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#soie lux
soie-lux · 1 year
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2023 Will Be
Less time online: being present in the moment, not letting online/social media trends influence me in any way. Making the most of each day. Spending more time in nature, admiring the beauty of creation. More time spent on my hobbies, bettering myself, growing into the woman I want to be. Quality time with friends and family
Taking care of my body: pilates throughout the week and walking 4 miles (around 10k steps) as many days as possible. Establishing a healthy sleep schedule. Consuming local, seasonal, and organic produce, grass-fed and free-range animal products, fresh sourdough. Making homemade meals as much as possible.
Stepping out of my comfort zone: not letting fear of the unknown stop me from living an amazing life. Saying yes to new opportunities and trying new things. Exploring parts of the city I've never been to before. Not being scared to travel solo. Making conversation with strangers. Developing new hobbies such as horse riding and painting. Seeing what this beautiful earth has to offer.
Nourishing my soul: starting my day with prayer and gratitude. Walking in obedience to the Lord and putting His will above mine. Spending time in His word daily. Being intentional with my thoughts, words, and actions. Allowing the fruit of the Spirit to influence all things I think, say, and do.
Seeking quality over quantity: getting rid of all the fast-fashion pieces in my closet and slowly but surely replacing them with 100% silk, wool, cotton, linen, and cashmere pieces. Continuing to build my capsule wardrobe. Only investing in luxury pieces when I'm sure they will remain in my closet for years to come. This also applies to my relationships. Contrary to popular belief, we need relationship and community to survive. As long as I'm surrounded with people I love, trust, and care for, that's more than I could ask for. It's the quality, not quantity of close relationship that matters.
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soieroyale · 1 year
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hypnos-company · 1 year
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Les différentes techniques de tissage de la soie - Les types de tissus en soie
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Il existe une multitude de techniques de tissage de la soie. Ces différentes techniques, jouent sur l’aspect qu’aura le tissu: ses couleurs, ses motifs, sa rigidité, sa douceur et sa brillance. Un tissu peut être tissé à partir de différentes matières, qu’elles soient naturelles, telles que la soie, le coton ou la laine, ou synthétiques, telles que le polyester.
Avant d’évoquer les différents types de tissus en soie, il convient de rappeler la différence fondamentale entre matière et technique de tissage.
Différence entre MATIÈRE et TECHNIQUE DE TISSAGE
Il existe différentes techniques de tissage de la soie, et, chacune d’entre elles a des caractéristiques et des aspects esthétiques qui lui sont propres.     Avant de lister ces différentes techniques, il est important de comprendre que la SOIE est une MATIÈRE, alors que les types de tissus que nous allons citer ne sont que des METHODES DE TISSAGE de la soie.     Il ne faut pas se méprendre lorsque vous lisez le terme type de tissu, car un type de tissu désigne simplement une façon de tisser une matière.  
Par exemple, Le Satin est une façon de tisser, lorsque la Soie est une matière.  Le type de tissu “Satin de Soie” veut dire que la soie a été tissée en utilisant des techniques de tissage appelées Satin.  Il est donc essentiel de bien faire la distinction entre technique de tissage et matière.  
Les différentes techniques de tissage de la soie et leurs dérivées
Il existe 9 grandes techniques populaires de tissage de la soie:
1. Le SATIN 
2. L’ORGANZA 
3. Le CRÊPE
4. Le TAFFETAS
5. Le JACQUARD
6. Le VELOURS 
7. Le SERGÉ 
8. La MOUSSELINE (également appelée CHIFFON)
9. La GAZE  Chacune de ces 9 techniques de tissage possède des dérivées. On compte 64 dérivées qui sont les suivantes:    
La technique de tissage SATIN - 11 dérivées La messaline, La charmeuse, Le dos de crêpe satin, Pantoufle en satin, Le satin duchesse, Le satin baronnet, Le satin antique, Le satin double face, Le satin façonné, Le satin du sultan et Le satin coupé.
La technique de tissage ORGANZA - 6 dérivées L’organza brodée, L’organza cristal, L’organza broyée, L’organza tournée, L’organza miroir et L’organza satinée. 
La technique de tissage CRÊPE - 8 dérivées Le crêpe de chine, Le crêpe georgette, Le satin à dos crêpe, Le crêpe canton, Le crêpe plissé, Le crêpe charmeuse, Le crêpe marocaine et Le 4 plis. 
