#benoît hamon
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Mai 2022
Nous étions si fragiles…
Emmanuel Macron n’était qu’un leurre, le champion ou la marionnette consentante des milieux d’affaires dont il servait les intérêts – et non pas l’intérêt général ou le bien commun – mais au printemps 2022, il était devenu le phare incontournable de la vie politique française. Le scandale qui entachait la campagne du candidat républicain François Fillon et la…
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#2016#2022#aligner#appauvrissement#Assemblée nationale#assister#Élysée#écologique#élection présidentielle#bafouer#Benoît Hamon#Bernie Sanders#bien commun#boulevard#candidat#challenger#champion#Charybe ou Scylla#cinquième République#citoyen#collapse#Commission#concurrence#consentir#décomposition#défi#dramatique#dumping#effondrement#Emmanuel Macron
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je viens de lire la phrase "Benoît Hamon nous partageant le 'leave America' d'hier", chuis en pleurs
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Je me permets d'extraire un petit bout de ma conversation en cours avec la charmante (❤️) @joannerowling parce que j'aimerais bien faire cette réponse en public : il en va de l'histoire récente de la Gauche et de certains mouvements de société qui me semblent largement occultés, justement, par elle, au profit de son clientélisme actuel et de son discours détourné de son électorat historique.
@joannerowling :
Je sais pas, écoute, j'ai peut-être perdu de mon idéalisme depuis les dernières élections ? Aujourd'hui je pense que les mouvements politiques arrivent pour des raisons plus profondes que la manipulation des élites. Quand Mélenchon avait un discours plus socialiste en 2017, il n'a même pas pu battre Fillon, et dieu sait que celui-ci s'est fait laminé médiatiquement, ET bouffé par deux autres "droites". J'en arrive à la conclusion que les français sont… de droite. Déso ?
... La défaite de Mélenchon en 2017 cache en réalité une formidable remontée de la Gauche, grâce à sa campagne audacieuse ; il ne faut pas oublier qu'on sort d'une répression massive d'un mouvement social de grande ampleur contre la Loi Travail (Macron-El Khomri) matée par Valls dans le sang et les larmes — c'est en 2016 que l'on a commencé de servir d'armes de guerre contre les manifestants, avec les premiers mutilés. À l'époque, le Parti Socialiste est hégémonique à gauche : il l'est depuis l'O.P.A. de Mitterrand autour du Programme commun qui a tué le Parti Communiste Français. On ne le sait que trop, c'est Tonton qui orientera le socialisme vers la social-démocratie européiste et le néolibéralisme en ringardisant l'anticapitalisme dans une imitation troublante du « TINA » that chérie. Je te parle d'un temps que les moins de vingt ans, etc. mais si Nicolas Sarkozy a modifié le nom de son parti pour créer “Les Républicains” c'est aussi parce que tout le monde s'était mis, sous le hollandisme, à parler de “l'UMPS”...
Donc, en 2016, Mélenchon fait une campagne extraordinaire où il se paie le luxe de se réapproprier les symboles républicains à la barbe de l'extrême-droite, fait chanter la Marseillaise en meeting, expérimente avec les nouvelles technologies (le fameux hologramme...), et s'empare de YouTube avant tout le monde pour contrer la censure intense qui sévit sur le PAF contre la France Insoumise et surtout sa propre personne, homme à abattre caricaturé avec une haine inédite dans des médias très proches du P.S. ; lequel P.S. met le satellite Benoît Hamon sur orbite pour tenter de reprendre l'électorat jeune à Mélenchon. Pendant ce temps-là, le N.P.A. représenté alors par Philippe Poutou dépasse toujours Mélenchon sur sa gauche, fatalement.
2017, c'est avant tout l'apothéose de Macron, traître habile et Rastignac impatient, soutenu presque par l'intégralité des grandes fortunes de France, plus quelques oligarques algériens, qui lui ont acheté une invraisemblable quantité de Unes, d'articles dithyrambiques, de paparazzades flatteuses : c'est un rouleau compresseur contre lequel aucun candidat ne pourra lutter, et il sera au premier tour. Devant les Français, il a fait toute sa campagne sur le « Ni gauche, ni droite » et c'est ce qui dominera le discours. Une grande partie de l'électorat de gauche se reporte alors sur Macron qui incarne l'espoir de sortir de cette sempiternelle alternance entre UMP et PS. Dans la pratique, les votes de gauche sont complètement éclatés entre le PS (le vieil électorat qui s'accroche à son parti historique), Mélenchon, Macron, Hamon et Poutou — qui a acquis un certain prestige grâce à un grand débat télévisé opposant tous les candidats à brève échéance du premier tour.
