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#Trevor Heins
hannahhook7744 · 5 months
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My Descendants Fancasts Redone (Part 1);
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Rachel McAdams as Princess Amber of Enchancia (from Sofia the first).
Song that makes me think of them: "Who I Am Hates Who I’ve Been" by Relient K.
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Cary Elwes as Prince James of Enchancia (from Sofia the first).
Song that makes me think of them: "One Call Away" by Charlie Puth.
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India Eisley as Princess Sofia of Enchancia.
Song that makes me think of them: "Half of My Hometown" by Kelsea Ballerini.
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Emily Tosta as Shelly the mermaid (from Sofia the first).
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Cariba Heine as Princess Oona of Merroway Cove (from Sofia the first).
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Bailee Madison as Princess Cora of Merroway Cove (from Sofia the first).
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Hailee Steinfeld as Princess Clio (from Sofia the first).
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Dalia Bela as Princess Hildegard (from Sofia the first).
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Trevor Jackson as Finn the Mer-boy, from Jake and the neverland pirates.
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Victoria Justice as Stormy, from Jake and the neverland pirates.
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Krysten Ritter as Marina, from Jake and the Neverland pirates.
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Dane Dehaan as James Brown Jr./Jim Jr. , son of Jim Dear and Darling.
Song that makes me think of them: "Loser Like Me" by Glee Cast.
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McKenzie Jefferson as Lulu Brown, daughter of Jim Dear and Darling.
Song that makes me think of them: Can't think of any. Am up for suggestions.
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Alyson Hannigan as Eliza, Fairy Godmother's niece.
Song that makes me think of them: "Popular Song" by Mika.
Also remember some of these people are supposed to be older than they were in canon since these are their fancasts for when they are in the descendants verse (where several years have past).
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byneddiedingo · 1 year
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Robert Helpmann and Moira Shearer in The Red Shoes (Michael Powell and Emeric Pressburger, 1948) Cast: Anton Walbrook, Moira Shearer, Marius Goring, Robert Helpmann, Léonide Massine, Ludmilla Tchérina, Esmond Knight, Albert Bassermann, Austin Trevor, Irene Browne. Screenplay: Emeric Pressburger, Keith Winter, Michael Powell, based on a story by Hans Christian Andersen. Cinematography: Jack Cardiff. Production design: Hein Heckroth. Film editing: Reginald Mills. Music: Brian Easdale. Costume design: Hein Heckroth. In its digital restoration, The Red Shoes almost certainly looks better than it ever did even in the most optimal theatrical showing, its colors brighter and sharper, its darks deeper and more detailed. But is that necessarily a good thing? I'm not like one of those audiophiles who insist that old vinyl LPs sound better than CDs or any digital audio process -- I like being able to hear things without surface pops and skips. But I do think that in the case of a film like The Red Shoes, where suspension of disbelief is essential, something has been lost. The great red snood of Moira Shearer's hair is revealed to be a thing of individual strands that might have benefited from a quick brushing before her closeups. The special-effects moments, like Vicky's (Shearer) leap into the red shoes or Boleslawsky's (Robert Helpmann) transformation into the newspaper man, are more glaringly just rudimentary jump cuts. There's a loss of glamour and magic that hasn't been compensated for, even though we can now see Jack Cardiff's photography of Hein Heckroth's designs with greater clarity. I will also admit that I have never been in the front ranks of the fans of The Red Shoes. While I admire the storytelling ability of Michael Powell and Emeric Pressburger, I have to question the moral of the story, which seems to be that a woman can't have both a great career and a successful private life, or in a larger sense, that art is impossible without a loss of self. Granted, the story comes from the realm of fairytale, which is never without an element of cruelty, but is Vicky's suicide a necessary follow-through, or just a submission on the part of the screenwriters to the demands of some kind of closure, given that they've never made the character more than a stereotype: the woman torn between the demands of two men? Ravishing to the eye, The Red Shoes doesn't satisfy the mind or the heart.
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kymbcrli · 1 year
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charcoal— if you could tell your past self one thing, what would you tell them? why?
Na maior honestidade mesmo? Diria pra tomar cuidado com o Trevor, hein. O resto todo mundo já sabe a história.
Te amo, amor!
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belmon-t · 1 year
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❛  i don’t think that was the right spell.  ❜
Olha, odeio bancar o sabe tudo, mas os meus feitiços e da minha família nunca estão errados. Acho que o problema tá em você, hein? Já experimentou aprender magia de verdade antes de arriscar encarar um livro como esse? – O lado bom é que os anos que conhecia a garota, batizada carinhosamente de fragmentada por Trevor, lhe davam o direito de brincar daquela maneira. E sim, o vampiro acabou puxando o pedaço de pergaminho antigo para analisar o feitiço escolhido na busca peloo erro.
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cejeudesesmorts · 2 years
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ASSASIN'S CREED VALHALLA
Bon, l'offre du PSplus a changé, ce qui permet de temps à autres de tester des triple A.
À ce prix là je me permets donc une critique de ce titre, qui...
Rah et puis déjà rien que le titre putain. Ça va faire maintenant 7 ou 8 piges que la mode du Vallhala dans les lore nous scient la raie et Ubisoft a prouvé qu'ils ne savaient que surfer sur la vague.
Vous verrez, avec les séries branchées social qu'on regarde en ce moment et les actualités américaines, dans deux ans on aura Assasin's Creed Patriots avec un renoi en héros. Parce que oui en plus ils sont cons.
Bref celle là va être brève et salée, parce que premièrement je m'étais promis, en toute bonne foi, d'essayer au moins 50h de contenu avant d'ouvrir ma bouche. Il m'a fallu deux heures, un arbre de compétences absurdement immense (pour rien hein,contenu superflu) et un magasin en ligne dès que j'ai cliqué sur le pad de ma manette pour me rendre compte qu'il vallait mieux que je me remette à Ghost of Tsushima pour avoir l'impression de bouffer du caviar à côté de cette assiette de McDo dressée un dimanche soir de rush.
Allez, deux compliments : la bande son, les équipes qui ont travaillé. Parce que les pauvres.
Les graphismes ? Vous trouvez ça normal que les noirs soient rendus bleus et gris en HDR ? Vous connaissiez l'unité de mesure de luminance qu'ils vous proposent pour vous endormir et ne pas régler la HDR ? Moi non plus, me souviens même plus du nom. Si seulement, il m'aurait plus marqué que le titre de ce jeu brosse à chiottes.
Alors oui, déjà j'suis pas fan de la franchise. Mais j'ai déjà admis dans mon passé de mec de mauvaise foi que certains titres de la saga étaient beaux, comme Origins, et... ses DLC sans doute.
Bref, mon opinion en quelques mots sur ce jeu lamentable. Et je vous jure pourtant que je suis bon public. J'ai quand même passé 200h sur Horizon Zéro Dawn. Lol.
- Ce jeu est si lourd (littéralement) de fioritures (la fioriture c'est le degré de Patrick Fiorisme) de merde que changer de pack de voix pour l'anglais (langue de développement du jeu. Bouches pas synchro d'ailleurs. Niquez vous, en 2017 Toukiden le faisait déjà) au demarrage est un luxe qui se paye par 18min (montre en main) de téléchargement sous fibre. Sous chibre.
- Je ne suis pas un joueur d'AC. Première minute de jeu, je fais bouger un enfant, je reçois un trophée "la saga commence". Laquelle ? Puis 10min plus tard écran noir et on me parle de synchro ? De flux mémoriel ? C'est quoi ? En effet vous êtes pas inclusifs, mais bien exclusifs. Pas que dans les arguments de vente.
- Pourquoi les personnages les plus nobles ont un parfait accent américain, les héros un accent anglais cockney dégolasse et les trouffions un accent latino alors qu'ils sont tous nordiques ?
- Je commence le jeu pour le premier quart d'heure en ne faisant que faire s'enchaîner des cinématiques, et le premier combat du jeu, ce n'est pas moi qui le fais. Et c'est con j'aurais bien aimé, il était beau.
- Les vrais combats du jeu ont été animés par Nickelodeon.
- Le personnage infantilisant qui te dit ce qu'il faut faire chaque minute. Putain c'est pas Dora bordel !
- Saviez vous qu'on peut placer 876 marqueurs sur une même putain de Map ?
- Je répète, c'est quoi cet arbre de compétences ? Un point de compétences te donne +0,5 de dégâts, le suivant +0,6 ? Il a coûté combien le jeu tout inclus ?
- L'immersion est une noyade. Rien de fluide, un sac à sacs à PV tout rouges quand tu cliques sur R3. Wouah le joli Vfx tout bleu. De la merde.
- Trevor, pardon Eivor, fille et homme ont la même démarche. La seule chose qui change avec elle ce sont les remarques gratuitement mysogines. Comme si ça suffisait pas de violer ses employées, les managers vous rappellent que si vous êtes une gameuse, vous êtes par définition une proie puisque c'est comme ça au début du jeu.
- On peut dessiner des teub dans la neige. Par contre la physique des particules de feu et de sang n'ont pas évolué depuis la PS2.
- Utiliser le corbeau ne te donne pas de sentiment de liberté mais de pitié et de grande solitude. Je vous exprime mon coeur hein c'est tout.
- Je peux t'assurer que tu sais mieux utiliser un bouclier que Eivor.
M'enfin, je devais être bref.
