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#Incorrigibles Gamins
berenixium · 2 years
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Space Dimension - Incorrigibles Gamins
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consilio-cameos · 1 year
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I was rewatching The Old Guard (again), I was curious how the french dubbing sounds like and I was really surprise they change some of the line of the van speech scene (just some minor change and I already checked they are different from the translated comics too) (also the malta scene is aa!!)
I put the french version and the litteral translation:
"Tu es puéril. Un vrai gamin. (You are childish. A real kid.)
Tu te moques sans rien savoir. (You're mocking us without knowing anything)
Non, ce n'est pas mon petit copain. Il représente plus pour moi que tout ce que tu peux imaginer. Il est la lune quand je suis perdu dans l'obscurité et la chaleur quand je tremble dans le froid et ses baisers me donnent des frissons même après un millénaire. Son cœur déborde de bonté et de gentillesse que ce monde ne mérite pas. (No, he's not my boyfriend. He means more to me than anything you can imagine. He is the moon when I'm lost in darkness and warmth when I shiver in cold and his kisses thrills me even after a millennial. His heart overflows with goodness and kindness that this world does not deserve.)
Oui, j'aime démesurément cet homme et surtout ne me dis pas que c'est mon petit copain. Pour moi, il est tout est plus encore. (Yes, I love this man immeasurably and above all do not tell me that he is my boyfriend. For me, he is everything and more.) "
"Mon incorrigible romantique. (MY incorrigible romantic.)" (I was screaming at this part aa)
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cellobis · 1 year
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Je suis définitivement incorrigible
J’aime trop les garcons
cette fin d’aprem je me fais accoster dans la rue rentrant à Cayenne
par un ado en manque de tout, de fric,
ade bouffe, et du reste
prêt à sucer pour que dalle
qu’est-ce qu’on f’rait pas qd on a la dalle
je l’ai invité au restau déguster un poisson sauce maracuja, sauce créole,
il s’est léché les doigts, il était beau
je l’ai engueulé pour qu’il garde sa fierté et ne donne son cul à personne
que seul le travail le sortira de la rue
on a bu deux «  jeune gueule », bière d’ici
c’était trop facile pour moi d’expliquer
que j’ai travaillé jusqu’à 128 h dans une semaine, presque à en crever
pour pouvoir faire ça
pouvoir faire mon taf de bourge
pour jouer au prince
dont le cœur pour des gamins pince
qui gagne des tunes
qui vaut pas une fortune
et puis je l’ai laissé là
tout seul dans la rue, là
avec ses yeux
pour toujours dans mes yeux.
Putain de vie de merde:
j’ai pas eu les couilles de le prendre avec moi
c’est pourtant simple croyez-moi
de retraverser l’ocean
l’amener dans ma famille
qui pour un rien s’émoustille
je replonge dans le néant
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« Une dernière nuit près de toi. Des bougies, un peu de whisky, ta main si fine et féminine qui sert la mienne jusqu’au p’tit jour du dernier jour. Ton regard enfantin qui désarme un peu plus le gamin que j’redeviens. Au-dessus de ton lit, un bordel de photos, de Jean-Loup Dabadie à Gisèle Halimi, de Desproges à Camus en passant par Guitry. Ça ne votait pas pareil, ça ne priait pas les mêmes fantômes, mais vous marchiez groupés dans le sens de l’humour et de l’amour. Au bout de tes jambes qui ne marchent plus, tes chats – sereins, comme des gardiens. Sur la table de nuit, un fond de verre de Coca, ultime lien entre ce monde et toi, quelques gorgées de force qui te permettent, du fin fond de ta faiblesse, de nous lancer des gestes d’une élégance et d’une tendresse insolentes. Fâché de ne plus pouvoir