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#Chasseurs Égarés dans les Bois
lesmisscraper · 8 months
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That evening, Cosette was alone in the drawing-room. In order to get rid of her ennui, she had opened her piano-organ, and had begun to sing, accompanying herself the while, the chorus from Euryanthe: "Hunters astray in the wood!" which is probably the most beautiful thing in all the sphere of music. When she had finished, she remained wrapped in thought.
Le soir, Cosette était seule dans le salon. Pour se désennuyer, elle avait ouvert son piano-orgue et elle s’était mise à chanter, en s’accompagnant, le chœur d’Euryanthe : Chasseurs égarés dans les bois ! qui est peut-être ce qu’il y a de plus beau dans toute la musique. Quand elle eut fini, elle demeura pensive.
Vol. 4, Book 5, Chapter 2.
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And it's that song Cosette played and sang, <Der Jägerchor> in the original title.
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So she sang this one during that part?
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narrative n°1
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L'épopée extraordinaire réservée aux aventuriers.es en quête de trésors et de rencontres inattendues. Venez découvrir les secrets de Mató-tópe et ses natifs.ves chaleureux.ses, les paysages florissants du Nord, ainsi que ses gisements d'or et mines réputées hantées. Romance, tensions, trahisons, cette narrative deviendra probablement votre favorite. 
Trame Principale
Les prémices s'esquissent à Sweetwater, le Centre-Est où la plupart des histoires débutent, lorsque deux frères fraîchement débarqués du train après un long périple ouvrent la porte du Saloon. Ces derniers prennent place sur une table discrète, rejoignant un.e ancien.ne mineur dans le but d'accueillir les quelques curieux.ses alpagué.es par la petite annonce laissée sur un mur dehors. L'objectif : mener une expédition vers le nord et trouver de l'or auprès des mines abandonnées dès le lendemain, tout en promettant de diviser le butin de manière équitable. L'équipe formée se compose des deux frères, de l'ancien.e mineur qui connait le gisement, d'un.e géologue, deux autres hôtes venus apportés leur aide, ainsi que d'éventuels visiteurs en quête d'aventure. Les péripéties débutent le lendemain et comme tous les mardis vers 15h30, après quelques heures de chevauchée équestre dans les bois, lorsque le cheval du frère cadet se prend la patte dans un piège, alertant aussitôt les chasseurs de Mató-tópe rôdant dans les parages. Le groupuscule, convaincu par le frère cadet et lea géologue de ne guère entamer une querelle et sortir les armes malgré l'insistance du frère aîné nettement plus hostile, montre patte blanche en faisant comprendre qu'ils ne sont que des explorateurs égarés de passage. Guidés par les chasseurs, tous se dirigent alors en direction du village de Mató-tópe où ils sont accueillis pour la nuit, partageant un repas au coin du feu, à l'ombre des tipis, sous les contes du chamane. Lors d'un aparté, la fille unique de ce dernier tombe sous le charme du frère cadet, le plus vertueux, décidant alors de les accompagner en secret et sans en informer son père dans leur aventure qui reprend aussitôt le lendemain à l'aube. En chemin vers la rivière jonchée d'or qui longe les mines abandonnées où règne de nombreuses histoires fantomatiques, le groupuscule se fait attaquer par les flèches des Spectres, les bannis hostiles de Mató-tópe. L'un des Hôtes y perd la vie. Malgré les péripéties tragiques, la bande trouve enfin la rivière d'azur et les pépites rêvées. Cependant, le frère aîné, avide de richesses, se retourne contre le groupe et son propre cadet tout en dégainant son arme, lançant une fusillade où seul le cadet et la fille du chamane survivent.
