Tumgik
#malicho
photoohistory · 2 years
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This burial complex is unique in the Nabataean architecture. It consists of two very different rock-cut structures, both of which were built at the same time during the reign of Malichos II (40 - 70 A.D.), and were coordinated in their functions. The inscription on the opposite side of the pathway indicates the owner The name Obelisk Tomb is misleading, because the four pointed pillars (the highest measuring 7 m) are nefeshes, which have a different meaning than the ancient obelisks. They probably embody those buried in the four side graves of the inner chamber. The head of the family seems to be depicted in the relief of a standing man with a long robe at the top center of the façade. His burial place was in the floor of the large arched central niche at the back wall of the burial chamber, which is about 6 m wide, 5.70 m long and almost 4 m high #unesco #history #archaeology #archaeologist #ancient #archeologia #travel #ancientcity #archeological #ancienthistory #archeologie #instalikes #instagood #amazing #likes #nice #photooftheday #tourism #travelgram #love #bestoftheday #photoohistory #instagramhub #reels #reelsinstagram #NYC #usa (Obelisk Tomb) https://www.instagram.com/p/CewMZ5VseKW/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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titou-nz · 2 years
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Pétra - Jordanie
Période romaine
En l'an 64 av. J.-C., les Romains établissent une province romaine en Syrie. Ils créent une confédération de dix cités-États : la Décapole. Celle-ci entrave toute future expansion des Nabatéens. En 106, sans doute après la mort du dernier roi nabatéen Rabbel II le royaume est annexé, puisqu'il n'y a eu apparemment aucun combat, sur l'ordre de l'empereur romain Trajan par Cornelius Palma, gouverneur de Syrie. Celui-ci fait de Bosra, qui devient rapidement la deuxième ville nabatéenne en importance, la capitale de la nouvelle province romaine d'Arabie (provencia Arabia). L'empereur Trajan renomme Bosra (alors appelée Bostra) en Nea Traiane Bostra, ou « Nouvelle Bostra de Trajan », et Pétra reçoit le titre honorifique de métropole (metropolis). Un peu plus tard, en 114 Pétra devient la base de départ pour les attaques romaines contre l'empire des Parthes en Iran, à l'est. L'ouverture des routes maritimes à l'époque romaine détourne les flux commerciaux de la ville et porte un coup fatal à Pétra et aux Nabatéens. À partir de l'occupation romaine, quelques caravanes s'arrêtent encore à Pétra, mais au fil du temps elles deviennent de plus en plus rares malgré la construction d'une route romaine de 400 km reliant Bosra, Pétra et le golfe d'Aqaba. En 131, l'empereur Hadrien se rend sur le site et lui donne son nom : Pétra Hadriana. Durant la « Pax Romana », la multiplication des constructions révèle que la ville connaît malgré tout une période prospère. Lors de la réorganisation de l'Empire commencée par l'empereur Dioclétien, elle devient la capitale de la « Palaestina taertia » ou « Palaestina salutaris ».
Période byzantine
En l'an 330 le premier empereur chrétien, Constantin Ier, fait de Byzance sa nouvelle capitale et la renomme Constantinople. Pétra fait désormais partie de l'Empire romain d'Orient et l'empire y encourage comme sur tout son territoire la diffusion de la foi chrétienne en construisant des églises. Les habitants de la ville restent d'abord fidèles à leurs croyances, mais en 350 un évêque est nommé à Pétra, et un siècle plus tard de grandes églises sont édifiées dans la ville. Athanase d'Alexandrie mentionne un évêque de Pétra nommé « Asterius ». Le Deir sera même utilisé comme église durant cette période, des croix peintes sur ses murs, et trois autres églises seront découvertes lors de recherches. La vaste « Tombe de l'urne » de l'époque nabatéenne, qui correspond à la tombe de Malichos II ou d'Arétas IV, devient une sorte de cathédrale en l'an 446. Au nord de Pétra, on trouve plusieurs tombes avec des croix gravées, indiquant que les chrétiens y enterraient leurs morts. Un violent tremblement de terre frappe Pétra le 19 mai 363, endommageant des monuments, dont le théâtre, et les aqueducs. D'après Cyrille, évêque de Jérusalem, « presque la moitié » de la ville est détruite quand le tremblement de terre frappe « à la troisième heure, et particulièrement à la neuvième heure de la nuit ». La ville déjà affaiblie depuis le début de la domination romaine par la diminution de ses activités commerciales, n'est pas reconstruite et se vide lentement de ses habitants.