parler, tu envoies des baisers muets à ta femme adorée, à ta fille bien aimée, à la fenêtre sur l’Île Saint Louis, au soleil que tu fuis. Des gestes silencieux qui font un boucan merveilleux dans nos yeux malheureux. Tu auras mélangé les vacheries et l’amour jusqu’au baisser de rideau. Les « foutez l’camp » et les « je t’aime ». Caresses et gifles, jusqu’au bout. Incorrigible Cabotin, tu avais bien prévu ton coup : dans ton dernier morceau d’ mémoire, tu avais mis des « vous êtes beaux, je suis heureux, j’ai de la chance. C’est ta mère, là, devant moi ? C’est ma femme ? Oh Tant mieux ! ». On va t’emmener, maintenant, dans ton costume de scène. Celui des sketches et des revues de presse, des télés et des radios, celui qui arpenta la France, en long en large et en travers de la gorge de certains maires. J’ai dénoué ta cravate noire. On va t’emmener où tu voulais, c’est toi qui dictes le programme, c’est toi qui conduis sans permis. D’abord à l’église Saint Germain, tu n’étais pas très pote avec les religions, mais les églises, ça t’emballait. Tu disais « Faudrait qu’on puisse les louer pour des spectacles de music-hall, des projections de films, des concerts de poésies ». Il y aura des athées, plein d’arabes et plein de juifs. Ça aurait consterné ta mère, tu aurais bien aimé que ta mère soit fâchée. Puis on t’envole en Corse, dans ce village qui te rendait un peu ta Méditerranée d’Alger. On va chanter avec Izia et les Tao, du Higelin, du Trenet, du Dabadie et Nougaro. On va t’faire des violons, du mélodrame a capella : faut pas mégoter son chagrin, à la sortie d’un comédien. Faut se lâcher sur les bravos et occuper chaque strapontin. C’est leur magot, c’est ton butin. D’autant que je sens que tu n’es pas loin... Tu n’es pas mort : tu dors enfin. » , hommage de Nicolas Bedos à son père Guy Bedos (1934-2020).
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Le jeune tambour
Je vois ça, estomaqué et alors me reviens ça du fond de ma mémoire d’écolier du temps lointain où l’ école républicaine en sa glorieuse propagande vous apprenait encore, en cours d’instruction civique, la république et c’était toujours mieux que de programmer des gamins à devenir milliardaire, d’autant qu’ils ne le seraient jamais.
Bref, l’histoire du tambour Bara, joseph de son prénom, neuvième enfant d’une famille pauvre, engagé volontaire au 8e de hussards et combattant en Vendée les contre révolutionnaires.
L’histoire raconte que près de Cholet le 7 décembre 1793, menant ses deux chevaux à boire, Bara est pris à partie par des chouans, qui le contraignent à crier « Vive le Roi ! ». Il répond : « Vive la République ! » et tombe sous les balles royalistes.
Ainsi naquit le mythe de l’enfant soldat Bara, héros et martyr qui faillit entrer au Panthéon et que la Convention Nationale s’empressa d’ instrumentaliser (on faisait de la comm
et du story telling déjà) le peintre David immortalisant le jeune Joseph avant qu’une reproduction du tableau soit placé dans chaque école primaire.
L’histoire du jeune Bara est sans doute en partie une légende fabriquée, inscrite dans l’imagerie républicaine mais quoi, comme chez John Ford, quand la légende dépasse la réalité, publions la légende.
Et alors nous y voici,
voici qu’une jeune tambour en gilet jaune se fait prendre à parti par la milice française, de celle qui héroïquement tue les grands mères aux fenêtres, gaze les paraplégiques, écrase les lunettes des manifestants, éborgne, matraque, insulte, humilie, avec un zèle tout macroniste, la jeune fille, le retraité, voire le touriste égaré, puis rentre chez elle après une journée harassante, fière du devoir accompli, embrasser ses gosses et regarder les chaînes de l’ORTF de la start up nation.
« délit de roulement de tambour » à n’en pas douter ça doit faire chic sur un procès verbal, avec pour tarif peu syndical, une nuit de garde à vue.
