An elephant seal is surrounded by penguins (Manchots Royaux), on Desolation Island, part of the Crozet Islands, a sub-Antarctic archipelago of small islands in the southern Indian Ocean. The Crozet Islands are home to four species of penguins. Most abundant are the macaroni penguin, of which some 2 million pairs breed on the islands, and the king penguin, home to 700,000 breeding pairs; half the world’s population. Mammals living on the Crozet Islands include fur seals and southern elephant seals. Killer whales have been observed preying upon the seals
Photograph: Patrick Hertzog/AFP/Getty Images
87 notes
·
View notes
Manchots royaux et phoque à fourrure
5 notes
·
View notes
En Antarctique, une nouvelle colonie de manchots découverte grâce à des images satellites
PATRICK HERTZOG / AFP Thousands of penguin (Manchots Royaux) are pictured on December 21, 2022 on the Possession Island, part of the Crozet Islands which are a sub-Antarctic archipelago of small islands in the southern Indian Ocean. – The Crozet Islands form one of the five administrative districts of the French Southern and Antarctic Lands. They are home to four species of penguins. Most…
View On WordPress
0 notes
Les pingouins sont notre malheur !
Ils sont gros, paresseux, voraces et détruisent l'atmosphère avec leurs excréments. Non, je ne parle pas des vieux mâles blancs, coupables par principe de toute la misère du monde, mais des indicibles et diaboliques manchots royaux.
Ces misérables criminels se cachent dans l'Antarctique pour attendre des heures en souriant diaboliquement dans l'attente de leur œuvre ou de leur commerce nuisible au climat. Ils rient, car ces ennemis de la Terre libèrent par leurs selles du gaz hilarant dont la nocivité est 300 fois supérieure à celle du dioxyde de carbone satanique et, comme nous le savons tous, la lutte contre le climat n'est pas une chose dont on peut se moquer au Teutonistan !
Ils sont encore pires que la fameuse mamie truie de l'environnement (célèbre chanson des experts en discrimination télévisuelle tolérants du Teutonistan) de la chorale des enfants d'une chaîne d'éducation populaire financée par la force et comme la présidente téléguidée de six ans de l'autoproclamé Conseil du climat proclamait 'tous nos malheurs' ! En outre, les pingouins royaux fascistes et conspirateurs suivent les protocoles secrets des papys nazis de Bochum. Ces destructeurs du climat sont également des racistes patentés, car ils se pavanent fièrement dans un plumage partiellement blanc et n'en ont pas honte ; ils sont comme des animaux ! L'auteur ne sait pas vraiment ce que tout cela a à voir avec le sujet, mais il est bien connu que la protection activiste du climat n'a pas besoin de logique.
De même, cette engeance sournoise piaille en jargon nazi ! Certains négationnistes du climat et autres hérétiques mal intentionnés pourraient également attribuer une terminologie similaire à ce texte, mais c'est une misérable calomnie, puisque nous sommes les BONS !
Dans une tentative désespérée, nos activistes très motivés, menés par l'imitation nationale de la Greta, se sont efforcés de convaincre par des arguments les pécheurs climatiques endurcis du zoo local. En particulier, les héros* de la protection du climat ont tenté, en scandant des slogans simples - pour que les militants d'âge préscolaire en comprennent le contenu - de convaincre les pingouins bornés de renoncer à leur consommation excessive de poisson, nuisible au climat, et de devenir végétaliens en se nourrissant de la flore locale au pôle Sud, mais tous leurs efforts ont été vains ! La réponse ne fut pas seulement un silence incompréhensif, mais des cris nazis hostiles de la part d'un spécimen particulièrement vicieux, que l'un des sauveteurs du climat a tenté de sortir de son attitude de refus en lui lançant une pierre.
