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#chouette désuétude
kino51 · 6 months
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La fille de feu 1958
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navisseli · 6 years
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Le Passeur
Le passeur, tome 1
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Auteurice : Lois Lowry
Maison d’édition : L’Ecole des loisirs (Médium)
Date de publication : 1993 (US), 1994 (FR), 2014 (présente édition)
Nombre de pages : 222
Genre : Utopie/Dystopie, Science-Fiction
Ce qu’en pense Naviss :
Salut salut, je vais vous parler aujourd’hui d’une lecture agréable que j’ai faite cette après-midi, pleine de bonnes idées, mais malheureusement trop courte et imprécise. Il s’agit du premier tome éponyme de la saga Le Passeur.
Le concept et les règles de cet univers sont intéressant.es. C’est une dystopie, et j’adore les dystopie ; vu que je ne lis jamais de dystopies “jeunesse” (ou si peu), je suis passé à travers le ras-le-bol actuel concernant le genre, et je suis toujours heureux d’en découvrir une.
La société proposée dans ce livre, sobrement nommée la communauté par les personnes incluses dans le système et qui ne réfléchissent pas à son propos, et appelée l’Identique par le Passeur, mentor de Jonas, le personnage principal. Dans cette société très réglée, les besoins de chacun.e sont pris en charge par la communauté et la cohésion sociale est la chose la plus importante. Pour maintenir cette cohésion, tous les personnages font un travail sur leurs émotions tous les jours, en analysant ce qu’ils ont ressenti pendant la journée, en s’excusant systématiquement d’avoir éventuellement heurté les sentiments des autres, en ne mentant (théoriquement) jamais*, en partageant les rêves qu’ils ont fait la nuit avec leur famille (ce moment gênant où tu fais des rêves de cul et que tu dois les raconter à ton père au petit-dej’...). L’enfance est rythmée par un certain nombre de cérémonies : chaque année, les enfants ont de plus en plus de responsabilités jusqu’à l’âge adulte, où on leur affecte un métier. Ce métier n’est pas affecté injustement : il dépend de la personnalité de l’enfant, de ses goûts, de ce à quoi il passe déjà son temps libre. La communauté est restreinte, aussi celleux qui leur affectent ce métier les connaissent personnellement, sont bienveillants envers eux, et ne font pas des choix à l’aveugle ou selon un algorithme douteux. Si jamais iels se plantent dans leur choix, l’enfant peut faire appel pour changer de métier. Tous les ans, 25 enfants mâles et 25 enfants femelles (qu’est-ce qu’il arrive aux enfants intersexués ? mystère...) sont mis au monde par des mères porteuses (je rappelle que les gens sont contents de faire leur job et que si leur affectation ne leur plait pas, ils peuvent demander à en changer). Les personnes âgées, quand elles sont trop vieilles, sont élargies. On ne sait pas vraiment ce que ça veut dire, on suppose qu’elles partent ailleurs, dans une autre communauté, vivre une vie paisible. Toute personne a le droit de demander à être élargie.
*Théoriquement, parce qu’en devenant adulte, Jonas reçoit le droit de mentir. Et  si c’était le cas de tous les adultes ?
Voilà pour le principe. Il y a plein de détails intéressants dont je souhaite parler. Le rapport au genre est plutôt chouette en ce que l’autrice n’essentialise pas les fonctions : le père du protagoniste, Jonas, est nourricier (le masculin de nourrice), il est très doux, il adore les bébés ; sa mère est juge, elle est plus intelligente, plus réfléchie. Tous les rôles sont pour tous les sexes.
{GROS SPOIL MAIS EN VRAI ON S’EN DOUTE DÈS LA 4ÈME DE COUVERTURE}
Je parle bien de sexe, pas de genre, et c’est fait exprès. Les naissances sont très contrôlées, et on s’assure d’un maintient de la population en s’assurant qu’il y ait 25 mâles et 25 femelles qui naissent. Les jumeaux sont une mauvaise surprise, surtout quand ce sont des jumeaux de même sexe, car ça signifie qu’il va falloir élargir celui de trop, généralement le plus lourd des deux. On suppose que les bébés présumés autistes sont également élargis, et je ne peux que penser qu’il en va de même pour les bébés malades ou ayant un handicap, ainsi que les enfants intersexués... Élargis, en vrai, c’est le joli mot pour dire qu’on les bute, mais ça, tout le monde n’est pas au courant. Les personnes qui ne respectent pas les règles importantes 3 fois sont élargies également. Je suppose grandement que s’il y a des personnes trans ou homosexuelles dans la communauté, elles sont élargies. Ce qui est curieux, d’ailleurs : le sexe des individus, leur genre, leur orientation sexuelle ne devrait pas avoir la moindre importance dans un monde où les gens ne se reproduisent pas...
{FIN DU SPOIL}
Quand les enfants ont un an, ils sont placés dans leur nouvelle famille. Pour obtenir un enfant, une famille doit déposer un dossier. Tout couple formé depuis plus de 3 ans a le droit de demander un enfant.
