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afrgirl · 5 years
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La Xénophobie : les noirs contre les noirs ?
Hello ! Vous avez sûrement entendu parler ou vu des vidéos à propos des actes Xénophobes en Afrique-du-sud en ce moment. Depuis que cette affaire s’est propagé, les propos fusent de partout. Certains disent des choses qui tiennent la route, mais certains ont des propos totalement hors du contexte.
Depuis cette affaire j’ai préféré ne pas m’exprimer sur les réseaux sociaux pour éviter que mes…
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afrgirl · 5 years
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Hello!
Aujourd’hui je vais vous présenter L’Afrique autrement avec “Umoja” .
Umoja est un village du district Samburu au Kenya à environ 380 kilomètres de la capitale Nairobi dont les habitants adultes sont les femmes. Umoja est un refuge pour les femmes, de centaines de femmes violées par les soldats britanniques dans le nord du Kenya, battues et répudiés par leurs maris qui se considèrent “déshonorés”.
C’est en 1990 que ces femmes en quête d’indépendance et pour se protéger des agressions s’unissent et fondent le village d’Umoja qui signifie « Unité » en Swahili.
  “Dans la communauté Samburu, c’est toujours la femme qui travaille beaucoup. Elle se réveille tôt, vers 3 heures, elle travaille toute la journée et se couche tard vers 23 heures. L’homme, lui, dort quand il veut et autant qu’il veut. A son réveil, il réclame son petit déjeuner, sort éventuellement le bétail de l’enclos et va dormir sous un arbre , a confié l’une des femmes dans le documentaire “Umoja, le village interdit aux hommes”, réalisé en 2008.
On appelle aussi ces femmes les « Tumaï ».
En 2003, Umoja comptait quarante femmes et une centaine d’enfants.
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A la tête de cette communauté  de femme se trouve Rebecca Lolosoli (sur l’image si dessus) une vrai femme de poigne. Elle a eu l’idées d’un village exclusivement féminin pendant qu’elle était hospitalisé. Plusieurs hommes l’avaient frappés parce qu’elle avait osé parler des droits des femmes dans son village.
Les femmes Tumaï ne sont pas des Amazones pures et dures. Les relations sexuelles sont autorisées, mais doivent se dérouler à l’extérieur du village. Et même dans le domaine sexuel, l’éducation reste une priorité.
“Nous apprenons aux femmes à se respecter, à respecter leurs corps, notamment pour se protéger du sida. Elles doivent comprendre qu’elle sont en droit de refuser un rapport sans devoir craindre d’être battues ou violées”affirme Rebecca Lolosoli.
Depuis 2001, les Tumaï s’attachent à construire une démocratie participative, 100 % féminine, pour avoir la paix, loin des lourdeurs machistes du pays. La communauté des femmes de Tumaï pratique une démocratie 100 % « participative ». Vendre une poule, acheter des cotonnades à Archers Post, la bourgade voisine, envoyer des enfants à l’école primaire… Toutes les décisions qui engagent l’ensemble des habitants sont soumises, après débats et lors de l’assemblée générale, au vote à la majorité et à main levée.
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Les revenus tirés de l’artisanat et du tourisme soutiennent la petite communauté et ont permis la scolarisation de leurs enfants.  Umoja subit fréquemment des attaques d’hommes jugeant ce village non conforme à la morale et aux traditions locales, voire provocateur. En plus de la jalousie suscitée par la viabilité économique de leur communauté, les habitantes d’Umoja s’opposent à la coutume traditionnelle en refusant la pratique de l’excision et les mariages précoces de leurs filles. Rebecca Lolosoli la matriarche de Umoja a reçu de nombreuses menaces de mort. Et en 2005, une femme a été assassinée dans le village.
Les traditions patriarcales ont été bannies du village : les petites filles ne sont pas excisées, et ne sont pas mariées de force à des hommes qui ont 3, 4, 5 fois leur âge. Le village est devenu un lieu de refuge pour les femmes qui cherchent à échapper à une vie de servitude.
Des guerriers Masaïs ont été engagés pour protéger le village durant la nuit.
Umoja, le village interdit aux hommes Hello! Aujourd'hui je vais vous présenter L'Afrique autrement avec "Umoja" . Umoja est un village du district 
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afrgirl · 5 years
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« Les groupes armés utilisent les corps des femmes comme champ de bataille ». Ce sont des mots de Julienne Lusenge, défenseure des droits des femmes victimes de violence dans l’est de la RDC.