Face à tant d'ignorance, le houblon et le malt sont perdus. Pour sauver la Terre, il faut exterminer ses ennemis (folklore teuton). Malheureusement, les gouvernements incrédules ont refusé notre plan visant à déporter les ours polaires sans foyer en Antarctique afin qu'ils puissent y demander des comptes à ces nuisibles du climat. C'est pourquoi, guerriers de la lumière, nous vous appelons à partir pour l'Antarctique et à libérer le continent des destructeurs de notre planète. Enfilez votre manteau d'hiver et préparez votre fusil de chasse, votre hache de jardin, votre couteau de cuisine ou votre pelle de bac à sable et répondez à l'appel. Car : le climat le veut ! Réservez donc un passage unique auprès de notre compagnie de navigation totalement neutre pour le climat, qui utilise exclusivement des bateaux pneumatiques à propulsion musculaire.
Mais n'oubliez pas de faire don de tous vos biens à notre noble cause avant de partir, en utilisant le numéro de compte connu.
© 2020 Q.A. Juyub/H.K.H. Jeub
0 notes
#6 [Chili] Punta Arenas – L’hospitalité Chilienne
À bien des égards nous nous souviendrons de ce séjour à Punta Arenas. Ce ne sera ni pour les magnifiques excursions que propose le sud de la région ni pour la colonie de manchots royaux plus loin dans le nord, ni même pour le charme urbain de cette cité en bord du passage de Magellan, mais bien pour la générosité de nos hôtes.
Ce qui nous amène à la Golondrina, le nom donné à la maison d’amour qui nous accueille et qui signifie hirondelle en français. Elle se situe à cinq kilomètres du centre, perchée sur un plateau surplombant la ville qui offre au quotidien une vue spectaculaire sur l’eau, les montagnes et maisons alentours. Il y règne une atmosphère paisible et chaleureuse, le genre d’endroit si propice à la vie en communauté que les voisins et amis débarquent en permanence pour chiller avec leurs hôtes, écouter de la musique, discuter et même dormir là.
Ils s’appellent Carlos et Fabiola, un couple de Chiliens adorables avec la main sur le cœur et un sens de l’hospitalité au-delà de tout standard. Ils viennent nous chercher là où le bus nous dépose, nous reçoivent chez eux avec « la cena de bienvenida », avant de nous présenter à leurs amis. Et à partir de là, on est intégré au bazar. Tout s’enchaine sans qu’on s’en rende compte.
Le lendemain, après une journée de vadrouille à essayer d’échafauder des plans pour se rendre à 50 km au sud le jour suivant et visiter des trucs, alors que l’on revient lessivés après vingt-quatre bornes de marche, nos hôtes sont à l’apéro. On s’imagine naïvement qu’on va pouvoir discuter quelques minutes avec eux, faire une lessive et aller se coucher ; après tout il est 23h et c’est jeudi. Erreur d’appréciation majeure… Ça commence par un innocent verre de cidre, puis un deuxième. Ensuite on enchaine sur un Chivas douze ans d’âge, du Pisco importé du Pérou, et là les illusions de repos s’envolent. On va même jusqu’à sortir l’élixir de Chartreuse. A cinq heures du matin, on est encore dans le salon à ricaner comme des ânes. Pas de location de voiture ni de trajet en stop pour le jour qui suit, tous nos plans tombent à l’eau et on s’accroche à nos gourdes. Le soir suivant, l’ambiance monte encore d’un cran. Une douzaine de personnes à la Golondrina, gros feu de camp sous les étoiles de l’hémisphère sud, descente de bouteilles, karaoké et gros dancefloor jusqu’au lever du soleil.
Ce qui s’annonçait comme un airbnb bon marché et un peu éloigné de la ville se révèle une expérience de voyage assez incroyable avec en prime des tas de choses apprises sur la culture chilienne et le quotidien de ses habitants (du moins ceux de la région de Magallanes). On n’aura absolument rien visité du coin, rien coché de nos objectifs, mais sans pour autant ressentir un soupçon de regret. Lorsque Paulino, le seul ami en état de conduire, nous dépose gracieusement à la gare routière, on a certes la gueule de bois et un projet d’écraser sévèrement pendant le trajet, mais on se sent surtout serein, heureux de ce séjour qui nous a fait nous sentir chez nous.
Fabiola et Carlos, merci. On ne vous oubliera pas.
