Chapitre quatre
« Sais-tu ce qu'est une cage de chastetĂ© ? Demanda-t-il en tremblant un peu...   Â
V... ne savait pas vraiment. Elle savait ce que signifiait la chastetĂ©, mais une cage ? Comme un prisonnier ou quelque chose? « J'ai peur de ne pas. Je veux dire, je peux deviner un peu sur la base des mots, mais c'est probablement mieux si tu me l'expliques » dit-elle doucement. O... Ă©tait toujours allongĂ© sur ses genoux, les mains liĂ©es et le cul rouge fraĂ®chement fessĂ©. Elle n'Ă©tait pas pressĂ©e de le laisser se lever car elle sentait que continuer Ă parler depuis cette position de pouvoir rendait peut-ĂŞtre O... un peu plus ouvert. Â
Sa réponse sera intéressante ? Pensa O.... parfois, les gens avaient des réactions très négatives à quelque chose comme ça parce que c'était jugé tellement hors de la normale, même flippant. Il se sentait si soumis après cette fessée et avec sa main sur son cul endolori. Il s’était retrouvé dans cette position presque naturellement, V.. dès son arrivée lui avait demandé, comme elle avait l’autorité sur sa tenue, de se dévêtir complètement, lui avait lié les mains et après l’avoir promené dans l’appartement en le traînant par sa bite. Puis au final, l’avait installé ainsi sur ses genoux. S’en était suivi un jeu de « questions réponses » et dès que le réponse d’O.. ne la satisfaisait pas… une claque sur les fesses. O.. devait continuer à se rappeler que ce n'était que faire semblant et qu'elle n'était pas vraiment sa dominante, mais il était presque impossible de ne pas lui obéir et de lui offrir de plus en plus de soumission.
« Alors, c’est quoi ? » repris V.. en s’impatientant.  O… repris : « C'est... c'est un petit appareil, gĂ©nĂ©ralement en plastique ou en mĂ©tal, qui, euh... fait le tour du pĂ©nis et avec un petit cadenas, il... il y est fixĂ©, impossible de le retirer sans la clĂ©. il .. il empĂŞche ou limite les Ă©rections, empĂŞche la masturbation normale et tend donc Ă empĂŞcher les orgasmes. euh… gĂ©nĂ©ralement dans une relation de domination fĂ©minine, la maĂ®tresse garde la clĂ© et dĂ©termine quand sa bite peut ĂŞtre libĂ©rĂ©e et mĂŞme capable d'avoir une Ă©rection », MĂŞme sans pouvoir la regardĂ©, O.. a senti que V… Ă©tait sur le point de demander autre chose, mais il voulait aborder un autre point avant toute question. Â
« Bien que ce soit un objet qui implique une contrainte physique, c'est vraiment plus un outil psychologique. Porter cette clé vous rappelle que vous contrôlez son plaisir. Ce pouvoir est en permanence rappelé au soumis. Cette cage autour de son sexe est toujours ressentie presque comme si votre main s'enroulait doucement autour de lui en le revendiquant comme le vôtre. Si nous utilisions un tel dispositif, Je saurais que je dépends complètement de toi même pour avoir une érection, et c'est quelque chose qui peut influencer, un peu, ma psychologie, me rendant plus soumis», a précisé O...
« Je… c'est vraiment très intĂ©ressant, O..., mais j'ai du mal Ă imaginer comment quelque chose comme ça pourrait fonctionner. N’est-ce pas dangereux ? Est-ce que ça fait mal ? » Demanda V…. . Elle Ă©tait un peu excitĂ©e par la façon dont il dĂ©crivait l’objet et ses implications et trouvait intĂ©ressant d’avoir ce genre de contrĂ´le sur un homme ?  Â
O.. précisa : « À condition qu’elle soit bien ajustée c’est sans risques. Peut être porté dans de nombreux cas pendant un certain temps et ça ne fait pas précisément mal en utilisation normale, mais les tentatives d'érection peuvent être un peu inconfortables, »
V.. réfléchie…..et est arrivé à la conclusion qu'O.. devait avoir de l'expérience et qu’i avait dû en porter une pour en savoir autant. « En as-tu une ? Demanda-t-elle doucement, laissant sa main glisser le long de la cuisse d’O… ;
« Oui, j’en ai une » dit-il simplement. Â
« Voudrais-tu me la montrer ? Demanda V... laissant sa main remonter le long de la cuisse d’O.. et s’abattre fermement sur son cul. O... frissonna et rĂ©prima un gĂ©missement. Â
« Oui maĂ®tresse, » rĂ©pondit-il doucement. Â
V… s'est immĂ©diatement mis Ă dĂ©lier ses mains, O… rĂ©alisa alors qu'il marcherait maintenant devant elle entièrement nu lui montrant pleinement son sexe dur. Son visage Ă©tait rouge vif lorsqu'il se leva de ses genoux. Il ne pouvait rien faire pour cacher son Ă©rection. Il se dirigea vers la commode de sa chambre et dut se pencher pour regarder dans sa boĂ®te de jouets pour trouver le petit sachet qui contenait la cage, conscient que les yeux de V.. scrutaient les moindres dĂ©tails de son anatomie. Â
Effectivement, V… ne ratait rien du spectacle. Voir cette Ă©rection et savoir qu'il allait rester nu pour elle Ă©tait une chose tellement excitante. O… en Ă©tait manifestement très gĂŞnĂ©, et cela donnait Ă V...d'autant plus l’envie qu'il le reste. Son cul rouge penchĂ© comme ça la remplissait de plus de pensĂ©es libidineuses. Â
Elle pensa que lorsqu'il aurait trouvĂ© la cage, il essaierait peut-ĂŞtre de s'asseoir et de cacher ses parties intimes. Alors elle retourna en premier sur le canapĂ© du salon, dès qu’il s'est retournĂ© et a commencĂ© Ă marcher, son Ă©rection ouvrant la voie, V.. l'a interpellĂ© : « Peux-tu venir devant moi et me le montrer ? Je ne veux pas avoir Ă me tordre le cou. » Â
O…. faillit trébucher en changeant de direction. il s'était dirigé vers elle pour pouvoir s'asseoir et se sentir un peu moins exposé. Rougissant autant que possible, il alla se placer debout devant elle, sa queue courbée de manière obscène. il ouvrit le sachet et en sortit la petite cage en métal.
