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francepittoresque · 3 months
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HISTOIRE | Toucher royal des écrouelles ➽ http://bit.ly/Toucher-Ecrouelles Issu d’anciennes croyances germaniques attribuant à certaines familles nées pour régner un pouvoir presque divin, et à certaines superstitions liées au pouvoir de guérison du Saint Chrême, le toucher royal des écrouelles — maladie d’origine tuberculeuse touchant les ganglions —, apparaissant sous les premiers rois capétiens et d’abord pratiqué sans régularité, devient périodique sous saint Louis puis accompagne, sous une forme spectaculaire et à partir du règne de Louis le Hutin au XIVe siècle, les cérémonies du sacre
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christinesgsblog · 4 years
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Lampourde Glouteron, mais que fais-tu sur cette dune herbe aux écrouelles? (plante nord américaine) #dune #naturellement https://www.instagram.com/p/CFOoIJ1qd8P/?igshid=1vd1rfa6qz017
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lamergelee · 4 years
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 51]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50] Le jour 51, Gustave buvait. Gustave buvait beaucoup, enfin pas mal, des quantités difficilement mesurables le lendemain quand il y pensait, et il y pensait peu, à partir d’un cubi qui durait plusieurs jours cependant, deux, parfois trois, et qui versait par son petit bec intarissable et miraculeux un excellent chinon à la suave robe rubis. Il y avait les canettes de 16 aussi, certaines nuits, la bière glacée qui donne soif et il serait bien allé en chercher d’autres s’il avait osé, s’il avait pu, près de la gare, mais il n’osait pas braver le couvre-feu probable – promulgué, annulé, repromulgué, réannulé, il ne savait plus. Dans l’appartement, l’espace se segmentait autrement, il découvrait de nouvelles associations. L’abat-jour vert de la lampe de la cuisine avait une affinité profonde avec le radiateur électrique, il la sentait profondément à certaines heures de la nuit. Il regardait une fissure sur le mur de sa chambre, des éclats, des traces. Il examinait les rapports de proportion entre les murs et le parquet, les fenêtres et le plafond. Des tornades de sens se soulevaient dans le soir, il ouvrait grand les yeux. Il se demandait ce qu’il resterait de lui. Il se souvenait de ses rêves. Il continuait les parties contre la charogne informatique mais avec moins d’allant qu’autrefois, comme on regarde un porno sans entrain, un peu par acquit de conscience, comme pour dire adieu aux actrices et aux acteurs qui ne nous intéressent plus, et on est désolés, Gustave en tout cas était désolé, disait à la machine, disait aux acteurs/trices qui se démenaient pourtant : adieu, adieu, ce n’est pas de votre faute, vous ne m’êtes plus rien, et je peux même vous le dire à présent, puisque vous ne m’écoutez pas, je me demande bien comment vous avez pu m’intéresser un jour. Il pensait à la qualité de ses chaussettes. La qualité de ses chaussettes était un désastre. Son gros orteil le narguait sans cesse, bizarrement obscène, rose et desséché. Une seule paire franchissait sans peine les années, une sorte de coton bleu strié de haut en bas dont il ignorait tout, la fibre, la marque, le lieu d’achat. Quand, où, et pourquoi avait-il su acheter une seule fois des chaussettes indestructibles, imperçable même par le plus tenace des gros orteils (le tien, Gustave) ? « Tu ne sais pas thésauriser », lui disait souvent son père. « Sauf ma belle paire bleue », répondrait-il aujourd’hui. Gustave se coupait les ongles, réfugié dans son cagibi derrière le frigo, accroupi sur le carrelage, épiant les bruits du couloir. La période était trouble, tout devenait possible, le Premier ministre à l’énigmatique barbe blanchissante finirait par annoncer que deux et deux font cinq et il faudrait le croire. Il était inéluctable que, tôt ou tard, il fasse cette déclaration sans ciller. Un contrôle inopiné d’attestation à domicile pouvait