En effet, on viole en RDC des femmes, des petites filles et depuis peu des bébés. On viol collectivement, en public pour démolire et pour terroriser. Des mères sont violés violés devant leurs enfants, des enfants devant leurs mères, pendant des jours parfois pendant des mois avant de tirer une balle dans les vagins ou de les lacérés à coups de lames de rasoir, de les remplir de sel, de caoutchouc brûlés ou de soude caustique, d’y verser du fuel et d’y mettre le feu. Ceci est ce que subissent les femmes dans l’est depuis 1996.
En république démocratique du Congo, précisément dans l’est du pays (Sud et Nord Kivu) regorge des ressources naturelles notamment de l’or et des diamants. la RDC est une terre très riche en minéraux d’importance capitale pour l’Asie et l’Occident étant principalement nécessaires à la fabrication de téléphone portables. Les trois principaux sont ainsi le tungstène, l’étain (à l’origine de la vibration du portable) et le tantale (support de la batterie d’un portable). Les différentes milices et groupes armés issus de milieux variés s’affrontent et s’entre-tuent dans des combats sans merci pour le contrôle des différentes mines dont l’exploitation représente la principale source de revenue permettant l’achat d’armes. Des richesses qui sont convoités et à l’origine de ce conflit qui dure depuis plus de 20 ans. Et les premières victimes de ce conflit sont la population locale mais principalement le femmes, filles, bébés. Le gouvernement congolais parle de 40 viols par jours mais les ONG estiment que les chiffres sont bien plus élevés. Une étude des ONG en 2015 révèle que plus de 1100 femmes sont vuctimes de viol tout les jours.
Le viol dans l’est de la RDC est devenu une arme de guerre pour détruire une population. Une arme utilisée par à peu près tous les groupes armés : Les rebelles hutu et combattants maï maï, les insurgés rwandais ou forces congolaises.
C’est dans l’est de la RDC, que le Dr. Mukwege alias l’homme que répare les femmes a fondé son hôpital. Dans sa clinique de Bukavu, le Dr Mukwege soigne des victimes de viols : des femmes, des enfants, et depuis peu, des bébés. Il dénonce des crimes “planifiés et mis en scènes”.
Dans le huis-clos de son bureau situé dans ce chef-lieu de la province du Sud-Kivu, à l’est de la RDC, ce médecin gynécologue recueille, depuis quatorze ans, les pires histoires qu’on puisse imaginer. 
La première fois, en 1999, devant une jeune femme dont l’appareil génital avait été déchiqueté par des balles tirées dans son vagin, il a cru qu’il s’agissait de l’œuvre d’un fou. Mais les femmes ainsi martyrisées ont afflué vers son hôpital, confrontant les soignants à des questions médicales jusque-là inédites.
Plus de 40 000 femmes violées ont été opérées à Panzi depuis lors, sur les 500 000 victimes répertoriées en RDC depuis 1996.
“Rien à voir avec des agissements individuels, ou un fait culturel congolais ! Affirme le médecin. Les viols sont planifiés, organisés, mis en scène. Ils correspondent à une stratégie visant à traumatiser les familles et détruire les communautés, provoquer l’exode des populations vers les villes et permettre à d’autres de s’approprier les ressources naturelles du pays. C’est une arme de guerre. Formidablement efficace.”
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Le Dr Mukwege a, pendant des années, pratiqué dix à douze opérations par jours, formé du personnel médical, décentralisé des unités de soin afin que les femmes puissent trouver secours près de chez elles.
 Et puis, constatant la généralisation des viols, pratiqués par à peu près tous les groupes armés il a alerté les ONG, la Maison Blanche, le Conseil de l’Europe, les chancelleries. Il s’est exprimé à la tribune de l’ONU, a brandi des chiffres, des photos, des témoignages.
Rien de décisif n’a suivi, hormis quelques récompenses et dotations qui ont consolidé son hôpital. Hormis, aussi, cette tentative d’assassinat dont il a été l’objet à l’automne 2012, l’obligeant à fuir temporairement la RDC. Au désespoir des femmes du Sud-Kivu qui ont proposé de se relayer nuit et jour pour lui fournir la protection que le gouvernement congolais n’a jamais assurée.
