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#Claude Allione
seriouslunapark · 1 year
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la voyante de Stiring
Je suis donc allée voir la voyante de Stiring aujourd’hui, Rafaella.  Aspect tout pouilleux, pas trop de dents, crocs et chaussettes, mais bon vocabulaire et semble cultivée... Elle avait prédit la mort de Claude à maman, donc me suis dit qu’elle était plutôt douée. 
En gros, moi elle m’a pas impressionnée du tout. Elle m’a prédit qu’un certain Arthur allait m’être présenté par une personne de confiance, que ce serait mon grand amour, et que nous allions avoir un enfant - elle a bien précisé, pas une adoption, pas l’enfant d’Arthur, mon enfant à moi procréé par moi-même. Je lui ai dit que j’avais été opérée, et bam, ça l’a pas démontée, elle m’a parlé de FIV, ... en gros, elle a parlé de ça toutes les cinq minutes, apparemment ça revenait tout le temps. Arthur, entre 34 et 40 ans, travaillant dans la finance, quelqu’un de stable, qui écoute quand on parle, chez qui les choses ne tombent pas dans l’oreille d’un sourd... c’est le bon moment pour moi pour le rencontrer, ni lui ni moi n’étions prêts à une rencontre si elle s’était faite il y a quelques temps, mais maintenant, le temps est venu... bon. 
M’a aussi parlé d’une “grand-mère maléfique” qui s’avérait être Monique, qu’elle avait jamais aimé ma mère (ce qui est vrai) et qu’elle avait en quelque sorte jeté un sort sur la partie “maman” de la famille, d’où le rejet, ... mais que maintenant qu’elle était décédée et que Claude aussi, le mauvais sort était levé, et tout va mieux pour l’unité familiale. 
M’a dit que j’avais construit une base familiale forte maintenant que je m’étais réconciliée avec mon frère et mon père, et que le karma était meilleur. Que je ne me suis pas laissée atteindre dans mon coeur et dans mon âme par les mauvaises choses passées, et que c’était rare ça, et que j’étais une bonne personne maintenant, et que y’a que du bien qui m’arriverait... mais que j’avais d’abord quelque chose à faire : dire merci, et me pardonner à moi-même. M’a conseillée d’aller dans une église dire merci et me faire plaisir à moi-même (avec une énergétiseuse ou un massage) pour me pardonner à moi-même. Bon. 
M’a dit que c’est parce que j’étais bloquée dans une mauvaise situation avec mon père que je me suis enterrée dans une relation toxique avec mon ex, je répétais en quelque sorte une mauvaise situation. M’a dit que mon ex risquait de revenir dire coucou, mais que je ne devais pas répondre. M’a dit qu’il était peut-être même en prison maintenant, elle voit des ennuis pour lui apparemment.  M’a dit aussi que mon père était très heureux que la situation aille mieux entre lui et moi, même peut-être mieux que ce qu’il pensait. 
M’a dit que maman risquait de rencontrer quelqu’un aussi, peut-être un enseignant... j’ai dit ça risque pas, elle est vaccinée... donc elle a dit, peut-être un directeur, un prof de philo, ... 
En gros, aucune révélation fracassante et elle l’a admis elle-même : surtout une histoire de karma qui a changé, comme quoi je me suis débloquée d’une situation mauvaise et que maintenant tout va aller mieux. 
Lui ai dit le prénom “Alexandre” sans rien préciser dans un premier temps. M’a dit que ce n’était pas mon homme de coeur. Que c’était un ami fidèle. Qu’il allait réussir dans la vie, qu’il était un conquérant. Mais qu’il ne devait pas retourner en Russie en septembre, elle le sent pas... 
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bouxmounir · 2 years
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cette idylle secrète de son ex-femme Peggy avec une femme très célèbre…
cette idylle secrète de son ex-femme Peggy avec une femme très célèbre…
Une histoire d’amour entre Claude Brasseur et Peggy Roche Le 27 mars 1961, la comédien épouse Peggy Roche, une mannequin et journaliste de mode. En 1984, c’est ainsi qu’elle parlait de son idylle avec l’acteur vu notamment dans la franchise Camping, et qui nous a quitté en 2020 : « Nous sortons beaucoup, nous allions partout, peut-être avec une préférence pour Castel et le New Jimmy’s. C’était un…
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iannozzigiuseppe · 5 years
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La cura della persona con disabilità intellettiva – a cura della RNDI – Rete Nazionale Disabilità Intellettiva – Galaad Edizioni La cura della persona con disabilità intellettiva a cura della RNDI - Rete Nazionale Disabilità Intellettiva…
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VENDREDI 12 AVRIL 2019 (Billet 2 / 4)
« ANNA »
Découvrez les toutes premières images du film « Anna », nouvelle réalisation de Luc Besson avec Helen Mirren et Luke Evans.
Un premier teaser pour le film « Anna », nouvelle réalisation de Luc Besson, vient d’être révélé par Pathé Films. Après « Valérian et la Cité des Mille Planètes » (que JM n’avait pas aimé – NDLR du Blog), Luc Besson revient avec une production moins énorme, mais avec un casting de choix pour son nouveau film.
Cette bande-annonce est assez vague et ne dévoile pas grand chose de l’histoire mais c’est assez intrigant. C’est un thriller d’action aux couleurs russes avec un personnage féminin aux multiples visages et une Helen Mirren presque méconnaissable.
Le synopsis se lit ainsi : Les Matriochka sont des poupées russes qui s’emboîtent les unes dans les autres. Chaque poupée en cache une autre. Anna est une jolie femme de 24 ans, mais qui est-elle vraiment et combien de femmes se cachent en elle ?
Est-ce une simple vendeuse de poupées sur le marché de Moscou ? Un top model qui défile à Paris ? Une tueuse qui ensanglante Milan ? Un flic corrompu ? Un agent double ? Ou tout simplement une redoutable joueuse d’échecs ? Il faudra attendre la fin de la partie pour savoir qui est vraiment ANNA et qui est “échec et mat”.
Au casting du film, on trouve Helen Mirren, Luke Evans, Cillian Murphy et l’actrice encore peu connue, Sasha Luss, qui détient le rôle-titre.
Ecrit et réalisé par Luc Besson, Anna sort le 10 juillet prochain au cinéma
(Source : « braindamaged.fr »)
____________________________
Il se trouve que Claude Besson, le père de Luc, a été un de nos patrons au Club Med (notre préféré à tous les deux) et nous avons ainsi pu assister, d’assez près, aux débuts de la carrière de metteur en scène de son fils, avec le « Dernier combat » (1983) - son premier film en Noir et Blanc, puis « Subway » (1985) – nous étions invités à la Première sur les Champs Elysées, « Le Grand Bleu » (1988) et « Nikita » (1990)… pour ne citer que ses premiers films.
Du coup, nous sommes restés assez attentifs à ce qu’il produisait et nous avons vu presque tous ses films (que n’avons bien sûr pas tous appréciés mais dont aucun ne nous a laissés indifférents).
Le « teaser » de « Anna » nous a mis l’eau à la bouche (vu le contexte du film, plutôt : « la Vodka à la bouche… ») et il y a de fortes chances que nous allions le voir le 10 juillet prochain.
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eric-sauvat · 3 years
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Garenne
Lavoûte-Chilhac, Mardi 25 mai 2021
Garenne
Lieu boisé ou sablonneux où vivent les lapins à l'état sauvage.Autrefois, réserve de gibier d'un seigneur. Ces droits de pigeonnier et de garenne, qui, de nos jours, même abolis, ont laissé un ferment de haine au cœur des paysans. La chasse,c'est l'antique prérogative féodale qui autorisait le seigneur à chasser partout, et qui faisait punir de mort le vilain ayant l'audace de chasser chez lui... Zola, Terre, 1887
Trop de gibier abattu nuit à la reproduction, aussi faut-il savoir réguler la chasse dans une garenne.
J’ai eu à me préoccuper de cette charge lorsqu’en fin d’études à Paris, j’emmenais à la chasse mes copains à la garenne de Janville.
Nous y allions dés l’ouverture, Faustin, Jean-Claude, Jean-Pierre et nos copines devant lesquelles chacun de nous voulait se montrer brillant pour tirer un ultime coup de nuit.
Quand j’y pense, Papy m’a offert une adolescence luxueuse avec de telles opportunités, peu de mes amis pouvaient se targuer d’emmener leurs copains en garenne.
Aussi tentais-je d’assurer mes fonctions avec responsabilité, intransigeant vis-à-vis de la moindre faute commise dans le feu de l’action lors de coups de feu intempestifs lorsque j’avais crié « Laissez passer ! »
Cela me valait de me faire chahuter en fin de partie, mais gentiment et sans acrimonie, c’était moi qui détenais les clefs de la garenne.
Tout pouvoir donne de l’importance, et il n’est pas bon pour autant de prendre la grosse tête, aussi freinais-je mes pulsions pour maintenir entre nous la bonhomie nécessaire aux liens entre copains qui survivent et persistent même après leur mort pour Faustin et Jean-Claude qui m’attendent…
Là où sans hâte j’irai les retrouver.
