Séance  #12 – La force des réseaux sociaux avec la politique d’aujourd’hui

Par la grande popularisation des médias et avec la quantité d’individus qui s’y retrouvent aujourd’hui, il était impossible, qu’un jour, que les gouvernements n’essaieraient pas de rentrer en contact avec ces derniers.  

C’est en 2020 que les gouvernements au Canada ont commencé à travailler sur ce projet d’envergure qui a coûté une somme colossale pour ces derniers (McCann et Lockhart, 2020). Une des raisons pourquoi ils ont décidé de faire cela en 2020 est probablement dû à la pandémie qui a touché le monde entier. Ainsi, il est facile d’avoir l’opinion des citoyens par les nombreux messages qu’ils envoient au gouvernement ou autres entreprises. Face à ce changement, la mobilisation numérique s’est aussi énormément développée puisque les gens, même s’ils ne peuvent plus dire les opinions face à face, vont, évidemment, vouloir donner leurs opinions sur tout et n’importe quoi, alors ils le font grâce à Internet (McCann et Lockhart, 2020).

D’ailleurs, chaque réseau social est utilisé d’une manière différente l’une de l’autre (C. Lemarier-Saulnier, Séance 10, 2021). Facebook a un but de personnalisation ainsi qu’humanisation du chef. Il essaie de montrer son quotidien, pour créer une sorte de rapprochement entre les citoyens et lui-même. Il fait cela en diffusant de l’information par des vidéos ou des photos (Canada, 2017). Twitter, lui, permet communiquer directement, en d’autres, avec les journalistes grâce à l’arobase connu de cette plateforme (Justin Trudeau, 2021). D’ailleurs, il y a une action qui est peu faite dans tous leurs messages, peu importe la plateforme où ils communiquent. Cette dernière est que les chefs ont très peu d’interaction avec les publics (C. Lemarier-Saulnier, Séance 10, 2021). Ils existent plusieurs raisons pour ne pas y répondre, mais l’une d’entre elles serait probablement pour ne pas commencer à débattre avec ses propres militants et ainsi courir la chance de perdre des votes.

En conclusion, les réseaux sociaux sont énormément importants pour les politiciens puisque presque l’ensemble des citoyens s’y retrouvent. Ils peuvent ainsi communiquer avec leurs militants pour les motiver à faire des actions pour leur parti. D’ailleurs, peut-être que lorsque la pandémie sera finie, les votes seront dorénavant et uniquement en ligne.

Séance #11 — Est-ce que tout ce qui se trouve sur Internet est vrai ?

En cette ère du numérique, la plupart des médias traditionnels ont convergé vers cette technologie permettant ainsi à leur public de profiter de ses services sans pour autant utiliser le média traditionnel. Cette transformation a eu évidemment énormément des points positifs, mais il est important de ne pas oublier qu’il existe aussi un côté négatif qui l’accompagne.

En ce qui concerne un des bons côtés de l’avancée technologique, la consolidation des médias a eu comme effet de rassembler divers types de médias comme la radio ou les livres en un seul endroit, l’Internet. Avant, ces derniers étaient divisés et la seule manière de pouvoir les consulter était, évidemment, d’aller vers ce média en question. La consolidation est, pour être plus précis, le phénomène qui réfère à converger tout ce qui appartient à une entreprise vers les médias numériques (l’Encyclopédie canadienne, 2011). Ainsi, il est possible d’utiliser Internet de nombreuses manières.

Cependant, en raison que l’ensemble de l’humanité peut dire son opinion ou ses pensées sur absolument tout, cela peut avoir comme conséquence qu’il peut y avoir de la fausse information qui circule sur le web (1 jour 1 question, 2018). Il existe plusieurs termes, mais un qui est beaucoup utilisé est le terme fake news. Face à cela, les gouvernements, comme celui du Canada, ont dû intervenir et essayent, encore aujourd’hui, de sensibiliser leur population à développer un esprit critique et de ne pas croire à tout ce qui est sur Internet (gouvernement du Canada, 2020). Il existe plusieurs raisons pourquoi les personnes font des fake news (CliquezJustice, s.d.). Cela peut être pour faire rire, pour faire peur ou pour influencer l’opinion des gens.