Moyen Âge
La dernière mention de Pétra se trouve dans un texte écrit par Anthenogenes, évêque de la ville, vers la fin du Ve siècle ou le début du VIe. La conquête islamique de 629 - 632 passe par la région et semble avoir ignoré Pétra. Conquise par les Arabes, dont l'impact sur la ville n'est pas connu, Pétra, qui s'est progressivement vidée de ses habitants, est devenue un simple village vers 700. Cependant, l'historien Dan Gibson soutient dans son livre Qur'anic Geography que la ville sainte du Coran serait Pétra et que la relocalisation de la pierre noire par Abd Allah ibn az-Zubayr à l'emplacement actuel de La Mecque aurait fait sombrer la ville dans l'oubli. Au cours de la Première croisade, la ville est occupée par Baudouin Ier, du Royaume de Jérusalem, et forme le deuxième fief de la baronnie d'Al-Karak dans la Seigneurie d'Outre-Jourdain. Durant la domination franque, plusieurs fortifications croisées seront construites, dont les forteresses Al-Wu'ayrah et Al-Habis. La ville reste entre les mains des Francs jusqu'en 1187, année où Saladin les repousse lors de la bataille de Hattin et à Al-Karak, et prend possession de la région. Un pèlerin allemand nommé Thetmar révèle être passé près de Pétra en 1217, et le sultan Az-Zâhir Rukn ad-Dîn Baybars al-Bunduqdari traverse la ville en 1276. La ville tombe ensuite dans l'oubli.
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vitrinanorte · 8 months
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Este viernes comienza Identidades Festival en Antofagasta
El encuentro internacional de artes escénicas cuenta con una contundente programación que contempla espectáculos regionales, nacionales y también propuestas de Argentina, Perú y Canadá.
El festival, de carácter gratuito, es presentado por Escondida | BHP y financiado por el Gobierno Regional de Antofagasta, con recursos del Fondo Nacional de Desarrollo Regional.
Este viernes 29 de septiembre comienza la novena edición 2023 de Identidades Festival Internacional de Artes Escénicas en el Desierto de Atacama. El encuentro se desarrollará hasta el 07 de octubre en Antofagasta bajo la premisa “Abrazando la Memoria”. Todas las funciones son gratuitas y no requieren tíquet de ingreso, pues el acceso al escenario principal en las Ruinas de Huanchaca será por orden de llegada.
Este 2023, el festival apuesta por estimular la memoria histórica, política y ancestral, a través de las artes escénicas, proponiendo una programación que destaca por promover la reflexión por medio de las expresiones artísticas, especialmente cuando ya se cumplen 50 años del Golpe de Estado en Chile.
Programación 2023
La jornada inaugural de Identidades Festival en las Ruinas de Huanchaca (20.30 horas) está a cargo de la puesta en escena El Traje del Novio, dirigida por Héctor Morales. La obra trata sobre Olivia, una costurera que trabaja en una vieja sastrería del Gran Concepción, cuya rutina se ve alterada con la aparición de Francesco Santoni, un violinista italiano que llega a Chile para que, a toda costa, ella le confeccione su traje de novio. Lo que Olivia no sabe es que, al hilvanar la prenda, se revelará un doloroso secreto: Francesco es el hijo que le fue robado en dictadura. Además de esta obra, el primer día del encuentro contará con propuestas artísticas locales para público familiar, a cargo del Taller de danzas Pampina y del coro del Liceo Experimental Artístico de Antofagasta.
En tanto el sábado 30 de septiembre (20.00 horas) es la apertura de ¿Hay viento en el desierto?, de Débora Staiff, en la explanada de las Ruinas de Huanchaca. Se trata de una instalación de banderas bordadas de gran formato, que propone la posibilidad de mostrar aquello que no se ve. Es una reflexión sobre las marcas en el alma, en el cuerpo y en la naturaleza. El mismo día se presentará la compañía antofagastina Alma Reina Teatro con una intervención artística, creada a partir de un laboratorio territorial realizado durante el mes de julio en San Pedro de Atacama. En esa instancia, Ilia Reyes, representante de la comunidad Lickanantai, guio un taller con enfoque de género en torno a la realización de muñecas de vellón.
