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#Billet littérature
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Nicolas Perge - Lise Deharme,
Cygne noir RENTREE LITTERAIRE 2023 Nicolas Perge met en lumière une poétesse et romancière qui marqua de sa présence étonnante le mouvement surréaliste. Lise Deharme fut une muse, une salonnière, grand train, mais aussi une créatrice, attachée dans la vie et dans ses œuvres, à la liaison du merveilleux et du réel. Figure semble-t-il incontestable de ce mouvement qu’André Breton créa et assura…
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auteuranoumou · 1 year
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Titre : La lettre
Au soir d'un jour de fête, et d'alcools abusés, je m'étais allongé dans la baignoire, ne trouvant ni la force ni l'intelligence pour tourner le robinet.
Comme souvent, lorsque je laisse mes sens, se griser dans l'océan des bouteilles de rouge, mes paupières se baissent, le sommeil me prend. Un sommeil, dis-je ? Un coma, en réalité.
Le voyage dans mon subconscient semblait plus réel que la pâle vie sans couleur que je mène, sous les projecteurs gênés du roi soleil.
J'atterris dans un pays. Je me retrouvai dans une file, au milieu d'autres gens, hommes et femmes, avançant tête baissée comme des zombies. Je sentais dans mon cœur que l'acte qu'on s'en allait poser n'était guère joyeux. Un rapide coup d'œil derrière, et le flash back de toute l'histoire se téléchargea dans mon esprit.
Je faisais partie d'un groupe de grévistes d'une usine. Nous étions 3000 à avoir été licenciés pour avoir réclamé nos droits. Je me disais que si nous étions tous de retour, faisant la queue, c'était sûrement parce que nous avions eu gain de cause. Alors, pourquoi ces mines déconfites, traînant des pas comme les condamnés du purgatoire ?
Après quelques minutes, j'arrivai à mon tour devant une table derrière laquelle était assis un être portant une veste brillante en peau d'agneau. Sur sa tête, un vilain masque de loup vantait l'exergue de la contraste. Mais, ce n'était pas le plus troublant. Posé sur la table, un stylo à côté d'une pile de papiers sur lesquelles était écrite une lettre. À côté de la pile, on avait placé une boîte contenant des pièces d'argent. Chaque collègue plaignant qui m'avait précédé avait laissé une pièce avant de prendre la lettre. En somme, ils venaient d'acheter une lettre, et toutes les personnes derrière moi, feraient pareil.
Au son de ma pièce se cognant contre les autres dans la boîte remplie à ras le bord, mon cœur résonna et je fus pris d'une nausée en lisant le contenu de la lettre. C'était une horrible lettre de demande de pardon à notre employeur. Et on a dû payer. À quoi aura donc servi notre soulèvement ? Le rebelle en moi voulut se plaindre, prêt à prendre l'injustice par le col. Soudain, des souvenirs qui n'étaient pas le mien me vinrent en image. J'avais une famille. Une femme qui usait sa santé à vendre des tomates, tenant fermement le diable par les cornes, y laissant ses ongles et sa dignité. J'avais deux enfants. Un fils qui avait de bons résultats à l'école et que je devais pousser jusqu'au bout. Une fille qui sombrait dans la délinquance, vendant son corps à des gens de tout âge, alors qu'elle n'avait que 16 ans. J'avais des charges plus grandes que ma tête, et pourtant, je les avais réduites au strict vital. Par-dessus tout, je n'avais personne. Pas même le Dieu que j'implorais dans mes prières ne semblait se préoccuper du sort des pauvres. Pourtant, je voyais les riches le remercier, j'entendais le Pasteur me dire d'être reconnaissant. Reconnaissant de quoi ? Même le diable ne daigne pas prendre ma misérable vie pour écourter ma peine.
Des larmes chaudes brouillaient mes yeux. Personne ne nous défendait. Tout le monde nous regardait en silence. Parce qu'ils ne veulent pas perdre la "grâce" d'avoir une belle voiture, une grande maison, des faux cils, changer de smartphone sans savoir pourquoi ils font ça. Ils sont nombreux à avoir la force mais manquent de courage et de volonté. Et moi et mes collègues ne sommes pas meilleurs. Nous avons plié face à l'adversité, attendant un héros dans un monde où il n'y a pas assez de gratte-ciels auxquels le héros pourra s'accrocher.
Je me réveillai dans ma baignoire. Il faisait jour. J'avais des larmes et de la morve mélangées à de la bave sur mon corps. J'étais en colère. Maintenant, je sais pourquoi je n'arrêterai jamais d'aimer mes adorables bouteilles de rouge.
Écrit par Amétépé ANOUMOU-FONTRIER
Toute ressemblance avec une personne, un évènement, une actualité ou un lieu est fortuite. 😊
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contesdefleurs · 5 months
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Lire ou ne pas lire assez : telle est la question
Lit-on assez ? Une question à laquelle certain-e-s disent non, encourageant ainsi la quantité de lectures.
Il y a de cela un moment, je voyais circuler l'idée selon laquelle on ne lit "pas assez". Qu'il faut lire un certain nombre de livres pour pouvoir écrire, que les récits imagés, comme les BD, mangas, et autres formats semblables, ne comptaient pas. Il est peut-être nécessaire de faire quelques rappels.
Pour commencer, nous vivons dans une époque où la jeunesse est décrite comme une génération manquant de l'intérêt pour la "sainte" lecture. Cette affirmation n'a jamais été aussi fausse. Avec la naissance d'internet et des réseaux sociaux, la multiplication des plateformes de lectures, les partages de textes, les nouveaux outils de lecture comme les tablettes par exemple, les formats, nous n'avons pas connu une jeunesse aussi intéressée par la lecture. Déjà parce que la lecture n'est plus réservée qu'à une classe sociale, mais en plus de cela l'apparition de nouveaux outils et leur accessibilité est plus répandue de nos jours. Une des différences majeures, c'est qu'elle ne s'intéresse pas à la même littérature, du moins pas à la littérature qu'on peut imaginer.
Les livres "classiques" n'intéressent plus les gens comme avant, tout simplement parce que la société a évolué. Continuer de considérer l'objet livre, la littérature classique et une forme unique comme étant des critères qui valident ou non la légitimité à se dire écrivain-e, ou même lecteurice, c'est tenir une position plutôt conservatrice. Sacraliser l'objet livre et des textes anciens, c'est ce qui caractérise des idées qui ne vivent que dans le passé sans accepter que l'on puisse évoluer. Cela montre aussi un manque de recul sur le fonctionnement d'une société. Si ses outils, ses objets et ses moyens évoluent, de fait, notre manière de lire, manger, se divertir va évoluer aussi. Rien de bien révolutionnaire finalement.
De plus, la quantité de lectures dépend d'autres facteurs. Certains d'entre eux, selon les milieux et les personnes, ne sont pas considérés comme légitimes également. De même que pour le livre et la littérature classique, on tente par ce genre de propos de suivre, voire défendre, des normes sociales dans le milieu de l'écriture et de la littérature. Oui, il est normal de ne pas pouvoir lire cinquante livres par an et de ne pas le vouloir aussi. Oui, on peut aimer lire et écrire en lisant peu et être écrivain-e. Même si l'accessibilité de la lecture est plus répandue, elle n'est pas simple pour autant. Même si la lecture est davantage possible dans différents milieux sociaux, elle est beaucoup plus présente dans les milieux privilégiés parce qu'ils ont, comme le nom l'indique, des privilèges qui permettent d'accéder plus facilement et plus régulièrement à la lecture et à la culture de manière générale.