Voilà. Des fois je me fais des pizza à 1euro et je rajoute des nuggets dessus. C'est bien lourd, ça remplit, mais après je regrette.
Exactement comme ce jeu est. Du regret en équivalent octets.
Ma note : ce jeu de ses grands morts putain les dadjos.
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lesarchivesmagnus · 4 years
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Les Archives Magnus – Episode 10 : Tueur de Vampires
                                                ARCHIVISTE
Déposition de Trevor Herbert, concernant sa soi-disant vie de chasseur de vampires. Déposition originale faite le 10 juillet 2010. Enregistrement audio par Jonathan Sims, archiviste en chef de l'Institut Magnus, Londres.
Début de la déposition.
                              ARCHIVISTE (DÉPOSITION)
Bon, alors. Ça fait presque 50 ans que je voulais vous rendre visite et mettre ça sur papier, mais me voilà enfin. Alors par où commencer ? Je m'appelle Trevor Herbert, comme je l'ai écrit en haut de votre formulaire, et j'ai été sans-abri pendant presque toute ma vie. En fait, si vous avez vécu à Manchester, il y a de fortes chances que vous ayez entendu parler de moi.
On m'appelle "Trevor le clochard". Enfin, je ne suis pas vraiment facile à manquer, n'est-ce pas, et j'ai vécu là-bas à la vue de tous pendant si longtemps que je suis devenu une sorte d'institution. J'ai toujours eu une sorte d'étrange don pour deviner l'âge des gens. Les gens viennent me voir dans la rue et me demandent de deviner leur âge, et je leur réponds, et la plupart du temps ils sont choqués quand je devine. C'est marrant. Donc tout le monde à Manchester connaît Trevor le clochard, oui. J'ai entendu dire que quelqu'un m'a même fait une page sur Internet et qu'elle a été aimée par plusieurs milliers de personnes. Je ne sais pas exactement ce que ça veut dire, mais ça a l'air sympa.
Mais bon, c'est clairement pas pour ça que je suis là, hein ? Non, je suis là parce que j'ai aussi consacré ma vie à chercher et tuer des vampires.
J'ai tué cinq personnes dont je suis sûr qu'elles étaient des vampires, et il y en a deux autres qui l'étaient peut-être ou pas. Il y a un homme que j'ai malheureusement tué, dont je suis maintenant sûr qu'il était humain, mais je sais aussi que c'était un criminel dangereux, donc j'essaie de pas me sentir trop mal à ce sujet. Je suis sûr que c'est difficile à accepter pour qui que ce soit, même pour une organisation comme la vôtre, mais j'ai pas de preuve à vous donner, à l'exception des dents de vampire que je vais laisser avec cette déposition.
Vous sentez pas mal de me dénoncer à la police pour les meurtres, comme vous êtes sûrement obligé de le faire, parce que j'ai récemment reçu un diagnostic de cancer du poumon à un stade avancé, et ça m'étonnerai que je vive encore longtemps de toute façon. C'est la principale raison pour laquelle j'ai finalement mis sur papier les détails de la mission que j'ai secrètement menée pendant un demi-siècle.
J'ai tué mon premier vampire en 1959. À ce moment-là, j'avais encore une vie plutôt normale, sauf peut-être pour les abus que ma famille subissait par mon père. C'était un homme ignoble et il a fini par tuer ma mère en 56. C'était un meurtre en état d'ivresse typique, mais les tribunaux ont jugé que c'était un accident, et mon père n'est pas allé en prison. Heureusement, mon frère et moi avons eu à subir que quatre mois de mauvais traitements de sa part avant qu'il finisse par boire jusqu'à la mort. J'avais treize ans quand il est finalement mort, et mon frère en avait quinze. Après sa mort, il y a eu plusieurs tentatives pour nous réhabiliter en tant qu'orphelins, mais ils nous ont toujours séparés, et ça nous plaisait pas, donc on finissait par s'enfuir. Au bout d'un certain temps, on était plus heureux à vivre dans la rue que dans la maison d'un autre étranger.
C'est en automne 1959 qu'on a été recueillis par Sylvia McDonald. C'était pas un contrat officiel de placement, mais il commençait à faire assez froid à la fin du mois d'octobre, donc on frissonnait dans une rue à côté de l'hôtel Kings Arms, qui était là à l'époque, sur Tipping Street avant que le périphérique ne prenne le relais. Avec le recul, je crois que ça s'est rendu au pub pour analyse les lieux et les gens pour en faire des victimes, et ça a réussi à en trouver, avec mon frère et moi-même, je dois dire.
Ça ressemblait à une femme âgée, une veuve je pensais, d'après la façon dont ça s'habillait en noir et avait des manières bizarres, que je sais maintenant être une caractéristique du vampire, mais à l'époque j'y prêtais pas attention. Beaucoup de personnes âgées avaient vécu les deux guerres, et c'était fréquent qu'elles soient assez bizarres. Je pensais que c'était le cas de Sylvia McDonald, et après une petite discussion, mon frère et moi avons accepté la proposition de nourriture et de logement.
Laissez-moi vous parler un peu des manières du vampire, parce qu'une fois que j'ai appris à lire, j'ai lu autant que possible sur le sujet, et il est pas traité très souvent ou clairement dans les livres que j'ai trouvés. Vous voyez, d'après mes propres observations, je crois qu'un vampire est plus proche d'un animal que d'un homme. Ça ne doit pas être considéré comme des paroles en l'air, mais plutôt comme la façon dont ils fonctionnent. Je crois pas que les vampires soient des êtres humains, sauf par leur apparence, et j'ai jamais vu non plus de preuve qu'ils créent d'autres êtres de leur espèce en se nourrissant.
Une chose qu'il faut noter, c'est qu'ils ne parlent pas. En fait, d'après mon expérience, ils sont totalement silencieux, ont pas besoin d'air et ont pas la place dans leur gorge pour une trachée. Ils sont par contre capables de se faire comprendre avec une clarté absolue, même si la manière dont ils le font n'ait jamais été claire pour moi. Lorsque Sylvia McDonald est venue nous voir dans la ruelle ce jour-là, on a compris que c'était le nom que ça s'était donné et qu'on nous offrait un repas et un lit, même si ça a jamais émis un seul son.
Pire que ça, je me souviens pas que ça ait jamais dit quoi que ce soit qui nous ait semblé bizarre à tous les deux. J'ai jamais vraiment compris comment ils sont capables de faire cela, et je pense pas comprendre un jour, mais je peux que supposer que que c'est une forme instinctive d'hypnose ou de manipulation de l'esprit.
Une autre idée reçue à laquelle j'ai été confronté à chaque fois que j'ai essayé de parler de vampires est que les gens pensent qu'ils ne peuvent pas sortir pendant la journée. Ils le peuvent. Même si je les ai vus éviter si possible la lumière directe du soleil et porter des vêtements généralement plus couvrants lorsqu'ils se déplacent pendant la journée, ils semblent n'avoir aucun problème particulier pour le faire. Je les décrirais comme plus faibles pendant la journée, mais je sais pas si c'est dû scientifiquement à la lumière du soleil ou simplement au fait que le mal a moins de pouvoir pendant la journée. Sylvia McDonald est venue nous voir par un après-midi couvert, et sa peau pâle été assez exposée que, si la lumière du soleil faisait vraiment du mal aux vampires, elle aurait probablement été anéantie.
Cet après-midi-là, mon frère Nigel et moi avons décidé de retourner chez Sylvia McDonald dans l'espoir d'avoir un toit pendant un certain temps. Elle vivait dans Loom Street, qui est toujours là, même si la maison elle-même a été démolie il y a longtemps et qu'il ne reste plus qu'un peu de broussaille à l'endroit où elle se trouvait avant. Je m'y rends des fois pour rendre hommage, comme mon frère n'a pas de sépulture ou de tombe où je puisse me rendre.
La maison était vieille, même lorsque j'y suis allé en 1959, et en y entrant, j'ai été frappé par une odeur de vieux cuivre que je n'ai pas reconnue comme du sang séché à l'époque, comme j'avais à peine 16 ans et que je n'avais pas encore l'expérience que j'ai aujourd'hui. Les meubles et les papiers peints n'avaient clairement pas été changés depuis de nombreuses décennies, et une épaisse couche de poussière recouvrait tout.
Même le sol était pâle de poussière, à l'exception d'une ligne droite où se déplaçait Sylvia McDonald, le bas de sa robe traînant derrière. Je me souviens m'être demandé si Sylvia McDonald marchait toujours exactement de la même façon dans la maison, car je voyais d'autres lignes de passage claires dans les pièces que nous traversions. Aucun des meubles ne semblait usagé et lorsque je prenais un livre sur une des étagères, les pages étaient pleines d'humidité et de moisissure. J'ai commencé à me sentir très mal à l'aise à ce moment-là, mais peu importe les pouvoirs de persuasion du vampire, ça m'a suffisamment calmé pour que je continue à le suivre avec mon frère.
Nous avons monté les escaliers et on m'a conduit dans une petite chambre avec un lit. On m'a fait comprendre que ce serait ma chambre, et on m'y a laissé pendant que Sylvia McDonald emmenait mon frère dans la chambre voisine. Quand la chose est revenue, elle a apporté un bol de fruits et me l'a offert. Le fruit avait manifestement quelques semaines et était à différents stades de pourriture, mais juste pour apaiser la chose, j'ai trouvé une pomme et quelques raisins qui semblaient comestibles et je les ai mangés. Elle m'a observé en silence tout le temps, puis s'est retourné et est sorti vers la chambre de Nigel.