La technique de tissage TAFFETAS - 14 dérivées Le tiré de taffetas de soie, Le taffetas imprimé chaine, Le taffetas de papier, Le taffetas antique, Le taffetas en faille, Le taffetas stretch, Le taffetas moiré, Le taffetas teint en fil, Le taffetas teint en pièce, Le taffetas caméléon, Le taffetas arc en ciel, Le taffetas de Florence, La marceline et La louisine.
La technique de tissage JACQUARD - 2 dérivées Le brocart et Le damassé (damas).
La technique de tissage VELOURS - 16 dérivées Le velours écrasé, Le velours panne, Le velours gaufré, Le velours ciselé, Le velours plain, Le velours extensible, Le velours pile, Le velours ras, Le jersey velours, Le velours dévoré, Le velours broché, Le velours côtelé, Le velours bouclé, Le velours milleraies, Le velours de Gênes et Le velours minky.
La technique de tissage SERGÉ - 7 dérivées Le sergé croisé, Le sergé à effet chevron, Le sergé français, Le sergé worsted, Le twill, Le tweed et Le pied de poule.
Il n’existe pas de dérivées particulières pour la MOUSSELINE et la GAZE 
Les différentes techniques de tissage mentionnées sont les plus populaires à ce jour, mais, il existe une multitude d’autres types de tissus en soie. Il est certains qu’il existe des méthodes de tissage qui ne sont connues qu’au niveau de certaines petites communautés. Apres tout, le tissage est un art et il peut être exprimé de façons diverses et variées. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’une technique de tissage donnera toujours au tissu le même aspect, peu importe la matière utilisée. Par exemple, un tissu en satin de soie aura le même aspect qu’un tissu en satin de polyester. La grosse différence résidera dans les bienfaits qu’apporte une matière par rapport à une autre. Il est donc important de ne pas se laisser berner par l’apparence d’un tissu et de toujours vérifier l’étiquette d’un article pour connaitre la matière à base de laquelle il a été tissé.
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ambiance-luxe · 1 year
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Silk dream… • • • #soie #silk #aesthetic #dreamy #light #vin #verre #blackandwhite #greyaesthetic #luxe #contemporary #contemporain https://www.instagram.com/p/Cmp2Cz9orqL/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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glossrose · 9 months
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My Ideal Woman (where I'm going)
(Inspired by @soie-lux)
Physical - she eats healthy, nourishing, and satisfying meals - she is aware of how much she is eating, and she avoids over-indulgence - she makes time for some sort of exercise most days - she carries herself well, with good posture - she keeps up with her daily skin and hair care routines - she dresses nicely
Intelligence - she reads both for knowledge and for pleasure - she is aware of current events - she takes time to continuously learn about topics that she is interested in
Emotional - she is in touch with her emotions and expresses them healthily, rather than keeping everything in and allowing them to become overwhelming - she is sympathetic to others without taking on their emotions - she is positive, but she is realistic
Financial - she is vigilant about tracking her finances - she knows when to be stringent, but also makes allowances to spend on things that she enjoys - she is financially secure and makes her money work for her
Social - she prioritises her family - she has a small group of friends - she is a wonderful hostess
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chicinsilk · 9 months
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US Vogue July 1989
Audrey Benoit wears a short silk-faille coat, lined in faux leopard. the hood and rolled up sleeves accentuate its elegance. Luxury Christian Lacroix coat. Sunglasses, Christian Lacroix for Optyl, Christian Lacroix earrings, bag, Maud Frizon, gloves, Christian Lacroix. The sophisticated foundation - Teint Majeur in Ivory Cream by Lancôme. Stylist: Carlyne Cerf de Dudzeele Hairstyle: James Bradshaw Make-up: Laura Mercier.
Audrey Benoit porte un manteau court en faille de soie, doublé en faux léopard. la capuche et les manches retroussées, accentuent son élégance. Manteau de Christian Lacroix luxe. Lunettes de soleil, Christian Lacroix pour Optyl, boucles d'oreilles Christian Lacroix, sac, Maud Frizon, gants, Christian Lacroix. Le fond de teint sophistiqué - Teint Majeur en Crême d'ivoire de Lancôme. Styliste : Carlyne Cerf de Dudzeele Coiffure : James Bradshaw Maquillage : Laura Mercier.
