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#élégance anglaise masculine
fashionbooksmilano · 4 months
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So British
par Eric Deschodt et Sacha Van Dorssen
Editions du Régard, Paris 2022, 296 pages, 23x28,4cm, ISBN 978284 105 1588,
euro 60,00
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Cet ouvrage aborde l'élégance anglaise masculine à travers l'histoire de la célèbre enseigne parisienne Old England, installée sur les grands boulevards de la capitale dès la fin du XIXe siècle. Tout ce qui a contribué à bâtir la notoriété de ce grand magasin, depuis les complets en tweed jusqu'aux pulls en shetland, est présenté dans cet ouvrage et accompagné d'illustrations de mode d'époque et d'oeuvres qui ont valorisé cette mode à l'anglaise.A travers cet ouvrage et l'histoire d'Old England, l'artisanat anglo-saxon est mis à l'honneur. 
08/02/2024
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Pantherella - Avis et test
[Article non sponsorisé]
Si les souliers habillent les pieds, les chaussettes les protègent. Souvent considérées comme un accessoire, les chaussettes sont pourtant un élément important d’une garde-robe. Il existe autant de styles possibles – chaussettes invisibles, chaussettes courtes ou encore mi-bas – que de choix de couleurs. On ne va pas vous refaire toute l’histoire de la chaussette mais disons seulement qu’elle commence il y a fort longtemps, il y a environ 4 000 ans, en l’an - 2000 av J.C. en Syrie. Si sa composition a pu changer au fil des siècles, sa fonctionnalité reste immuable.
Histoire de la marque Pantherella
Pantherella voit le jour en Angleterre en 1937 grâce à Louis Goldschmidt, un producteur de chaussettes Allemand. Ce pionnier convainc le fabricant de machines P.A. Bentley de concevoir une machine double cylindre capable de tricoter des chaussettes fines pour homme c’est à dire des machines avec un nombre important d’aiguilles : de l’ordre de 200 aiguilles. Plus il y a d’aiguilles, plus les chaussettes obtenues seront fines. Un pari audacieux puisque la mode à l’époque était plutôt aux chaussettes épaisses et inconfortables. Ainsi Pantherella lance un mouvement que ses compétiteurs suivront mais n’égaleront que difficilement. Le succès est au rendez-vous et, en 1952, l’entreprise décide de se focaliser exclusivement sur le marché masculin en délaissant la production féminine.
D’où vient le nom Pantherella ? C’est un secret bien gardé par le fondateur lui-même. Jusqu’en 1945, l’entreprise se dénommait Midland Hoisery Mills et ne fabriquait que des collants pour femmes. L’histoire de l’entreprise dit seulement que la société adopte « Pantherella » en 1945 lors de son inscription au registre du commerce et des sociétés Anglais.
Par la suite la marque est rachetée en 2001 par H.J. Hall. La famille Hall produit elle aussi des chaussettes à Leicestershire, depuis 1882 : la tradition anglaise est sauvegardée et la marque gagnera de plus en plus en rayonnement à l’international.
Test des chaussettes courtes Pembrey Coton Sea Island en bleu ciel
Avant de passer aux caractéristiques du produit, voici quelques précisions préalables. Cette paire de chaussettes m’a coûté 35,50 € avec frais de port sur le site de Pantherella. Cela est certes onéreux pour une seule paire mais je cherchais une robustesse et une couleur bien spécifique (bleu ciel). Décryptage. La marque n’a pas de boutique physique française, j’ai donc commandé sur le site internet de la maison. La navigation du site est agréable et intuitive : je cherchais une couleur et une matière en particulier, je les ai rapidement trouvées.
Précision utile : Pantherella est distribuée sur des sites tels que Royal Cheese ou encore Le Printemps. La couleur et la matière que je cherchais n’y sont cependant pas proposées.
J’ai donc choisi le modèle Pembrey à 9 côtes mi-mollet – pour les saisons Printemps/Été – en coton Sea island. Souvent considéré comme le « cachemire du coton », il est constitué de très longues fibres, cousin du coton pima, connu pour ses fibres soyeuses. Ce coton provient des îles des Antilles et ses caractéristiques sont la robustesse et la douceur. Le coton est récolté sur place puis tissé par le partenaire Suisse de l’entreprise, Spoerry.
Le label « Genuine West Indian Sea Island cotton » est obtenu par certification de la WISICA (West Indian Sea Island Cotton Association) ; les chaussettes Pantherella endossent fièrement ce certificat. Pour résumer et comme l’arbore fièrement le descriptif produit : « le coton Sea island est aussi solide que la soie, aussi doux que le cachemire et aussi durable que la laine » .
La couleur est un joli bleu ciel qui prend bien la lumière : ni trop foncé, ni trop terne. Le modèle Pembrey est remaillé à la main pour éviter une couture désagréable au niveau des orteils. Cela rend la chaussette particulièrement confortable une fois chaussé ses souliers – en évitant tout frottement désagréable –.