À droite ? On se divise entre le parti de Mon Général, malencontreusement emmené par l'homme aux costumes trop chers (et à l'épouse trop bien entretenue) et le Rassemblement National, fraîchement dédiabolisé — et c'est tout. Bien sûr que même Fillon a coiffé Mélenchon au poteau ! Cartel des gauches, Front populaire, Programme commun : la Gauche n'a toujours gagné qu'en se rassemblant. Le problème, c'est qu'à droite, on fait campagne autour d'un homme fort, alors qu'à gauche, on fait campagne sur des idées. Or, la Gauche est profondément divisée depuis les années 1980 et surtout les années 2000 sur la question nationale, entre laïcité, souveraineté et verticalité du pouvoir.
Et précisément, c'est là qu'a péché Mélenchon en 2017, qui a commis l'erreur de louvoyer sur la question européenne alors que le gros de la population française, dont la mémoire est plus longue que celle de ses dirigeants et médias décidément, affichait un euroscepticisme croissant. Et devine quel est le parti qui exprimait le plus fort son hostilité aux traités européens ? Cela, en plein apogée de l'idée selon laquelle gauche et droite se valent...
Si tu veux prendre la mesure de l'opinion publique en France, en réalité, il faut se tourner vers un groupe de recherche en sociologie politique qui commence à être un peu connu, à force : c'est Cluster17. Fondé comme démarrait l'étrange campagne présidentielle de 2021, le groupe propose une grille de lecture très originale de la société française, ses idées et ses intentions électorales. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ses analyses tendent à donner raison au géographe Christophe Guilluy quand il décrit La France périphérique, mais également, en un sens, à Emmanuel Macron lui-même quand il bâtissait une campagne entière sur un louvoiement perpétuel : l'opinion publique ne rentre pas dans une définition prédéterminée ; les classes populaires sont à la fois plus nationalistes et plus conservatrices que la Gauche dans son ensemble, mais plus ouvertes et plus solidaires que la Droite dans son ensemble. À vrai dire, je suis sans cesse ramenée à une phrase de Terry Pratchett :
Ceux qui se rangeaient dans le camp du peuple finissaient toujours par être déçus, de toute manière. Ils trouvaient que le peuple était rarement reconnaissant, élogieux, prévoyant ou obéissant. Le peuple était souvent étroit d'esprit, conservateur, pas très malin et même méfiant envers l'intelligence. Les enfants de la révolution étaient ainsi confrontés au problème ancestral : on n'avait pas le mauvais type de gouvernement, c'était évident, on avait le mauvais type de peuple.
(Va-t'en-guerre, 1997, trad. P. Couton)
Peut-être que ce n'est pas tellement que le peuple français est parti à droite, mais bien plutôt que la Gauche se trompe de direction quand elle cesse de dialoguer avec le peuple. Il y a un monde en réalité entre la simple démagogie et le populisme, qui est un amour fidèle au Peuple. Le peuple traverse les époques avec des besoins et des aspirations relativement similaires, qui certes ne coïncident pas intégralement avec ceux des classes moyennes urbaines ultra-connectées... Si le peuple se tourne vers une Marine Le Pen, ce n'est pas obligatoirement que les Français sont devenus des monstres d'extrême-droite, mais peut-être plutôt que seule Marine Le Pen tient un discours à peu près cohérent pour lui (voire ferme sa gueule au moment opportun. C'est terrible de constater qu'elle doit être assez bonne avocate, elle maîtrise vraiment l'art de ne rien dire et de laisser les cons se battre entre eux pour empocher ce qui tombe) alors que les autres ne font que le prendre collectivement pour un gros tas de misérables imbéciles. Ils ne l'emporteront pas au paradis de la politique.
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Des députés veulent envoyer en prison les citoyens dont les propos sont considérés comme racistes.
Réforme de la loi du 29 juillet 1881 relative au droit de la presse afin permettre l'émission de mandats d'arrêts en cas de condamnation à au moins un an de prison ;
Transformation de la contravention d'injure non publique à caractère discriminatoire en délit afin de pouvoir prononcer des peines de prison ferme.