Photo Wayne Maser vogue archive
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chic-a-gigot · 1 year
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La Mode illustrée, no. 8, 24 février 1862, Paris. Noble matron française de la cour. Costumes anciens et modernes de César Vecellio. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Ces matrones s'habillent avec un grand luxe. Outre une infinité d'ornements d'or, de pierres précieuses, de perles, de chaînes et de colliers, elles disposent leurs vêtements de manière à donner de l'ampleur aux épaules, en laissant la poitrine large et découverte. Le corsage est élégant et richement orné. Leurs robes, le plus souvent, sont de soie à couleurs variées, et tissues d'or; la chemisette est en dentelle finement empesée, soutenue par des fils d'archal, très-légers; la robe de dessus est beaucoup plus courte, plus étroite, que lit robe de dessous, et relevée sur les côtés; cette robe est généralement de couleur unie, en velours, ou bien en soie.
Noble French matron of the court.
These matrons dress with great luxury. Besides an infinity of ornaments of gold, precious stones, pearls, chains and necklaces, they arrange their clothes in such a way as to give fullness to the shoulders, leaving the chest wide and uncovered. The bodice is elegant and richly embellished. Their dresses, most often, are of silk of various colors, and woven with gold; the chemisette is of finely starched lace, supported by very light archal threads; the top dress is much shorter, narrower, than the bottom dress, and raised at the sides; this dress is usually solid color, velvet, or silk.
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presentslointains · 3 months
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La soie sauvage de Madagascar
La soie sauvage de Madagascar est un produit issu d'une tradition ancestrale. Elle est obtenue à partir des cocons des espèces de chenilles à soie endémiques de l'île, dont la plus connue est le Borocera madagascariensis, appelée localement Landibe. Celle-ci se nourrit exclusivement des feuilles d'un arbre également endémique, le Tapia, qui pousse dans les forêts sclérophylles des Hautes Terres et des régions côtières. Mais, comment cette soie sauvage est-elle produite et quels en sont les enjeux ?
Une histoire ancienne et royale
La soie sauvage de Madagascar est introduite sur l’île par l’arrivée des Européens avec le travail de la soie, après la découverte de la présence du ver à soie endémique. Ce travail de la soie a ensuite été maîtrisé par les femmes de la région, qui en ont développé un savoir-faire artisanal et original, bien qu'insuffisant pour production à grande échelle.
Elle connaît son apogée sous l'ère monarchique où elle sert à confectionner des linceuls pour les défunts et les vêtements royaux. Aujourd'hui, elle est encore utilisée pour fabriquer des vêtements, mais aussi des parures, des décorations et des objets d'art de luxe, appréciés pour leur qualité, leur beauté et leur authenticité.
Un processus complexe et artisanal
La production de la soie sauvage de Madagascar est complexe et fait intervenir un grand nombre de personnes, depuis les collecteurs de cocons jusqu'aux vendeurs de produits finis, en passant par les fileurs, les tisseurs et les teinturiers.
Les cocons sont récoltés dans les forêts de Tapia, cueillis sur les branches ou ramassés au sol. Après la cueillette, elles vont subir diverses étapes :
la préparation : où elles sont triées, brossées pour en retirer les poils externes, dépourvues de la chrysalide et retournées ;
la cuisson, avec passage des cocons dans de l'eau bouillante préalablement savonnée et cendrée afin d'en retirer la membrane collante ;
la fermentation, sous terre ;
le lavage, à l'eau froide ;
le séchage, pour obtenir la bourre.