On a les actes de bravoure que l’on peut quand on pense comme un porc.
Cet évènement ici est évidemment moins tragique que le drame de Joseph Bara, l’histoire se répétant comme une tragédie d’abord puis comme une farce selon Marx, mais il est en ce moment des clins d’oeil révolutionnaires, comme ce fameux Drouet, qui nous dit quelque chose de notre incorrigible et admirable penchant pour l’insurrection populaire, tatouée de façon indélébile dans notre mémoire collective.
Et décidément en pleine régression infantile et par association me vient inévitablement cette vieille comptine qu’on loge tous dans un coin de sa tête et qui en redécouvrant les paroles faussement anodines me cause de mésalliance, d’un monde où l’on s’épouse entre soi, dans sa classe, d’un Niel mariant la fille d’Arnault,
de cette caste endogamique, arrogante, cupide, suffisante, qui contrairement à ce qu’elle croit, ne nous fait pas envie.
Roulons tambours, percutons, répercutons…
liberté égalité fraternité
de leur monde pourri on n’en veut pas
le notre est plus modeste et plus joli
tgb

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olivierdemangeon · 7 years
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  Synopsis : Ce sont quatre « frères », deux Blancs et deux Blacks, issus de familles qui les abandonnèrent très tôt à leur sort. Quatre laissés-pour-compte, quatre incorrigibles gamins qui accumulaient les « bêtises ». Evelyn Mercer a été la seule à croire en eux, à les recueillir et à les aimer. Lorsque leur « mère » est abattue par deux braqueurs de supérette, les quatre frères se retrouvent pour un dernier hommage et constatent que le temps ne les a guère changés…
Origine du film : États-Unis Réalisateur : John Singleton Scénaristes : David Elliot, Paul Lovett Acteurs : Mark Wahlberg, Tyrese Gibson, André Benjamin, Garrett Hedlund, Terrence Howard, Josh Charles, Sofía Vergara, Chiwetel Ejiofor, Taraji P. Henson Musique : David Arnold Genre : Action, Drame, Policier, Thriller Durée : 1 heure et 49 minutes Date de sortie : 5 octobre 2005 (France) Année de production : 2005 Sociétés de production : Di Bonaventura Pictures Distribué par : Paramount Pictures Titre original : Four Brothers Notre note :
Notre commentaire : “Four Brothers” ou “Quatre Frères” pour la distribution française, est un thriller d’action datant de 2005, réalisé par John Singleton, à qui l’on doit également “Identité Secrète” (2011). Les acteurs principaux sont Mark Wahlberg, qu’on a pu voir dans “Deepwater” (2016), Tyrese Gibson, qu’on a pu voir dans “Transformers” (2007), André Benjamin, qu’on a pu voir dans “Revolver” (2005), Garrett Hedlund, qu’on a pu voir dans “Mojave” (2015), Terrence Howard, qu’on a pu voir dans “Iron Man” (2008), Taraji P. Henson, qu’on a pu voir dans “En Cavale” (2016) et Chiwetel Ejiofor, qu’on a pu voir dans “Les Fils de l’Homme” (2006). 
Le film a été tourné à Detroit dans le Michigan, au Regent Park dans l’East End de Toronto dans l’Ontario ainsi qu’à Hamilton dans l’Ontario. L’intrigue du métrage est vaguement basée sur le western “The Sons of Katie Elder” (1965), de Henry Hathaway, avec, entres autres, John Wayne et Dean Martin.
Ethan Hawke, Matt Damon et Ben Affleck ont tous refusé le personnage de Bobby. Le rôle est finalement allé à Mark Wahlberg. Ethan Hawke aimait le script, mais ne pouvait pas s’y engager en raison des conflits de planning. Matt Damon et Ben Affleck ont tous les deux dit non parce qu’ils trouvaient que le scénario était trop violent. Presque toutes les répliques de Mark Wahlberg étaient improvisées. Garrett Hedlund a eu des difficultés à improviser son texte, donc John Singleton et Mark Wahlberg l’ont aidé pour qu’il puisse être le plus à l’aise possible.