survenir, ou une « équipe mobile chargée de casser les chaînes de contagion jusqu’au sein des familles », fussent-elles imaginaires. Il rêvait de deux fils, il leur octroyait un prénom, il devrait donc s’en expliquer si nécessaire, et répondre de leurs actes. Il était fatigué, il se souvenait mal, il avait peut-être deux fils pour de bon qui ne respectaient pas les consignes de distanciation et crachaient sur les surveillants. Alors qu’il pensait à ses rejetons putatifs, il imagina que le coupe-ongles dans sa main, arme par destination, était une circonstance aggravante, une preuve matérielle d’activités subversives. Est-ce qu’il avait eu des pensées subversives cette nuit ? ou la nuit d’avant ? Comment savoir ? Avait-il douté du bien-fondé du couvre-feu en doutant de sa réalité même ? Avait-il sans le savoir rejoint la cinquième colonne que commençait à former l’opposition bolchevique en remettant en cause l’Union sacrée ? Sur quelle ligne de front se situait-il ? Pas la première sans doute, ni la seconde, mais où commençait la troisième ? Dans le doute, il valait mieux guetter l’avenir derrière le frigo et rester sur ses gardes. Ramassant soigneusement les coupures d’ongles pour les jeter sur un début de compost sous l’évier (nouveau projet commencé la semaine dernière, et pourquoi pas ?), Gustave examina ses anciennes passions. Il avait aimé l’histoire de Charles le Téméraire, dit le Hardi, dit le Travaillant, violent et magnifique, qui s’opposa à Louis XI, l’Universelle Aragne, et fut retrouvé à demi dévoré dans la neige ; il avait aimé Bobby Fischer qui triompha du champion russe des échecs Boris Spassky et finit à demi fou en Islande ; il avait aimé tous ces désastres tapageurs, ces grandes vies fastueuses exposées sobrement, impeccablement dans les volumes de son encyclopédie, à côté de planches en couleur, qui étaient comme des émerveillements soudains au milieu des pages. Il aimait tenir ces vies entre ces doigts, indubitables. Elles l’emmenaient très loin de son quotidien confiné, débarrassées qu’elles étaient des mille détails affreux de son corps à nourrir et entretenir (les ongles, les salades de pâtes au thon, les choses à acheter, etc.). Ayant appris qu’il guérissait scrofules et écrouelles, Gustave s’était plongé dans la vie de l’actuel président, l’ancien banquier d’affaires devenu roi thaumaturge depuis la nouvelle ère. Les témoignages variaient considérablement et il était difficile de démêler le vrai du faux, comme toujours pour les phénomènes surnaturels ou religieux. Christophe Barbier et Alain Duhamel, les deux principaux chroniqueurs du règne, rapportaient qu’aux jours du toucher, comme aux temps des Plantagenêt, des foules de citoyens s’approchaient d’Emmanuel, dont le nom théophore signifie : « Dieu avec (ou parmi) nous ». Tout ce peuple pressant et plein d’adoration obligeait parfois le jeune président à fuir sous la protection de sa garde, comme dans un théâtre parisien en janvier dernier. Comme les pieux guérisseurs dont le père de Gustave lui avait raconté l’histoire, Emmanuel touchait de la main les malades, le plus souvent, semble-t-il, sur les parties infectées elles-mêmes, aussi honteuses et dissimulées soient-elles. Il répétait ainsi un très antique usage, contemporain des plus anciennes croyances de l’humanité : le contact de deux corps, obtenu d’une façon ou d’une autre et plus particulièrement par l'intermédiaire de la main, n’avait-il pas toujours paru le moyen le plus efficace pour transmettre d'individu à individu les forces invisibles ? À ce vieux geste magique, il en ajouta un autre, spécifiquement gaulliste : le signe de la croix lorraine fait sur les patients ou sur leurs plaies. De même que les rois en accomplissant l’acte thaumaturgique ne gardaient pas le silence, Emmanuel prit l’habitude d’accompagner le double geste traditionnel de quelques mots consacrés. Geoffroy de Beaulieu nous rapporte de Saint Louis qu’en touchant les parties malades il prononçait certaines paroles « appropriées à la circonstance, et sanctionnées par la coutume, parfaitement saintes d'ailleurs