Posteriormente es el turno del grupo argentino Noestango (21.00 horas), con un espectáculo homónimo, que instala a cinco bailarines en escena, en busca de reencontrar su identidad artística en el ocaso de la moda del tango. Cinco músicos que se apropian y traen a su presente una música canonizada e intocable. Los une la pregunta de qué hacer hoy con ese legado, del cual solo queda nostalgia de la otrora música de Buenos Aires y una danza arrasada por la industria cultural.
El domingo 01 de octubre (20.00 horas) sube al escenario la obra Reminiscencia, de Malicho Vaca, que, a través de un uso delicado y seductor de plataformas digitales, escarba en la biografía personal de Mauro, en la biografía de la ciudad y en cicatrices profundas. Es una experiencia que pone el foco en lugares mágicos y singulares, relevando una topografía emocional.
El martes 03 de octubre (11.45 horas) en Plaza Colón se presentan los canadienses de Boca del Lupo con Red Phone, un espectáculo que en parte es teatro y en otra intervención social. Se trata de una actuación de público a público, que utiliza la intimidad de una llamada telefónica. Tiene lugar entre dos cabinas hechas a mano, totalmente cerradas, cada una equipada con un teléfono rojo vintage y un teleprompter integrado. Las conversaciones guionadas estarán a cargo de las chilenas Fabiola Ruíz y Amarilis Colomba Rojas. Esta intervención se repetirá los días 04, 05 y 06 de octubre (12.00 horas) siempre en la Plaza Colón.
El jueves 05 de octubre (20.30 horas) en la Plaza Nicolás Tirado es el turno de Rosa Cuchillo, obra de autoría del Grupo Cultural Yuyachkani, protagonizada por Ana Correa. Se trata de un rito de purificación, limpieza y florecimiento a la usanza tradicional de algunos pueblos de los Andes del Perú. Rosa Cuchillo es la madre que busca más allá de la muerte a su hijo desaparecido, recorriendo los otros mundos, el Mundo de Abajo “Uqhu Pacha” y el Mundo de Arriba “Hanaq Pacha”.
El 06 de octubre (20.30 horas) en las Ruinas de Huanchaca, la compañía antofagastina Club de Lectura estrena una intervención artística, resultante del trabajo en terreno obtenido en el laboratorio de construcción de marionetas, realizado por Valentina Escorza con niños y niñas de Ollagüe, en el marco del ciclo Identidades en Ruta. Y a las 21.00 horas está programada la función de Testimonio sobre las muertes de Sabina, de Teatro Imagen, mítica compañía nacional que celebra 50 años de vida en Chile. La puesta en escena dirigida por Gustavo Meza, aborda la vida de Sabina y su marido Rafael, pareja de que sobreviven precariamente, gracias a la existencia de un puesto de frutas. Sin embargo, ambos se ven envueltos en una situación que pone en juego la estabilidad de su relación de 30 años. La obra es protagonizada por Elsa Poblete y Gonzalo Robles.
Identidades Festival también contempla la realización de un conversatorio abierto a todo público, a cargo de Gustavo Meza. El encuentro lleva por nombre Teatro Imagen: 50 años de creación, formación y resistencia cultural. La cita es el miércoles 04 de octubre a las 16.30 horas en la Biblioteca de Antofagasta. Para conocer más detalles sobre seminarios y truques de esta edición está disponible la web www.carpaidentidades.cl y la cuenta de Instagram Identidades_Festival
Identidades Festival es un proyecto de la Corporación Cultural La Huella Teatro, presentado por Escondida | BHP. Es una iniciativa financiada por el Gobierno Regional de Antofagasta, con recursos del Fondo Nacional de Desarrollo Regional, F.N.D.R 8% asignación directa, por un monto de 119.421.293, aprobados por el Consejo Regional de Antofagasta, año 2023. Este es un proyecto acogido a la Ley de Donaciones del Ministerio de las Culturas, las Artes y el Patrimonio y cuenta con el patrocinio de Unesco. Identidades Festival ha sido reconocido por Marca Chile de Imagen País.
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gwarden123 · 1 year
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Hmm, that ending was more of a wet fart than I thought it would be...
I knew they destroyed the holocron, but I really thought they were going to destroy it in the process of escape, rather than afterwards when they’re all safe and sound. It’s that emotional crescendo thing again. Not that you can’t have an ending where they destroy the macguffin after the climax. It’s just usually that happens when the hero has been chasing the macguffin to fill a hole inside them and, by the end, they realise they don’t need it. “I’ll be happy once I get my million credits” -> “Maybe the million credits were the friends that were inside me all along” It’s just, I didn’t particularly feel that with Cal? Maybe with Cere. She’s seeking the holocron to wash away her sin of betraying her apprentice. But a) she’s not the main character, and b) that doesn’t happen at the end. She doesn’t gain absolution with her interaction with Trilla, nor does she gain an understanding that she didn’t need absolution in the first place. And she’s not the main character, so it wouldn’t matter even if she did.