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photoklatsch · 4 years
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Dans l’oeil du Alain
Le Claude
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En 2002 après les Marches Européenne de 1997, les doux rêveurs ont remis leurs godasses et sont partis à Séville dans le cadre du contre sommet européen qui s'y tenait.
Le voyage commença donc devant le château Giscard à coté de Clermont Ferrand, car c'est ce brave homme qui avait rédigé le programme du sommet de Séville.
Il y aura donc 2 pays, 2 pratiques d'actions à mettre en commun.
Des manifs et occupations en France et une caravane en bagnole avec rassemblement les soirs dans les villes étapes.
Pour cette photo, nous allions de Millau à Montpellier et avions décidé de faire une étape symbolique avec les paysans du Larzac à la ferme de La Blaquière haut lieu de luttes des années 70.
Nous avions garé les bagnoles un peu avant la ferme, afin de pouvoir y aller à pieds, en ballade pour profiter de ce paysage superbe.
Avec nous dans l'équipe, il y avait « Le Claude » un copain d'AC !, plus ou moins SDF, un de ces mecs que la société exclu complètement de par ses exigences d'efficacité et normes modernes.
Il avait passé sa vie à travailler sur les marchés à décharger les camions et autres travaux non spécialisés, nécessaires mais inutiles dans ce monde actuel. Une concience de classe très aïgue, de travailleur.
Il aimait tenir les banderoles et drapeaux, et on l'a souvent vu sur les photo dans les journaux ou à la télé.
Là dans ce décors incroyable, il prit un drapeau AC ! Et parti comme à la conquête de ces moulins-pitons rocheux, tel Don Quichote de la Mancha.
La troupe suivait tranquillement derrière, je dû cavaler pour le cadrer comme je voulais. J'aime ce symbole un peu fou et super esthétique.
D'après des nouvelles de copains, il y a quelques années, il vît tranquillement sa retraite dans un établissement en région parisienne.
Alain DODELER
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alexesworld · 3 years
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Ceux qui partent et ceux qui restent
Chapitre 5: Le projet d’inclusion historique
Je n’ai reparlé à Benjamin Hervieux qu’un mois plus tard. Il avait neigé la semaine d’avant et le mur contre lequel était accoté mon bureau était aussi froid qu’un glaçon. À la fin de son cours – le dernier de la journée – monsieur Drouin nous a parlé du projet de fin d’étape : le projet d’inclusion historique. En équipe de deux, nous allions devoir choisir une période historique, la décrire et trouver les impacts sur notre société actuelle.
- À votre grande déception, j’en suis sûr, c’est moi qui formerai les équipes.
Personnellement, j’étais heureuse. À entendre les autres soupirer, je devais être la seule, mais comme je n’avais aucun ami dans mon cours d’histoire, monsieur Drouin m’évitait un moment humiliant. Il s’est positionné devant les deux premières rangées, la mienne et celle de Benjamin, et a claqué ses mains ensemble.
- Première rangée, regardez à gauche. Deuxième rangée, regardez à droite. Voici votre partenaire. Dites-vous bonjour.
Et il s’est éloigné vers les rangées trois et quatre pour recommencer le processus. Je regardais Benjamin qui, pour une raison qui m’échappait, persistait à venir à l’école en bermuda malgré le vent glacial qui pénétrait dans l’école. Même moi, j’aurais aimé pouvoir troquer mes collants contre une paire de pantalons. Je le regardais et il m’a souri exposant sa dent. Sa main droite s’est levée pour me saluer.
- Salut.
- Salut, je suis content d’être avec toi. On va faire une belle équipe.
Il avait raison. On allait faire une bonne équipe.
Pendant les trois semaines qui ont suivi, celles avant le congé des fêtes, je passais tous mes moments libres avec Benjamin. Assis au fond de la cafétéria avec des chocolats chauds sur l’heure du midi, debout autour de nos bureaux qu’on avait collés pendant le cours d’histoire pour faire nos pancartes et choisir nos photos, dehors près du débarcadère des autobus alors qu’il attendait mon transfert jusqu’à Joliette près de moi en me parlant de ce qu’il avait lu sur tel ou tel sujet qu’il disait « obligatoire à inclure dans notre présentation. » Pendant trois semaines, j’ai appris à connaître Benjamin Hervieux, son amour du soccer qui l’avait amené au collège, la façon qu’il avait de regarder vers le ciel quand il expliquait quelque chose ou essayait de formuler une phrase, le fait qu’il gardait toujours une barre tendre au chocolat dans son casier au cas où il y aurait une tempête et qu’il serait coincé à l’école, sa passion pour Star Wars et pour Le seigneur des Anneaux. Il me parlait de ses deux sœurs qui lui avaient montré comment faire des tresses et comment parler aux filles, de son père pédiatre qui adorait faire des blagues et de sa mère qui faisait tout elle-même, du pain jusqu’au savon pour la vaisselle. Je lui ai parlé de ma mère, de Camille, de mon père absent depuis mes six ans. Il a été le deuxième, après Camille, qui ne me connaissait pas à l’époque à connaître l’histoire de son départ et à comprendre pourquoi je suis incapable de manger une sandwich aux œufs depuis.
Après Sabine, Benjamin était mon meilleur ami au collège et après Camille, mon meilleur ami tout court. Il apportait toujours des bonbons quand on allait avoir du temps pour travailler sur notre projet pendant le cours d’histoire et même après, « juste parce que ça lui tentait. » Je me suis rapidement habituée à sa dent surélevée et à l’odeur de bas qui le suivait après une pratique de soccer ou un cours d’éducation physique. J’avais trouvé un ami qui m’avait fourni une place dans un milieu qui m’était solitaire jusqu’alors.
- Pourquoi tu as été transférée au collège? Je sais pas pourquoi je te l’ai jamais demandé.
Notre présentation avait lieu le lendemain à la première période. On avait presque fini, il ne nous restait plus qu’à nous pratiquer. Je connaissais ma partie par cœur, évidemment, mais Benjamin était plus du style à connaître les grandes lignes et improviser ce qui me frustrait au plus haut point.
C’était la troisième fois qu’il venait chez moi donc qu’on prenait l’autobus jusqu’à Thérèse-Martin, qu’il voyait Camille qui prenait l’autobus voisin du mien et qu’il embarquait dans mon autobus, celui que je prenais depuis mon transfert en deuxième année. C’était la troisième fois qu’il faisait quarante-cinq minutes d’autobus alors qu’aller chez lui en prenait vingt. C’était la troisième fois qu’il entrait dans ma maison, mais la première fois qu’il venait dans ma chambre. Ma mère avait invité son amie Claude et, comme à leur habitude, le vin les avait rendues bruyantes et ricaneuses. Surtout qu’elles avaient quelque chose à fêter, ma mère venait tout juste d’acheter la garderie où elle travaillait depuis mes un an. L’ancienne propriétaire avait toujours beaucoup aimé ma mère et son histoire alors, avant de prendre sa retraite, elle lui avait vendu moins cher que sa valeur normale. J’avais donc entraîné Benjamin, nos trois pancartes et notre PowerPoint jusqu’au deuxième étage. Le voir dans ce nouvel environnement avait changé quelque chose chez moi. Il était simplement assis sur ma chaise de bureau, à tourner sur lui-même en lançant dans les airs une balle qu’il avait trouvée sur le terrain de l’école ce matin-là avant de la rattraper. Il touchait à mes crayons, à mon ordinateur. Il avait frôlé les affiches sur le mur derrière mon lit du bout des doigts et s’était accoudé sur les barreaux de mon lit. Il était là et je ne savais pas si j’allais pouvoir effacer sa présence une fois que sa mère serait venue le chercher dans leur mini fourgonnette marine.
- J’ai gagné génie en herbe en secondaire deux et ils m’ont offert une bourse. J’aurais aimé rester à Thérèse-Martin, mais c’était trop une belle opportunité.
- Mais comment ils ont fait pour te trouver? C’est rare qu’ils recrutent dans des écoles secondaires, c’est plus au primaire d’habitude.
Il était rempli d’une logique et d’une perspicacité à un âge où tout le monde se contente de prendre ce qu’on leur dit pour la vérité sans chercher à voir plus loin. C’était rafraîchissant.
- J’ai une note à mon dossier : intelligence supérieure, voir direction pour plus d’informations.
Benjamin l’a pris comme une blague et je n’avais pas envie de lui expliquer. Pas maintenant. Peut-être plus tard, quand il allait me connaître assez pour ne pas me juger.
- C’est vraiment bizarre.