À ce moment-là, tout ce que la créature avait fait pour me rendre docile semblait commencer à s'estomper, et je réalisais à quel point tout allait mal. Je me rendais aussi compte qu'il ne semblait pas y avoir d'échappatoire facile pour sortir de la maison. Toutes les fenêtres que j'avais vues étaient barricadées et je me souviens que Sylvia McDonald avait verrouillé la porte d'entrée d'apparence robuste qui se trouvait derrière après que nous soyons tous entrés. Au lieu de ça, je me suis allongée dans le vieux lit moisi et j'ai attendu.
Je ne pouvais pas vraiment dire ce que j'attendais, mais la nuit est tombée assez tôt et j'ai supposé que Sylvia McDonald s'était endormie, ne réalisant pas encore la façon dont je me comportais. Je voulais un peu de lumière pour me réconforter, mais la vieille maison semblait ne pas avoir d'électricité du tout, alors j'ai utilisé mon briquet sur une bougie que j'ai trouvée à côté du lit et je me suis glissé vers la porte. Elle n'était pas fermée à clé, heureusement, et j'ai quitté la chambre qui m'avait été assignée et me suis dirigé vers l'endroit où je croyais que se trouvait mon frère.
Je suis entré et je l'ai trouvé allongé dans son lit, faisant semblant de dormir. Après quelques échanges, il est devenu évident que Nigel n'était pas plus content de notre situation que moi, et nous avons tous deux décidé qu'une autre nuit dans les rues froides était préférable à rester avec cette étrange femme. Mais, alors que nous parlions des moyens possibles de s'échapper, nous avons entendu un bruit de bruissement à l'extérieur de la porte, et la poignée a commencé à tourner. Ne voulant pas mettre en colère notre étrange hôte, je me suis glissée sous le lit pour me cacher, tandis que Nigel faisait de nouveau semblant de dormir.
De mon point de vue sous le lit, je pouvais voir la porte ouverte, et la jupe de Sylvia McDonald entrer et se diriger vers le lit. Je me suis simplement allongée et j'ai essayé de ne pas faire de bruit. Je n'en suis pas fier, et j'ai parfois la certitude que mon inaction a directement conduit à la mort de mon frère, mais la plupart du temps j'accepte que, si j'avais alerté le vampire de ma présence, alors je serais également mort.
Quoi qu'il en soit, le fait est que je n'ai rien fait, car j'ai entendu des bruits de lutte au-dessus de ma tête et le cri étouffé de Nigel. La créature s'est retournée rapidement et l'a jeté à terre, quelque chose est tombé par terre devant moi, mais je ne l'ai pas regardé, mes yeux se sont fixés sur Sylvia McDonald alors que la chose se jetait sur mon frère. Elle a ouvert la bouche pour ce que j'ai réalisé être la première fois depuis notre rencontre, et je ne pouvais rien voir d'autre à l'intérieur qu'une douzaine de dents longues, épaisses et pointues comme celles d'un requin.
En un seul mouvement fluide, elle a plongé ces dents dans le cou de mon frère et a arraché un gros morceau de chair. Le sang a commencé à jaillir du corps de Nigel, qui avait des spasmes, tandis que la gorge de Sylvia McDonald se mettait à trembler. Sa mâchoire s'est disloquée et une longue langue cylindrique de l'épaisseur de mon avant-bras est sortie de sa gorge et s'est fixée sur la plaie jaillissante. Il y eut un horrible bruit de succion, le premier bruit que j'aie jamais vraiment entendu la créature, alors que la langue aspirait le sang de la gorge de mon frère.
Je suis resté allongé et j'ai vu son ventre se distendre et gonfler, le ventre désormais bombé pressant sur la robe noire qu'il portait. Après les dix minutes les plus longues de ma vie, le vampire a terminé. Sa langue s'est rétractée dans sa gorge, laissant encore couler du sang sur le cadavre désormais pâle de mon frère, et il s'est allongé sur le sol, apparemment satisfait.
Pendant ce temps, toute mon énergie s'était concentrée sur le fait de ne pas crier et de ne pas révéler ma présence. Mais alors que le vampire était étendu à satiété sur le sol, je me suis tourné vers ce qui était tombé de la main de Nigel lorsqu'il avait été tiré du lit. C'était son couteau de poche. Je n'avais aucune idée de ce qu'un petit couteau comme celui-ci pouvait faire contre une créature qui semblait bien plus forte et plus rapide que moi, mais je ne voyais pas d'autre choix que d'essayer.
J'ai bougé si lentement en tentant d'attraper le couteau qu'il m'a même semblé que je ne bougeais pas du tout. J'avais peur que la créature me repère et m'attaque comme elle l'avait fait avec Nigel, bien que je sache maintenant que l'odorat est en fait le sens principal du vampire et, avec tout le sang autour, il y avait peu de chances qu'il détecte mon odeur.
Saisissant le couteau, je me suis glissé vers la créature qui digérait tranquillement la vie de mon frère, jusqu'à ce que je me tienne au-dessus d'elle. J'ai senti une soudaine poussée de rage et d'adrénaline m'envahir et, avec une vitesse et une force que je ne connaissais pas, j'ai plongé le couteau dans l'estomac de Sylvia McDonald, gonflé de sang.
Il a éclaté comme un ballon malsain, et le sang a commencé à couler. Les yeux de la créature s'ouvrirent et elle serra désespérément la plaie. Sa gorge n'était pas capable d'émettre un cri, mais son visage affichait une douleur et une colère silencieuses alors qu'elle s'effondrait sur le sol. En titubant et essayant d'essuyer le sang de mes yeux, j'ai senti une brûlure inattendue dans ma main. J'ai réalisé que j'avais touché la bougie encore allumée sur la table de nuit.
Je ne sais pas à quoi je m'attendais quand j'ai pris la bougie et l'ai pressée sur la partie sèche de la robe de Sylvia McDonald. J'essayais juste de trouver autre chose à faire pour lui faire du mal avant qu'elle ne puisse se remettre de sa blessure au ventre. Mais je ne m'attendais certainement pas à ce que ça prenne feu comme du papier inflammable. Le feu s'est rapidement propagé sur sa forme repoussante, bien qu'il ait ralenti quelque peu là où les vêtements ou la chair étaient encore humides de sang. J'ai été frappé par le fait que le vampire doit être une créature très sèche quand il n'est pas fraîchement nourri et engorgé. Peut-être avais-je frappé avant que le liquide ne puisse se répandre dans son corps.
Quelle que soit la raison, Sylvia McDonald était en feu, et à tel point que le reste de la pièce commençait à prendre feu également. L'idée de quitter cette maison sans mon frère m'angoissait, mais il était clairement mort, et je devais prendre la fuite.
Je me suis souvenu que le vampire portait un sac à main lorsque nous l'avons rencontré pour la première fois, et qu'il avait utilisé une clé de ce sac pour fermer la porte d'entrée. Mais il n'avait plus le sac à main avec lui, alors j'ai commencé à fouiller désespérément les autres pièces de la maison, pour essayer de le trouver. J'ai fini par le trouver, dans ce que je suppose être la chambre du vampire. Je ne la décrirai pas en détail, sauf pour dire qu'elle semble être l'endroit où la créature a pris la plupart de ses repas. J'espère que cela vous donne une idée assez claire de la situation. Mais j'ai trouvé la clé et je me suis échappé de cette maison avant que l'incendie ne me fasse de sérieux dégâts. J'étais terrifié à l'idée que la police débarque et pense que j'étais un meurtrier, alors je ne suis pas resté dans les parages. J'ai juste fui dans la nuit.
Il a fallu presque dix ans avant que je rencontre un autre vampire. J'avais vécu à la rue pendant tout ce temps, entrant et sortant occasionnellement de diverses institutions, et j'avais presque réussi à me convaincre que Sylvia McDonald n'était qu'une mauvaise réaction au stress d'avoir assisté au meurtre de mon frère. C'est à la fin des années 60 que j'ai appris le contraire.
C'était en 1968, je m'en souviens parce que c'est l'année où Manchester United a remporté la Coupe d'Europe, et je m'en suis assez bien sorti - les gens étant généreux envers les mendiants quand ils sont heureux d'une victoire sportive. Le vendredi soir, je passais généralement mon temps à l’Oasis Club de Lloyd Street et je demandais de l'argent à tous ceux qui tenaient mal l'alcool. Cette nuit-là en particulier, je me débrouillais plutôt bien, car c'était une chaude soirée de juin, peu de temps après la finale de la Coupe, et tout le monde était de bonne humeur.
Vers onze heures et demie ce soir-là, j'ai observé un inconnu qui était venu danser, quittant le club avec une amie. J'ai pensé que je pourrai en tirer quelque chose, alors j'ai fait mon approche. Je leur ai fait un discours et j'ai attendu. L'homme m'a regardé et j'ai compris qu'il ne me donnerait pas d'argent, et je me suis éloigné. C'est alors qu'il s'est retourné pour partir que j'ai réalisé qu'il n'avait pas ouvert la bouche, et les souvenirs de Sylvia McDonald me sont revenus en un clin d'œil.