En fin de compte, la lecture n'est pas quelque chose qui ne se résume que par l'action de lire. Comme dit dans un précédent billet, il y a des enjeux sociaux à prendre en compte. Si le mot "écrivain" devient un titre réservé à une élite dont les critères arbitraires résident dans la quantité de lectures notamment, alors il ne restera de ce mot que l'idée qu'il faut lire toujours plus. D'où l'injonction régulière de lire souvent. Mais qu'est-ce que cela signifie lire dans ce cas ? S'il y a des "excuses" plus acceptables que d'autres, pourquoi les facteurs sociaux seraient dans ce cas moins légitimes alors qu'ils montrent des inégalités que l'on observe déjà sur différents plans ?
Lire ou ne pas lire assez : tout dépend des critères qui sont instaurés, et surtout par qui. Personnellement, je pense humblement qu'il faut cesser de défendre des idées qui tendent juste à créer des hiérarchies qui ne serviront qu'à rassurer celleux qui ont besoin de légitimer une supériorité inexistante pour taire l'existence de leurs propres privilèges. Elles tendent à nier les inégalités et à banaliser les oppressions en dénigrant des classes sociales. Ce mot n'est pas vulgaire, il décrit une réalité. Il n'y a pas de chance ou de volonté, il y a des facteurs à prendre en compte. En parler met mal à l'aise, parce que cela prouve que cette supériorité n'est pas innée, n'est pas à récompenser et encore moins à applaudir. Peut-être que dans l'imaginaire collectif, elle existe et qu'elle représente un idéal de réussite. Dans le monde réel, il s'agit en vérité que d'une illusion idéologique.
Lire autant que l'on souhaite, si on le souhaite. Et écrire autant qu'on le veut, si on le veut. Lire et écrire en s'amusant, en prenant plaisir de le faire, parce qu'on apprécie ces activités, et non parce qu'il "faudrait" le faire, c'est probablement cela que l'on devrait défendre. Qu'en pensez-vous ?
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Merci pour ta lecture ! À bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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argentinechili2024 · 2 months
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Merveilleuse dernière journée à Santiago
Quelle belle dernière journée à Santiago! Nous avons fait comme les locaux en cette journée dominicale.
En premier, nous avons marché jusqu’à la colline du Cerro San Cristobal, où se trouve la statue de la Vierge qui bénit la ville de Santiago.
En achetant les billets pour le funiculaire et le téléphérique, la jeune fille nous a demandé si nous avions plus de 60 ans. J’ai répondu « oui ». Elle a demandé : « tous les deux »? d’un air suspect. J’ai failli la remercier d’avoir douté (hahaha). Cela nous a donné un rabais sur les billets.
Ce parc est vraiment super. C’est un oasis de verdure en pleine ville. On y a vu des familles, des cyclistes (énormément), des marcheurs, des personnes âgées. C’était dimanche, donc, il y avait foule.
Nous sommes descendus au bout de la ligne du téléphérique. A cet endroit, il y avait un parc d’aventures pour les enfants. Nous sommes allés déjeuner dans un mignon petit café où se trouvaient familles et cyclistes.
Sur le chemin du retour, nous sommes allés au zoo de Santiago, également situé dans le parc. Encore une fois, l’entrée était gratuite. C’est vraiment spectaculaire!
Pour terminer notre visite, nous sommes allés visiter la maison du poète Pablo Neruda, prix Nobel de littérature. C’était un vrai bijou. On y voyait les pièces entièrement décorées et plein d’objets utilisés par le poète et sa dernière femme, Mathilde. La vidéo à l’entrée et la visite effectuée donnent envie d’en apprendre plus sur l’histoire difficile de ce pays.
Pour clôturer notre journée, nous avons pris un verre dans le quartier Bellavista. On y voyait plein de Chiliens attablés à de petites tables, riant et discutant.
Retour à l’appartement, puis dernier souper dans le quartier Listerria. Puis, douche et préparation des valises. Nous avons quitté l’appartement à 21 h 30 en direction de l’aéroport.
J’écris ce blogue depuis l’aéroport de Bogota en Colombie. Nous attendons notre prochain vol à destination de Montréal.
À bientôt!!
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Quartier bohème Bellavista dimanche matin. Les rues sont bordées de petites maisons colorées avec des fresques.
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En montant dans le funiculaire.
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Au sommet de la colline, la Vierge bénit les habitants de la ville. Nous avons allumé un cierge pour le papi de Jess décédé brusquement pendant notre voyage. Que son âme repose en paix!
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Besucoup de cyclistes s’entraînent le dimanche à Santiago.
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Les fameux pingouins vus au zoo de Santiago.
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Visite de la Chascona, l’une des trois maisons du poète. Les deux autres sont à Valparaiso et à Isla Negre, où il est enterré avec Mathilde.
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Salle à manger de la maison, construite comme un bateau.
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Plaza Bellavista, où nous avons pris un verre avant de rentrer à l’appartement.
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Picso Sour et jus de mangue.
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Dernier souper à Santiago…
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Rédiger votre mémoire en 60 jours c'est possible!
Avant de commencer, je voudrais avertir tous nos lecteurs que dans ce blog, nous ne faisons de focus que sur la rédaction de mémoire dans les business schools ou masters professionnels des universités.
Les méthodologies pour les masters recherche ne seront pas traitées car le public concerné est supposé être suffisamment outillé en méthodologie et techniques de recherche et de rédaction de mémoire.
Si vous êtes prêts, alors préparez vous à plonger dans une démarche simple, didactique et efficace pour rédiger en 60 jours votre mémoire.
Je vais structurer la démarche en plusieurs étapes dont chacune fera l'objet d'un billet spécifique à la fin de laquelle je mettrai à votre disposition des modèles, des exemples pour vous aider à pouvoir rendre les théories opérationnelles par rapport à votre champ spécifique de recherche.
Le plan que nous vous proposons est le suivant:
1. ETAPE 1. Le choix du sujet,
2. ETAPE 2. La recherche exploratoire,
3. ETAPE 3. Le projet de mémoire,
4. ETAPE 4. La structure du mémoire,
5. ETAPE 5. La problématique,
6. ETAPE 6. Les objectifs,
7. ETAPE 7. Les hypothèses,
8. ETAPE 8. La revue crique de la littérature,
9. ETAPE 9. Cadre et champ de l'étude,
10. ETAPE 10. Méthodes et techniques de recherche,
11. ETAPE 11. Méthodes et techniques d'analyse de données,
12. ETAPE 12. Le cadre organisationnel,
13. ETAPE 13. Le cadre analytique,
14. ETAPE 14. La bibliographie,
15. ETAPE 15. Appendices, annexes et autres...
16. ETAPE 16. La présentation / soutenance.
Vous souhaitez un accompagnement personnalisé, n'hésitez-pas à nous contacter sur notre adresse : [email protected]
Ou par téléphone au +221 77 697 26 54
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claudehenrion · 11 months
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Et si on parlait de l'islam ? – ( I ) : un peu d'histoire proche
   Il y a quelques jours, faisant une recherche, j'ai retrouvé un ''Billet'' qui évoquait l'idée, attribuée à André Malraux, que ''le XXI ème siècle sera religieux ou ne sera pas''. Au moment où la France s’apprête à se déchirer à nouveau  (une recette ‘’Spéciale Macron’’ !), cela m'a remis en mémoire une prédiction vieille de plus de 40 ans que rien n'est jamais venu rendre caduque : '' Malheureusement,  le monde ne pourra pas faire l'économie d'une guerre totale contre l'Islam''. Inutile de dire que cette idée, émise aujourd'hui, ferait de son émetteur un monstre, un tout-ce-que-vous-voulez-o-phobe, une raclure de l'humanité. Il ne lui serait ni permis ni possible de s' expliquer : l'islam serait devenu ''une religion d'amour'' un ''iso-christianisme.