So, what we have in the end is a thing we’ve spent the entire game trying to get because Cal said he wanted it, only to have Cal go *shrug* “I don’t want it actually, lol”. And they don’t even... Like, Cordova created the holocron because he sensed great doom and wanted to save the Jedi Order. If Cal had used the destruction of the holocron to secure their escape, Cordova’s goal would have come to fruition, if not in the way he envisioned. We could have even had one last message from him to close out the game.
Here is my suggestion. We reconfigure things to make the story a game of cat and mouse between Cal, et al. and Trilla. We make Cal feel a little more guilty over the death of his master, but we also make it so Cal’s escape on Bracca landed Trilla in hot water with Vader/the Emperor. So, when she goes after the holocron, she’s not just doing it to capture all those little Jedi children, she’s doing it to make up for her failure. She needs it. We move the ending to somewhere more isolated. I mean, you could do the Inquisitor Fortress, I guess. It’s just lonely mountaintops are more fun. Whatever, they’re fighting bitterly over the holocron and Cal destroys it to give them the opening to get away. Maybe everything’s exploding or the planet’s on fire (or they’re in a flooding base). This has to start before they start fighting. There has to be a sense of their pursuit of the holocron leading them into hell. Cal destroying it is not just him protecting the Jedi kids, but also his realisation of this fact. Then Trilla is like “NOO!” and dives after the broken pieces, giving us the opportunity, some platforming and exploding later, to rescue her from certain doom, leading more naturally into her turning away from the Empire.
That’s if you decide you need Trilla, anyway. Honestly, I think she could be written out, if instead you want the story to focus on Cal’s emotional journey of getting over his trauma and facing his master’s memory. Malichos would have worked fine as the main bad guy, especially if he had perhaps helped out a little more the first time you meet him on Dathomir. Would have worked more thematically, I think, with both him and Cal being survivors of trauma and both of them choosing to deal with it in different ways. Then Merrin might actually have something to do with the main plot, because, it’s not like I don’t see the potential, but, boy, does she embody the idea of “characters said hi to each other once in one scene and Tumblr decided to ship them forever”.
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creopoint · 7 years
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Sir Topaz at 7: The Malicho Years, Redux [32]
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vitrinanorte · 10 months
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Identidades Festival abraza la memoria con su programación artística 2023
La iniciativa presentada por Escondida |BHP y financiada por el Gobierno Regional de Antofagasta se desplegará desde el 29 de septiembre al 07 de octubre bajo la premisa “Abrazando la Memoria”.
IX edición del festival de artes escénicas, reunirá artistas de Chile, Argentina, Perú y Canadá, quienes se darán cita en las Ruinas de Huanchaca para estimular memoria local, nacional y global.
Este viernes 04 de agosto se dio a conocer la programación de la IX edición de Identidades Festival Internacional de Artes Escénicas en el Desierto de Atacama, hito cultural del norte de Chile, que se celebrará entre el 29 de septiembre y el 07 de octubre en Antofagasta, bajo la premisa “Abrazando la Memoria”. El encuentro, enraizado en el territorio, tendrá una vez más como escenario principal el anfiteatro del Monumento Nacional Ruinas de Huanchaca, además contempla ampliar espectáculos hacia espacios públicos como la Plaza Colón y la Plaza Nicolás Tirado. Todas las actividades programadas por Identidades Festival son de carácter gratuito y abiertas al público general. Para asistir no se requiere presentar tíquet de entrada. 
La IX edición de Identidades Festival apuesta por estimular la memoria histórica, a través de las artes escénicas, comprendiendo que sin memoria no existe futuro posible. “En la raíz de Identidades Festival habita la memoria como una fortaleza que dota de sentido y conciencia el quehacer artístico y cultural de nuestra organización. Creemos fervientemente en la capacidad reflexiva de las expresiones artísticas, por eso, la acción de recordar tendrá un lugar privilegiado en esta edición”, dice Alejandra Rojas Pinto, directora del festival. 
