Tumgik
Text
Let there be carnage!
Le sous-titre évocateur, qui, à lui seul, peut résumer les qualités du second opus Venom.
Scénario : massacré!
Interprétation (soyons honnêtes surtout celle de Woody) : massacrée!
Effets spéciaux : mass... Bref,vous avez compris.
La bromance tourne vinaigre et seule la scène d'après générique laisse espérer un troisième opus digne de ce nom.
Venom
Disons le tout de suite dernier Marvel est en deça des standards établis par ses aînés (Avengers Infinity War notamment).
Malgré un casting plutôt équilibré et une réalisation honorable, saupoudrée d’humour potache à base de répliques “bromance testostéronnée”, la sauce ne prend pas vraiment, la faute à un ennemi peu charismatique et peut-être au fait que, pour beaucoup de néophytes comme moi, Venom a du mal à s’incarner sans Spidey dans les parages. 
Par ailleurs, sous ses dehors de film d’action superhéroïque, c’est peut-être le Marvel qui lorgne (à tort?) le plus vers la comédie romantique, la relation homme / symbiote étant sans doute une métaphore de la relation de couple: à deux on est plus fort, mais l’un des deux se fait bouffer ses organes vitaux :)))
Bref, à voir comment la franchise se développera et prendra place (ou pas) dans le MCU.
1 note · View note
Text
Kaamelott le film volume 1
Bon.
On va pas tourner 107 ans autour du pot, Kaamelott le film, c'est pas pour les pécores qui bittent rien à la mythologie Arthurienne revisitée façon Astier. Ceux-là peuvent décarrer fissa.
Et c'est bien le principal reproche qu'on pourrait lui faire. Ça et aussi que la patience est un plat qui se mange sans sauce, parceque neuf ans c'est long quand même.
Sinon tout le reste y est :
Le casting original, les guest de choix, le rythme et le ton si particuliers, l'écriture ciselée... bref tout ce qui fait la musique si spécifique de l'œuvre.
Le tout dans une production très léchée à la photographie plutôt cossue et à la mise en scène habile quoique parfois bourrue dans son montage.
Un film qui ne manque pas de souffle.
4 notes · View notes
Text
The wrath of a man
Où quand Guy Ritchie s'inspire du Convoyeur de Nicolas Boukrief.
Évidemment, la dimension "thriller psychologique" (je n'ai pas trouvé mieux comme termes synthétiques) portée par l'intriguant, voire parfois l'inquiétant, Dupontel est ici remplacée par la testostérone dégoulinante de Statham.
Mais on lui pardonne beaucoup quand il nous gratifie de son accent cokney.
Comme on pardonnera aussi, souvent chez Ritchie, la mise en scène qui rend complexe un scénario - pas dénué d'absurdités- qui ne l'est pas.
Au final, le casting de qualité, qui donne un peu de matérialité à l'affrontement que se livrent nos couillus, et le savoir faire de Ritchie, rendent une recette éprouvée, pour ne pas dire éculée, plutôt digeste.
Mention "ok"
0 notes
Text
Gundam l'éclat d'Hathaway
Je ne suis pas le dernier à critiquer les productions Netflix, souvent clinquantes, mal écrites et trop produites.
Mais il faut reconnaître que leur "département animé" a plutôt bien pigé comment on en fabrique.
Après quelques galops d'essais au format seriel oscillant entre le bon (The great pretender) et le très bon (Castelvania !),
Netflix s'attaque à l'OAV et convoque pour cela Gundam, l'une des franchises les plus adulées (et longues), visiblement (et heureusement) toujours portée par les équipes de la Sunrise.
Le scénario est dans la continuité de l'Universal Century et rappelle Noa Hathaway et le fantôme de Char.
Rien de bien nouveau de ce côté, mais l'anime arrive à faire du Gundam... avec très peu d'apparitions des géants d'acier, que la réalisation et la mise en scène arrivent à rendre (pour une fois!) réellement terrifiant, en les faisant évoluer dans un environnement urbain et en les opposant à l'échelle des humains sur lesquels l'anime se concentre.
Une sympathique surprise qui ne détonne pas dans la galaxie gundam et qui mérite le coup d'oeil ne serait ce que pour sa production ultra léchée.
Avis aux amateurs... et aux novices
0 notes
Photo
Tumblr media
Tentative d’Umour Glacé et Sophistiqué... ;)
0 notes
Text
Critique à la demande
Un cousin, un patron ou une ex vaguement artiste?
Une envie de leur faire savoir ce que tu penses de leur travail?
