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#Tania Font
zegalba · 8 months
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Tania Font: Deconstrucció (2021)
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victusinveritas · 8 months
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Head in ruins, Tania Font
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k-i-l-l-e-r-b-e-e-6-9 · 9 months
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𝔗𝔞𝔫𝔦𝔞 𝔉𝔬𝔫𝔱
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Tania Font: Exúvia I.
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halfabird · 5 days
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Tania Font, Deconstructa III, 2022
ciment, fer, résine, papier, bois
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nevver · 9 months
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Head in ruins, Tania Font (because)
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unsubconscious · 9 months
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Tania Font, "Deconstructa III" Reinforced concrete, wood, ceramics, wallpaper and patinas
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regicidal-optimism · 6 months
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the handgun is no longer sexy || a las nevadas quackbur web weave
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grunisment · 9 months
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Obra – Tania Font
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aburninghill · 5 months
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The body, the haunted house.
Those Times by Anne Sexton // Dream House by Shanice Bloodbloom // Walking House by Laurie Simmons // Ash by Tracy K. Smith // One need not be a chamber by Emily Dickinson // Deconstructa III by Tania Font // Housewife by Anne Sexton // Femme Maison by Louise Bourgeois // The Haunting of Hill House by Mike Flanagan // My House by Loren Siems // The Architecture of Deconstruction by Mark Wigley // Anatomy by Kitty Horrorshow
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rozieramati · 27 days
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Tania Font: Deconstrucció (2021)
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zegalba · 8 months
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Tania Font: Deconstrucció V (2020)
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curaheehee · 4 months
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I need MOOTS😭😭
Hii, my name is Laura or Tania (tatiana) i adore history (especially the world wars, art history, communist history etc.), art (I make my own ocs depending on the topic!), vintage stuff (mostly from the 20s to the 80s), filmography, books, music(!!!!), acting (ive been doing it since i was 6), sports (football, f1, motogp, hockey etc.) And more!!
Obviously my main thing on here is war history, due do the hbo war Fandom!!
Soooooooooo
(I'm just having fun with the fonts ignore this)
If you need moots/or like any of these things.....
Become my moot!!!!
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k-i-l-l-e-r-b-e-e-6-9 · 9 months
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𝔗𝔞𝔫𝔦𝔞 𝔉𝔬𝔫𝔱
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mmepastel · 4 months
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Rholala ! Premier énorme coup de cœur cette année !
C’est ma libraire préférée qui me l’a déniché… elle commence à me connaître… elle m’a tendu ce livre qu’elle n’avait pas encore mis en rayon avec un air entendu…
BINGO ! En effet, c’est une belle pioche.
Tout d’abord, qu’est ce que j’ai ri ! L’autrice suédoise a un humour assez décapant, et un langage fleuri.
Faire connaissance avec ces sept sœurs finlandaises crasseuses et mal éduquées c’est comme une collision brutale et frontale. On les découvre à la foire, rare lieu où elles daignent frayer avec leurs semblables (quoique… elles semblent en effet faites d’un autre bois), dégoûtantes, provocantes, grossières, analphabètes et gouailleuses ; elles vendent framboises sauvages, peaux de bêtes -d���ours notamment. Bien obligées si elles veulent acheter bière, gnôle, cigarettes et essence pour le quad, saucisses et chips.
Johanna, Tania, Tiina, Simone, Aune, Laura et Elga ont toutes un caractère bien distinct, même si elles font corps pour survivre depuis qu’elles sont orphelines. L’ainée, Johanna, voue un culte à son père décédé, célèbre chasseur d’ours, et applique ses règles : se méfier de la société des humains et particulièrement des hommes, du pasteur, des assistantes sociales, de l’école, des huissiers. Elles sont hors registres, complètement sauvages dans la forêt, en autarcie. Et elles vont fuir encore plus loin, pour être sûres de ne pas risquer d’être embêtées, pour vivre à leur façon, la seule qu’elles connaissent à vrai dire. Elles rotent, pètent, pissent debout, se bagarrent sans cesse, jurent comme des charretiers.
L’entente entre elles, une force, une nécessité mais aussi une limite, se complexifie lorsqu’elles s’isolent complètement dans un endroit reculé de la forêt, et qu’elles font face à la faim et au froid. La rudesse de l’aînée, son radicalisme, empêchent certaines des plus sensibles de s’épanouir, comme par exemple Elga qui rêve de lire et d’exploiter ses fraîches connaissances en la matière, ou Laura qui n’aime rien tant que de sculpter des petits figurines malgré ses yeux de myope.
On lit ce livre avec le nez, et les odeurs ne sont pas toujours ragoûtantes. Ça ne sent pas que le sapin ou l’écorce de bouleau. Ce ne sont pas des grandes fans de savon, ni de ménage, et les peaux d’ours écorchés corsent l’affaire. On suit leur cheminement avec passion tant l’immersion est totale dans cet univers brut et sauvage, en s’émerveillant des reparties salées qu’elles se servent mutuellement, avant de se cogner jusqu’à faire valser des dents. Mais cheminement, il y a. Je n’en dis pas plus car le roman, inspiré d’un conte finlandais racontant les aventures de sept frères, est turbulent et haletant de bout en bout. Vont-elles survivre dans le froid ? Comment vont-elles échapper à la ville qui semble être le seul salut possible ? Ne vont-elles pas s’entretuer ou sombrer dans la folie ?
J’ai adoré cette histoire et le ton. Ces sœurs sont de vraies dures à cuire, des âmes bouillonnantes qui font jaser toute la région. Leur évolution est habilement menée, et leur amour de la forêt et de la liberté ne se trahit pas. On assiste à l’éclosion de leurs natures profondes. Il s’en est fallu d’un cheveu pour qu’elles y parviennent seules. Un conte féministe oui, assurément, avec de vraies héroïnes fortes et courageuses, un récit au verbe haut, débordant de vie et culotté. De la dynamite.
Je suis un peu dépitée de l’avoir si goulûment dévoré, aussi goulûment que Tiina aurait bu sa flasque de whisky, je ne crois pas que ce type de livre coure les rues. J’espère que d’autres romans d’Anneli Jordahl seront traduits, je suis addict de son écriture rigolarde et irrévérencieuse.
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fontriver · 11 months
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Tania Sarah font designed by Vztype Studio
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