Je ne savais pas quoi faire, alors je les ai suivis de loin. Je n'ai pas essayé de me cacher ou de me déguiser, car j'avais appris depuis longtemps, et c'est encore le cas aujourd'hui, que personne ne prête vraiment attention à un clochard. Alors que j'observais, je voyais la femme clairement ivre poser des questions à cet étranger, et à chaque fois il se contentait de la regarder, et elle souriait comme s'il avait donné une réponse rassurante, et trébuchait derrière lui. Pendant tout ce temps, il n'a jamais ouvert la bouche.
Je ne savais pas trop quoi faire. Je n'avais pas d'autre arme que le vieux couteau de poche de mon frère que j'avais gardé affûté toutes ces années, et bien que j'étais assez sûr de ce que je voyais, j'hésitais encore à attaquer sans avoir été provoqué et sans avoir de plan. Alors que nous marchions, j'ai gardé l'œil ouvert pour détecter tout bois ou objet sculpté jeté et, naturellement, j'ai remarqué une palette en bois brisée qui sortait partiellement d'un conteneur. J'ai attrapé un long fragment et j'ai utilisé mon couteau pour l'entailler rapidement, en ignorant les éclats. Même si je n'avais pas, à l'époque, fait beaucoup de recherches sur les créatures auxquelles j'étais confronté, croyant que mon expérience de jeunesse était le produit d'un état mental agité, j'étais du moins conscient de leur faiblesse supposée face aux pieux en bois.
J'avais alors suivi le vampire, dont j'ai appris plus tard qu'il se faisait appeler Robert Arden, et sa victime jusqu'à l'immeuble où il vivait apparemment. Il a passé la porte d'entrée et la femme l'a suivi. Je n'étais pas assez rapide pour entrer avant que la porte d'entrée ne se ferme et je n'avais évidemment pas de clé, alors j'ai fait le tour des fenêtres et, heureusement, il semblait que le vampire vivait au rez-de-chaussée.
J'ai observé par la fenêtre alors qu'il conduisait sa victime dans une salle de séjour peu meublée. Je ne voyais pas de signes évidents d'un précédent massacre, mais je me suis souvenu que Sylvia McDonald avait aspiré proprement tout le sang de mon frère, ça ne m'a donc pas semblé étrange. J'ai doucement essayé d'ouvrir la fenêtre, mais elle était fermé, alors j'ai cherché dans le jardin la pierre la plus lourde que j'ai pu trouver, et j'ai surveillé ce qui se passait à l'intérieur. Il fallait que je sois sûr. Très vite, Robert Arden s'est déplacé en douceur derrière sa proie désormais assise, et a finalement ouvert la bouche pour révéler ces rangées de dents semblables un requin que je m'attendais à voir.
J'ai jeté la pierre que je tenais à travers la fenêtre, couvrant la pièce de verre brisé, et faisant crier de surprise la femme. Robert Arden a levé la tête par surprise et pendant un instant, nos regards se sont croisés et j'ai su que j'avais fait une terrible erreur. La femme a regardé son monstrueux compagnon et, voyant sa bouche maintenant ouverte, a crié sa terreur encore plus fort.
D'un seul mouvement, bien plus rapide que je ne l'avais prévu, Robert Arden a traversé la fenêtre et s'est jeté sur moi. Je me suis débattu et j'ai lutté, mais il était bien plus fort que moi, et j'ai à peine pu empêcher ses dents pointues de trouver ma gorge. C'était la première et la dernière fois que je touchais la peau d'un vampire de la mienne. La chair était froide et spongieuse, comme l'intérieur d'une pomme abîmée, et j'ai senti la bile monter dans ma gorge alors même que je luttais pour ma vie.
Finalement, ses dents se sont plantées dans mon cou. Pas assez pour me tuer, mais avec assez de force pour faire couler le sang. À ce moment, j'ai vu une sorte de frénésie monter dans le regard de Robert Arden et, avec un spasme, sa langue de sangsue a jailli de sa gorge et je l'ai sentie s'attacher à mon cou. Je ne sais pas si vous avez déjà senti votre sang être aspiré hors de vous, mais je ne le recommande pas.
À ce stade, j'ai une sorte d'aveu à faire. Au cours des trois années qui ont précédé cet événement, ainsi qu'au cours des années qui ont suivi, j'ai eu un rapport avec la drogue qu'est l'héroïne. J'ai essayé pour la première fois peu après la mort de Nigel et depuis, j'ai régulièrement rechuté. J'ai toujours essayé de garder ça secret, comme je sais que j'ai une certaine réputation à défendre et je ne voudrais pas qu'elle soit endommagée par la révélation de ma dépendance. Mais c'est important pour cette histoire, car je crois que c'est l'héroïne restée dans mon organisme cette nuit-là qui a fait que le vampire Robert Arden a retiré sa langue de mon cou et a commencé à trembler, comme s'il avait eu une violente crise d'étouffement.
J'étais allongé là, essayant de me ressaisir suffisamment pour me défendre, quand j'ai pris conscience des cris. La femme, qui avait été amenée comme victime, se tenait au-dessus du Robert Arden agité, le poignardant à plusieurs reprises avec un couteau de cuisine. Aussi fort et rapide qu'il était, le vampire ne semblait pas capable de faire face à l'assaut soudain de violence, et se trouvait à terre. Ça m'a donné les précieuses secondes dont j'avais besoin pour me relever et retrouver mon pieu de bois de fortune. J'ai alors visé et l'ai plongé là où je croyais que le cœur de la chose était. C'était plus facile que je ne le pensais - la poitrine était molle et souple et il ne semblait pas y avoir de cage thoracique pour arrêter le coup. Robert Arden est devenu rigide et s'est figé, apparemment incapable de bouger son corps, bien que j'aie vu ses yeux s'agiter sauvagement.
C'est à ce moment que la femme, dont je n'ai jamais découvert le nom, a lâché le couteau et s'est enfuie. Je ne l'ai plus jamais revue, mais elle m'avait sauvé la vie. J'ai sorti mon briquet et j'ai mis le feu à Robert Arden. Comme Sylvia McDonald avant lui, il a pris feu en quelques secondes et, lorsque la police est arrivée, il ne restait plus qu'une petite tache de gomme brûlée. J'ai eu de la chance cette nuit-là, et personne n'a rien vu ni appelé la police avant que je n'aie terminé et que je me sois éloigné de la scène, mais j'ai toujours été plus prudent après cela.
Après cette nuit-là, cependant, je n'ai plus jamais eu peur de me tromper sur l'existence des vampires. J'ai toujours surveillé si j'en croisais, même si j'étais parfois trop impatient, comme ce fut le cas  pour Alard Dupont, que j'ai tué en 1982 et dont j'ai découvert plus tard qu'il était humain. Je crois qu'ils sont très rares et ne se nourrissent que rarement, car tout ce que j'ai vu indique que leur alimentation est fatale. S'il y avait beaucoup de vampires, ou s'ils se nourrissaient souvent, le nombre de disparitions deviendrait rapidement évident pour le reste de la société.
Je ne sais pas ce qu'ils font des corps de leurs victimes, et cela m'a toujours laissé perplexe, car ils n'ont aucun mécanisme leur permettant de manger des aliments solides, et je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de cas de meurtre, voire aucun, où le corps est retrouvé complètement vidé de son sang. Je ne pense absolument pas qu'ils s'élèvent eux-mêmes au rang de vampires, car la population de vampires semble bien trop faible pour que cela soit possible.
                                                ARCHIVISTE
Fin de la déposition.
Selon Martin, qui était présent lorsqu'ils ont pris cette déposition, c'est à ce moment-là que M. Herbert a annoncé par écrit qu'il avait besoin de dormir avant de continuer. Il a été conduit à la salle de repos où il est allé dormir sur le canapé. Il ne s'est pas réveillé ; malheureusement, il a succombé d'un cancer du poumon juste là. Martin dit que le personnel était conscient de la gravité de l'état de M. Herbert et lui avait conseillé de consulter un médecin avant de faire sa déposition, mais que le vieil homme lui a dit assez franchement qu'il n'attendrait pas une seconde de plus pour faire sa déposition. Je ne peux pas déterminer si cela donne plus ou moins de crédibilité à son histoire.
Quoi qu'il en soit, il existe des preuves substantielles pour soutenir la version des événements racontée par M. Herbert dans tous ses aspects, sauf en ce qui concerne le vampirisme. Il y a un reportage sur un incendie de 1959 qui a consumé une maison de Loom Street et qui a apparemment coûté la vie à un garçon de 18 ans, bien qu'aucune mention ne soit faite du propriétaire de la maison. Et un rapport de police de 1968 confirme la disparition de Robert Arden à Manchester dans des circonstances violentes, notamment une fenêtre brisée et des signes d'incendie, bien qu'aucun reste humain n'ait été retrouvé.
Il y a également un rapport de meurtre concernant un certain Alard Dupont, dont le corps partiellement brûlé a été retrouvé chez lui le 2 août 1982. Malheureusement, M. Herbert n'a jamais été en mesure de donner des détails sur les autres, de sorte que nous ne pouvons pas confirmer davantage.
Il y avait cependant un petit sachet laissé sur cette déposition, qui semble contenir six dents de requin de tailles différentes. Selon la communication échangée avec le département de zoologie du King's College, elles ne correspondaient à aucune espèce actuellement connue.
