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#tout va bien (1972)
valkaryah · 2 years
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Jane Fonda in Tout Va Bien (1972)
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apicturespeaks · 1 year
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Tout Va Bien, Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Gorin
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rwpohl · 2 years
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shihlun · 7 months
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Jean-Pierre Gorin & Jean-Luc Godard at the September 1972 Anti-Venice Film Festival.
The festival, which was under the direction of Gian Luigi Rondi, was opposed by a leftwing festival across the lagoon in Venice. There, in two sidestreet movie houses, the protesting Italian filmmakers held showings and conferences, calling their counter‐festival “The Days of Italian Cinema.” Jean-Luc Godard withdrew his film “Tout Va Bien” from Venice 33 to place it instead with the opposition. It was rumored that a print had been smuggled across the border from France. This would have constituted violation of customs rules—a tax is imposed on all imported films. In any case, the Godard work was not shown in’ either festival.
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artfilmfan · 5 months
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Tout Va Bien (Jean-Luc Godard & Jean-Pierre Gorin, 1972)
"I'm not denying that our society has drawbacks. The hard work and aggressiveness that accompany the drive for efficiency risk dehumanizing everyone and destroying the weaker among us. The desire for possessions can lead to frustration, and too much pleasure can make you nauseous. You have to find a balance, and most people find it - or will find it. They have a natural tendency to find balance and adapt because of their need to streamline all aspects of their lives and surroundings."
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processusmonomaniak · 2 months
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Quel étrange petit livre que ce Sein de Philip Roth, écrit en 1972. Variation érotique de La Métamorphose de Kafka, Le Sein s’inscrit dans la veine grinçante de l’auteur, celle du célèbre roman Portnoy et son complexe. Du jour au lendemain, un professeur de littérature se voit transformé en un énorme sein qui peut penser et parler. Cet état quelque peu original va bien sûr avoir de grandes répercussions psychologiques sur notre malheureux protagoniste qui va passer par différentes phases pour tenter d’expliquer cette inexplicable situation.
Le Sein joue malicieusement avec son postulat grotesque et nous régale de scènes incongrues comme seul Philip Roth en a le secret. L’érotisme bizzaroïde qui se dégage de ce récit ancré dans la réalité, accentuant ainsi le décalage comique de la situation, est hélas délaissé en fin de parcours pour laisser places à des digressions littéraires qui m’ont peu convaincu. Ajoutons à cela un fantasme pédophile qui vient s’ajouter en toute fin et qui ternit furieusement le plaisir de cette lecture. Enfin la préface psychanalytique de Théodore Solotaroff, lue évidemment après le récit, ne m’a pas convaincue, je l’ai trouvé même fumeuse.
Le Sein n’est donc pas une lecture indispensable, mais une curiosité littéraire intéressante à découvrir, quand même très loin derrière le chef-d’œuvre absurde et inquiétant de Kafka.
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davidhudson · 2 years
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Yves Montand, October 13, 1921 – November 9, 1991.
With Jane Fonda on the set of Jean-Luc Godard and Jean-Pierre Gorin’s Tout va bien (1972).
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0rph3u5 · 1 year
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A compilation of 'beautiful' shots from Jean Luc Godard films
Breathless (1960), A Woman Is a Woman (1961), My Life to Live (Vivre Sa Vie) (1962), The Little Soldier (Le petit Soldat) (1963), Contempt (Le Mepris) (1963), Band of Outsiders (1964), A Married Woman (Une Femme Mariee) (1964), Alphaville (1965), Pierrot le Fou (1965), Masculin Feminin (1966), Made in U.S.A. (1966), La Chinoise (1967), Weekend (1967), Wind from the East (Le Vent d'Est) (1970), Vladimir et Rosa (1971), Tout va bien (1972), Every Man for Himself (1980), First Name: Carmen (1983), Detective (1985), Oh Woe Is Me (1993)
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ralfa10 · 2 years
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J’ai honte!
Ce matin, dans mon lit, je crois que j’ai poussé un petit cri en me réveillant, une drôle de sensation entre les jambes, et surtout, une petite flaque sur mes cuisses et sur les draps. Ce n’est pas du pipi, c’est un peu collant. Mon zizi est encore un peu dur. J’espère que maman ne va pas voir la tâche sur mes draps.
Je me lève, il y a école aujourd’hui. Depuis la rentrée, je suis au collège, tout neuf, plusieurs bâtiments tout rectangulaires de trois étages, bleu et blanc.
Maman a acheté du Nesquik pour mon petit déjeuner, avant c’était toujours du Van Houten, je crois que je préférais avant. Trois tartines beurrées et de la confiture de fraises. Un coup de brosse à dents rapide, car j’aime pas trop ça et direction le garage pour sortir le mini-vélo que papa a rafistolé après l’avoir récupéré chez ma grand mère.