C'est à partir de la bourre qu'est extrait un fil unique qui est enroulé (filage) autour d'un support fixe pour obtenir une bobine. Il peut alors être coloré en de teintes variées et éclatantes, et son tissage est effectué sur des métiers à tisser traditionnels en bois, permettant de réaliser des motifs géométriques ou floraux, typiques de la culture malgache. Les produits finis sont ensuite vendus sur les marchés locaux ou exportés vers d'autres pays. La suite ici :
https://presentslointains-madagascar.com/pages/coffrets-cadeaux-soie-sauvage-entreprises-et-particuliers
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detournementsmineurs · 4 months
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Robe "Jose'r C'Hoed" de Pascal Jaouen en soie, perçage, plumes de faisan bleues et plumes de paon turquoises (2019), “Tenue Masculine de Cérémonie de Carhaix” en drap de laine, et galons de soie (circa 1850), “Tenue de Mariée de Quimper” en soie, perles de verre et paillettes métalliques (circa 1930), “Tenue de Fillette de Châteaulin" en soie, coton et plumes (1900-25) et "Manteau Duffle-Coat d'Enfant" d'Armor Lux en drap de laine (2022) présentés à l'exposition “De la Bête à l'Habit” du Musée Départemental Breton à Quimper, Bretagne, décembre 2023.
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soie-lux · 1 year
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butterballbuttnakey · 2 years
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I think I’m going to sit and scroll through your page and just take plenty screenshots of all motivational manifestation post because it’s so high vibe, give me some more blog recommendations
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A shameless self plug; I have a blog thats just for motivational stuff @badbitchfiles but other blogs I follow are @evolvingessence, @sheabutterbitch, @thethirtyproject444, @oatmilck, @adviceformefromme, @herwellnessjourney, @thereignclub-trc, @soie-lux, @diorbaee, @888notes, @glo-in-peace, @glowithinarchive, @theluxuryny & @9710144
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hypnos-company · 1 year
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Comment reconnaitre de la vraie soie ?
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Il est souvent très difficile de différencier un tissu en pure soie et un tissu fait à base de matières synthétiques. Le problème n’est pas tant l’apparence du tissu, qui peut être très similaire dans les deux cas, mais plutôt, les bienfaits sur la peau et les cheveux, surtout lorsqu’il s'agit de linge de lit ou de vêtements. Aujourd’hui, les tissus qui induisent le plus en erreur, sont ceux qui portent la mention “satin”. Il est donc important de comprendre que la SOIE est une MATIERE alors que le SATIN n’est qu’une METHODE DE TISSAGE qui consiste à tisser les fils de façon très serrée pour obtenir un tissu brillant.
Il existe donc du satin de soie, du satin de coton mais également du satin de polyester. C’est pour cette raison qu’il est essentiel de toujours vérifier à partir de quelle matière le tissu a été tissé avant de passer à l’achat.
Quelques moyens qui permettent d’identifier la véritable soie
Le prix. Les textiles portant la mention ”satin”, et qui sont à un prix très bas comparé aux prix habituels de la soie, sont très certainement de simples imitations de la soie. Ces textiles seront fait à base de matières synthétiques et donc la mention “satin” fait référence à du satin de polyester et non à du satin de soie. La soie ayant un coût de production élevé, son prix de vente le sera également. Il est donc nécessaire de faire plusieurs recherches en rapport avec les prix du marché avant de passer à l’achat.
L’étiquette. La matière à partir de laquelle est fait le tissu, est toujours précisée sur l’étiquette. Un tissu en soie de haute qualité, doit être à 100% en soie de mûrier. Un mix entre différents types de soie peut altérer la qualité.
La couleur. La couleur peut également être un indicateur. Un excès de brillance ne veut pas dire que le tissu est fait à partir de soie véritable, bien au contraire, si le tissu brille beaucoup trop, il s’agit potentiellement de polyester parce que la soie a plutôt un éclat multicolore nacré. 
Le toucher. On peut aussi vérifier l’authenticité de la soie à travers le toucher. En frottant un morceau de soie entre vos doigts, le tissu deviendra chaud. Si la température reste inchangée, ce n'est pas de la vraie soie. 
Brûler un bout du tissu. La technique de vérification la plus sûre consiste à brûler une partie du tissu.   Il faut savoir que toutes les fibres naturelles telles que la soie, réagissent de la même manière au feu: Lorsque le fil ou le tissu est brulé, la combustion s'arrête aussitôt que la source de flamme est retirée. Une fois éteinte, la flamme forme une boule noire à l’extrémité qui s’écrase facilement du bout des doigts, formant une sorte de cendres. L’odeur produite sera similaire à un cheveu brulé.  A contrario, lorsqu’il s'agit de fibres artificielles et synthétiques, le tissu prend feu et laisse une boule noire à l’extrémité qui ne s’écrase pas, et produit une odeur similaire à celle du plastique.   Lorsque nous achetons de la soie, nous n’achetons pas seulement un beau tissu doux et brillant, nous achetons également une multitude de bienfaits, que ce soit au niveau de la peau, du cheveu ou encore au niveau de la qualité du sommeil. Malheureusement, si nous ne sommes pas vigilants, nous pouvons nous retrouver avec un très bel article sans aucun bienfait et qui peut au contraire, avoir les effets inverses. Il est donc important de vérifier son tissu avant tout achat. Les indicateurs cités, permettent clairement de faire la différence entre de la vraie soie et une matière synthétique.