Personnellement, je ne sais pas quoi penser. Je ne crois certainement pas aux histoires de vampirisme, mais je ne peux pas m'empêcher de remarquer que la déposition ci-dessus semble être une photocopie d'une photocopie, et je ne trouve ces prétendues dents de vampire nulle part dans les archives ou dans la Salle de Stockage Sécurisée. Je ne sais pas où se trouvent les originaux, mais le numéro de dossier figure parmi les multiples demandes d'information émanant du gouvernement et des services de police de l'Institut. Il se peut qu'ils prennent la déposition de M. Herbert beaucoup plus au sérieux que moi.
Fin de l'enregistrement.
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ixhadbadxdays · 5 years
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Rules: Spell out your URL using song titles and tag 5 other people to do the same. Repost, do not reblog.
I'm not doing the Xs bc I don't have any songs in my playlists that start with X... These songs are mostly coming from my Work Wake Up playlist that puts me in a better mood despite getting up at the buttcrack of dawn to open the restaurant for the day.
I - It's You by Syn Cole
X
H - High Hopes by Kodaline
A - Angels by Vicetone
D - Destination by LarsM
B - Burning On by Kanic
A - Alive by Schiller and Owl City
D - Dancin' by NIVIRO
X
D - Distance by Nicky Romero
A - Alexius by Trevor Morris
Y - You're Not Alone by Don Diablo and Kiiera
S - Something Strange by Vicetone
-
Tagging: @cyberlifesconnorisnowready @corixr @skeletonrae
Link to the playlist:
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booksnunicorns · 4 years
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La Meute Weston, Tome 2 : Six Mois — Dannika Dark
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Une humaine et un Métamorphe ont-ils un avenir ensemble ?
April Frost est une jeune femme bienveillante, avec un emploi stable et des objectifs ambitieux. Mais plus elle fait d’efforts pour fuir son passé, plus il menace de la détruire. Quand trois étrangers entrent dans sa vie, April est forcée de faire face à ses démons, et c’est un combat qu’elle ne gagnera peut-être pas.
Les détectives privés de la Lignée sont des hommes prêts à prendre des risques, et Reno Cole ne fait pas exception. En tant que Méta, on attend de lui qu’il contrôle l’animal au fond de lui. Mais ces derniers temps, son loup s’aventure dangereusement près de la ville, et il est sur le point de découvrir pourquoi. April le captive, avec son regard mystérieux et son esprit résilient. Elle a aussi des ennuis, et malgré le fait qu’elle soit humaine, Reno ne peut se résoudre à lui tourner le dos.
April est piégée entre deux mondes : celui qui menace de détruire ses rêves et celui qui pourrait les réaliser. Peut-elle accorder sa confiance au loup à sa porte, et trouver le courage de vaincre ses démons ?
De Dannika Dark publié en Septembre chez Infinity [ Amazon ] 424 pages
J'avais en tête avec le premier tome d'une Romance Paranormale comme les autres mais qui essayait de gommer les propos souvent archaïque et machiste du genre. Une romance simple mais efficace avec les codes que l'on connaît quand même. Ce deuxième tome ne déroge pas à la règle mais je n'ai pas été emballé de la même manière. Il y a eu quelques longueurs et des moments peu naturels.
Il y a plein de bons éléments évoqués et qui casse un peu les idées reçues qu'on voit souvent développer en romance : le fait de ne pas vouloir d'enfants, de pouvoir se sentir faible et démuni, mais d'être courageux tout autant qu'une personne qui semble plus forte.
D'un autre côté, il y a toujours ce terme de "chienne" critiqué (positivement ou négativement), mais c'était saoulant de le voir partout. Ça n'a aucun sens, ce sont des loups ou des louves, ce terme n'a rien à y faire. Même quand ils disent que c'est affectueux, comme un surnom... ça ne l'est pas. On croirait que l'autrice s'accroche au dernier terme du genre. Elle peut l'enlever, ça restera une romance paranormale, faudrait la rassurer !
Côté intrigue, elle est plutôt pas mal en faite, rien d'extraordinaire mais elle évoque une partie des difficultés que peuvent rencontrer certains américains moyens/pauvres. Il y a aussi une gestion de la meute qui continue à être mise en avant dans leur pérennité financière et leurs relations avec les autres meutes.
Pour ce qui est des personnages, bon franchement, je n'étais pas plus que ça dans leur histoire. C'est le classique soumise/dominant mais en faite pas vraiment. Je n'ai pas trouvé ça naturel même si ça n'est jamais mon truc. Là, où l'intérêt existe quand même, est dans les conséquences de prendre une humaine qui vieillira et un loup qui vieillit plus lentement. Ça soulève des tas de questions et de problèmes, ça remet en question la possibilité d'avoir des enfants, ça soulève un autre sujet mais c'est à Reno de vous en parler. C'est une autre vision de couple et ça c'est plutôt cool.
C'est là, où finalement l'attachement à cette série se trouve : la fraternité. J'ai beaucoup aimé le meilleur ami d'April, Trevor, et pour le coup, j'aimerais bien qu'il ait son tome ! (quand tu sais que je ne lis pas de MM...). Mais j'ai aussi hâte d'avoir celui de Wheeler (dieu que la scène était hot), celle d'Ivy (on est d'accord, y a un truc avec le Lorenzo hein ?) ou encore celui de Denver (qui s'annonce compliqué, genre terrain miné)... il manque qui là encore ? A vous de le découvrir !
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kymbcrli · 1 year
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top 3 locais marcantes no fuckfuck com o professor trevor
Criaram intimidade demais agora, hein? Quando eu disse que podiam me perguntar qualquer coisa não quis dizer QUALQUER coisa...
Mas mudando de assunto ai, já apreciaram a vista da sacada que dá de frente pro jardim?
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bloodmoonfanfic · 4 years
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A festa da pizza - cap1
— O que ela bebeu, hein? — Trevor perguntou para ninguém em especial.
— Não faço ideia. Mas precisamos disso para aguentar o treino na segunda. — Ben respondeu com um sorriso antes de tomar um gole da garrafa de cerveja em sua mão.
O grupo já tinha perdido a noção de quanto tempo estavam ali sentados no sofá e observando a Summer bêbada dançar as coreografias sem sentido e claramente inventadas por ela própria.
Era o último fim de semana antes do ano letivo começar e como de costume: Tereza Williams, Summer Graham, Trevor McCoy e Ben Adams estavam na casa de Tereza fazendo o que eles chamavam de A festa da pizza. A tradição surgiu quando o grupo ainda era criança, a diferença é que agora, as latinhas de Coca-Cola deram lugar as garrafas de Budweiser .
— Eu fiquei cansada só de olhar pra ela. Alguém derruba essa garota no chão, pelo amor de Deus. — Tereza fingiu implorar, a garota já estava ficando tonta de tanto olhar a amiga rodopiar na frente do grupo.
— Vocês são uns fracos, não aguentam nada. São três bebezinhos que não aguentam nadaaaa. — Ela agora cantava a música inventada por ela mesma. — Nadaaaa, não aguentam nadaaaa — Por um instante ela parou de rodopiar e cantar. — Pessoal, acho que eu vou... — A frase foi interrompida por ela caindo no chão de joelhos e vomitando toda a pizza que tinha comido mais cedo.
— Até que demorou — Trevor resmungou dando de ombros e nem um pouco impressionado.
— Vocês já se perguntaram porque a gente sempre vomita algo que não comeu? Tipo, sempre sai algum pedaço de algo que não comemos, no nosso vômito. — Ben questionou. — Olha, Summer vomitou essas coisinhas laranja. Parece cenoura, mas ela não comeu cenoura.
— Cara, para de falar de vômito..., mas pensando bem... É verdade. — Trevor ficou pensativo tentando obter uma resposta para aquela questão e naquele momento Tereza teve a certeza: Garotos são todos nojentos.
— Como vocês conseguem ser… Esquece. — Tereza levantou do sofá com uma careta e foi ajudar a amiga a levantar do chão. Os meninos ficaram rindo. —  Aqui, senhorita adulta. Por hoje já deu, não é? — Tereza falou enquanto levava Summer para o banheiro e limpava sua boca.
— É. Acho que você tá certa, Tessie. Eu te amo muito, sabia? Você é a melhor pessoa desse planeta. É, você é sim. — Summer falava enquanto gargalhava e tropeçava até o banheiro.
— Eu também amo você, Sun. Mesmo me dando todo esse trabalho. —Ela respondeu segurando os cabelos da amiga enquanto, toda desajeitada, Summer limpava a boca na pia do banheiro. E por um segundo Summer reparou no reflexo das duas no espelho e desabou em lágrimas. 
— Você é tão boa comigo. Eu não te mereço, Tessie. — Ela tentava falar enquanto chorava. — Você é a minha melhor amiga, foi a única que não me abandonou. E eu... eu só faço merda. Me desculpa, amiga. — Ela abraçou Tereza desajeitadamente.
— Ei... Você é meio doida, nisso concordamos, mas você não faz merdas. Você é incrível, Summer. É eu quem não te mereço. — Tereza a abraçou mais forte.
— Não... não Tessie, você não entende. Eu sou uma pessoa horrível, eu... — Ela foi interrompida pelo Trevor entrando no banheiro.
— Summer, Ben já está indo. Ele tá perguntando se você quer carona. — Ela encarou o namorado da amiga por uns segundos antes de responder.