J'ai la critique facile analyse pour toi l'oeuvre de ton choix!
N'hésite pas à réclamer ta critique gratuite et personnalisée !
0 notes
Text
Ava
Jessica Chastaing, visiblement en quête d'un rôle physique, campe un assassin efficace mais avec tellement de merdier à gerer dans sa vie perso que son management décide de la buter.
Le casting aguicheur se veut finalement une fausse bonne idée, tant aucun des acteurs n'est crédible dans son rôle (mention spéciale à Collin Farrel en patron moustachu des "black ops" tendance père de famille responsable) pour ce film d'action fadasse, sans scénario, à la réalisation passée, qui n'apporte strictement rien au genre contrairement à, par exemple, Conspiracy qui avait au moins le mérite d'avoir (re)mis au goût du jour l'"action movie" au féminin.
Bref, une bonne daube qui vaut peut-être pour le clin d'œil, via Geena Davis, à "Au revoir à jamais", à ma modeste connaissance, pionnier du genre.
A éviter.
0 notes
Link
0 notes
Text
Finas-séries
En attaquant la saison 7 du show international du moment, dont les saisons se suivent et se ressemblent, parlons séries- eusement.
1/ les classiques:
Community - Netflix
Excellente sitcom américaine qui déroule le quotidien loufoque de "misfits" d'une université publique américaine.
Le show est un hommage quasi permanent à ses aînés audiovisuels de tout bord, et aborde de manière fraîche les sempiternels thèmes du genre.
Si vous aviez raté sa diffusion sur Mtv à l'époque, foncez !
2/ les déclins :
Peaky blinders - Netflix / voir post précédent
Westworld - HBO / voir post précédent
Silicone valley - HBO
La sixième (et à priori dernière) saison s'essouffle un peu dans la narration des aventures de nos geeks losers magnifiques.
Derrière le comique de situation, parfois lourdingue, se cache une réflexion acerbe sur l'emprise des nouvelles technologies dans nos vies.
A méditer.
3/ un peu de fraîcheur :
Fred Gastanbide, ex trublion de canal +, plus connu dans son rôle de VRP pour ours de cirque sur les parking de la cité, passe derrière (tout en restant un peu devant) la caméra pour nous raconter le parcours d'Apache dans le rap game.
Le scénario, intelligent et crédible, la mise en scène et la réalisation, maîtrisées de bout en bout, sont servis par un casting exceptionnel (qui en plus fourmillent de guests jouant leur propre rôle) et une bande son plus qu'honorable pour tout amateur de rap français.
Validé
Confinement vôtre,
0 notes
Text
#Tendanceconfinement
Allez! après 4 semaines à avoir épuisé les séries de seconde zone, pour ceux qui ne sont pas (encore) trop angoissé, 2 films complètement dans l’air du temps
1/ CONTAGION
Sodherberg imagine une pandémie mondiale post H1N1 (qui plus est, avec des symptômes similaires à COVID 19!) et développe une intrigue décrivant la mécanique implacable d’un tel phénomène qui mèle politique, santé, société, économie, articulés autour de tous les sujets dont on nous rabat les oreilles à l’envie ces temps.
Un casting international et impécable pour incarner les acteurs de ce drame réaliste mis en scène avec une sobriété à propos.
(Malheureusement) Visionnaire!
2/ OUTBREAK
Un virus plus fort qu’Ebola, décime un petit village africain, et ressurgit des années plus tard aux States, par le biais - un poil abracadabrantesque - du voyage d’un sympathique petit singe.
Le tout causant les premiers signes d’une pandémie dans une petite région du midwest et une escalade  dans la réponse sanitaire de nos G-Men gradés, incarnés par le duo Freeman / Sutherland, tandis que leurs subalternes, l’équipe de sauvetage portée par le duo Hoffman/ Pfeifer, s’échine à trouver un vaccin en un temps record!
Bref, le pendant “action movie” de CONTAGION, plein de situations et de rebondissements beaucoup trop improbables pour vous angoisser réellement... quoique.
Divertissant
0 notes
Text
La dernière saison en date laisse clairement à désirer. Si le nouveau périmètre d'action de Thomas, la politique à la veille de la seconde guerre mondiale, offre un terreau fertile au scénario, la réalisation et la mise en scène souffrent dramatiquement du passage sous étendard Netfist (au secours les ralentis hollywoodiens des années 90).
De plus en plus dispensable.
En espérant que ce ne soit que momentané...
Peaky Blinders
Brillante série anglaise au casting XXL qui retrace l’ascension de la famille Shelby, moitié irlandaise moitié gitane, 100% gangster, dans le Birmingham des années 20.