Je veux les aider en leur fournissant quelques cas concrets :
"Je ne peux pas survivre quand il n'y a que des blonds aux yeux bleus, c'est au-delà de mes forces." Jean-Luc Mélenchon (LFI).
"Ce qui pose problème c'est cette famille idéalisée : hétéro-patriarcale blanche." Michèle Meunier (PS)
"Quand je suis rentré à Brest, j'ai trouvé la ville très blanche. Pour être honnête, j'ai même trouvé qu'il y avait trop de blancs." Benoît Hamon (PS)
"24h par jour et 7h par semaine j'ai envie de dégainer sur des faces de craie." Stomy Bugsy
"Pendez les Blancs." Nick Conrad
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Est-que Benoît Hamon, pour être honnête, s’il arrive à Kinshasa il trouvera qu’il y a trop de noirs? Et s’il débarque à Xin-Tao qu’il y a trop de jaunes?
Mais est-ce que la vraie question de fond ne porterait pas plutôt sur l’importance démesurée du nombre des cons?
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The French socialists candidates for the European elections: renewal or party insiders?
On the website touteleurope.eu, an emanation of the French government, we find a brief analysis of the composition of the list led by Raphaël Glucksmann for the upcoming European elections on June 9.
https://www.touteleurope.eu/vie-politique-des-etats-membres/elections-europeennes-2024-qui-sont-les-candidats-de-la-liste-parti-socialiste-ps-place-publique-pp/
Of course, we still don't know how many candidates will be elected, but to simplify the exercise, we can limit the analysis to the first 12 names, eligible and therefore highly coveted by our favorite party insiders. Indeed, this is roughly the number of MEPs who could join the Social Democratic Group according to a recent survey on the europelects.eu website:
Source: https://europeelects.eu/2024/05/03/april-2024/
Here are the candidates who have a good chance of being elected:
Glucksmann: human rights and micro-party
Raphaël Glucksmann (44 years old, Paris): Becoming increasingly known to the general public thanks to favorable media coverage, the darling of the nostalgics of François Hollande's glorious PS is a sitting MEP, vice-chair of the "Human Rights" sub-committee. He already led the PS list in 2019. Mr. Glucksmann represents the colors of the micro-party "Place publique" (his fan club) and is not a member of the PS, which remains a political oddity. The candidate has distinguished himself by his international positions in favor of human rights, particularly on the issue of the Uyghurs. Mr. Glucksmann is a fervent supporter of the Ukrainian cause. He has worked on the issue of international interference in the EU and does not hide his hostility towards Beijing's policy. He also displays strong ecological convictions, without however sitting in the Green group in the European Parliament.
Mebarek: the legitimist Arlésienne
Nora Mebarek (51 years old, Bouches-du-Rhône): Little known on the national political scene, Mrs. Mebarek is also a sitting MEP, vice-chair of the Regional Development Committee. Her Wikipedia page outlines a typical local elected official career of the old PS. Initially a collaborator at the PACA regional council, Mrs. Mebarek was vice-president of the Arles agglomeration from 2014 to 2020. To top it off, the candidate was first secretary of the PS federation of the 13th before joining Brussels.
Moreover, an article indicates that in 2018, Mrs. Mebarek imposed herself on the 13th federation against Mr. Ohanessian, Olivier Faure's candidate. One can assume that the sitting MEP represents a fairly legitimist trend within the PS, the latter having been supported by Michel Vauzelle, an influential figure.
Jouvet: Valls then the NUPES
Pierre Jouvet (37 years old, Drôme): Not being an incumbent, Mr. Jouvet was able to establish himself in a very good position on Mr. Glucksmann's list. Let's not beat around the bush, the profile of the Drôme native from Sciences Po is typical of a baron of the PS from the golden age. Just go to https://pierrejouvet.fr/ to see that the candidate is currently mayor of Saint-Vallier (4,000 inhabitants), president of a community of 50,000 inhabitants and also a departmental councilor. Pierre Jouvet seems to have boundless energy, especially since he is also the general secretary of the PS (that is to say, very high up in the national bodies of the PS).
"I am not, I have never been, and I will never be the sandwich man of the Socialist Party."
Pierre Jouvet on Facebook, 2017.
