans certaines circonstances, les apparences d’une foule psychologique, leurs actes pourront alors revêtir les caractères spécifiques des foules.. C'est ce qui arrive en ce moment-même au non-mouvement des Gilets jaunes, qui donnent l'impression d'être à l'unisson, de rond-point en rond-point aux quatre coins de l'Hexagone……
 Troisième découverte : une foule est moins déterminée par les croyances des individus qui la constituent que par les circonstances extérieures ou des passions passagères. “La foule psychologique est un être provisoire, formé d'éléments hétérogènes, pour un instant soudés, comme les cellules d’un corps vivant forment, par leur réunion, un être nouveau ayant des caractères fort différents de ceux que chacune de ces cellules possède”.  L'individu qui fait partie de cette foule voit alors sa conscience comme s'évanouir : il se retrouve comme hypnotisé, privé d'opinions qui lui soient propres… C’est ce qui explique que des foules puissent prendre des décisions qui vont contre les intérêts de leurs membres (les Conventionnels, en 1793, levèrent leur propre immunité, ce qui leur permettra ensuite de s'envoyer les uns les autres à la guillotine… Plus près de nous, certaines violences des gilets jaunes ne peuvent se comprendre -mais pas s'excuser !- que dans ce cadre).                                                                                                                                                   Contrairement aux idées simplistes d’un Castaner (s’il en a !) une “foule psychologique” constitue donc un être unique, à ceci près qu'elle ne pense pas avec des mots et des concepts verbaux, mais par des images qui doivent davantage à une forte puissance passionnelle qu'à des observations factuelles, ce qui rend son comportement inexplicable à qui n’en fait pas partie… ce qui les rend donc dangereuses en elles-même, mais dociles à qui sait y faire naître des idées simples et mal définies mais ayant un fort contenu passionnel. On découvre, chez le Bon, nombre d'explications de la période que la France traverse : pour être accessibles à une foule, des idées doivent subir des simplifications et des réductions (d'autant plus radicales que les idées sont complexes !). Une idée sublime n'arrive au niveau de la foule que dépouillée de ce qui faisait son intérêt.
 Par exemple, les envolées si théoriques des Lumières, les idées faussement démocratiques du siècle dernier ou, pire encore, le fatras ‘’fausse tolérance + multi-culturalisme métissé + pseudo-libre pensée’’ responsable de tant de ravages (sans parler des cauchemars indéfendables que les idéologies de gauche ont fait subir à l'humanité)… peuvent être considérées comme autant de lamentables erreurs qui découlaient peut-être d'une base moins mortifère..   Et pourtant, certains continuent de s'y référer, comme notre Président, qui se croit “jeune” et “dans le coup”, et qui n'a à proposer que la vielle lune, depuis longtemps éclipsée, du “progressisme” pour essayer en vain de rameuter des électeurs… dont une poignée à peine le suit dans cet anachronisme qui fleure (pas bon) les années 1900-1950…
 Mais comme il est prouvé qu’aucune foule, jamais, n’a été capable de  ’‘fabriquer’’ quelque idée que ce soit, morale ou autre, il faut bien qu'existe une forme de “main extérieure” qui fixe le sujet de mobilisation qui doit devenir la nouvelle “passion” ou le nouveau but partagé par tous (on peut citer la réincarnation de l'ISF ou du “RIC'’, ces vieilles lunes pourries : elles n'ont pas refait surface par miracle, c’est certain !).
 Tout le monde s'est mis d'accord pour répéter, en boucle, que ’'ce mouvement n'a pas de meneurs”… ce qui est faux, bien sûr : s'il a bien le comportement d'une “foule psychologique”, ce n'est pas un “mouvement”, c'est là la terrible erreur d'analyse de nos gouvernants. Gustave le Bon distingue deux types de ’'meneurs’’, le rhéteur (qui se sert) et l'apôtre (qui se brûle), qui maîtrisent des armes peu nombreuses mais éprouvées : l'affirmation (qu'elle soit fausse est alors “hors sujet”!), la répétition (“le RIC !”, ou “Macron, démission !”) et la “contagion” (idée fausse reprise jusqu'à ce qu'elle apparaisse comme vraie). La seule bonne nouvelle (sauf pour la flamboyante Ingrid Levavasseur), c'est qu’il est très rare que des “meneurs” réussissent à transformer leur prestige d'un jour en gloire personnelle, devenant ainsi des personnages historiques qui vont se survivre à eux-mêmes…
 Il n'était pas inutile de remettre ces idées en mémoire à la veille de la “saison XIV’’ de la saga des Gilets Jaunes, qui croient, les pauvres, qu'ils n'ont pas de meneurs, alors que les entristes de la gauche la plus archaïque et la plus ravageuse distillent leurs idées mortifères depuis la mi-décembre et les mènent en douce, par le bout du nez. Un bel espoir a été vite assassiné… ce qu'on ne peut que déplorer, devant le spectacle de ce que deviennent nos villes, soumises aux folies criminelles des anars, des trotskos, des ‘’black bloc’’ et de bandes de voyous ‘’descendues’’ des banlieues. Le pire n’est pas obligatoire, mais tout finit rarement pas des chansons..
H-Cl.
