Pétard

J’espère que tu me verras. Et je m’excuse d’avance si ce mot mouille tes joues.

Un champ de ruines. C’est devenu un champ de ruines. Pourtant qu’est ce que c’était beau. Il y avait des hauts et des moins bons. Malheureusement, ce soir je me promène entre nos boîtes. Une, deux, trois, et tout s’arrête. Relancé à pleine vitesse, je croyais passer tous les obstacles pour toi. Seulement je n’avais pas vu un mur, le tient. Je n’avais pas compris tes pensées, ce que tu voulais au fond, je pensais que tu voulais te faire rattraper par mes doigts. Bien au contraire, tu préfères tomber sur tes mains. Je me demande à chaque instant si tu vas bien, si tu ne pleures pas, si tu ris comme quand tu étais face à moi. Ton Etre intéresse tant, il m’a toujours attiré. De ce que tu étais à ce que tu es devenue. Je suis fier d’avoir été à tes côtés durant ces années partagées entre notre amitié, tant d’amour et de la tristesse. Et je serais fier de ce que tu deviendras, tu seras grande Emma.

Je crois que je suis devenu jaloux de ce que tu es devenue. Tu as réussi à grandir, mûrir. Je me voyais à travers tes yeux doux et si beaux. Maintenant je me regarde avec mes simples yeux. J’en éprouves du dégoût. Tu étais la fille, femme, amoureuse parfaite, et on a pas su continuer à s’apporter du bonheur. J’avais tant à te donner, tout à vrai dire. Et je ne m’en suis rendu compte que trop tard. Tu n’en veux plus et c’est ton choix. Tu as choisis de partir à l’encontre de ce que j’avais voulu, de nous. 

Emma, tu es ma vie. Pas simplement un surnom cul-cul. J’arrive seul dans une impasse. C’est vide, à droite, à gauche, partout. Je souffre sans toi. Je souffre avec toi. T’es ma maladie et mon seul remède.

Tu m’excuseras pour les mots qui te paraîtrons grossiers dorénavant : je t’aime.

On est fait pour être ensemble, c’est ainsi. Nous sommes simplement pas prêt. Je félicite la personne que tu es dorénavant. La vie me brûle au troisième degré et ne pas t’avoir dit :

Emma c’est toi que j’aime, je te veux maintenant et toujours. Je te veux dans notre chambre, sur notre balcon, assis sur notre canapé. Je nous veux heureux dans un appart tout pourris qu’on aura fait tout comfy. Je te veux avec de l’highlight ou en veste pilou pilou. Je te veux de suite, demain, toute la vie. Je t’aime Emma et rien n’y changeras pas même toi et tes caprices

Mais devant toi je me liquéfie, je t’aime trop et ça me faisait peur jusqu’à ce que j’assume récemment mes sentiments.

Emma, accepteras-tu mon amour lorsque je serais prêt ? 

Emma, seras-tu là quand nous serons prêt ?

Toujours je serais là. Mon amour ne changera pas. Ce que tu es non plus. Toi et moi, c’est écrit. A nous d’écrire la suite, A.

Regarde comme j’adore ma vie quand tu en fais partie

Je me dis :

“Regarde mec comme t’étais bien. Regarde comme tu L’aimes. C’est pas tant “Elle est importante” ou “c’est quelqu’Un de bien”, c’est vraiment tu L’aimes. C’est que tu veux dormir avec Elle, que tu veux vivre avec Elle, que tu veux faire les courses avec Elle parce que ça te fait plaisir mec. Tu veux avancer avec Elle. Et quand tu regardes cette semaine tu te dis quoi mec? Tu te dis “putain j’suis mal, j’suis triste, un truc vas pas” ? Non mec tu te dis wahou gros cette semaine c’était génial. Regarde quand t’es allé La voir à Aix sans prévenir parce qu’Elle se sentait seule. Regarde comme t’étais heureux quand tu courais dans Aix pour aller plus vite. Regarde comme t’étais fier avec tes roses et tes pâtisseries. Regarde tout ça. Regarde quand Elle t’as dit “mercredi je viendrais j’ai pas cours le lendemain” et que t’étais si fier qu’elle fasse le déplacement jusque chez toi. Regarde tu sais plus ce que t’as mangé, mais tu sais que t’as bien mangé parce que t’as partagé ton repas avec Elle. Regarde comme t’as ris, regarde comme t’étais heureux quand tu sentais sa présence dans la pièce. 