Pour parler de l'islam, de nos jours, pas besoin de savoir de quoi on parle : il suffit d'enfiler des colliers de fausses perles de lieux communs, de poncifs, d’ idées toutes faites (et généralement très fausses)... dont celui qui les profère serait bien incapable de dire à quoi tout ce fatras correspond dans ses souvenirs remplis de stéréotypes, en général sans rapport avec quelque réalité que ce soit. Essayons de trouver un sens à ces pagailles de méconnaissances dont certaines –histoire de tout compliquer ! – peuvent paraître exactes, puisque rien n'est jamais ''tout'' ou ''que'' mauvais –(sauf, à en croire le scénario du moment, les populistes, les russes, et l'immense masse de ceux qui ne bavent pas d'admiration devant la perspective d'un 8 ème ou d'un 9 ème ''vaccin''... ou devant le ‘’danger-issime’’ de voir une moitié de l'humanité, puis l'autre, vouloir changer de sexe --on dit :’’de genre’’ ?.).
Car oui, bien sûr... il y a les monuments que l'islam a construits, notamment iraniens, moghols et grenadins, d'une beauté admirable : ma bibliothèque regorge de livres (que je feuillette souvent) sur ce sujet... Et il y a la littérature et les sciences qui ont été développées par des musulmans  (en général grâce à des esclaves européens qui traduisaient les richesses de la Bibliothèque d'Alexandrie –le plus souvent en grec)... Il y a aussi une mystique et un sens du sacré… que nous ; occidentaux, avons perdus en chemin, échangés contre du rien, des mots vides et notre néant... Mais –pour ne pas trahir la Vérité et la grande Histoire-- il y a aussi la litanie interminable des meurtres, des horreurs, des massacres, des génocides perpétrés par les musulmans, ces populations entières mises en esclavage, et tout ce que le petit narratif moderne, convenu obligatoire mais dépourvu de tout lien avec ''ce qui s'est passé'', met un point de déshonneur à oublier... ou à fabriquer en permanence une saga mensongère incontournable....
Ces deux tendances antagonistes donnent de l'islam une image difficilement compréhensible, aussi bien par les islamophiles qui ne veulent retenir de la culture islamique (dont ils ignorent tout, le plus souvent) qu'un pacifisme impossible et inventé, lui aussi,, que par les islamo-sceptiques qui évoquent une violence qui semble être inhérente à l'islam et qui l'a accompagné et escorté partout et de tous temps. Conséquence directe : avant de le déclarer ''inoffensif'' et ''user-friendly'' (= amical, bienveillant) et d'en faire une sorte de clone de la révélation christique et de son ''aimez-vous les uns les autres''... il y a un gouffre  qui, sauf exceptions rarissimes, n'est pas franchissable... Pourtant, plus le temps passe et plus notre Occident en pleine décadence (cause ou effet d'erreurs d'analyse, reconduites et répétées) semble se vautrer dans des visions qui sont fausses à en être mortelles
La première erreur que fait l'Occident, c'est de décliner en permanence un amalgame entre islam et arabes. La majorité des arabes sont musulmans, mais ils ne sont eux-mêmes qu'une minorité dans ''l’oumma'', la communauté (?) des musulmans qui pratiquent une forme ou l’autre de l’islam. Les Malais (200 millions), les Hindous (170 millions), les ''Pakis'' (200 millions), les turcophones (250 millions), les berbérophones (50 millions), etc... sont plus nombreux, et fournissent d'ailleurs les plus gros contingents des savants, des artistes de ce qui est généralement appelé ''la culture musulmane''. Le seul savant authentiquement arabe qu'a retenu l'Histoire fut Ibn Kaldoun, né en Tunisie de parents venus de la péninsule arabique, et il fut l’un des critiques les plus durs des mœurs arabes. ''Partout où les Arabes sont passés, ils n’ont laissé que ruines et désert derrière eux'', écrivait-il en 1377. Sans doute un islamophobe avant l'heure, selon les critères de nos cuistres-aux-manettes ! Être musulman n'est pas synonyme de être arabe, la réciproque étant vraie, aussi... et critiquer n'est pas détester  --sauf en Macronie immigrationniste !
La seconde erreur est de croire que l’islam serait une religion, au sens où les chrétiens –et eux seuls, au monde--  emploient ce mot : l'islam est, avant tout, une idéologie morale et politique théocentrée. La confusion, fréquente, vient de ce que cette ''idéologie'' s’habille d’une religion (mais c'est sans doute le regard, très orienté ''christianisme'' que nous portons sur lui, sans même nous en rendre compte, qui est responsable de cette impression).  Mahomet, imitant Abraham et Moïse, eut l’idée de justifier ses visées politiques, ses lois et ses actions militaires (parfois d’une férocité incroyable) par des ordres divins confirmés par Dieu Lui-même (via l'archange Gabriel --Djibril). Mais au delà de cette version ''à l'eau de rose'' réécrite par nous, il en existe d'autres, dont une, récente, écrite par Oussama ben Laden, dans Guerre sainte multinationale (Ed. Gallimard, 2002), résumait l’idéologie de l’islam en trois étapes essentielles (je cite) : (1)- le terrorisme, vestibule du califat ; (2)-le califat international, étendant la domination de l’islam sur la Terre tout entière ; et (3)- l’Apocalypse musulmane donnant enfin à Allah et à son peuple la totalité du pouvoir sur la Terre tout entière.
Peu d'observateurs, embués qu'ils sont dans leur lecture ''iso-chrétienne'' du monde et de ses évolutions, ont lu entre les lignes que Oussama Ben Laden, homme d'affaires confirmé, avait organisé le terrorisme sous une forme inspirée de celle d’une ''multinationale'',  en octroyant des ''franchises'' à un réseau diffus de cellules autonomes, qui font que les djihadistes post-Al Qaïda sont des produits du monde laïc moderne : ils ont les préoccupations politiques de leur temps, des moyens financiers importants, des moyens militaires on ne peut plus actuels, une maîtrise de la technologie occidentale et un savoir-faire top en communication.