Le fil de coton est teint dans une palette chromatique unique à Pantherella, par l’Atkinson Dyeing Compagny dans le West Yorkshire. Comme mentionné précédemment, les fibres de coton Sea island sont très longues, ce qui signifie qu’elles peuvent être filées en un fil très fin. Ces longues fibres sont également résistantes aux bouloches et sont donc des chaussettes très durables et résistantes. Le toucher est doux et soyeux : elles conservent bien la couleur même après plusieurs lavage.
Une fois enfilées, ce qui marque le plus est la sensation de douceur et de robustesse qui se dégage sur les pieds. Le problème récurrent auquel je fais face continuellement pour des chaussettes mi-mollet est qu’elles se transforment en chaussettes « mi-cheville » : elles ne tiennent pas sur le mollet ! Les chaussettes Pantherella tiennent cette promesse, l’élastique est bien en place, sans serrer à outrance pour autant. J’ai choisi ma taille habituelle de souliers Anglais/Américain, à savoir le 6 – 7 (Small), et le confort est optimal.
Un autre problème récurrent est la perte de la couleur de la chaussette après moult lavages. Vous souvenez-vous de la jolie teinte de vert, rouge ou bleu de vos précieuses à l’achat ? Ce n’est qu’un pâle souvenir…Je n’ai pas encore lavé plusieurs fois cette paire, mais à juger de son aspect, je ne doute pas qu’elle tienne la route.
Je suis un fervent calcéophile et pour moi, la vraie élégance n’est pas de porter des mi-bas continuellement mais savoir alterner les ports de styles de chaussettes différents selon les occasions et surtout les saisons. Pour autant, mi-bas ne signifie pas forcément « automne/hiver » : j’ai dans ma garde-robe des mi-bas – chaussettes qui montent donc jusqu’au genou – en lin pour l’été ; une belle alternative aux chaussettes dites « invisibles » !
Mais alors pourquoi acheter une paire de Pantherella à plus de 30 € ? Tout simplement car c’est une pièce d’investissement. Je l’ai dit plus haut, les chaussettes ont la mauvaise réputation d’être considérées comme un simple accessoire : en achetant des chaussettes à 5€ plusieurs fois dans l’année l’addition est moins salée à l’achat mais est renouvelée fréquemment dans le temps. Le gain d’argent n’est donc pas garanti. Vous me suivez ?
Il ne s’agit pas pour autant d’acheter uniquement des chaussettes à ce prix mais d’adopter les bons réflexes : une fois que les chaussettes bas de gamme ont rendu l’âme, au lieu d’en racheter, l’achat d’une belle paire robuste sera à privilégier pour démarrer une garde-robe plus (éco) responsable. Il faut juste se lancer rationnellement : commencer par une paire bleu marine, puis grise, puis marron, puis verte, puis rouge, puis aubergine, puis orange, puis jaune…(vous avez un aperçu de mon cheminement calcéophile et de la palette chromatique de ma collection).
Une autre raison qui me pousse à ce type d’investissement est la sensation et le ressenti global : mes pieds sont bien maintenus, les chaussettes ne grattent pas, ne se déforment pas et ne boulochent pas. Évidemment, un bon entretien est essentiel à leur longévité (lavage à l’envers en programme cycle « court », 30 degrés, 600 tours maximum !).
Des idées pour les porter ? De mon côté j’aime beaucoup intégrer ces chaussettes bleu ciel avec un jean brut, une paire de mocassins marron, un sweat gris avec une chemise en Oxford button down et une veste Bedale Barbour.
Conclusion
Les chaussettes anglaises Pantherella ont tout de chaussettes de « luxe » : soyeuses, robustes et durables. Il est difficile de trouver un point négatif, mais si je devais tout de même en relever un, ce serait indiscutablement les frais de port à en dissuader plus d’un : de l’ordre de 12 € pour une livraison en France ! La livraison gratuite n’est offerte que pour des commandes supérieures à 200 €…de quoi se confectionner une sacrée collection !
Texte et photos par Marcos Eliades Instagram : lord_byron1
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klemarec · 6 years
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British Style
Si la mode anglaise était binaire, elle se décomposerait en deux archétypes : la punkette excentrique et l'aristocrate BCBG. Une hypothèse à nuancer, entre ces deux opposées qui ne le sont peut-être pas tant, d'autres femmes apparaissent : la romantique post-moderne, la chavette, la fille venue du futur ou celle vulgairement sexy indifférente aux températures. Avec l'impression que le bon goût n'est pas nécessairement recherché. Mais il est certain que le Royaume-Uni embrasse son destin mode comme aucune autre nation grâce à des tensions stylistiques distinguées et fantasques.