Regarde comme t’avais envie de vivre mec, regarde comme t’adores ta vie quand Elle en fait partie. Regarde tout ça."

Si c’était encore possible

Je te dirais, entre autres, ces quelques choses,

- Tu représentes quelque chose de très important pour moi

- Ma vie est la tienne

- Je te suivrais jusqu’au bout du monde

- C’est quand qu’on reprends l’avion ?

- J’aime bien ton make-up

- Fajitas ce soir ?

- On va faire du shop shop ?

- Vient on mange en regardant des vidéos à la con sur YouTube

- Faut que tu m’aides ma vie

- T’aimes bien mes photos comme ça ou c’est mieux là ?

- Regarde j’ai eu un mail pour me demander un devis !!!

- Ca pète !

- On va au concert la semaine pro ?

- T’as vu sur Quotidien ça a l’air super sympa !

- Ca sent le pete, t’as pété? Tu sais cnaturel hein, tu pète pas tu meurs et stu meurs tu vie plus. Ca c’est con quand même 

- Tu sais je suis nul, je m’en rend compte. Mais c’est toi que j’aime et je m’en veux à chaque fois que je te vois triste

- J’ai envie de créer des trucs

- On va faire des photos ? 

- Tu sais je t’aime

- Ca fait longtemps qu’on est pas allé à Serre che on y va ce weekend? Ou au Grau comme tu préfères !

- On continue Narcos ?

- Attention, 1, 2, 3, à l’attaqueeeeeeee

- C’était bien quand même, vient on recommence

- Je t’aime

C’est long

Je crois bien que tu ne ressens plus les choses comme moi. J’aimerais rester à tes côtés toute ma vie. J’agis de façons maladroite, de façons idiote, de façons [tous les adjectifs que tu voudras]. Mais quand je te regarde dormir à quelques centimètres de moi, je ne suis plus triste. Non je ne suis plus triste quand je sens ton souffle doux et chaud suivre les formes de mon visage. Je ressens alors tout ton petit corps t’assoupir et se relâcher sur le mien. C’est dans ce moment que je me sens bien, quand je te vois t’endormir sur mon bras, le tien posé sur mon corps. Attention, non ne crois pas que je serais bien uniquement lorsque tu dors. Je te l’accorde, je serais souvent bien. Mais non quand tu es éveillée, à moitié éveillée, endormie, pleine d’énergie, triste, contente, énervée, calme ou apaisée je le suis aussi. En réalité, je suis plus qu’heureux avec toi. Et c’est dans ces moments de doutes que je me demande comment être heureux quand cette sensation est intimement liée à toi. Et avec cette question, je suis triste. Mais j’essaie de ne pas y penser. 

De penser à nous, à toi. Car je t’aime de ton canthus interne à l’ouverture de ta bouche. Du long de tes cheveux d’or. De ta sensibilité à ta sensualité. Je t’aime dans toutes tes pensées. Je t’aime parce que tu as su arpenter et reconnaître le relief de mon âme. Je t’aime parce que tu fais chanter nos moments à deux. Ces chansons qui ne parlent qu’à nous deux. Et puis j’ai l’impression que deux, c’est suffisant pour être l’infini.

Je ne saurais jamais te le dire suffisamment, mais, moi rime avec toi. 

Si tu penses à moi de temps en temps, envoie un message. Et dis moi quand tu seras vers chez moi, je viendrais porter tes bagages.

Je continue d’être heureux avec toi

Oui il y a des bas qui font mal. Non je ne t’aime pas moins pour autant.

