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LES 12 LOIS LES PLUS ABSURDES DE FRANCE
« Nul n’est censé ignorer la loi ».
Et pourtant, certaines lois encore en vigueur semblent totalement absurdes et ne peuvent être appliquées aujourd’hui. Entre embarras, rire, et étonnement, voici notre sélection de lois qui ne nous laissent pas indifférent.
– Il est interdit de s’embrasser sur les rails ou dans les gares !  Cette interdiction viendrait d’une époque où les amoureux, s’embrassant au départ du train, empêchait ce dernier de partir à l’heure… On pestait déjà contre les retards de train à cette époque !
– La poubelle, à Paris, est considérée comme une arme mortelle, elle pourrait être utilisé dans le but de blesser ou de tuer. De même que… le cendrier ! Et oui, fumer tue.
– La radio française se doit de passer 70% de musique française de 8h à 20h. Une loi bien loin des modes de consommations actuels… D’ailleurs, beaucoup d’entre nous auraient parié sur un tout autre ratio.
– Il est interdit de photographier la Tour Eiffel de nuit !  Les 20 000 lumières qui composent son éclairage de nuit sont caractérisées comme une oeuvre artistique. Comme toute oeuvre artistique, elle est protégée par des droits d’auteur. Si la photo reste dans la cadre privé, il n’y a aucun problème. En revanche, si elle est partagée, ou qu’elle est utilisée pour un usage commercial, cela peut engendrer des poursuites contre l’auteur…
– Il est possible de faire un chèque sur tous les papiers qui sont assez solides pour ne pas se désagréger. Une décision de justice à même rendu un chèque fait sur du papier toilette valide ! L’histoire ne nous dit pas si le papier était propre.
– Tout le monde doit avoir une botte de foin chez soi, au cas où le roi passerait à cheval. Dans la mesure où la monarchie a été abolie en France, nous sommes, pour l’instant, tranquilles. Mais attention dans le cas où un roi reviendrait au pouvoir, bonne chance à l’étudiant qui attend le roi et son cheval avec une botte de foin dans sa chambre de bonne au 8e étage.
– Une loi de 1804 indique que quand vous devenez propriétaire, vous devenez aussi propriétaire du « du dessus et du dessous » donc en soit les sous-sols et l’espace aérien vous appartient ! À quand les taxes pour les avions qui passe au-dessus de chez nous ?
– Il est interdit d’appeler son cochon Napoléon. Il faut toujours avoir du respect pour l’empereur. On peut être copain comme cochon, mais ne pas lui donner le nom du plus célèbredes corses.
– Il est formellement interdit de prendre de photos des forces de l’ordre ou de leurs véhicules. Même en arrière-plan, c’est un acte prohibé. On ne rigole pas avec l’image de la Police Française !
– Il est dit que tout citoyen peut procéder à l’arrestation d’une personne recherchée. Avis à tous ceux qui se sentent l’âme d’un justicier… Bientôt un projecteur «  Batman » dans Paris ?
– En France, il est aussi possible de voter pour un mort ! En effet, si un candidat décède peu avant les élections, il est impossible de modifier les listes car elles sont validées préalablement par le Ministère de l’intérieur. Cela c’est déjà vu avec un candidat du NPA décédé quelques temps avant les élections régionales de 2010 en Charentes-Maritime.
– Un décret stipule « qu’aucune boisson alcoolisée n’est autorisée sur le lieu de travail ». Sauf que l’article dit aussi qu’il a des exceptionscomme : le vin, la bière, le cidre et le poiré. Donc cela nous laisse l’embarras du choix. À quand les alcootests après la pause déjeuner ?