2 notes
·
View notes
2019 : Terres et mers australes françaises. France
Les Terres et mers australes françaises englobent les plus grandes des rares terres émergées du sud de l’Océan Indien : l’archipel Crozet, les îles Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam ainsi que 60 petits îlots situés dans la zone subantarctique. Cette «oasis» au cœur de l’Océan Austral, qui couvre une superficie de plus de 67 millions d’hectares, abrite l’une des plus fortes concentrations d’oiseaux et de mammifères marins au monde. On y trouve notamment la plus grande population de manchots royaux et d’albatros de Carter au monde. Du fait de leur éloignement des centres d’activités humaines, ces îles sont des vitrines extrêmement bien préservées de l’évolution biologique, et elles constituent un terrain unique pour la recherche scientifique.
0 notes
Kerguelen, jour 2.
Ce dimanche, tous les passagers et passagères ont pu descendre du navire pour visiter la base de Port-aux-Français. Pendant le déchargement du fret grâce au bateau, Le Chaland, nous avons débarqué par hélicoptère.
Nous sommes parti.es tout de suite faire un tour de la base, accompagné.es de Léa, AMS 69. Elle revient pour la campagne d’été sur Amsterdam et nous prodigue de nombreux conseils !
D’abord la bibliothèque, puis les alentours avec les chemins de câbles, mis en hauteur pour leur éviter d’être mangés par les rongeurs et lapins.La chapelle, le port et Biomar, la labo de l’IPEV.
Une bibliothèque très chaleureuse où je passerai des journées entières si j’étais hivernante à Kerguelen ^^
Goéland dominicain.
Les bureaux du Disker, avec la devise de la famille Kerguelen : « Vert en tout temps »
D’anciens bâtiments, dans un sale état...
Contrairement à partout ailleurs, ici les bancs sont rembourrés!
Dans Biomar.
Comme dans tous labo, une kitchenette!
Nous avons croisé un groupe de six manchots. Pour les attirer, il semblerait qu’il faille imiter leur démarche… Je vous laisse imaginer la scène, vous verrez la vidéo à mon retour XD
Les routes et les alentours sont garnis de jeunes éléphants de mer, surnommés « bonbons ». Une bonne partie d’entre-eux finiront dans le ventre des orques… et ils sont tout rond, comme des bonbons ! Ils sont curieux et lèvent la tête quand on passe, pas trop près d’eux ! Ils émettent de nombreux bruits étranges que j’ai essayé de capter avec mon appareil photo ou ma GoPro mais il y a tellement de vent que le micro sature. Ça ressemble à des bruits de pet ou de rot. Ça pétarade dans tous les sens !
Il y a également de nombreux lapins, l’île en est infestée. D’ailleurs, un espace clôt permet de voir à quoi ressemblerait les abords de la base s’il n’y avait pas cette prédation sur la flore. Pissenlits et choux de Kerguelen seraient largement présents. On trouve de nombreux ossements sur la base et aux alentours : squelettes de lapin, de bonbon, de renne, d’oiseaux…
J’ai pu visiter la chambre d’une campagnarde d’été et elle est très agréable ! Un lit simple, une table de chevet, un bureau, une armoire et une salle de bain assez spacieuse avec lavabo, douche et toilettes.
Nous avons donc mangé à terre ! Et c’était vraiment délicieux ! Tout est préparé sur place, donc les pains aux chocolats… olalala ! Il y avait plusieurs plats en self-service. C’est toujours ainsi sur la base de Kerguelen car il y a beaucoup de personnes. Et deux pâtisseries différentes en dessert. J’avais très faim, sensation largement oubliée sur le bateau. L’eau est un peu particulière ici. Tirée des nombreuses rivières de l’île, elle a une couleur légèrement jaune et a un goût de terre pas désagréable.
Au bar Totoche, les murs sont recouverts des tableaux des différentes missions. Il y en a de toutes les formes et de tous les styles ! La créativité est au rendez-vous ! On pourrait passer des heures à en étudier chaque détail…
Le bar a également repris la devise des Kerguelen mais en l’adaptant : « Un verre par tous les temps ».
Après le déjeuner, la préfète a dévoilé la plaque de l’UNESCO. Il y en a une pour chaque district mais je n’étais pas présente pour celle de Crozet.