Variantes
● La fille du chamane est originellement programmée pour s'éprendre d'un.e visiteur, lea plus vertueux.se, dans le cas où le groupe est accompagné d'un.e humain.e réceptif.ve. Elle est également prête à se sacrifier pour un visiteur lors de la fusillade finale. ● L'hôte perdant la vie est toujours l'un des deux accompagnants ou lea géologue. La présence et habileté d'un ou plusieurs visiteurs peut cependant le sauver (ou provoquer davantage de pertes). ● Dans la trame principale dépourvue de visiteurs, l'échange de tirs mène au décès des divers protagonistes, bien que le frère cadet s'en sort, blessé, aidé par la fille du chamane qui le ramène à Mató-tópe. La chute de l'histoire diffère cependant en fonction de l'intervention des visiteurs présents et des réactions de ces derniers.
Personnages
● Le frère avide, aîné (+35 ans) — libre ● Le frère vertueux, cadet (+30 ans) — libre ● Lea Géologue — libre ● Un.e ancien.e mineur (+40 ans) — libre ● Deux individus appâtés — 2 libres ● Les chasseurs.euses de Mató-tópe (amérindien.nes) — 3 libres ● Le chamane de Mató-tópe (amérindien, +45 ans) — libre ● La fille du Chamane (amérindienne, +25 ans) — libre ● Le chef des Spectres (bannis) (amérindien.ne, +40 ans) — libre ● Les Spectres de Mató-tópe (amérindien.nes) — 4 libres ● Figuration (rôles qui interfèrent rarement avec le récit. Ces hôtes sont principalement des individus présents dans le saloon, des amérindiens du village, quelques individus croisés brièvement et appartenant souvent à d'autres narratives) — libres
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QUE S’EST-IL PASSÉ L’AMOUR ?#2
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Où est passé notre amour ?
Ça c’est ce que tu as voulu lui dire quand elle a claqué la porte.
 Où est passée ma PlayStation ?
Ça c’est ce que tu as dit quand elle a claqué la porte.
 Sur le -tion de PlayStation t’as quand même baissé la voix, conscient que ce serait jamais aussi tactile qu’avec ta copine cet hiver. Et c’est comme ça que sur une porte qui claque, tu es passé de Loveur à Dateur.
 Depuis que tu es célibataire, tu t'es duper dans le monde merveilleux des applis de rencontres. L’hiver tu ne sors même plus de chez toi, après tout t’as plein de copines coquines –sur ton Smartphone - et tu tiens ton cabinet de gynécologie à domicile. Passe à la maison faire un frotti-frotta. Comme un boulimique accro à son Pornfood tu es accro à ton Pornmood. Brune, blonde, rousse, tu les aimes vraiment. A ta façon. Nues, pas trop futées, ni affutées. Et après le journal de 20h00. La nuit tous les chats sont gris et tu te dis que ça vaut aussi pour les chattes (chic, classe, élégant).
 Que s’est-il passé l’amour ?
 Pour maximiser tes chances, tu balances des cœurs dans le monde entier, même dans la Creuse tu restes branché. De coups de cœurs en coups d’un soir, ton appart c’est l’arche de Noé. Brebis égarées, cougars affamées, gazelles blessées… Copains comme – des- cochons c’est ton expression favorite après faites l’amour pas la guerre. On te le confirme, fais l’amour pas la guerre, c’est mieux pour tout le monde. Tinder c’est devenu ton royaume. Tu es le roi. Le roi du flirt national et international. Le roi des cons comme dirait Zazie. Mais le roi quand même – et quand t’étais petit t’avais jamais la fève. CQFD.
 Quand ton « enchanté » ne prend pas, tu tentes le tout pour le tout "Si tu hésites, c'est l'hiver, il fait froid et je suis chaud. Nuit tôt, et je m’éclaire à la bougie». Oui, parfois dans le noir c’est noir, il y a plus d’espoir.  
Quand ça prend, le combo sushi/dvd t’ayant valu ton dernier découvert, tu conclues désormais à coups de coups à boire avant de leur asséner le coup fatal nuptial. Ton filtre d’amour ? Un vin à 3 euros acheté chez l’épicier. Le carrosse ? Le Uber poule que tu lui paieras pour venir – pas pour rentrer - à moins de 7 euros. Tu trouves que 10 euros pour baiser faire l’amour c’est déjà très généreux.