If Mr. Jouvet had looked towards Macronism in 2017 after campaigning for Manuel Valls against Benoît Hamon, he has since repented and was one of the negotiators who allowed the PS to join the NUPES. He can be clearly classified in the "pro-Faure" camp. Having failed to be elected as a deputy under the NUPES label in 2022, Mr. Jouvet will most likely be rewarded for his loyalty to Mr. Faure with a warm seat in the European Parliament.
A campaign poster from 2017 that hasn't aged well. Mr. Jouvet had also inserted a photo of Macron in his campaign leaflet. "I had doubts about what he would do," said the candidate.
Lalucq: from Benoît Hamon to the Green New Deal
Aurore Lalucq (45 years old, Paris): Member of Place publique and sitting MEP. A trained economist, she has worked on ecological transition and published several essays. It is important to note that the candidate has never been a university lecturer in economics but rather an economist in a think tank (in terms of economic expertise, she is clearly not at the level of a Julia Cagé for example). Lalucq had made headlines in 2019 by defecting from Benoît Hamon's list, with whom she was very close during the 2017 presidential campaign. This low blow allowed her to become an MEP and escape the crushing failure of the Hamonist list, which did not obtain any seats.
"Lalucq met Hamon during the PS primary - a party that had never been her cup of tea, because 'he always does the opposite of what he says once in power,' this 'green' voter jibes."
Le Parisien, 2018
In the European Parliament, Mrs. Lalucq was the rapporteur for the directive on the taxation of multinationals. She has put forward several texts on finance, taxation, and employment. Finally, it should be noted that she co-chairs the Green New Deal Intergroup.
Having wanted to join the Green group for a while, the MEP finally joined the Socialist group in 2019, thus further distancing herself from the Hamonists, close to the Greens.
A photo that hasn't aged well, source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Aurore_Lalucq
In 2019, Claire Nouvian had declared that "Place publique [had] been infiltrated by small mediocre and undesirable arrivistes." Hopefully, she was not referring to Mrs. Lalucq.
Clergeau: Nantes or Brussels, why choose?
Christophe Clergeau (55 years old, Nantes): MEP since 2023 only, entered Parliament due to a resignation, Mr. Clergeau has also been a regional councilor in Pays de la Loire for 20 years. He was even vice-president of the regional council under the socialist majority. The candidate has clearly indicated that he will not give up the accumulation of these two mandates. After all, Brussels and Nantes are just next door!
"I remain a regional councilor."
Christophe Clergeau, 2023
Source: https://www.paysdelaloire.fr/mon-conseil-regional/linstitution/les-elus
It is difficult to comment on the activities of the MEP, as they are almost non-existent at the moment, according to the official website of the institution. Mr. Clergeau will work during the next mandate on agriculture, environment, and aid for the development of North-South relations.
Moreover, the candidate has also been the "Mr. Europe" of the PS since 2019 (at that time, it was probably a consolation prize following his non-election in Brussels).
Laurent: a repentant Macronist from Lyon
Murielle Laurent (46 years old, Lyon): Unknown to the general public, Mrs. Laurent is the mayor of a small town in Greater Lyon. Just like Mrs. Mebarek represents the 13th and Mr. Clergeau the 44th, Mrs. Laurent represents the 69th on Glucksmann's list (or rather the 69M, since the department has been divided in two). The balance of territories seems to have been at the heart of the constitution of the socialist list, despite the national voting system and the European nature of the issues. Little information is available about Murielle Laurent, but the local elected official is apparently the subject of controversies within her party. This is hardly surprising as she was a candidate for the Lyon metropolitan area under the LREM label in 2020, information easily verifiable on the Ministry of the Interior's website:
An embarrassing archive for Mrs. Laurent. Source: https://www.archives-resultats-elections.interieur.gouv.fr/resultats/metropole-de-Lyon-2020/C2MPLYO-11L005.php
Fortunately, since the Greens' victory in the metropolitan area, Mrs. Laurent has rectified her course and developed some affinities for the left-wing and environmentalist alliance:
Murielle Laurent in March 2024, uncomfortable when LyonMag journalist asks her if she aligns more with "En Marche" or with the environmentalist majority metropolitan.