C’est avec toi que je suis heureux, que je me sens étrangement moi. C’est avec toi que je me laisse être moi même. Et c’est surtout avec toi que je veux être.

J’aimerais savoir te le dire plus facilement, plus souvent et surtout d’une meilleure manière, mais je ne sais pas faire. J’essaye de faire du mieux.

Maintenant, je vais oser te dire je t’aime quand j’en sentirais l’envie et surtout, je vais te le montrer.

A mon bonheur caché derrière le tien,

C’est douloureux

Je ne me pense pas capable de t’oublier. De pouvoir te dire « adieu ». Je ne crois pas que tout puisses finir si mal. Je ne pense pas que tout puisses finir tout court. Qu’est ce qui pourrait me motiver à faire des trucs si je ne peux plus te les raconter, te les montrer ? Ecouter ton petit rire quand j’ai fait une connerie, écouter tes petits mots de félicitations ou d’encouragements, voir ton sourire tout simplement. Je sais aussi que dans tous les cas les soirs où tu n’es pas là tu me manques. Les soirées seul avec Quotidien ne sont sympas que quand on en parle. 

Tu me manques un peu plus dès lors que l’aiguille du cadran change de chiffre. 

Alors j’ose me demander comment cela se passera quand tu seras de retour : mal ou bien. Bien, pour nos bons côtés. Mal pour les mauvais.

Ou simplement avec des grands hauts et de petits bas. Et cela afin de toujours rester loin de la ligne de fin. Moi j’y crois toujours. 

Dans tous les cas, tu seras celle avec qui j’aurais tout fait. Et ce sera mes plus beaux souvenirs.

Bien à nous,

La suite à écrire ensemble

A toi,

J’aimerais comprendre pourquoi il y a toujours quelque chose qui cloche et qui remue tout ce qui n’était pas parfait pour devenir une discussion qui nous blesse, qui nous attriste et qui nous pique. Je sais qu’au fond je veux que tu sois heureuse. Je sais qu’au fond je veux que tu ris, que tu sourisses, que tu me regardes comme quand ça allait si bien. 

Je voudrais nous retrouver un an plus tôt. Voir et changer ce qui ne va pas, modifier ce qui n’allait plus aller par la suite. En effet, en ayant compris avant que ce ne soit trop tard, que moi sans toi ça ne marche pas j’aurais du me remettre en question.

Maintenant on est là. Oui. Non. Oui. Non. Oui.

Je voudrais te dire, à part le fait que je t’aime, que je tiens à toi. Je tiens à toi en tant que personne : tu es là pour moi, tu m’aides, on avance ensemble, on rigole ensemble, on s’amuse, on joue, on se fait des souvenirs. Et par la suite on range les traces de ces beaux moments dans nos boites d’années. Première année. Deuxième année. Et maintenant troisième année. On les ranges et on ne pensent plus à eux. On les sait rangés ici et on n’y touche plus. On les entassent sans vraiment les rouvrir. On devrait les ouvrir régulièrement pour se rappeler ces beaux moments et rire à nouveau de ces instants. En plus de deux ans, on a rempli ces 73 584 000 secondes de rires, de joies mais aussi de peines. Beaucoup trop à mon goût. Je tiens aussi à toi en tant que ce que tu es : tu as été une fille, une amie, un nounours, ma meilleure amie, ma plus chère amie, ma copine, mon ange, mon tout. Mais surtout, comme la personne qui a toujours été là.

J’aimerais que l’on puisse repartir. Montaigne a écrit : « Il faut étendre la joie, mais retrancher autant qu’on peut la tristesse », on devrait en faire de même. Prendre nos belles secondes et en faire des minutes. Puis prendre ces minutes et en faire des heures puis des jours et des semaines. A l’inverse, on devrait jeter nos sombres secondes afin de ne pas perdre notre cap : ton bonheur collé au mien.

Alors même si je le montre de la pire des manières, celle que je veux voir heureuse au réveil, c’est toi. 