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Soir d’hiver Ah ! comme la neige a neigé ! Ma vitre est un jardin de givre. Ah! comme la neige a neigé! Qu’est-ce que le spasme de vivre A la douleur que j’ai, que j’ai. Tous les étangs gisent gelés, Mon âme est noire ! Où-vis-je ? où vais-je ? Tous ses espoirs gisent gelés: Je suis la nouvelle Norvège D’où les blonds ciels s’en sont allés. Pleurez, oiseaux de février, Au sinistre frisson des choses, Pleurez oiseaux de février, Pleurez mes pleurs, pleurez mes roses, Aux branches du genévrier. Ah! comme la neige a neigé ! Ma vitre est un jardin de givre. Ah! comme la neige a neigé! Qu’est-ce que le spasme de vivre A tout l’ennui que j’ai, que j’ai… Emile Nelligan
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La Prep, une pilule pour jouir sans entraves ?
Près de 5 000 personnes en France suivent ce traitement préventif anti-sida, efficace mais coûteux.
Rencontre avec trois d’entre elles, qui vivent une sexualité à risques.
Chaque semaine, les consultations «Prep» (pour prophylaxie pré-exposition) mises en place par l’hôpital Pompidou voient passer entre cinq et dix patients séronégatifs décidés à prendre du Truvada.
Délivrée depuis janvier 2016, d’abord de façon limitée, cette pilule «anti-sida» s’est étendue en mars à tous ceux et celles qui estiment faire face à un risque élevé de contracter le VIH. Tandis que l’immense majorité d’entre eux sont homosexuels, la plupart ont une vie sexuelle foisonnante et ne cachent pas que le préservatif n’est plus un automatisme. Certains l’ont carrément abandonné, d’autres y reviendront, incités par le suivi régulier dont ils bénéficient à l’hôpital ou dans les centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic.
Ils font partie des près de 5 000 personnes qui seraient «sous Prep» en France. Remboursée à 100 % par la Sécurité sociale, prescrite en continu ou à la demande en cas de relation sexuelle à risque, la Prep pourrait à terme, comme à San Francisco et à Londres, permettre de voir baisser le nombre des contaminations, notamment au sein de la population homosexuelle, où il reste très élevé (lire page 13).
Les détracteurs de ce traitement critiquent son coût et le mur poreux qu’il constitue face aux infections sexuellement transmissibles (IST) :
hépatite A, B ou C, syphilis, chlamydias, gonorrhée. «Mais soigner les personnes contaminées par le VIH coûte encore plus cher», rappelle le médecin généraliste attaché au service d’immunologie de l’hôpital Pompidou Martin Buisson, qui nous a ouvert sa consultation.
Trois de ses patients, dont les prénoms ont été modifiés à leur demande, expliquent pourquoi et comment ils sont devenus «prépeurs».
Harold, 39 ans
Après avoir passé sa prime jeunesse en Chine, Harold est arrivé en France à l’âge de 20 ans.
Dès lors, sa vie a changé.
Car c’est à partir de là qu’il a commencé à vivre librement son homosexualité. 
«Au début, c’était très excitant, j’ai beaucoup consommé, et encore plus avec les applis. Jusque-là, je mettais toujours des préservatifs. J’ai toujours eu peur de l’accident.
»Aujourd’hui, il veut tenter de nouvelles expériences, «plus hard»,dit-il, et moins protégées. Il prend la Prep de façon discontinue depuis quelques mois. Récemment, il a attrapé une gonorrhée et des chlamydias.
Lors de la consultation, Martin Buisson lui explique qu’il va falloir traiter. 
«C’est fait, je suis venu tout de suite.» Le médecin plonge le nez dans son dossier, fait un rapide bilan :
syphilis négatif, VIH négatif, vaccins pour les hépatites A et B validés. Harold reviendra comme prévu dans trois mois et devra refaire un bilan complet. Combien de partenaires a-t-il eus le mois dernier, demande le médecin ? 
«Aucun. J’ai eu beaucoup de travail et je ne voulais pas prendre de risques avec le traitement.»
On l’interroge plus tard sur les raisons qui l’ont poussé à demander le traitement. 