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citationsdumonde · 3 years
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Spéculateur multimilliardaire, le juif américain d'origine hongroise George Soros est un des principaux agents de la maison Rothschild. Celui qui se fait volontiers passer pour un philanthrope dans les médias dominants est en fait un bankster ultra-puissant issu de la haute finance et au service du mondialisme. Membre du Council on Foreign Relations et de la Trilatérale depuis 1986, George Soros est connu pour avoir fait sauter la banque d'Angleterre en 1992 - sans en subir les conséquences - pour avoir spéculé contre la livre sterling. Le banquier en retira un milliard de dollars. Il obtint aussi des gains faramineux après l'effondrement des monnaies en Thaïlande, Indonésie et Russie à la fin des années 1990. Soros fut un actionnaire important de la compagnie pétrolière Harken Energy. Il manipule les cours de la bourse, de l'or, les marchés financiers, contrôle diverses sociétés et autres ONG d'envergure internationale comme la célèbre Human Right Watch et surtout l'Open Society Foundations, un réseau central qu'il créa en 1993 et dont l'action s'établit le plus souvent sous la bannière idéologique de la démocratie et des Droits de l'Homme. Deux mamelles maçonniques dont ses fondations assurent la promotion. L'action de ce lobbyiste explore de lointains horizons. Elle couvre la majeure partie de la planète car Soros a multiplié les fondations et autres sociétés ouvertes dans plus d'une vingtaine de pays du globe, investissant des sommes folles (plusieurs milliards de dollars, selon ses propres aveux) pour influer sur l'économie, la politique, l'opinion, le terrain. Tel est le rôle alloué à ces institutions qualifiées abusivement de "philanthropiques". Les sociétés sous contrôle de Soros coopèrent parfois avec les gouvernements en place (Tony Blair en Angleterre) et d'autres fois, elles optent pour une démarche subversive. Ce fut notamment le cas pour certaines révolutions colorées qui sont aussi du ressort de George Soros. Il en éclata une en 2004 en Ukraine puis cinq ans plus tard en Iran pour contester le gouvernement d'Ahmadinejad. Plus récemment, en 2011 en Russie, la NED ainsi que l'Open Society de Soros financèrent une nouvelle révolution de couleur visant l'homme politique Vladimir Poutine. En 2005, sous le prétexte du recul des libertés, George Soros avait appelé à exclure la Russie du G8. Afin d'attaquer la nation russe et de l'isoler de la scène internationale, le magnat de la finance a reconnu, en mai 2014 sur CNN, avoir créé puis soutenu une fondation ayant joué un rôle important lors de la crise ukrainienne de 2013-2014. A mille lieux de la philanthropie affichée, il s'avère que l'argent injecté par ce banquier est une arme de déstabilisation des nations, surtout lorsque les gouvernements s'opposent au libre-échange mondialisé. D'autres faits le prouvent. En effet, outre la Russie de Poutine et son retour aux valeurs chrétiennes, on retrouva George Soros dans de multiples plans de subversion en ce début de XXIe siècle. Notamment en Egypte, en 2011, où son appui financier fut avéré et revendiqué. Soros s'était félicité sur les plateaux télévisés du vent de révolte déclenché contre Hosni Moubarak au profit des Frères musulmans. Plus généralement, le fameux printemps arabe, soi-disant libérateur des peuples, fut celui du magnat de la finance Rothschild. Disciple de Karl Popper, cet adepte des Lumières participa à l'avancée de l'idéologie maçonnique dans cette région sensible. Plus récemment, Soros se fit encore remarquer en prenant la défense des roms qui, selon lui, "doivent aussi pouvoir trouver du travail. Une solution durable requiert de l'Europe qu'elle construise une classe ouvrière rom". Après avoir grandement ouvert la porte aux travailleurs pauvres, le tapis rouge est désormais déballé aux étrangers très pauvres et miséreux. Intégrer cette population nouvelle dans les nations européennes, tel est donc le leitmotiv de Soros. Ce postulat rentrant dans la logique mondialiste encourageant l'immigration et favorisant l'abaissement du coût du travail. Agent important du cartel bancaire, Soros est aussi un ardent promoteur du Nouvel Ordre Mondial. Il l'a appelé de ses voeux lorsqu'il déclara: "Il faut un gouvernement mondial, une exigence d'autant plus ressentie maintenant après la faillite des Nations Unies, arrivée justement quand la fin de l'Union Soviétique avait créé les conditions pour faire fonctionner l'organisation selon ses principes originels" (dans le quotidien italien Le Soleil, 24 heures du 20 septembre 1995). George Soros est juif et il ne s'en cache pas: "Je suis fier d'être juif. Je crois que le génie juif existe. Il suffit de regarder le succès des juifs dans les domaines de la science, de la vie économique et des arts. C'est le résultat de leurs efforts pour transcender leur statut de minoritaires et accomplir quelque chose d'universel. La judéité est un élément essentiel de ma personnalité (Le défi de l'argent, Editions Plon, 1996). Le messianisme de ce banquier influe du même coup sur les actions qu'il entreprend. Cette subversion du divin emmène Soros sur des terrains boueux; comme en France où on retrouve trace de son appui financier avec les manifestations aussi odieuses que blasphématoires des Femen, ces féministes hystériques et antichrétiennes soutenues par la journaliste homosexuelle Caroline Fourest. Professionnel de l'agitation populaire, Soros a aussi soutenu les manifestations dénommées "Occupons Wall Street", un mouvement de contestation pacifique ayant fait au final l'intérêt de ce qu'il feignait de dénoncer. Pour finir, le milliardaire khazar a encouragé la libéralisation des drogues en qualifiant de "nazi" tout gouvernement qui s'opposerait au trafic de stupéfiants. Par son action souterraine et financière, sur tous les fronts politiques, économiques et sociétaux, George Soros est un homme fort du mondialisme messianique talmudique, une pièce maîtresse dans la recomposition du Moyen-Orient, l'emprise financière et énergétique de ce coin du globe et la redistribution des cartes en vue d'un troisième grand conflit mondial.
Johan Livernette, Le complot contre Dieu. Le mondialisme démasqué, Editions Saint-Rémi, 2014.
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