Tumgik
sandrinedrouinlove · 4 years
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Sword offered by José Miguel de Carvajal, Duke of San Carlos, to Count Charles de l'Espine, 1805
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sandrinedrouinlove · 4 years
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sandrinedrouinlove · 5 years
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sandrinedrouinlove · 5 years
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love, love, love .......
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sandrinedrouinlove · 5 years
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sandrinedrouinlove · 5 years
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sandrinedrouinlove · 5 years
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sandrinedrouinlove · 5 years
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Can I be this cute and small now plz thx 🌹
(Not my photos)
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sandrinedrouinlove · 5 years
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Hinmaton-Yalatkit or Hin-Ma-Toe-Ya-Lut-Kiht (Thunder Coming From The Water Up Over The Land), Called Chief Joseph, Nez Percé, in Native Dress with Ornaments - Bell - 1903
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sandrinedrouinlove · 5 years
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sandrinedrouinlove · 5 years
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sandrinedrouinlove · 5 years
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Alejandra Pizarnik
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sandrinedrouinlove · 5 years
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sandrinedrouinlove · 5 years
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Le cauchemar du zéro ou la racine carrée des nombres négatifs prouvé par flore.
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La formulation moderne de l’équation de Schrödinger m’a toujours impressionnée. Bon, outre qu’elle régit la dynamique des noyaux, elle est essentielle en physique nucléaire pour sa part dans la formulation Liouvillienne de la mécanique quantique. Et c’est là que mon imaginaire s’est portée sur le rôle du zéro. Oui, bon, jusque-là, jamais il ne m’était arrivé d’y pensée. Que voulez-vous, je suis robotisée. L’étude des comportements chaotiques dans la dynamique des systèmes complexes me laissait songeuse lorsque j’en parlait avec une amie physicienne et il me fallait donc trouver un nouveau terrain fertile à mon imaginaire. Pourquoi ne peut-on pas diviser par zéro avec une calculatrice ? Sombre question. Prenons une paire de nombre au hasard : 3 X 0. Elle est donc égale à 1 X 0 donc 3 X 1. Si nous pouvions diviser par 0 tous les nombres entiers seraient égaux. Oui, je sais, c’est illogique et hors de tout doute raisonnable, impensable. Voilà pourquoi nos chères calculatrices ne nous permettent pas de diviser par 0. Ces chères calculatrices nous interdisent aussi d’extraire la racine carrée des nombres négatifs. ? Bon, là encore 2 nombres négatifs multipliés ensemble donnent un positif, et deux nombres positifs multipliés ensemble donnent également un positif. Il y a bien les températures. – 10 Celsius. Oui, mais c’est une échelle de Kelvin, donc aucun rapport avec mon cauchemar. Revenons à l’essentiel. Puis-je extraire la racine carrée des nombres négatifs. Oui, la théorie des nombres complexe est la base là-dessus. C’est justement cette théorie qui me bouleverse. Remarqués que les nombres qu’on utilise de nos jours sont le résultat d’une simple mais normal évolution. Les nombres négatifs n’étaient pas nécessaires tant que les activités mathématiques se restreignaient à la géométrie et que les sociétés passées utilisaient le troc.
Bon le vilain capitalisme nous a donc un peu aidé à cause du crédit bancaire. Mais cette négativité, vraiment, me complexe et je ne vois pas pourquoi la division par zéro est interdite me diront certains, car si l’on part du principe ou a supposer qu'il existe un nombre que l'on va appeler « flore », qui est le résultat d'une division par 0, ainsi on aura : 5 / 0 = flore, 5 / flore = 0, 0 x flore = 5, tiens curieux, « flore »  est le seul nombre qui ne s'annule pas en le multipliant par zéro, ça veut dire qu'il faut revoir notre logique, 0 c'est faux, et 1 c'est vrai, maintenant il faut ajouter une exception, zéro c'est faux sauf s'il est multiplié par « flore », , donc il faut tout refaire, nos calculatrices, nos ordinateurs, nos guichets bancaires, l'ensemble de nos technologies informatiques, remarquez que « flore » n'est pas un nombre rare, au contraire, il y a une infinité de « flore » puisque pour obtenir un « flore » il suffit de multiplier n'importe quel nombre par zéro, du coup dès que nos systèmes seront à jour pour supporter la division par zéro, je pense que si je tape n'importe quel code dans un gab, avec un peu de chance les calculs du gab pourrais faire apparaitre un « flore » qui validera mon code même s'il est erroné, mais oui rappelez-vous que n'importe quoi multiplié par « flore »  égale tout sauf zéro, aucune chance pour qu'un code soit rejeté, du côté de mon compte bancaire il suffit de glisser un billet de « flore » $, pour que la somme de mon compte sera égale à tous ce que je veux, elle n' est pas belle la vie avec Flore ?