«J’aimerais expérimenter de nouvelles pratiques sans préservatif mais j’ai besoin de m’assurer que je n’attraperai rien. Depuis mes 20 ans, j’ai toujours été très sage alors que j’ai eu beaucoup de partenaires : à peu près 800 avec pénétration et 2 000 sans. Je ne suis pas en couple parce que je ne crois pas à la fidélité en amour. Un couple monogame, pour moi, c’est même un peu contre nature, je vois ça comme une règle morale que nous impose la société. Je ne pourrai jamais être fidèle durablement.»
«Depuis quelque temps, j’ai envie de m’aventurer vers le sexe sans protection. Je ne suis pas un consommateur régulier de drogue, mais il m’arrive d’en prendre quand je fais des orgies. Ce sont des soirées qui peuvent durer trois heures ou toute la nuit, où pas mal d’hommes baisent ensemble. La plupart prennent une drogue très populaire en ce moment dans le milieu gay, la 3-MMC.
Ça se sniffe ou ça s’injecte, et ça donne envie de plonger dans le sexe de façon assez orgiaque. Avec la Prep, je n’ai quasiment pas de risques d’attraper le VIH. Et si elle ne m’évitera pas d’attraper des IST, le suivi tous les trois mois me permettra de les traiter rapidement.»
Emmanuel, 32 ans
«Avant d’arriver à Paris, j’avais une vie raisonnable à tous points de vue.»
Emmanuel, fonctionnaire, a vu sa vie sexuelle prendre une nouvelle tournure une fois sa province quittée pour des raisons professionnelles. Bonhomme discret aux abords fragiles, sous antidépresseurs et en traitement pour lutter contre des troubles de l’attention, il avoue qu’au moment de son arrivée à Paris, il s’est senti «vulnérable» : 
«Je n’étais plus trop moi-même.» 
«Les deux premiers mois à Paris, j’ai multiplié les partenaires grâce à des applis de rencontre. J’ai vécu pas mal d’expériences homosexuelles. J’ai fait des découvertes et des choses que je ne pensais pas faire, j’ai tenté le fétichisme. C’est mon médecin généraliste qui m’a parlé de la Prep. J’avais eu des relations avec des gens qui se sont révélés malhonnêtes. Pendant l’un de mes premiers rapports, l’homme a retiré son préservatif sans me le dire.
Il n’y a pas que du beau monde dans le milieu gay, comme ailleurs.»
«Je prends la Prep en continu depuis le mois de juillet. Un comprimé chaque soir. Ce n’est pas très compliqué mais, au début, ça m’a causé des problèmes intestinaux. Aujourd’hui, ça va mieux. J’ai eu une IST, des chlamydias. J’ai décidé que je mettrai des préservatifs même si je prends le médicament. Chez les gays, il y a les détracteurs et les partisans de la Prep. Mais je ne suis pas sûr que les détracteurs fassent plus d’analyses que les gens qui la prennent. Il y a beaucoup d’examens à faire mais ce n’est pas très lourd et ça permet de savoir où on en est. L’essentiel, c’est de se sentir encadré et de bénéficier d’un meilleur suivi qu’avant. Les équipes de l’hôpital Pompidou sont motivées. Ce sont des gens humains. Avant, j’allais dans un autre centre et je les trouvais plus donneurs de leçons et moins organisés.»
Honoré, 19 ans
Fils de médecins, Honoré étudie à Paris depuis un an, après avoir passé la première partie de sa vie en Afrique. Ce jeune homme très looké a décidé de prendre de la Prep pour deux raisons. Le déclic a eu lieu lorsqu’il a découvert, très récemment, que son propre père était séropositif. 
«Si ça peut arriver à un homme instruit et très au courant de ce qui se passe dans le domaine, ça pourrait aussi, un jour, me concerner. Personne n’est à l’abri», constate-t-il. Homosexuel, il a multiplié les partenaires ces trois dernières années. 