Le pseudo-califat dit État Islamique d'Abou Bakr al Baghdadi poursuivit l’action terroriste en repartant de la base logistique d Al Qaïda, et le livre La Gestion de la Barbarie d’Abou Bakr al Naji, qui organise déjà la gestion islamique de l’Europe, constitue la preuve la plus indiscutable que, contre tous les idiots criminels qui ne veulent que l'anarchie et le désordre (une certaine France en a même fait entrer 75 dans notre Assemblée nationale, ce qui est pire qu'une faute : c’est un crime), le principe que les clairvoyants désignent par ''le Grand Remplacement'' est, au pied de la lettre, le seul objectif de la vaste majorité de nos ''migrants'', décrits par les idéologues du pire comme dépourvus de toute mauvaise intention. (NDLR : les deux livres cités ci-dessus devaient être lus, relus et des pages entières apprises par cœur par nos contemporains. Or...personne ne se souvient même de leur existence... et je le dépore,  souvent, en établissant un parallèle avec ''Mein Kampf'' –dont Lyautey disait ''Tout français doit lire ce livre''... L'histoire, parfois, sert et re-sert les plats les plus indigestes !). (à suivre)
H-Cl
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stories-of-c · 1 year
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E.
Chef de projet Tech - 25 ans - français - verseau
Ma dernière histoire du mois de novembre, c'était avec E. J'ai un excellent souvenir de cette histoire parce qu'elle était simple, sans gênes, facile. J'ai rencontré E. le lendemain de la soirée avec A (le trader). Nous nous sommes donnés rendez-vous dans un café-brasserie pas très loin de chez moi. Je me souviens c'était une journée ou j'étais rentrée assez tard / tôt le matin. Je n'avais pas dormi parce que j'avais un rendez-vous chez le coiffeur. J'en suis même sortie à 15 heures. Enfin, j'ai plu à E. et E. m' a plu. Nous avons beaucoup ri, beaucoup parlé. E. est un bel homme mais n'est pas le genre d'hommes sur lequel je me serais retournée dans la rue. En revanche E. est assez interessant. Il aime la musique, l'art, la littérature et le voyage. Je me souviens à la fin de cette soirée, nous marchions dans les ruelles de Paris lorsqu'il est venu m'entrainer pour m'embrasser. Je n'ai pas ressenti d'effet particulier. Je pense que E. a clairement été victime de mon nombre de conquêtes à ce moment là - ce qui disons le clairement - annihilait en moi tout véritable désir. Je suis rentrée chez moi - seule. L'histoire se corse un peu. Nous nous sommes revus quelques jours plus tard. Il était 16 heures, un samedi après-midi. Je prends un verre de vin, lui une bière. Un de ses copains nous rejoint. Un de mes copains m'appelle. Le plan : mon meilleur ami me propose de sortir au REX (c'était ma première soirée la bas. Je vous assure que je n'y retournerai pas). E. prends son billet pour m'accompagner. Je suis contente. C'est la première fois qu'un mec vient en soirée avec moi alors que nous ne nous connaissons pas. Je trouve ça véritablement "cool" de se connaitre dans ce contexte. BON ! Nous rentrons chez moi, déposer nos affaires et la nous couchons ensemble. Je me souviens encore de son corps, de son torse poilu. Il était vraiment beau nu. C'était vraiment un bon coup ce mec.
Mais je ressentais rien. Je ne sais pas comment je pourrais vous l'expliquer. Ce mec était parfait, mais j'en voulait pas. Je me souviens lui avoir chuchoté dans l'oreille en fumant une clope que c'était un fckg bon coup. Il a clairement surenchéri. Nous sommes ensuite allés chez mon meilleur ami puis en soirée. La ! ça a été compliqué. BON ! Chez mon meilleur ami, nous étions 4. E, mon meilleur ami, un ami de mon meilleur ami et moi même. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Mais j'ai globalement ignoré E. toute la soirée. J'ai eu véritablement un coup de foudre pour l'ami de mon ami. Pour rappel, j'écris ces lignes au mois de mai. Cette histoire a eu lieu en Novembre et je pèse mes mots. Un fckg coup de foudre. Nous sommes allés au REX. E. est parti vers 4 heures. J'ai passé ma nuit avec l'ami de mon meilleur ami qui m' a embrassé à plusieurs reprises. Cette soirée était magique. Et la... Un mec dans le fumoir m'a chopé et m' a forcé a l'embrasser. Je me suis débattue. L' ami de mon ami est parti. J'étais triste. profondément triste. Je me souviens lui avoir envoyé un message pour qu'il me rejoigne le samedi d'après dans le café en bas de chez moi. Je lui ai laissé le choix - "je serais à xxxx toute la journée, je t'attends" Et bah vous savez quoi. Il faisait à peine 5 degrés et j'ai attendu toute la journée dehors assise sur cette terrasse de café à l'attendre. de 9h à 18 heures 30 au moins, vous vous rendez compte ! BON ! Il a bien fait de pas venir je crois.
Et puis j'ai raconté toute l'histoire à E. et n'ai plus donné de nouvelles. J'espère qu'il va bien. C'était un chic type.
11-22 C.
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bonheurportatif · 2 years
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Quelques trucs bien en juin
1er juin Courir parmi les escargots Échanger quelques mots avec le labrador du bas de la rue Prendre le temps d'un peu de volley sur la plage avant de coucher la plus jeune 2 juin Boucler une matinée de mails, barbante mais indispensable S'amuser du cadeau reçu par la poste (deux places pour un parc à thèmes où l'on n'ira pas) Rester jouer près d'une heure dans l'eau
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3 juin Rouler dans les flaques d'eau à vélo en levant les pieds pour ne pas se tremper Avancer opiniâtrement dans l'abattage des travaux en cours Supporter la jeunesse dans un tremplin rock 4 juin Faire de l'houmous-maison-minute Retrouver Proust par un sentier facile Aller faire quelques passes sur la plage 5 juin Manger ses premiers abricots Retrouver le titre de Goldfrapp à partir du fredonnement approximatif de sa fille Mettre un terme à la carrière d'emmerdeuse de trois mouches, coup sur coup 6 juin Doubler, l'air de rien, deux groupes de coureurs eux-mêmes occupés à se doubler Avancer, toujours aussi opiniâtrement, dans l'abattage des travaux en cours Faire chier les méduses 7 juin Tomber sur deux titres que l'on croyait perdus dans une des bibliothèques de la maison Dévoiler ses "trucs bien" à de nouveaux lecteurs Recevoir plusieurs sollicitations pour des ateliers à l'automne 8 juin Entendre juste après la pluie de la nuit le premier chant d'oiseau Arriver à la station service juste avant que le réservoir ne soit complètement à sec Passer à côté d'un massif odorant de chèvrefeuille 9 juin ... et encore une nouvelle proposition d'ateliers d'écriture Préparer un riz cantonais végétarien Croiser un magnifique spécimen de Johnny Hallyday 10 juin Découvrir le premier titre du prochain album de Dominique A Se faire offrir et croquer des feuilles au goût d'huître Boire sans trop de modération 11 juin Composter son premier billet numérique Décrocher un premier rendez-vous pour visiter un appartement pour son fils Organiser au débotté une soirée d'anniversaire 12 juin Sentir l'odeur du sol chaud après la pluie Trouver la dernière place du parking Savourer l'élimination sèche de certains candidats aux législatives 13 juin Courir vite Écrire vite S'arrêter tôt 14 juin N'avoir que 20 mn pour une réunion et en profiter pour aller à l'essentiel Abattre plus de boulot qu'envisagé Faire un foot avec les enfants sur la plage au coucher du soleil