Sa mère, réglée comme une horloge, est venue le chercher à vingt et une heures précise. Je l’ai regardé monter dans la mini fourgonnette et j’ai suivi la voiture des yeux jusqu’à ce qu’elle disparaisse au bout de la rue. Quand je suis remontée dans ma chambre, après avoir dit bonjour à Claude et pris ma douche, il y avait quelque chose de changé. Tout était à sa place, rien ne manquait et rien ne s’était ajouté, mais l’air était différent. Il était chargé du parfum de bonbon qui trahissait le passage de Benjamin et de l’odeur du shampooing et gel douche trois en un « au parfum masculin d’agrume de verdure et d’ambre » d’Adidas qu’il utilisait lorsqu’il prenait sa douche à l’école. J’avais volé la bouteille dans son sac un midi où il était venu me rejoindre à la cafétéria après une pratique juste pour voir ce qu’il utilisait. Le trois en un m’avait fait frémir, mais il n’en avait pas fait de cas. Dans ma tête, Benjamin Hervieux allait toujours sentir les agrumes masculins, la verdure et l’ambre, peu importe ce que ça sent l’ambre, même après qu’il ait cessé de l’utiliser.
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universallyladybear · 5 years
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journaljunkpage · 5 years
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À TABLE AVEC ALAIN JUPPÉ
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Joël Raffier / Déjeuner lors de Bordeaux SO Good 2014 avec les grands chef de la gastronomie bordelaise (Dutournier, Etchebest, Guérard…) ©Thomas Sanson - Mairie de Bordeaux
Une bonne partie du Dictionnaire amoureux de Bordeaux est consacrée à la gastronomie. Était-ce prévu ou est-ce la passion qui a parlé ?
Sans doute la passion. Je me suis laissé aller à ce que j’aime, les plaisirs de la table font partie des grands plaisirs de la vie. Je suis né dans une région et dans un département, où comme partout en France mais peut-être un peu plus encore, la table compte. Je ne suis pas un praticien émérite mais je suis très attaché à la tradition et à la gourmandise.
Quel est votre plus ancien souvenir gustatif ?
Difficile à dire. Il faut remonter à l’enfance. Ah oui, ce n’est peut-être pas la meilleure spécialité de mon terroir, mais je dirais le pastis landais que nous avions au petit déjeuner.
Quel est votre vin préféré ?
Un bordeaux naturellement, mais il y a tellement d’appellations que cela ne dit pas grand-chose. J’ai toujours refusé de donner mes préférences pour ne vexer personne. En plus, c’est très difficile car il y a des pépites partout et pas seulement dans les très grands crus qui sont devenus difficilement abordables. Il y a des milieux de gamme qui sont tout à fait excellents. Peut-être une petite préférence pour le pessac-léognan.
Vous citez Claude Lévi-Strauss dans le dictionnaire…
Très curieusement, il a été professeur au lycée Victor Duruy, à Mont-de-Marsan, où j’ai fait mes études secondaires. Il a écrit sur ce séjour montois de façon plutôt sympathique pour la ville, mais un peu plus sévère pour les élèves qu’il n’a pas trouvés très futés. Il parle d’un repas extraordinaire pris à proximité de Mont-de-Marsan dans un très bon restaurant. Je ne suis pas sûr de moi, c’est une déduction, mais j’ai identifié la ville comme étant Villeneuve-de-Marsan et le restaurant Chez Darroze.
Sont-ce les fonds d’artichauts farcis au foie gras et aux champignons qui vous ont mis sur la voie ?
J’ai encore le souvenir de ces fonds d’artichauts recouverts d’une sauce et qui étaient une des grandes spécialités de Darroze, dont je me délectais lorsque j’étais adolescent. Ce restaurant n’existe plus. Un des fils, Francis, a essayé de reprendre l’affaire avec sa fille Hélène il y a une quinzaine d’années et j’y étais revenu à ce moment-là, mais finalement Hélène a préféré se réorienter vers Paris et Londres. Francis, lui, s’est spécialisé dans l’armagnac où il fait un très beau négoce.
Vous donnez votre recette de la brouillade aux truffes…
C’est très modeste. C’est une des seules choses que je sais faire. Il faut déposer les oeufs entiers la veille dans un récipient fermé avec les truffes. Les battre, les cuire au bain-marie et puis tourner, tourner, pour que cela n’accroche pas. Le point de coagulation est absolument essentiel. Quand c’est prêt, c’est prêt. C’est là que ça me défrise car les gens parlent quand il s’agit de manger alors que les oeufs continuent leur cuisson. Le problème est de trouver de bonnes truffes. Heureusement, j’ai quelques amis périgourdins qui m’approvisionnent.
Quelles sont vos autres recettes ?
J’aime bien faire des omelettes. Je découpe le poulet (rires).
Vous donnez aussi la recette de la lamproie à la bordelaise…
Ce n’est pas ma recette, on me l’a donnée. J’ai un bocal énorme à la maison mais malheureusement ma femme n’est pas fana de lamproie et je ne peux pas la manger tout seul.
Pourquoi écrivez-vous une recette que vous ne pratiquez pas ?
Pour la transmission peut-être. Une de mes grandes préoccupations. Ce patrimoine va-t-il se transmettre ? Parfois on a des doutes, mais, en même temps, on se rend compte que des jeunes gens ont le souci de rester fidèles à ce qui fait aussi notre culture.
Vous racontez que Freud disséquait des lamproies pour en étudier les terminaisons nerveuses. N’est-ce pas effrayant d’avoir le même système nerveux que ces parasites ?
Oui, enfin, en plus développé quand même ! Un jour à Sainte-Terre, au bord de la Dordogne, qui se présente comme la capitale de la lamproie, je suis tombé sur une équipe de chercheurs québécois. Je leur ai demandé ce qu’ils faisaient là et ils m’ont expliqué qu’ils étudiaient le système nerveux de la lamproie, qui n’est pas un poisson mais un vertébré et qui présente quelques caractéristiques proches de celui de l’être humain. Dans un format diminué bien sûr.
Vous parlez de la morue qui semble vous enthousiasmer un peu moins que les fonds d’artichauts…
Ce n’est pas tout à fait vrai. Quand j’étais enfant, le vendredi nous faisions maigre et le plat traditionnel était la morue dessalée avec des pommes de terre, un filet d’huile d’olive, de l’ail et du persil. Non, j’aime bien la morue et le cabillaud, c’est délicieux. Ce qui m’avait amusé c’est l’intronisation dans la confrérie de la morue, vêtu d’un ciré de pêcheur. On m’a donné un grand coup de morue sèche sur l’épaule et ensuite on m’a fait boire un verre d’huile de foie de morue qui m’a rappelé mon enfance. Aujourd’hui, on la donne en pastille. C’est moins désagréable et moins poétique.
Selon vous, quel plat serait emblématique de la cuisine aquitaine ?
La garbure ! La béarnaise mais aussi la landaise. Elle doit être suffisamment dense en haricots, en cou d’oie et en gras. Elle est à point quand la cuillère tient debout. C’est très bon.
Quel est votre plat de Noël ?
Le chapon. J’ai encore une filière dans les Landes où je vais chercher des bêtes énormes. Il faut être nombreux. Mais pour moi, la grande fête, c’est le 15 août. Ma mère s’appelait Marie et elle a appelé tous ses enfants Marie. Mon frère s’appelait Jean-Gabriel-Marie, ma soeur aînée Janine-Marie, ma soeur cadette Marie-Martine et moi je m’appelle Alain-Marie. C’est aussi mon anniversaire. On mangeait des langoustes. Mon beau-frère allait s’approvisionner à Capbreton.
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Déjeuner avec Jacques Chirac à La Tupiña, 2009 - ©Thomas Sanson - Mairie de Bordeaux
Vous les faisiez griller ?
Non, je ne suis pas fana de la langouste et du homard grillés. C’est délicat à cuire et peut vite devenir sec. Je la préfère pochée avec une bonne mayonnaise. Le crustacé le plus extraordinaire reste pour moi la langoustine. À condition qu’elle ne soit pas minuscule comme on en trouve parfois sur le marché. Juste saisie à point, quelques instants, c’est d’une grande finesse.
Vous parler du rite du repas funèbre. En quoi consistait-il ?
Ce n’était pas un repas particulier, mais après la messe et le cimetière on se retrouvait à table. Ma mère possédait des métairies et lorsqu’il y avait un décès à la campagne nous allions aux obsèques qui se terminaient par un repas très arrosé, un peu trop parfois. À Mont-de-Marsan, nous nous retrouvions au restaurant fétiche de la ville, Le Richelieu. C’était un moment de convivialité dans la peine, pour se donner du courage. Un point de passage important.
Avez-vous déjà observé une diète ?
Oui, oui. Pas volontairement. Quand il m’arrive d’avoir une bonne dysenterie, je me mets deux jours à la diète complète et c’est formidable. Cela fait du bien.
Complète ?
Presque complète. Un peu de riz quand même. J’ai résisté jusqu’à présent car ma femme essaie de me convaincre d’aller dans un de ces établissements où on vous affame pendant 8 jours. Je cite toujours l’exemple du chancelier Kohl qui pesait 120 kilos et qui s’abstenait tout les ans de nourriture pendant une semaine. Il paraît que le troisième jour est difficile et qu’après ça va. Le problème est qu’en sortant on compense et on reprend tous les kilos.