L’histoire proposée est axée sur le sempiternel thème de la vengeance. Quatre “frères” se retrouvent alors que leur mère adoptive vient d’être assassinée dans ce qui semble être un braquage qui aurait mal tourné. En “enquêtant” sur cette tragédie, les quatre frangins vont se rendre compte qu’il s’agissait d’un meurtre commandité. Ils vont donc faire équipe ensemble pour venger la mort de leur mère dans un bain de sang sans pitié. 
L’intrigue est relativement convenue, mais on peut avouer que c’est bien construit quand même. Le rythme est plutôt correct, et même légèrement au-dessus de la moyenne pour ce type de film d’action. Les scènes d’action sont correctes, cohérentes sans trop d’exagération, hormis l’aspect violence gratuite, dans le sens où les différents protagonistes ne font preuve d’aucune forme de pitié, se limitant à exécuter purement et simplement leurs adversaires. 
L’un des points positifs de “Quatre Frères” réside dans sa bande originale. En effet, la musique qui accompagne la majorité des scènes est particulièrement dynamique dans un style funky et hip-hop dont Kanye West, faisant également la part belle à des classiques comme Marvin Gaye ou encore The Temptations en passant par The Jackson Five. La photographie met en lumière la pauvreté de la ville de Detroit, avec ses quartiers entiers en ruine, et abandonnés. 
Du casting, on retiendra essentiellement les prestations de deux acteurs. D’un côté, le principal protagoniste, Mark Walberg qui endosse en quelque sorte l’habit de chef de clan. L’acteur offre un personnage rude et déterminé, fortement affecté par le décès de sa mère adoptive, qui cache partiellement ses émotions à son entourage au nom d’un pseudo-machisme. De l’autre côté, on retrouve le principal antagoniste, Chiwetel Ejiofor, qu’on retrouve surtout dans la seconde partie du film. L’acteur nous délivre un personnage à la limite du psychopathe, qui n’affiche aucun respect, ni pour ses supposés adversaires, ni pour ses propres hommes, et encore moins pour les femmes qu’il est amené à côtoyer. Le salopard dans toute sa splendeur. Quand, en tant que spectateur, on éprouve autant d’aversion pour un personnage, c’est que l’acteur livre une excellente prestation. 
“Quatre Frères” a fait l’objet d’une édition en DVD ainsi qu’en Blu-ray, paru le 6 avril 2006 chez Universal Pictures Vidéo (France). Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à consulter la fiche du film sur le site DVD.Fr.
En conclusion, “Quatre Frères” est un très bon thriller policier disposant d’une histoire faisant appel à un thème usuel, qui n’est autre que la vengeance. Le rythme est correct et l’intrigue est sympathique bien que familier, tout en faisant un usage assez rude de la violence. La distribution est agréable tout en étant dominé par Mark Wahlberg et Chiwetel Ejiofor. La photographie laisse une nouvelle fois un goût de tristesse de ces banlieues de grandes villes américaines au bord de la faillite, pauvres et sinistres. L’ensemble reste divertissant, mais n’est absolument pas articulé pour remonter le moral. 
  Bande-annonce :
QUATRE FRÈRES (2005) ★★★★☆ Synopsis : Ce sont quatre « frères », deux Blancs et deux Blacks, issus de familles qui les abandonnèrent très tôt à leur sort.
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culturer-ta-musique · 10 years
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Elephant’s trip
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berenixium · 8 years
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Space Dimension - Incorrigibles Gamins
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berenixium · 8 years
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Space Dimension - Incorrigibles Gamins
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culturer-ta-musique · 11 years
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It's not new but i'm sharing this with you! Hope you're enjoy this Ep! 
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