Une fois que nous nous sommes assurés que le tissu est bel et bien en soie, il faudra vérifier si cette soie est de bonne qualité ou non. Pour cela, il faut vérifier le nombre de mommes de soie utilisés et le grade de soie.
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soie-lux-speaks · 1 year
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I use my secondary blog, @soie-lux, much more than this blog, which is my primary blog. Since tumblr doesn't let us change which blog is the primary, I've turned this page into a supporting blog for my secondary blog. This way, I'll be able to respond to comments and replies under my posts on @soie-lux and interact with my mutuals more directly (I will not be posting anything on this page. This is strictly for interacting in the comments) 🤎
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dimphoisontmblr · 1 year
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th3lost4uthor · 2 years
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Au Lotus Pourpre - Acte 1
Au dehors, le soleil achevait sa course vers l’horizon, tandis que quelques nuages paresseux rejoignaient les étoiles naissantes. L’air était encore chaud pour ce début d’automne et l’on pouvait entendre en contre-bas le rire d’enfants qui s’amusaient dans les ruelles avoisinantes : le Quartier des Plaisirs était calme. Cependant, elle préférait ne pas s’y appesantir… En effet, dans quelques instants, la discrète pendule du petit salon ferait retentir les dix coups qui ne manquaient jamais de marquer le début de son service. Cela ne l’empêcha pas pour autant de savourer ces dernières minutes de répit passées à l’observation de deux novices qui s’afféraient aux dernières préparations de la cour intérieure, leurs innombrables tresses sautant à chacun de leurs pas et leurs robes blanches où se reflétaient les derniers éclats de jour. Sur la coursive, une de leurs aînées directes, à la taille enserrée de soie jaune, les apostropha, les sommant de se hâter vers la grande salle pour accueillir leurs hôtes. Un bref coup d’œil vers les aiguilles : plus que cinq minutes… Mieux valait descendre également, ou bien Dame Rey trouverait une excuse pour lui imposer des « entrevues » supplémentaires.
La jeune femme soupira, avant de se résigner à quitter le large fauteuil de rotin aux couvertures pourtant si confortables. Elle débarrassa la coupelle de biscuits empruntée aux cuisines, réarrangea deux ou trois ouvrages dont elle avait entamé la lecture, et se dirigea finalement vers l’imposant miroir trônant au-dessus de la coiffeuse dont était impérativement équipé chaque appartement. Enfin, au moins n’était-elle plus à présent contrainte de le partager avec une dizaine d’autres lorsqu’elle dormait encore en dortoirs avec les novices : c’était là le luxe octroyé à celles qui étaient parvenues à survivre en ces murs. Derrière le large disque de verre poli, son reflet l’observa :
 Une peau d’ivoire,
à l’image de ses cheveux en fil de lune,
laissés lâche à l’exception d’une fine natte,
réhaussée d’un ruban améthyste,
et pour finir…
Deux yeux à la couleur de sang.
 Elle soupira. Décidément, une trentaine d’années plus tard, elle ne parvenait toujours pas à s’y faire. Pourtant, il fallait croire que son apparence « exotique », comme l’avait un jour décrite un des clients, avait su trouver sa place parmi les fantasmes des hommes de la capitale, parfois même des villes alentours. Oh, mais n’allez donc pas mal interpréter cette humeur passagère : en aucun cas ne se plaignait-elle de sa condition ! Après tout, « Le Lotus Pourpre » était l’établissement le plus prestigieux du Quartier des Plaisirs ; un haut lieu où tout le gratin de la cité reine se pressait, ne serait-ce que dans l’espoir d’en apercevoir les bourgeons ! Magistrats, banquiers, avocats, ministres, commerçants de renom voire membres de la famille impériale en personne : nul ne savait résister aux charmes des fleurs qui s’épanouissaient au cœur de la pagode au toit d’or. Serait-elle née dans l’une de ces maisons closes de la périphérie, où même les badauds se refusaient à mettre les pieds, elle n'aurait pas eu cette chance. Ici, elle était considérée comme une exquise rareté.