et catholiques ». Le président quant à lui disait habituellement : « Il n’y a pas d’argent magique ». Un exégète expliquait que cette formule sibylline reprenait le fameux « Rendez à César ce qui appartient à César » des Évangiles. Si l’argent, dépendant de ce monde-ci, était triste et légèrement répugnant comme toutes les choses sublunaires qui n’ont pas été touchées par la grâce, le toucher et le verbe présidentiels dispensaient un autre pouvoir, une autre puissance, car l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de l’Emmanuel. Il soupçonnait que ces amoncellements pieux de savoir dans les volumes de son encyclopédie, qui l’avaient tant ému adolescent, et où il se replongeait depuis qu’il tournait dans ses murs, n’étaient pas si neutres qu’ils le prétendaient (et le prétendaient-ils seulement ?). Les vies donc, les vies splendides jusque dans leurs désastres, en quoi le concernaient-elles, au fond ? C’était une question profonde et lourde de conséquences, qui nécessitait un temps de réflexion. Elles ne l’aidaient en rien, conclut-il bien vite. Je vais y aller là, je vais m’habiller et je vais y aller. Il le répéta plusieurs fois. Je vais y aller là, je vais m’habiller et je vais y aller. Ses enfants imaginaires lui disaient : Oh ça va papa, ça fait un milliard de fois que tu l’as dit là, ça va hein, vas-y donc. Il décida qu’il serait dans un roman américain, un roman noir, avec un personnage accomplissant des actions brèves et efficaces, un sujet défini par ses seuls actes visibles et mesurables qui ne s’embourbe pas toutes les cinq minutes à chercher son âme. Un personnage qui marche dehors, debout ou couché, jamais affalé entre deux stations corporelles, qui regarde bien franchement, qui décrit les « marquises délabrées des anciens entrepôts » et les « vieux bidons rouillés près des appontements, les camions, les pelleteuses, les grues » avec une « voiture banalisée qui roule vers le nord dans Hudson Street ». Hop, hop, une deux, une deux. Deux pages plus loin il croiserait la voisine qui rit du cinquième et il lui dirait un truc technique et précis d’abord, énigmatique et fascinant ensuite. Ils feraient l’amour avec une sorte de détermination, leurs deux souffles conjugués. Il serait mince et agile. Elle se surprendrait à lui griffer les épaules, animée d’un mouvement étrangement intense. Il commencerait à transpirer légèrement, à respirer plus profondément, et ses joues piquantes lui laboureraient le visage et le cou. Il y aurait de nombreux adverbes dans les phrases. Étroitement imbriqués l’un dans l’autre, compacts, ils s’activeraient en cadence. Qui est ce salaud, se demanderait-elle ? Il sortit, marcha sans but, longtemps, vers la gare. Rejoignit la mairie, sillonna le centre-ville, sans rien voir. Il respirait à pleins poumons le vent qui se levait par intermittences. Des nuages lourds passaient dans le ciel, ne crevaient pas, Gustave sans parapluie marchait droit devant. De cela il se souvenait, il avait respiré à pleins poumons. Il était entré dans un supermarché, pour acheter un pack de 16, une bouteille de Volvic, un sandwich poulet-mayonnaise qu’il avait donné au clochard qui attendait devant. Sinon rien, il ne se souvenait de rien. Il avait de vagues repères visuels dans la ville mais il ne faisait attention à rien. Etait-il donc trop occupé des fantômes du Téméraire, du champion américain, du jeune psychopathe photogénique élu président ? Il s’interrogeait. Il n’avait rien vu, il ne se souvenait de rien ou presque : le vent léger qu’il aspirait à pleins poumons, la course absurdement minimale dans le supermarché de la rue des Fontaines. Une fois revenu chez lui, il réfléchit un moment, assis à la table de sa cuisine. Il avait envie de regarder mais il lui manquait les mots, pas tous mais quand même beaucoup. Alors il prit son téléphone, un appareil assez moderne qui, outre les communications vocales, permettait de prendre des photos et indiquait l’heure avec une grande fiabilité, lui avait garanti le vendeur. Il allait faire des relevés dans la ville, peut-être même essayer