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15 juin Visiter un beau haras, bien caché Contenir la chaleur caniculaire Entr'apercevoir le bout d'une looongue séquence de boulot 16 juin Feuilleter le nouveau Matricule des anges, et cocher déjà trois bouquins lus Voir l'horizon se dégager sur le front du cancer Se voir proposer une nouvelle collaboration sur un projet d'écriture 17 juin Repérer la pointe d'accent belge dans la voix de son interlocutrice Porter un chapeau de paille Lire dans l'après-midi des conseils contre les piqûres de méduse, et les appliquer le soir-même 18 juin S'appliquer à faire un gros plat de taboulé Après quatre jours caniculaires, sortir sous un vent frais Regarder le spectacle des éclairs depuis les fenêtres des étages 19 juin Se réveiller dans une maison fraîche Se faire offrir un cerf-volant Se faire offrir deux cerfs-volants 20 juin Se faire offrir une poche de viennoiseries Abriter la retraite d'une pipistrelle apeurée Dessiner des silhouettes dans le trait de côte des pertuis 21 juin Accepter des ateliers d'écriture de récits prospectifs, ce qui relève déjà de la science-fiction Croquer dans un gros ourson à la guimauve artisanal Assister au premier soleil couchant de l'été 22 juin Rayer enfin le dernier truc à faire de la longue liste de tâches établie en début de mois Se fixer une destination de vacances et commencer à se projeter Se plonger avec un brin de fascination dans l'imposture mégalomane d'une vague connaissance 23 juin Sentir les immortelles le matin, le pétrichor en soirée Écouter sa fille et une copine causer littérature avant leur bac de français Acheter une table de ping-pong 24 juin Courir entre deux averses Céder totalement à la fatigue Participer à l'éveil sportif de sa fille 25 juin Gagner sa course contre la montre de la librairie à l'atelier de sa fille Répondre à un quizz en anglais, et ne pas trop mal s'en tirer Prendre le train un arrêt plus tôt, et découvrir un profil peu familier de sa ville 26 juin Se faire offrir des abricots Croiser des dromadaires Me reconnaître dans l'Autoportrait au radiateur de Christian Bobin
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27 juin Faire ses impressions Faire bonne impression Jouer les correcteurs 28 juin Choisir un doudou à offrir Fabriquer les petits bouquins pour les participants des ateliers Trouver un peu de courage et finir son travail de relecture avant le dîner, plutôt que de s'y remettre après 29 juin Travailler efficacement tout en papotant avec une personne qu'on apprécie Recevoir un gentil courrier de lectrice pour un vieux texte Ne pas mettre de réveil pour le lendemain 30 juin Observer l'ombre dansante des fanions sur le bitume Finir une poche de bonbons acidulés super-chimiques Boucler une moitié d'année de trucs bien Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai.
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MARDI 18 OCTOBRE 2022 (Billet 1 / 3)
A tout seigneur, tout honneur - en l’occurrence ici une « seigneuresse », commençons donc l’édition de notre Blog de ce matin par un petit article publié dans un grand magazine au sujet de celle qui vient de remporter le Prix Nobel de Littérature.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’au contraire de tous les hagiographes et/ou thuriféraires multi-présents dans tous les médias depuis l'annonce de son Prix, c’est que ce journaliste ne la caresse pas dans le sens du poil !
Lisez plutôt…
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[…] Le 6 octobre 2022, Annie Ernaux reçoit le prix Nobel de Littérature. […] Wikipédia résume ainsi l’intitulé de cette récompense selon son fondateur, le Suédois Alfred Nobel (en 1901) : « Le prix Nobel de Littérature récompense annuellement un écrivain ayant rendu de grands services à l’humanité grâce à une œuvre littéraire. » Oups ! Annie Ernaux a rendu de grands services à l’humanité : elle parle d’elle depuis 1974 ! C’est long. On appelle cela « l’autofiction ». Son dernier livre, « Le Jeune Homme », fait 27 pages. C’est peu.
Il ne faut surtout pas la critiquer, c’est « mâle ». Elle n’a pas un style plat, elle refuse de « faire beau ». Son œuvre est nulle, qu’importe, le public l’adore. Elle a dénazifié Gallimard : opération spéciale contre l’éditeur et écrivain Richard Millet, qui avait publié « Les Bienveillantes », prix Goncourt 2006, viré après les coups de boutoir de notre humaniste (la délation sous couvert de pétitions fonctionne encore). Elle n’aime pas Israël, mais, selon ses thuriféraires, le rappeler équivaut à atteindre le « point Godwin », habituellement réservé à Adolph Hitler, c’est amusant. Elle est féministe mais défend le voile. Elle soutient l’indigéniste Houria Bouteldja, qui le lui rend bien. 730 000 euros de dotation pour son Nobel : de quoi se payer une belle thalasso au Hamas ou à Téhéran, où tout le monde est pour la liberté des femmes.
(Source : « Nicolas Ungemuth - journaliste – critique littéraire »)
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No comment, il a tout dit.
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adri-atique · 2 months
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Don Quichotte: un ingénieux complotiste?
Après la semaine de la philosophie en mars 2023, le Cégep Garneau revient en force avec une première édition de la semaine de la littérature. Cinq jours, une cinquantaine d’invités et plein de facette de ce domaine qu’est la littérature. Tout ça pour le haut cout de 0$.
Lors de ma consultation de la programmation, mon œil fut attiré par le titre Don Quichotte : un ingénieux complotiste ? et, aussitôt, mon billet fut acheté. Don Quichotte a marqué ma deuxième année de cégep. Je ne l’ai pas lu personnellement, mais un de mes collèges de classe tentait, au travers ses cours et vie personnelle, de passer au travers de l’œuvre de Cervantes. En partageant nos lectures du moment, il me parlait des aventures et de ses impressions, et moi de même. C’est grâce à lui que Don Quichotte fut rapidement ajouté à ma PAL.
Ayant donc une certaine connaissance de l’étrange folie de notre personnage principale, j’ai assisté à la conférence avec intérêt. La conférencière commença par nous présenter l’œuvre à l’étude afin que nous ayons le bagage nécessaire pour faire les liens avec le complotisme plus tard. Passant par le plat à barbe, par les mœurs chevalières et par les moulins à vents, le gout de lecture m’a été encore plus engrainée.
La deuxième partie consistait à nous informer sur les caractéristiques du complotisme. QAnon, le complot du gouvernement lézards et la fraude électorale de 2020 auront servi d’exemples pour nous présenter ce phénomène autant vieux que d’actualité. C’est à ce moment de la présentation que l’audience s’est dégênée, probablement que la stupidité de certain complotistes a aidé, mais nous avons eu quelques échanges avec la conférencière que nous n’aurions probablement pas eu si la conférence n’avait pas éclairé ce sujet.
La conférence avait également pour but de nous donner le gout de livre Don Quichotte, et, même si cette envie faisait déjà partie de moi, je suis revenu chez moi plus tard j’ai dû me faire violence pour ne pas le commencer, j’avais des devoirs à faire. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu ma réflexion d’enfant de primaire. « C’est stupide les devoirs, pourquoi on en a ?? » Le nombre de fois que ma mère a du m’assoir à la table de la cuisine jusqu’à ce que je finisse mes devoirs… Je ne peux les compter.
La conférence a également éveillé en moi une envie d’en apprendre encore plus sur les complotistes. Le survol qu’on a fait durant la conférence m’a donné quelques complots à rechercher pour commencer mes apprentissages, mais, tout comme mon envie de lire l’œuvre de Cervantes, j’ai dû attendre un peu, le temps de faire mes devoirs.