“Combien de femmes violées faudra-t-il pour qu’elle sorte de son inaction ? Combien d’enfants ? Jusqu’où l’horreur ?” Il y a moins de trois semaines, une petite fille de 18 mois lui a été apportée, l’appareil génital explosé. Neuf bébés sont arrivés dans le même état depuis janvier, 36 enfants de moins de 10 ans. “Je n’avais pas encore vu ça”,
lâche-t-il.
Quant aux milliers de casques bleus de la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco) à laquelle la récente résolution 2 080 de l’ONU donne de nouveaux pouvoirs d’intervention pour protéger les civils, ils restent, pour la population, synonymes d’inefficacité absolue. “‘Tu es comme la Monusco’ est devenue une expression insultante en Swahili, raconte une jeune médecin. Cela signifie : ‘Tu n’es qu’un bon à rien !'”
Pour Justine Masika de l’association Synergie des femmes, le viol s’est banalisé au fur et à mesure que le conflit s’éternise.
« Avant qu’il y ait des guerres, il y avait des viols, mais pas avec l’ampleur que l’on connaît aujourd’hui, explique-t-elle. Avec la multiplication des groupes armés, il y a une augmentation des cas de viols. Les gens qui tiennent les armes violent les femmes pour détruire et pour montrer leur supériorité. Lorsqu’on commet des violences sexuelles avec des atrocités, l’introduction d’objets pointus dans les organes génitaux, lorsque tout un village est violé collectivement par des groupes de gens, ce n’est pas pour le plaisir sexuel, c’est pour détruire. »
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  La Cofondatrice et présidente de l’association Solidarité des femmes pour la paix et le développement intégral (SOFEPADI), directrice du fond pour les femmes congolaises (FFC), Julienne Lusenge est une défenseure des droits humains en RDC. Son action est en faveur des droits des femmes et contre l’impunité des violences sexuelles. Julienne Lusenge était à Genève ce lundi 25 février 2019, aux côtés du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, et de Peter Maurer, le Président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
Lors de cet événement organisé en marge de la 40e session du Conseil des droits de l’homme, l’ONU et le CICR ont ainsi demandé aux gouvernements de prendre des mesures concrètes face au fléau des violences sexuelles liées aux conflits.
Cette activiste est engagée depuis trois décennies dans cette bataille pour faire cesser les violences sexuelles en RDC. Heureuse d’être aux côtés de M. Guterres et M. Maurer « afin de porter la voix des victimes et des survivantes des violences sexuelles qui sont aussi des agents de changement », Mme Lusenge admet que cet engagement des Nations Unies « donne plus de visibilité au problème des violences sexuelles ».
Par contre, elle attend de voir les retombées au niveau local. Il faut voir comment cet engagement va se traduire concrètement « au niveau local pour que les groupes de femmes et les différents acteurs travaillent effectivement pour donner des services, mais aussi pour prévenir ces violences sexuelles », a-t-elle déclaré.
Les Congolais engagés dans ce combat travaillent au quotidien« sur plusieurs fronts parce que la question des violences sexuelles, ce n’est pas seulement soigner la femme, ce n’est pas seulement réparer les fistules. Les violences sexuelles, ça affecte tout le corps, toute la communauté, toute la famille. Donc nous devons travailler sur tous ces aspects pour répondre à cette question », fait-elle valoir dans un entretien accordé à ONU Info.
Au cours du mois de février, le centre « Karibuni Wa Mama » à Bunia a reçu en une semaine 28 enfants victimes de graves violences sexuelkes dont un bébé de 2 ans.
 « Un bébé de deux ans victime de violence sexuelle, complètement détruit. Son corps a été complètement détruit et cela a conduit à une crise de folie de sa maman, en voyant l’état dans lequel s’est retrouvé sa fillette. Et c’est un adulte qui est l’auteur de ce viol », a souligné l’activiste congolaise qui insiste sur le fait que le mal du « viol s’est propagé partout et pas seulement lors des conflits ».
Pour elle, les violences domestiques, le harcèlement en milieux scolaire et professionnel, « tous ces abus sont inacceptables ».