d’imaginer les vies des gens qu’il croisait. Ce n’était pas si simple, les passants passaient vite, se laissaient à peine décrire, le visage recouvert de masques. Des propriétaires de chiens regardaient avec tendresse leur animal respectif se lécher le cul. C’était amusant quoique un peu pénible, mais quoi en dire de plus ? Alors Gustave examina les vitrines. À côté d’une boutique de lingerie, « Mon corps, mon soleil », il lut un graffiti : l’Amour court les rues. Mais la plupart étaient vides, et les enseignes énigmatiques. ORIS avait pour slogan : Go your own way, qu’il préféra traduire en japonais sur son logiciel de traduction, une fois rentré : 己の道を行け. Une autre, THE KOOPLES, vendait des couples apparemment. Au-dessus d’un rideau de fer abaissé, il lut « Other stories ». Puis successivement, les photographiant l’une après l’autre pour y réfléchir plus tard :
Atelier de haute parfumerie sur mesure Espace Kiliwatch Store Hours Bonobo, puis bonobo-days : – 50% Cercle/résidence de chefs La part des ours Templon OFFO LAUV – I’m feeling Espaces atypiques (À suivre).
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helshades · 6 years
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J'ai grave le seum. Si ces ploucs sur gazon se retrouvent champions de le monde entier, Jupicron qui les a bénis avant le tournoi va se croire capable de guérir des écrouelles !
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ohwhenthesaints21 · 3 years
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Mercredi 25 Août
Saint Louis
Aujourd'hui saint Louis, aka Louis IX grand roi de France du XIII. 👑
Bon au départ ça partait mal pour lui, ce n'était que le deuxième fils du roi. Il se fait baptiser à 4 ans à Poissy et plus tard il signera parfois ses lettres "Louis de Poissy " parce que pour lui son baptême c'est sa vrai naissance, sa vraie origine dans ce monde. Déjà bien bien dans la chrétienté Louis🙏🏻
mais voilà que son aîné philippe meurt et Louis se retrouve roi à 12 ans!Maman Blanche de Castille prend le lead et on sacre Louis vite fait bienfait pour que personne ne s'incruste sur le trône à sa place. Tellement vite que quasi personne n'a le temps de faire le voyage jusque Reims, c'est con!
Comme c'est un bon chrétien il s'évertue à pacifier son royaume à coup de traités, de mariages,de libération de prisonniers et de donation de terres et de thunes.On peut dire qu'il fait des efforts! Mais y a toujours des rageux qui veulent prendre sa place , et vas y que j'essaie de l'enlever, de le zigouiller, de l'envahir... il en a connu des galères le Louis, mais il en sort toujours vainqueur, ça lui fait une super réput, le peuple le kiffe.
Louis tombe sous le charme de Marguerite de Provence; il les aime jeunes parce qu'elle n'a que 13 ans quand il l'épouse (lui 21. L'amour n'a pas d'âge n'est ce pas)à Sens. Figurez vous qu'il ne consomme pas le mariage et qu'il prie pendant les 3 premières nuits pour respecter un rite catho chelou appelé nuits de tobie. C'est un délire.
Comme c'est un roi chrétien il a quelques trucs à respecter pour que son peuple ait le salut éternel: la justice et la paix. C'est pour ça qu'il se met sous un chêne au château de Vincennes, libre inspiration du roi Salomon.
A part ça son règne est un vrai bordel de géopolitique entre les anglais, les champenois, les provençaux et autres relous qui se chamaillent pour un sou. Louis doit faire arbitre et franchement il a de la patience.
Il encourage la construction des cathédrales les plus célèbres de France(cad qu'il donne de la thune); celle de Chartres, Reims, Amiens, Rouen, Beauvais, Auxerre et même Notre Dame de Paris! Il se fait bâtir une petite abbaye en banlieue à Royaumont comme l'avait demandé feu papounet(il avait aussi laissé de la thune pour). Mais louis s'implique, il va tous les jours sur le chantier et va même jusqu'à porter des pierres et du mortier pour filer un coup de main ! Un saint homme (ou un gars exigeant qui trouve que les ouvriers bossent mal. L'Histoire n'a pas tranché). Sa mère fera aussi construire une abbaye aux dames pas très loin.