Je pense que je n’ai jamais fini mes devoirs aussi rapidement.
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Charles Dantzig-Proust Océan
Prix des Écrivains du Sud 2022 Charles Dantzig signe avec Proust Océan une déclaration d’amour littéraire à Marcel Proust. Au moment où bientôt sera fêté (le 18 novembre 2022) le centenaire de sa disparition, l’écrivain nous replonge dans son œuvre, admiratif de cet homme qui a consacré sa vie à l’acte d’écrire. Proust Océan est implacablement documenté avec son ton exalté qui relie La recherche…
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EXTÉRIEURS. ANNIE ERNAUX ET LA PHOTOGRAPHIE
Jusqu'au 26 Mai
A la MEP Paris
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Extérieurs – Annie Ernaux & la Photographie célèbre la relation étroite entre la photographie et l’écriture d’Annie Ernaux, lauréate du prix Nobel de littérature en 2022, à travers des textes tirés de son livre Journal du dehors (1993) et des photographies issues de la collection de la MEP.
N'attendez plus, prenez votre billet:
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contesdefleurs · 9 days
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Dépolitiser la littérature met des vies en danger
Permettez-moi de faire au plus simple dans ce billet, parce que je m'adresse essentiellement à des personnes qui, comme moi, à l'époque où je ne comprenais pas ce que le mot "politique" impliquait, n'ont que peu de notions. Si vous souhaitez nuancer mon propos ou partager des ressources, n'hésitez pas à laisser des commentaires.
Cela semble exagéré comme titre ? Et pourtant, il n'en est rien. Depuis que je suis sur les réseaux sociaux, et en particulier dans la sphère littéraire de divers milieux numériques, beaucoup ont clamé haut et fort qu'il fallait "cesser de tout politiser" ou d'arrêter d'évoquer les questions relatives à la place de la politique dans nos ouvrages. Comme si dire que la littérature a un rôle social et politique, c'était prêter trop d'importance, ou trop de sérieux, à "un simple loisir". Chose que beaucoup de personnes pensent, la réduisant ainsi à un rôle unique : celui de nous divertir. Or, notre manière de nous divertir est bien plus politique que vous ne le pensez.
Introduction
Si vous n'en êtes pas convaincu-e, c'est peut-être que vous ne vous êtes pas interrogé-e sur le sujet, ce qui est normal, personne ne l'a vraiment appris. C'est en faisant des recherches, en rencontrant des gens ou en militant qu'on peut en venir à se questionner. Au cœur de notre imaginaire collectif, nous n'avons de cesse de voir partout des domaines relatifs au divertissement être réduits à une seule fonction : divertir. Certes, elle n'est pas négligeable, et elle est tout aussi importante à considérer. Sauf que c'est aussi un moyen de porter des idées. La mentionner chaque fois que l'on parle de politique a été, dans bien des situations, une façon de délégitimer des critiques, qui visaient, entre autres, des idées conservatrices et oppressives. Donc des idées susceptibles de mettre des personnes en danger, car les mettre en avant et les banaliser normalise des violences : le racisme, la misogynie, le validisme, la grossophobie, etc.
Quelques notions
"Discriminations", "oppressions". Voici des formes de violences dont vous connaissez peut-être les noms, ou que vous avez pu lire sur les réseaux. Ce sont des violences basées sur des critères arbitraires qui consistent à marginaliser, exclure, des groupes de personnes du fait qu'elles ne correspondent pas à des normes établies ou à un modèle social défini selon des hiérarchies, et cela varie en fonction des pays et cultures (aux causes et conséquences sociologiques et historiques différentes). Le fait d'être un homme blanc (au sens littéral comme au sens social), cisgenre, riche, valide, neuroT, hétéro, mince, etc fera que vous serez valorisé-e en France par exemple. Il vous sera plus facile d'obtenir un logement, un travail et d'autres avantages, au détriment d'autrui parfois. Pour peu que vous n'entriez pas dans ces critères, et que vous ne faisiez pas partie d'un groupe haut dans la hiérarchie, vous pouvez donc subir des violences. Les degrés dépendent du milieu où vous évoluez en société, de l'exposition à ces dernières, de vos liens sociaux et divers autres facteurs.
Le conservatisme est, d'après le dictionnaire de l'Académie française : "une doctrine ou état d’esprit qui tend à s’opposer à toute modification ou innovation, par attachement aux pratiques traditionnelles ou à un ordre existant". C'est donc un ensemble d'idées qui tend vers le maintien de ces dernières. Dans une société aux pensées conservatrices, il est donc fréquent que les normes, injonctions et modèles soient défendus au point de réprimer des idées qui osent s'y confronter, puisqu'elles sont banalisées et institutionnalisées. Cet "attachement" décrit dans cette définition n'existe non pas que pour la valeur sentimentale des traditions (argument souvent utilisé par la droite et l'extrême droite qui jouent sur les paniques morales et la fameuse "perte des valeurs et de notre identité"). Il est aussi présent parce que conserver ces hiérarchies favorise et avantage des groupes privilégiés (ceux qui sont donc en haut) au détriment des autres par leur exploitation. Il s'agit là d'un rapport de force se trouvant être le résultat d'évènements socio-historiques, et cet ensemble d'éléments (idées, rapport de force et un pouvoir institutionnel et gouvernemental) forme un système.
À présent que vous avez quelques notions, humblement définies, sachez que les idées (vous vous en doutez) ne se présentent pas que sous la forme d'injonctions. Elles circulent à travers notre manière de vivre, et bien sûr, notre manière de se divertir. Et oui. Même l'humour est un vecteur d'idées. C'est parce qu'on normalise certaines blagues, basées sur des clichés oppressifs, qu'elles perdurent. En les réduisant à du divertissement, on minimise et sous-estime l'impact qu'elles peuvent avoir dans nos représentations et elles finissent par perdurer en perpétuant des violences déjà existantes (parfois en les augmentant dans des périodes de tensions politiques, comme lorsque des idées progressistes ou des luttes prennent de l'ampleur ou que des droits sont enfin obtenus).
Dire "ce n'est qu'un récit" quand on parle de littérature en ignorant (volontairement ou non) son rôle politique, cela fait partie de la dépolitisation. C'est-à-dire nier ou retirer dans notre propos le caractère, le rôle et l'impact politique (au sens social du terme) que peuvent avoir des livres. Des personnes vont les lire et des idées seront diffusées à travers ces lectures, d'une manière ou d'une autre. En dépolitisant des sujets qui concernent des vies humaines (souvent des groupes oppressés et discriminés), nous les mettons donc en danger. En dépolitisant la littérature, nous maintenons des idées destructrices.
La dépolitisation de la littérature
Plusieurs auteurices ont présenté des œuvres avec des idées oppressives (participant de fait à des violences visant des groupes de personnes pour leurs origines, couleur de peau, handicaps, identité de genre, religion, orientations romantico-sexuelles, et bien d'autres choses...). Que cela soit volontaire ou non, les mêmes arguments, plus que discutables, sont encore tenaces de nos jours : "ce n'est que de la fiction" ; "mon livre n'est pas politique, il est divertissant" ; "il faut arrêter de tout politiser, c'est juste un récit".