Germain: Mr. Hidalgo and technocrat
Jean-Marc Germain (57 years old, Paris): Polytechnique, ministerial cabinets under the plural left (Aubry, Jospin) and MP for the affluent neighborhoods of the 92nd under Hollande. Mr. Germain is now only a regional councilor, which is a stain for a technocrat of this caliber. The good polls for Glucksmann's list suggest that this terrible injustice will soon be rectified and that the Parisian elected official will be able to join Brussels. Very close to Martine Aubry, a rebel under Hollande then a supporter of Benoît Hamon, the candidate seems to embody the left wing of the PS. We hope that unlike his colleague Clergeau, Mr. Germain will not forget to resign from the Regional Council of Île-de-France if elected to Brussels. A notable fact, Mr. Germain is the husband of Anne Hidalgo for whom he campaigned in 2022, as a left-wing representative, we have seen better! His conception of feminism seems rather strange.
"I am hyper-feminist. I am the one who cooks and shops, and she does the cleaning and laundry."
Jean-Marc Germain, 2021
Source: https://www.rtl.fr/culture/medias-people/une-ambition-intime-m6-qui-est-jean-marc-germain-l-epoux-d-anne-hidalgo-7900093581
Rafowicz: victim of anti-Semitism but combative
Emma Rafowicz (28 years old, Paris): Finally a young one! So we have to wait until the 8th place to find a candidate under 30. We'll take it. Mrs. Rafowicz is the president of the Young Socialists and a municipal councilor in Paris. She was recently the victim of online anti-Semitic attacks, most likely linked to the insubordinate sphere as reported by L'Humanité or Libération.
"Emma Rafowicz has seen the signature of the far right, but also that of LFI militants, identifiable by tortoises, the phi symbol or an inverted red triangle, displayed by some MPs from the movement."
Le Monde, 2024
Anyone who has spent some time on social networks has seen the virulence, even hatred, regularly propagated by accounts presenting themselves as insubordinate. The movement's leadership seems to have a glaring responsibility in the matter, as can be seen in the case of Mrs. Rafowicz. Bompard, Mélenchon's right-hand man, has indeed denied any involvement of LFI in the anti-Semitic attacks, despite the evidence. The insubordinate leaders and Mélenchon himself are the only ones who can calm, disavow, and condemn the enraged individuals who tirelessly poison social networks in the name of LFI. However, they do nothing and regularly throw oil on the fire.
https://www.lesjeunes-soc.fr/presidence
Good luck to Emma Rafowicz who should most likely join the benches of Brussels next June. Let's hope she doesn't become an ambitious party insider like so many young socialists before her.
Pellerin-Carlin: energy expert in a think tank
Thomas Pellerin-Carlin (35 years old, Calvados): This member of Place publique holds a degree in political science and has worked in a think tank on European energy issues. Mr. Pellerin-Carlin is obviously a very busy man because alongside his activities in the think tank, he teaches at the College of Europe, Sciences Po, the Sorbonne, and Sorbonne-Nouvelle University. The candidate appears to be a technocrat in the making, an "expert," with a profile similar to that of Mrs. Lalucq, belonging to the same party. Let's sincerely hope that Mr. Pellerin-Carlin is not a "small mediocre and undesirable arriviste" who has infiltrated Place publique, to quote Mrs. Nouvian.
Pellerin-Carlin on BFM business in 2022
Ridel: young ENA graduate in service
Chloé Ridel (32 years old, Gard): Sciences Po, ENA, and various positions in prestigious public institutions. A classic career path for a professional politician. Mrs. Ridel is the national spokesperson for the PS, which she joined very recently, in 2023.
https://www.youtube.com/watch?v=0kpjRAwzaGk
Sargiacomo: first federal of the Landes
Eric Sargiacomo (54 years old, Landes): After Arles, Nantes, Lyon, the tour of France's regions of the PS takes us to Nouvelle Aquitaine, with a candidate for whom "the inner workings of the Socialist Party of the Landes have no secrets [and] who has been part of the federal leadership since 1996," according to Sud Ouest. Like his Nantes counterpart, Mr. Sargiacomo is a regional councilor and therefore potentially a cumulard if he retains his local mandate.