Dans mon sac à dos en cuir, il y a mes cahiers, livres et trousses. Au collège, on fait des mathématiques modernes, je n’aime pas du tout ça, alors que j’aime bien le calcul mental, mais ça n’a rien à voir. Je crois que je n’aime pas l’école, car je n’attends qu’une chose, la récréation.
Là je sors mon tac-tac, un nouveau jeu où il faut taper deux boules, mais on se détruit les poignets avec. C’est aussi la première année où je suis en classe avec des filles. Devant moi, il y a Véronique, elle est heureuse, ça fait une semaine qu’elle met un soutien-gorge, comme mes sœurs.
À midi, je repars manger à la maison. Il reste du poulet du dimanche.
Puis retour à l’école. Sport cet après-midi. Course sur le stade et grimper à la corde. Je suis nul à ça.
Papa a acheté une nouvelle voiture, une Simca 1100. Maman râle parce qu’il ne fait que de rouler avec et l’essence coûte cher. Moi ça me fait rire. La R8, c’est l’abruti qui traîne avec ma sœur qui l’a achetée.
Le soir après le supplice des devoirs, on va faire les fous avec Patrick et Thierry en vélo dans les chemins de la forêt. Évidemment, je rentre sale comme un cochon, il va falloir passer du temps à se débarbouiller dans l’évier de la cuisine, et subir les moqueries des frangines. On a le droit de prendre un bain que le samedi.
Après le dîner, j’ai pas le droit de regarder la télé, à part le samedi. A 9 heures, direction la chambre que je partage avec ma sœur la plus jeune, mais qui a le droit de se coucher plus tard.
J’entends PopCorn à la télé, c’est chouette cette musique. Je sors le catalogue de la redoute que j’ai caché dans mon armoire pour regarder les femmes en soutien-gorge et culotte. Ça me fait durcir le zizi. C’est drôle, parce que quand je vois maman en soutien-gorge, ça fait pas pareil.
La tâche sur les draps à séché, c’est tout raide maintenant, on dirait une carte. Maman a rien dit, elle a pas dû la voir en faisant le lit. Mais j’aimais bien la sensation que ça m’a fait, j’aimerais bien que ça recommence demain matin ou même ce soir... Peut-être que je deviens grand! On est quand même en 1972.
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jlgfilmframes · 2 years
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”Tout va bien”  (1972) by Jean-Luc Godard & Jean-Pierre Gorin <Groupe Dziga Vertov>
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byneddiedingo · 1 year
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Tout Va Bien (Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Gorin, 1972)
Cast: Yves Montand, Jane Fonda, Vittorio Caprioli, Elizabeth Chauvin, Castel Casti, Éric Chartier, Louis Bugette, Yves Gabrielli, Pierre Oudrey. Screenplay: Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Gorin. Cinematography: Armand Marco. Production design: Jacques Duguied. Film editing: Claudine Merlin, Kenout Peltier. Jean-Luc Godard and Jean-Pierre Gorin's sardonic look at what happened to the leftist intellectuals who were in the forefront of the May 1968 protests in France has two great cinematic showpieces. The first is the multi-chambered two-decker set on which we watch the employees of a sausage factory play out their messy, scattered, and mostly ineffectual efforts at a strike. Though the set is often described as an hommage to Jerry Lewis's similar set for The Ladies' Man (1961), the concept goes back to the era of silent comedy. The other remarkable sequence takes place in an enormous supermarket, in which the camera, placed behind the row of cashiers ringing up purchases, tracks back and forth as shoppers wheel up their goods, a communist hawks his book with a newly marked-down price, and a small revolution starts in which people are told that everything is free. It's a nightmare of consumer capitalism run amok. Godard and Gorin's satire is directed at the complacency into which everyone has sunk in the four years since May 1968, while attempting to demonstrate that the class struggle is still viable. It's conceived as a kind of film about a film, with off-camera voices discussing the need to cast stars -- i.e. Jane Fonda and Yves Montand -- to guarantee the money needed to make the movie. As a demonstration of Godardian film technique, it has moments of brilliance, but even though it scores some points, as political filmmaking it feels inert and now inescapably dated.
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valkaryah · 2 years
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Tout Va Bien (1972)
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arrhakis · 2 years
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Monotone Variations About Godard - Tribute To Jean-Luc Godard
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(via Monotone Variations About Godard - Tribute To Jean-Luc God… | Flickr)
Monotone Variations About Godard - Tribute To Jean-Luc Godard by Daniel Arrhakis (2022)
 Jean-Luc Godard (1930- 2022),  the French-Swiss director who was a key figure in the Nouvelle Vague / French New Wave, the film-making movement that revolutionized cinema in the late 1950s and 60s, has died aged 91.