— Sabe... Eu queria dormir aqui com a Tessie. — Ela tinha parado de chorar e enxugava o rosto molhado com o antebraço.
— Você dormiu aqui ontem, não é melhor ir para a casa, não? O Sr. Graham deve estar preocupado com você. — Trevor retrucou a encarando de volta.
— Meu pai não liga pra onde eu passo a noite... Na verdade ele não liga pra nada relacionado a mim. — Ela revirou os olhos e se apoiou na pia do banheiro. Estava visivelmente tonta.
— Isso não é verdade, o seu pai se preocupa sim com você... Acho melhor dormir em casa hoje, só para ele não surtar de vez. — Tereza sorriu e ao mesmo tempo fez uma careta. — Amanhã nós podemos passar o dia todo juntas, só nós duas. O que acha? — Tereza perguntou enquanto prendia uns fios dos cabelos da amiga atras da orelha.
— Summer, foi mal. Não vou poder te levar para casa agora. O carro da minha mãe foi rebocado de novo. — Ben apareceu na porta do banheiro com uma cara nada boa. A mãe do garoto era a pessoa mais avoada que a terra já teve o prazer de conhecer e Tereza não fazia ideia do porque ainda deixavam ela dirigir — Ela estacionou em local proibido de novo. Se importa de chamar um Uber? Vou ter que ir buscá-la agora e você está bêbada e... muito chapada.
— Eu a levo. Pode ir. — Trevor respondeu e Summer continuou calada olhando toda a cena. Ela parecia que ia vomitar novamente.
— Tudo bem então... Verifica se ela colocou o cinto de segurança direito, tá? —Tereza falou beijando o namorado. Enquanto Summer ainda calada, ia saindo da casa da piscina sem esperar os dois se despedirem.
— Pode deixar, amor. Ela vai chegar em casa em segurança. — Ele falou sorrindo e puxando Tereza pela cintura para mais um beijo. Em seguida foi de encontro a Summer que já estava fora da casa e olhando para a piscina como se estivesse lutando internamente com a vontade de vomitar dentro de toda aquela água limpinha.
— Boa noite, a gente se ver amanhã? — Tereza perguntou abraçando a amiga e a tirando de perto da piscina.
— É... amanhã a gente se ver. Dorme bem, Tessie. — Ela sorriu antes de seguir cambaleando atrás do Trevor até a garagem.
— Eu posso limpar tudo, Tessie? — Sarah era a governanta da casa e umas das pessoas que a garota mais gostava no mundo todo, mas tinha essa mania de chegar de fininho que sempre fazia Tereza pular de susto.
— Deus, Sarah. Você já pensou em mudar de profissão? virar uma ninja, sei lá.
— Mas se eu fosse uma ninja não iria poder te ver e cuidar de você todos os dias. — Ela sorriu arrumando os cabelos da garota sobre seu ombro esquerdo — E você não sobrevive por muito tempo sem mim ou sua mãe por perto. — Ela entrou na casa da piscina.
— Não sei se concordo muito com isso. — Tereza falou enquanto a ajudava a arrumar toda a bagunça que  o grupo tinha feito na casa da piscina. 
Quando terminaram já passava de meia noite, Sarah fora direto para sua casa e Tereza foi ver a  mãe antes de ir dormir.
A mãe de Tereza era Olivia Renard, uma super modelo francesa que agora beirava os trinta e oito anos e já estava longe das passarelas há um tempo, mas não longe do mundo da moda, agora era a dona da maior agência de moda de Nova York e vivia aparecendo nas capas de revistas e eventos da elite de Manhattan.
E para provar que os opostos se atraem, era apaixonada e casada com um homem que não entendia literalmente nada de moda. O pai de Tereza era o renomado geneticista, Dr. Henry Williams, diretor do Hospital George Williams. O problema é que o Hospital ficava em Londres e por esse motivo, passa bastante tempo longe da esposa e da filha. Ultimamente, mais tempo que o normal.
Tereza não sabia bem qual a necessidade de se ter uma casa do tamanho da que tinham, já que os adultos quase nunca ficavam nela. A residência dos Williams era a maior da rua, e as únicas pessoas que sempre estavam em casa eram os empregados e... bom, ela mesma. A garota passou pelo corredor principal e dobrou a esquerda até o quarto dos pais.
No entanto, não era porque eles trabalham o tempo todo que deixavam de cuidar da garota, na verdade eles eram bem presentes em tudo relacionado a vida de Tereza. O que era bem diferente dos pais da Summer, a mãe da menina tinha fugido com o vizinho antes das garotas se conhecerem, deixando ela e o pai sozinhos, um tempo depois seu pai casou de novo e, aparentemente, deixara a Summer de escanteio. Esse era um dos motivos dela passar mais tempo na casa dos Williams do que na própria, o que era bem triste, na verdade, porque a madrasta da garota fazia de tudo para aproximar-se dela.
A vida de Tereza Williams era toda resumida na escola. A garota estudava na Harley Hill Academy, e segundo o diretor — o Sr. Lincoln — e umas revistas sobre educação, era o melhor colégio do estado de Nova York, o que talvez fosse verdade mesmo, já que ela não tinha tempo para fazer quase nada além de estudar, treinar com as líderes de torcida e dirigir o grupo de robótica da academia. 
Os fins de semana eram quase todos iguais, Summer, Trevor, Ben e ela sempre iam ao clube nas manhãs de sábado com os pais do Trevor. Brunch, piscina e, infelizmente, socializar com os outros membros do Shoreditch House Club, não que Tereza fosse uma pessoa antissocial ou mal educada, mas para a garota, todo mundo lá vivia dentro de uma bolha...  Para ela todos parecia atores de um seriado de TV, tipo Gossip Girl*, com todos aqueles dramas sem sentido que se resolviam facilmente com uma simples conversa, mas para eles era o fim do mundo. 
Era tudo fútil e falso!
 Talvez ela estivesse exagerando, quem sabe, mas a culpa não era dela, com certeza não. 
Tereza nunca tinha parado para pesquisar, mas tinha noção que seus pais estavam na lista das pessoas mais ricas de New York, e ela estava longe de reclamar disso, na verdade, a garota amava pegar o jatinho e ir até Paris para comer um croissant enquanto apreciava a vista da torre eiffel, mas com algumas poucas exceções, todas as pessoas no clube davam uma importância sem sentido ao dinheiro e tudo o que vem com ele.
Talvez não fosse culpa deles, talvez ela tenha sido educada de modo errado. Os pais de Tereza sempre a deram tudo o que queria, mas mesmo assim a ensinaram a manter os pés no chão e ter em mente que nem todos têm os mesmos privilégios que ela tinha. Crescer passando a metade de todas as férias vendo os pais deixarem de viajar para o Caribe ou sul da Itália para ajudar em hospitais e escolas quase destruídas por bombas na Síria ou vacinando crianças na Somália deve ter a quebrado... o quem sabe, consertado.
E foi mais ou menos com seus doze anos que Tereza decidiu criar o clube de robótica da escola. Um verão antes disso, seus pai a deixou ir com ele a República do Congo, o Dr. Williams tinha um paciente que não podia viajar para fazer a cirurgia em Londres, então ele foi até lá, levando Tereza. E foi a partir desse momento que a garota não conseguiu mais se sentir completamente feliz curtindo um fim de semana num hotel cinco estrelas em Qatar ou esquiando com o Trevor nos Alpes Suíços. Uma parte dela não conseguia ficar bem sabendo como aquelas pessoas viviam, então criar o clube de robótica era a maneira que ela sabia que podia ajudá-los. Tereza não era como o pai, definitivamente não tinha coragem para fazer medicina e nem era boa em socializar com a mãe, que sempre promovia eventos e leilões beneficentes para arrecadar verbas para ONG's. Não, mas Tereza Williams era boa com engenharia mecânica, física e programação e era assim que ela pretendia fazer sua parte para deixar o planeta um pouco melhor para as pessoas que não nasceram com a mesma sorte que ela.
|Glossário
*Gossip Girl é uma série televisiva produzida pelo canal The CW baseada na série de livros com o mesmo nome da autora Cecily von Ziegesar. A série foi ao ar de 2007 a 2012 e tem 6 temporadas, todas disponíveis na Netflix.
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orizonpinky · 7 years
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Capitalisme.
En bordure d’autoroute.
MICHAEL - Tu sais, Devin...Tel que je vois les choses, même si je suis pas un grand homme dʼaffaires comme toi, je dirais quʼil y a deux grandes calamités qui pourrissent le capitalisme américain que tu pratiques. La première, cʼest la sous-traitance. Tʼas engagé une société privée pour faire le sale boulot à ta place, et puis tu lʼas mal payée parce que tu te sentais suffisamment puissant et intouchable pour ne plus respecter les règles. La deuxième, c'est la délocalisation. 
TREVOR - La quoi ? M - Y a rien de pire. Trevor, t'aimerais qu'on t'envoie à l'étranger juste pour économiser un peu de fric ? T - Ah non, clairement pas ! M - Franklin ? FRANKLIN - Pareil, je fais ça nulle part ailleurs. M - Bien-sûr. Mais on connait tous ta position sur le sujet, Devin. Tu préfères garder tes problèmes à distance, hein ? T - Dans le cas présent, ça me paraîtrait presque logique. M - Evidement. Hé, Devin... Adieu, vieux frère. Merci pour tous tes conseils. Bye.
