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#canari magique sans conséquence
mediumhounkpe · 2 years
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Canari Mystique du Marabout Voyant HOUNKPE
CANARI MAGIQUE – LE PORTEFEUILLE MAGIQUE DE LA RISCHESSE, PORTEFEUILLE MAGIQUE SANS CONSEQUENCE canaris mystique d’argent Ce canari sacré du Marabout Voyant HOUNKPE, est fabriqué avec de puissants rituels et des plantes très utilisées en sorcellerie qui ont été bien travaillées par le professeur HOUNKPE pour donner à toute personne le pouvoir pour dominer et être PUISSANT spirituellement. Il…
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Hier soir à Lille… Indochine
Le groupe de Nicola Sirkis a donné un concert exceptionnel au stade Pierre Mauroy devant 28 000 spectateurs. Qui n’ont pas manqué de célébrer en fanfare les 60 ans du chanteur.
Nicola Sirkis n’aime pas les honneurs. Quand il reçoit une Victoire de la musique, il la donne immédiatement à un membre du public. Quand on lui propose d’être nommé à la légion d’honneur, il décline aussitôt. Alors ses anniversaires, pas question de les fêter, encore moins en public. Seulement voilà. Quand le leader d’Indochine s’est interrogé sur la manière de clôturer en beauté son incroyable «13 tour», il s’est rendu compte que la meilleure date possible pour organiser un concert géant à Lille tombait ce 22 juin 2019, soit le jour de ses 60 ans… Alea Jacta Est. Et à 20h45, Indochine se lance dans la bataille comme on va à la guerre. Oubliée la soucoupe volante disposée au-dessus du public. Cette fois une immense grille lumineuse (dont l’installation a fait baisser le toit du stade de 20 centimètres) submerge la fosse. En fond de scène un immense écran géant, occupant les trois quarts du stade, permet une plongée de l’apocalypse à la lune. La salle est finalement plongée dans un noir total et les premières mesures de «Black Sky» résonnent. Si le son a besoin de trouver ses marques, le groupe lui est immédiatement en place. Tout de noir vêtu, Nicola Sirkis porte ses troupes avec une fougue et une force incroyable. L’immensité de la scène l’oblige à redoubler d’efforts pour aller chercher les gens. Mais dès «2033» et sa pluie de confettis sur la fosse, le stade entier est debout. Et personne ne va se rassoir pendant les trois prochaines heures. Car oui, là est toute la force d’Indochine.
A lire :Nicola Sirkis : "Ma Vie en Indochine"
Avec des prix de place entre 40 et 48 euros et des show ultra-longs, les fans en demandent et en redemandent encore. D’autant que le spectacle est certes musical mais aussi visuel. Sur «Henri Darger», les images d’Erwin Olaf réalisées pour la pochette de «13» défilent. Le concert a démarré depuis près d’un quart d’heure et le groupe n’est pas encore apparu sur les écrans géants. Même chose pour «Station 13», l’exigence visuelle se fait forcément au détriment des habituels gros plans sur les musiciens. Peu importe, car tout s’enchaîne dans une incroyable communion. Si les fans de la première heure chantent dans les gradins «Miss Paramount» ou «A l’assaut» ceux de la seconde génération s’emballent pour
«Alice & June». «Ce soir je vais être très très ému » lâche Nicola Sirkis en déambulant sur l’immense avant-scène qui le mène au cœur du public. Il empoigne une guitare pour «La vie est belle» chantée devant un stade entièrement allumé. Et oui ce soir, la vie est effectivement très belle. Alors sur «Tes yeux noirs» qui lui permet de descendre dans la foule, puis de parcourir les gradins, Nicola craque, submergé par ce trop plein d’amour, par la fidélité des fans, par cette ferveur toujours là, presque 40 ans après ses débuts. Conséquence, il est incapable de chanter «Kimono dans l’ambulance», reprenant le contrôle de la situation qu’un peu plus tard dans le morceau.