En conclusion, la consolidation des médias permet aux gens de continuer à utiliser les médias traditionnels sans pour autant les utiliser, mais avec la popularisation d’Internet, il est important de ne pas croire absolument tout ce qui s’y trouve. D’ailleurs, il serait intéressant, dans un futur proche, d’observer une technologie qui serait en mesure de repérer les fakes news.  

Séance #10 — La « Memology »

Avec l’arrivée d’Internet, de nombreuses apparitions ont été amenées avec son implémentation dans chaque demeure. Une d’entre elles est le mème qui est, aujourd’hui, un terme ainsi qu’un concept très connu par les utilisateurs d’Internet.

Un mème est quelque chose qui est possible de trouver sur Internet et qui a pour but, généralement, de faire rire le lecteur (Stegner, 2020). D’ailleurs, un mème n’a pas de formes fixes. Il peut soit très bien être exprimé avec une image accompagnée de textes, soit être une courte vidéo avec une fin inattendue ou être exprimé de biens d’autres manières (Rogers, 2021). Ce qui est important, c’est que ce dernier se fasse partager pour qu’il gagne en popularité et, ainsi, être reconnaissable par la majorité des d’individus d’une même communauté. La manière dont une simple image peut devenir un mème est si cette dernière est connue par plusieurs personnes.

Il existe plusieurs raisons pourquoi les mèmes ont énormément gagné en popularité ces dernières années, mais l’une d’entre elles serait probablement que ces derniers sont relatable. En effet, il y a un nombre incroyable de mèmes qui ont pour but de créer chez l’individu qui regarde la vidéo le fameux sentiment : « je pensais que j’étais le seul à faire cela  » (Memenade, 2021). Apprenant qu’ils ne sont pas les seuls à faire ces actions, ils partagent, faisant rendre compte d’autres individus de ce même sentiment pour qu’ensuite ceux-ci aillent le montrer à d’autres. C’est ainsi que l’effet boule de neige commence.

Cependant, les mèmes ne sont pas des cas particuliers où lorsqu’il y a du drame, ces derniers sont invincibles, pouvant ainsi transgresser les règles. En effet, le mème « PogChamp », utilisé énormément sur la plateforme Twitch, a récemment dû être enlevé, car la personne derrière ce mème, Ryan Gutierrez, aurait partagé son opinion à propos de l’événement du Capitole aux États-Unis (Ansari, 2021). Évidemment, à la suite de cette action, les streamers de cette plateforme comprennent la raison de ce choix, mais ne sont pas tout à fait d’accord avec celle-ci (Penguinz0, 2021).

Maintenant, il serait intéressant de savoir si les mèmes pourraient être éventuellement utilisés dans un cadre sérieux, comme le travail.

Séance #08 — Nos données personnelles

Lorsqu’une personne utilise un appareil électronique, il est fréquent, aujourd’hui, que la compagnie l’ayant fabriqué récolte des données sur l’individu pour faire des statistiques ou pour donner une expérience unique à ce dernier. Évidemment, cela concerne aussi les réseaux sociaux comme Facebook.

Avant tout, il est important de préciser que les données personnelles font référence à toute information qui peut être rapportée à une personne physique identifiée ou bien identifiable (CNIL, 2020). On peut autant l’identifier directement, c’est-à-dire, par son nom ou bien de manière indirecte qui est soit par son numéro de téléphone ou soit par un identifiant pour nommer quelques exemples (CNIL, 2020).

D’une part, la collecte de données peut être en faveur des individus qui utilisent Facebook ou tous autres réseaux sociaux. En effet, grâce à l’information qu’ils ont amassée sur les individus avec l’aide de « cookies » pour nommer l’une de ces technologies, le système peut proposer, à l’aide de publicités ou tout simplement des suggestions, des produits ou des vidéos qui pourraient éventuellement intéresser la personne (CNIL, 2020). Cela peut donc éventuellement permettre aux utilisateurs de faire des découvertes de manière assez fréquentes sans trop de difficulté.

