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enfantdesarts · 4 years
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Grand prix « Never give up », exposition 2017
ARTS VISUEL : Institut Bernard Magrez
Hôtel Labottière
Le château Labottière tire son nom des premiers propriétaires qui l’ont fait construire : Antoine et Jacques Labottière. Jacques et Antoine étaient deux frères, imprimeurs mais aussi éditeurs bordelais, vivaient au XVIII ème siècle. Leur Boutique était située Place du Palais de l’Ombrière. Les deux frères font construire cet Hôtel particulier en 1773 dans un style néoclassique. Les plans de la maison et du parc sont dessinés par l’architecte Laclotte : « la folie Labottière ». Etienne Laclotte a un style bien particulier pour son siècle, bien plus sobre que le style de l’époque et c’est ce qui fait son succès. D’inspiration gréco-romaine, son architecture est néoclassique. Héritière de l’architecture classique, le néoclassicisme s’est développé en France à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle et domine jusqu’au milieu du XIXe. Il se démarque par sa recherche de symétrie, d’harmonie et de clarté.
La Révolution Française ruine les deux frères. Lorsque Antoine, le premier frère meurt, Jacques vend l’ensemble de ces biens, c’est-à-dire : le domaine, la maison, la librairie et l’imprimerie. La propriété passe alors de personne en personne, la municipalité de Bordeaux projette de créer un Musée d’Arts décoratifs dans la demeure, le projet est abandonné.
En 1920, Pierre Ferret construit un autre hôtel particulier en face de celui de Labottière, sur une ancienne parcelle de jardin. En juin 1940, le gouvernement français s’installe à Bordeaux et fait de l’hôtel Labottière une annexe du lycée Longchamp (maintenant lycée Montesquieu).
Grâce à Bernard Magrez, le Château fut restauré en 2011, et devient un lieu d’exposition d’Arts Contemporains.
Le Château, à l’exclusion des parties classées, est inscrit aux Monuments Historiques par l’arrêté du 21 novembre 1935.Les façades, les toitures, et le jardin, sont classés Monument Historique par l’arrêté du 2 juin 1938.
Le jardin du Château est dit être un jardin à la française, en vue plongeante depuis le balcon du château, ce jardin à la française dessine une fleur de lys. Il se compose d’une allée centrale d’ifs taillés en champignon, de buis et de bégonias. Ce sont les seules essences autorisées dans les jardins classés.
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Grand Prix 2017, « never give up »
GALAKTICA, Lucile Callegari
Lucile Callegari est née en 1977 dans la région Bordelaise. Artiste peintre autodidacte, elle travaille entre Bordeaux et Paris. Elle expose ses œuvres dans des galeries d’art, des boutiques de luxe et de design, des châteaux prestigieux. Diplômée en Histoire des Arts et Archéologie de l’université de Bordeaux III, c’est au contact du milieu associatif et artistique qu’elle s’enrichit ; les arts plastiques, le théâtre et la poésie contemporaine sont les domaines à travers lesquels elle évolue. 2010, années de bouleversement, un malheur, un bonheur. À la suite d’un choc émotionnel, brutal et irréversible, la création s’impose à elle.
Le choix du médium, la peinture, et du sujet, la femme, sont une évidence.
GALAKTICA (100x100 cm) date de 2017. C’est une œuvre faite à l’acrylique et au fusain sur toile. Elle représente une femme nous regardant avec semblerait-il un casque audio sur les oreilles. La femme représentée semble être prête, déterminée, elle ne baissera pas les bras car elle est préparée. Le rapport avec le thème « Never give up » est ici la détermination dans le regard de la femme. Je l’ai choisi car les couleurs sont harmonieuses et j’aime beaucoup son regard, la peinture est moderne : la peau violette, le casque audio…
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Réparation, Samuel Yal
Samuel Yal est né en 1982 à Annecy. Réalisateur de cinéma, il réalise Noevus : « Nœvus est un mot-valise. Nævus: « grain de beauté ». Vénus « déesse de la beauté ». Un film. Une exposition. ». Il est diplômé en Arts appliqués (ENAAI, Chambéry, 2003) et d’un master II en Arts et Plastiques et Sciences de l’art à Paris I. Il expose depuis 2004 dans des centres d’art et institutions culturelles.
Réparation est une sculpture en porcelaine datant de 2017. Elle représente un visage cassé, remis en état avec des coulures d’or. Le Doré est rendu plus fort grâce au blanc. Ici, c’est comme ci quelqu’un avez essayé en vain de réparer cette sorte de masque et avait réussi en utilisant de l’or, ici aussi il ne faut pas laisser tomber car il y a toujours des solutions à nos problèmes. J’ai choisi cette œuvre car j’affectionne particulièrement l’association de la porcelaine et du Doré, cela donne un effet d’ensemble assez beau et très recherché qui attire l’œil. Premier Prix Sculpture.