His influence on cinematic form and language of the past 60 years has been foundational. Best known for his iconoclastic, seemingly improvised filming style, as well as unbending radicalism, Godard made his mark with a series of increasingly politicized films in the 1960s, before enjoying an unlikely career revival in recent years, with films such as Film Socialisme and Goodbye to Language as he experimented with digital technology.
Some of his greatest and controversial films :  Breathless / À Bout de Souffle (1960),  My Life to Live / Vivre Sa Vie (1962), Contempt / Le Mépris (1963),  Band Of Outsiders / Bande À Part (1964),  Alphaville (1965),  Masculin, Féminin (1966),  Two Or Three Things I Know About Her / Deux Ou Trois Choses Que Je Sais D’elle (1967), Week-End (1967),  Tout Va Bien (1972), Goodbye To Language / Adieu Au Langage (2014) and many others.
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title777 · 3 days
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Jane Fonda
watched:
Barbarella 1968
to watch:
Walk on the Wild Side 1962
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Sunday in New York 1963
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Les félins 1964
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La ronde 1964
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Cat Ballou 1965
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The Chase 1966
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La curée 1966
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Barefoot in the Park 1967
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Histoires extraordinaires 1968
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Klute 1971
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Tout va bien 1972
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Julia 1977
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heroslitteraires · 1 month
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Enquête sur le plus grand vol de toile.
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Martin Michaud.
Points de fuite. Tome 1. 469 pages.
Libre Expression.
« Au tableau de bord de mon autopatrouille, l’aiguille marque 180. Mes doigts sont crispés sur le volant. Un panneau d’affichage se dresse en retrait de la route. La reproduction du portrait d’une fillette blonde ne comporte qu’une mention : « Aidez-nous à retrouver Rosalie Lavoie- 4 ans. » Mon cœur se serre et, tandis que j’allume le gyrophare, je note sans y prêter attention que sa lueur barbouille au hasard des secousses le porte-nom épinglé sur le revers de ma chemise. Car s’il m’est une certitude, c’est que je n’en ai nul besoin pour me rappeler que les lettres incrustées y forment le même nom de famille que celui de Rosalie. Je m’appelle Alice Lavoie et ceci est notre histoire. » Un conflit ouvert entre deux puissantes familles du milieu de l’art de Baie-Saint-Paul culmine, dans les années 1990, avec l’enlèvement de la petite Rosalie Lavoir. En toile de fond, le vol jamais élucidé du Musée des beaux-arts de Montréal, survenu en 1972, et un tableau mythique que des forces occultes tentent de s’approprier. Suspendue de la SQ à la suite d’une intervention qui a dérapé après la disparition de sa sœur, une jeune patrouilleuse va découvrir que le passé de sa famille cache un monde de dissimulation où la vérité a plusieurs visages.
Mon avis :
Ça faisait un bout que j’attendais que cet auteur sorte son roman! Je ne suis pas déçue du tout! C’est le premier d’une trilogie. Ce roman teinté de faits réel est un bon suspense. On suit l’histoire d’Alice qui découvre des affaires sur le passé de sa famille. Donc, on change d’époque parfois, pour comprend l’histoire. Plusieurs personnages sont mis en place, le début du roman est quand même très descriptif, mais sans longueur. Plus le roman avance, plus le suspense est intéressant et intense. La lecture devient de plus en plus attrayante. J’ai bien hâte de lire la suite!
Avez-vous déjà lu ce roman?
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MARDI 19 DECEMBRE 2023 (Billet 2 / 4)
C’est Jean (L.) qui nous a fait suivre cette vidéo. Nous l’en remercions.
Nous pensons qu’elle va vous plaire… et les tableaux, vous étonner !
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L’art 4.0 ou les portraits de Sergi Cadenas !
Les portraits du peintre espagnol Sergi Cadenas vous intriguent ? Eh bien, sachez qu’ils stupéfient tout autant le monde de l’art ! Sa spécialité ? Des peintures tri-dimentionnelles, à l’huile et pâte de structure sur toile qui varient en fonction de la perspective et offrent alors plusieurs versions en une unique œuvre !
Cette technique hors-norme, très originale, offre un effet surprenant, que ce soit pour le portrait d’une jeune fille qui vieillit à vue d’œil lorsqu’on passe devant le tableau, ou même par le portrait de Marilyn qui imperceptiblement devient Einstein. C’est carrément hallucinant !
Sergi Cadenas est né en 1972 à Gérone, en Espagne.
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