Elle plaide donc pour« une rééducation morale de leur communauté pour changer la mentalité », surtout face « aux massacres en cours à Béni ». « J’ai dit à mes collègues que la situation devient de plus en plus difficile à Béni », a-t-elle ajouté. Selon Mme Lusenge, il s’agit parfois de victimes kidnappées quand elles ont l’âge de cinq ans et relâchées à l’âge de 23 ans. « Cette fille est revenue à Béni avec deux enfants après avoir été utilisée comme milice combattante, esclave sexuelle. Elle a fait des travaux forcés, elle a été tabassée, humiliée », dénonce-t-elle.
Une façon pour la Présidente de SOFEPADI d’insister sur le fait que toutes ces personnes qui arrivent chaque jour dans leurs centres, ont besoin d’une prise en charge médicale correcte, psychologique, mais aussi d’une aide juridique pour porter plainte. «Nous continuons à recevoir les femmes détenues, esclaves sexuelles par les différents groupes armés dans nos différents bureaux », décrit-elle, en ajoutant l’esclavage qu’elles subissent, « mais aussi les mariages et travaux forcés, violences physiques, psychiques et économiques, traitements inhumains et dégradants ».
Malgré la situation, certaines victimes de violences sexuelles sont rejetés par leurs familles.
Imaginez un orphelinat où plus de 300 enfants nés d’un viol ont été abandonnés à cause de la honte et la stigmatisation associées aux violences sexuelles. Imaginez une ville où, en 2012, 11 fillettes âgées de six mois à un an, et 59 petites filles de un à trois ans, ont été violées. La situation des femmes et des droits des femmes est très critique. Je ne dirais pas qu’elle n’est pas médiatisé, mais elle ne reçois pas assez de médiatisation nécessaire.
Les femmes en RDC, premières victimes de guerre. (Terrorisme sexuel) « Les groupes armés utilisent les corps des femmes comme champ de bataille ». Ce sont des mots de Julienne Lusenge, défenseure des droits des femmes victimes de violence dans l'est de la RDC.
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afrgirl · 5 years
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Les règles, un tabou ?
Hello people !
Aujourd’hui nous allons aborder le sujet des menstruations ! Et j’aimerais bien avoir des retours de votre part dans les commentaire, sur ce que vous avez dire.
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Encore aujourd’hui, dans plusieurs régions du monde, et plus particulièrement en Afrique, les jeunes filles et femmes sont confrontées à un problème majeur : celui de la stigmatisation des règles. D’après une étude réalisée…
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afrgirl · 5 years
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Santé mentale en Afrique : témoignage.
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Pour mon projet qui est de normaliser les maladies mentales en Afrique, j’ai demandé à plusieurs personnes, africaines de me donner des témoignages. Parmis ces témoignages nous avons celui de Joyce.
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Je me nomme Joyce, j’ai 21 ans. Je suis Congolaise (des deux Congo). Je souffre de Trouble dépressif majeur. (accompagné d’idées suicidaires). Il s’agit d’un déséquilibre chimique dans le cerveau.…
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afrgirl · 5 years
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La santé mentale en Afrique: un problème qui doit devenir une priorité.
« La santé mentale et physique sont sont indispensables pour parvenir à un état de bien être complet. » Rapport de l’OMS.
En Afrique, les maladies mentales ne sont pas du tout bien vus et sont banalisés. La majorité gens en Afrique, ignorent que les maladies mentales sont plusieurs – pas que la folie – et se manifestent de plusieurs manières différentes. L’opinion largement répandue en Afrique…
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afrgirl · 5 years
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Les Pygmées d'Afrique centrale
Les Pygmées d’Afrique centrale
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Peuple pygmées
Un pygmée est un individu appartenant à des populations spécifiques caractérisées par leur petite taille, inférieure à 1,50m de haut. Le terme « pygmée » englobe les différents groupes ethniques éparpillés le long de l’équateur dans de nombreux États de l’Afrique actuelle, allant de la partie occidentale Cameroun, Gabon, Congo, République démocratique du Congo, jusqu’au Rwanda, au…
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afrgirl · 5 years
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"Negro", "beurette", chintok ...
“Negro”, “beurette”, chintok …
Hello!
Et si nous parlions enfin des termes péjoratifs ? C’est à dire des termes qui ont pour but de dénigrer ou qui ont un sens défavorable.