«Ça doit se situer entre 500 ou 600, peut-être. Je veille toujours à savoir si mes partenaires ont des IST, je vais parfois jusqu’à inspecter leurs sous-vêtements. J’utilise des préservatifs, mais ces derniers temps, je me suis un peu laissé aller de ce côté-là. Et je crois que j’en mettrai moins à l’avenir.»
«Je vois la Prep comme une sorte de bouclier :
c’est quasiment efficace à 100 %.
Je prends le traitement en continu depuis quelques jours et tout va bien, je ne ressens pas encore d’effets secondaires. Je n’en ai pas parlé autour de moi, ni à mes parents ni à mes amis, car la plupart ne sont pas gays et ça ne les intéresse pas. Je n’en parle qu’à mes partenaires. Ici, en France, on se désintéresse du sida, on n’en parle plus vraiment. Les gens sont assez inconscients. J’ai grandi en Afrique, j’ai vu les ravages du sida là-bas.
Je me dis que c’est aussi une solution pour endiguer l’épidémie.
Et j’espère que ça finira par être proposé sur le continent africain.»
http://www.liberation.fr/france/2017/11/30/la-prep-une-pilule-pour-jouir-sans-entraves_1613718
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Sonia Marialuce possentini
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John Galliano F/W 2009 RTW by Markus Bollingmo.
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Café de la Gare Adresse : 41 rue du Temple  75004 Paris 4e
Métro : Hôtel de Ville (1/11)Réservation : 01.42.78.52.51 (10h30-18h30 Services : Handicapés Circuit théâtre : Th. Parisien Associé Nombre de places du théâtre (jauge) : 300 Tarifs du théâtre : places 24€, tarif réduit 20/15€ (sauf samedi et veilles de fête)Site web : www.cdlg.frDescription : 
Né dans l'effervescence des années soixante à deux pas de la gare Montparnasse, le café de la gare s'est installé en 1972 rue du temple, en plein marais. Porté par l'humour radicalement neuf de ses créateurs, le lieu s'est imposé comme un incontournable tremplin. Parmi ses créateurs : Coluche, Patrick Dewaere, Miou-Miou…
Ce lieu est répertorié dans nos rubriques : Théâtres, Musique, Pour les jeunes.
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EMMANUELLE BRISSON
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Passion Flowers and Hummingbirds (1870–83) Martin Johnson Heade(American, 1819–1904)
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photos vintage étonnantes des achats de Noël à New York il y a 100 ans
Il est vrai que les rues n'ont pas l'air festive et que les façades des magasins ne sont pas aussi belles qu'aujourd'hui. Mais en ce qui concerne les foules, les vendeurs et tous les enfants captivés par les expositions de jouets, les achats de vacances à New York n'ont pas vraiment changé au cours du siècle dernier, comme le montrent ces photos de 1910.
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Macron et l’identité négative
Nous sommes décidément dans une période où les identités ne peuvent se définir semble-t-il que d’une manière négative et c’est cela une contre-révolution.
Parce que dans le fond pour nous comme pour le continent européen, la chute de l’Union soviétique a été le signal d’une formidable régression sociale, d’une remise en cause des conquêtes sociales et d’une vision régressive de l’avenir.
Si une révolution représente la possibilité pour des millions d’intelligences et de capacités artistiques, scientifiques, politiques, jusqu’ici étouffées par des rapports sociaux qui les briment, une contre-révolution c’est l’avenir qui peu à peu se bouche pour leurs enfants, une mobilité descendante pour une part importante de la jeunesse, pour les femmes, pour les enfants d’immigrés, pour tous ceux qui dans la période antérieure révolutionnaire ont accédé à d’autres possibilités, ont accompagné l’essor de la société.
L’identité négative va avec cet étouffement des possibilités, elle n’est plus qu’opposition, haine,  conflit, le Français cherche à se définir par rapport à l’enfant issu de l’immigration qu’il vit comme une menace.