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Pendant la foire aux jambons place des Quinconces.
Comme ministre des Affaires étrangères avez-vous constaté que des discussions se dénouaient parfois à table ?
Bien sûr. Lors de négociations internationales un peu difficiles, un bon repas peut aider. Dans nos ambassades, on sert du bon vin. Cela facilite le dialogue et peut permettre de faire avancer des dossiers qui paraissent bloqués dans la salle de négociations.
Quel est votre meilleur souvenir de repas à l’étranger ?
J’ai un souvenir d’un repas très raffiné au Département d’État. Une cuisine d’inspiration européenne très agréable. On dit souvent que les Américains ne savent pas cuisiner, mais ce n’est pas vrai. Les repas officiels en Chine sont un peu décevants. On y sert des quantités de plats ! J’adore pourtant la cuisine chinoise. Au Japon, j’ai adoré les tempuras, ces beignets délicieux, mais avec le poisson cru j’ai un peu plus de mal.
Le pire souvenir ?
Ah ! Je ne citerai pas le pays… C’était en Afrique. On m’a servi des tripes, des boyaux qui surnageaient dans un liquide indéfinissable. J’aime les tripes à la mode de Caen. J’étais invité, j’ai mangé, mais c’était long.
Est-il vrai que votre mère a demandé à Jacques Chirac de vous faire grossir afin d’être plus crédible en politique ?
Oui, c’était comme une saga. Jacques Chirac était habile. Il savait que c’était un des soucis de ma mère. Il lui disait : « Madame Juppé, est-ce que vous ne trouvez pas qu’il est un peu maigre ? » C’est vrai qu’à 30 ans je n’étais pas très rebondi, mais j’ai toujours eu bon appétit. Je faisais beaucoup de sport. Aujourd’hui, je me surveille. Comme j’ai l’occasion de participer à beaucoup de repas avec des vins auxquels il est difficile de résister, le soir, chez moi, je dîne souvent d’un yaourt. Mon médecin m’a dit que je pouvais boire avec modération en passant au moins une journée à l’eau par semaine. J’en suis à deux jours sans vin, parfois trois.
À la table de quel président avez-vous le mieux mangé ?
Mitterrand ! Il était très fine gueule et avait un très bon cuisinier à l’Élysée. Matignon avait aussi un très bon service de bouche. J’ai parfois retrouvé des chefs qui y avaient travaillé, Adamski par exemple qui est passé au Gabriel à Bordeaux.
Est-il vrai qu’une fois vous avez mangé un repas et puis le même repas à l’envers, du dessert au hors-d’oeuvre ?
Je ne me souviens pas. J’ai souvent pris deux repas mais dans le même restaurant je ne vois pas. Qui a dit cela ?
Jean Cadet [un de ses condisciples à l’ENA, ex-ambassadeur de Russie, NDLR]…
Un très bon ami. S’il le dit, ce doit être vrai pourtant je ne me souviens pas.
Quel souvenir avez-vous de votre première ivresse ?
Très précis. Un souvenir moscovite. J’avais 16 ans et nous étions partis avec un de mes copains. Nous avions traversé l’Europe en train. C’était à Noël, il faisait un froid de gueux. À Moscou, accueillis par un des amis de mon copain, nous avons été invités dans un restaurant au bord de la Moskova. Nous avons porté des toasts de vodka. Nous avons bu à la santé du camarade Krouchtchev, à celle du Général de Gaulle, à l’amitié franco-soviétique et, au milieu du repas, je me suis effondré sous la table.
Si vous aviez à choisir de prendre un repas avec Montaigne, Montesquieu ou Mauriac…
Montaigne. C’est le meilleur vivant qui soit. Montesquieu était un grand amateur de vin. Mauriac était un peu austère et je ne suis pas sûr qu’il accordât une grande importance aux plaisirs de la table mais je me trompe peut-être.
Que pensez-vous de la scène gastronomique à Bordeaux ?
Une extraordinaire richesse. Un classement montre que ce serait la ville où l’on mange le mieux en France et où il y a le plus grand nombre de restaurants. Je suis sidéré par le nombre de restaurants qui se créent. Je ne sais pas s’ils fonctionnent tous. Il y a les grands – Gagnaire, Ramsay –, et puis ces petits endroits comme Garopapilles, Miles et d’autres. Les restaurants asiatiques qui font de la cuisine d’influence française comme Akashi rue du Loup aussi. De petits restaurants raffinés qui ne multiplient pas les couverts. Il y aussi les halles en plein renouveau. Les Capucins bien sûr, mais aussi Bacalan et dernièrement la Boca à Paludate. Cela rejoint le besoin de s’approvisionner en produits de proximité. C’est très important pour l’économie agricole locale.
Pourriez-vous commenter la phrase de Rabelais citée dans votre livre : « de la panse vient la danse » ?
Le plaisir de la table est une grande joie pour l’esprit. On ne fait pas de grand repas seul, ou exceptionnellement.
Quel est votre dessert préféré ?
Ah c’est compliqué ! Je vais en donner deux. Une bonne tourtière bien fraîche, bien grasse et moelleuse avec une goutte d’armagnac par-dessus. Ou bien un bon tiramisu aussi, qui n’est pas landais.
Dictionnaire amoureux de Bordeaux, Alain Juppé, Plon.
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utopiedujour · 6 years
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Jorion joue cartes sur table ! le 24 septembre 2018 – Retranscription
Retranscription de Jorion joue cartes sur table ! le 24 septembre 2018. Merci à Cyril Touboulic !
Bonjour. Nous sommes le lundi 24 septembre 2018.
En 1966, le grand auteur de science-fiction Philip K. Dick a publié un roman qui s’appelait We Can Remember It for You Wholesale – Nous pouvons nous en souvenir pour vous à des prix de gros. Ça a donné lieu à un film par Paul Verhoeven qui s’appelait Total Recall – Rappel complet – faisant allusion à ces opérations qui sont faites, par exemple, par des firmes de voitures, parce qu’on a découvert que dans l’airbag, dans le grand coussin qui doit nous protéger contre la mort, il y a un grand trou, ou bien que le système de frein ne marche plus du tout, on rappelle l’ensemble des voitures et on essaie de réparer ça.
Et dans cette histoire, dans ce film – vous vous souvenez peut-être – le héros se promène dans la rue, et découvre tout à coup qu’il y a une firme qui lui propose des vacances extraordinaires, sans devoir se déplacer. On va simplement lui implanter le souvenir de vacances extraordinaires grâce à du logiciel. Et il y a un menu à la carte, où on peut décider des aventures plus ou moins compliquées que l’on veut vivre.
Et si vous avez vu ce film, dont le héros est joué par Arnold Schwarzenegger, vous vous souvenez qu’il y a un truc ! C’est-à-dire qu’au moment où l’implant a lieu, il y a une sorte d’attentat qui a lieu dans la firme où l’implantation a lieu, si bien que le héros ne sait pas s’il a reçu l’implant ou non. Quoi qu’il en soit, il va vivre des aventures extraordinaires. En particulier, il va être à la tête d’une révolution sur la planète Mars (!) qui va déboucher sur la transformation de la planète Mars en une planète habitable. C’est quand même assez extraordinaire ! Le fait de savoir ensuite s’il s’agissait d’une opération qui a mal réussi ou non devient relativement indifférent.
Mais, pourquoi je vous parle de ça ? Parce que j’ai l’impression que la vie de tous les jours nous conduit à nous poser de plus en plus la question de savoir : « Est-ce que nous sommes victimes d’une histoire de ce type-là ? Est-ce qu’on nous a implanté, à chacun, individuellement, un scénario particulièrement rocambolesque, abracadabrantesque, qui justifierait ce que nous voyons en ce moment ? » Ce qui me conduit à penser cela, c’est bien entendu l’actualité de ce soir – que je viens de lire sur l’internet [rires] – et qui me fait penser qu’il est quand même curieux que, pour quelqu’un de ma génération, né en 1946, à l’époque d’une sorte de renouveau, de renaissance, après une catastrophe de dimension extraordinaire, tout à fait abominable, [il semblait évident] que nous allions repartir vers un nouveau type d’humanité.
Et puis, voilà : Il se trouve que j’ai 72 ans aujourd’hui, et l’impression que j’ai, c’est que nous sommes en train de plonger dans la catastrophe absolue, dans l’extinction.
C’est un thème que j’ai abordé dans mon livre Le dernier qui s’en va éteint la lumière, et ensuite dans le plus récent, qui s’appelle Défense et illustration du genre humain.
N’est-ce pas suspect qu’à votre naissance correspond une sorte de renaissance des représentations de ce que l’humanité peut faire, et que, quand vous approchez de la mort, de la mort prochaine, que le monde a l’air d’aller à sa fin ? Cela paraît, comment dire ? la coïncidence paraît trop remarquable. Mais ! Il est bien possible que ce soit comme ça, que ce soit comme ça que les choses se passent. Et ces jours-ci, je vous parle des différents aspects de cette étrange configuration. Le fait que nous préférons faire encore 25 centimes de profit plutôt que de nous attacher à résoudre les problèmes qui se posent à nous. Le fait que nous ignorons de manière grotesque la taille des dangers qui sont devant nous, que nous semblons n’avoir aucune notion de la taille, de l’ordre de grandeur, de l’échelle des problèmes qui se posent à nous.