 Traitée comme une pièce de choix…
  Elle n’avait pas eu à subir autant d’années de service pour hériter de la même couleur que certaines de ses consœurs. Le violet, que l’on retrouvait sous toutes ses déclinaisons, s’accompagnait de ses privilèges : moins de « tendresses » et plus de « bavardages ». Son physique avait eu la décence de lui épargner davantage de temps dans la couche de ces Messieurs du Grand Monde. Cela ne l’empêchait pas de se laisser aller à quelques « gâteries » (également connue sous le nom de « bonne décharge » selon ses propres mots), mais c’est juste que… Enfin, tout se ressemblait à présent : elle avait déjà vu toutes les bizarreries, entendu toutes les requêtes salaces, toucher toutes les surfaces que pouvait offrir le corps humain, gouter t-… Bref, quand l’on était une dame de compagnie (« une pute de luxe »), il devenait de plus en plus difficile de se faire surprendre. Tout simplement. Avec un peu de chance, le programme de ce soir se limiterait à tenir une discussion sur le cours du sel avec tel marchand fortuné, pourquoi pas jouer quelques parties de Win’t avec Sir Pele, invétéré de la boisson, mais surtout amateur des novices en blanc… Et, qui sait, peut-être même pourrait-elle espérer se coucher avant l’aube !
Une dernière vérification des lieux, si l’un des invités de marque venait malgré tout à exiger, pardon, « désirer », une soirée « dans son intimité », un mauvais pli chassé du revers de la main, et elle s’engouffrait dans le long corridor feutré en direction du rez-de-chaussée. Après l’escalier de bois sculpté, qui donnait sur une vaste entrée, telle une actrice jetée sous le feu de la scène, son visage s’étira en un fin sourire, à la fois charmeur et élégant, son échine se cambra légèrement, et son regard se mit à survoler chacune des têtes qu’elle croisait. Elle saluait respectueusement l’un, esquivait poliment l’autre, quand soudain :
 « Ligi ! Viens ici je te pris ! »
             Dame Rey était une nouvelle fois d’excellente humeur : la soirée s’annonçait plaisante. Aux côtés de la veille matriarche, la silhouette élancée d’un homme à l’ample toge noire… Un haut gradé. Ainsi donc s’éteignaient ses espoirs d’une nuit tranquille.
 « Ah ! Te voilà, te voilà… » La figure au chignon tiré jusqu’à la racine ébaucha ce qui aurait pu s’apparenter à de la satisfaction. Impressionnant. « Seigneur Yuei, voici la jeune femme dont nous parlions à l’instant. Je vous présente Ligi, la plus jeune de nos fleurs pourpres !
- C’est un honneur de vous rencontrer, Seigneur Yuei. »
             En relevant la tête, elle put prendre le temps d’observer un peu mieux son interlocuteur. Il s’agissait d’un homme de grande taille, qui dépassait aisément d’une tête la plupart des autres clients. Pour autant, il n’avait rien de ces ogres de chaire, aussi haut que large, bien au contraire… Sous ses habits de coton brodés, se devinait une musculature sèche.
 Il se tient droit, mais pas de manière rigide.
Pas de cicatrices non plus…
Un noble plutôt qu’un général donc.
Parfait… Vraiment, parfait.
             Si sa vie de prostituée lui avait bien enseigné quelque chose, c’était qu’il y avait deux catégories de nobles : ceux qui débordaient à la simple perspective de vous tenir la main, et ceux qui pouvaient vous écorcher vivante juste pour leur propre plaisir. Bien entendu, tous payaient grassement l’expérience qui leur était offerte, mais dans le second cas…
 « Le plaisir est mien, Madame. » Répondit l’intéressé avant de s’incliner à son tour, bien que de manière plus réservée.