Addictif au possible.
Et vous avez de la chance, la saison 2 démarre demain sur ARTE.
2 notes · View notes
Text
Après une saison 2 extrêmement décevante car brouillonne et sans enjeu, la saison 3 redémarre sous de meilleurs augures.
En espérant que ces joies fades connaîtront des fins plus réjouissantes.
WestWorld
Crée pour la remplacer, réputée la surclasser, Westworld n’arrive finalement pas, à l’issue de sa première saison, à tutoyer la qualité de Game of thrones. Quoique que castée avec brio, réalisée avec maitrise, la série souffre d’un scénario qui, entre réflexions « philosophes » sur le transhumanisme et révélations faisant « pschitt »,  pêche par excès d’orgueil et n’arrive jamais à égaler la tension dramatique de son prédecesseur au rang des blockbusters HBO. Pis, la série d’Arte, Real Humans, à mon sens, avait déjà apporté une réflexion plus profonde et plus réaliste de la possible relation entre l’humain et son alter ego cybernétique. L’expérience reste néanmoins plaisante, et l’on regarde la dizaine d’épisodes avec un intérêt non dissimulé pour la suite à venir. En espérant que ces joies violentes ne connaitront pas de fins violentes.
1 note · View note
Video
2k20 in a nutshell... so far
#fuckinglockdown
2k16 in a nutshell
1 note · View note
Text
La critique facile est morte !
Vive la critique facile ressuscitée !
En cette période où l'ennui laisse place à la lassitude, et vice-versa, où ton abonnement à ta plateforme de streaming est ton meilleur ami, la critique facile revient revient pour faire ce qu'elle sait faire le mieux : critiquer! Et pour votre plus grand déplaisir on s'attaque à la culture confinement!
0 notes
Text
Aquaman
Haaaaaaa!
Avec les huîtres et le foie gras, ce que je préfère déguster à chaque fin d'année : une bonne daube DC comics.
Cette fois-ci ce sera à la sauce Aquaman.
Et il faut bien l'avouer ce n'est pas la plus mauvaise.
Même si on est loin des standards établis par le concurrent direct, cet opus souffrant des mêmes symptômes que ses aînés (scénario moisi, réalisation et mise en scène assez affligeantes, etc...), c'est peut-être l'épisode qui assume le plus son côté "comics" au travers de son héros volontairement et volontiers balourd.
Bref, un divertissement presque correct et très au dessus du désastreux Justice League.
Enfin tout cela n'est que prétexte pour vous annoncer, à vous mes quelques fidèles lecteurs, l'arrêt définitif de ce blog.
Merci et profitez bien des salles obscures.
1 note · View note
Text
Venom
Disons le tout de suite dernier Marvel est en deça des standards établis par ses aînés (Avengers Infinity War notamment).
Malgré un casting plutôt équilibré et une réalisation honorable, saupoudrée d’humour potache à base de répliques “bromance testostéronnée”, la sauce ne prend pas vraiment, la faute à un ennemi peu charismatique et peut-être au fait que, pour beaucoup de néophytes comme moi, Venom a du mal à s’incarner sans Spidey dans les parages. 
Par ailleurs, sous ses dehors de film d’action superhéroïque, c’est peut-être le Marvel qui lorgne (à tort?) le plus vers la comédie romantique, la relation homme / symbiote étant sans doute une métaphore de la relation de couple: à deux on est plus fort, mais l’un des deux se fait bouffer ses organes vitaux :)))
Bref, à voir comment la franchise se développera et prendra place (ou pas) dans le MCU.
1 note · View note
Text
Le sens de la fête
Dans un moment d’égarement comme seuls peuvent en procurer des dimanches soirs pluvieux, je me décide à redonner une chance à la comédie française (bien en berne depuis le raz de marée nauséabond de “Qu’est ce qu’on a fait”...) en regardant le bien mal nommé “Le sens de la fête” du duo bankable Nakache / Toledano.
Sans surprise: quelle déception.
L’intention de la critique sociale au travers de la comédie tombe complètement à plat dans ce film sans rythme, à l’écriture peu travaillée, dans lequel Bacri fait du Bacri en bougon magnifique, Lellouche en fait des tonnes un peu comme à son habitude, et où (l’habituel très bon) Macaigne surnage à peine.
Bref, une comédie pas drôle et sans surprise, qui veut encore nous faire la morale sur l’impérieuse nécessité d’accepter les différences de chacun pour aboutir au mieux vivre - et, ici, travailler- ensemble.
Triste.
0 notes