Et ma consternation est particulièrement grande quand je reçois des messages, des mails de gens qui me mettent en équilibre, ou, comment dire, confrontent l’un vis-à-vis de l’autre des choses, des périls, qui sont de l’ordre de l’insignifiant, et des choses de l’ordre de l’extinction du genre humain, en disant : « Oui mais après tout, est-ce que ceci n’est pas équivalent de cela ? » Et les bras m’en tombent à chaque fois. Non, absolument pas ! Ce sont des choses qui ne sont pas du même ordre de grandeur. Comment pouvez-vous même essayer de les mettre l’un en face de l’autre ?
Et je crois que cela confirme cette thèse, qui est la thèse dominante de Le dernier qui s’en va éteint la lumière, que nous ne sommes pas équipés, que notre espèce n’est absolument pas équipée pour faire face à un danger du type de l’extinction possible de l’espèce.
C’est une remarque qui a déjà été faite par pas mal de biologistes, que finalement il n’est pas si difficile que ça à une espèce de survivre. Vous le voyez autour de nous, avant que nous ayons entrepris notre grande croisade contre la diversité des espèces, qu’il est possible à des espèces extrêmement différentes, allant des insectes aux amibes, en passant par les mammifères, de survivre à la surface de la Terre.
C’est une remarque qui avait été faite aussi par mon ami Jean Pouillon, le grand anthropologue, secrétaire à différentes époques de Jean-Paul Sartre et puis de Claude Lévi-Strauss, quelqu’un qui était né à quelques jours de distance de mon propre père. Sa réflexion, en ayant vécu chez les Hadjaraï du Tchad, qui était la suivante, une réflexion sur l’approximation, qui rejoignait celle de mon professeur de mathématiques d’ailleurs, [Georges-Théodule] Guilbaud, sur les mathématiques approximatives dont nous avons besoin pour comprendre le monde.
Pouillon disait : « Il n’est pas très difficile à une culture de venir avec une représentation du monde, même extrêmement inadéquate, même extrêmement fausse, et de continuer à pouvoir survivre pendant des milliers d’années ». Et je crois que c’est là la limite que nous atteignons en ce moment. Nous sommes en face, maintenant, de problèmes en face desquels l’approximation, la mécompréhension, l’absence totale de lucidité, l’invention de dogmes les plus farfelus que l’on puisse imaginer – sur des mondes parallèles où nous vivrons un jour, et des choses de cet ordre-là – nous sommes en train d’atteindre la limite, je dirais, comment dire ?de viabilité de représentations de ces types-là.
Alors, je vous dis, je viens de faire une vidéo. Je sais que je vais hésiter à la mettre en ligne en raison, je dirais, comment dire ? du caractère un peu désespéré de ce que je dis là. Aussi, contrairement à mon habitude, je vais d’abord la visionner moi-même avant de décider si je la partage avec vous, oui ou non. Nous allons voir. Vous allez voir : l’épreuve est devant moi !
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societeaffaires · 6 years
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Le dévoilement de la nouvelle identité graphique de Desjardins dans le quotidien montréalais La Presse, quelques jours avant son lancement officiel, a entraîné un grand nombre de commentaires, tant du grand public que de l’industrie. Ces réactions vives et émotives n’ont pas surpris les architectes de ce changement, Brigitte Roberge de Desjardins et Claude Auchu de Lg2.
Brigitte Roberge est directrice principale, marque, de Desjardins. Claude Auchu est associé, président exécutif du conseil et chef du design de Lg2.
Arnaud Granata – Que vouliez-vous communiquer avec cette nouvelle identité?
Brigitte Roberge – Desjardins se modernise et offre de plus en plus de nouveaux services. Aussi, nous voulions nous adapter aux nouvelles technologies, et le logo devait être plus performant, notamment sur les écrans.
un logo qui évolue, c’est mobilisant, autant pour les 45 000 employés de Desjardins que pour ses sept millions de membres et clients. – claude auchu
Donc, le but principal était de simplifier l’identité pour qu’elle soit plus facile à reconnaître sur les plateformes mobiles?
Claude Auchu – Tout à fait. Aujourd’hui, le consommateur n’interagit plus de la même façon avec son institution financière. Et comme le volet numérique a pris beaucoup d’importance ces dernières années, l’identité doit occuper une place prépondérante. La manière la plus efficace d’accompagner la transformation de Desjardins, c’est d’actualiser son identité. C’est le signe le plus concret de son évolution. Un logo qui évolue, c’est mobilisant, autant pour les 45 000 employés de Desjardins que pour ses sept millions de membres et clients. Ils voient cette transformation s’accomplir tout en vivant l’expérience Desjardins chaque fois qu’ils effectuent des transactions, que ce soit sur leur appareil mobile, leur montre ou leur tablette.
En même temps, à la suite de l’annonce de ce nouveau logo, les réactions ont été extrêmement vives, parfois très négatives. Comment les avez-vous accueillies?
BR – On n’a pas été surpris. Desjardins est une marque hyper près des gens. Elle fait partie du paysage québécois depuis plus de 100 ans. En fait, pour nous, la réaction a été une bonne nouvelle. Ça nous dit que les gens sont attachés à la marque. Ils veulent comprendre, ils questionnent.
Ce qui ressort de nombreux commentaires, c’est le rapport très émotif qu’entretiennent les gens avec Desjardins. On a l’impression qu’ils attendent quelque chose de leur coopérative financière. De plus, ils semblent se demander pourquoi elle investit dans une nouvelle identité tout en fermant des points de service ou des guichets automatiques, particulièrement en région. Autrement dit, ils perçoivent un double message.
BR – Desjardins offre aujourd’hui plein de nouveaux services liés aux nouvelles technologies et aux plateformes mobiles. Parmi les exemples les plus récents, une application permet de recevoir des messages textes lorsque le compte est à découvert. Depuis un an environ, nous offrons aussi une application qui détecte les fuites d’eau. Ou encore, l’assurance «bout en bout», qui permet de faire une demande de soumission en ligne. Bientôt, il y aura de nouveaux outils liés à l’hypothèque. En fait, si l'on additionne tous les nouveaux services offerts, on se rend compte que Desjardins est plus près de ses membres que jamais.
Les réactions au changement de logo ont-elles forcé Desjardins à revoir ses communications?
BR – Même si le nouveau logo a été dévoilé au public quelques jours avant sa présentation officielle, nous n’avions pas l’intention de faire un lancement en grande pompe. La transformation de l’identité a commencé il y a un peu plus d’un an, en janvier 2017. Elle s’est installée graduellement. Tout d'abord, à la fin de nos messages, on a décomposé les barres de notre logo. Jouer avec l’hexagone a été la première manifestation du changement.
Même si le nouveau logo a été dévoilé au public quelques jours avant sa présentation officielle, nous n’avions pas l’intention de faire un lancement en grande pompe. – Brigitte Roberge
Vous semblez avoir préparé le terrain. Quel est le processus, justement, pour intégrer une nouvelle identité de marque dans la tête du grand public?
CA – Il faut d’abord mener des recherches. Dans le cas de Desjardins, l'on a sondé les jeunes et les membres en général en leur présentant des variantes du logo. Ces tests nous ont amenés à choisir le logo final dévoilé en mars.
BR – On s’est aussi rendu compte que les gens reconnaissent, et sont attachés à la ritournelle qu’on entend à la fin des messages de Desjardins. On l’a donc gardée.
CA – Sur le plan perceptuel, une marque comme Desjardins appartient à tous les Québécois. Dans leur tête, la caisse est bien «leur» caisse.
L’alvéole et l’abeille étaient des symboles auxquels les Québécois semblaient très attachés, d’ailleurs. Certains ont dit: «Vous avez enlevé mon abeille.»
BR – C’est ce qu’on a entendu aussi. Pourtant, quand on a conduit nos recherches, plusieurs ne savaient pas qu’il y avait une abeille stylisée dans l’ancien logo. Ce n’était pas si clair pour eux, même si d’autres le savaient. Encore une fois, l’abeille pouvait être visible sur les pièces imprimées, mais pas de manière évidente sur le téléphone ou une application. On revient au défi de la visibilité.
CA – Aussi, il faut rappeler que Desjardins, c’est une grande coopérative qui suit son temps, qui offre des services et fait vivre des expériences interactives souhaitées par ses membres. Tout le monde parle d’authenticité, de transparence. Il était donc naturel qu’après 40 ans, le logo de l’institution s’arrime avec les nouvelles réalités.
Est-ce qu’on se trompe si l'on dit que les marques dans le monde ont tendance, aujourd’hui, à simplifier leur identité pour le web? Et si oui, pourquoi simplifient-elles leurs logos à ce point?