A 50 años del Golpe de Estado en Chile, Identidades Festival asume un compromiso cultural, artístico y social, como organización conectada con su comunidad, proponiendo una programación que invita a revitalizar la memoria y a aportar a la reparación colectiva. Esto, a través de las artes y la apreciación de la historia de los antepasados, para proponer otros modos de convivencia más respetuosos de la diversidad cultural y de las diferentes formas de habitar el mundo. “Queremos homenajear la vida y visibilizar la resistencia de los pueblos defensores de sus comunidades y sus legados culturales, así como elevar el territorio y el sentido de pertenencia de quienes lo habitamos”, agrega la directora de Identidades Festival.
La programación artística
A través del teatro, la performance, la interdisciplina y otros lenguajes, artistas de Chile, Argentina, Perú y Canadá se darán cita en Antofagasta para estimular la memoria local, nacional y global. 
Los espectáculos que darán vida a la IX edición de Identidades Festival 2023: Abrazando la Memoria son: 
Testimonio sobre las muertes de Sabina. Teatro Imagen (Chile)
El traje de novio. (Chile)
Reminiscencia. Malicho Vaca Valenzuela (Chile)
El Golpe, un relato de memoria. La Maulina (Chile)
Rosa Cuchillo. Yuyachkani (Perú)
Red Phone. Boca del Lupo (Canadá)
Noestango. Grupo Noestango (Argentina)
Coproducción internacional: ¿Hay viento en el desierto? Déborah Staiff (Argentina)
Coproducciones regionales: Alma Reina Teatro y Club de Lectura. (Antofagasta, Chile).
Respecto a la temática que moviliza la programación 2023, el Gobernador Regional de Antofagasta, Ricardo Díaz, expresó: "El arte sana, el arte cura las heridas. A través de las acciones artísticas es posible lograr algo de justicia, en la medida en que todos tomemos conciencia de cómo debemos ir avanzando hacia el futuro.  Y así evitar que lo trágico, lo grotesco que vivimos, se vuelva a repetir. Hagamos de este festival un encuentro de sanación".
Identidades Festival, financiado por el Gobierno Regional de Antofagasta, es presentado por Escondida | BHP desde 2014, alianza que ha favorecido la generación de audiencia y la construcción de una programación cultural de excelencia.
“En esta, su novena versión, Identidad Festival vuelve a tomarse el mes de octubre, como es habitual, para sorprendernos con espectáculos de gran calidad provenientes de Argentina, Perú, Canadá y Chile. Una cartelera diversa dirigida a todas las familias antofagastinas y de la región, con la cual podrán disfrutar, conocer y reflexionar acerca de la importancia de la Memoria como elemento de unidad y construcción de comunidades”, indicó Cristóbal Marshall, vicepresidente de Asuntos Corporativos de Escondida | BHP.
En tanto, Claudio Lagos, Seremi de las Culturas en Antofagasta enfatizó: “Este es un momento muy importante para nuestro país, porque conmemoramos los 50 años de la dictadura cívico-militar, un año en el cual estamos inmersos en procesos de hacer memoria, de entender nuestro pasado y aceptarlo, porque es la única manera efectiva de construir futuro. Por eso, que Identidades Festival abrace la memoria con ese cariño, con esa emocionalidad y respeto, contribuye al ánimo de unidad para construir un futuro para todos y todas”.
Este es un proyecto de la Corporación Cultural La Huella Teatro, presentado por Escondida | BHP. Es una iniciativa financiada por el Gobierno Regional de Antofagasta, con recursos del Fondo Nacional de Desarrollo Regional, F.N.D.R, 8% Cultural, aprobados por el Consejo Regional de Antofagasta, año 2023. Identidades Festival es un proyecto acogido a la Ley de Donaciones del Ministerio de las Culturas, las Artes y el Patrimonio y cuenta con el patrocinio de Unesco. Identidades Festival ha sido reconocido por Marca Chile de Imagen País.
Identidades Festival cuenta, además, con una amplia red de colaboradores locales interesados en el quehacer cultural de la región, cuyos aportes permiten el desarrollo sostenido de este evento. Para conocer la programación detallada de Identidades Festival está disponible la plataforma www.carpaidentidades.cl  y la cuenta de Instagram @Identidades_Festival.  https://www.youtube.com/watch?v=g9FHHGM0rDY https://www.youtube.com/watch?v=zbNnoKWNu4A
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creopoint · 7 years
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Sir Topaz at 7: The Malicho Years, Redux [24]
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