D’une autre part, certains peuvent ne pas se sentir à l’aise qu’une entreprise telle que Facebook récolte des données sur eux puisque ces informations sont privées. Très peu de personnes savent ce que ces organisations en font, pouvant ainsi créer de l’anxiété pour les utilisateurs. D’ailleurs, il n’a pas si longtemps, Facebook a dû payer une amende de neuf millions de dollars, car l’entreprise était floue envers les Canadiens pendant sept longues années (Brousseau-Pouliot, 2020). Leurs données étaient partagées avec des tiers, alors qu’ils sous-entendaient que ce n’était pas le cas.

En conclusion, autant nos données personnelles peuvent nous apporter une expérience unique et agréable sur Internet, mais autant elle peut provoquer des questionnements à propos de certaines organisations. D’ailleurs, cette collecte d’informations peut aussi aider des industries du jeu vidéo, par exemple, à comprendre leur communauté ainsi que leurs champs d’intérêt.

Séance #07 — Le monde des Vtubers

La technologie permet d’accomplir des choses qui étaient inimaginables auparavant comme le simple fait d’entrer en contact avec une personne qui se situe à l’autre bout du monde. Aujourd’hui, nous sommes rendus au point où il est maintenant possible d’incarner des personnages fictifs sur Internet et de pouvoir les rendre extrêmement expressifs grâce à la technologie qui les accompagne.

Les virtual YouTubers, aussi connu sur le nom de Vtuber sont, comme leur nom l’indique, des d’individus qui créent du contenu en ligne pour des individus (Tyler et Deyo, 2020). Cependant, ce concept est accompagné d’un détail très important qui les différencie des Youtubeurs normaux. Celui-ci est que chaque personne est représentée par un avatar (Nijisanji, 2021). Ce dernier peut bouger dans l’écran ainsi qu’avoir différentes réactions faciales. Pouvant facilement afficher des émotions et ayant un modèle généralement coloré pour attirer l’œil des usagers, il est évident que par conséquent, se « créer » une personnalité qui concorde avec ces éléments est facile, mais aussi très important pour attirer un public. Les personnages qu’ils incarnent évoluent au fil du temps jusqu’au point où ils sont complètement différents à ce qu’ils étaient avant, ce qui est assez semblable à une réelle personne qui grandit dans le monde réel.

Les admirateurs qui les suivent savent que l’individu joue un rôle, mais suivent ses activités comme si cette personnalité était bien réelle. Évidemment, chaque Vtuber a une réputation différente. Certains ont une communauté qui va jusqu’aux 2 millions de spectateurs (Vtuber, 2021). En ce moment, la Vtuber anglaise la plus populaire se nomme Gawr Gura. En seulement 5 mois, elle a gagné un total de 2,3 millions d’abonnés et a environ 84 millions de vues au total (Gawr Gura, 2021). D’ailleurs, puisque l’individu est derrière un écran et incarne un personnage, une personne qui éprouve un malaise à être devant un public peut probablement ressentir moins de stress.

La technologie derrière cela s’améliore de jour en jour, mais cela peut se résumer à tout simplement porter un équipement qui peut détecter les mouvements (Codemiko, 2021). 

Même si la personnalité qu’ils créent est probablement fictive, la joie qu’il crée pour les spectateurs, elle, est bien réelle. Maintenant, il serait intéressant de voir si cette technologie pourrait contribuer à d’autres choses qu’à seulement le divertissement.

Séance #06 — La « proximité » des communautés en ligne

C’est dans l’ère du numérique qu’il est maintenant possible de discuter ainsi que de participer à des événements avec le monde entier. Cette technologie a permis de créer un nombre incalculable de groupes qui n’auraient jamais pu voir le jour sans le fabuleux pouvoir de fabriquer des liens affectifs entre les individus du monde entier.