il a expliquĂ© comment l'anneau s’articulait, puis comment la pièce avant venait sur le pĂ©nis et les deux seraient verrouillĂ©s ensemble. V… tendit la main pour qu'elle puisse regarder de plus près, et elle n'Ă©tait qu'Ă quelques centimètres de l'Ă©rection d’O... il a docilement remis Ă V.. les deux pièces avec la clĂ© et le cadenas. Â
Elle le retourna entre ses mains, en en faisant un peu trop mais appréciant toujours l'embarras d’O..., elle regarda directement son entrejambe sans essayer de le cacher. O.. avait en fait une très belle bite qu'elle aimerait regarder pendant qu'ils continuaient à faire semblant de s’intéresser à la cage de chasteté.
"Alors c'est censĂ© rentrer ici ?" demanda-t-elle incrĂ©dule en regardant son Ă©rection et de nouveau la cage. Son sexe Ă©rection ne permettait que de remplir qu’une partie de la cage. Â
« ça… ça c’est prĂ©vu pour tout enfermer mais pas tant qu'il est dĂ©jĂ en Ă©rection », prĂ©cisa O.. maladroitement en regardant sa queue. il ne s'Ă©tait jamais senti aussi mal Ă l'aise de sa vie. Â
« Je vois," » rĂ©pondit-elle, et prit les deux pièces et les plaça sur sa table basse, voyant l'heure afficher sur le bureau montrant qu'ils avaient encore une bonne partie de l’après-midi pour jouer et explorer. « tu ne la portes jamais ? » demanda-t-elle, sincèrement curieuse. Â
« Je… je dois avouer la mettre de temps en temps, mais le simple fait de pouvoir l'enlever quand je veux et de ne pas avoir de maĂ®tresse qui garde la clĂ©, ce n'est pas très satisfaisant », a-t-il admis. Â
V... a dĂ©cidĂ© de lui demander une dĂ©monstration. il pourrait dire non, mais elle voulait apprendre et cela semblait ĂŞtre un excellent moyen d'apprendre sur ce sujet. Elle leva les yeux vers O.. et son visage rouge avec un regard fixe. « Eh bien, tu m’as dĂ©jĂ donnĂ© autoritĂ© sur quand et si tu pouvais avoir un orgasme pendant nous jouons Ă moi dominatrices et toi soumis. Serais-tu  prĂŞt Ă porter la cage pour moi et Ă me laisser tenir la clĂ© pendant que nous jouons? »  Â
O.. se sentit pris au piège, sa bite palpitant Ă quelques centimètres du visage de V.. Â
Il avait une très forte envie de faire l'expérience, de porter cette cage métallique pendant que quelqu'un d'autre détenait la clé. La proposition avait du sens, de son point de vue, dans la mesure où si elle contrôlait déjà pas mal de choses…., c'était un prolongement logique.
V… attendait sa rĂ©ponse en le fixant du regard. la confiance qui brillait dans ses yeux. Elle avait dĂ©jĂ tellement de pouvoir sur lui qu'il avait du mal Ă ne pas rĂ©pondre tout de suite. elle pouvait dĂ©jĂ faire tellement de choses cependant et quand elle le voulait - l'attacher, lui donner une fessĂ©e, ne pas le laisser se masturber, contrĂ´ler ce qu'il portait (ou ne portait pas), et maintenant elle voulait qu'il porte la cage de chastetĂ© pendant qu'elle tenait la clĂ© . Â
il ne put retenir son regard et baissa les yeux en rĂ©pondant « oui maĂ®tresse ». Â
« merveilleux ! » s'est exclamĂ©,e V.. « Merci beaucoup O.... c'est vraiment amusant. Bien…. nous ne pouvons pas te mettre en cage comme ça, alors pourquoi ne pas faire une pause, aller prĂ©parer un goĂ»ter,… » dit-elle en se levant et en rĂ©sistant Ă une impulsion absurde de saisir sa bite et de le faire sortir du salon. Â
Elle était absolument ravie qu'il ait accepté de porter la cage pour elle. ça lui donnait un tel sentiment de savoir qu'elle contrôlerait son érection et aurait la clé. elle pouvait déjà ressentir une partie de cette psychologie dont O... avait parlé juste pour avoir l'accord. Elle se sentait plus en contrôle sur lui, et c'était juste un jeu.
Elle le regardait partir vers la cuisine, sachant qu'il n'avait d'autre choix d’être nu. Ça lui a donné envie de rire. il s'y habituerait. Tant qu'il n'y avait qu'eux deux ici. Elle n'avait pas l'intention, pour l’instant, de lui laisser porter autre chose que la cage. Elle en aimait ce pouvoir. Elle était également amusée par son embarras, mais cela alimentait également son sentiment de contrôle. Elle était certaine que la cage ne ferait qu’amplifier sa domination même si elle pensait plus à elle-même qu'à O.... elle constatait à quel point il était son soumis,
47 notes
·
View notes