Ils ferment le coffre et poussent la voiture jusqu’à ce qu’elle tombe de la falaise.
T - Et maintenant ? M - Maintenant, on fait profil bas et on reprend nos vies normales. T - En restant amis. M - Quoi ? Est-ce que j'ai le choix ? T - Nan, pas vraiment. M - OK... On continue d'entretenir une amitié forcée entre des gens qui n'ont pas grand-chose en commun. Formidable. T - Ca me convient. On peut reprendre notre pratique personnelle du capitalisme. F - Merde, je sais pas si c'est vraiment mieux que ce que Devin faisait. M - L'hypocrisie, Franklin. La plus grande vertu de la civilisation. T - Bon sang. Tu le paies pourquoi, ton psy ? M - Je sais, je me déteste toujours... Mais, au moins, je sais comment l'exprimer, maintenant. T - Ouais, bin je te déteste, et je sais aussi comment l'exprimer. Ca veut dire que je suis dispensé de thérapie ? F - Putain, je commence à avoir peur de la quarantaine en vous voyant tous les deux. M - T'as raison d'avoir peur, Franklin ! F - Ouais. M - T'imagines pas ce qui t'attend.
Franklin part en Harley.
M - Je vais te dire Trevor, je commence à être trop vieux pour ces conneries.
GTA V - La Troisième Option, dernière mission.
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opmb · 4 years
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FIFTEEN HUNKS TO VIE FOR MR. WORLD NOBLE KING 2019 TITLES. Noli A. Berioso Eleven of the fifteen official candidates for the inaugural Mr. World Noble King 2019 were presented to the members of the media during the press presentation of the pageant last Friday, Dec. 6 at the Indian-Filipino Restaurant Flavours by Vana in Makati City owned by Capt. Verdant Bhardwaj. Chief Executive Officer of MegaStar Productions Mr. Ovette Ricalde welcomed the international delegates in a simple ceremony hosted by Mr. Onin Mas. Members of the press had the chance to know more about the candidates up close and personal during the introduction, question and answer and personal interview after the luncheon press conference. The organizer of the pageant is looking for a man with a noble purpose in life, not only for himself but also to others and willing to reach specifically to under privileges.Mr. Ricalde reiterates that anybody do not need to have a royal blood to be called a noble person. As long as you inspire others to be confident, have purpose and plans for future and always focus on the good side of life and never harm and never forget the poor you are entitled to be called a noble person. Ricalde is accompanied by Mr. Jeffrey Caballero, General Manager of MegaStar. The candidates will embark to a series of out of town events starting this weekend. Cultural show, talent, swimwear will be held in Lucena and Catanauan, Quezon. Three major titles will be awarded this year, Mr. World Noble King, Mr. Universe Noble King and Mr. International Noble King. On the coronation there will be no question and answer portion but instead each delegates will be given an ample time to express his thoughts and advocacy towards the pageant. Finals will be on December 15 at the Tanghalang Pasigueno in Pasig City. The eleven candidates present during the press conference are Armenia – Edok Kapapetyan, Australia – Daniel John Allen, Fil-USA – Goldman Trevor Reece, India – Yashvir Singh, Japan – Ryo Sakaguchi, Gabriel Sanchez – Mexico, Min Myat Hdet Wai – Myanmar, Hein Thu Paing – Upper Myanmar, Arnel Colis – Philippines, John Cedie batalla – Philippines South and Ratapaksha Deluka – Sri Lanka Best of luck to all the delegates!
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supertyres · 5 years
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Sales Guru Training
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From Left to Right: Trevor Pather Pinetown Branch Manager, Thinus Coetzer National Sales Manager, Robbie Robberts, Marlon Benson Suspension Specialist, Hein Potgieter Pietermatitzburg Branch Manager, Belinda Weber Super Drive Smith St Branch Manager
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Masterlist
This list is growing and changing constantly but it’s everyone and anyone I’ve ever thought of for a fancast. Now this is very very long but it’s mostly here as a list of people I plan to post on as individuals and so that I don’t accidentally post the same person twice. The specifications next to some people are to help me because I usually have them in mind for a specific characters, Most of these people are for certain fancasts but some are just a reference in case I come across a character in the future who fits their appearance.
Guys:
Sven Csongar
Christopher Mason
Charlie Hunnam
Ulrik Munther
LB Smith
Connor Dowds
Jay Alvarrez
Victor Norlander
Diego Barrueco
Tom Webb
Dudly O’Shaugnessy
Ben Barnes
Aaron Taylor Johnson
Ezra Miller
Avan Jogia
Lucky Blue Smith
Gaspared Ulliel
Cody Saintgnue
Michael J. Williams (model)
Clement Becq
Travis Fimmel (young)
Finn Wittrock
Michael Vartan
Adam Kezewski
Larsen Thompson
Presley Gerber
Casey Wyman
Hartley Sawyer
Sean Bourke
Max Carpenter
Adrian Grenier
Toby Hemingway
Levi Meaden
Tom Hardy
Nolan Funk
Graham Rogers
K J Apa
River Phoenix
Johnny Lewis
Caspar Peteus
Emil Andersson
Matt Elrod
Rob Raco
Trevor Stines
Ace Young
John Schneider
Grant Cramer
Michael Grant Terry
Dane Dehaan
Bradley James
Miles McMillan
Robert Redford (young)
Elcin Sangu
Neil Jackson
Ross Lynch
Thor Knai
Joe Slaughter
Drew James
Samuel Larsen
Rob Mayes
Reider Larsen
Nico Tortorella
Ari Millen
Colt Prattes
Ben Robson
Jake Weary
Joe Cole
Finn Cole
Spencer Treat Clark
Ben KIindon
new
boyd holbrook
luke worrall (blonde)
alex pettyfer
cole monahan
joshua anthony brand
alexander ludwig
niclas gillas
conor mclain
charlie kennedy (model)
florian neuville
aaron bruckner
malcolm de ruiter
jude law
finn jones
tjin elbers
sam heugan
cameron monaghan
caleb landry jones
tyler hoechlin
tyler posey
daniel sharman
dylan obrien
neels visser
toby regbo
travis fimmel (blonde)
scott michael foster (blonde)
oscar isaac
jamie campbell bower
owen devalk
neil jackson
jesse spencer
hayden christensen
freddie stroma
justin gossman
viggo jonasson
logan flatte
chris zylka
drew van acker
matt barr
christopher egan
mitch hewer
andrew stetson
jeremy dufour
harry goodwins
sabastian sauve
paul boche
Girls:
Lydia Graham
Natasha Ramachandran
Kiki Misuhara
Alyssa Campanella
Rose Levy
Cintia Dicker
Molly Quinn
Emma Stone
Krisitn Parker
Nephi Garcia
Annalise Basso
Dasha Vinnograddik
Emily Didonato
Mackenzie Mason
Gage Golightly
Scarlett Rose Leithold
Ginny Gardner
Skyler Samuels
Yael Groblas
Natalia Vodianova
Caroline Silta
Katerina Martinovska
Alicia Witt
Ann Margret
Haley Bennett
Nicole Fox
Anna Arendshorst
Bridget Regan
Alexandra Breckenridge
Louise Cliff
Emma Roberts
Alexandra Daddario
Anna Christine Speckhart
Eleanor Tomlinson
Jessica Prez
Jourdan Dunn
Amber Skye Noyes
Barbara Meier
Megan West
Georgia May Jagger
Neelam Gill
Rachel Brosnahan
Madelaine Petsch
Rachel McAdams (red hair)
Katia Winter
Danielle Perry
Katheryn Winnick
Anjelica Kaylor
Rena Sofer
Alex Paxton-Beesley
new
luca hollestelle
asima sefic
raina hein
georgie henley
lily collins
madison stubbington
rose leslie
riley keough (red hair)
lindsay hansen
lara jean chorostecki
monica ollander (red hair)
sophie turner
aja warren
anastasia ivanova
anna tatton
clara paget (red hair)
daria sidorchuk
darya lebedeva
elena satine
ebba zingmark
holland roden
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trevorbarre · 3 years
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"Why Are 'Academic' Books So Darned Expensive?" Part One.
I asked myself this question when I discovered that The Aesthetics of Imperfection in Music and the Arts, a collection of essays and interviews published by Bloomsbury Press, that I was asked to contribute to by its co-editor, the Wire-linked author and philosophy lecturer, Andy Hamilton, had a whopping RRP of £130 attached to it. I immediately, and narcissistically, thought to myself, "there goes the general public's opportunity to read your modest contribution to the book, entitled, not especially originally, 'The Aesthetics of Improvisation in Jazz and Free Improvisation' ". Like most books that bear an 'academic' imprimatur, it will probably be available at some point in the future in paperback form, but, even in that format, is very likely to retail at about £30. a price that will put off most people apart from the die hard fan.