CA – C’est vrai. Les marques se transforment à cause du numérique. On doit tenir compte du contraste, du poids, de la visibilité. Le vert de Desjardins, par exemple, s’est subtilement transformé pour une meilleure performance sur les écrans.
BR – La typographie aussi a évolué.
CA – Oui, plein de petits détails que le format nous oblige à revoir. Autrefois, le plus petit format se retrouvait à l’en-tête d’une lettre. Aujourd’hui, il figure sur de petits écrans de téléphone et comme avatar dans la barre d’adresse du fureteur. On se rend compte qu’il est de plus en plus difficile, pour les marques, d’adopter une icône, un symbole très simple qui les représente. Et si l'on revient au logo de Desjardins, à son hexagone, il est fidèle à l’historique de la coopérative en rappelant sa ruche, son alvéole. Il n’y a pas d’équivoque. C’est bien Desjardins.
Le logo lui-même, seul, a moins d’importance, aujourd’hui, que la plateforme à laquelle il est associé. En réalité, c’est elle qui devient l’expression de la marque. – Claude auchu
BR – On ne voulait pas faire de révolution avec le logo. On s’adapte aux nouvelles technologies tout en conservant les attributs les plus forts de la marque Desjardins.
Dans un texte publié tout récemment sur le site d’Infopresse, et intitulé Élevons le débat, le président de la Société des designers graphiques du Québec (SDGQ), Benoit Giguère, met le doigt sur le fait que le grand public ne comprend peut-être pas bien le travail des designers et des défis auxquels ils sont confrontés. Il souligne aussi que les gens de l’industrie eux-mêmes ont réagi de manière démesurée à la refonte du logo de Desjardins. Qu’en pensez-vous?
CA – Je crois qu’il a été courageux de sa part de s’adresser à ses collègues. Que les gens donnent une note plus ou moins bonne à un nouveau logo, c’est dans l’ordre des choses. C’est propre à chacun de faire son évaluation. Ce que Benoit Giguère apporte d’intéressant, c’est la qualité du débat. La SDGQ a sans doute peu d’influence sur le grand public, mais elle peut en avoir sur l’industrie et sur les gens qui font partie de cette association.
Dans l’histoire des communications, quand on porte une attention particulière sur toutes les entreprises qui ont essayé de changer leur logo à l’international, comme Google ou Starbucks, elles se sont toutes fait critiquer. C’est très polarisant. Pourquoi, d’après vous?
CA – Le logo identifie le réseau de la marque. Le changer, c’est modifier l’enrobage du réseau. C’est un signal immense. Et dans l’intensité des signaux, celui-là est l’un des plus forts avant le changement de nom. Mais en fait, le logo lui-même, seul, a moins d’importance, aujourd’hui, que la plateforme à laquelle il est associé. En réalité, c’est elle qui devient l’expression de la marque.
Alors, quelle est l’importance du logo auprès du grand public?
CA – Les gens vivent avec les identités graphiques des marques. Ils les reconnaissent et les apprécient.
La nouvelle identité de Desjardins est maintenant visible un peu partout, notamment aux guichets. On s’attend à ce que ça prenne combien de temps avant de tout changer? Il y a tellement d’éléments touchés! Ça fonctionne comment?
BR – Le choix que nous avons fait, chez Desjardins, est de se donner un échéancier d’environ quatre ans pour faire un déploiement progressif. Et parce que nous sommes une coopérative, il était important, pour nous, de lancer le signal que nous allions le faire de façon très responsable. Si une affiche doit être remplacée, la nouvelle présentera le nouveau logo.
Avez-vous établi un ordre de priorité?
BR – On a mis en priorité tout ce qui est numérique – c’est facile à changer – ainsi que la commercialisation et la publicité.
En conversation avec... est une série de rencontres menées par Arnaud Granata avec des professionnels de l'industrie des communications-marketing et des médias. Retrouvez toute la série dans la section «En conversation» du site Infopresse.
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eglise22 · 7 years
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Jura : s'engager comme associés, un cadeau
Le samedi 16 septembre 2017, dans le magnifique chœur de la cathédrale de Saint-Claude, c'est dans la joie que nous, Bernadette, Edwige, Isabelle et Gérard nous nous sommes engagés dans la famille spirituelle des Filles du Saint-Esprit.
Un beau tableau sur fond rouge avec l'inscription « Laissez-vous mener par l'Esprit » préparé par Sœur Monique Leroy, agrémenté d'un magnifique bouquet réalisé par Isabelle, étaient placés à la droite de l'autel. Les Responsables de la Congrégation, les Responsables des Associés, nos familles, nos amis, venus parfois de loin, de la Bretagne, de Paris, de la Creuse… étaient là pour nous entourer et être témoins de ce nous allions vivre.
Après le mot de bienvenue de Séverine qui nous disait le bonheur des trois couples de notre région déjà associés, de voir le groupe s'agrandir, nous entrions dans la célébration eucharistique présidée par le Père Pierre Girod curé-doyen de Saint-Claude, assisté par le diacre Rémi Le Page. Elle était bâtie autour des textes du jour et des oraisons de la Messe votive du Saint-Esprit. La participation active de chacun, la 1re lecture par Isabelle L., déjà associée, le chant du psaume par le couple Isabelle et Gérard, la proclamation de l'Evangile par Rémi nous mettaient, en famille, à l'écoute de la Parole de Dieu. Le Père Girod, dans son homélie, nous rappelait la nécessité de produire de bons fruits dans un cœur bon, de bâtir notre vie sur le roc qu'est Jésus, par la pratique de la Parole de Dieu, la prière, la confiance dans le Seigneur et l'appel à l'Esprit-Saint.
Puis ce fut le temps de notre engagement à l'invitation de Sœur Monique Leroy. Sœur Françoise et Maksood qui nous ont accompagnés tout au long de notre préparation de deux années, nous présentaient et nous disaient se porter garants du sérieux de notre formation. Ils rappelaient notre engagement au sein de l'Église, guidés par l'Esprit-Saint dont on ne sait « ni d'où Il vient, ni où Il va ». Quelle émotion d'entendre ces mots de confiance ! Nous ne pouvions que chanter l'hymne « Viens, Esprit d'amour », ce chant méditatif, accompagné au clavier par Catherine, avec lequel nous avions prié tout au long de notre formation et qui est un signe très fort pour notre groupe. Nous étions ensuite invités par Sœur Anne-Marie Le Pabic, déléguée de Sœur Jeanne Le Roux, Provinciale de France-Belgique-Hollande, à dire les paroles de notre engagement d'abord par une formule commune, puis personnellement. Oui, que l'Esprit-Saint et la Vierge Marie nous aident à toujours vivre « de la grâce de notre baptême » en communion avec les Filles du Saint-Esprit pour parler de Dieu au monde et surtout aux plus petits et aux plus fragiles.
Nous recevions alors le Livre de Vie et le texte « Amis dans l'Esprit-Saint » des mains de Monique Guérin, membre du bureau des Associés. Sœur Nicole Ponchau, vice-provinciale de Paris, nous remettait le symbole de l'Esprit-Saint qui se trouve au bas de l'autel de la chapelle de la Maison-Mère à Saint-Brieuc. Nous recevions un autre cadeau de la part des « anciens associés » de notre région, réalisé par Maksood : une colombe rouge (le feu de l'Amour) en plastique (Ain et modernité) sur un fond bleu (la mer de Bretagne) le tout posé sur une rondelle de bois (le Jura et la tradition). Puis la célébration se poursuivait et l'Eucharistie se terminait par la prière des Filles du Saint-Esprit et le chant « Je vous salue Marie » de Glorious accompagné à la guitare par François.
Edwige conviait tout le monde à rejoindre la salle du presbytère où nous allions prendre un verre de l'amitié, puis un repas préparé par les différentes personnes présentes : chacun, chacune ayant apporté quelque chose selon ses talents, ses goûts, ses possibilités… C'était un moment de partage, d'amitié, un moment très chaleureux, détendu que nous avons prolongé le soir et encore le lendemain pendant la messe dominicale et à la table de la Communauté des Filles du Saint-Esprit de Saint-Claude.
La prière, les chants, les partages, les rencontres, les émotions, les présents… que de cadeaux ! Comme on était bien ! Merci ! Merci ! Merci ! Nous ne pouvons que rendre grâce au Seigneur pour ce temps de fraternité qui se poursuivra dans nos prochaines rencontres et qui rejaillira dans nos vies de tous les jours.
Depuis Filles du Saint Esprit - Province FBH
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lemagdalexia-blog · 7 years
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Hello mes lous,
Voici donc l’article spécial que je vous avais promis hier. Donc sans attendre, je me lance!
Dernier article: Nouvelle interview avec Claire
C’est donc avant tout, un voyage en partenariat avec le site “Happybreak”.
Qu’est-ce qu’Happy break?
C’est une startup composée de 7 personnes. Celles-ci ont voulu, avec un abonnement d’une durée de 1 an, proposer à leurs clients de voyager autant qu’ils le souhaitaient avec une carte avantage de 50% sur tous les hôtels affiliés.