Oui mais … ! Bon à la base il n’y a pas quatre opérations arithmétiques élémentaires, mais deux ! Car la soustraction est une addition déguisée, un bidule qui consiste à ajouter l’opposé d’un nombre, même chose pour la division, qui n'est rien qu'une multiplication déguisée. Bon, comme je le dis si bien, en calcul algébrique c’est impossible. Je me concentre sur la division. Donc diviser a par « flore », revient à multiplier a par l’inverse de « flore ». Mais l’inverse de « flore » c’est quoi au juste ? L’inverse de « flore » est « flore » X « flore »’, comme « flore » X « flore » égal 1. 1 étant le neutre de la multiplication qui peut donc être multiplié par n’importe quoi. Bref, diviser a par « flore » c’est la même chose que multiplier « a » par l’inverse de « flore ». On en vient à multiplier par « flore »’, le nombre tel que « flore » X « flore »’ égal 1. Au final diviser A par 0 est la même chose que multiplier a par l’inverse de 0. Bing ! Il nous faut trouver l’inverse de 0. C’est-à-dire le nombre Y tel que 0 x Y égal 1.
Mais 0 est absorbant. Multiplier le par n’importe quoi et vous trouverez toujours 0. Donc c'est qu'il n'existe pas de nombre Y tel que 0 x Y = 1, zéro n'a pas d'inverse. Par conséquent on ne peut pas multiplier par l'inverse de zéro, faisant que nous ne pouvons pas diviser par zéro. C’est que 0 est n’est pas inversible. Pour récapituler, les premières opérations qu'on définit classiquement dans un ensemble sont l'addition et la multiplication. On construit ensuite deux opérations complémentaires à partir de ces deux premières que sont la soustraction et la division. La première est définie grâce à l'opposé d'un nombre. Soit "x", l'opposé de x est le nombre y tel que x+y=0. On le note "-x". Par suite, l'opération de soustraction est définie comme étant l'ajout de l'opposé. Par exemple, soustraire 2 au nombre 5, c'est, par définition, ajouter à 5 l'opposé de 2, soit -2. La division est construite sur le même principe mais en partant du concept d'inverse. L'inverse d'un nombre x et un nombre y tel que x*y=1. On le note "1/x". Par suite, l'opération de division est définie comme étant la multiplication par l'inverse. Par exemple, diviser 5 par 2, c'est, par définition, multiplier 5 par l'inverse de 2, soit 1/2.Notons au passage que le choix de la définition de la soustraction ("x+y=0") et de la division ("x*y=1") n'est pas anodine. "0" est un nombre particulier pour l'opération d'addition, il est ce qu'on appelle dans la théorie des ensembles "l'élément neutre". C'est à dire que quand on ajoute 0 à un nombre, le résultat de l'opération est toujours le nombre auquel on a ajouté 0. L'opération "ajouter 0" n'a aucun effet, elle est neutre. Il en va de même pour la multiplication, dont l'élément neutre est le chiffre "1". Multiplier n'importe quel chiffre par 1 reste sans effet, l'opération est neutre."0" est donc le neutre de l'addition, et "1" le neutre de la multiplication. C’est sur des deux nombres particuliers que sont basées les définitions des opérations complémentaires de l'addition et de la multiplication.