Les traditionnels panneaux…
Nous sommes ensuite parti.es pour la Hanse des Pachas. Deux heures de balade, le long de la côte, au milieu des éléphants de mer. Ils sont vraiment très impressionnants ! Nous avons eu la chance d’assister à un combat entre deux mâles. Il n’y a pas eu de blessure cette fois, mais d’autres portaient des marques encore sanglantes. Encore des manchots royaux puis les fameux manchots papous !
Ces paysages me font penser à l’Écosse… On s’enfonce dans la tourbe ! Ici, on dit qu’on « s’ensouille ».
Un peu de rouge dans ce paysage!
Quelques cormorans, ils sont reconnaissables à leur cou comme celui des hérons et quand ils volent, ce sont les seuls oiseaux de cette taille à battre des ailes ! Les autres planent.
El papou.
Avec un jeune !
Tous ces animaux ne sont pas farouches ! Ils n’ont pas de prédateur à terre, et n’ont donc pas de comportement de fuite. Mais il est évident qu’il ne faut pas trop les approcher ni les toucher. Nous sommes chez eux et non l’inverse.
Ce soir, nous quittons le golfe du Morbihan pour nous diriger vers les sites du programme PALAS, au nord-ouest de l’archipel. Nous y arriverons dans la nuit et les opérations commenceront dès le matin. Si la météo le permet toutefois, ce qui est largement incertain vue les prévisions. Une fois le programme PALAS installé, nous repasseront à PAF avant de nous diriger vers Amsterdam.
On a le style ou on l’a pas.
0 notes
Wwoofing Otago Peninsula
Il est temps de reposer ses valises et de découvrir une nouvelle famille ainsi qu’un nouvel endroit!
C’est chez Peter et Anna que nous nous retrouvons cette fois-ci, heureux propriétaires d’Hereweka Retreat, une sublime propriété qui respire la nature et la simplicité... Quelle famille incroyablement gentille et adorable nous avons encore rencontré <3
Notre mission: s’occuper du bois pour l’hiver (couper, transporter et ranger ;) )
Petite photo souvenir!
Ces 9 jours passés nous ont replongés dans le plaisir d’aimer les choses simples et naturelles :
Cueillir et récolter des produits frais, faire son propre pain, ses confitures...
...Manger des pizzas cuites au feu de bois :)
Quand je vous dis que c’est paisible, in n’y a qu’à regarder leur maison, on se sent comme perchés dans les arbres.
Rester assis et contempler la vue...et les oiseaux :
Ci-dessus, le Fantail : ce petit oiseau est magique avec sa queue plus grande que lui. Très joueur, lorsque l’on bossait dans le bois, l’oiseau nous tournait autour et restait parfois dans les airs devant nous à genre 30 centimètres!
Le Wood Pigeon, plus gros oiseau de Nouvelle Zélande, est juste magnifique! Il peut mesurer plus de 50 centimètres et peser plus de 650 grammes.
Et voici le plus petit, le Rifleman. Il est minuscule et émet juste un petit sifflement.
Celui-ci je l’ai trouvé sur un pommier...Mais je n’ai toujours pas trouvé son nom ;)
Nous avons profiter du temps dans la péninsule pour...se balader bien sûr!
- Destination le Royal Albatross Centre, la seule colonie d’Albatros Royaux au monde...et après quelques minutes d’attente sur une falaise magnifique:
Qu’est-ce que c’était impressionnant! Quel animal!
- Balade depuis...le jardin!
Le départ de cette balade: le jardin! Et oui en partant de leur jardin on arrive après une petite heure en haut d’une colline avec vue sur toute la péninsule.
- Allan’s Beach:
Petite pause lecture sur cette plage bondée lol. C’est à 5 minutes de la maison!
- Sandfly Bay:
L’objectif: venir observer des manchots au crépuscule!
“Bon ils vont se pointer ou pas??!!”
Pas de manchots ce soir mais un bon moment passé ensemble (encore) à contempler des couleurs fantastiques (encore) ^^
- Invitation à la tonte des moutons:
La voisine sachant que nous étions des wwoofeurs, nous a invités à voir comment ils tondent leurs chers moutons, original !