 Oui toi, tu fais l’amour - et la révolution, comme dirait Zazie. Toi tu fais l’amour. Toi t’es un romantique.
 Dans un lit, c’est vrai que tu donnes. Tout. Un peu trop. Si bien qu’on se croirait dans un couplet de Booba et c’est pas toujours poétique Lover. Tu t’es mis en mode Karma’sutra. Ta vie c’est un 69, tu donnes, mais tu reçois pas toujours. Tu pars du principe que tout se note, sauf que non tu n’es pas sur Tripadvisor mais juste sur Tinder. Et le seul qui trip c’est ton égo.
 Quand elle se rhabille en te disant merci – comme on dit merci au plombier- tu lui dis qu’elle est belle avant de l’embrasser. Sur le front. Quand elle claque la porte, ça te rappelle ton ex, sauf que là c’est toi qui décide de ne pas la rappeler. Cette pensée, c’est ton deuxième orgasme de la soirée. Elle, elle entame son énième Walking Dead of Shame, sourire aux lèvres, elle est en couple jusqu’à ce que ton silence radio vous sépare. Toi, tu appelles tes potes maqués pour leur raconter tes exploits. Tu penses qu’ils t’envient mais eux se disent juste que t’es perdu dans le monde merveilleux des strings à paillettes et des culottes au rabais, quand eux ont droit à de la dentelle.
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  Mais toi, dans le fond - tout au fond- t’es un romantique. T’es romantique avec toi même. Pour le plaisir, dirait Julien Lepers. Alors parfois, les 3 premières semaines t’es à fond. Tu t’attaches, enfin tu l’attaches. Tu dois être sûr que plus personne ne te quittera. Sauf que d’un coup, misère. Elle se met à parler. Tu tentes un roi du silence, prétextes que t’as mal au crâne comme une mère de famille, tu la fais venir plus tard, tu pars au boulot plus tôt. Mais trop tard. Quand elle te dit qu’elle cherche un appart tu penses qu’elle veut emménager. Quand elle t’envoie des photos avec ses nièces, tu penses qu’elle veut un bébé. Or t’es encore un bébé. Tu te dis torturé, blasé, dépassé, harcelé, t’es pas prêt.
 Puis soudain, coup de cœur de la rétine. Pas de Selfies surexposés, pas de Snapchat décérébré, aucun filtre entre toi et elle, si ce n’est un peu de blush. Sauf que voilà c’était du bluff. Toi tu te voyais déjà à Portofino avec elle cet été. T’avais même repéré un petit Trikini sur une de ses photos qui te faisait rêver. Pendant 1 mois, tu échanges avec elle, textos, sextos, selfies, photos de son goûter, de son chat, de son appart, de ses copines, photos câlines te rapprochant doucement de LA photo coquine. Le Graal. Et puis un soir elle te fait l’amour – comme jamais – sur ton futon. Depuis toi et ton futon vous êtes a-mou-reux. A ceux qui te disent que c’est rapide tu dis que le Prince a pécho la Belle au Bois dormant AVANT de connaître son prénom.
 Mais elle ne te rappelle pas. Distante, fuyante, déroutante. Elle te rappelle quelqu’un. Toi.
 Que s’est-il passé l’Amour ?