Ces communautés en ligne, grâce au pouvoir d’Internet, peuvent faire énormément de changements dans leur société, et même dans le monde, en raison du nombre d’individus qui en font partie. Un exemple qui démontre bien cela est un événement qui porte le nom de : « Z Event ». Ce grand projet, commencé en 2016, incite la communauté des « gamers » à donner une somme d’argent pour aider une cause qui change chaque année (Z Event, 2020). Cet événement est mené par une trentaine de streamers français jouant sur la plateforme Twitch et dure seulement une fin de semaine. En 2020, l’organisation qui a été sélectionnée était Amnesty International et la communauté a réussi à ramasser un énorme montant de 5,7 millions d’euros, dépassant de loin la somme de l’année passée qui était de 3,5 millions d’euros (M6, 2020).

Évidemment, les communautés en ligne ne servent pas seulement à faire des dons. Lors des moments un peu plus difficiles, les communautés sont en mesure de se serrer les coudes, même si les personnes ne sont pas physiquement les uns à côté des autres. Byron Bernstein, aussi connu sur le nom de Reckful, était un jouer de World of Warcraft (WOW) et se serait malheureusement suicidé en 2020 (Shafer, 2020). Face à cette réalité, l’énorme communauté de WOW s’est mobilisée et a planifié des funérailles à l’intérieur même du jeu en ligne (Asmongold, 2020). Même si les gens sont séparés par un écran, cela ne signifie pas qu’ils n’ont pas un grand cœur et, évidemment, sans Internet, il aurait été difficile de faire cela, surtout en pleine pandémie.

Pour finir, les relations affectives entre les individus sont loin d’être coupées, voire, ces derniers peuvent être renforcés grâce a cette technologie. Toutefois, malgré ces multiples bons côtés, il existe, en effet, des points négatifs qui accompagnent les communautés en ligne comme les menaces de mort que certains développeurs peuvent recevoir parce qu’ils ont pris une mauvaise décision, par exemple.

Séance #04 — Les impacts positifs du numérique

Dans ce billet, il sera possible de connaître certains points positifs du numérique. Il sera sujet principalement de l’accessibilité de l’information et des effets positifs sur l’environnement.

Un événement qui a certainement marqué la manière dont les médias sont consommés est la transformation du journal papier en une version qui peut être lue sur Internet. Le passage des médias traditionnels aux médias numériques a, en effet, eu un impact incroyable sur la société. Non seulement certaines entreprises comme LaPresse (https://www.lapresse.ca/) donnent de l’information gratuite si les personnes s’inscrivent à leur site, mais en plus, cette dernière est instantanée. En effet, cela signifie donc qu’il est possible et extrêmement facile de savoir si un événement majeur se passe au Japon, alors qu’on se trouve au Canada de manière presque immédiate. De plus, il faut ajouter à cela qu’en raison que ces informations sont disponibles sur Internet, le consommateur peut sélectionner lui-même ce qu’il va lire comme article (Prismes, 2017). Les individus peuvent donc ignorer facilement l’information qu’ils considèrent comme étant peu intéressante ou inutile à leurs yeux. Évidemment, toutes les personnes qui ont Internet peuvent aussi exprimer leurs opinions à propos de divers sujets grâce aux médias sociaux, ce qui n’était pas le cas lorsqu’il n’y avait que les médias traditionnels.

Lorsqu’on discute des bienfaits du numérique, il faut bien évidemment parler de l’impact qu’il a sur l’environnement. En effet, l’information maintenant disponible sur une plateforme en ligne signifie donc que cette dernière n’est plus obligée d’être sur une feuille de papier. Cela peut donc avoir comme impact le fait d’aider, par exemple, la préservation des arbres : « le numérique […] contribue à la diminution de l’empreinte carbone par l’optimisation des modes de consommation et des processus de production, ainsi que par la dématérialisation […] ». (BSI Economics, 2019) Le fait d’avoir moins de papier à imprimer pour les industries va évidemment, au bout du compte, provoquer une conséquence positive pour l’environnement.

En conclusion, le numérique apporte beaucoup de points positifs, mais il ne faut certainement pas oublier qu’il existe, en effet, de nombreux points négatifs aussi, comme l’impact de la pollution numérique.

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