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La Cantatrice, Renaud Chambon
Renaud Chambon est né en 1980, à Brive-la-gaillarde (19). Il vit et travaille à Bordeaux. Renaud Chambon travaille essentiellement le dessin, au fusain ou au stylo-bille, et manie la technique avec dextérité. Il  est diplômé de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux. Il a exposé dans diverses écoles, domaines, centres…
La Cantatrice est une œuvre de 200 x 50cm. Elle regroupe le dessin Charbon sur papier, le marbre noir, le verre trempé, pellicule irisée et l’aluminium. Elle est constituée de deux triangles rectangles (un rose et un marbre noir) coupant la photographie de la femme en deux. Avec un peu de recul, on aperçoit que l’ensemble représente une croix. C’est comme ci la femme, cantatrice était destinée à mourir pour son art, mais qu’elle lutte (visage souffrant). J’ai choisi cette œuvre car j’aime beaucoup l’ensemble. Le fait d’avoir utilisé des matériaux différents la rend intéressante, on peut essayer de retrouver des éléments cachés et l’association du rose et du marbre est très belle.
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Ascension, Françoise Goirand
Françoise Goirand est née en 1972. Elle vit à Dijon. Une formation a amené Françoise Goirand à vivre le crayon à la main. Son regard et ses doigts apprennent à jouer avec l’espace et les volumes, avec les lumières et les matières. Elle observe, elle regarde, crée. Son âme de sculpteur était en train de naître sans qu’elle le sache. Elle se révèlera vraiment des années plus tard.
Ascension date de 2017. Créée avec de la Grès (centre) et de la porcelaine (structure est une sphère de 91cm de diamètre. Très impressionante cette sculpture a gagné le prix du spectateur pour sa performance. Cette œuvre est constitué de petis objets collés entre eux, qui forment une sphère autour de grès en forme d’ADN. Le rapport avec « Never give up » est que avec de petites choses on peut réussir à former de grandes choses, l’association d’objets créé une grande structure d’ensemble. Je l’ai choisi car j’ai beaucoup aimé tous les petits détails dont elle est constituée. Les petits objets ont souvent une apparence féminine.
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enfantdesarts · 4 years
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démarche plastique - le fragment pour tout dire
Écrit d’accompagnement n°2
Oriane Bey
Devoir n°2
28/01/18
CROQUIS ensemble fragile
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Idée n°1
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Projet final
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J’ai choisi d’utiliser une colonne de l’Ensemble conventuel des Jacobins à Toulouse, ce dernier est appelé « le palmier ». J’ai donc décidé de retravailler la colonne, en lui donnant une couleur verte se rapprochant de la couleur du palmier. J’ai ensuite découpé l’image de façon qu’on ne voit pas la suite des « branches ».
Démarche
Je n’avais pas très bien compris la demande du sujet, puis j’ai tout d’abord décidé de travailler sur une boîte chinoise, cela ne me satisfaisait pas, je me suis alors tournée vers l’architecture et j’ai trouvé les colonnes de l’Ensemble conventuel des Jacobins qui m’ont beaucoup intéressée.
J’ai alors réalisé les branches ainsi que les feuilles de mon palmier. J’ai créé un crescendo, c’est-à-dire que le Fini est représenté par le collage de la colonne ensuite les branches représentes le presque fini, et sur certaines branches toutes les feuilles ne sont pas disposées, elles représentent alors le non-fini. C’est un peu comme le travail d’un architecte qui part d’un sujet déjà réalisé et qui va le transformer, l’agrémenter…
Je me suis inspirée de cette église car j’aime beaucoup la forme de ses colonnes construitent  de 1245 à 1252.
J’ai bien aimé travailler sur ce devoir car il m’a appris à « détourner » une image et de lui donné un aspect non-fini dans beaucoup de domaines différents.
Le regard sur mon travail
J’ai appris à travailler le non-fini en partant d’un objet fini, ça ma permis de comprendre comment étaient formées ces colonnes « palmiers ». Et comment leur donner un aspect non-fini, j’ai aussi vu comment était fabriquée une boîte.
L’idée de travailler sur cette colonne m’à beaucoup motivée, le fait de changer le contenue par des branches aussi, c’est comme si cela était fantastique…
Au début je voulais travailler sur une boite avec le couvercle fini et le « corps » de la boite juste esquissé, ensuite j’ai eu envie de travailler sur une photo d’une mannequin, la mannequin était le fini et l’arrière plan de ma photo aurait été le non fini puis je me suis dirigée vers ces colonnes « palmiers ».
Intitulé, demande du devoir
La demande était assez bien exprimée, j’ai tout de suite compris le devoir.
J’ai trouvé que la séquence de cours ne représentée pas une « aide » pour la réalisation du devoir. C’était difficile de me projeter tout de suite sur ma réalisation, je n’avais pas d’idée précise. C’était tout de même très intéressant de travailler sur ce sujet.
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enfantdesarts · 4 years
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article : histoire du skate de 1930 à nos jours
https://docs.google.com/document/d/e/2PACX-1vQXe-LijBzEBW6-uFripfJfa7vHmz2il_Yz_BRSyfB4mHzjotXUM6QkPkVbeDk5KJRTngcYuHtM-Cob/pub
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enfantdesarts · 4 years
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Analyse Plastique
CNED ARTS PLASTIQUES - 2e
DEVOIR N°1
30 Octobre 2017
Analyse Plastique
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Brassaï (Halasz Gyula), Le Corbusier à sa table de travail, rue Jacob (1931). Photographie argentique en noir et blanc.