             Le dénommé « Yuei » ne s’était pas lancé dans une tirade lyrique, n’avait pas osé le baise-main ou tenté de se rapprocher davantage : c’était un bon signe. Néanmoins, Ligi ne put s’empêcher de remarquer que l’homme ne soutenait que très peu le regard. Par ailleurs, il lui était presque impossible de donner un âge à ces traits où, si l’on pouvait bien apercevoir deux ou trois rides au coin des yeux, pourraient presque passer pour ceux d’un jouvenceau. De hautes pommettes, un monocle d’argent, des cheveux tenus en une queue de cheval haute, ainsi qu’une longue et fine barbe, sertie d’une bague frappée de l’emblème de la lune venaient parachever le portrait.
 Probablement un symbole familial.
À tous les coups, il s’agit du benjamin d’une famille
quelconque qui a dû rentrer
dans l’ordre des Archivistes pour se faire un nom…
 « Le Seigneur Yuei est l’ainé de la prestigieuse famille éponyme ! » Reprit Dame Rey. « Celle-là même qui assiste l’Empereur et le Conseil ! 
- Vraiment ? Quelle fonction admirable ! » Feindre la surprise. « Et dites-moi, qu’elles sont donc vos missions au Palais ?
- Oh, hum, lé-légiste ! » Bredouilla l’homme en réajustant le verre à son œil droit.
 Bon : une bonne réponse sur deux…
Cela aurait pu être pire.
 « J-je m’occupe de rédiger les décrets et toutes sortes de, hum, textes pour la Cour… Ce genre de choses, vous voyez ? » Poursuivit-il. « C-ce n’est pas vraiment ce que l’on peut qualifier de prestigieux – haha… ! »
 Et définitivement de première catégorie.
 « Enfin, ne vous rabaissez donc pas ainsi ! » Minauda la matriarche. « Mais nous parlons, nous parlons, et vous n’avez pas encore profité de votre soirée chez nous, mon Seigneur – Ligi ! »
             Son nom lui fit l’effet d’une décharge électrique. En un battement de cil, elle retrouvait son attitude de séductrice galante. Fait étonnant, l’homme qui se débattait encore sous les regards qu’on lui adressait quelques minutes auparavant, parut lui aussi retrouver de l’aplomb, si ce n’est… de la détermination.
 « Oui, Dame Rey ?
- Le Seigneur Yuei a spécifiquement demander à te voir ce soir. » Elle baissa d’un ton. « Et il a été en outre extrêmement généreux avec Le Lotus en exprimant sa requête… » Plus bas. « Tu comprends, n’est-ce pas ? 
- Parfaitement, Madame.
- Bien, très bien ! » S’exclama la veille femme, se détournant pour rejoindre le reste des invités. « Je vous laisse donc entre les bons soins de notre Ligi, Seigneur Yuei : au plaisir de vous revoir dans notre humble établissement ! »
             L’autre ne répondit pas, se contentant d’un bref hochement de tête… Avant de fixer la jeune femme d’un regard froid. Terrifiant. Voyant qu’aucun mouvement n’était initié de son côté, Ligi tenta de désamorcer la situation :
 « Vous travaillez donc comme légiste… ? Cela doit être un travail éreintant mais très enrichissant : avez-vous des lectures que vous recom- ?
- Si cela ne vous dérange pas… » Coupa l’homme de Lettres. « Je préfèrerai que nous allions dans un endroit plus… tranquille.
- Hum, oui, bien sûr, Seigneur Yuei… Mes appartements vous conv- ?
- Cela conviendra, je vous remercie. »
             Pendant qu’il se dirigeaient vers l’étage, Ligi se sentait de plus en plus méfiante à l’égard de son hôte. Ce-dernier gardait ses mains croisées dans le dos, les épaules tendues, et les yeux rivés au-devant de ses pas sans pour autant voir. Bien heureusement, les quelques âmes qu’ils avaient pu croiser s’étaient presque jetées contre les murs à leur passage ; sa présence si forte qu’elle aurait pu lui ouvrir une voie royale qu’importe où il allait. Elle était certaine qu’avec cette aura, l’homme pourrait même circuler librement en plein marché aux chevaux d’Izinor !
 Yuei… Le Conseil… Yuei…
             Inlassablement, la jeune femme tentait de se souvenir de la moindre information, du plus petit ragot qu’elle aurait pu entendre au sujet de cette famille et de la raison pour laquelle tous ici semblait tant vouloir éviter de la froisser. Avant que l’ombre d’une idée n’ait pu émerger, la porte de sa chambre se refermait.
