auto route DLA-YND 12-04-2017  (photo archive)

Le Cameroun dans 10 ans

Un pays sur le chemin d’un développement durable

Il suffira de 10 années au Cameroun pour revêtir son nouveau statut de pays développé

Pays en voie de développement, il sera appelé pays développé. Tel sera le statut du Cameroun dans les dix prochaines années avenir. Menacé aujourd’hui par la guerre, la crise financière et les revendications sociales, il suffira de dix années au Cameroun, pays cosmopolite pour réaliser son essor. Cette conception qui se veut optimiste n’est pas le fruit d’une simple imagination. Très loin d’être une fiction, cette vision d’être un pays développé est le résultat d’un travail ou d’une construction commencé fort longtemps. Si vous êtes sceptique par rapport à ce sujet, c’est un peu à raison. Mais notez aussi que même les pays les plus développés ne sont pas arrivés si haut en un seul jour. Cette construction vers le développement demeure le processus de plusieurs années de labeur et d’effort opiniâtre.  Tenons un tant soit peu l’exemple des Etats-Unis d’Amérique, un continent dit développé. Comme l’histoire nous le dit si bien, c’est au prix des sacrifices et de longues années de labeur qu’ils sont arrivés à ce résultat. 57 ans après son indépendance, le Cameroun n’est plus le même pays connu il y a 60 ans. Sous l’impulsion des projets structurants, le Cameroun à traverser le niveau ou le stade de pays sous développé. Grace à ces multiples atouts que sont : la richesse du sous-sol et tout ce qu’elle renferme, une économie diversifiée et un climat favorable à l’agriculture, constituent un plus pour son essor.

Un chef d’Etat toujours au commande

président Paul Biya   (Cameroon Camer.be)

Elu par le peuple camerounais depuis 34 ans aujourd’hui, Paul Biya reste le premier président à passer 5 mandats successifs à la tête de cette nation. Beaucoup critiqué par les partis d’oppositions, et pointé du doigt par la presse internationale, il ne cache plus son ambition de briguer un nouveau mandat. 84 ans bien sonné, il ne semble pas encore fatigué. Soucieux de la jeunesse et de son épanouissement, lors de son discours à la nation le 31 décembre 2010, il avait annoncé le paiement des primes d'excellence aux meilleurs étudiants des universités camerounaises. Chaque étudiant sélectionné reçoit une somme de 50000 FRANCS. Après cette initiative, et pour résoudre le problème de chômage au Cameroun, Paul Biya procède au recrutement de 25 000 jeunes diplômés dans la fonction publique en 2011. En février dernier, le chef de l'Etat remet ça. Il annonce la mise à disposition de 102 milliards de FCFA dédiés au financement des projets des jeunes compatriotes à s'intéresser à l'économie numérique. Maintenant il leur donne le matériel de 500 000 ordinateurs. Mais cette sollicitude du chef de l'Etat auprès de la jeunesse n'est pas la première. Ceci démontre à suffisance son attachement à cette jeunesse qu’il caractérise de ‘’fer de lance de la nation’’. Fidèle à ses objectifs et ambitions, le Cameroun connaitra pour les 10 années avenir, une feuille de route prédéfinit par ce dernier qui leur a donné rendez-vous pour 2035.

                                                                      ABSAN BIBOU

Comités de vigilance 31/07/2016 (Absan Bibou)

Lutte contre boko haram

Les comités de vigilance au cœur du combat

Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme au Cameroun, les comités de vigilance constituent une véritable force de renseignement et une armée de plus pour la sécurité de la population.