Fita: anti-NUPES Occitan
Claire Fita (47 years old, Tarn): In twelfth position, we find a representative of the Occitanie region, of which she is also vice-president, in addition to municipal
and community mandates in Tarn. Once again, the question of cumulating mandates arises, as is very often the case with socialists. Furthermore, unsurprisingly, we learn here that Mrs. Fita is very close to Carole Delga, notoriously anti-NUPES and anti-Faure. Claire Fita's presence in an eligible position on Glucksmann's list attests to Carole Delga's considerable political influence within the socialist apparatus, despite her support for anti-NUPES dissident candidacies in the last legislative elections and her outrageous media appearances. Thus, the PS proposes, as often, a delicate synthesis between apparently incompatible lines, with the number 3 on the list being very pro-NUPES.
https://www.laregion.fr/Les-vice-presidentes-et-vice-presidents
Synthesis
This socialist list is caricatural and demonstrates that the party has changed very little since the Hollande years. It is hard not to qualify the PS as a party of local elected officials, or even apparatchiks. Out of the first 12 places, more than half are allocated to barons who already hold local mandates and occupy positions in federal or national party bodies. While the Faure faction seems to have a slight advantage over the anti-NUPES, especially with Mr. Jouvet, other candidates like Mrs. Fita remind us that the Delga line still exists and is doing well. If parity is respected, very few eligible candidates seem to come from immigrant backgrounds. Most candidates seem highly educated (Polytechnique, Sciences Po, ENA) and there are hardly any workers or employees in eligible positions. The "Place publique" component of the list does not really change the situation and brings a scent of technocracy and liberal think tank to the Socialist Party.
Ultimately, the main criticism that can be leveled at this list is a lack of clarity. Eligible positions are occupied by PS barons but the list carries the colors of Place publique, with a monochrome rose logo hidden in a corner. The list claims to be ecological and Mrs. Lalucq supports the green new deal, but no elected official will sit with the European Greens. Instead of the very liberal German Greens, Mr. Glucksmann prefers the good old SPD of Olaf Scholz. The upper and educated classes are overrepresented, diversity absent. Several list members have displayed very hostile positions towards the left-wing alliance, and a former Macronist from Lyon already has her place guaranteed in the European Parliament.
Voting for this list is to endorse the resurrection of the old PS. Will the social-democratic software live up to the ecological and social challenges of the Old Continent? If the list keeps its promises, it may be an opportunity for the French left to refocus around a soft reformism. This is not very exciting, but it may be more constructive and realistic than La France Insoumise and its strategy of brutalizing public debate.
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DISCRIMINATION, ENTORSE À L’ÉTAT DE DROIT, DANS LE RECRUTEMENT D’UN FONCTIONNAIRE
ARTICLE : Aurore Bergé bloque le recrutement d’une haute fonctionnaire parce qu’elle a milité chez Benoît Hamon
LIBÉRATION 17 04 24
Selon «Mediapart», la ministre chargée de la Lutte contre les discriminations a refusé le recrutement d’une haute fonctionnaire, pourtant validé par son administration, au motif qu’elle a été militante il y a des années.
La macronie a la fâcheuse habitude de…
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« Vous pouvez chialer, on va vous remplacer », « Islamophobe » : À Magny-les-Hameaux (78), pour avoir questionné le maire – un proche de Benoît Hamon – sur un projet de mosquée, Pierre-Louis, menacé de mort, a dû fuir son domicile (MàJ)
Au cœur de la vallée de Chevreuse, dans les Yvelines, la commune de Magny-les-Hameaux est secouée par une sombre affaire. Le 8 décembre, un jeune père a fui son domicile avec femme et enfants pour avoir simplement, assure-t-il, «posé des questions» sur la construction d’une mosquée dans un quartier résidentiel. Sur fond d’opacité de la communication du maire divers gauche et d’accusations de…
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Homme providentiel et nouveau populisme
Homme providentiel et nouveau populisme
Nous étions si fragiles…
Les frontières physiques entre pays étaient devenues beaucoup moins importantes que cette nouvelle géographie politico-socio-économique qui prenait possession de toute la planète avec partout les mêmes conséquences de déstabilisation profonde des équilibres qui fondaient jusqu’alors un minimum de cohésion sociale. Le désarroi des gens formait le terreau nourricier des…
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#1974#abandonner#adepte#adversaire#affairiste#ancien#argument#ascension#Assemblée nationale#Élysée#écologiste#équilibre#banque#Benoît Hamon#Bertrand Delanoë#bonne foi#cacique#campagne#candidat#centre#chantre#clair#cohésion#collapse#conduire#conséquence#corruption#décomplexé#défaut#démagogue
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MARDI 24 JANVIER 2023 (Billet 3/3)
« Du temps des cerises, hors le Rossignol (Nicolas Mayer-Rossignol), il ne reste que les merles moqueurs. Le PS, qui a gouverné la France pendant plus de vingt ans depuis 1981, a tellement rétréci qu’il est devenu un minuscule objet de sarcasmes. Il faut dire que, de Jean Jaurès à François Hollande, la proposition politique avait déjà sérieusement baissé en gamme. La réélection (contestée) d’Olivier Faure à la tête d’un parti bonsaï, c’est une farce !