La politique n'est pas détachable de toute sphère ou domaine, car elle les influence en permanence. Elle est présente dans notre langage et nos représentations, d'où l'importance de ne pas négliger sa présence dans la littérature. Certain-e-s pourraient dire qu'il ne s'agit là que de questions culturelles : en réalité, les deux sont très liés. Les cultures se sont construites autour d'environnements, de sociétés, elles-mêmes grandement liées à des évènements et évolutions socio-historiques, comme mentionné plus tôt, qui ont émergé parce qu'elles ont été portées par des idées.
Répandre l'idée selon laquelle il faut différencier politique et divertissement/littérature, c'est passer à côté du rôle que l'on a. C'est aussi dépolitiser notre propre place d'écrivain-e et/ou lecteurice. En tant qu'individu membre d'une société, qui que l'on soit, on porte, diffuse, partage un regard politique sur notre monde de manière consciente et/ou inconsciente. Ignorer cela, ne pas prendre en compte la place que la politique prend dans les milieux littéraires, c'est participer, volontairement ou non, au maintien de violences. Ne pas agir, c'est devenir complice.
Conclusion
Il est vrai que se positionner, agir, sur des sujets politiques, s'éduquer, apprendre, n'est pas toujours chose aisée. C'est un inconfort qu'il l'on doit surmonter si l'on souhaite contribuer à une littérature plus éthique engagée. L'esprit critique garantit une forme d'autonomie et une liberté de penser, qu'il faut considérer avec sérieux, selon moi. Au-delà de l'aspect moral (ce n'est pas un combat entre le bien et le mal). N'est-il pas plus enviable de prendre conscience et comprendre la société dans laquelle on évolue ? Dans les milieux centrés sur l'écriture, on parle davantage de diversité, d'inclusivité, ce qui montre que les mentalités ont évolué et qu'il est possible de surmonter cet inconfort. Il devient moindre grâce au travail collectif réalisé dans nos luttes et nos efforts individuels.
Plus tard, j'envisage de présenter quelques ressources pour compléter ce modeste billet. J'espère qu'il éclaircit un peu plus les enjeux présentés. La dépolitisation touche bien d'autres domaines, alors gardons en mémoire que la politique ne concerne pas que le vote ou les débats.
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Merci pour ta lecture, à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
Si cela vous intéresse, vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux et lire mes projets publiés ici, à bientôt ! :
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darkpalmor · 3 months
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21 FEVRIER
Programme incorruptible
Échauffement en cinq minutes : La file d’attente. Écriture libre et brève.
Mon métier, c’est gardien de musée. Je dois demander les tickets aux visiteurs, faire face aux impatients, « gérer », comme dit mon DRH, la file d’attente. Mais une file, c’est horrible, c’est comme un serpent, on ne sait pas où l’attraper, ni où elle commence, ni où elle finit. On doit surveiller les resquilleurs, repousser les agités, faire ouvrir les sacs, vérifier la validité des billets… À tout prendre, j’aimerais mieux être touriste, pour pouvoir mettre hors de lui un gardien de musée.
1°) Embrayage par citation (10-15 minutes) : Du dictionnaire à la création ! On partira de cette citation trouvée dans le Grand Robert, et on l’intègrera dans un court texte, de forme libre. « Source encore glacée, miroirs gelés, Rois sortant tout raidis d’or des ténèbres… » Colette, Belles saisons, 1955 (posthume).
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La poésie ne craint ni le feu ni le froid, toutes les saisons lui sont motif à description, à évocation. Le froid surtout inspira certains auteurs nordiques, des norvégiens, des islandais. Et la vision des étendues blanches et glaciales, ou l’œil se perd autant que l’esprit, ces lieux hantés par les personnages d’anciennes légendes ou de races perdues, a été à la source du recueil intitulé Les Princes des glaces, de Sigurdur Sigurdarsson, dont les premières strophes sont si puissantes qu’elles nous emmènent à la fois dans un lieu et des temps perdus, mais pas imaginaires. « Avalanche silencieuse et lente débâcle, Source encore glacée, Miroirs gelés, Rois sortant tout raidis d’or des ténèbres, Voici le jour où s’éteint la nuit polaire. Le royaume englouti se dévoile et s’ébroue au soleil clair, Les couronnes sur nos têtes brillent des gouttelettes qui seront les rivières de demain, Du printemps, La Nuit est morte et la chaleur renaît. » Rien d’étonnant à ce que son nom soit régulièrement évoqué pour le prochain Nobel de littérature. Extrait de la Préface à Une Anthologie de la Poésie polaire, éditions du Seuil, 2024.
2°) Crise de vérité (10 minutes) : Un dialogue à poursuivre ? « Qu’est-ce que tu n’aimais pas chez moi ? » On continuera cette discussion librement pendant une dizaine de répliques.
A – Qu’est-ce que tu n’aimais pas chez moi ? B – J’aimais tout, mon cher, mais la situation a changé. A – C’est toi qui as changé, puisque tu ne veux pas me garder et que tu me dis d’aller chercher ailleurs ! B – Qui t’a dit ça ? Qu’est-ce qui t’autorise à le penser ? A – Ta manière d’évoquer le bon vieux temps, le début de notre association, quand nous avons ouvert ce garage. On dirait que tu le regrettes. B – Pas du tout. Au début de toute nouvelle entreprise, chacun sait qu’on peut commettre des erreurs. A – Mais on a tout de même à construire et maintenir quelque chose à nous deux, non ? Et ça marche bien ? B – Oui, mais c’est fini. J’arrête. Je n’ai plus envie de faire des vidanges ou de changer des pneus. A – Mais alors, c’est quoi ? Je suis viré ? Je dois te signer une démission avec une demande de rupture conventionnelle ? B – Non, rien de tout ça. C’est le dépôt de bilan. Le métier a changé : les voitures électriques, ce n’est pas mon truc. Mais si tu veux reprendre l’entreprise, je veux bien. Je t’arrangerai l’affaire auprès des banques et je te trouverai même un associé, si tu en as besoin.
3°) Amorces pour une histoire en 6 lignes et 6 minutes. « Elle lui montra le chien à travers la vitre. »
Elle lui montra le chien à travers la vitre. Il ne tourna pas la tête, mais grogna : « Quel chien ? Tu crois que j’ai le temps de regarder ? » « Mais il a l’air tout perdu et malade ! On aurait pu s’arrêter ! » « S’arrêter ? Fiche-moi la paix ! Avec cette pluie et l’heure de retard qu’on a déjà pour aller chez ta mère, je continue. Et puis ce chien, il n’était pas au milieu de la route, non ? Alors on roule. Et on n’a pas de place pour un cabot à la maison. » Elle se rencogna contre la portière, triste et fâchée, et bouda tout le reste du trajet.
4°) Gonflette (10 minutes) : Une phrase à allonger. Voici une phrase tirée de la fable de La Fontaine, La Cigale et la Fourmi : « La Fourmi n’est pas prêteuse ; C’est là son moindre défaut. » On la grossira de l’intérieur, en ajoutant tout ce qu’on voudra, de manière à obtenir un texte d’au moins 5 ou 6 lignes, qui commencera par « La » et se terminera par « défaut ». On a le droit d’insérer des mots ou groupes de mots où l’on veut, même après une apostrophe, on a le droit de modifier la ponctuation, mais on ne change pas l’orthographe des mots originaux.