Louis est aussi très pote avec Robert de Sorbon, c'est son chapelain et confesseur même,à deux ils fondent la Sorbonne, ce repère de bobos, à la base pour accueillir une vingtaine d'étudiants pauvres et boursiers. Ce monde est parti à vau-l'eau mes enfants je vous l'dis !
Et Louis fait un truc qu'aucun roi n'avait encore jamais fait avant lui: il crée un hospice pour les aveugles, en gros ils s'occupent des infirmes, des rebuts de la société (rien de perso contre les aveugles c'est l'époque qui veut ça). Il leur file une petite rente mensuelle mais il les fait aussi mendier, oh dites donc, faut bien que ça bosse aussi. Il fonde et restaure différents Hôtel Dieu pour accueillir les veuves et miséreuses. Ça a tellement de succès qu'il doit filer sa propre maison de campagne pour qu'elles s'agrandissent!
A l'époque c'est hyper populaire d'avoir des reliques, comme vous l'avez déjà lu ça se vend et ça se revend pendant tous le moyen-âge. Le cousin de Louis vient lui demander de racheter la couronne d'épines de Jésus que les crevards de Constantinople vont revendre contre un peu de trésorerie. Gros périple des émissaires pour arriver à temps, la négocier et la ramener. Louis se fait un petit kiffe et la ramène en procession pieds nus jusqu'au palais de la cité. Les débuts de la com politique. Il va aussi acheter des bouts de croix et autres trucs qui claquent chez les chrétiens.
Mais là où Louis voit grand c'est quand il fait construire la sainte chapelle pour accueillir ses reliques, un endroit tout pété de dorures et de vitraux , ça pique les yeux tellement ça brille!
Bon il avait aussi des mauvais côtés, il était un poil antisémite, disons qu'il privilégiait plutôt l'argent des chrétiens que l'argent des juifs. Bon on lui avait suggéré de piquer la thune des juifs pour financer les croisades mais il a pas voulu, il n'a pas voulu non plus appliquer les mesures antijuives préconisées par Rome, il avait un peu de morale quand même.
Je vous dis pas qu'avec tout ça il a fait pléthores de croisades ! Mais en rentrant de la 6ème il tombe gravement malade, tout le monde le croit sur la fin, on ramène des reliques de partout pour la sauver et miracle ça marche ! Du coup que fait il me direz vous ? Et bah il repars en croisade pardi ! Mais le gars part pas tout seul, non, il part avec toute sa famille et environ 25 000 homme et 8 000 chevaux! Il sait voyager léger Louis ! La 7ème croisade c'est un échec, il en fait une 8ème et là c'est lui qui est en échec: il choppe le scorbut ou un autre truc dégueu du même genre. Il reçoit l'extrême onction et meurt à Tunis sur le chemin du retour. Gros déballage de pathos et de drama pour sa procession funèbre. La base.
Comme ses fils s'accordent pas sur quoi faire de ces reliques il répartissent le corps en 3; les viscères et les chaires pour l'un et les os pour l'autre. Si si j'vous jure.
Bon pour la sainteté pas de problème, le gars était déjà un saint de son vivant: parait qu'il guérissait des écrouelles. Beurk.
C'est le saint patron de la France, des tertiaires franciscains, du diocèse de l'armée, de Versailles et de Blois. Et aussi des coiffeurs ! Là j'avoue j'ai pas compris. Évidemment toutes les villes au nom de saint Louis ont été fondées par des cathos en exil ou en colonisation. Du coup après on a éparpillé ses reliques dans tous les endroits de la terre qui s'appellent Saint Louis. C'est fou le nombre d'os dans un corps humain !