Rapide et efficace, je comprends pourquoi cette demoiselle a des bras plus musclés que les miens ;)
C’est également dans ce Wwoofing que Aurélia a fêté son anniversaire (le 27/02 pour ceux qui l’auraient oublié). Et plus précisément dans la famille du fils, Jarrah, avec qui nous avons travaillé le bois :) Nous avons aussi passé quelques jours chez eux. Quelle famille incroyable, d’une gentillesse folle... Des gens simples, avec des valeurs, et rayonnants de bonheur ! Et forcément, nous avons également craqué sur les petites puces <3
(à gauche Jarrah et Ava, à droite Jen et Zélye, et bien sûr Hazel qui a posé du mauvais côté :-p )
Au programme donc de ce 27 février, petite balade en amoureux et fête surprise organisée par Jen, sa femme.
La ballade c’est à Tunnel Beach que ça se passe:
Sublimes falaises avec un temps parfait pour l’anniversaire de mon bébé ^^
Voilà la superbe plage, mais comment y accède-t’on ?
Bah par un tunnel ... Tunnel Beach quoi !
Vous aussi vous le voyez le visage dans la roche ?
Après cette ballade, direction la plage Saint Clair, pour prendre un lunch et observer les surfeurs...surfer lol.
La surprise c’est à 15h30, alors il est temps d’y aller :
Voilà l’endroit de la “ birthday party”, Macandrew Bay. C’est Jen qui s’est chargée de faire un délicieux gâteau et d’accrocher quelques ballons, pendant que je promenais madame...En plus elle a même reçu quelques cadeaux ^^
Quelle amour de femme cette Jen !
Trop bon le gâteau... Excellent travail Jen <3
...et avec les pieds dans l’eau c’est encore meilleur!
Bref, excellente journée, pleine d’attention et de gentillesse...<3
Comme dirait Aurélia : “Ça fait chaud à mon p’tit coeur !”
21/02/2017 - 02/03/2017
4 notes
·
View notes
Quatre Manchots royaux sur l'Île Kerguelen, France -- Four King penguins on the Kerguelen Island, France (South Indian Ocean) [Outdoors] via /r/natureporn http://ift.tt/2GwEq0n
0 notes
Colonies de manchots royaux (géorgie du sud)
#voyage Colonies de manchots royaux (géorgie du sud)
Colonies de manchots royaux (géorgie du sud)
Le film La Marche des Empereur aurait pu être tourné dans la baie de Saint Andrew, au sud de l’Argentine, où vivent plus de 250 000 manchots.
Difficile de ne pas sentir la forte odeur dégagée par ces animaux qui se reproduisent en de larges colonies. Mais les effluves nauséabondes se font oublier dès que l’on aperçoit les premiers manchots…
Ces…
View On WordPress
0 notes
La réserve naturelle des Terres australes françaises 78682 homes
http://www.78682homes.com/la-reserve-naturelle-des-terres-australes-francaises
La réserve naturelle des Terres australes françaises
Située à 3 000 kilomètres au sud de la Réunion – 12 000 de la métropole –, la réserve naturelle des Terres australes françaises est un territoire immense composé de trois groupes d’îles, Crozet, Kerguelen et Saint-Paul et Amsterdam. Il s’agit de la plus grande réserve naturelle de notre pays (2,2 millions d’hectares). De nombreuses espèces y vivent – comme ces manchots royaux de l’archipel Crozet –, sur lesquelles pèsent toutefois d’importantes…
homms2013
#Informationsanté
0 notes
[LE CHIFFRE] Un tiers de la population de manchots royaux a mystérieusement disparu
#ecologie http://dlvr.it/Qds2Qz
0 notes
via Twitter https://twitter.com/utwdesign
0 notes
Climat : 70% des manchots royaux pourraient disparaître d'ici la fin du siècle ➡ http://ift.tt/2F5bZch
0 notes
#ActuEnFrance Réchauffement: 70% des manchots royaux menacés de disparition @Figaro_Sciences pic.twitter.com/FcrN
0 notes