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La vie des animaux ressemble parfois beaucoup à celle des humains. Une file d’attente, par exemple, pour une fourmi, est une situation absolument banale, elle n’a pas d’impatience, l’obéissance aux règles sociales est si forte que n’importe lequel de ces insectes sait qu’il ne doit pas interrompre le carrousel du transport de la nourriture, ou la chaîne de déplacement des œufs, et que cela ne sert à rien de vouloir l’accélérer. La fourmi, quoi qu’en ait dit La Fontaine, est prêteuse. C’est un animal social, et la réussite d’une fourmilière réside justement là, dans cette capacité à faire don de sa personne à la collectivité, à s’insérer dans une file, et d’attendre son tour s’il y a un encombrement aux portes du sous-sol. Il n’y jamais la moindre dispute entre deux individus d’une colonie. L’entraide est la règle, et si une fourmi se trouve en difficulté, aucune autre ne lui fera jamais défaut.
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sogladiatorpenguin · 4 months
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Manon Lescaut de l'Abbé Prévost : qu'est-ce qu'un personnage en marge ?- Bac de français 2024 - PREMIUM
Dans le parcours “Personnages en marge, plaisirs du romanesque” proposé au Bac de français cette année encore (en 2024), il est utile de bien comprendre ce que sont des personnages en marge. Nous allons brièvement l’expliquer dans ce billet et vous donner des exemples de personnages en marge dans la littérature, afin de vous aider pour vos dissertations sur Manon Lescaut. personnage marginal…
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journaldenimportequi · 5 months
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Samedi 30 décembre 2023
Bilan lecture
C'est le moment d'écrire le dernier récit de l'année. Ce récit consistera surtout à faire un bilan de mes lectures. Je n'ai pas été très productif cette année, il faut bien que je l'avoue. Surtout ces derniers mois. Je crois qu'il faudra que j'écrive encore une bonne année de récits pour avoir assez de matière à imprimer sur un livre (j'ai toujours le projet d'imprimer l'intégralité de mon journal sous forme de livre et rappelez vous, j'ai déjà le volume un). Bon sang je suis un fainéant, dans l'idéal il faudrait que je publie au moins un récit par semaine, but whatever...
Il y a quelques semaine mon cousin Jimmy m'a parlé de mon journal, il se trouve qu'il a fait un tour sur mon blog (j'avais mis un lien sur Facebook, c'est à dire à la vue de tous, chose que je n'avais jamais osé faire auparavant) et il m'a lu, et figurez vous qu'il a apprécié et il m'en a dit de belles choses, des choses très flatteuses que ma modestie m'empêche de réécrire ici mais sachez que ça m'a fait vraiment très plaisir et ça m'a fait penser que je n'écrivais pas tout à fait pour rien. Merci cousin !
L'an prochain sera probablement, comme cette année, une année de concerts pour moi. J'ai en ma possession deux tickets de concerts pour Cat Power à Paris et rien de moins que Eric « God » Clapton à Lyon. Cat Power vient de sortir un album fabuleux dans lequel elle reprend le fameux concert de Dylan en 1966, avec la première partie acoustique et la seconde électrique. Et elle arrive à accomplir ce miracle : faire en sorte que la musique soit fidèle au concert original et en même temps y ajouter avec sa voix merveilleuse un petit quelque chose qui rend le disque unique. Et donc, suite à ce disque elle a annoncée une tournée dont deux dates à Paris. Je n'ai pas pu m'empêcher de choper une place pour la seconde date parisienne, et tant qu'à faire j'ai pris la meilleure place qui était disponible. C'était plutôt cher, surtout qu'après il va falloir choper un billet de train aller-retour et une nuit à l'hôtel mais, hé, on a qu'une vie, le cœur a parlé et je me suis fait plaisir.
Concernant Clapton, il s'agit tout simplement d'un des rares (deux ou trois, avec les Stones) musicien de légende que je n'avais encore jamais vu, là aussi il fallait absolument que je chope une place, alors voilà : Eric, here I come !
Ces derniers jours j'ai été plutôt heureux, malgré ma solitude relative (après tout me voilà encore célibataire depuis trois mois déjà), et, ça peut paraître un peu fou mais c'est vrai, la littérature, l'art, sont bel et bien les responsables de mon bien être, tout ça compte beaucoup pour moi et par chance j'ai actuellement de bonnes lectures.
Je viens de me rendre compte que je n'ai pas parlé de noël mais il faut dire que les noëls se suivent et se ressemblent. Disons que nous avons cette année encore nous nous sommes réunis chez mon frère avec sa belle famille, nous avons, encore une fois, mangé et échangé des cadeaux, mon neveu Paul était enchanté et sa joie était mon plus beau cadeau cette année là. C'était aussi le premier noël de ma nièce Pia, si mignonne... Concernant les cadeaux, si vous me lisez depuis longtemps vous vous douterez que j'ai reçu des livres, de quoi alimenter mon bonheur pour les mois à, venir.
Demain, c'est le réveillon du jour de l'an et je n'ai rien prévu de spécial, ce sera l'éternel repas fancy suivit d'un film (je crois que nous regarderons La Rose Pourpre Du Caire de Woody Allen dont j'ai le dvd posé sur ma bibliothèque depuis des semaines et que je n'ai pas encore vu, il paraît que c'est un de ses meilleurs films).
Pour conclure, comme je l'ai fait l'an dernier et je le ferais chaque fin d'année, voici mon bilan lectures de l'année 2023 :
Alain Pacadis, itinéraire d'un dandy punk (Alexis Bernier, François Buot)
Palimpseste (Gore Vidal)
Le Brady, cinéma des damnés (Jacques Thorens)
Le poète russe préfère les grands nègres (Edouard Limonov)
Papa Hemingway (A.E. Hotchner)
Le dernier ermite (Michael Finkel)
Knulp (Hermann Hesse)
La vérité et rien d'autre (Mike Tyson)
Hemingway, histoire d'une vie 1, 1899-1936 (Carlos Baker)
Le salon (Oscar Lalo)
Mick, sex and rock'n'roll (Christopher Andersen)
Thérébenthine (Carole Fives)
Je Le Jure (Frédéric Dard)
La bande à Gabin (Philippe Durant)
Je suis vivant et vous êtes morts (Emmanuel Carrère)
Les derniers jours des chefs nazis (Luc Mary, Philippe Valode)
Hemingway, histoire d'une vie 2, 1936-1961 (Carlos Baker)
Marchands d'art (Daniel Wildenstein, Yves Stavrides)
Vous me croirez si vous voulez (Professeur Choron, Jean-Marie Gourio)
Souvenirs d'un marchand de tableaux (Ambroise Vollard)
J'avoue m'être trompé (Federico Zeri)
Au delà de l'avenue D (Philippe Marcadet)
La prochaine fois que tu mordras la poussière (Panayotis Pascot)
Please kill me (Legs McNeil, Gillian McCain)
Le passant du Bowery (Clément Ghys)
Mémoires d'un nomade (Paul Bowles)
Woody Allen (John Baxter)
Rockambolesque (Sacha Reins)
Van Gogh (Steven Naifeh, Gregory White Smith)
Autoportrait (Helmut Berger)
Et dans l'éternité je ne m'ennuierai pas (Paul Veyne)
Bande son : Cat Power Sings Dylan, Cat Power
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