 Comme Booba, tu comprends vite qu’elle t’a juste utilisé. Elle voulait l’oublier. Lui, son ex. Comme toi tu voulais l’oublier. Elle, ton ex. Et oui, ce matin un lapin a tué un chasseur. Ersatz de passion. Tu n’es qu’un pansement qu’on arrache d’un coup, cellules épithéliales et poils compris. Tu as mal. Toutes des putes. Petit cœur fragile. Plus jamais. Tu joues à Fifa, puis tu décides d’aller faire un tour sur Tinder… Histoire de l’oublier… 
Isabelle Siryani
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margauxfoucret · 6 years
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that you become everything script
May you be consumed as coal upon the earth,
may you shrink as dung upon a wall,
and may you dry up as water in a pail,
may you become as small as a linseed grain,
and much smaller than of the hipbone of an itch mite,
and may you become so small that you become everything
des mots perdus dans les hauts dans le point culminant des forêts ou des montagnes
des cris en silence qui font trembler les gravillons
frémir les étoffes
des noeuds pliés agglomérés et tendus
il y a un fenestrou
la pénombre pénètre dans la maison
comme le diable dans un ventre de colère
le bleu sombre habille les visages
les porcelaines sont brisées
éclats au sol
sol dans les pieds
épines dans les gorges
prenez des os broyez les
cueille le thym la sauge et l'opium
écrase écrase écrase
mélange d'alchimie
qui n'existe encore pas
ni dans le sang ni sur la butte
prenez des os broyez les
broyez les
broyez les
broyez les
dans le bleu des murs de paille
où le feu brûlera
l'air est encore froid
les murs s'effritent
la lumière change de direction
les pôles s'échangent
l'est est au sud
que l'ouest est au nord
les peaux bleues dans la maison se fondent au noir
cut
coiffe au sol
cut
soulève la poussière
cut
les robes chutent
cut
peau révoltée contre le froid
cut
un pas le monde se soulève
cut
poussière poussière poussière
joues baignées
la boue
cut
May you be consumed as coal upon the earth,
may you shrink as dung upon a wall,
and may you dry up as water in a pail,
may you become as small as a linseed grain,
and much smaller than the hipbone of an itch mite,
and may you become so small that you become everything
alors que les mains s'agitent
bien que lentes
dans un ordre établi
cut cut cut
le diable dans le ventre de la terre s'agite
le sang coule dans les rivières
on voit à peine les yeux émerger de la fange
le blanc en ressort
et effraie les égarés
en plein sol la chaleur se répand
elle court le long des tables de bois
court dans les escaliers
se consume dans les literies
les draps torches allument la nuit
toutes les mains enserrent en leurs poings
des métaux fumants
en fusion
en fusion
en fusion
en fusion
la sorcière dans son cercle calciné mêle étain et joie
sa cuillère de plomb danse
dans le sang jusqu'à l'océan
les corps magiques s'élèvent dans toutes les profondeurs
et les sauvés deviennent chasseurs
pour la guerre secrète
les vents sont forgés de colère bouillie
les tambours de cheveux tendus
résonnnent dans un ressac disparate
fissures de verre dans une syntaxe imaginée
les roches brisées s'érigent en vacarme
cercles de pierres en pentes douces contre les amours humides
mercures et plombs cachés dans les buissons comme les parois de béton
les esprits roués
les esprits roués
les esprits roués
fièvre sur les falaises
fièvre dans les immeubles
et fièvre aux carrefours de campagne oubliés
pour la guerre secrète
aux terres désolées
aux mains coupées et dissimulées sous les oreillers
aux muscles cardiaques détenus et emmurés
aux souffles contenus dans des paquets de cigarettes jamais fumées
aux fleurs fanées dans leurs soliflores pleins d'eau trouble
aux tombeaux déjà creusés
aux tombeaux rouverts en pleine nuit
aux corps perdus
aux chibres tendus
aux âmes pendues
aux fous courant nus dans la nuit
à la fortune écrasée dans les couloirs resserrés d'un destin qui n'existe pas
aux galets roulant dans la virginité du matin
aux fumées silencieuses
aux fantômes peuplant les interstices
aux pages blanches à l'embrasures de nos coeurs roués
May you be consumed as coal upon the earth,
may you shrink as dung upon a wall,
and may you dry up as water in a pail,
may you become as small as a linseed grain,
and much smaller than of the hipbone of an itch mite,
and may you become so small that you become everything
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