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STYLE ARISTOCRATIQUE & DÉMOCRATIQUE
Champ d'observation privilégié pour la mode, la famille royale a présenté au monde la plus charismatique des princesses en la personne de Lady Di. Modèle absolue en matière d'engagement et de style, Diana sait en toutes circonstances s'habiller avec élégance grâce aux conseils de la styliste du Vogue British Anna Harvey. Sa garde-robe se décompose en trois temps : tenues distinguées pour les évènements officiels, looks élégants quand la Kensington mummy amène William et Harry à l’école et vêtements décontractés de Essex girl lors des weekends. Diana s’habille pour sublimer son rang mais aussi pour se rendre anonyme.  Preuves de son statut d’icône de mode, ses looks se distillent sur Instagram notamment grâce au compte Princess Diana Forever. Ils inspirent aussi Virgil Abloh pour sa collection printemps-été 2108 d’Off-White. Le designer capte le style de Lady Di et le traduit en vêtements destinés à ses héritières : des décollés en V avec épaules dénudées identiques à ses robes de soirée, un tailleur coupe droite rose poudrée très BCBG ou un imprimé moucheté noir et blanc réplique d'un motif porté par la Princesse ; des tenues parfaites pour exister au quotidien ou dans le gotha londonien.
BOURGEOISE DE JOUR
Une illusion de noblesse transparait grâce au vêtement. Les nouvelles élégantes anglaises optent pour des pièces fantaisistes d’un bon goût évident : un trench Joseph en cuir rouge, une combinaison Stella McCartney en jeans tie & dye ou un tailleur Hillier Bartley en tweed marron à la coupe singulière. Fidèles à des maisons comme Margareth Howell pour des pièces qui s’inscrivent dans le temps, ces néo-bourgeoises aiment de nouveau Burberry grâce à la première collection sophistiquée et maîtrisée de Riccardo Tisci. Autre créateur chéri, Christopher Kane sait répondre à leurs désirs de haut rang en y ajoutant une dose d’érotisme. Rien de littéral, l'aristocrate est belle, elle est en dentelle noire et rouge royal pour sa dernière collection printemps-été 2019, les robes sont courtes, les épaules sont nues. Du flamboyant, du faste, cette nouvelle fille de arbore des pierres hypothétiquement précieuses jouées en imprimé ou incrustées au décolleté. L'aristocrate est belle mais est aussi sujet et objet sexuel. Christopher Kane évoque cette sexualité « intellectuelle et subversive » comme première inspiration de cette collection dont le surprenant point d’origine est un string en dentelle trouvé lors d’un voyage au Japon. Une façon pour la Belle de se défaire du protocole.
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EXCENTRICITÉ CONTESTATAIRE
L'uniforme à l'école n'empêche pas les anglais d'utiliser le vêtement comme acte de résistance. Alexander McQueen en est la parfaite illustration. Dépassant les conventions, il s'approche de l'art et crée un univers d'une densité et d'une créativité que peu réussissent à matérialiser. Fulgurance et violence définissent une oeuvre qui devient le témoin de l’époque. Les questionnements actuels sont traités avec une noirceur et un génie propres au styliste torturé qui dénonce un capitalisme toxique pour la société, un luxe qui perd toute subsistance et une nature éreintée par l'homme. « Transcender ce qu’est la mode et ce qu’elle pourrait être (…) Il faut faire des choses que personne ne veut faire. » dit-il comme raison à sa création.
PROPHÉTIE FUNESTE
Le défilé Plato’s Atlantis, l'un des plus impressionnants d’Alexander McQueen, présente des créatures destinées à vivre dans les océans, la terre n'étant plus : chaussures aux proportions saisissantes, robes kaleïdoscopes imprimées en 3D, chevelures d'insectes tressées et torsadées. Présenté en 2009, ce tableau résonne encore aujourd'hui comme prophétique. Succéder à ce prince engagé et excentrique de la mode s’avère difficile. Ses héritiers se détachent comme lui de la notion de portabilité et proposent leurs propres mondes : obscur et extrême pour Gareth Pugh, fantasmagorique et aventurier pour Craig Green ou futuriste et dystopique pour Kiko Kostadinov. La narration n’a pas la même puissance que celle d’Alexander McQueen mais ils ont encore le temps d’imprégner la mode anglaise.
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LONDRES, AMOUR DE LA MODE
Étudier à Londres au sein de la Central Saint Martins (CSM) est le rêve des stylistes de demain. Questionner la mode, explorer des espaces inconnus, créer des vêtements inédits aux frontières du possible sont les ambitions de cette institution avant-gardiste et anticonformiste qui prône l’excellence. La prestigieuse école a révélé des DA au génie irréfutable : Phoebe Philo, Ricardo Tisci ou Alexander McQueen ainsi qu’une nouvelle génération talentueuse que sont le duo de Marques Almeida, Michael Halpern ou encore Molly Goddard. Et s'il fallait donner un chiffre pour confirmer l'aura de cette institution, la moitié des DA présents à la London Fashion Week y ont étudiés. Une magazine, Granary 1, et un défilé durant la semaine de la mode dévoilent la singularité des travaux de ses étudiants. Pour l’hiver 2018, les créations des futurs diplômés sont un carré vert en 3D à porter, une table de pic-nique flottant autour du corps, une piscine gonflable all-over mais aussi des looks plus portables notamment les pièces masculines. Une joyeuse excentricité se dégage de cette présentation ; nouvelle illustration du caractère inimitable de la mode anglaise.
CRÉDITS
Granary 1 I Création de Connor Ives
Photographies de Diana Spencer I Source internet
Alexander McQueen printemps-été 2010 I Plato’s Atlantis 
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