Combien d’hôtels proposent-ils?
Ils en proposent 200 répartis dans toute la France et attention, un hôtel est proposé pour la Belgique(Bruxelles).
Quels sont les prix par nuit?
Les prix vont de 37 à 198,50€. Certains hôtels proposent la formule petit-déjeuner inclus, d’autres proposent petit-déjeuner ET dîner inclus. Donc c’est à vous de voir ce que vous préférez 🙂 Et évidemment, c’est pour deux personnes
Avantages de ce site
Le site s’engage à vous rembourser totalement si vous trouvez un séjour moins cher dans la même région que l’hôtel proposé.
Les hôtels sont recommandés par tripadvisor avec des étoiles allant de 3 à 5 étoiles.
Lorsque vous payer le séjour, vous montrez votre carte avantage et vous obtiendrez vos 50% sur la durée du séjour.
Je vous laisse maintenant avec mon citytrip, bonne lecture et surtout bonne découverte si vous ne connaissez pas encore Lille!
Mon citytrip
Nous sommes parties avec mon amie Astrid, le vendredi 7 juillet et sommes restées jusqu’au dimanche 9 juillet 2017. Pour l’occasion, j’ai choisi d’en faire un voyage culturel pour découvrir pour la première fois Lille!
Si vous préférez regarder la video->​
Vendredi 7 juillet 2017
Debout à 7h, je me suis habillée, ai pris mon petit-déjeuner. Direction: chercher Astrid. Dès qu’on a mit ses valises dans le coffre et qu’on avait quitté sa ville, c’était parti pour la grande aventure! Nous avons pris l’E42 car pour l’aller, c’était ma maman qui nous conduisait. Le trajet durait 1h30 mais nous étions si impatientes d’arriver qu’on a discuté, encore et encore jusqu’à la gare de Tournai. Nous étions largement dans les temps donc nous avons acheté nos tickets aller-retour. Maman est partie et nous avons été directement nous poser dans le train.
Process 2
Le trajet nous a paru très court car nous brûlions d’impatience d’arriver dans cette chère métropole de Lille.
Enfin, nous étions arrivées. La gare nous a semblé immense, spacieuse et très éclairée.
Etant très bien préparées, autant pour notre carnet de voyage qu’en plans de la ville, nous avons pris nos sacs de voyage, nos sacs à dos et notre sacoche, direction l’office du tourisme. Très bien indiquée, nous avons parcouru à notre aise les rues pour y arriver. Nous avons admirés l’opéra de Lille, le Palais Rihour, les cafés bondés d’habitués. Lorsque nous sommes rentrées dans l’office du tourisme, nous avons achetés nos pass. Nous nous étions mis d’accord pour un pass de 48h afin de pouvoir visiter assez de monuments et musées. Ce pass nous a coûté 35€, un prix très abordable qui comprenait entre autre le citytour, la visite guidée du vieux Lille, la maison natale de Charles de Gaulle, le Beffroi de l’hôtel de ville, le palais des Beaux-arts, le musée d’histoire naturelle, le musée d’art moderne(LAM) et la citadelle ainsi que tous les transports en métro, bus et autres transports.
Quand nous avons pris tous nos renseignements, nous avions plus qu’à attendre le bus pour faire le citytour en car. Un magnifique car coloré en passant. Nous avons pu grâce au guide et aux écrans, découvrir l’historique de cette ville riche en culture et en histoire. Ce tour nous a permit aussi, de découvrir les monuments dont leurs emplacements si on souhaitait mieux les découvrir par la suite. Un détail qui nous a marqué, c’est de savoir que cette ville compte 20% d’étudiants pour sa population. C’est donc grâce à ceux-ci que cette ville est estudiantine, dynamique et constamment éveillée. Nous avons appris aussi que Lille est donc une métropole car il y a un important centre d’affaires près du centre Euralille où se trouve par ailleurs des grandes chaînes de magasins comme Berska, Quick,… Lille est donc énorme et comprend d’autres “villages-villes”.
Après ce tour de Lille qui durait 1h, nous avons cherché après notre hôtel. Par chance, l’Hôtel de la paix était situé au cœur du centre ville, Rue de Paris. Le bâtiment est rénové . Il a été construit selon le courant “art déco” datant du 19e siècle. Nous avions pris la formule “2 nuits avec petit-déjeuner”. Nous avons été d’ailleurs très contente de notre déjeuner car il était consistant. Ce qu’on a fort apprécié également dans son hôtel, c’est sa proximité avec le centre, son calme malgré qu’il est situé dans les rues importantes et surtout, sa décoration. En effet, de nombreux tableaux ornent les couloirs menant aux chambres, ainsi que dans notre propre chambre.
Après nous être installées, nous sommes parties dans le centre pour voir la Grand-Place car nous souhaitions aller à la librairie “Le furet du Nord”. Librairie que m’avait conseillé ma grand-mère. Sur 2 étages, cette librairie est une des plus grosses et propose selons des séparations, des ouvrages de langue étrangère, français, des nouveautés, des promotions 2+1 gratuit pour partir l’été avec.
Nous avons pris également des photos car c’était le moment pour flâner et profiter du bon temps.
Nous nous sommes ensuite, diriger doucement vers la maison natale de Charles de Gaulle que nous souhaitions absolument découvrir.
Après cette journée tout de même fatigante, nous sommes retournées à l’hôtel pour nous changer direction le resto.
Après le resto, nous avons encore flâner dans les rues, nous sommes allées prendre un verre au bar-discothèque “Le happy”.
Pour bien terminer cette journée, nous avons regardé des couples danser sur la Grand-Place car un des cafés avait pris la bonne initiative de mettre de l’ambiance.
Samedi 8 juillet 2017
Nous nous sommes réveillées à 7h pour nous doucher et manger notre petit-déjeuner. Nous souhaitions commencer tôt pour nos nombreuses activités du jour. Vu qu’à 8h30 l’office du tourisme était fermé, nous sommes allés au parc Henri Matisse près du centre commercial Euralille où se trouve le New Yorker, le bershka, le primark. Près du parc, se trouve également la porte de Douai donc nous avons pu voir la deuxième porte, vestige du passé. Petite remarque: j’ai été choqué de voir le nombre de déchets sur la pelouse.
Nous avons pris le métro jusqu’à pont de bois puis le bus 59 pour aller au musée d’art moderne(LAM). C’était passionnant de découvrir les œuvres de Pablo Picasso, Claude Monet et d’autres peintres illustres. On a su seulement voir une partie du musée car pour la totalité, il aurait fallu 2h. Il faut savoir que dans chaque musée, on passait 1h30 donc on ne savait pas tout visiter.
Nous avons fait ensuite le chemin inverse pour aller cette fois-ci, aux palais des Beaux-arts. Celui-ci est actuellement en rénovation mais on peut toutefois le visiter. Ce bâtiment est vraiment incroyable pour son architecture et ses détails dans les sculptures. Ce qu’on a le plus apprécié, c’est les audio-guides “iPod” qui nous permettait d’avoir des explications supplémentaires sur certaines œuvres. Chaque pièce ou étage était divisé en période passant du 14e au 21e siècle et une subdivision pour le courant “expressionniste”.
On a été manger puis on a pris le chemin du musée d’histoire naturelle. Astrid a particulièrement aimé ce musée-là car voir des animaux réels(mygales, poissons qui savent respirer et autres espèces) et empaillés, la fascinait.
Cette journée s’est donc finie avec un resto, cette fois-ci plus gras. Je précise que toutes les adresses et noms de restos-bars où on a été, se trouvent en fin d’article.
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Dimanche 9 juillet 2017
Encore une fois, nous nous sommes réveillées tôt mais tout de même plus tranquillement que samedi.
Nous avons déjeuner, terminer nos sacs, payer l’hôtel, remercier pour leur accueil. Ensuite, nous sommes parties direction l’hôtel de ville et son beffroi. Nous sommes montées tout en haut et la vue était époustouflante!
Après ça, nous sommes parties en direction du zoo et de la citadelle. Nous savions que c’était impossible de visiter celle-ci car c’est une base militaire encore active. Nous nous sommes donc rabattue sur le parc et son zoo. Nous avons payé 4€ l’entrée, ce qui est plus que raisonnable. Nous sommes tombées amoureuses de certaines races, pourriez-vous deviner lesquels?
Ce que j’ai retenu de ce voyage
Voyager léger, c’est pratique.
Avoir préparer 1 mois à l’avance, permet de moins stresser durant le séjour
Etre pratique(habits-sacs et argent)
Ne pas hésiter à poser des questions
Demander de l’aide à l’office du tourisme et/ou passants
Acheter un pass nous a facilité la tâche pour aller par exemple au LAM(musée d’art moderne)
Prévoir large pour l’argent, nous avions compté notre voyage pour 250€ max et nous avons à peine dépasser les 200€ pour les 3 jours.