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lemaupertus · 4 years
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Le toucher des écrouelles : “le roi te touche, Dieu te guérit” Pour me soutenir, cliquez sur un des liens suivants ✅ SOUTENEZ MON TRAVAIL : ✅ EN ACHETANT UN LIVRE de ma maison d'édition / Mon site Internet : - Suivez-moi sur Source :
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clubrogernimier · 7 years
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Les derniers drapeaux gisent sur le Louvre abandonné. La grand-messe électorale a été consommée. Les monuments royaux, pris en otage, se sont tus. Ils restent dignes comme une grand-mère que l'on n'écoute plus à table. Ils savent bien que leur Histoire n'est plus apprise et que la pyramide aux multiples symboles était le centre de la liturgie. Chacun s'en revient chez soi, ivre d'espoir bon marché et d'héroïsme de demi-journée. Le bourgeois, bobo ou banquier, traîne son pas lourd de repu satisfait : son petit monde confortable ne changera pas et il aura pour quelques jours des histoires à raconter. Pensez-donc, il s'est battu, lui, contre la menace terrible qui planait sur son pays. Il lui fallait au moins un croquemitaine, un Grand Méchant Loup, un Cerbère pour donner un décor à son courage de salle à café. Ah, il en a fait des posts sanglants, des assauts de forwards, des commentaires cinglants! Il est un rempart avec son mur, une lame redoutable avec son doigt usé de clics impérieux. Pathétique aventure de palais , trompe-l'ennui, thérapie de groupe. L'ouvrier, le badaud, l'étudiant, le curieux, l'agriculteur et le candide tiennent encore leur ballon d'espoir de peur qu'il ne s'envole. Ils plongent leur désespoir immense ou leur soif infinie dans chacun des mots prononcés hier. Ils laissent glisser la réalité torturée dans le souffle de la promesse. Ils se sont pressés comme des souffrants dans l'attente millénaire qu'un roi puisse les guérir des écrouelles : mais ce n'est pas un sacre, c'est une élection. L'espoir fonctionne encore mais plus le miracle. Le suffrage universel a réveillé la mémoire du peuple pour lui prendre son pouvoir par les émotions sans rien lui donner en retour. Le matin sera difficile. La masse silencieuse des plus fragiles se tait, d'impuissance ou de mutisme : l'enfant à naitre, l'enfant en attente d'adoption, l'embryon future marchandise, l'élève au seuil de l'école, le jeune ou l'immigré sans racine ou sans repère, le français sans culture, le sans emploi et le SDF, la prochaine victime d'attentat, la personne âgée ou le malade grave qui sent qu'on veut l'éliminer. Qui parlera à leur place? En attendant de bousculer cette politique soumise aux écrans, nous avons un règne : notre talent propre. L'intelligence de l'action est la sœur jumelle de l'intelligence de la charité : elles écoutent et elles observent, cherchent à faire plutôt qu'à dire, et se consument à occuper le présent d'une espérance mesurable. Voilà le seul lieu réaliste de notre rassemblement.
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charlesmartel732 · 6 years
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Macron, entends-tu le bruit monstrueux des crécelles qui envahissent l’Europe ?
Ça devait arriver ! Voilà que Mister Pensée Complexe s’est transformé en Docteur Macron. Et tous deux s’attaquent à la lèpre. La lèpre n’a plus qu’à bien se tenir ! Sinon… ____________________ Benoît Rayski :  » Au Moyen Âge, les rois guérissaient les écrouelles. Saint Louis excella dans ce domaine. À cette époque, la lèpre […] from Résistance Républicaine https://ift.tt/2K7oBCM via IFTTT
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mariovarraut · 7 years
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Le souverain et le sacré
François Mitterrand en 1994 : le monarque républicain est gravement malade. Dans une interview à la télévision, M. Elkabach se fait médecin : il ausculte le Président. Mitterrand de lui répliquer : « Mes souffrances, cela ne regarde que moi. Je suis capable d’assumer mes fonctions de président ». Dichotomie de Kantorowicz au coeur de la Vème République : le corps politique du Président doit survivre, coûte que coûte, malgré le cancer qui ronge son corps naturel.