Au fond de moi je croie comme beaucoup par erreur que 1 / 0 = ∞ je pense aussi que + ∞ = - ∞, si on parle géométrie la droite n'est qu'un cercle dont la circonférence est infinie. En géométrie oui, en physique aussi. Mais en mathématique. Je sais que 0,9999 ce n’est PAS ENCORE 1. La problématique est concentrée dans nos écoles secondaires. On touche là un intéressant problème pédagogique quand on enseigne les maths : la compréhension du concept d'égalité qu'on tient, trop souvent, pour acquis. Si en physique la notion d’infini (infiniment petit ou infiniment grand) est relativement facile à établir car on sait que le monde réel, qui ne comporte que quatre dimensions, est discontinu, que le quanta peut être défini comme la plus petite quantité existante dans l’univers, que la vitesse de la lumière est la limite extrême de toute vitesse connue dans l’univers et que le chiffre d’« Edward Kasner » 10 puissance 100 est la grandeur limite de l’univers, en mathématique il n’en va pas de même. J’adore les mathématiques il est vrai, voilà pourquoi le zéro me turlupine en mathématique. Tout d’abord en mathématique l’infini n’existe pas, c’est un concept que l’on ne peut manipuler qu’avec prudence. Dans la fameuse formule en question 0,999…= 1, c’est le terme 0,9999… avec des neuf à l’infini qui pose problème. Attention on peut tout à fait écrire en mathématique que 0, 99999…= 1 aucun mathématicien aussi puriste soit-il ne trouvera rien à redire, comme d’ailleurs dans certaine démonstration on peut accepter les formalismes tels que f (inf) = 1 ou 0/inf = 0, mais attention tout bon mathématicien sait implicitement que ces formulations sont des barbarismes ou plus simplement des abus d’écriture. Bon, je me concentre sur un ensemble particulier l’ensemble Q (Quotient ou fraction), qui regroupe l’ensemble des fractions tels que (…1/1 ; 1/2 ; 1/3 ;1/4 ; 1/5…) positives ou négatives. Cet ensemble est à la fois simple et parfaitement défini et aucun mathématicien sérieux n’écrira l’ensemble Q de la manière suivante (… ;1 ; 0,5 ; 0,333… (avec des 3 à l’infini) ; 0,25 ; 0,20…). Écrire 1/3=0,3333…. Accompagné de la phrase « avec des trois à l’infini » n’a aucun sens 1/3 = 1/3 E de Q point à la ligne. Les limites maintenant. En mathématique lorsqu’on utilise la notion d’infini on n’utilise jamais le mot « égal » la définition même de l’ensemble R ensemble des nombres réels peut se formuler ainsi.
Pouffff … mon cerveau explose. Trop de caféine ! Au final tout ceci est un peu brouillon, me direz-vous. Oui, comme moi. Ne chercher pas à comprendre mon contenu, il est vide de sens. Merci si vous avez tout de même pris le temps de lire ces lignes.
S.D
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sandrinedrouinlove · 5 years
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Merci pour ton message sur aasgaar... Spiri
cela fait plaisir ! 
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sandrinedrouinlove · 5 years
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Le recyclage écologique en politique.
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Il y a depuis quelques années une récupération de l’écologie au profit d’activistes de gauche en manque de source d’inspiration après l’échec du marxisme-léninisme, puis celui du maoïsme sauce bobo, qui remarquez bien, se trouvait pourtant loin des brigades de travail des tristes camps de rééducation du grand Timonier. Cet activisme pro-écologique, jouant sur la peur, ressemble sur de nombreux points à l’activisme « rouge ». Déjà dans les années 90, l’activiste de gauche Daniel Cohn-Bendit, égérie de Mai 68 et maoïste en puissance, rejoignit les rangs des « verts » Européen, signe s’il en fallut un, que l’écologie devenait le nouvel étendard de cette gauche vite devenu réactionnaire et moralisatrice. C’est qu’en perte de motivation et de vitesse, elle se trouvait de plus en plus face à une droite décomplexée et surtout depuis le tournant des années 2010 face à la recrudescence de la droite dure, souvent populiste, qui tente avec une facilité déconcertante à certains endroits du globe, à briser 50 années d’hégémonisme de la pensée très inclusive issu de cette gauche occidentale très bourgeoise.