 « La clef.
- Pardonnez-moi ?
- La clef… » Répéta-t-il. Son dos était tourné, il observait la pièce. « Pourriez-vous la tourner, s’il-vous-plait ? Je préfèrerai que nous ne soyons pas… dérangés.
-C-comme il vous plaira, Seigneur Yuei. »
             Sans trop se défaire de sa posture, Ligi entreprit d’agiter la clef dans la serrure : un cliquetis métallique se fit entendre… Sans pour autant condamner la sortie. L’homme ne sembla pas remarquer le subterfuge.
 Deuxième catégorie…
Merde.
 « Je vous en prie, prenez-place ! » Elle l’invita d’un geste, avec le plus d’entrain qu’elle pouvait manifester. « Puis-je vous proposer du thé ? Nous faisons importer les meilleures compositions directement depuis…
- Plus tard, peut-être. Merci. » S’empressa-t-il d’ajouter. « Puis-je vous demander de… vous assoir ?
- Et… » Inspiration. « Où souhaitez-vous que je m’assoie, Seigneur Yuei… ? »
             C’est alors que l’improbable se produisit. Un enchaînement que même toutes ces années, pourtant passées avec les êtres les plus délirants, débridés et dépravés que ce monde ait pu connaître, n’auraient pu prédire…
 « Eh bien… Ici ? » De longs doigts désignèrent un coussin rembourré de plumes. Sourire maladroit. « Il est toujours plus pratique d’être face à face pour discuter, ne trouvez-vous pas ? »
             La plaisanterie, si cela en était bien une, sembla amuser l’homme, dont la barbichette fut secouée par un discret rire. Sans même lancer un deuxième regard à la courtisane, qui avait fini par se placer devant lui, toujours aussi perplexe, il écarta un pan de sa tunique… Pour y récupérer une plume portative accompagnée d’un morceau de parchemin soigneusement plié.
C’est là qu’elle la vit. Un éclat doré contre le noir du tissu précieux.
 La boussole d’Esméride !
             Et tout lui revint enfin…
 Le Ministère -
Aussi jeune ? - Le dernier avait au moins 50 ans !
- père, un Amiral…
Les affaires étrangères, hum ?
Grand - Lunatique : un hommage à son nom, hé !
Marié - grande réception - on dit avec l’héritière d’un Maréchal
Riche ! - Attention…
De nombreux contacts - Premier Secrétaire !
Attention.
Puissant et prometteur…
Attention !
 « Si je suis venu vous voir ce soir, Madame… » Deux iris d’ébène la transpercèrent. « … c’est au sujet de mon épouse.
- Votre… ? »
             Soudain, l’homme se jeta à ses genoux, prit ses mains dans les siennes, et, d’une voix presque étranglée, lui lança :
 « Je vous en supplie, Madame : vous devez m’aider ! Aidez-moi à… ! » Tremblement. « Aidez-moi à me faire aimer par mon épouse ! »
  ~ Fin de l’Acte 1
  ______o.).O.(.o______
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Une fête formelle Sweet 16 est l'occasion idéale pour faire ressortir cette robe noire
Pour les 16 parties formelles Mais que porter à une fête formelle Sweet 16? C'est là que le plaisir commence! Les robes formelles peuvent être longues ou courtes, mais si vous en portez une courte, nous recommandons qu'il soit plus proche du genou et a un décolleté plus élevé. Une fête formelle Sweet 16 est l'occasion idéale pour faire ressortir cette robe noire - si elle est dans un tissu lux, comme le satin ou la soie, encore mieux! S'il propose des strass, des gemmes, des perles ou de la broderie, vous frappez le jackpot! ​ Pour un look formel, il est essentiel de vous coiffer et de maquiller. Jetez vos cheveux dans un chignon, bouclez vos cheveux ou balayez-les sur le côté pour une coiffure élégante. En ce qui concerne le maquillage, vous pouvez vous en sortir avec une lèvre rouge audacieuse ici. Ou robe de mariee courte pas cher, ajoutez un œil fumé! Bien que vous puissiez porter des sandales ou des coins pour un look décontracté ou semi-casual, pour cette douce fête, il est préférable de porter des talons!
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