Six morts, c'est le bilan qui ressort de la dernière opération menée par les comités de vigilance de ZAMGA le 11 mars 2016. A en croire le trihebdomadaire l'œil du sahel, 7 membres de boko haram lourdement armés venus du Nigeria, ont tenté de s'infiltrer en territoire camerounais. Aussitôt identifiés par une trentaine d'éléments de comités de vigilance dans la brousse de WADA, à une dizaine de kilomètres de zanga à l'Extrême-Nord, le signal a été lancé. Cette opération montre à plus d'un titre l'implication des comités de vigilance dans la lutte contre le terrorisme. On se souvient encore de l'opération menée par 70 membres des comités de vigilance dans le territoire Nigériane. L’opération a permis de tuer 8 membres de boko haram et libérer 12 otages. La dernière en date et sans doute la plus spectaculaire est celle qui s'est déroulé le 29 avril 2016. Deux jours après l'enlèvement de 04 femmes à Narikou dans le département du mayo sava. De ces deux exploits parmi tant d'autres, permettent de montrer à suffisance leur apport dans la lutte contre cette nébuleuse. Dans une situation de crise que traverse le pays depuis 2013, la bravoure et l'engagement de ces hommes et femmes, originaires de la région a été saluer et encouragé plus d'une fois par le président de la république. Si aujourd'hui les recettes douanières camerounaises sont en nette augmentation dans les postes frontaliers à l'exemple de fotokol dans le logone et chari, c'est non seulement grâce aux forces de défense, mais aussi aux vaillants comités de vigilance ce dont la mission est de dénoncer, informer et renseigner les forces de défenses dans le cadre de la guerre contre boko haram. Au delà de leurs actions, une grande synergie règne entre eux et les formes de défense. Les derniers actes restent encore dans les esprits. Pour mémoire, ces sanguinaires ont mis en pratique leurs plans criminels le 28 novembre à Waza et le 1er décembre à Dabanga, les localités frontalières avec le Nigeria. A Dabanga par exemple, le nommé ISSEINI Abdouraman, membre du comité de vigilance à fourni en temps réel des informations ayant permis de neutraliser les adeptes de boko haram. Au Cameroun la lutte contre le terrorisme n'est pas seulement une affaire de l'armée, mais aussi des comités de vigilance qui œuvrent nuit et jour pour un retour au calme au prix de leur vie. ABSAN BIBOU

Comités de vigilance 31/07/2016 (Absan Bibou) Lutte contre boko haram Les comités de vigilance au cœur du combat Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme au Cameroun, les comités de vigilance constituent une véritable force de renseignement et une armée de plus pour la sécurité de la population. Six morts, c'est le bilan qui ressort de la dernière opération menée par les comités de vigilance de ZAMGA le 11 mars 2016. A en croire le trihebdomadaire l'œil du sahel, 7 membres de boko haram lourdement armés venus du Nigeria, ont tenté de s'infiltrer en territoire camerounais. Aussitôt identifiés par une trentaine d'éléments de comités de vigilance dans la brousse de WADA, à une dizaine de kilomètres de zanga à l'Extrême-Nord, le signal a été lancé. Cette opération montre à plus d'un titre l'implication des comités de vigilance dans la lutte contre le terrorisme. On se souvient encore de l'opération menée par 70 membres des comités de vigilance dans le territoire Nigériane. L’opération a permis de tuer 8 membres de boko haram et libérer 12 otages. La dernière en date et sans doute la plus spectaculaire est celle qui s'est déroulé le 29 avril 2016. Deux jours après l'enlèvement de 04 femmes à Narikou dans le département du mayo sava. De ces deux exploits parmi tant d'autres, permettent de montrer à suffisance leur apport dans la lutte contre cette nébuleuse. Dans une situation de crise que traverse le pays depuis 2013, la bravoure et l'engagement de ces hommes et femmes, originaires de la région a été saluer et encouragé plus d'une fois par le président de la république. Si aujourd'hui les recettes douanières camerounaises sont en nette augmentation dans les postes frontaliers à l'exemple de fotokol dans le logone et chari, c'est non seulement grâce aux forces de défense, mais aussi aux vaillants comités de vigilance ce dont la mission est de dénoncer, informer et renseigner les forces de défenses dans le cadre de la guerre contre boko haram. Au delà de leurs actions, une grande synergie règne entre eux et les formes de défense. Les derniers actes restent encore dans les esprits. Pour mémoire, ces sanguinaires ont mis en pratique leurs plans criminels le 28 novembre à Waza et le 1er décembre à Dabanga, les localités frontalières avec le Nigeria. A Dabanga par exemple, le nommé ISSEINI Abdouraman, membre du comité de vigilance à fourni en temps réel des informations ayant permis de neutraliser les adeptes de boko haram. Au Cameroun la lutte contre le terrorisme n'est pas seulement une affaire de l'armée, mais aussi des comités de vigilance qui œuvrent nuit et jour pour un retour au calme au prix de leur vie. ABSAN BIBOU

Le grand jour pour les camerounais se pointe à l'horizon ce samedi 28 janvier 2017.