Très citadine, fortement diplômé, présente dans les hautes fonctions administrative et public, à la tête des organismes à but non lucratifs et autres groupes subventionnés non élus, donc par extension très élitiste, mais désormais loin de la réalité du monde ou des mondes que constitue les campagnes, les ouvriers et les zones de non-droits ou s’entasse ces minorités ethniques d’ont-ils pensaient faire une clientèle fidèle, ce qui est loin d’être le cas, ces individus se sont retrouvés à récupérer la lutte contre les réchauffements climatiques. Mais toujours dans le sens anticapitaliste occidentale, critiquant avant tout des états où ils n’encourent rien. Bref le courage politique en grand.
Je suis de cette jeunesse de droite, très décontractée de l’être et sans gêne. Je suis une républicaine modérée aux États-Unis et je vote pour la CAQ au Québec et même souverainiste au fédéral. A part le BLOC, plus ouvertement à droite économiquement tu meurs. Mais je suis tout autant interpellée par les questions environnementales. Pas au point de faire des cauchemars apocalyptiques dans mon sommeil comme Greta. Non. Moi, je suis consciente de notre responsabilité collective à l’échelle mondial, et réchauffement ou pas, nous avons tous et toutes une responsabilité individuelle face à nos déchets et au minimum envers notre façon de consommer. Surtout, en aucun cas, ces activistes de gauches reconvertis ne me feront croire, une fois de plus, qu’ils ont un monopole, ici celui de la prise de conscience écologique !
Au quotidien.
Je ne suis pas une « granola », je ne vis pas au milieu des moutons et je ne confectionne ni mes bijoux, ni mes vêtements. Au contraire, j’aime conduire de jolis bolides allemands, j’aime les jolis vêtements, les chaussures, les sacoches, les gadgets et, en un mot, vivre comme une consommatrice. Mais je pense de façon écoresponsable et je n’ai pas attendu l’année 2019 et Sainte Greta pour m’y mettre. Je m’explique. Pour me rendre au travail, j’utilise nos transports en commun, limitant mon utilisation automobile individuel que lorsque cela est nécessaire et Dieu sait que ça l’est en Amérique lorsque tu vie en banlieue. Nous sommes très loin du niveau de développement des réseaux de transport en commun qu’il y a en France, en Grande-Bretagne ou au Japon. Même a des années lumières. Mais au moins, je limite mon empreinte carbone si chère depuis peu de temps à notre clique environnementaliste.
Même chose pour les vêtements. Là aussi, je suis une grande consommatrice. Oui mais ! J’achète uniquement dans des friperies, donc très souvent des secondes mains; C’est utile, pas chère, les pièces y sont souvent de bonnes qualités, le choix est vaste, c’est une forme de recyclage et des friperies il y en a presque partout au Québec et Montréal en est rempli. Les seules choses que je n’achète pas en friperie pour des raisons d’hygiène assez logique, c’est la lingerie, mes lunettes, mon maquillage, mes soins corporelle et … mes chaussures de sport. Encore ici, j’utilise 1 pair de chaussure de course à pied par an, celle du trail me fait 2 ans, celles de marche parfois 3.
J’applique cette idée a l’achat de mes gadgets (iPod, Cell, écouteurs, etc) en pillant ouvertement Kijiji. Même ordre d’idée pour mes autos, mes équipements de ski, etc.
Comme je suis une dévoreuse littéraire compulsive, je déambule souvent en famille dans les deux bibliothèques de Repentigny et si je ne trouve pas ce que je cherche, je regarde les annonces des coops universitaires, les ouvrages usagers, les ventes de garage et en dernier choix je vais vers le neuf. Mais toujours en cherchant avant tous l’usager.
Épicerie.