Vous êtes nombreux à utiliser des termes complètement dénigrants envers les gens, mais qui sait, peut être que vous ne savez pas ce que veulent dire ces mots. Mais… cela va changer immédiatement parce que je vais vous dire les mots qu’il ne faut pas dire…
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afrgirl · 5 years
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Pourquoi la virginité de la femme est autant sacralisée ?
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Il existe certains sujets sensibles que je ne voulais pas aborder dans mes articles, mais certains agissement me poussent à le faire. Voilà pourquoi je vais parler de la virginité de la femme.
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Cette chose qui est tellement sacralisé, que c’est devenu normal de dire “moi je ne vais pas épouser une femme non vierge”, parce que c’est “important” ou, “une fille vierge fait la fierté de la famille”.…
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afrgirl · 5 years
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Regardez “Le 8 mars👩🏾 Qu’est ce que signifie ce jour ?” sur YouTube J'espère que la vidéo vous plaira!!
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afrgirl · 5 years
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La scolarisation de la jeune fille : l'éducation scolaire pour tous.
La scolarisation de la jeune fille : l’éducation scolaire pour tous.
” il n’existe aucun instrument de développement plus efficace que l’éducation des filles. Si nous voulons que nos efforts aboutissent à la construction d’un monde en meilleure santé, plus pacifique et équitable, les classes du monde doivent être remplies de filles aussi bien que de garçons. ” Koffi Annan
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Les inégalité dans notre société ont toujours été présentes et le sont toujours. mais nous…
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afrgirl · 5 years
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Hello friends!!!
Comme toujours, je vous fait découvrir des trucs nouveaux sur l’Afrique, la culture noire, les noirs, …
Alors aujourd’hui je vais vous faire découvrir quelque chose de très intéressant, ou plutôt des personnes très intéressantes qui ont intrigué plus d’un à leurs découverte. Ces personnes ce sont des noirs, avec… **suspens** des CHEVEUX BLONDS. Oui vous avez bien lu, des noirs avec des cheveux blonds comme le montre les images si dessous.
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Il ne s’agit ni plus ni moins que des Salomoniens, des autochtones des Îles Salomon, un archipel situé en Mélanésie.
La Mélanésie est située au Nord-est de l’ Australie et est l’un des 3 grands groupes traditionnels de l’océan pacifique qui ensemble forment l’Océanie.
  Nombreux sont ceux qui ont cru que leurs chevelure particulière était originaire des explorateurs ou colons venus d’Europe, mais faux. En effet, selon les hommes de science les blonds et blondes à peau noire des îles Salomon, dans le Pacifique possèdent un gène propre, différent de celui des Européens. Une analyse génétique effectuée par des chercheurs de l’Université de Stanford, en Californie, a montré que ceux qui avaient les cheveux blonds possédaient un gène spécifique déterminant cette couleur. Et que le gène en question était différent de celui donnant leur blondeur aux Européens.
C’est donc un gène unique au monde!!! Les mélanésiens comme on les appel, constituent l’unique peuple au monde entier à posséder à la fois une peau noire avec des cheveux blonds.
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  Les mélanésiens : un peuple hors du commun. Hello friends!!! Comme toujours, je vous fait découvrir des trucs nouveaux sur l'Afrique, la culture noire, les noirs, …
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afrgirl · 5 years
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« L’art véritable n’est pas seulement l’expression d’un sentiment, mais aussi le résultat d’une vive intelligence. »
Vous ne le savez peut être pas(pour ceux qui ne me suivent pas sur insta), mais depuis un moment, je suis devenue une grande fan de l’art contemporain africain. Ce qui m’attire beaucoup dans cet art, c’est le fait qu’il soit tout d’abord africain, qu’il soit fait par des africains et qu’il s’inspire des traditions et réalités urbaines de l’Afrique.
Comme je l’ai promis sur ma page instagram, je vous rédige cet article pour vous en dire plus sur l’art contemporain et vous citer quelques artistes dont j’ai beaucoup aimé le travail.
  Tout d’abord, vous devez savoir que avant 1988, l’art africain n’était pas très connu, ni mis en avant. C’est Fahti Hassan, premier artiste africain à la biennale de Venise, qui devient l’artiste africain le plus connu en Europe, et qui ouvre la voie aux nouvelles promesses du continent.
Dans l’art contemporain africains, les techniques et les support sont variés : peinture, installation avec projection vidéo, sculptures faites en matériaux de récupération.