Another recent Bloomsbury publication, coincidently a biographical piece by Andy Hamilton, is Pianos, Toys, Music and Noise: Conversations with Steve Beresford, weighing in at 313 pages (a relative flyweight in comparison to Aesthetics...) and priced at a mere £81. Reviewer Louise Gray (Wire #466) opined that it is "aimed at academic libraries...The price hurts. A much more affordable paperback is on its way next year". This is such a great shame. (I have read sections of the book, and it looks like a great read for the 'non-academic', but there is absolutely no chance of this particular non-academic stumping up that sort of a sum.) The Aesthetics... volume is self-descriptive, in that it a lovely product in hard copy. Any reader who loves the latter format will appreciate the gloss and heft of this professionally bound book, which, if looked after, should last its owner(s) a lifetime. Unlike my copy of The House That Trane Built: The Story of Impulse Records (Granta Books) that literally fell apart after a single reading, basically due to crap bonding glue. My treasured copy of John Wicks's Innovations in British Jazz: 1960-1980, long out of print, suffered the same disintegrative fate, so a big cross next to Trevor Taylor's late Soundworld Books, I'm afraid (the use of ineffective glue again). Two other great books on jazz that I own, are also beautifully and robustly presented, but have remained resolutely intact: Jazz in the 1970s: Diverging Streams by Bill Shoemaker, and Duncan Heining's Trad Dads, Dirty Boppers and Free Fusioneers: British Jazz, 1960-1975.
From what I remember, the Shoemaker and the Heining came in at around £25 and £30 respectively, so the price of decently bound books doesn't have to be either toe-curling or eye-watering (pick your own chosen body-discomfort metaphor!) So I decided to do a small amount of research to find out why the likes of Bloomsbury Press were asking such ridiculous prices, and what their business model might be. (Presumably does it involves selling books to interested parties?)
To Be Continued...
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tagamark · 5 years
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Why You’ll Want to Visit Magashi – Soon
New Post has been published on https://tagasafarisafrica.com/why-youll-want-to-visit-magashi-soon/
Why You’ll Want to Visit Magashi – Soon
Rwanda GM Ingrid Baas updates us on the latest news from Magashi – we have just four months left till the camp opens!
2019 is Magashi’s year, with the first few months of the year focused on finalising work on the camp construction, staff recruitment and staff training, as well as working on our menu and guest experience – this is not including all the finer details involved in our day-to-day proceedings!
We started the year with the most wonderful news… we had suspected that the Amahoro lioness was hiding cubs and this was confirmed when she revealed them to senior guides Hein and Adriaan in early January. Besides lion sightings, we are thrilled to say that Magashi is looking like a leopard haven with many new leopard identities confirmed – our guides even enjoyed a sighting of these three leopards on their evening game drive.
The construction team has returned after a well-deserved Christmas break. With the team back on site, building is moving along swiftly. We cannot wait to see what the camp will look like when all the structures are in place.
In May 2019 we are expecting our first guests… We are very excited to share this beautiful new Wilderness Safaris camp with all our visitors, and indeed, the rest of the world!
Building progress
The construction of Magashi is moving along swiftly and the team is making fantastic progress. This means that the pictures below are already outdated! All six guest tents and the two tents for private guides have been erected, and the wooden floors and headboards are finished. The team is currently busy with bathroom tiling and the installation of basins and showers. The main area deck and the boardwalks connecting all the guest rooms to the main area are almost complete. The main area tent is up and the team is now working on the main area interiors.
Besides the guest recreation areas, the construction team is also working on the staff village and kitchen, as well as the laundry, office and workshop.
All the interiors have arrived on site and are being stored in containers for safe-keeping. It will soon be time to start unpacking the containers and our next role will be placing the furniture and décor items.
Our visitors have all noted how beautiful the site is – with special mentions being made of the trees that surround the tents and main area, the way in which the boardwalks are integrated into the natural surroundings and, of course, the absolutely breathtaking views.
Creating the camp staff team
After going through hundreds of applications and conducting many interviews, a strong team has been established. Many of the team members, like head chef Eric, Aline and Rachel in housekeeping, chef Samuel and barman Elie, have had the opportunity to train at Bisate. This team started working in May 2018, which will mean that by the time Magashi opens, they will already have had a year of experience working with Wilderness Safaris!
Other team members started with us when we opened Bisate in 2017. They are ready for the next step in their Wilderness career and are moving to Magashi.
Anita started in March 2017 as the assistant manager at Bisate, and is ready for her next challenge as manager of Magashi. Innocent, a waiter at Bisate since April 2017, always wanted to work in the bush and would love to be trained as a safari guide. Together we decided that it would be a great opportunity for Innocent to work as a waiter at Magashi, but at the same time learn as much as he possibly can from Adriaan and Hein, our senior guides. David, who worked at Bisate in the security team, has been studying food preparation in his free time. During his annual leave he volunteered for an internship in the Bisate kitchen! Because of his enthusiasm and dedication we believe that he deserves a place in the Magashi kitchen team.
The guiding team is strong with Hein and Adriaan in charge, and trackers Dorence and Trevor. They have been at Magashi since November 2018, exploring the area and very successfully habituating different species of animals. See the wildlife sightings below for proof of their work! Recently we recruited Alphonse as a junior guide to join the team. Alphonse has worked as a community freelance guide for Akagera National Park for the last five years. He grew up just outside the National Park and started his guiding career with African Parks. He is very excited to take his guiding knowledge and experience to the next level, and work full time for Magashi.
Of course I cannot mention all the Magashi staff members in this blog post, but I can promise that all of them are more than ready, and super excited.
Vehicles and boats
The Magashi vehicles are ready and we are very happy with the end result! Rob went to Tanzania several times, where the conversion to open game-drive vehicles was completed. Soon the vehicles will be transported from Tanzania to Rwanda. Once in Rwanda we will brand the vehicles with the Wilderness Safaris logo and thereafter, they will be ready for our guests! The three Toyota Hilux 4x4s are very comfortable and can accommodate seven guests, allowing each guest an outside seat. The vehicles have USB charging facilities, a fridge to keep sundowner drinks nice and cold, blue LED lights on the floor when needed for night drives, and support structures to stabilise lenses, enhancing our guests’ wildlife photography experience.
Magashi’s two eight-seater boats, the swamp cruisers, are also already. The boats come with swivel seats, allowing guests to easily turn to their preferred position. Like the vehicles, the boats have a USB charging facility, and there is even the option to sit on the roof of the boat, allowing for elevated views of the river bank and papyrus.
Sightings – leopard madness
Where to start? Magashi has surprised us all… although we knew that the area was beautiful, and game would be plentiful, we did not expect the daily sightings of herbivores and predators to be this good, or the drives to be this spectacular!
The guides and trackers have identified nine different leopards in the private Magashi area, mostly in the south of the concession very close to Magashi. The Amahoro Pride, consisting of three females, three males and two cubs, seems to prefer venturing into the north.
The guiding team has also created additional game drive loops on the concession, creating access to areas that were previously unexplored.
All the game, including leopards and lions, are getting accustomed to the vehicles, and are very relaxed on sightings. One of the younger males was even spotted sniffing the vehicle and tyres on one of the evening game drives.
We recently took some guests on a few game drives on the concession, and they had good sightings of several leopards, lion, hyaena, elephant, warthog, oribi, Defassa waterbuck, hippo, buffalo, blotched genet, Senegal galago, gerbil, eland, hundreds of impala, topi, plains zebra, giraffe, crocodiles and more.
The birdlife has been amazing too, providing wonderful photo opportunities, especially from the boat on Lake Rwanyakazinga.
Akagera Management Company
Wilderness Safaris is developing Magashi in partnership with the Rwanda Development Board and conservation group African Parks, but which would not have been possible without the support of the Howard G. Buffett Foundation for African Parks.
African Parks is a non-profit conservation organisation that takes on the complete responsibility for the rehabilitation and long-term management of national parks in partnership with governments and local communities.
In 2010, the Rwanda Development Board and African Parks joined to create the Akagera Management Company (AMC). This joint company assumed management of Akagera National Park in 2010, with the aim to restore, develop and manage Akagera National Park as a functioning savannah ecosystem, through biodiversity rehabilitation, sound conservation practices and tourism development. In the past eight years significant steps have been made towards achieving this goal.
Initially the focus for the project was on developing the foundations for effective and efficient management of the park. Investments and improvements were made on infrastructural developments, including a fully functioning workshop and storage facility, new and renovated offices, vehicles and machinery, a law enforcement block, staff housing and renovations to all existing facilities.
Law enforcement and the protection of the park was a priority from the beginning. New rangers were employed, with the total number of law enforcement staff now at over 80. The changes among the law enforcement team has, and continues to, yield positive results. 2014 was a major turning point, with a dramatic reduction across all illegal activities and continued increase in patrols. The law enforcement team has been working with a canine unit and the latest technology and software since 2015.
The communities surrounding Akagera are vital to the success of the park, and they experience tangible benefits from the park’s existence. Local employment is one of the major direct benefits, with over 250 people employed by the park full time. Akagera also contributes to the national revenue sharing scheme, and on-going community sensitisation programmes are conducted. Alongside this, environmental education among local schools is seen as vital in creating support from the local community and ensuring the long-term survival of the park.
Lion have been extinct in Akagera for almost 15 years, and their return in June 2015 was a conservation milestone celebrated far and wide. Before their reintroduction, the last rhino sighting in Akagera was in 2007. Ten years later, in May 2017, Eastern black rhinos were translocated to the park.
Akagera is well on its way to becoming self-sustaining, and a valuable contributor to the tourism industry and the economy of Rwanda as a premier tourism destination and conservation success story.
We believe that Magashi will contribute to this success and we are privileged to have the opportunity to use our model of responsible ecotourism to further conservation and community empowerment in Akagera National Park.
Post courtesy of Wilderness Safaris
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