Je sais bien que j’aurais du mal à te le montrer de la manière que je le souhaites, mais j’espère que tu me laisseras faire.

A toi, un homme amoureux de toi.

Mon amour

A toi mon petit ange, Voilà, on est proche des neuf mois passés ensemble. C'est le genre de date symbolique pour moi. Je trouve ça beau. Beau de ta part, déjà, pour me supporter tout au long de ces derniers mois à tes côtés. Beau de ta part, aussi, d'être arriver à me changer, à me faire aimer quelqu'un et à lui dire, à te le dire. Même si je suis loin d'être à la hauteur j'essaie du mieux que je puisse pour te combler de bonheur et te voir sourire. J'ai envie de continuer d'essayer jusqu'à ce que j'y arrive, jusqu'à ce que tu sois là plus heureuse de ce monde. Que je puisse me coucher en me disant que tu es bien avec moi. J'ai envie de passer tout mon temps avec seulement toi, de sortir, jouer, se balader, aller au cinéma, à la montagne, à la plage, de regarder les étoiles avec toi allongé quelque part, de pouvoir te sentir à mes côtés, te toucher et te voir. J'ai envie que mon temps soit avec le tient. Tu es mon petit passé amoureux, mon présent plein de coeurs et mon futur d'amour. Car oui j'espère sincèrement que tu seras ma femme, que tu me diras oui le jour où je me baisserais devant toi et que quand je remonterais ma tête tu me regarde avec tes si jolis yeux et ton regard rempli d'amour me transpercera comme jamais. Oui je veux passer ma vie avec toi. Oui je veux vivre avec toi. Oui je te veux toi et personne d'autre avec moi pour les dix prochains siècles. Oui je veux que tu partages tous mes jours et toutes mes nuits. Oui je ferais tout ce que je pourrais pour réussir à te garder. Parce que oui je t'aime, comme je n'ai jamais aimé quelqu'un et personne n'a pu t'aimer autant. J'en suis devenu jaloux, triste à l'idée de pouvoir te perdre, anxieux de te laisser seule, craintif que tu te lasse, mais surtout, j'en suis devenu amoureux de la femme de mes rêves; toi. T'es tout pour moi, ma chérie, mon bébé, mon amour, ma vie, mon bibou, et un jour tu seras officiellement ma femme.

Et pour finir, je veux te dire que le garçon devant toi t'aime si fort que son petit coeur tape trop fort.

“J'ai envie d'te dire que t'es belle Que t'es mon rayon d'soleil Et que j’t'aime”

Six mois

Alors voilà, bientôt trois ans. Trois ans qu'on parle. Qu'on rit, qu'on se raconte nos vies. Depuis ce temps, pour moi, tu as toujours été une personne belle et attentionnée. Quand je n'allait pas bien, tu étais là. Maintenant que ça va, tu es toujours présente à l'appel.

Mais maintenant, c'est bébé quand je t'appelle.

Alors voilà, bientôt six mois que tu es réellement rentré dans ma vie. Six mois, c'est certes peu, mais pour moi ça représente tant de temps et de moments passés ensemble. Maintenant j'ai seulement envie qu'on continue de faire des trucs ensemble, qu'on se voit plus souvent. T'es la première avec qui je m'implique vraiment et avec qui j'ai envie d'être. T'es aussi la première avec qui je veux faire des sorties, des cinés, des restos, des voyages, des vrais trucs de couple. Au fond, je me rends compte que c'est la première fois de ma vie, que j'aime quelqu'un. C'est bizarre cette sensation quand je suis sans toi, mais quand je suis avec toi c'est si bien. J'aimerais que ces moments dure des heures, mais le temps passe trop vite quand on s'enlace et qu'on s'embrasse. Quand tu me souris je m'évades dans mon monde. Avant je m'y perdais mais maintenant tu me tiens la main, alors ce monde, c'est devenu le notre. On y rangera nos souvenirs, nos sourirs et nos rires.