Les éléments qui composent la représentation :
Sur cette image, un homme assis à une table est en train de lire dans sa salle à manger : il est entouré de meuble (cheminée, table, chaise, armoire, etc…), de divers objets de décorations (vases, sculptures, tableaux) et d’un grand nombre de livres.
Le cadrage :
Le mur d’une grande pièce, dans lequel s’inscrit un personnage en buste en bas à gauche.
Lignes maîtresse :
Deux lignes maîtresses forment une croix parfaite : une ligne verticale centrée et une ligne horizontale légèrement décalée vers le bas. Les deux lignes se rejoignent au centre du tableau, c’est-à-dire là où se trouve le vase blanc.
Les lignes qui structurent l’image sont un ensemble de lignes verticales et horizontales (meubles et aux tableaux d’art abstrait), et seulement trois courbes sont visibles :
le vase
l’homme
la table
Les incidences lumineuses :
On remarque que le côté droit est plus lumineux que le côté gauche, sans doute du à la présence d’une fenêtre.  
La lumière vient mettre en valeur : la partie verticale du cadre au centre de la photo, le vase et les feuilles (géométrie). Elle s’accroche sur les multiples parties blanches de la photo décors…
Graphisme (rayures, courbes, droites, ondulations)
Profondeur 
Peu de contraste mais multitude de plans sombres et clairs : ça enlève la profondeur. Il n’y a pas de profondeur : le seul angle de la pièce est dans le noir.
« Accroches » visuelles :
Notre regard se pose dans un premier temps sur le vase blanc, il se trouve exactement dans le croisement des deux lignes maîtresses, et donc au centre de l’œuvre. Il est un des seuls objets à être courbés (tous les tableaux sont des quadrilatères). Puis notre œil se pose sur les pages blanches de la table et sur Le Corbusier . Cela crée une grande courbe dans l’espace qui vient adoucir la géométrie très prononcée (droites des cadres, de la cheminée, des livres, etc.)
Ce qui en ressort :
Une mosaïque de noir et de blanc dans un ensemble très structuré, un jeux de droites et de courbes se dégagent de l’image. Cela ressemble à un tableau cubiste de Picasso.
CROQUIS de recherche (20min)
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TRAVAIL PLASTIQUE (reprendre 6 éléments de la photo originale)
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EXPLICATION DEMARCHE
Pour ce devoir, j’ai choisi d’utiliser trois couleurs seulement pour mettre en valeur les éléments. J’ai choisi de placer le vase au milieu de ma feuille car c’est l’objet que j’ai préféré. J’ai surtout repris les détails des tableaux reproduits dans la photographie. J’ai utilisé plusieurs techniques de dessins différentes :
le pastel sec
le crayon Comté
le crayon à papier
la « craie à marquer »
J’ai essayé de ne pas mettre trop de couleurs pour me rapprocher de l’œuvre de Brassaï qui n’est qu’en noir et blanc. Mes objets n’ont pas d’ombre ni de profondeur car j’ai voulu reproduire le même effet graphique que dans la photographie. J’ai voulu créer deux lignes maîtresses et à partir de là, j’ai organisé mon dessin de façon très symétrique pour mettre en valeur l’objet principal qui me plaisait.
Ma démarche :
En voyant ce sujet, je me suis dit qu’il fallait que je me rapproche de l’univers de la photographie de Brassaï c’est-à-dire, n’exploiter que quelques couleurs, ne pas y ajouter de profondeurs, utiliser le noir et le blanc….
Je me suis inspirée de l’art Déco (avec ce vase), du Cubisme (entre autre de Picasso).
J’ai bien aimé réaliser ce travail, utiliser très peu de couleurs et ne pas donner un effet de profondeur.
Le regard sur mon travail :
En réalisant ce devoir, j’ai appris à détecter les lignes maîtresses d’une œuvre, j’ai appris qu’au XXe siècle, certains peintres ont refusé de donner l’illusion de la profondeur (3e dimension).
Pour ce travail je dirais que j’ai mieux réussi le dessin que l’analyse plastique. J’ai mieux réalisé le vase qui est la pièce maîtresse de mon dessin. Dès le départ je voulais faire un ensemble de ce style : mettre le vase au milieu en grand et disposé des détails un peu autour.
Ce que je pense de l’intitulé, de la demande du devoir :
À première vue, j’ai cru que ce devoir était assez compliqué (j’ai mis un certain temps avant d’être dans le sujet). En effet il m’a fallut reprendre mon croquis plusieurs fois sur les conseils de ma mère, car je n’avais pas compris qu’un croquis n’était pas un dessin abouti. Ensuite en le réalisant j’ai beaucoup apprécié car j’ai appris beaucoup de termes nouveaux. Ce travail fut très intéressant car je ne connaissais pas Brassaï, ni qui était Le Corbusier.
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