A lire :A Lille, Indochine s’offre un stade
Première surprise du soir, le retour de «Dunkerque». «Quand j’étais tout petit, j’ai passé beaucoup de temps dans la région. Alors ce morceau il est pour vous». Ceux qui ont connu Indochine avec «Paradize» (2002) exultent. «Le monde est un pervers / Mais je continuerais de le braver» chante un Sirkis plus déterminé que jamais. Cette fois, l’écran montre son visage bouleversé, son ahurissement devant une salle totalement au diapason. On est loin de la froideur de circonstance parisienne. Pas besoin ici de prouesses pyrotechniques ou de cubes volants pour retourner la salle. Non Indochine joue avec passion. Et cela suffit bien amplement. «La treizième vague» précède l’enchaînement final «Song for a dream » / Un été français», deux chansons récentes intégralement reprises par les spectateurs. Prouvant qu’Indochine sait encore et encore composer des tubes. Les Lillois sautent en l’air dès les premières mesures de «Canary Bay», intégré comme toujours au sein d’un medley. Au fur et à mesure de ce «Club 13», le son devient étouffant, à la limite du décrochage. Parfait pour assommer les esprits ! 1h45 vient de s’écouler et Indochine a depuis longtemps gagné la bataille du soir. Alors que le rappel se fait attendre, quelle surprise quand les lumières se rallument de voir 70 musiciens de la Garde Républicaine entonner les premières mesures de «J’ai demandé à la Lune». Estomaqué, le stade écoute ses hommes dans leur tenue d’apparat revisiter l’un des plus grands tubes du groupe. Quand «Salombo» démarre avec Indochine au complet sur l’avant-scène cela devient un moment hors du temps et tout simplement magique. Le public écoute attentivement les arrangements presque dansant de l’orchestre. «Justine» est exhumée des tiroirs avec délice, et «La chevauchée des champs de blé» fait plus que jamais figure de classique. Lou Sirkis, la fille de Stéphane frère jumeau de Nicolas décédé il y 20 ans, les rejoints pour une version là aussi toute fringante de «Electrastar». 30 minutes viennent de s’écouler et on prie déjà pour que tout cela ait bien été enregistré. Mais alors que Nicola tente de regagner la scène principale, voilà la garde républicaine qui se lance dans un «Joyeux Anniversaire» immédiatement repris par la foule. Nicolas manque de s’écrouler quand il voit sa fille Théa –en plein bac- venir lui apporter un
immense bouquet de roses blanches. Le secret avait été bien gardé et le chanteur est une fois encore submergé par cette soirée définitivement pas comme les autres. Il reprend néanmoins le contrôle des événements en attaquant «College boy», puis fait chavirer la foule de longues minutes avec un «trois nuits par semaine» épique. Il est 23h20 quand les premières mesures de «L’aventurier » explosent dans le stade. Indochine joue depuis plus de 2h30 et rien ne semble les arrêter. Dans les gradins ou dans la fosse, personne non plus n’a l’air de vouloir partir. On ne peut que s’incliner devant un tel dévouement, devant une telle relation entre un public et son groupe. Oui l’acharnement de Nicola Sirkis est admirable. Oui la musique a été une thérapie à un moment de sa vie où plus rien n’allait. Mais celui qui lui a permis une incroyable renaissance artistique. Ces deux concerts lillois, il les a produits seul, sans producteur, assumant les risques financiers lui-même. Il y a peu de groupe dans l’histoire de la musique en France qui ont connu un tel destin. Et c’est ce qui le rend toujours aussi passionnant, toujours aussi pertinent. Difficile de croire que 40 années ou presque se sont écoulées depuis la parution «L’aventurier», qui continue de rendre les foules hystériques. Nicola Sirkis ne termine pas pour autant la soirée sur une note nostalgique. Et préfère saluer une dernière fois ses ouailles avec «Cartagène» et surtout la ballade épique «Karma Girls». Au bout de 2h58 de show –soit le concert le plus long de toute l’histoire du groupe- un message s’affiche sur l’écran géant. « merci à vous tous du 13 tour. A bientôt ?» Le point d’interrogation est coquetterie. Car personne hier soir à Lille n’a pu repartir avec un sentiment d’inachevé. Si certains seront encore là ce dimanche soir pour une ultime salve (et une setlist différente), tous seront évidemment aux prochains rendez-vous qu’Indochine voudra bien leur donner. Dans trois ans ? Dans douze mois ? Peu importe, la Indochine Nation est plus forte que jamais. Lille l’a montré avec brio.
Setlist du 22 juin, Lille, Stade Pierre Mauroy
1/ Black Sky2/ 20333/ Henri Darger4/ Station 135/ Alice & June6/ Miss Paramount7/ A l’assaut8/ La vie est belle9/ Tes yeux noirs10/ Kimono dans l’ambulance11/ Dunkerque12/ La 13ième vague13/ Song for a dream14/ Un été français15/ Club 1316/ J’ai demandé à la lune17/ Salombo18/ Justine19/ La chevauchée des champs de blé20/ 3Ième sexe21/ Electrastar22/ College Boy23/ Trois nuits par semaine24/ L’aventurier25/ Carthagène26/ Karma Girls
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Hier soir à Lille… Indochine
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