L’étude de Kantorowicz portait principalement sur l’Angleterre des Tudors. Mais l’on peut transposer l’analyse à la Vème République française. On a souvent dit que la Vème était une manière pour le peuple français de réparer le régicide de 1793. Une sorte de Rédemption constitutionnelle. Le Peuple avait tué son roi de droit divin (il était donc déicide en plus d’être régicide), il devait, mutatis mutandis, recréer un roi de droit humain : le président tout puissant de la Vème, sorte de Jupiter constitutionnel pouvant déclencher la foudre à tout moment sur les Mortels de l’Assemblée Nationale. L’Elysée avait un goût d’Olympe.
C’est que le souverain et le sacré ont toujours entretenu un rapport dialectique, fait d’intrication et de tensions successives. Souvent alliés (l’alliance du Trône et de l’Autel), parfois éloignés (loi de 1905), ils ont souvent destin mêlé. C’est que, sans doute par anthropomorphisme, nous faisons de Dieu le souverain de l’Univers. Et, parallèlement, le Souverain, homme gouvernant les autres hommes, ne peut être banal : il a trait au sacré. Au Japon, on le sait, l’empereur est une figure immortelle. Pensons à l’effroyable supplice de Ravaillac qui avait osé tué le roi, c’est à dire Dieu.
Napoléon se fait couronner empereur par le pape, Saint Louis guérit les écrouelles (c’est un roi thaumaturge : il guérit comme le Christ son modèle) : on ne peut que donner raison à Carl Schmitt qui écrivait dans son bien nommé livre Théologie politique : « Tous les concepts prégnants de la théorie moderne de l’Etat sont des concepts théologiques sécularisés ».
Cet équilibre entre le souverain et le sacré a été mis à mal par la Révolution de 1789. Comme l’écrit Kant, les sociétés humaines sont passées de l’hétéronomie (la loi vient d’une instance supérieure : le roi et Dieu) à l’autonomie (la loi vient du peuple, de la société elle-même). C’est le triomphe de l’immanence et de l’empirisme en politique. Cette évolution est ancienne et en germe au Moyen Age, du Xème siècle au XVIème siècle : c’est ce qu’étudie Kantorowicz. Othon veut imiter le Christ mais Frédéric II voit renaître le droit romain et une royauté fondée sur le droit. C’est la victoire des juristes. L’Etat devient un « corps mystique », comme l’Eglise. Il y a une sacralisation de l’Etat qui donne naissance à une mystique de la Patrie.
Mais comment faire tenir une société sans sacré ?  La religion, on le sait vient de religare, relier, lier : elle est le lien social par excellence. La République sans religion révélée a besoin de cohésion : ce sera la laïcité, de laikos, peuple en grec. Le peuple se donne comme religion le peuple : étonnante tautologie narcissique. La forme devient contenu : nous allons pouvoir désormais vivre ensemble. La laïcité est une religion, nous pouvons croire sur parole Vincent Peillon qui rappelle ce fait dans ses nombreux livres en évoquant notamment la figure de ce grand Père du Clergé républicain qu’est Ferdinand Buisson. Saint Buisson, délivre-nous du mal obscurantiste, qui permettait cependant d’assurer la cohésion de la société avec ses chimères transcendantes.
La laïcité, c’est la religion qui reste quand toutes les religions ont disparu. Le vivre ensemble, c’est ce qui reste quand tout lien social a disparu. Alors que faire ? Que penser ? On nous explique, avec Marcel Gauchet, que le christianisme préparait déjà sa sortie de la sphère de la politique : la laïcité serait un produit chrétien. Marcel Gauchet, cet humoriste. « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ». Certes. Mais c’est oublier un peu vite la Cité de Dieu de Saint Augustin et l’augustinisme politique qui affirmait ni plus ni moins que si le politique était défaillant, le théologique pouvait assurer des missions temporelles. Le politique était subordonné au théologique.
Face à la menace islamiste, la République semble avoir trouvé des armes de destruction massive avec les ABC de la morale laïque et les livres d’Elisabeth Badinter. Même Marine Le Pen se fait le chantre d’une « laïcité intégrale ». Diantre ! Sans faire de défaitisme excessif, on peut cependant douter que la maigre laïcité, éthique bien étique, résistera à l’inquiétant rouleau compresseur du totalitarisme islamique. Il est vrai qu’hélas, en un siècle, la laïcité est passée de Jules Ferry à Jean-Louis Bianco.