En 1989, l’exposition magiciens de la terre présentait des oeuvres d’arts africains contemporain (d’artistes vivants) pour la première fois en Europe, mode de démonstration mettant en valeur un primitivisme exotique. Depuis, plusieurs expositions ont favorisés l’essor de l’art contemporain africain.
Plusieurs activités ont été créés par la suite, tel que des centres d’art contemporain, des festivals ou des biennales organisés sur le continent.
  Plusieurs artistes africains pratiquent l’art contemporain africain, mais j’en ai choisi 3 dont j’ai apprécié les œuvres:
  Remy Samuz (Né en 1982 à Cotonou, Bénin.)
Rémy Samuz, de son vrai nom Sossouvi, fabrique, manipule, tresse et tisse depuis son enfance des sculptures en miniature représentant toutes sortes de personnages. Cette passion, que personne ne comprenait, lui a longtemps valu d’être considéré comme « un enfant bizarre », qui passe son temps à s’amuser, de là son pseudo « Samuz ».
En regardant parmi des images de ses œuvres, il y’a eu une qui a été mon coup de cœur, c’est son œuvre maternité
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  Wangechi Mutu
Wangechi Mutu est une artiste d’origine kényane. Née en 1972 à Nairobi, elle est aujourd’hui installée à Brooklyn (New York). Artiste pluridisciplinaire utilisant de nombreux médiums : peinture, collages, vidéos, elle est apparentée au mouvement afro-futuriste et jouit d’une renommée sur le marché de l’art nord-américain et européen.
Une de ses œuvres que j’apprécie énormément est Your Story My Curse – 2006 – Mixed-media collage on Mylar
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  Pascale Marthine Tayou (né en 1966).
Il est un artiste plasticien camerounais. Autodidacte, il a exploré différentes voies : dessin, performance, photographie, vidéo, assemblage, graffiti.
Chalk fresco est mon coup de cœur artistique de Marthine Tayou.
Shalk Fresco
  Pour plus d’œuvres, je publie sur le compte instagram du blog! Follow @afrgirl ou cliquez ici
    Rokia.
L’art contemporain africain : mon coup de coeur du moment. « L'art véritable n'est pas seulement l'expression d'un sentiment, mais aussi le résultat d'une vive intelligence. »
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afrgirl · 5 years
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Interview : Collectif des Raciné.e.s
Hello les amis!!! Je reviens vers vous avec un nouvel interview avec les collectif des Raciné.e.s!!!
Alors, j’ai découvert le collectif sur twitter et j’ai beaucoup aimé leurs contenu alors j’ai décidé de vous le faire découvrir!!!
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    1- Qu’est ce qu’est le collectif des Raciné.e.s ? par qui a t_il été créé ? et quand? – le Collectif Des Raciné.e.s est un collectif antiraciste politique,…
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afrgirl · 5 years
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#BlackHistoryMonth
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Hello les amis! En l’honneur du Black History month, j’ai décidé de partager avec vous autant que possible mes connaissances sur l’histoire des noirs sur le compte instagram de mon blog ( http://www.instagram.com/afrgirl ).
Mais avant tout, qu’est ce qu’est le Black History Month?
Le Black History Month, en français mois de l’histoire des noirs est une célébration annuelle de l’histoire de la…
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afrgirl · 5 years
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Le viol : ce que nous devons savoir.
Le viol : ce que nous devons savoir.
De nos jours, le viol, les violences physiques et les agressions sexuelles sont des facteurs très présent.
J’ai longuement réfléchi avant d’écrire cet article. Car vous et moi le savons, le viol ou les agressions sexuelles sont des sujets très sensible dans nos communautés, surtout africaines. Mais j’ai décidé de me lancé et on verra ce que ça donnera.
Tout d’abord, vous devez savoir que le…
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afrgirl · 5 years
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Grandes figures du féminisme (part.2).
Après avoir écrit mon premier article sur les grandes figures du féminisme, j’ai décidé d’en écrire un deuxième pour vous présenter encore ces femmes qui ont changé le monde à leur façon.
Allons y!!!
  Zahra Ali
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«Les femmes musulmanes doivent reprendre la parole, revendiquer leurs droits et se réapproprier le savoir religieux afin de déconstruire ce discours patriarcale qui freine leur…
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