On pourrait en rire, mais le Socialisme, même réduit à l’os, conserve des positions, et pas des moindres. Anne Hidalgo continue méthodiquement sa « zadification » inclusive de la plus belle ville du monde. Le PS donne encore à la Nupes sa force symbolique et historique. Il survit même au sein de la majorité ou du gouvernement. C’est Sacha Houlié par exemple qui demande le droit de vote de tous les étrangers aux élections municipales. C’est Clément Beaune qui cible avec démagogie les avions d’affaires…
Sans compter la frénésie sociétale qui anime toujours les rangs de Renaissance. Mais c’est surtout sur les foules qui ont manifesté jeudi dans toute la France qu’il fallait voir s’étendre l’ombre de François Mitterrand. La retraite à 60 ans votée au début de son mandat a été le point de bascule de la Gauche. Elle s’était couchée « Mouvement des Travailleurs », elle s’est réveillée « Parti du temps libre et des loisirs ». Elle a inscrit dans l’imaginaire collectif la volonté presque systémique (les 35 heures, le revenu universel façon Benoît Hamon…) de donner aux individus une existence où le travail deviendrait presque accessoire.
Involontairement, les confinements payés rubis sur l’ongle ont renforcé ce sentiment de « libération » des contraintes écrasantes du labeur. La preuve a été faite que l’État peut payer « quoi qu’il en coûte ». Une jeunesse (qui n’est pas forcément de Gauche) s’est engouffrée dans la brèche. Personne ne peut reprocher aux Français de vouloir profiter le plus tôt possible de cette seconde vie qu’on leur a promise. Le problème est qu’il n’y a pas d’argent magique. Au contraire, rien n’est plus coûteux que ce qui fut la martingale électorale des Socialistes : le mensonge déguisé en promesse. »
(Source : « L’éditorial du Figaro du samedi 21 janvier »)
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Charles Aznavour chantait « Que c’est triste Venise », nous vous laissons trouver le titre d’une chanson écrite après avoir lu cet article…
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Juste un post après tous ces mois d'inactivité pour dire que maintenant j'habite à Pau et y'a genre 2 semaines j'ai vu Bayrou parce que c'était l'inauguration de l'école d'art dans laquelle j'étudie. Voilà.
J'en profite aussi pour dire que le chat de Benoît est trop mignon, j'ai presque envie de poster ses photos ici.
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L’ancien candidat à la présidentielle, à la peine dans les sondages, paraît isolé après la conclusion de l’accord entre Place publique et le PS.
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Démocratie participative
L’Union européenne organise un projet de démocratie participative d'avril à fin octobre 2018.
Dans tous les états membres, il y aura des débats, pour faire ressortir les impressions et les propositions des citoyens européens.
Si vous avez des trucs à dire sur l’Europe ou sur ce qu’lle devrait être, profitez-en! Vous pouvez participer à une réunion près de chez vous ou organiser la vôtre.
#je vais taguer#Benoît Hamon#parce-que bon c'est pile poil dans sa démarche#upthebaguette#vivelarépublique#Tumblr meet up? je dis ça je dis rien
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Macron described his Socialist opponent Benoît Hamon’s radical universal credit proposition of €750 a month as “the revenue of defeat”, and defended his own record as an outsider. “I am proud of my immaturity and political inexperience”.
His appeal to France’s young people was underlined by the evening’s army of young helpers dressed in baseball caps and skinny jeans. Their white t-shirts bore the slogan ‘En Marche’ or ‘Let’s Get Going’, with which Macron has galvanised the support of 10,000 outside France, including many of London’s 300,000 strong French community.
But is he an outsider? Aren't the political and financial elite part of the same thing?
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