C’était en quelque sorte l’erreur de Kant : penser qu’une société puisse être autonome, c’est à dire se donner à elle-même, éternel Narcisse, ses propres lois. C’était oublier que la liberté sans cadre, l’autonomie sans sacré a un nom : la folie, l’anomie. Il y a fort à parier que la laïcité est l’autre nom de l’anomie. C’est la revanche du sacré.
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francepittoresque · 6 years
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[HISTOIRE] Toucher royal des écrouelles http://bit.ly/Toucher-Ecrouelles Issu d’anciennes croyances germaniques attribuant à certaines familles nées pour régner un pouvoir presque divin, et à certaines superstitions liées au pouvoir de guérison du Saint Chrême, le toucher royal des écrouelles — maladie d’origine tuberculeuse touchant les ganglions —, apparaissant sous les premiers rois capétiens et d’abord pratiqué sans régularité, devient périodique sous saint Louis puis accompagne, sous une forme spectaculaire et à partir du règne de Louis le Hutin au XIVe siècle, les cérémonies du sacre #toucher #royal #écrouelles #rois #thaumaturges #croyances #germaniques #familles #pouvoir #divin #superstitions #guérison #Saint #Chrême #Capétiens #sacre #cérémonies #traditions #coutumes #institutions #Histoire #Français #France
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lemaupertus · 4 years
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Le toucher des écrouelles : "le roi te touche, Dieu te guérit"
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lemaupertus · 5 years
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Twitter Livres : Le Guide de l’#Ostéopathie t.co/K4JSg1KwWA … #Étiopathie t.co/gkWFsHJQEE 24/04/2019 – @lemaupertus RT @VincentGranier: Instant #FakeMed dès le matin pour ce communiqué promouvant l’étiopathie. « Thérapie manuelle, l’étiopathie permet dans… 24/04/2019 – @wassiniazirar RT @VincentGranier: Instant #FakeMed dès le matin pour ce communiqué promouvant l’étiopathie. « Thérapie manuelle, l’étiopathie permet dans… 24/04/2019 – @GeoffroyLang1 L’étiopathie … Plus… Twitter Livres : Le Guide de l'#Ostéopathie https://t.co/K4JSg1KwWA ... #Étiopathie https://t.co/gkWFsHJQEE 24/04/2019 - @lemaupertus RT @VincentGranier: Instant #FakeMed dès le matin pour ce communiqué promouvant l'étiopathie. "Thérapie manuelle, l'étiopathie permet dans… 24/04/2019 - @wassiniazirar RT @VincentGranier: Instant #FakeMed dès le matin pour ce communiqué promouvant l'étiopathie. "Thérapie manuelle, l'étiopathie permet dans… 24/04/2019 - @GeoffroyLang1 L’étiopathie éradique plus complètement l’helicobacter pylori que l’homéopathie et guérit mieux les écrouelles qu’u… https://t.co/edsCIKy6Y3 24/04/2019 - @dr_skirchner Instant #FakeMed dès le matin pour ce communiqué promouvant l'étiopathie. "Thérapie manuelle, l'étiopathie permet d… https://t.co/0kNVYZY5by 24/04/2019 - @VincentGranier RT @beautecherie: L'étiopathie, une médecine douce et naturelle peu connue... ↓ Découvrez ses bienfaits ↓ https://t.co/tbNYZLlo3A #eti… 23/04/2019 - @lisableue L'étiopathie, une médecine douce et naturelle peu connue... ↓ Découvrez ses bienfaits ↓ https://t.co/tbNYZLlo3A… https://t.co/3Q27cTrmMA 23/04/2019 - @beautecherie Livres : Du #Reboutement à l'#Étiopathie ou de la tradition orale à la tradition écrite https://t.co/PZx9ibKA3A… https://t.co/6d58TD43KD 18/04/2019 - @lemaupertus
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