Comme j’ai la chance de vivre dans une jolie banlieue proche de la campagne, j’achète bio et local au maximum et cela n’est pas plus dispendieux. Produits de la ferme, œufs, préparation de repas et division en portions font partie du quotidien familiale. Il est évident que cela demande la participation de tous aux différentes taches. J’achète les légumineuses et les noix au détail, les fruits de saison uniquement produits au Québec, je ramasse les pommes, le blé d’inde, les fraises en famille; Compote, fruits congelés seront emmagasiné dans notre super jumbo congélateur. A par les bananes, le poisson et les agrumes, tous les fruits proviennent de ma province. Cela nous limite dans nos choix, mais c’est plus logique de notre point de vue. Nous n’achetons pas d’emballage inutile, notre extracteur a jus remplace facilement tous ces jus bourrés de sucre et de colorants que nous retrouvons en épicerie. Pas de soda non plus, ni de lait.
Dernière chose, je limite ma consommation de viande, voire la supprime pendant des mois, mais il n’y a que moi dans la maison pour le faire. Vivre avec des carnivores nous oblige à faire des concessions. Je plaisante.
Déchets.
Nous compostons tout ! Notre petit carré de jardin nous fournit tomates et légumes divers. Au final, nous avons l’équivalent d’une poubelle a déchets domestique par mois, une de recyclage également par mois sauf lors des évènement festifs comme les anniversaire, les fêtes de fin d’année ou bien lors des visites d’amis ou de la famille.
Maison.
Elle a été bâtie au court des années 60. En 5 ans nous l’avons rendu éco responsable. Fenêtres, portes, isolants, toiture. Tout a été changé. Ces rénovations ont couté une petite fortune, mais notre facture Hydro a chuté de 30%, ce qui a très moyen terme sera plus que rentable. Nous sommes également passé d’un système de chauffage à l’huile (mazout) a un système de chauffage électrique central. Pas de climatiseur l’été, nous avons un sous-sol qui nous sert d’abri lors des fortes chaleurs estivale.
Voyage.
Je pensais que ce serait l’ombre au tableau. Mais non. Si Greta utilise l’avion pourquoi pas moi ? Ce mouvement qui consiste à limiter l’utilisation du transport aérien est né en Suède comme Greta. Un pays où il semble plus utile de combattre la pollution générée par les États-Unis que les endémiques viols quotidiens sur les femmes qui se déroule chez eux. Là encore joindre l’utile à l’agréable est possible. Bon, je m’autorise un ou deux voyages tout compris par an vers le sud comme beaucoup de monde; Cuba, Dominique, Floride, Costa-Rica. Mais lorsque je visite le reste du monde c’est en famille, en achetant local et en dormant dans des locations de type airbnb.
Tout cela pour dire qu’il n’y a nul besoin d’avoir attendu le mouvement très politisé de Greta pour devenue éco-responsable. Et même si une partie seulement de tout ceci est applicable à vous et votre façon de vivre, c’est toujours mieux que ces milliers d’étudiants et d’adolescents manipulés qui encore il y a, à peine quelques mois consommais boites de pizza, cell moderne et autres gadgets de leur âge. Soyons bien plus inquiet du pillage des ressources que du dit réchauffement.
S.D
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sandrinedrouinlove · 5 years
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Kanien'kehá:ka.
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Les anglais nous appelaient « Mohawk », terme qui désigne toujours le peuple Kanien'kehá:ka en kanien'kéha (la langue iroquoienne des Mohawks). Kanien'kehá:ka veut dire « peuple des silex ».
Les Mohawks sont à la base de la création de la Confédération Rotinonhsyón:nih communément appelé Confédération Iroquoise des Six-Nations. Les Iroquois vivaient dans une société matriarcale ou la femme était libre. Le chef Mohawk Hiawatha les unifias et 50 chefs le suivirent. La société Iroquoise était pacifique, mais aussi plus guerrière que ses voisins. Ils étaient craints et respectés, vivaient au sein de clans; Sédentaires, ces clans vivaient dans de grandes maisons longues. Ils cultivaient et chassaient. La caste des guerriers, reconnu pour leur coupe de cheveux qui fera fureur chez les groupes punks au tournant des années 70, étaient craints comme la peste par les français et les anglais. Ils pratiquaient une forme d’adoption des étrangers pour combler leurs morts lors de guerres ou d’épidémies, après un rituel de passage sacré. Ils pratiquaient aussi une forme de cannibalisme en mangeant le corps de leurs ennemis.