« Deux enfants - un masculin, un féminin - par cellule familiale. C’était écrit très clairement dans le règlement. »
Pour s’assurer du fait qu’il n’y ait pas de naissances surprises, tout le monde prend la pilule, les mâles comme les femelles. A ce sujet, le rapport à la sexualité est chouette car il n’y pas d’essentialisme de type « on a pas de désir sexuel à X an » ; on estime plutôt que ça dépend des enfants, et quand ils commencent à avoir des désirs sexuels (qu’eux-mêmes signalent), on leur donne un contraceptif. Alors, il y a un truc qui m’a beaucoup gêné, c’est ça. Quand Jonas commence à prendre la pilule, sa mère lui tient ce discours :
« Beaucoup de camarades de ton groupe d’âge doivent sans doute prendre {la pilule}.Les garçons, en tout cas. Bientôt tout le monde la prendra. Les filles aussi. »
Parce qu’aucune fille de 11 ans n’a de désir sexuel, mais ça va de soi pour les garçons ?! On sent bien que ça a été écrit par un homme* en 1993… Bien sûr qu’il y a des filles et des garçons à 11 ans qui n’ont pas de désir sexuel, qui peut-être n’en auront jamais d’ailleurs. Et de la même manière il y en a qui en ont avant, de tous les sexes et de tous les genres. La différence c’est qu’il y a une plus grosse pression sociale sur les filles, alors que la sexualité des garçons est exaltée... C’est ce genre de martèlement “les filles n’ont pas de désir sexuel” qui rend notamment la masturbation féminine si tabou, alors qu’au même âge tous les garçons s’en vantent...
*Erratum : lors de la première version de ce billet, je croyais que Lois Lowry était un homme - et que Lois était bêtement le prénom masculin “Louis” en langue anglaise... C’était oublier par exemple Lois Lane, la compagne de Superman ! Du coup je retire cette phrase, et peut-être que l’autrice a des problèmes de mémoire ou prend son cas pour une généralité...
M’enfin. Ce qui est très prenant, dans ce livre, c’est la réflexion autour du mensonge, du bien, de la sécurité, mais surtout des sentiments et des émotions. On nous présente un monde passé où les gens éprouvaient davantage de sensations fortes, positives comme l’amour ou négatives comme la souffrance, mais qu’ils causaient leur propre destruction. La société “parfaite” dans lequel le héros vit convient à tout le monde, sauf à ceux qui se souviennent de la force que les émotions peuvent avoir, et à qui la force tamisée des émotions de leur monde ne va plus. Je trouve le questionnement intéressant, mais pas bien traité, car l’autrice a beaucoup tendance à essentialiser les sentiments et émotions, en les traitant non pas comme quelque chose que tout le monde est censé ressentir de la même façon et qui est censé couler de source pour tout le monde. Je sais que je ne suis pas très clair, donc je vais vous donner un exemple avec le traitement du sentiment d’amour.
Dans cette scène, Jonas vient de recevoir le souvenir d’un Noël passé que quelqu’un, avant lui, a vécu bien avant sa naissance. Marqué par le sentiment d’amour qui régnait dans la famille de cet.te anonyme, il demande en rentrant chez lui :
Jonas, à ses parents : Est-ce que vous m’aimez ?
Papa : Jonas ! Toi ! et la précision du langage, alors ?
Maman : Ton père veut dire que tu as utilisé un terme très général, tellement dénué de sens qu’il est pratiquement tombé en désuétude.
Jonas les regarda d’un air ébahi. Dénué de sens ? Jamais auparavant il n’avait ressenti quelque chose d’aussi riche de sens  que ce souvenir.
Maman : Notre communauté ne peut pas fonctionner correctement si les gens n’emploient pas un langage précis. Tu pourrais demander : « Est-ce que vous appréciez ma présence ? » Et la réponse est oui.
Ici, cette scène vise à montrer que les parents ne comprennent pas le mot « amour » et la chose vague que c’est censé être pour tout le monde. Et donc s’iels ne comprennent pas, c’est qu’iels n’aiment pas. Et la question que je pose, c’est : est-ce parce qu’iels intellectualisent et décomposent leurs sentiments que ça signifie qu’iels ne les ressentent pas ? Tout le monde n’aime pas pareil, tout le monde n’est pas amoureux pareil, c’est un mot qui n’a pas le même sens selon la personne qui l’emploie. Quelqu’un qui dit “je t’aime” peut vouloir dire « je t’aime, et par là je veux dire que je suis heureux que tu existes et que tu sois avec moi, et que je chéris tous les instants qu’on passe ensemble » ; ou « je t’aime, et par là je veux dire que je suis heureux de ce qu’on a bâtir ensemble et que j’espère qu’on continuera longtemps à construire notre relation ».  Je t’aime ne veut pas dire la même chose selon la personne, selon le moment où on le dit… pourquoi délégitimiser le discours des parents ici ?
A ce sujet, je vous recommande grandement de lire ce comics de Kimchi Cuddles. Elle explique très bien ce que je veux dire, et permet de réaliser que ce qui est plus important que simplement ce mot, “je t’aime”, c’est tout ce qu’on veut transmettre en le disant !
Et du coup, outre des petites bêtises sans importance, il est très bien, ce livre. En tout cas toute son exposition est très bien. Le problème... c’est la fin. Elle est complètement fucked up, on comprend pas où on va, la fin n’est pas une fin, et tout, à partir du retournement de situation (si je vous dis “le plan”, vous allez comprendre), semble artificiel. C’est comme si on avait dit à l’autrice : “Lois, on t’avait dit que tu avais 300 pages mais on s’est trompés ! Il faut à tout prix que tu boucles ton bouquin à 200 pages, avec une marge de +/- 20 pages”... et qu’il avait speedé pour finir son bouquin. J’ai beaucoup aimé ce livre et toute son exposition, mais la fin, wtf. Je vous invite à le lire quand même. Il vaut le coup, et la fin, proportionnellement au livre, c’est pas grand chose.
Ma note : 11/20
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ushermen · 7 years
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© Rédigé par, Pierrick Labbe pour Begeek.fr le sam, 11 Nov 2017 à 07h00 from High tech – Begeek.fr http://ift.tt/2meUcai
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