J'ai envie qu'on soit le couple de mes rêves, parce que y'a que toi que j'aime.

∅

T'es pas là mais t'es partout. J'aimerais que ce soir tu sois avec moi. Pas dans ma tête mais dans mes bras. J'aimerais sentir à nouveau ta peau chaude contre mon corps, qu'on s'enlace et qu'on s'embrasse. T'es petits messages me manquent, ta main dans le creux de la mienne quand on marche ensemble. J'aimerais que l'on retrouve ça, qu'on soit à nouveau ensemble le soir, les matins et les midis. Qu'on se regarde dans les yeux et que tu vois tout l'amour que j'ai pour toi dans mes yeux. Que tu vois mes yeux qui brillent quand je te vois et qui maintenant regardent le sol quand ils te croisse. Alors voilà j'aimerais qu'on retrouve notre nous, car c'est si beau un ensemble que des moitiés seules. C'est si vide d'être sans toi.

T'es partout.

T'es dans ma tête, t'es dans mon corps. Sous la douche je pense à toi, sur mon lit je pense à toi. Quand je réfléchis aussi, je pense à toi. Je pense toujours à toi. A ton visage qui s'illumine quand tu souris. A t'es yeux quand ils plongent dans les miens. C'est toi que j'aime comme l'tonnerre. C'est toi que je vois quand je rêve, quand je mange, quand je marche seul je te vois à mes côtés. Main dans la main. Sans dire un mot, juste nos peaux qui s'effleurent. Nos doigts s'entrelacent. Nos esprits qui se parlent et qui s'emmêlent. T'es dans mon corps, t'es dans ma tête, vingt-deux heures vingt-deux.

A toi.

Je profite en cette nuit où tu n'es pas là, pour te dire que, tu me manques quand tu n'es justement pas là. Que moi, maintenant, je tiens à toi. Alors oui, ça fait bizarre de se dire ça, mais voilà, tu m'as convaincu. Je ne te dis pas que je t'aime quand je suis avec toi, car je n'ose pas. Je n'ose pas non plus te montrer à quelle point j'ai envie d'être avec toi. Je n'ose pas tout cela car j'ai peut être peur de ta réaction. Mais sache que je le pense, et ça du plus profond. Voilà, ici j'ose te dire que je t'aime et que j'aimerai pouvoir passer mes journées entières, à ne rien faire, à juste pouvoir être là, là où tu seras. Cet endroit je veux y être longtemps. Je veux que l'on y soit ensemble. Je veux y sentir ta peau, ton souffle, ton odeur, t'es cheveux, ta main sur ma nuque, ta joue près de la mienne. T'es lèvres sur les miennes. Alors ici, je te le dis, je t'aime.

Ceux.

Il y a ceux qui disent de grands je t’aime et ceux qui t’aiment vraiment. Et je suis de ce genre qui t’aime vraiment. Comme un dingue, un fou. Un fou de toi.

Un voyage de coeur.

C’est vrai qu’elle est belle, la gare d’Amsterdam. Là où on aurait pu se chercher. Mais y’aurait personne. Personne. Comme d’hab en fait. Comme dans nos cœurs on est seul en attendant le jour où tout bascule que l’on rencontre l’être que l’on côtoyait depuis si longtemps mais ce jour on a compris que c’était lui. Elle, il, tu, je, putain oui. C’est toi et personne d’autre. C’est toi qu’il fallait pour que je tourne, que je change de cap, que je décroche mes yeux de mon passé si infâme et sombre. Il y avait ces moments de joie que tout le monde connait mais ils étaient rares et courts. Tout comme mon souffle quand j’ai compris, quand j’ai su, que, c’était toi et personne d’autre.

"Le secret de la communication ce n’est pas de parler mais de savoir écouter"

Tonnerre.

Un jour tu me tueras, mais bordel qu’est-ce que je foutrais sans toi. Qu’est-ce que je t’aime, plus fort que l’tonnerre.