Mon papa est né dans la réserve Mohawk d’Akwesasne, dans l’état de New York, réserve qui longe la frontière canado-américaine. Lorsqu’il est arrivé au Canada a 18 ans pour y chercher du travail, il ne savait pas qu’il allait comme sa future fille, tomber amoureux du Québec. Il s’est d’abord installé à kahnawake, puis à Montréal où il a appris le français. La décision de nous rendre bilingue est sa décision et il n’a jamais revendiqué un quelconque statut d’indien pour vivre au Canada. Il a bâti sa vie seul avec honneur et courage, affrontant les difficultés avec pragmatisme. Il est finalement lui aussi devenu un Québécois. Les Mohawks donnent deux prénoms à leurs enfants, un en anglais et l’autre en kanien'kéha, la langue Iroquoienne des Mohawks. Mon père a préféré choisir pour ses enfants des prénoms francophone, ce fu Sandrine pour moi. Mais il n’a pas négligé de nous donner un prénom Mohawk et de nous enseigner le Kanien'kéha, cette langue en voie de disparition. Mon prénom Mohawk est Katsitsano’ron et signifie « fleur précieuse ». Il n’aurait pas dû, car chez les Mohawks, on ne donne jamais le même prénom a deux personnes vivantes. Mais mon père n’a jamais respecté les conventions et a imposé son choix.
Malgré son assimilation exemplaire mon père nous emmenait tous les ans aux pow wow de la nation Mohawk a Akwesasne; Grand rassemblement culturel et surtout spirituel. Là-bas, nous nous rassemblions autour des chants, de la musique amérindienne avec son tambour collectif, ses tambours à eau, ses hochets musicaux, ses repas collectifs aux abords du grand casino, ou bien encore lors de la danse de la fumée qui se pratique autour d’un grand brasier, le mouvement des danseurs faisant tournoyer l’air et donc la fumée. Enfant je m’y suis à chaque fois sentie libre et moins soumise à l’autorité parentale, déambulant partout, fumant en cachette, apprenant à tirer au fusil de chasse avec des oncles. J’était intriguée par les regalia, ces costumes traditionnels, et par tous ces contes et mythes fondateurs décrits au coin des feux le soir. Je pourrais être juridiquement une autochtone ou une métisse si je le désirais, aussi bien au Canada qu’aux États-Unis, mais j’avance dans les traces dessinées par mon père, celui de l’assimilation. Mes enfants seront libres de la faire valoir ou pas.
Je suis née au Québec et j’ai la chance d’être et de me sentir québécoise. La culture québécoise, ce dernier bastion de la langue de Voltaire en Amérique du nord me fascine toujours autant. Par choix, nos parents nous ont rendus bilingue, c’est je pense, dans une famille anglo, la décision la plus intelligente qui soit. Mais nous avons tous des origines, que nous le voulions ou pas. Je ne suis pour ma part, pas intégrée à la société québécoise, j’y suis assimilée; Je mange de la poutine, je parle français tout le temps, je ne pratique pas le « bonjour/hi », je suis souverainiste, j’ai à cœur nos avantages, même s’ils ne sont pas parfaits. Je suis donc une québécoise aux origines autochtones en majorité, j’ai d’autres origines, mais la culture de mon père m’a toujours tout autant fasciné que la culture francophone. Je ne fais plus les pow wow, par manque de temps surtout. Il m’arrive de songer à y retourner de temps en temps a l’occasion, j’y remet les pieds au moins une fois par an, mais uniquement pour voter ou rencontrer de vieilles tantes.
S.D
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