Si la santé n’est plus un droit, si l’éducation baisse de niveau ce ne sera pas de la faute de ceux qui en étant au pouvoir, en privatisant, les sacrifient mais de la faute de l’éternel étranger qui par sa seule présence est plus ou moins sensé la détruire.
Quelles que soient ses capacités cet enfant-là n’aura pas le droit de les exercer, il sera dirigé vers un enseignement court. C’est Mozart que l’on assassine et combien de Mozart assassinés chez les pauvres, les femmes depuis l’aube des siècles.
L’identité négative c’est cette illusoire recherche du même sur le plan politique, les particularismes régionaux, les langues, les origines, le sexe féminin opposé au sexe masculin envisagé essentiellement comme violeur et assassin, tout cela culmine dans « le terroriste » qui pousse cette fusion illusoire jusqu’au suicide meurtrier de tous les autres.
L’identité négative c’est celle qui a besoin de la répulsion de l’immigré, de l’arabe, du noir, avec en prime l’éternel retour à l’antisémitisme sous couvert d’anti-impérialisme,  un exutoire offert non seulement au chauvinisme réactionnaire franchouillard mais aussi aux populations stigmatisées.
En écoutant Macron s’adresser à la jeunesse africaine, j’ai mieux compris le « travail » qu’il opérait chez nous d’accompagnement de cette contre-révolution. Il n’avait rien à offrir à cette jeunesse africaine si ce n’est la haine et le mépris de leurs aînés, depuis « les trafiquants » africains, jusqu’à leur chef d’Etat tout juste bon à aller réparer la climatisation.
Ce mépris caricatural de l’éternel colonialiste n’était pas si éloigné de la manière dont le même Macron s’adressait aux jeunes de chez nous, leur proposant l’enrichissement comme valeur cardinale, leur inculquant le mépris des faibles et des « vieux ».
Il est incapable d’offrir à notre jeunesse autre chose qu’une mise en concurrence sans perspective réelle alors il lui faut faire détester cette part d’eux-mêmes à laquelle il sont pourtant voués, la pauvreté, l’échec et la vieillesse.
Danielle Bleitrach
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Impossible de savoir quelle vie aurait eue la fillette.
Qui elle serait devenue.
Quel aurait été son travail, qui elle aurait aimé, pleuré, perdu et gagné.
Si elle aurait eu des enfants, et lesquels. On ne pouvait même pas imaginer à quoi elle aurait ressemblé adulte.
À quatre ans, rien n’était encore terminé chez elle.
Ses yeux hésitaient entre bleu et vert, ses cheveux, bruns à sa naissance, étaient à présent blonds, avec des reflets roux, et leur couleur aurait sûrement pu encore changer.
C’était particulièrement difficile à dire pour le moment.
Son visage était tourné vers le fond de l’étang.
L’arrière de sa tête recouvert d’épais sang séché.
Seules les mèches qui flottaient au-dessus de son crâne montraient leurs nuances claires.
On ne pouvait pas dire que cette scène était sinistre.
Pas plus sinistre que si la fillette n’avait pas été dans l’eau.
Le bruit de la forêt était toujours le même. La lumière filtrait à travers les arbres comme d’habitude à cette heure du jour. L’eau se mouvait doucement autour d’elle, sa surface seulement troublée de temps à autre par les petits ronds concentriques d’une libellule qui s’y posait.
La métamorphose avait commencé et, peu à peu, elle ne ferait plus qu’un avec la forêt et l’eau.
Si personne ne la trouvait, la nature suivrait son cours et l’assimilerait.
Personne ne savait encore qu’elle avait disparu.
CAMILLA LÄCKBERG - La sorcière
roman traduit du suédois par Rémi Cassaigne - ACTES SUD
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Qu’est-ce qu’un #mariage arrangé (à ne pas confondre avec un mariage forcé) ? Peut-on lui opposer le mariage d’#amour qui est aujourd’hui considéré comme la #norme dans les sociétés occidentales ? De quand dater l'apparition de ce dernier ?
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