Quelques mésaventures
Un voyage n’en est pas un si tout se passe parfaitement. J’ai donc voulu vous faire une petite parenthèse pour vous raconter quelques soucis qu’on a eu. Lors des petit-déjeuner, nous avons dû nous bagarrer contre des moustiques silencieux. Je ne vous dit pas la galère. Ca a donné Alexia 1-moustique 0 et Astrid -100000 VS moustique 10000. Nous avons également réussi à nous perdre une fois car Astrid avait mit la carte dans le mauvais sens donc au lieu d’aller vers le nord, nous allions vers le sud. Nous avons été accosté par un mec qui était très chelou car il voulait m’offrir un resto et puis me taper(WTF). Sinon, ce qui était mignon, c’est que 5 mecs nous ont proposé de danser sur la grand place.
Les adresses des lieux visités
Notre hôtel
Hôtel de la paix
46Bis Rue de Paris, 59800 Lille, France
Renseignements
Office du tourisme et des Congrès
42 Place Rihour, 59000 Lille, France
Monuments/musées
Vieille bourse
Place Charles de Gaulle, 59000 Lille, France
Maison natale de Charles de Gaulle
9 Rue Princesse, 59000 Lille, France
Entrée: 6€ adultes et 3€(étudiants)
Hôtel de ville+beffroi
Place Augustin Laurent, 59000 Lille, France
Entrée: 5,50€(étudiants) et 7€(adultes)
Palais des Beaux-arts
18 Bis Rue de Valmy, 59000 Lille, France
Entrée: 7€ adultes, 4€(étudiants)
Musée d’histoire naturelle
19 Rue de Bruxelles, 59000 Lille, France
Entrée: 2,60€(étudiants) sinon 3,70€ adultes
Musée d’art moderne
1 Allée du Musée, 59650 Villeneuve-d’Ascq, Franc
Entrée: 10€(exposition temporaire et collections permanentes)
Parc zoologique
Avenue Mathias Delobel, 59000 Lille, France
Entrée: 4€
Bars/restos
Les 3 bandits de Napoli
2 Rue Saint-Etienne, 59000 Lille, France
Le happy
8 Place Pierre Mendès France, 59800 Lille, France
Le bistrot de Pierrot
6 Place de Béthune, 59000 Lille, France
Hippopotamus
2 rue Faidherbe, 1 Rue de Paris, 59800 Lille, France
Subway
3 Place Richebé, 59000 Lille, France
  Je clôture donc cet article ici, merci de l’avoir lu entièrement(ou presque). Nous nous sommes vraiment bien amusées et comme on dit, ce n’est qu’un au-revoir ma belle Lille.
Réseaux sociaux
Site
Facebook
  Voici le doc guide pour notre voyage, n’hésitez pas à vous en baser!
Trip à Lille
Je pense donc réutiliser cette carte car elle est active jusqu’en juin 2018 donc il se peut que je vous partage un prochain voyage de 3 jours 🙂
Je tiens donc à remercier encore chaleureusement Sarah de HappyBreak avec qui j’ai pu communiquer à diverses reprises, tous les membres du personnel de l’hôtel pour leur gentillesse, l’office du tourisme pour l’envoi de tous les plans pour préparer le voyage, tous les cafés et personnes qu’on a pu rencontré, Astrid pour avoir partager cette aventure avec moi et vous pour votre soutient!
Je vous dit à demain pour un nouvel article,
Alexia
Citytrip culturel en 3 jours à Lille Hello mes lous, Voici donc l'article spécial que je vous avais promis hier. Donc sans attendre, je me lance!
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eric-sauvat · 5 years
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Écartèlement
Lavoûte-Chilhac, Dimanche 7 avril 2019
Écartèlement
Autrefois, supplice infligé aux condamnés pour crime de lèse-majesté, en particulier aux régicides, et qui consistait à faire tirer leurs membres par des chevaux. Il était forcé de soutenir une conversation pareille à un écartèlement à quatre chevaux, avec quatre personnages disposés pour ainsi dire aux quatre coins de sa personne Duranty, Malh. H. Gérard,1860
J'ai rêvé que Jean-Claude et moi, iroquois allions périr écartelés à Paris, parce que circoncis par hygiène dans notre tribu, nous ne connaissions pas les prières de la communauté juive qui y était tolérée car elle payait un impôt faramineux pour ça.
Un vieux juif à la barbe fleurie, nous sauva en nous déclarant de sa famille, venus du Levant pour lui apporter l'or nécessaire à la confection des souverains que le Roi lui avait commandés.
Alors que nous nous pensions chez lui à l'abri, trois irréductibles de la même famille, deux frères et la femme de l'un d'entre eux, nous réclamèrent pour complément d'enquête.
Notre hôte n'eut d'autre solution que de les acheter, il nous emmena tous à son échoppe où il façonnait les souverains avec quatre onces d'or qu'il martelait sur leur empreinte, et en donna deux aux frères, la femme ne consentit à sortir qu'après s'être fait donner un écu, un quart de souverain, prétendant qu'ils ne lui donneraient pas une once de leur or.
L'écartèlement, mort atroce était réservé aux régicides et aux renégats et peu pratiqué contrairement à la décapitation et à la pendaison fréquentes en ce temps là.
Religion que de crimes on commet en ton nom.
Je suis bien d'être athée.
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eric-sauvat · 5 years
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Retrouvailles
Lavoûte-Chilhac, Jeudi 14 novembre 2019
Retrouvailles
Familier. Action, fait de retrouver des personnes dont on était séparé : De touchantes retrouvailles. Que de pays ensemble parcourus! Que de hasards et que d'années! Et après une longue séparation la joie de ces retrouvailles inopinées! Claudel, Poésies diverses, 1952
Nous ne trouverons pas la paix Mouna et moi avant d’être allés nous recueillir sur la tombe de Faustin pour un dernier adieu auquel nous associerons Christelle notre amie bordelaise qui nous retrouvait à sa table lorsque nous allions le voir.
Je comprends aujourd'hui le protocole du deuil que j’ai tant décrié du vivant de ceux que j’aimais ; pour Jean-Claude nous fûmes aux cotés de Gilberte lors de son enterrement et aujourd'hui je le retrouve chaque nuit pour ma demi-heure de mots fléchés de la sorte il ne sera pour jamais mort, quand j’y aurai adjoint Faustin ce sera pareil pour lui.
Mon subconscient nécessite ces mesures pour faire son deuil qui atténuent mon chagrin.
La sagesse de ces retrouvailles quotidiennes retient ce que j’aime aux frontières de la mort sans qu’ils n’y basculent jamais.
Merci pour Mouna et moi à vous qui nous lisez et comprenez notre peine.
L’amitié est un partage.
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eric-sauvat · 5 years
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Astreinte
Lavoûte-Chilhac, Mercredi 10 juillet 2019
Astreinte
Littéraire. Obligation rigoureuse ; contrainte : Les astreintes d'une profession. Si le même esprit de prudence et de prévoyance, qui a fait borner à un petit nombre d'années déterminé la mission du dépositaire du pouvoir exécutif, a fait aussi qu'on l'a assujetti à des règles dans l'exercice de ce pouvoir; si on l'a astreint à suivre certaines formes, à s'adjoindre certaines personnes, à ne point agir contre leur avis; et si des mesures réellement efficaces ont été prises pour qu'il ne puisse s'affranchir de ces entraves, alors sans doute ce principal agent de la nation sera sans inconvénient. Destutt de Tracy, Commentaire sur l'Esprit des lois de Montesquieu,1807
Nous restons trois, des quatre mousquetaires de l'École du Bois, trois mousquetaires octogénaires, Jean-Claude nous a quitté avant d'atteindre cet âge auguste.
Hier en téléphonant à Faustin pour lui souhaiter son 84° anniversaire, j'ai appris qu'il avait perdu sa fille aînée au mois d'avril terrassée par un AVC, le SMS nous en informant ne nous était jamais parvenu et lui ulcéré par notre apparente indifférence ne nous comptait plus parmi ses amis.
Les pendules remises à l'heure, nous l'avons assuré Mouna et moi que nous compatissions à sa douleurs et lui adressions nos condoléances attristées.
Patricia, son aînée s'occupait diligemment de lui, nous la connaissions et l'apprécions, tranquillisés de savoir Faustin en de si bonnes mains, la nouvelle était terrifiante, elle venait toute juste d'avoir la cinquantaine, heureusement il reste à Faustin son fils et Julia une amie quinze ans plus jeune que lui qui le véhiculera pour gagner sa chasse en Espagne ; il conduit encore, là est justement le danger.
Nous reverrons-nous ? Jusqu'alors nous nous allions le voir une fois l'an, subsistance de nos réunions annuelles d'avant la mort de Jean-Claude chez lui ou chez l'autre à tour de rôle auxquelles nous avions renoncées, le plaisir d'antan devenant une astreinte.
Personnellement les longs voyages me terrifient, bien que Mouna y assume tout, je tiens à mourir dans mon lit en regardant l'heure à mon Prieuré, pas à l'aventure n'importe où.
D'autant plus que je ne suis pas pressé.
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